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INTRODUCTION

hp367Bienvenue dans le monde secret d'Harry Potter

 

Ce blog est dédié aux histoires érotiques, ou lemons, sur le monde d'Harry Potter. Les personnages et l'univers général appartiennent à J.K. Rowling. Seules les apports des auteurs sont à apporter à leurs crédits.

 

Ce blog n'a aucune vocation pécuniaire, il s'agit de laisser libre cours à l'imagination des auteurs et au respect de toutes les formes de sexualités. Tout le monde peut participer au développement du blog en envoyant une histoire à poudlardsecret@laposte.net.

 

Les commentaires dénigrant ou insultant seront supprimer sans sommation.

 

Merci et bonne lecture.

 

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Dimanche 27 janvier 7 27 /01 /Jan 18:14

Voici une nouvelle contribution qui nous vient de la talentueuse Lylah. Je pense que vous allez apprécier son style à la fois direct et tout en douceur.

Lylah a commencé une série d'histoires érotiques en se fixant pour but de suivre l'alaphabet pour chacune d'elles. Voici donc la lettre A, première d'entre elles et, vous aller le constater, des plus prometteuses.

Je termine en vous disant que c'est Lylah elle-même qui a créé les fanarts au début de chaque histoire. Encore une corde à son arc.


Contribution de Lylah

Chapitre 1 : A comme…amour anisé


Le soleil filtrait à travers les vitraux colorés du dortoir des filles.

Sous un monticule de couvertures, une jolie rousse daigna sortir son joli minois, grimaçant quand le premier rayon solaire vint lui caresser le visage.

En cette chaude journée d’octobre, une sortie à Pré-au-lard était prévu et il n’était pas question qu’elle soit en retard.

En autant de temps qu’il ne faut pour le dire, elle sauta du lit et commença à se préparer.


  • Debout Hermione, scanda-t-elle à l’adresse de son amie, encore une fois nous sommes les dernières à émerger.


Une nouvelle forme se mit à se mouvoir sur le lit d’à côté, poussant un grognement de désapprobation en enfouissant sa tête plus profondément sous les draps.

Mais la jolie rousse, qui avait prit l’habitude de ce coutumier manège, ne se laisserait pas avoir, pas aujourd’hui ! Ça non !


  • Wingardium Leviosa !


Et la lourde couverture se mit à virevolter au dessus du lit, découvrant une jeune fille très peu vêtue, qui, s’en rendant subitement compte, sortit immédiatement de sa léthargie pour attraper la couverture au vol et s’en couvrir prestement.


  • Tu as un malin plaisir à me torture Ginny ! C’est pas vrai !


Pour toute réponse, elle se mit à rire en enfilant ses longues chaussettes rouge et or.

Hermione dû se rendre à l’évidence, si elle ne se levait pas, Ginny la traînerait de force jusqu’à Pré-au-lard, alors autant qu’elle le fasse d’elle-même.

Quelques minutes plus tard, elles étaient prêtes à suivre le joyeux petit groupe qui se formait impatiemment devant la grande porte de l’école.

En chemin, Ginny cherchait des yeux la chevelure hirsute de celui qui faisait battre secrètement son cœur.

Secrètement ?

Non pas tant que ça finalement puisque son émoi se caractérisait facilement de par la jolie couleur pourpre qui couvrait ses joues dès qu’elle croisait son regard émeraude, expliquant clairement la nature de ses sentiments pour le Gryffondor.


- C’est moi que tu cherches Weasley ? Lança une voix glaciale derrière elle.


Pas besoin de se retourner, elle savait déjà à qui elle avait affaire. Elle reconnaîtrait cette voix de serpent persifleur entre mille. Aussi, elle décida de l’ignorer, ne prêtant pas attention aux diverses remarques qu’il formulait à son égard, malgré son mépris significatif.


- Et bien Granger, elle n’a jamais appris à répondre quand on lui parle ta copine ? Adressa-t-il alors à Hermione.

- Depuis quand est-ce que l’on t’adresse la parole Malefoy ?


Celui-ci plissa les yeux jusqu’à ce qu’ils ne ressemblent qu’à deux fentes et avant de les distancer, lui assainit un violent coup de coude.


- Crétin ! Murmura Hermione se frottant douloureusement le bras.

- On parle de Malefoy ? Fanfaronna la voix d’Harry.

- Harry ! Ron ! On vous cherche depuis que l’on a quitté Poudlard !


Ginny sentit qu’elle rougissait à vue d’œil et détourna rapidement la tête afin de cacher au mieux l’état dans lequel elle se trouvait.


- Demande à Ron ! Il lui faut toujours un temps indéfinissable pour se lever ! N’est-ce pas Ginny ?


Mon dieu ! C’est à moi qu’il parle ?? Se mit-elle à penser.


La rouquine acquiesça rapidement de la tête sans se retourner.

Malgré le manque de perspicacité qu’il faisait part à l’égard des filles, Harry avait tout de même remarqué l’effet qu’il produisait sur elle et il avait un malin plaisir à la mettre dans l’embarra afin de pouvoir voir ses tendres joues se teinter d’un joli rose qui lui donnait envie de les croquer.

Mais Ginny ne lui donna pas ce plaisir. Elle resta le dos tourné et cachait son visage entre ses mains.


Mais quelle idiote ! Reprends toi ma vieille, il t’a juste adressé quelques mots !! Pas de quoi virer au rouge ! Continua-t-elle de penser.


Harry passa ses bras autour des épaules d’Hermione et Ginny et ils continuèrent leur chemin jusqu’à Pré-au-lard.

Ginny sentit ses jambes défaillir quand il posa sa main sur une de ses épaules, la caressant négligemment, tout en racontant son début de matinée à Hermione, ne prêtant pas attention au fait que la jolie rousse était au bord de l’évanouissement.

Elle allait passer un bras autour de sa taille pour se retenir quand…


- Oh ! Chez Honeydukes il y a de nouvelles confiseries il parait ! Il faut à tout prix que l’on aille voir ça !


Ron, le ventre sur patte, courait déjà vers la boutique, entraînant Hermione par la main, rompant ainsi la chaîne qu’ils formaient avec Harry et Ginny.

Celui-ci lui fit face et un sourire aux lèvres, lui tendit la main qu’elle s’empressa de saisir.

La confiserie était déjà noire de monde, mais cela ne les empêcherait pas de s’y faufiler.

Baguettes magiques à la réglisse, ballongommes de Bullard, des bulles baveuses, des chocogrenouilles, toujours les mêmes friandises qui leur donnaient à tous l’eau à la bouche.

Harry relâcha nonchalamment la main de Ginny pour disparaître au milieu de la foule.

Celle-ci ressentit une atroce sensation de vide et déambula à travers les rayons afin de trouver une douce sucrerie qui apaiserait sa légère peine.

Son attention fut soudainement attirée par une suave odeur anisée. Elle chercha rapidement des yeux ce qui lui mettait déjà l’eau à la bouche et au bout de quelques secondes, son regard se posa sur un petit ballotin d’osier remplit d’étoiles à la jolie couleur vert amande.

Elle s’avança plus près et, vérifiant que personne ne la regardait, elle saisit une gourmandise entre ses doigts.


- Ginny ! Tu viens ! On a un stock pour tout un mois, s’époumona Hermione devant la porte de la boutique.


Déçue, la jeune fille reposa la douceur parmi ses consœurs et sortit de la boutique, chagrinée de ne pas avoir pu porter à ses lèvres ce qui promettait d’être un pur délice.

Le pas lourd, elle remontait l’allée qui la ramènerait à Poudlard, jetant quelques rapides coups d’œil à ses amis, qui, devant elle, commençait déjà à se repaître de leur butin.

Harry ne les avait pas suivis. Peut-être avait-il encore quelques courses à faire.

Mais lorsqu’elle passa devant la dernière petite ruelle perpendiculaire à la grande rue, elle sentit deux bras robustes la tirer à l’intérieur et la plaquer obligeamment contre le mur.

Elle n’eut pas le temps d’émettre une protestation, qu’une main féline vint se poser délicatement sur sa bouche.


Elle leva alors doucement les yeux et croisa le regard enivrant d’Harry. Celui-ci, retira sa main et la gratifia du plus charmeur des sourires.


- Je t’ai enfin pour moi tout seul, murmura-t-il dans un souffle.


Est-ce vraiment à moi qu’il s’adresse là ??....Bien sur sombre idiote, tu vois quelqu’un d’autre ici ? se remit-elle encore à penser.


Bien qu’il ne puisse lire dans ses pensées, Harry comprenait bien que les questions devaient fuser dans l’esprit de la jeune fille, il tenta donc une explication, en adoptant une voix des plus suaves.


- Ca fait longtemps que je me languis de te prendre dans mes bras, je n’ai jamais su qu’elle attitude adopter avec toi. Après tout, tu es la sœur de mon meilleur ami. Je te connais depuis si longtemps, mais depuis quelques temps…tu…


Il rapprochait maintenant son visage plus près du sien, et elle pouvait sentir le souffle chaud de sa respiration caresser doucement ses lèvres.

Il n’aurait suffit que d’un simple hochement de tête pour qu’elles se rejoignent.


- Tu es….si….


Mais il ne termina pas sa phrase et lui prodigua un baiser passionné et fougueux.

Ginny sentit ses jambes se dérober sous son poids quand la langue de son ami força délicatement le passage de ses lèvres pour entamer une danse endiablée avec sa semblable.

Elle glissa alors doucement ses doigts dans la sombre chevelure de son amant et répondit à son baiser avec intensité, laissant tomber les dernières barrières de pudeur qui couvaient en elle.

Harry passa ses doigts dans sa nuque et relâchant ses lèvres, au plus grand désarroi de la demoiselle, il lui glissa deux doigts à l’endroit même que venait de quitter sa bouche.

Elle parut un instant étonné et lentement, une agréable sensation sucrée lui fit prendre conscience qu’il venait de glisser à l’intérieur une friandise.


- Il m’a semblé voir que ces douceurs te faisaient envie….


Ginny sentit à nouveau que la voix d’Harry la faisait fondre au plus profond de ses entrailles, comme la douce gourmandise commençait à le faire contre son palet.

Un exquis mélange d’anis et de menthe éveillait ses papilles, lui procurant une sensation de fraîcheur intense qui lui parcouru tout le corps.


- Je peux goûter ? Lui susurra Harry en faisant glisser sa langue sur le contour de ses lèvres.


Alors, dans un élan de passion, elle engloutit littéralement sa bouche en un baiser plus profond et plus sauvage que le précédent.

La douce fraîcheur qu’elle éprouvait par le bonbon se mit à faire place petit à petit à une chaleur qu’elle sentit monter depuis le creux de ses reins.

Harry, impatient, glissa ses doigts sous le chemisier de la jolie rousse et elle hoqueta de surprise au contact de sa peau fraîche contre la sienne.

Sans relâcher l’étreinte de son baiser, il défit avec une dextérité étonnante, les quelques boutons qui le séparait encore de la peau douce et parfumée de sa tentatrice.

Celle-ci gémissait de plaisir, commençant à perdre totalement son self-control. Elle en voulait plus, elle voulait qu’il soit plus pressant, plus audacieux.

Dans un râle de plaisir, elle laissa tomber le fin tissu sur le sol et entreprit de déshabiller son doux tortionnaire.

Comprenant l’invitation, Harry s’empressa d’envoyer ses quelques vêtements rejoindre ceux de son amie.

Puis, haletant, il prit un instant pour l’admirer.

Elle était belle, désirable mais…toujours debout ! Toujours contre le mur, le regard emplit d’envie et de convoitise. Elle suçait encore agréablement la petite étoile, et Harry sentit monter en lui une envie soudaine de la posséder.

En un éclair, il entoura sa fine taille pour l’asseoir sur un tas de vieilles boîtes de bois qui se trouvait à côté. D’une main câline, il caressa ses deux magnifiques petits seins, et il ne put s’empêcher de se passer la langue sur les lèvres avec envie.

Il imprima une légère poussée afin qu’elle se couche, l’entendant gémir au contact du matériau froid sur sa frêle peau blanche, et il déposa quelques baisers enflammer sur la pointe de l’une de ses charmantes collines.

Le corps de la demoiselle était parcouru de soubresauts de plaisir, ce qui rendait Harry plus ardent, l’incitant à mordiller tendrement le petit téton qui pointait fièrement contre ses lèvres.

Il descendit plus au sud en laissant une fine lignée sur le ventre appétissant de la jolie rousse, jouant avec son nombril un instant et continuant sa descente avec une lenteur presque criminelle.

Ginny gémissait de plaisir, sentant que son corps entier réclamait Harry sur chacune des parties de son anatomie. Elle glissait de plus en plus vers le bas, comme pour chercher impatiemment le contact, mais d’une main ferme, Harry la remettait à sa place, un sourire malicieux sur les lèvres.

Quand il atteint l’objet de ses plus lubriques convoitises, il leva légèrement les yeux vers son amante, attendant quelques signes de protestation, qui bien sûr, ne vinrent pas.
Satisfait il commença un jeu lascif avec le bout de sa langue, goûtant avec délice le charmant petit fruitier.

Ginny sombrait dans une lente agonie, subissant sa torture avec ravissement. Elle tenait fermement les morceaux de bois avec ses mains, se cambrant sous une décharge électrique quand Harry effleura son petit bouton d’amour et s’insinua plus profondément en elle.

Jamais elle n’avait connu pareil plaisir. Son corps tout entier était parcouru de légères décharges, la poussant à crier le nom de son bourreau, qu’elle essayait de taire entre ses dents.

Au bord du supplice, elle passa une main dans les mèches sombres d’Harry, lui indiquant de la rejoindre avant qu’elle ne défaille complètement.

Le Griffondor se releva alors lentement et tout en se rapprochant de la petite rousse, il passa délicieusement la langue sur ses lèvres, comme après avoir bu le plus merveilleux des breuvages.

Il prit appui sur les mains pour prendre position au dessus de son visage et un sourire malicieux sur les lèvres, la tenta :


- Préfères-tu une sucrerie à l’anis ?


Mais déjà la jeune jouvencelle avait reprit ses lèvres, appréciant avec délectation la nouvelle saveur qu’elles dégageaient.

Elle enserra d’un geste rapide les hanches de Harry, qui sous l’effet de surprise en perdit presque l’équilibre.

C’est alors que, le regard l’un dans l’autre, il descendit doucement quelques doigts vers son divin puits d’amour et lorsqu’il les inséra dans un mouvement agile, elle se cambra encore plus, pouvant sentir tout contre son ventre, la virilité concupiscente qui bientôt l’emmènerai jusqu’à l’extase.

Avec un malin plaisir, Harry jouait avec ses doigts, imprimant de légers vas et vient, mais il ne souhaitait pas encore lui donner ce qu’elle voulait, il préférait la voir se languir sous ses caresses insoutenables, il voulait qu’elle ouvre la bouche pour autre chose que lui rendre ses baisers, il voulait qu’elle lui demande. Oui ! Quelle lui demande enfin….

Et enfin….


- Oh….Harry ! Je t’en prie ! Je te veux en moi !

- Ah ! J’ai bien cru que tu ne me le demanderais jamais, lança-t-il avec malice.


Et en un mouvement ardent, il pénétra le douce et chaude entrée de son aimée.

Chacun émit un gémissement de plaisir intense, dans l’impossibilité de garder plus longtemps en eux ce feu qui les consumait.

Harry donnait de puissants coups de rein, obligeant Ginny à se maintenir à lui pour ne pas glisser sur le sol. Il aimait la sentir contre lui, et elle aimait le sentir au plus profond d’elle. La tête en arrière, elle laissait son tendre amant la couvrir de baiser enflammer dans sa nuque chaude et offerte dans laquelle il pouvait sentir son cœur battre à toute allure.

Et quand, elle sentit le souffle de son bourreau s’accélérer contre sa poitrine, elle enserra d’autant plus son étreinte autour de sa taille et plaça des mains souples sur ses fesses fermes et musclées, l’incitant à accélérer le mouvement.

Celui-ci ne se fit pas prier et octroya des coups plus vigoureux et plus indomptés, arrachant des cris de plaisir à Ginny, qui sentait en elle, montait en plus du membre concupiscent d’Harry, une chaleur telle qu’elle ne pouvait plus retenir ses cris. Elle enfoui son visage dans le creux de l’épaule de son amant, tandis que celui-ci tentait de se maintenir en équilibre tout en ne ralentissant pas son rythme soutenu.

Et dans un râle de jouissance extrême, il sentit une décharge vive lui parcourir le bas des reins et il ne pu s’empêcher de se mordre le poing pour ne pas hurler quand son corps se contorsionna en plusieurs petits soubresauts.

Lentement, leur respiration se fit plus calme, plus sereine. Comme le calme qui précède la tempête un lourd silence s’installa.

Ils restèrent un instant l’un contre l’autre, ne voulant pas se relâcher, de peur de vaincre la magie du moment.

Harry s’appuya tout de même difficilement sur ses avants bras et toisa son aimée d’un regard amoureux.

Celle-ci, le visage empourpré par le désir, lui rendait son regard qui en disait long sur la reconnaissance qu’elle lui témoignait.

Sans un mot, ils se rhabillèrent et avant de quitter la ruelle, Harry saisit la main de Ginny et docilement, lui glissa une petite étoile à l’anis entre les lèvres, symbole de leur désir ardent et amour naissant.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Harry
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Vendredi 4 janvier 5 04 /01 /Jan 17:51

Merci à Prong pour sa contribution qui dévoile un aspect du tome 6 que plusieurs personnes attendaient de pouvoir lire. Je ne vous en dis pas plus.


Contribution de Prong


Pris au piège


Ce samedi avait pourtant si bien commencé se dit Harry en quittant l’infirmerie et en déambulant au hasard dans les couloirs de l’école. D’abord, c’était son anniversaire, et il adorait généralement ce jour là. Mais il avait fallu que Ron avale ces stupides chocolats remplis de philtre d’amour !!!Il avait par la suite faillit mourir à cause d’un vin empoisonné chez le professeur Slughorn. Seule la présence d’esprit et la rapidité de Harry avait sauvé son ami, en lui enfonçant un bézoard, petite pierre aux vertus d’antidote étonnantes. Passé le premier choc, Ron s’était calmé rapidement et s’était plongé dans un profond sommeil. Harry et le Maître des potions l’avaient alors transporté à l’infirmerie, où le jeune homme avait dû répondre à beaucoup de questions de la part de Mme Pomfresh et de la directrice de la maison des gryffondors, Le professeur Mc Gonagall.

Il essayait maintenant de retrouver le chemin de la salle commune des gryffondors, mais, perdu dans ses pensés, il s’égara et errait dans les couloirs sans regarder où il allait. Mais alors qu’il se demandait de quelle manière ce poison était arrivé dans ce tonneau, une voix féminine qu’il connaissait l’appela derrière lui. Il se retourna et tomba nez à nez avec une jeune fille de 4 éme année, grande, assez belle avec des cheveux noirs comme le jais. Il répondit presque machinalement


<< Salut Romilda. Ça va ?

_ Très bien Harry ! et toi ? tu as goûté à mes chaudrons au chocolats ? lui répondit elle avec un grand sourire>>


Soudain, la réalité lui revint à la vitesse d’un hippogriffe au galop. C’était Ron qui avait mangé ces chaudrons remplis de philtre d’amours !! Et c’était à cause de ça qu’ils étaient allés chez le professeur Slughorn et que Ron avait failli mourir ! A cette pensée, il eut une bouffé de rage et allait lui répondre violemment quand Romilda lui dit


<< Apparemment non ! Tant pis, j’ai un plan B>>


Elle sortit d’une des poches de son manteau une fiole de parfum. Harry crut qu’elle allait s’en asperger et tenter de le charmer mais c’est vers lui qu’elle retourna la fiole et lui envoya un petit nuage rose dans le nez. Harry essaya de dire quelque chose mais la tête lui tournait déjà et il s’effondra sans un bruit.


Il finit par émerger lentement. Il était toujours allongé mais était ligoté et entendait des voix au dessus de lui


<< Le mieux c’est de tirer au sort.

_ Pas question ! c’est moi qui ai pris les risques, c’est moi qui commence !!

_ Tu vas l’épuiser et on ne pourra plus rien en tirer après !

_ Tu n’avais qu’à m’aider à lui faire prendre la potion !Et puis c’est ça où je lui donne l’antidote maintenant !

_ Bon bon ne te fâche pas Rom ! tu peux y aller .

_ Non, j’ai une meilleure idée : pourquoi pas tout les deux !

_ Tu es folle, j’ai jamais fait ça moi !

_ Raison de plus pour essayer. »


Machinalement, Harry avait compté deux voix différentes mais il était encore trop endormis pour les identifier. Il entendit tout à coup une voix féminine énoncer Revigorvitas et sentit une grande chaleur inonder tout son corps Et il eut enfin la force d’ouvrir les yeux. Il était entouré de deux jeunes filles dont la belle Romilda Vane .


<< Salut Harry !! »


Il se tourna vers celle qui avait parlé et reconnu une des amies de Romilda qui était avec elle dans le poudlard express


« Euhhh salut !

_ Bon Rom tu lui expliques ? »


La jeune femme se pencha sur Harry et lui murmura :


« Nous sommes amoureuses de toi Harry, et tu es là pour qu’on te le prouve.

_ Mais l’amour, ce n’est pas sur commande Romilda !! Il faut être amoureux !

_ Mais tu vas être amoureux Harry !! Très amoureux aussi !>>


Elle sortit de sa poche un autre flacon et lui introduit entre les lèvres


<< - Tu vois, il me restait encore du philtre d’amour de chez Weasley & Weasley ! »


Horrifié, Harry se rendit compte que dans quelque instants il allait être amoureux fou de la jeune femme et ne serait plus maître de ses actes.


Sa tête lui tournait déjà quand il sentit que ces liens se défaisaient tout seul. Il se redressa pour constater à travers un regard embué qu’il était dans les toilettes des filles du deuxième étage. Bizarrement, il n’y avait plus personne autour de lui et pensait déjà que tout ceci n’avait été qu’un rêve étrange lorsque soudainement une silhouette surgit d’une des cabines. Romilda, toute nue le prit dans ces bras et l’embrassa longuement. Harry fut surpris de répondre à ce baiser avec une fougue qu’il ne se connaissait pas. Passant ses bras dans le dos de la jeune femme, il la pressa contre lui comme s’il allait la perdre. Visiblement ravie, Romilda l’attira vers le cabinet dont elle avait surgit et se mit dos au mur, laissant les mains du jeune homme la caresser. Ce dernier avait l’impression d’avoir enfin atteint le paradis. Il fit remonter ces deux mains vers les mamelons de Romilda. Il les suça, les pétrit, il n’en pouvait plus d’éprouver leur délicieuse élasticité. Il en prit un dans sa bouche et le suça à en faire disparaître la couleur. Mais au même moment il sentit une autre poitrine se coller à son dos et des mains fouiller dans son pantalon. Sans voir cette inconnue, il sentit qu’il était amoureux fou d’elle. Tout en embrassant Romilda, il prit la tête de la deuxième fille, lui indiquant son rôle. Comprenant aussitôt, celle-ci se baisse et prit à deux mains l’imposant outil. Mais au lieu de le prendre dés le début, elle préféra jouer un peu avec Harry. Elle commença par dénuder le gland, puis lui faire de petites léchouilles afin de le titiller. Elle descendit jusqu’aux bourses pour les englober entièrement, les faisant rouler dans sa bouche. Pendant ce temps, Harry était aux anges. Il avait fait se mettre à quatre patte Romilda et était penché en train de lui embrasser sa rose, puis s’était enhardi jusqu’à lui sonder son petit trou coquin. La jeune fille poussait de petits cris aigus qui traduisait son plaisir évident. Elle ne fut pas longue à déverser son nectar sur la bouche d’Harry qui s’en délecta. Celui-ci l’abandonna un peu, car il fallait s’occuper de celle qui lui avait patiemment lubrifier son engin. Il la coucha sur le sol et l’embrassa passionnément. Il se mit alors à faire de lents mouvements du bassin de façon à ce que son sexe soit en face du puit des félicités de la belle inconnue. En même temps, Romilda, se sentant délaissée, se plaça derrière le couple en action et se mit à embrasser son amie. Le spectacle de ses deux filles en train de s’embrasser langoureusement donna un regain d’énergie à Harry qui accéléra le rythme, l’amenant avec sa partenaire au bord du précipice du bonheur. Et c’est allégrement qu’ils le franchirent, mélangeant leurs deux liqueurs.

Passablement épuisé, Harry reposa sa tête sur la douce poitrine de sa partenaire. Cette dernière caressait les cheveux du garçon, ayant cessé les embrassades avec Romilda. Mais cette dernière fit clairement comprendre au couple qu’une pause n’était pas dans ses intentions. Elle se plaça derrière Harry et commença à faire des ronds à l’aide de sa langue autour du petit puit du garçon. Celui ci attendait avec impatiente la suite, mais n’arrivait pas à se décider à quitter son confortable oreiller. Ce ne fut que quand il sentit deux doigts s’infiltrer en lui qu’il se releva brusquement comme électrocuté. Il se mit à quatre patte, indiquant clairement à Romilda qu’il ne désirait absolument pas qu’elle cesse ces caresses. La seconde adolescente s’accroupit avec un soupir et chercha les lèvres gorgées de désir de Harry. Elle y introduisit sa langue, étouffant un gémissement du garçon qui comptait désormais trois doigts dans un lieu fort agréable. La jeune fille abandonna ses lèvres pour se glisser contre le corps de l’adolescent elle aussi à quatre patte. En voyant cette petite paire de fesse s’ajouter en dessous de celles qu’elle titillait déjà, Romilda comprit aussitôt. Elle demanda à Harry de soulever légèrement son bassin grâce à une pression judicieuse et saisit la verge de ce dernier qu’elle dirigea sur le petit trou de sa compagne. Harry, complètement inconscient à cause des doigts enfoncés dans son anatomie, se rabaissa brutalement, pénétrant en une seule fois la jeune fille qui apparemment était vierge…de ce côté-ci

Après bien des mouvements passionnés, les trois amants finirent par trouver leur limite et s’effondrèrent sur le sol même.

Quelques heures plus tard, Harry se réveilla, allongé sur un des sofa de la salle commune de gryffondor. Il commença par douter de ses souvenirs, mais quand il tenta de se retourner une vive sensation au niveau du bassin lui prouva que les évènements de la soirée avait été bien réels. Il ne savait que penser, et finit par décider de ne pas en parler. Le Grand Harry Potter qui tombe dans un piège monté par quelques filles… ?

Pas très glorieux !


Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Harry
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Samedi 22 décembre 6 22 /12 /Déc 18:15

Réminiscences

Une aventure sexuelle de Harry Potter en quatrième année


Avec : Harry Potter, Hermione Granger, Ron Weasley, Ginny Weasley, Fred Weasley et Georges Weasley.





Hermione s'était changée et s'était couchée depuis un petit moment déjà. Elle attendait Ginny en lisant un livre intitulé « la magie des souvenirs ». Mais elle ne lisait pas vraiment le chapitre sur les pensines. Elle commençait à s'inquiéter sérieusement de ce que pouvait bien faire la petite rousse. Voilà bien une heure qu'elle devrait être avec elle sous la tente.

Hermione se disait que peut être, en allant faire une toilette rapide avant d'aller se coucher, Ginny était tombée sur un groupe de supporters irlandais fous de joie et qu'elle s'était laissée embarquer dans la fête, ce qui n'aurait pas du tout plu à son père. Ou alors elle avait rencontrée une amie et elle discutait sans voir l'heure passer. Il y avait tellement d'élèves de Poudlard dans ce camping moldu, et l'effervescence de la fête gagnait toujours en puissance, qu'elle ne serait pas étonnée que Ginny en oublie de rentrer. Après tout, Mr Weasley et les garçons devaient déjà dormir, et il y avait peu de risques qu'elle se fasse attraper.

Toutefois, elle ne pouvait s'empêcher de trouver cela étrange. La petite rousse était plutôt sérieuse dans ces circonstances, ne se laissant pas embarquer par ou avec des inconnus, même si elle aimait faire la fête, frangine de Fred et Georges oblige. Et Hermione se demandait bien pourquoi elle ne serait pas venue la chercher si elle avait trouvé une fête où elles seraient accueillies.

Supposant donc qu'elle ne faisait que discuter innocemment quelque part, Hermione essaya de se replonger dans l'histoire de la création de la première pensine lorsque l'ouverture de la tente s'écarta enfin pour laisser passer Ginny. Celle-ci s'avança vers son sac, en sortit vivement ses affaires pour la nuit et commença à se changer sans regarder son amie. Hermione intriguée, posa son livre, sans oublier de marquer la page, et la regardait fixement.


« Où étais-tu ? Demanda-t-elle.

_ Oh, euh... j'étais... ben... j'étais en train de faire ma toilette, répondit Ginny dont les joues s'empourprèrent.

_ Tu en as mis du temps.

_ Ah oui ? Euh... je ne m'en suis pas rendu compte. »


Ginny avait passé la vieille chemise de son père qui lui servait de pyjama et s'apprêta à aller se coucher dans son lit, en dessous de celui d'Hermione, mais celle-ci lui attrapa l'épaule.


« Toi, tu me caches quelque chose.

_ Moi ? Mais... mais... pas du tout.

_ Tu es toute rouge et tu n'oses pas me regarder. Qu'est-ce qu'il s'est passé ?

_ Rien... mais rien du tout, voyons. J'ai juste mis un peu de temps, c'est tout.

_ Ginny, pas à moi. »


La petite rousse leva des yeux humides vers Hermione et comprit que celle-ci ne laisserait pas tomber si facilement. Elle se résolut à avouer.


« Et bien... je crois que j'ai couché avec Harry.

_ Quoi ? »


Hermione fut prise d'un tel soubresaut en apprenant la nouvelle qu'elle dut se raccrocher au bord du lit superposé pour ne pas tomber.


« Co... comment ça tu « crois » ?

_ C'est que c'est difficile à dire en fait... je ne suis pas sûre. »


Hermione remarqua que son amie semblait un peu sous le choc. Elle souleva ses draps et lui fit une place.


« Allez, viens là et raconte-moi ça. »


Ginny s'exécuta sans dire un mot et s'allongea à côté d'Hermione. Cette dernière la prit dans ses bras et lui caressa les cheveux.


« Alors ? Que s'est-il passé ?

_ Je... j'étais partie au bâtiment sanitaire pour prendre ma douche et me laver les dents et puis, arrivée là-bas, j'ai vu que Harry y était aussi.

_ Ah ! Mais je croyais que tu n'osais pas lui parler.

_ Oui, mais... enfin, je n'en ai pas eu besoin.

_ Il ne t'a pas sauté dessus quand même ? Ce n'est pas son genre.

_ Non, il m'a juste dit salut en souriant.

_ Alors c'est toi qui... ?

_ Mais non ! J'étais terrorisée. Comme à chaque fois que je me retrouve seule avec lui j'avais l'air d'une parfaite idiote. Mais tais-toi un peu si tu veux en savoir plus.

_ Oui, pardon.

_ Bon, on était là sans rien dire à attendre qu'une douche se libère et c'est là que sont arrivées les vélanes. »


Le visage d'Hermione s'éclaira de stupeur et elle ne put s'empêcher de parler.


« Des vélanes ? Si près du campement irlandais ?

_ Oui. Elles étaient furieuses. Je crois que c'était un genre d'expédition punitive.

_ Aie ! Mais qu'est-ce qu'elles ont à voir avec Harry et toi ?

_ Eh bien... c'est à dire que l'on avait encore les rosettes irlandaises sur nous.

_ Aie aie aie !

_ On peut dire ça oui. Ensuite je ne sais pas trop ce qu'elles ont fait. Je crois que c'était un peu comme le charme qu'elles ont lancé avant le match mais en beaucoup plus puissant. Enfin, elles nous l'ont jeté et sont parties immédiatement vers le camp irlandais. Du coup...

_ Du coup vous vous retrouviez tous les deux avec un désir irrésistible l'un pour l'autre. Je vois. »


Ginny acquiesça avec un air sombre. Hermione ne comprenait pas.


« Et bien je ne vois pas ce qu'il y a de mal à ça après tout. Tu ne m'as pas dit que c'était ce que tu voulais ?

_Oui... mais... pas comme ça. »


La petite rousse ne put retenir ses larmes. Hermione la serra contre elle.


« Qu'est-ce qui ne va pas ?

_ Je voulais que ce soit par amour, déjà, répondit la petite rousse entre deux sanglots, et puis surtout... que je... que je m'en souvienne.

_ Tu ne te rappelle de rien ?

_ Si... un peu... comme à la fin de la présentation des vélanes. On avait l'impression de sortir d'un rêve... mais on savait ce qui s'était passé. Mais là... c'était si puissant... c'était comme si quelqu'un d'autre... l'avait fait. Je n'ai que des souvenirs... troubles, des bribes, avec très peu de sensations.

_ Allez calme-toi ! »


Hermione posa un baiser sur le front de la petite rousse. Elle essaya de s'imaginer ce que l'on pouvait ressentir de revoir quelques images de ce que l'on a fait dans sa tête sans pouvoir l'associer à des sensations. Ce devait être déroutant. Et pas seulement pour Ginny.


« Avec tout ça, tu as pensé à te lancer un sort de prévention ?

_ Oui, une fois que je me suis enfuie. Sur le chemin du retour.

_ Euh... et... et Harry dans tout ça ? Qu'est-ce qu'il en pense ?

_ Je sais pas. Il a rien dit. Il était aussi perdu que moi je crois.

_ Tu ne crois pas qu'il va... enfin qu'il va peut être en parler à Ron ?

_ Je ne pense pas, ça m'étonnerai beaucoup qu'il lui parle de ce qu'il a fait à sa petite soeur dans les douches.

_ Oui, évidemment.

_ Il finira par oublier. Moi aussi j'ai déjà de plus en plus de choses que j'oublie depuis quelques minutes.

_ C'est le pouvoir des vélanes qui s'estompe. J'ai lu ça dans mon livre. Tu vois, tu finiras par oublier tout ça aussi.

_ Mais c'est que je n'en ai pas envie. Ce n'était pas ce que je voulais mais c'était quand même... ma première expérience... avec lui. »


Hermione sembla soudain illuminée. Elle se retourna vivement et prit son livre.


« Attends, je crois qu'il y a un truc là-dedans qui permettrait de... enfin, pas vraiment de te souvenir mais de savoir ce qui s'est passé au moins.

_ Il faudrait une pensine, enfin, si mon souvenir ne s'efface pas avant.

_ Non, les souvenirs ne s'effacent pas, même par magie. On peut les cacher mais on ne peut pas vraiment les faire oublier. Les sortilèges d'oubliettes sont assez facile à briser quand on sait ce qu'on cherche, donc ça prouve qu'on oublie pas vraiment nos souvenirs, tu vois ? Enfin... bon... revenons sur ce qui nous intéresse. C'est là !


Hermione montra à Ginny des pages pleines de chiffres et de formules compliquées.


« Ce n'est pas facile, il faut utiliser l'arithmancie. J'ai un autre manuel pour ça, attends. »


La brune fit voler son sac jusqu'à elle en utilisant le sortilège d'attraction et sortit le livre « Arithmancie avancée pour sorciers très confirmés ». Elle l'ouvrit au chapitre « calculs de dates précises ».


« Voilà, alors, il faut que je détermine l'heure à laquelle c'est arrivé et l'heure à laquelle ça s'est terminé. Ensuite... »


Hermione attrapa également une plume, de l'encre et un parchemin et se mit à faire des calculs compliqués en se basant sur l'heure où Ginny était arrivée aux sanitaires, sur celle où elle en était repartie, puis sur la durée totale. Elle en arriva à une suite de chiffres dont la petite rousse ne comprit pas comment elle les avait obtenus.


« Bien, reprit Hermione, maintenant, il faut chercher la correspondance en runes puis en latin. »


La brune sortit deux autres manuels et traduisit les chiffres en runes puis les runes en latin et elle obtint une formule compliquée. Elle reprit un moment son livre « la magie des souvenirs » puis les repoussa tous pour prendre sa baguette.


« Bon alors ne bouge pas, tu ne sentiras rien du tout. »


Hermione posa le bout de la baguette sur la tempe de Ginny et prononça la formule. Puis elle retira la baguette sur laquelle pendait un petit filament blanc.


« Oh, fit la petite rousse surprise, je croyais que les souvenirs étaient argentés.

_ Oui, mais celui-ci n'est qu'une copie, si l'on veut. Le vrai souvenir restera à l'intérieur de toi, même s'il finira par être caché.

_ Et comment on va voir ce qui s'est passé sans pensine ?

_ On en aura pas besoin, tu verras. Par contre on ne pourra le faire qu'une fois. Tu ne te souviendras sûrement plus du vrai quand on en aura finit et je ne pourrai alors plus en faire de copie. Enfin, tu es sûre de vouloir le regarder ?

_ Oui.

_ Bon, allons-y ! »


Hermione prononça une autre formule et le filament s'enroula en spirale autour de la baguette. Puis, avec une dernière formule, un petit éclair blanc jaillit et éclata comme un mini feu d'artifice au-dessus de leurs têtes. Les filles s'allongèrent sur le dos et regardèrent la formation d'un petit halo lumineux au centre duquel se formait peu à peu une image.


« Je me souviens de ça. C'est moi, je suis encore sur le chemin.

_ On voit les sanitaires là-bas. Tu y es presque. J'ai été assez précise. »


Elles regardèrent l'image de Ginny, comme dans un jeu vidéo à la troisième personne, s'approcher du bâtiment puis stopper net en apercevant Harry à l'intérieur. Celui-ci la salua (« malgré le fait qu'ils se soient vu toute la journée », pensa Hermione) et Ginny répondit par un baraguinement qui voulait apparemment dire la même chose. Harry essaya de lancer la conversation en lançant une phrase bateau genre « je ne pensais pas qu'il y aurait autant de monde à cette heure-ci » mais Ginny répondit d'un couinement qui devait vouloir dire oui et baissa la tête en rougissant. Hermione sentit la chaleur grandissante de la joue de la petite rousse qui devait être maintenant aussi écarlate que son double.

Pendant un certain moment, aucun des deux ne dit plus le moindre mot et seul le bruit des douches utilisées raisonnait dans le bâtiment. Puis, peu à peu, elles entendirent des cris s'approcher.


« Les vélanes ! Fit la petite rousse en tremblant un peu. »


En effet, peu de temps après, les vélanes entrèrent dans le champ de vision de la Ginny des sanitaires. Elles étaient sous leur forme monstrueuse et étaient vraiment peu rassurantes. Elles semblaient ne pas s'intéresser aux sanitaires jusqu'à ce que l'une d'elle aperçoive les rosettes vertes brillantes et alerte ses congénères en criant. Harry laissa tomber ses affaires sur le sol et se mit vivement devant Ginny pour la protéger. Il voulut prendre sa baguette mais la petite rousse paniquée s'empara de sa main pour la serrer fort. Aucun d'eux ne put réagir.

Alors que le charme que les vélanes avaient utilisé dans le stade était invisible, celui qu'elles lancèrent sur le bâtiment ressemblait à une sorte de brume rougeoyante, témoignant de sa force, frappant les deux jeunes gens, et passant à travers les portes des cabines, en une vague rapide. Déchaînées, les vélanes repartirent aussitôt en direction du camp des irlandais, hurlant de plus belle.



De toute évidence, Harry et Ginny ne comprirent pas tout de suite ce qu'il venait de se passer. Harry se retourna vers la petite rousse, probablement pour lui demander si tout allait bien mais celle-ci lui sauta au cou et l'embrassa avec une fougue incontrôlée. Il ne fallut qu'une seconde à Harry pour qu'il le lui rende avec autant de passion. Dans le lit, Ginny poussa un faible gémissement, se rendant compte de son audace involontaire. Ses yeux s'écarquillèrent tandis qu'elle se voyait débarrasser violemment Harry de ses vêtements et que celui-ci faisait de même pour elle. Puis, la Ginny du souvenir s'assit sur un évier en écartant les cuisses, provocante et impudique, et Harry ne se fit pas prier pour venir la pénétrer d'un puissant coup de rein qui les fit grogner tous les deux. Il fit immédiatement des vas et viens assez brutaux mais Ginny n'était pas en reste. Elle entoura la taille de son amant de ses jambes, s'accrocha à une étagère derrière elle et se mit à onduler vigoureusement des hanches pour aller au devant des puissants coups de boutoir de Harry.

La petite rousse était très gênée de se voir dans un tel état, d'autant plus qu'elle sentait son entrejambe s'humidifier malgré elle. Elle entendit la respiration d'Hermione se faire plus forte.


« Mais... ? Qu'est-ce que tu fais ?

_ Oh... excuse-moi Ginny... mais c'est tellement... Je n'ai pas pu résister... je n'avais jamais vu quelque chose comme ça... c'est... oooooooh ! »


La brune se caressait sans quitter des yeux la scène du souvenir magique. Ginny n'eut le temps de rien dire qu'elle sentit une main remonter le long de sa cuisse et se faufiler sous sa chemise pour rencontrer son intimité. Hermione se mit à agacer vivement le bouton d'amour déjà gonflé de plaisir de la petite rousse qui ne put que gémir en reportant ce qu'il restait de son attention sur les images.

Harry portait Ginny maintenant et celle-ci montait et descendait violemment sur la tige extrêmement dure de son amant. Dans les cabines, on entendait les grognement set les gémissements des personnes qui étaient tellement déboussolées qu'elles n'auraient pu ouvrir leurs portes, se condamnant à se soulager seules. Harry s'était penché sur les petits seins de Ginny qu'il pouvait presque prendre entièrement dans la bouche, ce qu'il ne se gênait pas d'essayer de faire avec gloutonnerie. La jeune Weasley, quant à elle, avait la tête renversée, les yeux fermés et ne pouvait apparemment se concentrer que sur une seule chose, les mouvements brutaux qu'elle effectuait pour s'empaler sur le membre de son amant. Elle poussa un cri ravi lorsque Harry fouilla entre ses fesses pour découvrir le petit anneau qu'il investit sans ménagement de deux doigts.

Au même moment, Ginny poussa un gémissement qu'elle étouffa du mieux qu'elle put lorsque les doigts d'Hermione s'invitèrent à l'intérieur de son sanctuaire. Tout en continuant de regarder sa chevauchée bestiale, elle sentit le corps frémissant de la belle brune tout contre le sien, la tête contre la sienne. Et ces phalanges qui s'amusaient dans son bas ventre. Ginny n'y tenait plus. Elle ne pouvait rester inactive avec tant d'excitation. Elle engouffra sa main dans le pantalon de pyjama d'Hermione et remplaça les doigts de la brune dans le trésor intime tout chaud de celle-ci. Les deux filles explorèrent chacune le sexe de l'autre avec beaucoup d'attention et de vigueur, sans cesser de regarder le souvenir.

L'étreinte de Harry et Ginny devenait presque sauvage. À se demander si l'un ou l'autre savait encore ce qu'il était réellement en train de faire. La petite rousse poussait des cris sans retenue aucune. Dans un instant de lucidité, au beau milieu des caresses qu'elle prodiguait et se faisait prodiguer, Hermione se demanda comment il était possible que personne d'autre ne les ait entendu et soit venu voir ce qui faisait ce raffut de tous les diables. La jolie brune se demanda à ce moment là combien de personnes avaient réellement été victimes des vélanes ce soir-là. Harry lui-même ne pouvait plus contenir de puissants cris de plaisir. Soudain, sans dire le moindre mot, Ginny reposa ses pieds à terre, chancela un peu et se retourna pour plaquer son torse contre le mur, levant du plus haut qu'elle le pouvait son délicieux petit fessier. Même en pleine perte de ses moyens, Harry comprit l'invitation. La petite rousse avait finalement à peine eut le temps de se retourner que le gland de son amant se pressait déjà contre son puit secret. La nouvelle pénétration ne se fit pas plus tendrement que la première. Ginny en hurla de douleur mais ne fit pas le moindre mouvement de recul. Au contraire, elle fut la première à se mettre en mouvement dans un rythme toujours aussi violent.

Hermione avait du mal à en croire ses yeux. Malgré les images et ses propres sens enflammés, elle avait du mal à imaginer que Harry et Ginny avait réellement connu une telle étreinte. Elle savait bien que l'un comme l'autre n'avaient rien contre l'amour vraiment physique mais ils étaient tous les deux des passionnés et non pas les brutes qui s'acharnaient à obtenir leur plaisir qu'elle regardait depuis plusieurs minutes déjà. Elle tourna la tête. Ginny n'arrivait apparemment pas à détacher son regard du souvenir. Hermione se demanda même si la petite rousse savait toujours qu'elle était en train de la masturber, non sans une certaine vigueur peu coutumière. Mais cela étant loin de lui déplaire, Hermione se replongea dans la suite du souvenir.

Harry et Ginny étaient complètement dingues. Il était difficile de savoir s'ils goûtaient vraiment au plaisir de la chair ou s'ils cherchaient à se renverser l'un l'autre à grands coups de bassins, ce qui n'aurait pu arriver, Harry s'accrochant fermement à la petite poitrine de la jeune rousse. C'était autant un acte d'amour que pouvait l'être un duel à mort. Ginny fut la première à se rendre. Harry avait amené une main sur son bel abricot et s'affairait à effectuer des vas et viens de ses doigts aussi rapides et vigoureux que ses coups de reins. Juste avant de se laisser submergé par l'orgasme La petite rousse se contracta et resserra son étreinte autour du pieu de chair de Harry sans pour autant diminuer de rythme. Ginny poussa alors un dernier râle et eut la présence d'esprit de s'accrocher à un lavabo, ne pouvant plus compter sur ses seules jambes pour se tenir debout. Harry ne fit pas plus de deux ou trois mouvements supplémentaires avant de se libérer enfin dans le dos de sa partenaire. Il se retira, pantelant, et se laissa choir sur le sol. Il s'y allongea, les bras en croix, essayant de reprendre sa respiration. Pendant un court instant, il sembla que la scène était figée. Mais Ginny reprit vraiment conscience de l'instant. Son visage exprima toute la stupeur puis le désespoir qu'elle ressentit en réalisant ce qu'il venait de se passer. Elle regarda Harry. Il était parterre, les yeux fermés, cherchant encore à contrôler sa respiration. Rapidement, elle enfila sa jupe et son chemisier qu'elle ne prit pas la peine de fermer complètement, ramassa ses affaires en vitesse et se précipita au dehors. Tandis que dans le halo le visage de Ginny était plein de larme, la voix de Harry retentit derrière elle.


« Gi... Ginny... Attends... ! »


Mais elle ne s'arrêta pas. Le souvenir disparut.

Dans le lit, Les deux filles se regardèrent sans se séparer pour autant.


« Merci, fit la petite rousse. Je ne me souviens plus de ce qu'il s'est vraiment passé là-bas, mais grâce à toi j'en garderai au moins une image. »


Ginny roula sur le côté et se retrouva allongée sur Hermione qu'elle embrassa passionnément. La belle brune répondit sans tarder à ce baiser tandis que leurs mains continuaient leur douce agitation. En peu de temps, étroitement enlacées, elles étouffèrent chacune un cri de plaisir dans le cou de l'autre.

Ginny se laissa retomber sur le côté, faisant face, souriante, au visage ravi d'Hermione.


« Quelle soirée ! Fit la Brune

_ Oui. J'aurai aimé m'en souvenir un peu plus mais tant pis. Ce n'est déjà pas si mal.

_ Il aurait fallu utilisé un sortilège de protection des souvenirs. Ce n'est pas toujours efficace contre les sorts d'amnésie mais contre le charme des vélanes. Enfin, à moi, elles ne m'auront rien fait ou... »


Hermione s'interrompit soudainement. La petite rousse haussa les sourcils.


« Ou quoi ? Oublier ?

_ Euh... oui. Je suis fatiguée, je dis des choses un peu sans aucun sens ne t'inquiète pas.

_ Mais... ça ne veut rien dire. Pourquoi as-tu dit « à moi » ?

_ Ben... euh... justement parce que je ne les ai pas croisé. Oui ça ne veut rien dire. Il faut que je me repose. Je n'ai plus les idées claires.

_ Bon. Je suis trop nerveuse pour dormir tout de suite, je peux regarder ton livre d'arithmancie, ça a l'air intéressant.

_ Oui oui ! Si tu veux. »


La jolie brune se retourna vivement et ne bougea plus.

Ginny récupéra les livres et le parchemin que son amie avait repoussé plus tôt, lors de leur ébat. C'était horriblement compliqué et sans les calculs qu'Hermione avait effectué auparavant, La petite rousse savait bien qu'elle n'y aurait rien compris. Lorsque la respiration de la brune se fit plus lente et plus paisible, Ginny comprit qu'elle dormait vraiment et se mit vraiment au travail. En suivant rigoureusement ce qu'avait fait Hermione, elle réussit à déterminer une formule. Espérant qu'elle ne s'était pas trompée, Ginny posa délicatement le bout de sa baguette magique sur la tempe d'Hermione. Elle en extirpa un petit filament blanc. Jusque là, tout allait bien. Elle répéta ensuite la formule pour entortiller le filament autour de la baguette puis celle pour lancer le halo. Les crépitements ne réveillèrent heureusement pas Hermione. La petite rousse regarda avec attention.

Sans vouloir se vanter, elle avait été aussi précise qu'Hermione dans ses calculs. Peut être même un peu mieux. Le souvenir commençait précisément au moment où elle-même partait faire sa toilette. Hermione s'occupait de finir d'essuyer le chocolat chaud qu'elle avait renversé un peu plus tôt (et qui justifiait d'autant plus son passage aux douches), tandis que Fred et Georges éteignaient le feu et que son père et Ron rangeait un peu le matériel. Sur le moment elle ne s'en était pas rendue compte mais il était maintenant évident qu'elle aurait dû se demander où était Harry. A peine sa chevelure écarlate quittait-elle le champ de vision d'Hermione que cette dernière tourna vivement la tête vers la forêt. On y entendait des cris lointain. Des cris que désormais Ginny connaissait bien. Son père s'en alarma le premier.


« Ohlala ! Les vélanes ont l'air furieuses ! Même si je ne suis pas de service, je ferai bien d'aller au moins le signaler à un responsable. Restez sous les tentes, on ne sait jamais. »


Mr Weasley s'en alla tandis que Hermione s'activa pour finir de ranger. Cela semblait la contrarier de voir les jumeaux et Ron rester plantés comme des piquets en regardant les arbres.


« Dépêchez-vous, vous avez entendu votre père.

_ Calme-toi Hermione, répondit Georges, il s'inquiète pour rien.

_ Pas sûre, on dirait qu'elles se rapprochent.

_ Non, elles crient plus fort, c'est tout, continua Fred. Elles ont dû être consignées dans le stade en attendant d'être calmées.

_ C'est idiot, fit Ron. Ils auraient dû se douter qu'elles s'énerveraient d'avantage. »


Mais les garçons se trompaient et ils furent estomaqués de voir les vélanes sortirent en courant des bois. Hermione, qui voyait des drapeaux et d'autres babioles aux couleurs irlandaises un peu partout, s'attendait au pire. Elle se remémora avoir lu quelque part la formule du charme du bouclier et regretta amèrement de ne pas l'avoir apprise. Les vélanes se rassemblèrent. De toute évidence, elles préparaient un sort de groupe. Incapable de vraiment réfléchir, Hermione se souvint juste d'un passage d'un livre sur les créatures magiques qu'elle avait lu l'année dernière en complément des cours de Remus Lupin. Ce passage disait que les sorts des vélanes pouvaient s'attaquer à la mémoire. Aussi, Hermione ne trouva rien de mieux que de se lancer un sort de protection des souvenirs au moment ou une vague brumeuse et rougeoyante s'abattait sur les Weasley et elle.

Sans attendre, les vélanes repartirent dans la direction du camp irlandais, ce qui les amènerait à croiser un certain bloc sanitaire. Hermione restait debout sans rien dire. Ses joues s'empourpraient. Ginny savait bien ce que cela signifiait. Elle-même sentit son désir renaître encore une fois. Les trois Weasley restant se tournèrent vers elle avec des yeux fous. Ils voulurent se jeter sur la jeune fille mais sans pour autant vouloir la laisser aux autres. Il s'en suivit une bagarre aussi courte qu'acharnée et les trois frères passèrent à travers l'ouverture de la tente en se chamaillant dans le plus grand désordre. Mais Ginny savait aussi que dans son état, Hermione n'allait pas attendre que l'un d'eux l'emporte. La belle lui donna immédiatement raison en s'engouffrant à son tour dans la tente.

Elle vit les trois rouquins se débattant les uns avec les autres et enleva son chemisier sans plus tarder. Aussitôt, les garçons cessèrent leur querelle. Ils avaient mieux à penser désormais. Hermione, au grand amusement de Ginny, se jeta littéralement sur les garçons qui la recueillirent de leurs mains empressées. Très vite, la jolie brune se retrouva entièrement nue, sans avoir pu faire le moindre geste. Les garçons retirèrent leurs pantalons avec difficultés, ils en oubliaient de les ouvrir. Même Hermione ne pensa pas à ce détail tout en tirant comme une diablesse pour les faire descendre. Fred fut le premier à être libéré et fit monter la belle sur ses hanches. Hermione n'attendit pas pour se mettre à ruer dans une chevauchée des plus athlétiques. Elle ne ralentit pas le moins du monde lorsque Georges écarta ses magnifiques petites fesses rondes pour y infiltrer son membre palpitant. Hermione ne fit presque pas attention au pieu de chair qui s'invita dans son puit secret. Elle s'abaissa dessus comme s'il était là depuis le début. Ron enfin se débarrassa des vêtements qui l'encombraient et investit immédiatement la délicieuse bouche de la jeune fille.

Bien qu'elle fut gênée de voir ses frères en pleine action, Ginny était très excitée d'observer Hermione être prise de partout et, cependant, ne pas être en reste pour augmenter la cadence déjà rapide de leur petit groupe. La petite rousse laissa ses doigts retrouver son intimité à nouveau pleine de désir. Tout comme Harry et elle quelques instants plus tôt, chacun dans le quatuor du souvenir s'acharnait à s'activer le plus rapidement possible, recherchant avant tout son plaisir personnel, sans se préoccuper vraiment de son partenaire en dehors de sa seule utilité charnelle.

Les garçons s'activaient de toutes leurs forces sur la pauvre Hermione, du moins elle eut été « pauvre » si elle ne donnait pas l'impression d'aller encore deux fois plus vite qu'eux. Son corps se contracta soudain et elle émit un grognement qui ne demandait qu'à être un cri s'il n'avait pas été étouffé par le membre de Ron. Elle ne bougea plus pendant quels secondes, ce qui ne sembla aucunement gêner les garçons, reprenant conscience. Ginny se demanda ce qui allait se passer lorsque la belle réaliserait qu'elle était prise par ses trois frères qui n'avaient absolument pas l'intention de la laisser filer. Mais la réflexion fut brève et Hermione en prit son parti. Avec autant de fougue que lorsque le charme agissait encore, elle profita à nouveau des trois sexes dressés pour elle. Ginny n'en revenait pas de voir la jolie brune aussi fougueuse qu'auparavant. D'autant plus que ses frères ne lui laissaient pas beaucoup de liberté d'action. Ron s'agrippait à ses cheveux, l'empêchant de trop retirer sa tête, Fred malaxait ses seins avec rudesse et Georges avait attrapé ses hanches et les maintenaient fermement. Mais cela n'empêchait pas la belle d'onduler avec ferveur. Avec une telle cadence, les trois garçons n'y tinrent bientôt plus. En quelques secondes, Hermione sentit sa gorge, son ventre et son petit cul de rêve être inondés de douces et chaleureuses rivières.

Ginny dut détourner le regard un instant pour mordre l'oreiller et étouffer un autre cri de jouissance. Lorsqu'elle reporta son attention sur le souvenir, ses frères, l'air hagard, roulèrent sur le sol, ne comprenant apparemment pas encore ce qu'il venait de se passer. Ainsi, ils libérèrent Hermione qui se précipita sur ses affaires. Elle en sortit sa baguette et cria :


« Stupéfix ! »


Un à un, elle stupéfia les garçons avant qu'ils ne reprennent leurs esprits. Puis elle se rhabilla. Elle jeta un oeil dehors. Mr Weasley n'était pas encore de retour. Elle sortit de la tente et releva un pan de l'ouverture, juste ce qu'il fallait pour laisser passer sa baguette et sa main. Elle envoya le sort de réanimation aux trois garçons puis elle se dépêcha d'entrer sous sa propre tente. Le souvenir s'arrêta alors qu'elle prenait son pyjama.

Ginny eut un léger sourire en se demandant quelles têtes ses frères avaient bien pu faire en se retrouvant tous les trois nus, se souvenant vaguement d'avoir couché avec Hermione sans pouvoir en être sûrs. De toute façon, à cette heure-ci, ils ne devaient déjà plus se souvenir de rien. La petite rousse se pelotonna contre la douce chaleur de son amie et se laissa aller au sommeil, espérant que plus rien ne viendrait déranger leur nuit.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Harry
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Lundi 15 octobre 1 15 /10 /Oct 12:51

Bonjour chers lecteurs et lectrices,


Vous avez remarqué que, encore une fois, les prochaines histoires se font attendre. Et malheureusement, ce sera encore le cas un certain temps.

Actuellement, je mène deux travaux importants de front. L'un concerne l'université et ma soutenance de cinquième année qui se dérouleras dans à peine plus d'une semaine désormais. Ensuite, je travaille également à une présentation importante pour mon employeur qui aura lieu jeudi. Comme vous vous en doutez avec des tâches de cette importance, je suis absolument, totalement et irrémédiablement surbooké, comptant sur les heures supplémentaires (non payées évidemment) pour me sortir de ce bourbier. Et je ne vous parle pas du stress.

Bref, tout ça pour dire que depuis la dernière histoire, je ne me suis pas encore attelé à la prochaine et qu'il faudra attendre au moins deux semaines pour que je puisse la commencer.

Voilà, donc, à part ce petit retard, le site va très bien et n'est pas près de fermer.


Merci encore à vous de faire vivre ce blog et à bientôt


Poudlard Secret

Par poudlardsecret - Publié dans : Infos Poudlard Secret
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Lundi 10 septembre 1 10 /09 /Sep 18:40

Le champion

Une aventure sexuelle de Harry Potter en quatrième année

D'après une idée originale de Ryuuku


Avec : Hermione Granger, Ginny Weasley et Viktor Krum






Ginny n'avait pas très envie de travailler ces temps-ci. Il faut dire qu'après la première épreuve du tournoi des trois sorciers, l'arrivée prochaine des vacances et la perspective du bal de Noël, l'ambiance à Poudlard avait rarement été aussi peu studieuse. La petite rousse avait bien envie d'aller voir Harry pour lui demander de venir avec elle au bal, mais elle n'osait presque plus s'approcher de lui ces temps-ci. La première épreuve l'avait rendu tellement célèbre qu'il était impossible pour une fille de s'approcher de lui sans s'attirer les regards foudroyants de jalousie de la gente féminine présente dans les couloirs. Harry ne se rendait compte de rien et seule Hermione, qui se moquait royalement de ce que les autres pensaient, pouvait rester avec lui à moins d'un mètre.

Ginny mourrait d'envie d'inviter Harry au bal. Elle espérait que les vacances lui donnerait une occasion de le faire. Pour l'instant, elle avait la vague idée d'aller à la bibliothèque prendre un peu d'avance sur ses devoirs, notamment celui de potion où elle devait décrire les particularités de la carbonite filandreuse.

Elle était à peine arrivée dans le couloir que six filles sortaient de la bibliothèque dans le plus grand désordre, suivie d'une madame Pince au bord de l'explosion de nerfs.


« Sortez d'ici ! Vous vous croyez dans un poulailler ma parole.

_ Madame s'il vous plaît... commença l'une d'elles.

_ Rien du tout ! Je ne veux plus vous voir ici !

_ Mais c'est Viktor Krum...

_ Merlin serait ici en personne que je ne tolérerai pas autant de bruit dans ma bibliothèque de la part de petites dindes. »


Madame Pince tourna les talons sous les regards indignés des admiratrices de Krum qui se plantèrent dans le couloir en attendant que la cible de toutes leurs attentions sortent à son tour.

Hermione lui avait parlé de ces greluches qui suivaient l'attrapeur bulgare dans le moindre de ses déplacements. Ginny baissa la tête pour ne pas éclater de rire en passant devant les filles. Cela lui parut immédiatement plus facile en voyant le visage de la bibliothécaire sur lequel on lisait une véritable fureur prête à éclater à la moindre occasion. La petite rousse se jura bien de ne pas être celle qui lui donnerait l'opportunité de tout lâcher car cela risquait d'être effroyable. Elle se dirigea, le dos bien droit et d'un pas sec de fille sérieuse, vers les rayons des livres de potions en passant devant l'entrée de la réserve. Si la bibliothèque n'était pas l'endroit le plus sollicité de l'école, et encore moins ces derniers temps, la section « potion » était de loin celle avec laquelle les élèves préféraient mettre le plus de distance possible. Dans cette période de relâche généralisée, l'on y croisait guère plus qu'une seule personne : Hermione Granger. Ginny la trouva assise sur un tabouret en train d'essayer de déchiffrer un vieux grimoire poussiéreux.


« Salut Hermione

_ 'jour !

_ Tu n'as pas l'air d'être en forme.

_ C'est cet imbécile de Krum qui est encore là avec son fan club. Je suis obligée de venir ici pour lire tranquillement mon livre d'enchantement.

_ Ce n'est plus un problème. Je les ai vu se faire jeter en arrivant.

_ Même Krum ?

_ Non, juste les filles. Pourquoi ?

_ Euh... non pour rien. Tu cherches quoi ?

_ Un bouquin qui expliquerait les fonctions de la carbonite filandreuse. Tu en connais un bon ?

_ Oh oui ! Il y a un livre qui regroupe des informations sur toutes les plantes qui sont étudiées en troisième année. Attends. »


Toujours ravie d'aider ceux qui cherchent un livre, en particulier Ginny, Hermione se leva et se plaqua contre les rayons sur la pointe des pieds.


« Voyons... Où est-il ? Marmonna Hermione tout en passant ses doigts sur les reliures des livres. Pas étonnant que personne ne le trouve là haut.

_ Hm hm ! »


La petite rousse acquiesça sans vraiment écouter ce que disait Hermione. En se levant, son amie n'avait pas remarqué qu'un bout de sa jupe s'était coincée dans l'élastique de sa petite culotte, dévoilant presque complètement l'une de ses jambes. Ginny, qui avait toujours apprécié les jolies formes de la brune, trouva que la voir s'étirer ainsi pour attraper le livre lui donnait une pose des plus innocemment indécentes. Elle n'y résista pas et passa une main sous le tissu pour caresser la douce et chaleureuse rondeur du petit fessier de la belle. Hermione eut un sursaut de surprise mais n'osa pas bouger.


« Ginny ! Murmura-t-elle. Qu'est-ce que tu fais ?

_ Pardon, c'était trop tentant. Et tu sais que je ne te résiste pas. »


La petite rousse était très excitée de faire glisser le fin tissu de la petite culotte sur la peau satinée du délicieux postérieur. Hermione émit un petit soupir.


« Allez, arrête. Si jamais quelqu'un vient...

_ Hermione ! Tu sais que je t'adore alors ne va pas le prendre mal, mais les autres prennent des bouquins plus simples. Tu es la seule à traîner devant ces vieux livres.

_ Heu... parrrdon ! »


Surprises, presque choquées, les deux filles se figèrent. Elles tournèrent la tête dans la direction d'où venait la voix grave. Viktor Krum les observait, rouge jusqu'aux oreilles et son pantalon étrangement déformé à l'entrejambe. Comme soudainement électrisée, Ginny retira sa main de sous la jupe d'Hermione et remit le vêtement correctement tandis que la brune reposait les talons au sol en serrant le livre qu'elle avait finalement attrapé contre sa poitrine. Aucune des deux n'osaient regarder le bulgare en face.


« Parrrdon... je tombé mal... euh... je voulais... parrrler à Ermio...

_ Hermione ! Corrigea celle-ci en rougissant à son tour. Euh... pourquoi ?

_ Voulais savoirrr si... si toi voulais venirrr au bal avec moi !

_ Qui ? Quoi ? Moi ?

_ Euh... oui !

_ C'est que... Je...

_ Ben accepte Hermione, lui souffla Ginny qui commençait à trouver la situation amusante.

_ Je... Mais enfin... Non ! »


Sans rien dire de plus, Hermione partit en courant et disparue derrière l'angle d'une armoire.


« Errrmion ! »


Krum voulut s'élancer à sa poursuite mais percuta brutalement Ginny qui n'eut pas le temps de l'esquiver. La petite rousse tomba à la renverse.


« Parrrdon, fit-il en revenant vers elle ! Toi as mal ?

_ Non ce n'est rien. »


Le bulgare lui tendit une main et la releva sans difficulté. Avec sa carrure athlétique, Krum ne mesura pas sa force pour soulever un poids plume comme Ginny et elle se retrouva plaquée contre son torse puissant. S'il y avait bien une chose que la petite rousse appréciait autant que de caresser Hermione, c'était de sentir le corps d'un beau garçon contre elle. Sans compter que le bassin de l'attrapeur, qu'elle sentait contre son ventre, n'avait pas faiblit. Elle était comblée. Et le serait encore plus en trouvant le moyen de le garder avec lui.

Au diable la carbonite filandreuse. Il faut parfois savoir saisir sa chance. Ginny entoura la taille de Krum de ses bras.


« Finalement, moi ça me va comme ça.

_ Quoi ? Non... moi je veux Errrmion pourrr le bal.

_ Et qu'est-ce qui t'en empêche ? Hermione et moi on partage beaucoup de choses comme tu as dû le remarquer.

_ Non ! Je veux juste Errrmion !

_ Pourquoi ? Je ne te plaît pas moi ? »


Ginny s'écarta un peu en faisant une petite moue boudeuse savamment calculée. Krum fut déstabilisé comme il convenait.


« Euh... si ! Toi es trrrès mignon !

_ Mi-gno-nneuh ! En ce qui me concerne, je préfère. Alors où est le problème ?

_ C'est Ermion-euh que je aime !

_ Moi aussi ! Si tu la connaissais, je suis sûr que tu ferais moins de difficultés. Crois-moi, elle ne t'en voudra pas de passer un moment avec moi. Elle apprécierait même plutôt.

_ Je ne sais pas...

_ Moi je sais, ne t'en fais pas. Et puis si tu la veux vraiment comme cavalière au bal, je pourrai lui en glisser un mot. Elle écoute souvent mes conseils.

_ C'est vrai ?

_ Oui. Mais elle aime les garçons gentils. Alors il va falloir me prouver que tu es très gentil. »


La petite rousse se resserra contre le bulgare. Malgré ses protestations, sentir le corps de la jeune fille contre le sien le conservait au garde à vous. Krum dut admettre que lui faire plaisir serait loin d'être une contrainte pour parvenir à Hermione. Il scella son accord en l'entourant de ses bras et en s'emparant de ses lèvres. « Enfin » pensa Ginny qui commençait à sentir que s'il s'entêtait dans son refus, elle allait se jeter sur lui et arracher ses vêtements. Mais il semblait dans de bien meilleurs dispositions maintenant qu'une de ses mains se posa sur le bas de ses reins et que l'autre allait doucement à la rencontre du côté face. « Il la veut vraiment son Hermione » se dit la jeune fille devant tant d'empressement. La petite rousse se sentit un peu coupable d'agir de la sorte. Mais après tout elle ne lui avait pas menti. Elle parlerait pour lui à Hermione et celle-ci ne verrait aucun inconvénient à ce qu'ils s'apprêtaient à faire. Elles avaient déjà partagés le lit d'un même garçon ou d'une même fille.

Ginny dut rompre le contact avec le bel attrapeur.


« Viens, dit-elle ! Il y a un endroit encore plus sûr qu'ici, c'est dans la réserve. »


Après s'être assurés que personne ne regardait dans leur direction, ils franchirent le cordon de l'entrée de la réserve et s'enfoncèrent entre les étagères pleines de vieux livres à l'apparence inquiétante. Ce n'était pas vraiment un endroit très romantique mais cela conviendrait. La petite rousse voulait reprendre au moment précis où ils s'étaient arrêtés mais Krum l'avaient déjà enlacé par derrière et posait de petits baisers dans son cou. L'une des mains du bulgare reprit le massage de sa féminité à travers la jupe tandis que l'autre s'emparait des petites rondeurs de sa poitrine. Ginny trouva que l'attrapeur ne semblait pas agir contre son gré, ou alors c'est qu'il était aussi très bon acteur. Mais elle doutait qu'il puisse réunir tant de qualités car elle supposait qu'il allait aussi être un très bon amant.

Krum retroussa sa jupe avec une avidité qu'il ne pouvait cacher. Ginny se pencha et prit appui sur le rebord de la fenêtre qui leur faisait face. Il enleva la petite culotte d'un coup, l'arrachant presque, et s'agenouilla. Sa langue s'en alla goûter avec passion au trésor le plus précieux de la petite rousse qui fut plus que ravie de l'excitation de son amant. Krum semblait ne pas vouloir perdre la saveur du moindre millimètre de la douceur intime de sa partenaire. Ginny devait convenir qu'il faisait là un meilleur usage de sa langue que lorsqu'il s'essayait à parler. Oui, bien meilleur.

Rapidement la petite rousse laissa la jouissance l'envahir. Le bulgare était indéniablement doué. Il se releva et s'empara des hanches de la jeune fille, prêt à passer à la suite. Mais Ginny se retourna et tempéra un peu ses ardeurs. Elle voulait prouver qu'elle n'avait pas l'intention d'abuser des rêves de l'attrapeur concernant la belle Hermione. Elle ne voulait pas qu'il lui donne simplement du plaisir, mais qu'ils le partagent. La petite rousse s'agenouilla à son tour et déboutonna le pantalon de Krum qui n'en attendait visiblement pas tant de sa part. Depuis tout le temps qu'elle l'avait senti contre elle, Ginny n'avait eu qu'une idée : Libérer le bel organe de l'athlète et se laisser aller à la gourmandise. Et elle ne fut pas déçue.


« Et bien... euh... woaw !

_ Quoi ? Fit Krum inquiet. Quoi ne va pas ?

_ Non, rien, répondit-elle précipitamment. Rien du tout. Tout va très bien. »


Elle s'empressa d'enfermer la superbe virilité entre ses lèvres. Malgré tout ses efforts, elle ne put descendre plus loin que la moitié du pieu de chair. Cela ne l'empêcha pas de le trouver délicieux et Krum de pousser des gémissements montrant sans ambiguïté son contentement. Ginny déployait tout son savoir faire pour convaincre le bulgare qu'elle n'était ni une égoïste, ni une profiteuse. Avec tant de bonne volonté, le jeune homme comprit parfaitement le message. La jolie rousse allait et venait avec ardeur, faisant voler ses cheveux écarlates autour de son visage d'ange. Krum se crut en plein rêve alors que son plaisir commençait à bouillonner dans ses entrailles. Il se raidit. La jeune fille reconnue les signes précurseurs de la jouissance masculine et s'arrêta soudain.

L'attrapeur en poussa un gémissement de dépit tandis qu'elle se relevait. Mais il fut ravi de la voir ensuite ouvrir son chemisier. Il saisit sa taille fine et la pressa contre lui pour l'embrasser. Ses mains s'affairèrent à finir de la déshabiller tout en la caressant à chaque endroit qu'il dénudait. Ginny n'était pas en reste et le débarrassait du reste de son uniforme. A peine l'eut-elle délivrer de son dernier vêtement (dont elle ignorait même ce qu'il pouvait être tant son esprit pensait à la suite du programme) que Krum la souleva en l'attrapant sous les cuisses. La petite rousse sentit la masculinité glisser contre son ventre puis près de son antre de douceur. L'athlète la maintenait ainsi sans difficulté, à quelques dixièmes de millimètres seulement du plaisir tant désiré. Ginny n'en pouvait plus. Elle lui lança un regard de suppliciée implorant la pitié. Le jeune homme eut un petit sourire et la laissa s'abattre sur son instrument de jouissance. La jolie rousse ne put retenir un cri qu'elle tenta d'étouffer contre l'épaule de son amant en sentant le membre majestueux se frayer difficilement un chemin dans son ventre. Elle s'accrocha au cou de Krum tandis que celui-ci donnait de petits coup de reins tout en la faisant doucement aller et venir à sa rencontre à la seule force de ses bras.

Au bout d'un court instant, Ginny sentit les choses devenir plus faciles, plus agréables et elle se mit à accompagner les mouvements de l'attrapeur. Mais elle ignorait que Krum attendait qu'elle se détende pour en arriver aux choses vraiment sérieuse. Petit à petit, il fit augmenter la cadence. Il opéra d'une manière si graduelle que la petite rousse ne s'en aperçut que lorsque la chevauchée épique était incontestable. Elle mit également tout ses efforts dans leur étreinte désormais vraiment bestiale. Ginny sentait une chaleur intense embraser toute sa peau. De petites gouttes de sueur perlaient et s'écoulaient le long de ses côtes. Elle s'empara de la tête de Krum et se mit à ruer de plus belle sur le mat si vigoureux, allant du gland à la garde avec un acharnement proche de la frénésie. Elle sentait l'orgasme proche. Il arrivait comme un cheval au galop dont les sabots frapperaient le sol au rythme de la rencontre de leurs sexes. Lorsqu'il franchit la ligne d'arrivée, Ginny le va la tête en laissant échapper un cri. C'est à ce moment-là qu'elle aperçut Hermione.



La jolie brune, les joues empourprées, regardait fixement sa meilleure amie jouir de plus belle dans les bras de celui qui lui avait demandé d'être sa cavalière. Krum sentit que quelque chose n'allait pas et se retourna. Son visage devint livide. Il était là, devant la belle Hermione, son membre enfouit dans le creux le plus secret d'une autre fille. Ginny avait perdu le contrôle d'elle-même. Elle était en train d'avoir un orgasme multiple alors qu'ils ne bougeaient plus et que Hermione la regardait toujours, constatant ce qu'elle devait bien appeler une trahison. La petite rousse s'était peut être un peu laissée emporter par ses sens aux abois lorsqu'elle avait dit que son amie et elle partageaient beaucoup de choses. Après tout, c'était plutôt rare qu'une célébrité internationale croise leur route. Et à peine la jolie brune avait-elle tourné les talons qu'elle s'était jetée sur le joueur de quidditch. Le plaisir qu'elle avait tant espéré n'en finissait plus à présent et elle se sentait tellement honteuse sous le regard d'Hermione que les larmes lui vinrent aux yeux.

La brune s'approcha d'eux. D'un mouvement maladroit, Krum déposa Ginny au sol qui n'osa pas regarder son amie.


« Je... j'étais venu te rendre... ça, fit Hermione en tendant le livre de potion qu'elle avait trouvé lors de l'arrivée du bulgare.

_ Je... oui... merci... »


Ginny savait qu'Hermione mentait. Elle cherchait Krum. Elle s'était ressaisie et avait finalement accepté d'être sa cavalière.


« Errrmion..., murmura l'attrapeur

_ Hermione ! Tu veux toujours de moi pour le bal ?

_ Ou... oui... bien sûrrr !

_ Alors c'est d'accord !

_ Ah ? Euh... bien... d'accorrrd Ermion !

_ Hermione ! »


La petite rousse sentit qu'elle était de trop. D'ailleurs elle l'avait été depuis le début finalement. Elle attrapa rapidement ses affaires et voulut partir avant que ses larmes ne coulent vraiment mais Hermione lui attrapa le bras.


« Où tu vas Ginny ?

_ Oh... Hermione... je suis désolée... je... je voudrais m'enterrer dans un trou. Je sais que tu ne pourras pas me pardonner... c'est normal...

_ De quoi tu parles ?

_ Mais... je t'ai trahi ! C'est toi qu'il voulait ! Et moi j'en ai profité ! Si tu savais comme j'ai honte !

_ Je ne vois pas pourquoi. »


D'un mouvement sec, Hermione attira Ginny contre elle et l'embrassa passionnément. La petite rousse ne comprit pas ce qui lui arrivait et ne bougea pas jusqu'à ce que la jolie brune libère ses lèvres.


« Tout ça me prouve juste que c'est un garçon qui a beaucoup de goût pour les filles ! »


Ginny sentit son coeur faire un bond de joie. Elle lâcha ses vêtements et embrassa Hermione à son tour.

Krum s'avança alors pour participer à l'heureuse résolution de l'évènement mais la brune avait une petite idée derrière la tête. Elle demanda au bulgare d'aller s'asseoir sur une table juste à côté.


« Pour l'instant, regarde seulement. Je pense que tu ne le regretteras pas. »


Totalement sous le charme de la jeune fille, l'attrapeur lui obéit sans rien dire et sans même comprendre pourquoi elle lui faisait une telle demande. Ginny, elle, l'avait bien compris et s'en trouvait très excitée. Un frisson parcourut sa colonne vertébrale lorsque Hermione posa les mains sur ses hanches. Sans dire un mot, la petite rousse se mit à déboutonner le chemisier de son amie, sous le regard impatient, et prévisible, du garçon. La jolie brune s'adossa aux rayonnages de livres tandis que Ginny l'effeuillait doucement, embrassant la si douce peau de la belle et en prenant grand soin que Krum n'en manque pas la moindre miette.

La petite rousse libéra d'abord la jeune et tendre poitrine d'Hermione et la savoura allègrement en jetant de petits regards coquins en direction du bulgare. Ginny ignorait comment il pouvait encore se retenir de se jeter sur elles. Il avait la respiration haletante mais restait héroïquement assis. La jeune Weasley passa donc naturellement à l'étape suivante. Elle glissa ses mains dans l'élastique de la jupe et dans celui de la petite culottes. Puis elle descendit lentement, faisant glisser les vêtements le long des jambes tout en laissant sa langue passer entre les deux beaux seins, parcourir le ventre plat et ferme avant de continuer son voyage vers la douce vallée un peu plus bas. Lorsque les lèvres de Ginny se mirent à jouer avec son petit bouton d'amour, Hermione laissa échapper un long gémissement de plaisir et posa un regard sulfureux sur Krum. L'attrapeur se leva d'un bond, il n'attendait que ça. Il enlaça la jolie brune et s'empara de ses lèvres avec fièvre. Hermione, quant à elle, ne résista pas à l'envie qu'elle avait de prendre le membre en main et se mit à le frictionner doucement. Le bulgare quitta alors sa bouche pour aller goûter les jolis fruits défendus que Ginny avait croqué avant lui.

La petite rousse commençait d'ailleurs à trouver désobligeante l'inattention qu'on lui portait. Accroupie entre le couple, elle devait se tordre le cou pour continuer sa dégustation de la savoureuse féminité d'Hermione. Elle se mit à caresser les testicules de Krum pour rappeler sa présence mais celui-ci était si obnubilé par les seins de la jolie brune qu'il ne pouvait pas compter les mains qui s'occupaient de ses parties intimes. Ginny décida d'y aller un peu plus fort. Sans pour autant relâcher les bourses de l'attrapeur, elle envoya ses doigts à la recherche du puit secret d'Hermione que deux d'entre eux investirent sans tarder.


« Ooooh... Ginny... petite vicieuse..., murmura-t-elle

_ Pfarrrdonf ? Fit Krum qui ne pouvait pas lâcher la superbe poitrine de la jeune fille.

_ Euh... Allons sur la table, s'il te plaît ! »


Ils s'écartèrent un peu et la jeune Weasley put se relever en se massant la nuque. Posant les mains sur leurs petits derrières attrayants, Krum accompagna les filles jusqu'à la table.

Hermione avait les idées très claires sur la suite des évènements et dirigea son monde avec rapidité, pressée par le feu qui lui brûlait les entrailles. Elle fit installer Ginny à quatre pattes sur la table et s'allongea sous elle, la tête à la hauteur du joli petit coquillage écarlate. Sans plus attendre, elle laissa sa langue assouvir sa soif à la source qui jamais ne tarit tout en écartant les cuisses pour indiquer la suite du programme au garçon qui l'avait deviné bien avant. La petite rousse sentie les lèvres de son amie se pincer sur son bouton d'amour lorsque le bulgare entra en elle. En sentant les mains d'Hermione trembler sur ses petites fesses et le souffle de la jolie brune se perdre dans son intérieur intime, Ginny comprit que Krum n'avait rien perdu de sa vigueur. Et il le lui prouva lorsque sa langue rejoignit celle de sa camarade sur sa féminité pour l'explorer en profondeur. Les sens des futurs cavaliers commençaient à prendre le dessus sur leur raison et leur étreinte devenait peu à peu aussi enragée que celle qu'avaient connu l'attrapeur et la petite rousse lorsqu'ils étaient seuls. Sauf que leurs bouches trouvaient un parfait exutoire à leur passion dévorante sous la forme de la douce intimité de Ginny. La jeune Weasley sentait tout son corps frémir sans pouvoir l'en empêcher tandis que les deux gourmands semblaient la dévorer.

Elle ne sut pas comment mais, lorsque Hermione écarta ses fesses, elle fit comprendre à Krum ce qu'elle souhaitait sans relâcher la délicieuse petite vallée. Le bulgare, lui, la quitta et remonta entre les deux collines de chair tendre pour aller goûter à la surprise qu'elles cachaient. Ginny laissa le garçon s'amuser quelques minutes ainsi puis se mit à tortiller son joli petit derrière pour signifier qu'elle en attendait plus. Le couple dû se concerter du regard car Hermione glissa alors pour que sa tête arrive à la hauteur de celle de la petite rousse et attira le torse de celle-ci contre le sien, tandis que Krum montait à genoux sur la table et s'emparait des hanches de la jeune Weasley. La jolie brune s'approcha de l'oreille de son amie.


« Creuse bien les reins ma mignonne ! »


Puis elle baîllonna Ginny de ses lèvres tandis que le gland de l'attrapeur pressait déjà son petit anneau. La petite rousse était assez étroite et le bulgare dut entrer en elle avec douceur, donnant des à coups, allant un peu plus loin à chaque fois. Ginny, haletante, se sépara des lèvres d'Hermione lorsque enfin le garçon fut pleinement en elle. La jolie brune la laissa respirer le temps des premières allées et venues de Krum dans son dos. Puis elle reprit ses baisers en envoyant une main vers l'antre secrète de son amie pour l'explorer de ses doigts habiles.

Ginny se sentait doucement défaillir. La douleur qu'elle avait d'abord ressentie dans ses reins était devenue un violent plaisir. Sa poitrine se frottant en cadence contre celle d'Hermione l'excitait presque autant que les doigts de cette dernière dans son intimité. Elle sentit la jouissance arriver et se mit à aller au devant des coups de boutoir avec acharnement. Très vite, elle poussa un cri rauque et s'effondra sur Hermione, épuisée. Cette dernière retira ses doigts et goûta le délicieux miel que la jeune Weasley y avait laissé. Krum se retira également et Ginny lui jeta un regard coquin.


« Apporte-moi nos baguettes, s'il te plaît. »


Le bulgare s'éxécuta tandis que la petite rousse se tournait souriante vers son amie.


« A ton tour maintenant ! »


Ginny s'assit au bord de la table et prit les baguettes transformant la sienne en gode à double extrémité. Elle en fit pénétrer une dans son intimité et invita Hermione du regard. Celle-ci ne se fit pas prier. La petite rousse la prit par les hanches et la positionna dos à elle, insinuant l'extrémité libre du gode entre les deux monts des merveilles. Lorsqu'elle le sentit près de son puit secret, Hermione s'assit brusquement et s'empala d'un seul coup sur le membre factice. Puis elle se mit à remuer de haut en bas, Ginny étant encore trop fatiguée pour agir.


« Bien, fit la petite rousse en prenant la baguette d'Hermione. Mais ce n'est pas tout à fait le même calibre que ton cavalier. Amplificatum ! »


Le gode gonfla d'un coup et la jolie brune laissa échapper un cri de surprise. Mais la jeune Weasley passait déjà à la suite en écartant les cuisses de sa camarade.


« A toi mon grand ! »


Krum prit un peu de temps pour regarder toute la beauté d'Hermione en pleine extase, puis il s'approcha du couple et enlaça sa cavalière. Son membre vint se frotter au plus précieux trésor de la jolie brune et il entra en elle pour leur plus grand plaisir.

Soutenue par le puissant bulgare, Hermione accéléra la cadence avec vigueur. Ginny s'accrocha à ses superbes seins pour tenir le rythme tandis que Krum n'était même pas essoufflé. La jolie brune ne contrôlait plus son corps. Il lui aurait été impossible de s'arrêter même si elle l'avait voulue. Mais de toute façon, elle ne souhaitait ça pour rien au monde. Elle embrassa son amant, jouissant autant de partager l'union de leurs langues que de celle de leurs sexes. Elle sentait le souffle chaud et rapide de Ginny sur sa nuque. La petite rousse était à nouveau aux portes de l'orgasme mais Hermione ne voulait plus la laisser aller toute seule. Elle serra ses cuisses autour de la taille de son cavalier et contracta tous les muscles de son bassin. Krum se sentit soudain prit dans le plus délicieux des étaux. Il ne ralentit pas ses coups de reins pour autant. La jolie brune continuait d'onduler ses hanches avec vigueur. Ginny lâcha finalement prise et s'affala sur la table, laissant son amie agiter seule le gode en elles.

Hermione n'en pouvait plus. La jouissance lui taraudait le bas ventre. Elle sentait La petite rousse également proche de l'extase. Krum lui semblait toujours tenir bon mais sa respiration s'accélérait de plus en plus et son étreinte se resserrait encore sur sa cavalière. Hermione s'agrippa à sa tête, n'ayant pas trop à le forcer pour qu'elle descende contre sa jeune poitrine. La bouche de l'attrapeur attrapa la pointe de l'un des seins et s'en délecta. La jolie brune le sentit enfin se raidir de tout son corps. Elle même n'en pouvait plus et relâcha enfin toute la tension qu'elle avait accumulé en attendant l'instant de partager sa jouissance avec son amant. Krum poussa un long râle de plaisir en se libérant dans le petit ventre d'Hermione qui elle-même se mordit les lèvres au même instant pour ne pas être entendu. Derrière elle, Ginny poussa un couinement de souris tout en se laissant également gagner par une vague de volupté.

Le trio resta allongé quelques minutes sur la table, se cajolant les uns les autres par des baisers et de tendres caresses. Puis ils se décidèrent à se rhabiller. Ginny fut la première à être prête, les deux autres ayant bien du mal à se lâcher suffisamment longtemps pour enfiler plus d'un vêtement à la minute. Elle décida de partir sans les attendre.


« J'espèrrrre qu'on se reverrra avant le bal ? Fit Krum.

_ Evidemment ! Mais pourquoi parler de se revoir alors que l'on ne s'est pas encore quitté ?

_ Eh bien il nous faut rrentrrrer. Toi à grrryffondorrr, moi au bateau.

_ Rien ne presse. Après tout, je t'ai testé comme cavalier mais pas encore comme monture.

_ Quoi ?

_ Allonge-toi ! »


Le bulgare n'en croyait pas ses oreilles. Il se demanda s'il n'était pas en train de rêver. Et comprit que ça n'avait pas la moindre importance lorsque Hermione mit à nouveau la jeune beauté de son corps à nue.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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