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INTRODUCTION

hp367Bienvenue dans le monde secret d'Harry Potter

 

Ce blog est dédié aux histoires érotiques, ou lemons, sur le monde d'Harry Potter. Les personnages et l'univers général appartiennent à J.K. Rowling. Seules les apports des auteurs sont à apporter à leurs crédits.

 

Ce blog n'a aucune vocation pécuniaire, il s'agit de laisser libre cours à l'imagination des auteurs et au respect de toutes les formes de sexualités. Tout le monde peut participer au développement du blog en envoyant une histoire à poudlardsecret@laposte.net.

 

Les commentaires dénigrant ou insultant seront supprimer sans sommation.

 

Merci et bonne lecture.

 

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Lundi 23 juillet 1 23 /07 /Juil 17:59
Première rentrée à Poudlard

Une aventure sexuelle de Harry Potter en première année

Avec : Lavande Brown, Parvati Patil







    Jamais de sa vie, Lavande Brown n'avait vu un hall aussi immense que celui de Poudlard. Il était si grand qu'elle en avait le vertige en regardant le plafond. Elle était entourée d'inconnus de son âge qui, eux aussi, regardaient les alentours avec étonnement. Mais même s'ils semblaient tous ressentir la même chose, Lavande n'était pas rassurée pour autant. Elle commençait sérieusement à regretter ses amies de son ancienne école. Aujourd'hui, entourée d'une foule de gens, elle était toute seule.

    Mais elle ne savait pas encore le pire. A peine arrivée dans la grande salle qui lui faisait aussi tourner la tête, elle fut appelée pour mettre le choixpeau magique devant les regards scrutateurs des professeurs et de tous les élèves rassemblés. Elle crut voir un groupe de garçon la regarder avec une attention particulière qui la mettait mal à l'aise. Elle s'assit, posa le chapeau sur la tête et fut envoyée à Gryffondor. En redonnant le chapeau à la directrice adjointe, qui n'avait pas particulièrement une tête sympathique, elle dut reprendre ses esprits quelques secondes avant d'être sûre de s'asseoir à la bonne table d'où elle ne bougea plus.

    Elle fut vite rejointe par plusieurs élèves de son âge, ses nouveaux camarades de classe, pensa-t-elle. Le repas lui redonna un peu de coeur au ventre mais elle ne prit pas beaucoup part aux discussions, se contentant surtout d'écouter les plus anciens leur donner des conseils. Lorsqu'ils eurent terminés, ils prirent des chemins inimaginables et Lavande était sûre qu'elle n'arriverait jamais à se retrouver dans les dédales du château.

    Enfin vint l'un des moments qu'elle redoutait, se retrouver seules avec les filles qui partageraient sa chambre pendant toute l'année scolaire. Très intimidée, Lavande se contenta d'une présentation sommaire de sa personne lorsque Hermione et Parvati l'eurent également fait. Les filles discutèrent un peu et Lavande se rassura. Elles avaient l'air sympathique finalement. Mais le voyage jusqu'à Poudlard les avait épuisées et elles décidèrent de se coucher au plus vite. Lavande était assez pudique et elle ne se résolut pas facilement à se déshabiller devant les autres. Toutefois, Hermione et Parvati n'étaient pas gênées le moins du monde et agissaient avec naturel. Elle se força donc un peu pour ne pas paraître distante mais enfila rapidement son pyjama. Puis elles se souhaitèrent bonne nuit et se couchèrent.

    Lavande ne trouva pas le sommeil. Certes, les filles semblaient gentilles et l'école était belle mais elle ne parvenait pas à effacer le sentiment de solitude qui faisait comme une boule dans son ventre. Des larmes s'échappèrent de ses yeux et elle étouffa des sanglots dans son oreiller. Par besoin d'oxygène, elle en laissa échapper malgré elle un ou deux assez sonores. Elle espérait n'avoir pas dérangé Hermione ou Parvati mais dût se rendre à l'évidence que ce n'était pas le cas en entendant des pas légers s'approcher de son lit. Lavande prit une grande inspiration, essuya ses yeux du revers de sa manche et se tourna. Parvati s'assit sur le lit et demanda à voix basse :

« Tout va bien ?
_ Oui. Excuse-moi, je ne voulais pas te réveiller.
_ Je ne dormais pas encore. Dis-moi ce qui t'arrive.
_ Non ce n'est rien. Laisse ! »

Parvati avança une main et caressa la joue de Lavande sur laquelle perlait encore une larme.

« Je n'ai pas l'impression que ce n'est rien. Vas-y raconte-moi.
_ Ce n'est pas grave. Je suis idiote. C'est que... j'ai un peu peur... d'être ici.
_ Tu n'es pas idiote. Moi aussi j'ai un peu peur. Et je suis sûre que si l'on réveillait Hermione, elle nous dirait la même chose.
_ C'est vrai ?
_ Oui. Moi je croyais que je serai avec ma soeur. On est jumelle, on est toujours ensemble. Mais elle a été à Serdaigle. On a beau être dans la même école, c'est la première fois qu'on est séparée ainsi. Alors tu vois, tu n'as pas de raison d'avoir honte. Je suis sûre que pleins de premières années vont plutôt mal dormir cette nuit.
_ Merci Parvati. Je suis désolée de t'avoir dérangé. »

Parvati lui caressa les cheveux avec douceur.

« Ne t'inquiète pas. En fait ça me fait du bien de parler un peu aussi. »

La jeune fille grelotta. Le froid dans la chambre se faisait plus intense et Parvati ne portait qu'une nuisette. Lavande le remarqua et repoussa ses couvertures.

« Viens. J'aimerai bien que tu restes encore un peu... sauf si tu veux retourner dans ton lit. »

Parvati se glissa rapidement à côté de Lavande et rabattit les couvertures.

« Non, je n'ai pas encore sommeil mais il fait vraiment trop froid pour ne pas accepter ce genre d'invitation. Je suis gelée. »

Lavande constata effectivement que Parvati tremblait un peu. Elle se colla un peu contre elle et l'entoura d'un bras.

« Je vais te réchauffer un peu, ma pauvre.
_ Pour ça, je suis toujours d'accord. »

    Parvati se colla beaucoup plus contre la mignonne et posa ses lèvres sur les siennes. Lavande resta tétanisée quelques secondes. Elle comprit en un éclair qu'elle était en train de savourer la tendresse des lèvres de Parvati et recula soudain.

« Qu'est-ce que... »

Lavande s'écarta de la jeune fille avec précipitation et faillit en tomber du lit.

« Mais qu'est-ce que tu fais ?
_ Quoi ? Tu... ce n'étais pas... une invitation...
_ A rester avec moi. Pas à... à...
_ Oh, excuse-moi, fit Parvati horrifiée. Je suis trop bête. C'est une habitude... avec ma soeur...
_ Ta soeur ? S'écria Lavande.
_ Chut ! »

Dans le lit en face, Hermione remua un peu mais ne se réveilla pas. Parvati reprit doucement.

« Oui. Avec ma soeur nous partageons beaucoup de choses et nous avons découvert beaucoup de choses ensemble. Mais ce n'est pas si grave enfin.
_ Tu... tu aimes les filles ? Demanda Lavande à voix basse.
_ Oui. Mais pas seulement. J'aime aussi beaucoup les garçons. Tu sais je... »

Parvati voulut mettre sa main sur l'épaule de Lavande mais celle-ci eut un autre mouvement de recul qui manqua à nouveau de la faire tomber.

« Calme-toi, Lavande ! Je n'ai jamais forcé personne pour ça. Je ne te ferai pas de mal. Je ne te ferai rien du tout même, si tu n'as pas envie.
_ Pardon. Je ne veux pas te vexer mais je trouve ça... bizarre.
_ Bizarre ? Tu t'es déjà posés des questions sur l'amour entre filles ? »

Lavande rougit jusqu'aux oreilles.

« Euh... non... pas vraiment.
_ Tu sais ça n'a rien d'exceptionnel. Des baisers, des caresses, pas grand chose de plus. Ce n'est rien de grave.
_ Et tu... tu voulais faire ça... avec moi ? »

    Parvati regarda ce que les couvertures de la jeune fille ne cachaient pas. Sa respiration faisait lentement monter et descendre une petite poitrine naissante qui se dessinait sous le haut du pyjama. Ses lèvres, légèrement entrouvertes, semblaient deux fruits bien mûrs qui demandaient que l'on goûte leur saveur. Même dans le noir, ses yeux semblaient briller comme une constellation d'étoiles.

« Je pense que tu serais rassurée si je te disais non, reprit Parvati, mais ce serait te mentir et je veux être franche avec toi. Tu es très belle Lavande. Et j'aurai aimé te montrer ce que c'était. J'ai adoré t'embrasser.
_ En fait… moi… moi aussi ! »

Parvati parut surprise. Lavande pensait bien que cela la chamboulerait un peu. Mais elle aussi avait l’intention d’être franche. Et elle devait l’admettre. Ce baiser lui avait plu.

« Ecoute ! Reprit-elle. C’est vrai que j’ai aimé ton baiser mais je ne sais pas encore ce que ça signifie. Je ne sais pas si… ça me fait vraiment envie… ou si c’est juste la peur qui me fait faire un peu n’importe quoi.
_ Tu as peur avec moi ?
_ Non, c’est vrai. Mais je suis un peu perdu. »

Parvati laissa à nouveau une main caresser les cheveux de la mignonne qui lui faisait face. Cette fois-ci, Lavande ne recula pas.

« Ce n’est pas grave, fit Parvati. »



La jeune fille allait pour se relever et rejoindre son lit mais Lavande attrapa son bras.

« Dis… tu… tu veux bien… recommencer ? … Juste le baiser… s’il te plaît.
_ Tu joues à un jeu dangereux ma belle, fit Parvati en se retournant. »

Lavande ne dit rien et se contenta de la regarder intensément. Du reste, Parvati n’attendait aucune réponse et prit doucement les lèvres de sa jolie compagne. Lavande, cette fois-ci, répondit au baiser et apprécia pleinement l’agréable trouble de l’esprit que cela lui procurait. Elle ne pouvait nier qu’elle aimait ça, elle en était maintenant sûre. Elle sentit une main glisser lentement sur le fin tissu de son pyjama, partant de son épaule pour s’arrêter sur son petit sein. Lavande frémit mais ne la retira pas. Parvati glissa sa bouche vers l’oreille de sa gracieuse partenaire.

« Je ne te ferai jamais rien que tu ne veuilles pas faire, murmura-t-elle dans un souffle. Tu n’as qu’à me dire quand m’arrêter. A n’importe quel moment. Je n’irai pas plus loin que là où tu le souhaites. »

Lavande ne bougea pas. Elle attendit simplement que les lèvres de sa belle camarade viennent se poser à nouveau sur les siennes. Parvati passa sa main sous le petit haut du pyjama. Elle remonta doucement sur la taille fine et la peau satinée de la jeune fille jusqu’à s’emparer de la petite colline qu’elle venait à peine de quitter. Ses doigts cajoleurs caressèrent le tendre sommet érigé avec mille attentions. Avec douceur, elle glissa sa langue habile entre les lèvres de la jeune ingénue qui n’y opposa aucune résistance. Son autre main avait reprit ses caresses dans les longs accroche-cœurs de Lavande qui gisaient sur son oreiller.

    Jamais Parvati ne brusqua ses mouvements. Jamais elle ne parut pressée ou impatiente. Chacun de ses gestes était calculé, millimétré pour que Lavande en apprécie le moindre contact. Parvati enleva la barrière de vêtement qui recouvrait le torse de l’objet de ses désir. Sa bouche gourmande mais réfléchie s’empara du petit sein jusqu’ici oublié tandis que sa main massait toujours l’autre avec douceur. Mais cette dernière avait un autre but. Lentement, elle glissa sur l’arrondi à peine éclos et descendit peu à peu sur le ventre plat et tendre de Lavande qui, bien qu’encore peu connaisseuse de ce genre de choses, avait déjà deviné l’objectif final des doigts attentionnés. Ils passèrent en effet sous l’élastique du pantalon mais s’arrêtèrent aussitôt. Parvati savait que ce moment était crucial. Le moindre empressement pouvait complètement braquer la mignonne encore indécise. Du geste suivant dépendrait tout le reste de la nuit.

    Parvati libéra le petit sein et releva la tête. Elle plongea son regard dans celui mêlé de crainte et d’envie de Lavande. Elle se contenta de la regarder avec douceur. Pour toute réponse, la petite novice entoura son amante de ses bras et l’attira contre elle, impatiente de goûter sa langue à nouveau. Parvati laissa alors sa main descendre et effleurer le tendre sanctuaire de Lavande. Elle trouva le petit bouton d’amour de la belle et se mit à l’agacer par de petites cajoleries du bout des doigts. Elle sentait les dernières défenses de Lavande fondre comme neige au soleil. Parvati fut heureuse lorsque les mains de sa nouvelle compagne se posèrent sur ses cuisses, juste sous la limite de sa nuisette. Puis elles remontèrent lentement vers les petites fesses. L’exploration des douces collines de chair tendre fit frémir Lavande. Ou peut être était-ce les doigts habiles de son amante qui venaient de commencer une exploration plus profonde de son plus précieux trésor.

    Lavande laissa également ses phalanges s’aventurer dans les recoins de chair de sa nouvelle amie. Elle passa sur le bord des cuisses pour rejoindre l’entrejambe délicat de Parvati. Ses doigts s’amusèrent avec la douce élasticité des lèvres inférieures. Puis, après de lentes recherches, elle découvrit le clitoris de la belle. Parvati laissa échapper un petit gémissement de ses lèvres collées à celles de Lavande. Peut être que cette dernière n’y connaissait rien au sexe, elle était néanmoins douée.

    Parvati se laissa un peu de temps pour apprécier les savoureuses caresses de sa camarade avant de passer à la suite de son programme. Au grand dépit de Lavande, elle brisa le contact de leurs lèvres et retira sa main de sous le pantalon. Elle se redressa, à genoux sur le lit, au-dessus de son amante et retira sa nuisette.

« Tu es vraiment belle, ne put s’empêcher de dire Lavande. »

Parvati lui sourit puis recula pour se retrouver au pied du lit. Là, elle tira vivement sur le pantalon de pyjama et révéla enfin sa conquête dans toute sa splendeur. La jeune ingénue semblait gênée de se retrouver ainsi nue. Parvati savait qu’un vêtement ou un drap pouvait rassurer certaines personnes. Lavande venait à peine de prendre conscience de la situation dans laquelle elle avait été un peu traînée malgré tout. Elle semblait lutter contre une envie de rabattre son drap sur elle et de démontrer à sa camarade qu’elle n’était pas aussi timorée qu’elle avait pu le laisser croire plus tôt. Mais Parvati reprit l’initiative et la jeune novice se félicita intérieurement de n’avoir pas toucher à ce fichu drap lorsqu’elle sentit le baiser de son amante sur son bouton d’amour. Parvati releva légèrement la tête.

« Tu as un nom de fleur et tu en as l’odeur, ma mignonne. Il ne me reste plus qu’à te goûter. »

Lavande ne comprit pas tout de suite ce qu’elle voulait dire mais elle oublia complètement les mots et leur sens lorsque la langue de sa belle s’introduisit en douceur dans son joli coquillage. Elle se mordit les lèvres pour ne pas gémir sous le plaisir intense que lui procurait la gourmandise de Parvati. Elle se détendit peu à peu et ouvrit un peu plus ses cuisses pour signifier à sa charmante partenaire de ne plus hésiter en quoi que ce soit.

    Justement, Parvati avait une idée derrière la tête. Elle appréciait pleinement de donner du plaisir à Lavande, mais elle sentait bien que cela ne lui suffirait jamais.

« S’il te plaît, tu veux bien… »

Lavande comprit très bien ce que souhaitais sa camarade. Un instant de panique se lut dans ses yeux. Elle n’avait jamais fait ça auparavant. Mais elle ne voulait pas se soustraire à la demande de Parvati qui étalait déjà ses jambes vers la tête du lit. Elle avait ressenti tellement de sensations nouvelles grâce à sa douceur qu’elle voulait aussi lui donner du plaisir. Lavande écarta les cuisses de la belle et se pencha vers la tendre intimité sans plus hésiter. Elle sentait la langue de Parvati reprendre son délicieux manège et tenta de l’imiter, s’attardant précautionneusement sur les endroits où elle aimait être elle-même touchée.

    Rapidement, son amante frémit à son tour pour le plus grand contentement de Lavande qui découvrit à quel point sentir le corps de sa douce s’emplir de plaisir lui procurait également plus de jouissance. Elle se fit d’autant plus active, savourant le doux miel dont regorgeait la féminité de Parvati. Celle-ci se sentit perdre pied sous les merveilleux assauts de sa fleur si mignonne. Emportée par le plaisir, elle se rendit à peine compte que c’était maintenant Lavande qui menait le bal. Et avec quel brio. Parvati avait bien du mal à retenir ses gémissements de plaisir et elle devait enfuir sa bouche tout contre le trésor intime de sa belle pour en étouffer certains.

    Dans cet état, il ne lui fallut pas attendre bien longtemps avant que l’orgasme ne l’emporte. Lavande le ressentit dans son corps presque aussi intensément que sa partenaire, ce qui l’amena aussitôt à sa propre jouissance. Elle roula sur le côté, essoufflée. Parvati la rejoignit dans le bon sens et passa ses bras autour d’elle. Lavande ne réussit qu’à prononcer un seul mot :

« Merci !
_ De rien ma beauté. Tout le plaisir était pour moi.
_ J’en doute. »

Parvati tira les draps et couvertures sur elles. Epuisées, elle s’endormirent sans demander leur reste.

    Le lendemain matin, Parvati s’éveilla de bonne heure. Il était encore très tôt, il lui semblait que le soleil se levait à peine. Elle comprit soudain qu’elle était restée toute la nuit avec Lavande. Elle se releva pour gagner son lit avant que Hermione ne se réveille. Mais il était déjà trop tard. Elle était en pyjama debout à côté du lit et les regardait avec un sourire.

« Je vois que vous avez fait connaissance toutes les deux.
_ Euh… oui… mais…
_ Ce n’est pas ce que je crois, sans doute ? »

La conversation tira Lavande des bras de Morphée. Elle poussa un petit cri en voyant Hermione.

« Attends, c’est… c’est parce que j’étais triste hier soir. Parvati est juste venue me consoler, il ne c’est rien passé d’autre. »

Hermione regarda ostensiblement le pyjama et la nuisette en boules au pied du lit. Lavande ne savait plus où se mettre.

« Bon, calme-toi Lavande, ce n’est rien. Et puis moi aussi j’aimerai mieux vous connaître. »

Hermione enleva rapidement son pyjama, révélant son corps superbe, et s’approcha à quatre pattes de Lavande pour la réconforter d’un long baiser sur ses lèvres.
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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Mardi 15 mai 2 15 /05 /Mai 16:53
Encore un petit mot, vraiment rapide cette fois, étant donné qu'il n'est plus besoin de présenter Bibi-chan et sa merveilleuse fiction. Juste une précision donc, elle a elle-même fournit les illustrations pour son histoire. Merci encore à elle et bonne lecture.

Contribution de Bibi-chan
Nymphésis : sex toy part 2

 

WARNING!!



Je vous rappelle que tous rapports anaux (merci de penser à utiliser la VASELINE et de ne pas faire comme les PORNOS), buccaux (pour le cunnilingus, il existe la digue dentaire, qui est un bout de latex prévu en conséquence, sinon, employez un bout de préservatif en l'étirant), ou vaginaux sans protection sont des rapports à RISQUE! N'imitez donc pas les protagonistes de cette histoire qui ont un comportement des plus dangereux.

Mais heureusement pour nous, ceci est une fiction.

A part ça, enjoy et n'oubliez pas: La capote est votre meilleure copine ! ^-^

 

 

Hermione revenait de la salle de bain après avoir tenté de calmer l’appétence de ses sens avec une douche bien froide. Avant de se glisser dans la chaleur de ses draps, elle avait revêtu son éternel pyjama en coton blanc, version jeune femme célibataire depuis trop longtemps, sur lequel étaient imprimés de fiers petits lapins roses gambadant parmi les fleurs. Comme tous les samedis soir, elle allait bien entendu s’adonner à sa très attendue caresse hebdomadaire en solitaire, mais elle décida de parachever la masturbation de son esprit – déjà fortement stimulé par les visions qu’elle avait eues – en continuant la lecture d’un livre récemment acquis, intitulé “Nymphésis, Sex Toy”. L’action de ce dernier se déroulait au cœur d’un monde gouverné par les femmes, où les hommes étaient réduits à l’état de simples reproducteurs et jouets sexuels pour ces dames. Notre jolie Gryffondor s’identifiait d’ailleurs totalement à l’héroïne de ce roman : Nymphe, jeune Impératrice de dix-sept ans. Nymphésis était le nom attribué au favori de celle-ci – place très convoitée par les mâles puisque ce statut privilégié leur permettait de bénéficier de nombreux avantages. Son dernier préféré s’étant fait trop paresseux à son goût, Nymphe avait décidé d’en changer et était allée à Jouetclub’s Marché afin de s’en procurer un tout neuf. Hésitante entre deux jouvenceaux d’une époustouflante beauté, respectivement prénommés Dan et Tom, elle avait fini par tous deux les acheter et s’était empressée de retourner au palais en vue de les tester un par un. Car nul ne pouvait prétendre au titre de favori avant d’avoir fait ses preuves auprès de la souveraine.

 

   Cette œuvre, très inspirée, avait été écrite par une certaine Bibi Tchane – encore un nom à coucher dans la cabane hurlante me direz-vous –, piètre auteur plus connue pour ses scènes cochonceteuses que pour ses intrigues débordantes d’originalité. Mais cela importait peu à notre mignonne Rouge et Or, qui adorait littéralement ses écrits pour tous les détails fournis quant aux ébats charnels entre les divers protagonistes. Elle était d’ailleurs rendue à un passage des plus émoustillants, qui décrivait ledit Tom en train de faire passionnément et sauvagement l’amour à sa belle dans toutes les positions inimaginables, démontrant ainsi ses excellentes qualités d’amant. Qui plus est, ce dernier ayant étrangement les caractéristiques physiques d’un certain Malefoy, elle commençait sérieusement à se représenter l’action en imaginant ce cher Serpentard la posséder de la même façon que le jeune premier du livre précité.

 

Malefoy…Sex Toy…, songea-t-elle.

 

Tiens, ça rime !

 

   Elle quitta des yeux un instant sa bible sexuelle pour se remémorer la torride scène qu’elle avait pu voir un peu plus tôt. Bon sang, d’après les gémissements de la Poufsouffle, se faire monter par le Vert et Argent devait être une sacrée partie de plaisir ! D’autant qu’elle n’avait jamais testé une autre position que celle du matelas-vivant, plus communément appelée “missionnaire”, tandis que celle à quatre pattes lui semblait beaucoup plus intéressante ! Elle repensa alors à son amie Ginny qui, tout comme elle, avait paru des plus frustrées ces derniers temps pour soudainement afficher en début de semaine une mine rêveuse et satisfaite. A ce changement, elle avait prétexté avoir simplement passé une excellente soirée à jouer aux Dominos en toute innocence avec Harry et Drago, qui-passait-par-là-comme-par-hasard-et-aurait-eu-une-subite-fascination-pour-ce-jeu-Moldus, selon elle.

 

Ouais, c’est ça…Je suis sûre que tu as dû sacrément t’amuser à les enchaîner les Dominos ! se dit-elle, légèrement vexée.

 

   A quoi servait une amie si elle n’était pas fichue de vous indiquer les bons plans ?! Elle aurait pu au moins lui avouer que leur ami commun savait se rendre profondément utile auprès de la gent féminine aux vues de ses naturelles dispositions ! Et surtout : que l’autre serpent à sonnettes savait apparemment très bien manier son corps de reptile – de la tête à la queue – pour se mouvoir avec autant d’aisance et faire ainsi prendre son pied à une petite chanceuse, comme elle-même n’avait jamais encore joui ! Certes, elle n’avait cessé de clamer à ses amis qu’elle le détestait afin de les rejoindre dans leurs opinions de parfaits Gryffondors, mais c’était pour mieux dissimuler ce qui la rongeait en réalité intérieurement. Car la demoiselle était contaminée par une étrange maladie qui se révélait extrêmement contagieuse dès l’âge de la puberté atteint : l’irrésistible inclination pour les sexy mauvais garçons ; Malefoy étant l’incarnation même de cet archétype, d’après elle. Il était évidemment hors de question de révéler ce penchant à ses acolytes, qui y auraient vu là folie pure et traîtrise hormonale. Cependant, la récente découverte de la complicité sexuelle qu’entretenait Harry avec son ennemi, conjuguée à sa certitude que Ginny s’était envoyé dernièrement le beau Serpy, lui faisait à présent songer à réviser sérieusement sa position. Pourquoi resterait-elle dans l’ignorance du plaisir, quand ledit Bad Boy semblait tout à fait prêt à lui donner ce qu’elle souhaitait ?

 

Quelle conne ! J’aurais dû essayer de me le faire bien avant !

 

   Un bruit mat vint tout à coup la sortir de ses libidineuses pensées. Elle tourna donc la tête vers la provenance de ce son et son cœur bondit dans sa poitrine en découvrant l’objet de ses refoulées envies à sa fenêtre, chevauchant crânement son balai dans les airs et arborant un sourire malicieux.

 

« Malefoy ? » murmura-t-elle, les yeux écarquillés de surprise, en reposant son livre sur le lit.

 

   Curieuse de connaître la raison de sa venue, Hermione ne se fit pas prier pour aller ouvrir la fenêtre et vit le Serpentard s’engouffrer immédiatement dans la pièce sans même attendre d’y être invité.

 

« Fais comme chez toi ! lança-t-elle sarcastiquement, pour marquer son impolitesse, en notant la douce fragrance qu’il avait laissée en passant devant elle.

 

— Merci, c’est bien ce que je compte faire ! répondit-il sur un ton identique, en posant son balai sur le bureau.

 

— Pardon ?! »

 

   Elle n’eut pas le temps d’ajouter quoi que ce soit qu’il avait déjà sorti sa baguette de la poche arrière de son pantalon noir et jeté un sort d’insonorisation, pour ensuite sceller porte et fenêtre d’une autre formule magique. Puis il plongea ses iris pétillants de concupiscence dans ceux étonnés de la jeune fille et dit avec facétie :

 

« Potter m’a confié que tes camarades de chambre n’étaient jamais là le samedi soir… Alors j’ai pensé que tu avais peut-être besoin de compagnie ? »

 

   Déconcertée, elle hésita quelques secondes avant de répliquer :

 

« Ta Poufsouffle t’a laissé en plan pour que tu viennes me voir, ou quoi ? Tu es encore en manque ?!

 

— Elle est toujours là-bas si tu veux tout savoir, rétorqua-t-il avec espièglerie en s’avançant vers elle. D’ailleurs, je devrais être en train d’attaquer le second round, mais… »

 

   Arrivé à seulement un mètre de l’adolescente, il ferma soudainement les paupières et se mit à renifler, comme s’il humait avec délice une senteur qui semblait enchanter ses papilles olfactives.

 

« Cette odeur…, reprit-il avant de la fixer de nouveau avec intensité, en souriant de plus bel. Dis-moi Granger, qu’est-ce qui t’a mis dans un tel état d’excitation pour que je puisse sentir ta cyprine d’ici ?

 

— Quoi ?! s’exclama-t-elle, les joues rougissantes.

 

— Elle est légèrement masquée par le parfum du savon que tu as utilisé pour te laver, mais s’il y a une chose que je sais pertinemment reconnaître chez une femme, c’est bien cette odeur qui trahit l’effervescence de son corps. »

 

   Drago continua de s’approcher de la demoiselle et s’arrêta à quelques centimètres de son visage, appréciant la confusion qui s’était nichée au sein de ses prunelles. Puis il lui caressa doucement la joue du revers de la main et lui chuchota suavement à l’oreille :

 

« Les notes fruitées de ton essence sexuelle me rappelle cet aphrodisiaque qu’est la vanille, ce qui la rend particulièrement stimulante… J’ai sincèrement hâte de la goûter. »

 

   Il n’en fallut pas davantage à la jouvencelle pour éprouver instantanément une fugace sensation de chaleur dans le bas-ventre, aussi extatique que l’était le fait de s’imaginer la langue du jeune homme effleurer avec langueur les nymphes de son intimité. Aucun de ses abrutis d’anciens petits amis n’avait daigné la gratifier de cette douceur qui semblait pourtant être une des meilleures ! Pourquoi irait-elle donc se faire violence en refusant une telle proposition de sa part ?!

 

« Heureusement que je n’ai pas encore perdu l’usage et l’adresse de ma langue comme tu sembles avoir perdu la tienne en ce moment, Granger. »

 

   La seconde suivante, la concernée hoqueta brusquement de surprise en sentant le Serpentard empoigner fermement ses fesses pour la soulever et l’inciter à entourer sa taille masculine de ses fines jambes. Instinctivement, elle passa ses bras autour de son cou et se laissa porter ainsi jusqu’au mur, sans mot dire.

 

« De quelle manière veux-tu que je te fasse l’amour, ma belle ? demanda-t-il d’un ton diablement sensuel. As-tu envie que je te prenne de la sorte, plaquée contre ce mur ? Souhaites-tu expérimenter toutes les positions que tes Trolls d’ex-amants ne t’ont jamais fait découvrir ? »

 

   A ces mots, une deuxième vague exaltée réchauffa sur-le-champ le creux de ses reins, achevant de semer le trouble et l’avide besoin de rapports charnels au plus profond de son être. Elle réussit néanmoins à articuler :

 

« Comment…

 

— Certaines filles m’ont fait quelques confidences sur l’oreiller, après avoir partagé la couche des idiots avec lesquels tu as toi-même couché, la coupa-t-il en la regardant d’un air mutin. Fais-moi plaisir et rends-toi service la prochaine fois que tes hormones te travailleront : viens me voir au lieu de t’envoyer des dégénérés congénitaux ! Tu ne peux pas savoir à quel point je serai enchanté de te combler ! »

 

   Pour ajuster le geste à la parole, le blondinet commença à l’embrasser lascivement dans le cou, avant de débuter quelques légers coups de reins pour simuler l’acte sexuel tout en la maintenant habilement pressée contre lui. La réaction de l’adolescente ne se fit pas attendre, puisqu’elle enfonça ses doigts dans le pull bleu du garçon et enserra un peu plus ses cuisses autour de son corps, pour laisser ensuite un soupir de béatitude s’échapper de ses lèvres rebondies.

 

« Alors dis-moi…, lui susurra-t-il. Qu’est-ce qui a pu susciter ton humidité avant que je ne n’arrive ? As-tu repensé à ce que tu avais vu ce soir ? T’es-tu imaginée à la place de cette fille ? demanda-t-il d’une voix empreinte de désir, en lui suçant le lobe de l’oreille. As-tu fantasmé sur l’idée de te faire caresser par Potter et moi, en même temps ? Aimerais-tu que nous te fassions l’amour l’un après l’autre ? »

 

   La jeune fille restait muette à l’énoncé de ces paroles érotiques, mais son souffle se fit plus saccadé et ses joues s’enflammèrent littéralement. Voyant cela, Drago décida d’intensifier son exaltation manifeste en déposant quelques doux baisers sur son visage, tout en poursuivant malicieusement :

 

« T’es-tu représenté nos corps perlant de la sueur du plaisir blottis contre le tien dans une étreinte enfiévrée ? Souhaites-tu sentir nos sexes s’enfoncer au plus profond de ton ventre avec passion pour te mener à l’orgasme ? »

 

   Puis il marqua une courte pause avant de plonger ses yeux dans les siens et conclure dans un murmure sexuellement envoûtant :

 

« As-tu maintenant envie que je te fasse jouir en te faisant l’amour ? »

 

   Pour seule réponse, elle acquiesça de la tête entre deux halètements discrets et apprécia le délice de percevoir enfin sa langue masculine se glisser entre ses lèvres, pour s’entremêler à la sienne.

 

   Merlin que le changement de programme pour la soirée semblait réellement bien s’annoncer !

 

   Impatient de passer à l'action, le Serpentard se dirigea vers le lit sans quitter la bouche de sa conquête et l'y déposa délicatement. Puis il remit sa baguette dans sa poche et s'allongea pleinement sur elle tout en approfondissant le baiser, alors qu'elle glissait ses paumes sous son pull afin de toucher sa peau nue. Au bout d'une minute, il se redressa sur ses avant-bras et lui lança un regard brûlant de convoitise, avant d'ôter brusquement et sans préavis son bas de pyjama de même que sa petite lingerie. Surprise et un peu gênée, la Gryffondor replia les jambes sur sa féminité ainsi dévoilée, tandis que le garçon esquissait un sourire de satisfaction et se délectait de la vue d'ensemble en se tenant debout devant elle. Ne voulant pas perdre de temps, il jeta les vêtements à terre et se débarrassa de son propre haut pour l'envoyer les rejoindre, permettant à la demoiselle de priser à loisir son torse presque imberbe et finement athlétique. Arborant un air coquin et prédateur, il s'agenouilla ensuite sur la couche aux pieds de sa mignonne et faufila une main entre ses cuisses pour effleurer le coeur de cet Eden voluptueux qui le conduirait bientôt à la jouissance. Doucement, il insinua un doigt dans les profondeurs de cette érotique contrée et déposa une tendre caresse sur son mollet afin de la détendre, lorsqu'il la perçut se contracter de l'intérieur. Chose réussie, il entreprit quelques va-et-vient au sein de son humide exiguïté et la vit fermer les paupières de plaisir quand il immisça un deuxième doigt en elle, tout en conservant un mouvement oscillatoire.

 

Merlin ! Elle dégage une de ces chaleurs ! pensa-t-il, se languissant d’avance de mettre une toute autre partie de son anatomie à cet endroit.

 


   Plus il prolongeait ce début de préliminaires, plus le nectaire de cette belle plante sécrétait ce liquide bien particulier qui avait le don de l’exciter démesurément lors de ses autres rapports sexuels. Il adorait toucher, humer, déguster la cyprine de toutes ses amantes qui se révélait être si différente et propre à chacune. Qui plus est, l’exquise odeur de celle de son actuelle partenaire était à elle seule la promesse d’un délicieux cunnilingus. Il retira son affectueuse main de l’accueillante intimité et fixa avec espièglerie la demoiselle qui avait rouvert les yeux. Il contempla ensuite avec envie la substance féminine répandue sur ses doigts, avant de les mettre dans sa bouche et de les faire lentement glisser entre ses lèvres masculines.

 

« Je savais que tu avais bon goût. » ronronna-t-il en souriant.

 

   Franchement, que voudriez-vous répondre à cela ?

 

   Les joues empourprées d’un léger embarras, Hermione ne sut que dire après le geste terriblement sensuel du garçon et ne se contenta que de le regarder avec fascination. N’étant absolument pas habituée à ce genre de choses, elle devait bien reconnaître que l’audace et l’érotisme aguicheur dont il faisait preuve la décontenançait un peu. Néanmoins, cela avait l’avantage d’accroître sa concupiscence et d’exacerber cet étrange besoin de se faire remplir, de combler cette soudaine sensation de vide apparue en son intérieur. Elle le vit ensuite placer son visage à l’entrée de son corps et sentit sa langue effleurer précautionneusement les portes de son privé fruitier, avant d’en franchir le seuil pour en apprécier les premières allées. Nul doute que le jeune homme devait être un jardinier hors pair étant donné sa dextérité à cultiver le plaisir au sein de son petit rosier.

 

   Après avoir langoureusement effleuré son petit point d’amour, Drago entreprit de s’insinuer le plus loin possible dans cette fleur en se régalant de son miel abondant, donnant véritablement l’impression à l’enchantée que ce dernier devait être des plus succulents. De manière instinctive, elle souleva donc son bassin et le colla contre la bouche de son amant, afin que sa langue bienfaitrice puisse visiter les plus reculées parois de son étroitesse. Et lorsqu’elle perçut ses lèvres emprisonner les nymphes de sa féminité, en effectuant silencieusement une délicate succion pour récupérer un peu plus de son nectar, elle sursauta faiblement de surprise mêlée au délice que lui procura cette nouvelle sensation. C’était à la fois plaisant et diablement enivrant que d’avoir le sentiment d’être à ce point savoureuse.

 

   Une fois rassasié du mets de la jeune fille – le meilleur qu’il n’ait jamais eu à estimer jusqu’à maintenant, il remonta à sa hauteur et se blottit doucement contre elle. Puis il prit appui sur son avant-bras et plongea ses envieuses prunelles dans celles troublées de la jouvencelle, avant de redessiner les contours de ses fines lèvres d’une main empreinte de légèreté. Sans détourner ses yeux des siens, il laissa deux doigts malicieux pénétrer sa petite bouche et débuta un voluptueux va-et-vient, en affichant un sourire coquin quand il la vit se plier à son jeu et sucer ces deux corps étrangers d’une si prometteuse habileté. Il ne lui restait plus qu’à espérer qu’elle accepterait d’en faire de même avec sa virilité parfaitement éveillée, qui manifestait d’ailleurs durement sa curiosité de rencontrer ces deux chaleurs humides que ses doigts avaient déjà eu la chance de visiter. L’instant suivant, il retira ces derniers pour les glisser sous le haut de pyjama – peu affriolant – de sa jolie conquête et engloba d’une paume gourmande un de ses seins. Rond et ferme, il s’engoua immédiatement de cet appétissant trésor, merveilleux symbole de l’érotisme féminin, qui contrastait assez drôlement avec les petits lapins enfantins imprimés sur la tenue qu’elle portait nuitamment. Il commença alors à flatter sans retenue cette courbe, qu’il comptait bien suçoter jusqu’à l’ivresse ultérieurement, et se pencha pour embrasser avec passion la Gryffondor. Il lui faisait déjà l’amour à travers ce long baiser, cherchant continuellement à s’immiscer au plus profond d’elle-même, leur langue se câlinant généreusement l’une et l’autre tandis que leurs soupirs d’aise se rendaient un écho mutuel.

 

« Tu as le goût de ma cyprine… » murmura-t-elle d’une voix émue par l’excitation.

 

   Le Serpentard répondit à sa constatation par un franc sourire, rehaussé d’un regard empreint d’un étincelant et amoureux désir. Puis, sans mot dire, il alla assouvir l’appétence grandissante de ses iris en admirant premièrement la poitrine de la séduisante, pour combler deuxièmement sa bouche masculine en tétant avec finesse, et chacune à leur tour, les minces extrémités de ces deux pommes d’amour. Il se félicita ensuite de la réussite de ces attouchements, puisque la ravissante brune témoigna de son contentement en passant une main caressante sur son dos mis à nu et dans sa blonde chevelure. Enfin, il lui fit comprendre d’un regard animé par l’avidité qu’il souhaitait lui aussi bénéficier de ses lascives faveurs.    

 

   Hermione saisit parfaitement le sous-entendu de son œillade et l’incita à se coucher sur le lit afin de s’occuper de lui. Lentement, elle défit son pantalon pour l’abaisser avec son caleçon et observa quelques secondes la turgescence de ce qui devait être, sans l’ombre d’un soupçon, la fierté personnelle du garçon. D’ordinaire et même si elle se plaisait pourtant à la satisfaire, la Rouge et Or ne trouvait pas que la virilité d’un homme puisse posséder les attributs de la beauté, mais forcée d’admettre que celle-ci était on ne peut plus charmante. D’une taille respectable aux lignes délectables, elle avait en plus l’avantage de ne pas être affublée d’une épineuse et affreuse broussaille à la base, dont la senteur était parfois des moins appréciables. Ainsi, cette discrète pilosité d’un blond impérial ne gâchait pas le paysage et l’observation des moins sages que la jeune fille enhardie était en train d’oser. Elle était presque en admiration devant les deux petites rondeurs bien enveloppées par une peau à la visible fermeté, qui ornaient merveilleusement la queue du serpent, quand d’autres les avaient déjà aussi pendantes que les boucles d’oreilles de sa grand-mère. Certains les avaient d’ailleurs si relâchées au même âge, qu’ils auraient pu rivaliser avec les emballages privés, flasques et détendus, des papys aussi vieux que Dumby.

 

   Enthousiasmée par la grâce de l’assemblage, elle s’empara du membre majestueux et s’humecta les lèvres avant de les poser sur l’arrondi de ce dernier. Doucement, elle insinua l’objet de sa convoitise dans le creux chaleureux de sa bouche et se plut à le lécher comme la meilleure des gourmandises. Pendant plusieurs minutes, elle s’appliqua à faire de soignées allées et venues sur l’organe tendu, en accordant harmonieusement les oscillations de sa tête et de sa main, sans omettre de gratifier les deux petits et ronds joyaux de quelques caresses. Puis, encouragée par le souffle plus saccadé de son partenaire, conjugué à la tendre manière dont il lui effleura la nuque, elle alterna ses mouvements en suçotant doucement la pointe de sa masculinité, pour ensuite passer une langue audacieuse et humide sur toute sa longueur. Mais alors qu’elle le percevait se durcir davantage, Drago lui fit soudainement signe de stopper ses élans. Surprise, elle se redressa et l’interrogea du regard.

 

« Je vais…éjaculer… » dit-il avec peine, la voix enrouée par le plaisir et les joues finement rosies.

 

   Il la vit à cet instant esquisser un timide sourire de satisfaction, heureuse que ses petites attentions buccales lui aient fait à ce point de l’effet. La réaction de la Gryffondor, ainsi que la sienne, le motivèrent plus encore à passer à l’acte. Ses reins étaient en feu et il se savait incapable de lutter contre le besoin immodéré de la posséder sur-le-champ. Avec adresse et célérité, le blondinet enleva donc les dernières barrières vestimentaires qui faisaient obstacle à leur complète nudité et se pressa allègrement contre le corps chaud de sa compagne. Il lui écarta les cuisses avec sensibilité pour s’y engager et partagea avec elle un baiser enfiévré tandis que, d’une main, il guidait sa virilité jusqu’à la voluptueuse lisière de son exiguïté. Se sachant bien placé, il se disposa ensuite un peu mieux en prenant appui sur ses bras et plongea ses prunelles enflammées dans celles de la demoiselle avant de s’immiscer enfin dans la chaleur de son intimité.

 

   Malefoy entreprit de la pénétrer d’un premier coup de reins délicat et ne put réprimer un soupir de bien-être, lorsqu’il perçut les parois de sa petitesse féminine s’éclorent à son passage et sa tiède cyprine l’entourer. Quand d’un second mouvement de hanches il s’enfonça entièrement dans ce paradis charnel, il ferma les yeux et lâcha un bref gémissement sous l’extase de cette union. Il se blottit alors dans les bras de la jeune fille, appréciant le velouté de sa poitrine sur la peau de son torse, et réfugia son visage dans le creux de son cou. Puis il renouvela ses va-et-vient d’une infinie douceur et de façon régulière, tout en prenant soin de s’insinuer en profondeur. Dès lors, il la sentit mettre ses paumes sur son fessier pour intensifier son action et ce fut avec plaisir qu’il exauça sa requête silencieuse, excité comme jamais par la respiration de son amante qui se faisait plus prononcée à chacune de ses immixtions.   

 

   Cependant, il réalisa que la Rouge et Or en souhaitait davantage, quand elle entoura sa taille de ses jambes et releva tant qu’elle le put son propre bassin afin de parfaire leur fusion. Elle le voulait plus présent, désirait que sa masculinité vienne rencontrer les régions les plus éloignées de son intérieur et que ses poussées se fassent plus vigoureuses, encore et encore. La discontinuité de son souffle et les intimes resserrements qu’elle effectuait presque inconsciemment autour de l’organe du garçon, témoignaient amplement et à eux seuls de son actuel ressenti. Mais la moiteur de leur corps, la chaleur du sanctuaire de l’adolescente dont les cloisons ne cessaient de se rétrécir, ajoutés au bruit érotique émis par les fougueuses oscillations qu’il accomplissait en se mêlant sans se lasser à son humidité, menaçaient réellement de le faire venir en peu de temps. Et s’il y avait une chose à laquelle il aspirait plus que tout, c’était bien de la combler dans tous les sens du terme avant d’atteindre lui-même l’orgasme.

 

   Question de fierté malefoynienne.

 

   Eprouvant la jouissance imminente, Drago s’arrêta à regret, quelque peu essoufflé, et caressa amoureusement les joues roses de sa conquête avant de l’embrasser passionnément. Là, il se rappela que lorsqu’elle l’avait surpris un peu plus tôt dans ses appartements en coquine compagnie, ses iris avaient trahi un grand intérêt pour la position dite de “La Levrette”, qu’il s’était plu à exécuter avec la petite Poufsouffle. Il adorait également cette posture pour la vue plongeante et non négligeable qu’elle offrait, de même que la possibilité de s’introduire au sein d’une jeune femme dans l’intégralité la plus délicieuse. Convaincu par cette idée, il l’amena à se retourner sur le ventre et s’agenouilla entre ses cuisses, pour ensuite saisir avec précaution son joli bassin et le remonter à hauteur du sien. De par cet accord muet qu’elle exprimait en se laissant ainsi faire entre ses mains, il se réjouit un peu plus d’avoir su discerner ses envies et décida de la contenter avec toute son ardeur.

 

   Empoignant tout d’abord avec fermeté les hanches de la Gryffondor, le Vert et Argent se glissa d’un vif coup de reins au plus profond de son temple luxurieux, arrachant de ce fait à sa belle un extatique gémissement. Il perçut juste après son Eden orgastique s’étrécir immédiatement, tel un tacite compliment en réponse à son initiative et une décelable invitation à poursuivre son exquise lancée. Loin de se faire languir, il entama ses mouvements lascifs avec dynamisme, les yeux rivés sur l’essence de leur symbiose sexuelle tandis que leur peau claquait l’une contre l’autre dans un son des plus sensuels. Sentant soudainement la félicité se diffuser en partance de son bas-ventre pour l’envahir pleinement, le jeune homme accentua plus encore la cadence et effleura avec une grande délicatesse la petite perle des plaisirs de la charmante brune, déjà constellée par l’abondance de son fluide corporel féminin.

 

   De son côté, Hermione enfouit la tête dans le creux de ses bras, alors qu’il continuait ce rythme de plus en plus effréné au fur et à mesure qu’il la devinait aux portes de l’Extase. Elle n’était jamais arrivée aussi proche du Royaume Voluptueux lors de ses précédents ébats et se délectait de ses merveilleuses impulsions qu’il orchestrait en elle avec virtuosité, pendant que leurs soupirs de délice s’accordaient mutuellement dans une enivrante mélodie. Il poussait, entrait, sortait, revenait en elle à chaque fois de plus en plus fort, de plus en plus vite, sachant toutefois doser dans l’excellence ses assauts afin de ne pas être trop irrespectueux ou véhément. Et après quelques minutes de cette danse érotique, elle perçut une brusque chaleur émerger de ses reins pour irradier l’ensemble de son être, la faisant brutalement gémir malgré elle et serrer dans ses petits poings le drap sur lequel elle reposait.

 

   Quand il distingua les premiers signes du ravissement de la Rouge et Or, qu’ils soient auditifs ou sensitifs – étant donné sa flagrante et subite contraction interne –, Malefoy amplifia instinctivement ses pénétrations et dut solidement se concentrer pour ne pas céder à l’irrésistible tentation de la rejoindre séance tenante. Etrangement avec celle-ci, il n’avait pas envie d’en finir dans cette position animale, mais agréablement niché contre sa poitrine, dans la ferveur et l’humanité d’une étreinte. L’écouter jouir porta à son paroxysme l’effervescence qui régnait en maîtresse incontestée dans son ventre et ce fut avec beaucoup de difficulté qu’il réussit à se contrôler, jusqu’à décélérer ses oscillations pour l’escorter charnellement dans sa lente descente orgasmique.

 

   Une fois la nébuleuse émotionnelle dissipée en elle, il embrassa ses épaules dénudées et l’incita doucement à se recoucher sur le dos. Il savait par expérience que certaines femmes après l’extase ressentaient encore du plaisir, si le partenaire réalisait avec dextérité quelques derniers vigoureux coups de reins, comme pour atteindre les plus impénétrables contrées de leur exiguïté et stimuler au passage un hypothétique “point G”.

 

   Point sur lequel Drago aurait vivement aimé s’entretenir avec son trouveur – ou inventeur –, un certain Moldu nommé Ernest Von Gräfenberg – rien que ça –, dont il aurait apprécié recevoir quelques éclaircissements et, peut-être même, remettre en cause sa théorie – ou création. Car finalement, et pour se citer lui-même : « Le clito reste une valeur sûre face à ce truc qui au toucher ressemble à un petit haricot… pas forcément magique à tous les coups ! ». Mais il ne fallait pas douter des dires d’un tel génie Moldu, qui devait sans conteste être doté d’un sublime doigté et aurait dû manifestement donner un bon million de cours particuliers, afin de léguer ses précieuses connaissances et agir ainsi pour le bien de l’humanité !

 

   En attendant, notre Serpentard se débrouillait avec les moyens du bord et ce fut tremblant d’une impatiente excitation, qu’il étreignit tendrement sa mignonne et se glissa de nouveau en elle. Avec énergie, il entama quelques puissants mouvements au sein de son humidité et fut aux anges d’entendre son amante pousser quelques succincts gémissements, à chaque fois que son bassin s’unissait totalement au sien. Elle faisait bien partie de ces dames qui éprouvaient une exquise sensation après la félicité déjà obtenue, quand on venait caresser avec ardeur leur étroitesse en profondeur. Il prolongea donc plus avant ses immixtions en haletant presque avec allégresse, le regard gourmand et fixé sur le visage radieux de sa déesse. Puis il perçut cette particulière pression au bas-ventre et sentit la jouissance monter en lui violemment, ne pouvant s’empêcher en cet instant de fermer les yeux et de gémir de façon retentissante, tandis qu’il délivrait en elle le fruit de son exceptionnel orgasme.

 

   Eperdu et pantelant par cette expérience sexuelle, il revint enfin à la réalité et déposa sur ses lèvres quelques baisers passionnés, pour ensuite s’allonger auprès de cette nymphe en l’enlaçant amoureusement et sombrer avec elle dans les bras de Morphée.     

 

 

 

 

A suivre…



Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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Jeudi 3 mai 4 03 /05 /Mai 19:34
Bonjours chères lectrices et chers lecteurs,

Il est rare que je laisse un mot avant une histoire, je préfère vous laisser entrer dans le vif du sujet avant de discuter. Mais là, je ne peut pas m’empêcher de faire une petite introduction. Rien de bien long, simplement pour vous prévenir que l’histoire que vous allez lire compte parmi les meilleures que j’ai jamais eu sous les yeux. Et très franchement, je n’exagère pas. Les quelques publications que j’ai pu lire n’atteignent pas ce niveau d’écriture, ou disons rarement. L’histoire de Bibi-chan me fait penser à celles écrites par des auteurs classiques qui ont soudain eu envie d’aller explorer le côté frivole que leur notoriété ne leur permet pas d’exprimer. J’ai un ouvrage collectif en particulier que j’aimerai vous citer mais que je ne parviens pas à retrouver. Ce sera pour la prochaine fois car en plus d’être talentueuse, Bibi-chan est généreuse puisqu’elle va nous régaler d’une histoire en trois partie. Mais je parle et je sens bien que je vais trop loin avec mon admiration pour cette œuvre et je vous laisse constater plutôt.

Poudlard Secret


Contribution de Bibi-chan

Nymphésis, Sex Toy


 

 

« On inverse ? » demanda Drago à Harry, d’une voix teintée de plaisir, exacerbée par les caresses buccales que leur charmante partenaire, une Poufsouffle de sixième année, effectuait avec dextérité sur la virilité du Serpentard.

 

   Le Gryffondor acquiesça d’un bref hochement de tête, entre deux halètements, et donna quelques derniers coups de reins des plus énergiques pour s’insérer profondément dans le délicieux sanctuaire de la jeune fille, avant de céder la place encore chaude à son complice. 

 

   Cela faisait maintenant trois mois que les deux garçons logeaient ensemble dans un appartement des plus spacieux, ayant respectivement été nommés Préfet en chef en début d’année scolaire. Malgré une cohabitation des plus difficiles dans les premiers temps, ils avaient fini par trouver un terrain d’entente sur lequel ils se rejoignaient parfaitement, de par leur manière de le pratiquer : le sexe. Tout avait commencé le jour où Malefoy avait surpris son homologue en train de “partager” une jolie demoiselle avec Weasley sur le canapé de leur Salle Commune, allant même jusqu’à proposer au blondinet de participer. D’abord sidéré de découvrir la face cachée du modèle de sainteté de l’école, le Vert et Argent avait fini par accepter la généreuse offre de son colocataire, après consentement de l’adolescente, bien entendu.

 

   Telle était la vraie personnalité du grand Harry Potter : l’apparence d’un élève des plus chastes et réservés la journée, pour ensuite ôter la nuit l’angélique masque qu’il se plaisait à porter, afin de tromper son entourage sur la réalité de sa conduite des plus débauchées. Son meilleur ami était d’ailleurs le seul au courant de son inclination prononcée pour la luxure puisque c’était ensemble, et dès l’âge de quatorze ans, qu’ils avaient débuté leurs premières folies nocturnes en se laissant initier par plusieurs expertes de trois ans leurs aînées. Etant une figure publique et adulée, il ne lui était pas permis de révéler au monde sorcier les jeux pervers qu’il avait usage de faire dans quelques lieux privés, sous peine d’en perdre définitivement sa crédibilité. Hermione, elle-même, ignorait tout de ses penchants salaces, pour être encore persuadée de la virginité de notre jeune premier.

 

   Aimant goûter avec excès aux plaisirs de la chair, les ennemis de toujours avaient trouvé là l’excellent moyen d’enterrer pour l’année la baguette de guerre, en se faisant profiter mutuellement des jolies coquines qu’ils ramenaient pour leurs soirées libertines. Le marché était fort simple : chaque semaine, et à tour de rôle, ils devaient dénicher une ravissante dévergondée qui accepterait le week-end de se laisser posséder en même temps par les deux jeunes gens. Et quel ne fut pas leur étonnement de constater le peu de difficultés rencontrées pour y arriver. En effet, bon nombre d’étudiantes fantasmaient secrètement sur les rivaux les plus séduisants de l’école et aimaient à s’imaginer dénudées entre les deux garçons, l’ange et le démon, lorsqu‘elles se livraient à une certaine caresse en solitaire afin de combler leur petite frustration.  

 

   Cependant, il y en avait une avec laquelle notre vicieux petit Serpentard aurait adoré pouvoir fricoter, étant donné le côté inaccessible et l’air de “Je-ne-touche-pas-à-ça-moi” qu’elle se donnait : la très intelligente Hermione Granger. Elle pouvait s’enorgueillir d’avoir de jolies rondeurs, malheureusement presque entièrement dissimulées sous son uniforme, et Drago ne pouvait s’empêcher d’être émoustillé en la voyant rouler des hanches dans les couloirs de Poudlard. Il se plaisait à penser que sa prétendue vertu voilait en réalité une profonde lascivité et sa conviction s’était renforcée lorsqu’un jour il l’avait croisée dans le parc, studieusement plongée dans un livre au titre des plus évocateurs : “Mémoires érotiques et impudiques” de la très célèbre auteur Wendy Perversekisassume. Immédiatement, notre vil ami s’en était allé quérir Harry pour le supplier de l’amener à une de leurs lubriques soirées, mais ce dernier avait répondu qu’elle refuserait certainement – et à son grand désespoir également – sur-le-champ. Elle n’était pas de celles qui s’abandonnaient volontiers dans les bras de plusieurs partenaires et préférait de loin les jeux dans le noir faits à deux, voire carrément en solitaire si nul mâle digne de ce nom n’était là pour combler ses désirs luxurieux. Qui plus est, elle entretenait une sincère inimitié envers notre blondinet et n’accepterait, de ce fait, sûrement pas de partager avec lui une quelconque intimité. Dépité, le concerné avait alors compris qu’il devait renoncer à cette idée et refouler l’envie qu’il avait de faire joujou avec elle.

 

   Mais revenons à nos moutons et à l’intéressante scène qui se déroulait devant la cheminée, à même le tapis de la Salle Commune de nos très honorables Préfets en chef. Potter avait donc changé de place avec son associé de dépravation et c’était avec joie que ce dernier s’était agenouillé derrière le splendide fessier de la petite demoiselle, à quatre pattes, pour enfin passer à l’action. Il commença par insinuer deux doigts dans l’exiguïté de celle-ci afin d’en apprécier l’humidité, pour ensuite saisir son impatiente virilité d’une main et se mêler à ce territoire qui lui apporterait bientôt félicité. Après avoir soupiré de contentement, il se pencha au-dessus d’elle en vue de se rapprocher de son corps et prit appui sur ses bras placés de chaque côté de la belle, avant de débuter quelques agréables coups de reins.  

 

Merlin ! Cette position est définitivement ma préférée ! estima-t-il, tandis que son compère était déjà à genoux devant le visage de la jeune fille, glissant entre ses fines lèvres l’intense turgescence de sa masculinité.   

 

   L’héroïne de cette pièce réservée à un public averti, entreprit de suçoter avec sensualité la friandise d’un nouveau genre qui frétillait de bonheur au contact de sa langue exercée, améliorant sa caresse d’un régulier va-et-vient réalisé d’une main experte sur cette virilité offerte. Elle sentit également le souffle chaud du Serpentard devenir plus saccadé sur sa nuque, alors qu’il se mouvait en elle avec talent, approfondissant chacune de ses immixtions sans pour autant se révéler brutal. Une minute plus tard, le Gryffondor maintint la tête de l’adolescente bien droite afin d’effectuer à son tour, et avec plus de facilité, quelques légers mouvements du bassin contre la bouche de son amante temporaire. Il ne lui en fallut pas davantage pour atteindre l’orgasme et manifester son plaisir en gémissant doucement, appréciant la délicate attention dont elle faisait preuve en avalant avec circonspection le fruit de sa libération. Puis, une fois son intimité consciencieusement nettoyée par les habiles coups de langue de sa jolie partenaire, Harry se releva pour s’en aller s’asseoir sur le canapé et admirer la fin de ce spectacle des plus délectables.     

 

   Pendant que la demoiselle réfugiait son visage dans le creux d’un de ses bras, tout en glissant une main jusqu’à sa petite perle des plaisirs pour l’effleurer en douceur, Malefoy se redressa et s’empara tendrement du gracieux bassin féminin. Mais alors qu’il s’apprêtait à continuer ses voluptueuses allées et venues, son regard enflammé par la jouissance imminente se posa par inadvertance sur le corridor en face de lui qui menait à l’entrée, pour instantanément se figer lorsqu’il croisa deux iris couleur caramel, qu’il reconnut sans hésitation.

 

   Depuis combien de temps Hermione Granger était là à les observer et, surtout, comment avait-elle bien pu entrer ?

 

   Il se rappela aussitôt que son colocataire lui avait un jour confié le mot de passe, et à en juger par les rougeurs visibles sur ses petites joues de même que l’étincelle exaltée qui animait actuellement ses prunelles, elle devait déjà les espionner depuis un certain temps. Loin de se décontenancer pour si peu, notre blondinet saisit l’opportunité pour tester la jeune femme et connaître ainsi ses limites de voyeurisme. Il esquissa donc un sourire malicieux et laissa son regard couler de l’insoupçonnée curieuse jusqu’au dos de la Poufsouffle, pour ensuite replonger ses yeux emplis de convoitise dans les siens tout en se passant une langue désireuse sur les lèvres, afin de lui signifier clairement son envie de la prendre elle – ce que la concernée comprit incontestablement. Puis il empoigna fermement les hanches de sa partenaire et débuta quelques vigoureux coups de reins, s’immisçant fortement et au plus profond de cette accueillante contrée érotique, sans cesser de fixer discrètement la Rouge et Or ne serait-ce qu’une seconde.

 

   Hoquetant premièrement de surprise sous le rythme diablement plus prononcé du jeune homme, la jouvencelle à terre s’habitua rapidement à cette nouvelle cadence qui eut, par ailleurs, le don de la faire gémir succinctement à chaque fougueuse et merveilleuse pénétration. De son côté, Drago alterna ses va-et-vient en les accélérant parfois puissamment ou bien en les ralentissant pour les intensifier violemment, de manière à s’enfoncer en elle le plus loin possible et faire ainsi claquer sensuellement la peau de son bas-ventre contre les fesses charnues de sa belle d’une nuit. Il percevait d’ailleurs que cette dernière était proche de l’extase, étant donné les répétées contractions de son intérieur, et décida de terminer en beauté.

 

   Il amplifia donc encore la mesure sous les prunelles médusées de la Gryffondor, bouche bée, qui se sentait étrangement fiévreuse à la vue du Serpentard complètement nu dans cette position, les yeux rivés sur elle et brûlants de désir, haletant presque avec frénésie et le visage légèrement rougi par l’effort. Néanmoins, Hermione n’arriva pas à détourner les iris quand la demoiselle exprima son ravissement en ondulant brusquement du bassin, manquant de faire lâcher prise à Malefoy qui dut reporter son attention sur elle et l’agripper vivement. Lorsqu’elle le vit ensuite fermer les paupières et l’entendit pousser un excitant gémissement orgastique, elle ressentit séance tenante une exquise montée de chaleur dans le creux de ses reins et ne put s’empêcher d’imaginer être à la place de la Poufsouffle.

 

   Par Merlin, ce qu’il pouvait être beau et sexuellement irrésistible en train de jouir !

 

   Une fois la violente vague du plaisir passée, le garçon s’allongea délicatement sur le dos de sa partenaire couchée sur le ventre, en l’enlaçant, et déposa quelques affectueux baisers sur ses fines épaules dénudées afin de la remercier de l’exquise félicité prodiguée. Il se redressa ensuite légèrement en s’appuyant sur son avant-bras et, après avoir lancé un regard furtif devant lui, il fut ravi de constater que la jolie brune n’avait toujours pas déserté les lieux et se tenait encore discrètement dans l’entrée. Il se résolut donc à continuer de la provoquer et afficha un sourire triomphant en introduisant deux doigts dans le savoureux petit temple de sa compagne, en vue de les enduire de cyprine mélangée à sa semence. Puis il les glissa avec sensibilité dans la bouche de cette dernière, avant d’entamer un langoureux mouvement d’aller et retour entre ses lèvres. Par ce geste des plus lascifs et suggestifs, il lui fit goûter le délice fusionnel de leur liquide corporel et ne se gêna aucunement pour jeter au passage quelques œillades d’une avidité mutine en direction de la Rouge et Or.

 

   Le message qu’il avait souhaité lui faire passer tout du long était on ne peut plus pénétrant :   “J’ai envie de te sauter et voilà comment… ”

 

   Depuis le début, la jeune fille avait assisté à la scène en éprouvant un certain sentiment de culpabilité et de honte, mais son esprit n’avait cependant pas réussi – ni eu le temps – de convaincre ses jambes de rebrousser chemin, trop occupé à se régaler de l’alléchant spectacle offert gratuitement par son bel ennemi et cent fois plus stimulant que le meilleur des aphrodisiaques ! L’abondante humidité dont elle pouvait d’ailleurs aisément percevoir la présence au seuil de son intimité témoignait nettement du plaisir dissolu qu’elle avait ressenti en les épiant ainsi. Mais la représentation était encore loin d’être finie, puisqu’elle vit Harry apparaitre dans son champ de vision et demander à son collègue d’avoir l’amabilité de s’écarter. La performance de son ami l’avait furieusement remis en appétit et ce fut d’un geste empreint d’une grande douceur qu’il retourna la petite demoiselle sur le dos, pour ensuite embrasser tendrement son cou et se faufiler avec impatience entre ses cuisses. N’étant nullement rebuté par le fait de se mélanger à la semence déjà déposée par son prédécesseur, il prit appui sur ses bras tendus de chaque côté de la mignonne et s’engagea en elle sans plus attendre. Il exécuta enfin ses coups de reins d’une manière enthousiaste et dynamique, qui se répercutèrent dans le corps de son amante avec ferveur et lui arrachèrent quelques mélodieux murmures, bien vite étouffés par les lèvres de ses compagnons.  

 

   Et dire qu’elle pensait que Harry était gay, ne l’ayant jamais vu sortir avec une fille ! Forcée d’admettre qu’elle s’était bien trompée… Et heureusement dans un sens, car cela aurait été une dure perte pour la gent féminine étant donné sa manifeste… qualité ! Elle avait d’ailleurs une vue plongeante sur sa masculinité qui s’attachait à faire de gracieuses allées et venues dans le sanctuaire de l’adolescente, en émettant un son spécifique et des plus érotiques dû aux oscillations effectuées au sein des fluides organiques dont elle luisait désormais. Mais lorsqu’elle vit la main de Malefoy se diriger vers le pétale de la rose des charmes de la jeune fille pour le caresser, ce fut la goutte de concupiscence qui faillit faire déborder sa petite culotte en coton et l’incita à décamper au plus vite, si elle ne voulait pas voir ses dernières résistances s’effriter pour les rejoindre tous trois dans l’instant. Les rares aventures qu’elle avait eues ces derniers mois s’étaient toutes soldées par un échec, puisque les mâles qui avaient partagé sa couche ne faisaient que bêtement gesticuler au-dessus d’elle, sans être capable de prolonger l’acte plus de deux minutes, ni même de le recommencer. Ce fut donc véritablement frustrée par une trop longue abstinence orgasmique, et par la vue de ces ébats des plus extatiques, qu’elle sortit précipitamment pour s’en aller aussitôt prendre une douche bien glacée.    

 

 

 

A suivre…

 

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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Samedi 21 avril 6 21 /04 /Avr 19:43
La fin de la solitude
Une aventure sexuelle de Harry Potter en sixième année

Avec : Luna Lovegood et Neville Londubat





    Neville parcourait les couloirs du château à la recherche de quelque chose à faire. Il avait fini ses devoirs la veille et avait soigné toute sa collection de plantes magiques le matin même. Comme souvent lorsqu’il se retrouvait ainsi, il pensa à l’AD. Si seulement les leçons de Harry au club de défense contre les forces du mal n’avaient pas cessé. Il regrettait amèrement de ne pas avoir à réviser un nouveau sort de combat mais, bien qu’il se soit considérablement amélioré dans cet art, il n’était pas encore suffisamment bon pour apprendre seul des formules de cette importance.
    Machinalement, ses pas le portèrent jusqu’au septième étage, dans le couloir bien connu des anciens membres de l’AD. Sans trop savoir ce qu’il comptait y faire, il passa trois fois devant le mur magique en pensant à la salle d’entraînement et une porte apparue. Il entra et se retrouva dans l’ancien QG de l’AD, pleinement éclairé, propre et rangé comme s’ils en étaient partis la veille seulement.
    Il regarda nonchalamment les livres puis les formes vagues dans l’un des miroirs à l’ennemi. Neville avait eu l’idée de se remémorer un ou deux sorts appris à l’époque mais tout seul ainsi, il n’en avait finalement plus la moindre envie.
    Il se laissa tomber sur les coussins dans un coin de la pièce et entendit un « oumph » de douleur. Surpris, Neville dégagea quelques coussins et découvrit la petite frimousse de Luna sous l’un d’eux.

« Luna ? Mais qu’est-ce que tu fais là ?
_ S’il te plaît Neville, pousse-toi, tu m’étouffes.
_ Oh pardon ! »

Il se décala et aida la jeune serdaigle à sortir de sous les coussins.

« Alors ? Tu m’expliques ? Reprit-il une fois qu’elle fut assise à côté de lui.
_ Oh ce n’est rien d’exceptionnel. Je me suis endormie dans les coussins.
_ Oui, ça je l’ai vu, mais pourquoi es-tu venue ici ?
_ Juste parce que l’AD me manquait. J’aimais bien cet endroit. Alors je suis venue le voir encore une fois. Je me suis assise et je me suis endormie. Heureusement qu’il n’y a pas de Ronfleurs à pustules dans ces coussins. »

Neville qui n’ignorait rien de l’engouement de Luna pour les créatures imaginaires farfelues s’abstint de demander ce qu’étaient des ronfleurs à pustule et enchaîna.

« Moi aussi je suis venu parce que ça me manquait.
_ C’est vrai ? S’étonna Luna en écarquillant un peu plus ses yeux rêveurs. Je croyais être la seule. J’avais l’impression que plus personne n’y pensait.
_ Oui, les autres ont un peu vite oublié que Tu-sais-qui est toujours là alors qu’il est de plus en plus actif. Maintenant que le ministère a reconnu son retour, j’aurai pensé que tout le monde supplierait Harry de reprendre l’AD. Mais bon les cours de défense contre les forces du mal doivent leur suffire. »

    Le jeune homme eut un frisson en pensant au professeur Rogue qui était chargé de ces cours cette année. Luna le remarqua et crut que Neville avait froid. Elle s’approcha pour se mettre contre lui et en profita pour poser sa tête sur son épaule. Neville n’en fut pas vraiment surpris. La jeune fille était toujours très affectueuse avec les gens qu’elle aimait bien. Mais il eut néanmoins le souffle coupé en constatant que Luna était sortie de sa sieste légèrement débraillée et que son décolleté offrait une large vue sur sa superbe poitrine. Elle passa ses bras autour de lui et il fit de même, sans pouvoir détacher ses yeux de l’échancrure de la chemise.

« Tu sais ? Je t’aime bien Neville, déclara soudain Luna. Je crois que c’est parce que tu me ressembles un peu. On a tous les deux de bons amis mais on est finalement toujours un peu seul. Je ne sais pas pourquoi. »

Le jeune homme ne répondit rien. La vue plongeante sur les seins et le souffle chaud de Luna sur son coup le tétanisait. Il se sentit grandir peu à peu, surtout lorsqu’elle déposa un baiser sur sa gorge. La jeune fille fit un petit bond pour se retrouver sur les genoux de Neville et ne put que remarquer l’effet qu’elle lui faisait. Il sembla atterré, craignant qu’elle ne le prenne mal mais Luna lui fit un petit sourire.

« Je ne sais pas si mes sentiments sont réciproques mais en tout cas c’est un bon début. »

Neville allait pour répliquer mais elle l’embrassa avec fougue et il se contenta de répondre à son baiser. Tandis que leurs langues se rencontraient, Luna agita doucement ses fesses pour caresser le membre impressionnant du jeune homme qu’elle sentit encore durcir entre les étoffes. Lorsque enfin, elle libéra ses lèvres, il était essoufflé.
    Neville voulut dire un mot mais Luna posa un doigt sur ses lèvres pour le faire taire à nouveau.

« J’aimerai te faire une surprise Neville. Ferme les yeux et ne pense plus à rien. Laisse moi m’occuper de tout. »

Quand bien même il n’en aurait pas eu la moindre envie, le souffle de la jeune fille à son oreille, l’odeur enivrante de sa peau et la caresse continuelle de son corps tout contre le sien auraient empêché le jeune homme de ne pas s’exécuter sur-le-champ. Il ferma les yeux et essaya de faire le vide dans sa tête. Mais s’il parvenait facilement à oublier la salle de l’AD et les sorts qu’il aurait voulu pratiquer, son esprit ne cessait de lui envoyer le dernier regard que Luna lui avait porté, bien moins rêveur que d’ordinaire, et remplit de désirs impatients. Il sentait la jeune fille rester contre lui et il se demanda ce qu’elle pouvait bien préparer. Il dut se concentrer pour résister à l’envie de regarder trop tôt.

« Tu peux ouvrir les yeux maintenant ! »

Neville n’eut pas besoin de se le faire répéter. Mais à peine avait-il écarté les paupières qu’il fut ébloui. Il dut attendre que sa vision s’adapte pour découvrir la surprise.
    La salle ne ressemblait plus du tout au quartier général de l’AD. Le sol était recouvert de nombreux coussins et couvertures moelleuses. Des sortes de petites vasques dégageaient des parfums légers et la lumière était tamisée. Au centre de la pièce se dressait une sorte de petite estrade recouverte d’un tapis aux couleurs pastels sur laquelle étaient dirigées quelques fortes lumières colorées venant de nul part et qui avait aveuglé le jeune homme.

« Est-ce que ça te plaît ? Demanda Luna d’un ton enjoué.
_ Euh… oui, répondit Neville qui, certes, appréciait le décor mais ne voyait pas où la jeune fille voulait en venir.
_ Oh mais attends, ce n’est que le début de ma surprise. »

Luna se leva, au grand dépit du jeune homme qui aurait préféré la garder tout contre lui, et monta sur l’estrade. Elle donna un coup de baguette magique dans l’air et une petite musique douce s’éleva d’on ne sait où.
    Eberlué, Neville ne comprit ce qu’elle avait l’intention de faire que lorsqu’elle fit sauter le premier bouton de son chemisier. Elle ne put en ouvrir que deux autres et dégager le début de sa poitrine satinée avant que le haut de sa robe de sorcière ne la gêne. Elle se mit de profil et, tout en remuant lentement au rythme de la musique, enleva les bretelles de ses épaules. Elle fit glisser la robe le long de son buste sans se presser puis le long de ses jambes nues qui s’offraient au regard d’un Neville trop émerveillé pour parler. Luna allait pour finir d’ouvrir les boutons mais elle eut soudain une autre idée. Elle se mit dos au jeune homme et releva un peu le bas de son chemisier pour qu’il ait une belle vue sur ses petites fesses magnifiques. Doucement, elle fit glisser sa petite culotte, dévoilant son cul de rêve qui, au grand malheur de Neville fut presque aussitôt recouvert par le bas du chemisier. Celui-ci ne s’arrêtait qu’à la limite des superbes cuisses de la jeune fille et lorsque dans sa danse elle levait les bras, il avait encore furtivement l’apparition des deux tendres collines et du trésor le plus précieux de Luna. Celle-ci voyait bien que sa surprise avait eu l’effet escompté sur le jeune homme et elle décida qu’il était temps de le mettre à contribution.
     Elle lui fit signe d’approcher et tendit l’un de ses pieds enveloppés dans des chaussettes bariolées qu’il devait retirer. Trop heureux de participer enfin, Neville glissa en se relevant et atterrit le nez le premier dans les coussins devant lui. Il se redressa très vite et couru presque jusqu’à l’estrade. Là, il fit lentement glisser ses mains sur le mollet de la jeune fille et couvrit de baisers chaque parcelle de peau qu’il découvrait. Une fois les deux chaussettes enlevées, il sortit sa langue pour caresser les doigts puis le dos du pied. Il remonta rapidement jusqu’à la cuisse où il savoura la douceur de la peau avant de monter encore plus haut, passant la tête sous le chemisier. Il se trouva face à face avec le joli coquillage doré qu’il ne put attendre de lécher tandis qu’il empoignait le délicieux postérieur de Luna. La jeune fille ne s’était pas attendue à une réaction aussi rapide mais fut finalement ravie de la tournure de la situation. Elle fit doucement pression sur Neville pour qu’il s’abaisse sans pour autant relâcher son attention sur son intimité ruisselante. Elle se retrouva ainsi sur le dos et put envoyer ses pieds farfouiller dans les replis du pantalon de son amant à la hauteur de la bosse que formait son membre impressionnant.
    Neville était enivré du parfum intime de sa compagne et s’abreuva bientôt de la source qui jamais ne tarît tandis qu’elle poussait un cri de jouissance. Il n’y tenait plus et retourna complètement la jeune fille qui se retrouva à quatre pattes. Le jeune homme eut la vision du magnifique petit cul à moitié couvert encore du chemisier tandis qu’il remontait sa robe et enlevait son pantalon avec une rapidité hallucinante. Ses mains contournèrent les hanches puis la taille fine de Luna avant de s’aventurer sur son ventre pour remonter jusqu’à sa somptueuse poitrine qu’il débarrassa du soutien gorge. Accroché aux merveilleux seins de son amante, Neville présenta son dard exceptionnel devant l’antre de tous les plaisirs. Sans plus attendre, il donna un puissant coup de rein et pénétra Luna jusqu’à la garde. Celle-ci laissa échapper un cri de surprise devant la taille du pieu de chair mais se mit presque aussitôt à aller au devant des pénétrations de son amant. Très vite, l’un et l’autre comprirent qu’ils perdaient tout contrôle de leur étreinte. Le désir et le plaisir avaient obscurci leur raison. Leurs corps augmentaient sans cesse la cadence jusqu’à atteindre un rythme bestial. La conscience qui leur restait était submergée par le plaisir qu’ils se procuraient.
    Luna finit par hurler son plaisir et jouir sans pour autant ralentir les va et viens de ses hanches. A ce moment précis, et sans vraiment le vouloir, Neville se retira du doux coquillage brûlant de son amante et écarta les petites fesses magnifiques pour planter son membre au plus profond du petit anneau avec rudesse. Luna cria de douleur ce qui réveilla soudain le jeune homme qui prit conscience de ce qu’il venait de faire. Mais à son grand étonnement, son amante continuait de ruer avec acharnement sur son énorme pieu de chair. Elle se mit même à accélérer encore tandis que ses cris redevenaient ceux d’un intense plaisir. Rassuré, Neville attrapa les hanches de sa sublime amante et se démena de plus belle pour la combler.
    Le résultat ne se fit pas attendre très longtemps. Luna donna un coup de rein brusque pour complètement empaler son sublime petit cul sur l’énorme verge de son amant et cria son bonheur tandis que ses tendres cuisses étaient recouvertes de son jus de plaisir. Neville qui la sentait trembler de plaisir dans ses bras arriva à son tour à la jouissance, mais Luna intervint :

« Non, attends encore un peu, s’il te plaît ! »

Sous le regard d’incompréhension du jeune homme, elle déchaussa le membre de son puits secret et se retourna vivement. Elle prit le dard au bord de l’explosion dans sa bouche, ou du moins ce qu’elle put en prendre, et jeta un regard à Neville qui l’autorisait enfin à aller au bout de son plaisir. Celui-ci ne se fit pas prier et déversa de longs jets de semence dans la gorge de son amante.
    Neville était presque à bout de force après cette rude mais délicieuse étreinte et il s’allongea sur le dos. Luna n’en avait pas terminé avec la dégustation du nectar de son amant et continuait de sucer le membre impressionnant avec délectation. La petite bouche gourmande de la jeune fille réussit même à faire jouir Neville une seconde fois pour le plus grand plaisir de celle-ci.
     Bercé par la félicité de l’instant, le jeune homme dût s’endormir car, lorsqu’il ouvrit les yeux, le petit matin arrivait lentement. Les premiers et encore faibles rayons du soleil venaient caresser le corps de rêve de Luna, paisiblement endormie et toute blottie contre lui. Il détailla ses jambes, ses fesses, son dos pour arriver à son doux visage. Pendant de longues minutes il la regarda dormir puis, poussé par une envie soudaine, il l’embrassa tendrement. Luna se réveilla et, sans se demander ce qui arrivait, elle lui rendit passionnément son baiser.

« Dis-moi Luna, c’est vrai que tu m’aimes ?
_ Oui. Depuis que l’on a commencé l’AD. Et toi ? Est-ce que tu m’aimes ?
_ Oh oui. »

Luna laissa échapper un rire puis embrassa à nouveau son amoureux.

« J’avais peur que tu me trouves trop farfelues, comme les autres, reprit-elle.
_ C’est parce qu’ils n’ont pas pris la peine de te connaître. »

Leurs baisers et leurs caresses les enveloppèrent dan une nouvelle volupté. Et comme le matin est un moment propice aux jeux de l’amour, leurs désirs s’enflammèrent à nouveau pour se terminer bien plus tard dans la journée.
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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Dimanche 15 avril 7 15 /04 /Avr 18:33
Bonjour à toutes et à tous,

Ce n'est pas encore le grand retour que certains espéraient mais cela ne saurait plus trop tarder. Donc, j'ai eu récemment des problèmes avec mon ordinateur qui a fini par me lâcher complètement. Résultat, je n'ai pas pu me connecter ici depuis longtemps.
Vous comprendrez que ma seule connexion dernièrement étant celle du travail, il aurait été malvenu de me connecter sur un site érotique fusse-t-il le mien. Je ne vous parle même pas d'écrire une histoire dans ces conditions peu discrètes.
Heureusement, j'ai réussis à récupérer une connexion temporaire beaucoup plus satisfaisante et je me suis aussitôt lancé dans l'écriture de la prochaine histoire.
Encore un peu de patience donc et à bientôt.

Poudlard Secret

PS : Merci à Tikokin qui a fait circuler l'information que j'avais laissé sur fanfic-fr.
Par poudlardsecret - Publié dans : Infos Poudlard Secret
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