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Histoires avec Ron

Lundi 15 décembre 1 15 /12 /Déc 14:47

Désolé d'avoir dû couper la nouvelle histoire de Lylah. Over-blog a une limite de 64000 caractères pour la publication d'un article. Voici donc la fin.




Il faisait froid ?

Ah bon…

La température avait rapidement montée et ils avaient bien vite oublié les causes de leur présence en ces lieux.

Cho s’était recroquevillée dans un coin, honteuse. Mais le rouge qui illuminait ses joues trahissaient un émoi significatif.

Quant à Ron….


- Ron ? Cho ? Vous êtes-là ?


La voix venait de derrière les décombres.


- On est là Harry, s’empressa de répondre Cho en se jetant sur l’armoire obstruant le passage.

- Reculez-vous, fit la voix du professeur Mcgonagall.


En un coup de baguette, le meuble s’évapora en un millier de petits copeaux, révélant un Harry fou d’inquiétude qui s’empressa de saisir sa petite amie dans ses bras.


- Dieu merci, vous n’avez rien…constata-t-il en passant ses mains sur le corps de la brunette, on a attrapé le dragon à l’étage il y a quelques minutes, il a juste fallu que l’on suive les dégâts pour tomber sur vous.


Son regard se posa sur le fond de la pièce, découvrant son ami, baignant dans un rayon de soleil qui avait pu percer l’épaisse couche de nuage.

Le vent glacial avait cessé, mais le froid restait tout de même de mise.


- Eh vieux, ça va ? Qu’est-ce qu’il s’est passé ?


Ron se releva et avança nonchalamment vers le couple. Quand il croisa le regard de Cho, elle détourna le sien aussitôt.

Il se mordit l’intérieur de la joue en secouant la tête.


- Ron ? Cho ? demanda Harry inquiet, je vois que ces quelques heures ensemble ne vous on pas permit de discuter et de mettre certaines choses au clair.


Ron les devança, et le pas lourd, disparut dans le couloir.


Les choses étaient claires.

Bien trop claires même.


Il était fou de rage.

Fou de jalousie.

Il ne pourrait pas tourner la page,

Car il avait enfin comprit.


Il devait se trouver une femme à aimer,

Une femme pour occuper son esprit.

Même si cela, il l’avait déjà trouvé,

En celle de son meilleur ami.


Morale : Un peu de jalousie éveille un amour heureux qui s'endort mais la jalousie est un sentiment que l'amitié n'éteint pas toujours.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Ron
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Lundi 15 décembre 1 15 /12 /Déc 14:43
Contribution de Lylah



Le vent soufflait en rafale dehors faisant frémir les étudiants se rendant sur le terrain de Quidditch.

Harry blottissait le corps frêle de sa belle contre lui en lui frictionnant le dos.


- Je vais me changer, je te laisse, lui dit-il en l’embrassant tendrement.


Elle lui rendit son baiser et partit s’asseoir dans les gradins.

Le stade se remplissait peu à peu d’une multitude d’élèves emmitouflés dans leur cape bien chaude, afin de pouvoir assister au match tant attendu, Gryffondor contre Serpentard.

Chaque match entre ces deux équipes promettait un spectacle étonnant. La rivalité plus qu’évidente des deux maisons en dehors du jeu, accentuait d’autant plus la férocité de leurs attaques.

De plus, Harry Potter et Drago Malefoy, deux des plus beaux spécimens de cette école, en plein effort, ne gâchait rien au plaisir.

Donc, malgré le froid saisissant, personne n’aurait raté ce match pour rien au monde.


Cho prit la liberté de se mettre le plus près possible en arborant une belle écharpe rouge et or afin de soutenir au mieux son petit ami.

Ron ne tarda pas à la rejoindre et s’assit sans mot à côté d’elle en compagnie d’Hermione.

Celle-ci sourit à la jeune fille en la saluant mais le rouquin n’esquissa pas un seul regard dans sa direction.


- Tu vas arrêter de tirer la tronche Ron ? C’est normal qu’Harry passe plus de temps avec elle maintenant qu’ils sont ensemble.


Il grommela en appuyant ses coudes sur ses genoux pour poser sa tête entre ses mains.

Cela faisait 1 mois maintenant qu’Harry et Cho était ensemble, et petit à petit, le jeune Potter avait délaissé ses escapades nocturnes dans la forêt interdite avec son meilleur ami pour des soirées plus coquines avec la jolie brune.

Ron en tenait plus rigueur à la jeune fille qu’à son acolyte, qu’il jugeait encore sous l’effet du charme eurasien de la belle.

Peut-être même l’avait-elle envoûté ? Après tout, qu’est-ce qu’il pouvait bien lui trouver ?

Elle était nunuche, pas très fut-fut et surtout, jamais disposé à vouloir faire les quatre cents coups avec le trio.

En bref, elle faisait tâche dans le tableau et Ron ne se gênait pas pour le lui faire sentir.

La pauvre Serdaigle tentait de ne pas montrer sa peine face à ce mépris mais quand elle se retrouvait avec Harry, elle oubliait bien vite qu’elle n’était pas désirée au sein du groupe.


Le premier joueur Serpentard fit son apparition fièrement en levant un bras comme pour marquer une victoire imminente.

Des cris de joie se firent entendre dans les gradins aux couleurs vert et argent quand aux autres, ils préférèrent garder leur voix pour acclamer, comme il se devait, les joueurs Gryffondors qui ne tardèrent pas à entrer en scène à leur tour.

Le vif d’or fut lancé, le match pouvait commencer.


Les Gryffondors réintégrèrent leurs appartements, triomphants sous les acclamations de leurs supporters.

Comme à chaque fois, le match fut difficile, emplit de surprises et de rebondissements, mais les lions avaient su se montrer plus lestes que les serpents, et de sa légendaire agilité, Harry avait su attraper le vif d’or avant son ennemi de toujours, qui ne manqua pas de lui donner tout de même un coup de coude bien senti après sa victoire.

Ron s’apprêta à féliciter son ami mais ce ravisa rapidement en constatant qu’à son bras pendait la jeune fille, fière de se trouver aux côtés de ce brillant sportif.

Non mais elle ne pouvait pas aller voler ailleurs que sous son nez cette stupide rapace ?

Ron se renfrogna et s’écroula de colère dans le fauteuil près de lui, en croisant les bras sur sa poitrine.


- C’est vraiment étonnant le froid qu’il fait pour un mois de novembre, s’inquiéta Harry, normalement on a encore le droit à quelques rayons de soleil en cette période, les années précédentes.


Bien entendu, tout le monde s’empressa d’être d’accord avec lui.

Il était vrai que depuis plus d’un mois, un froid soudain et inhabituel avait engloutit le pays. Ce changement de climat si brusque commençait d’ailleurs à inquiéter le ministère, voyant là-dessous une quelconque source de magie noire.

Même la si amicale salle commune des Gryffondor avait du mal à retrouver sa chaleur, malgré un feu de cheminé de tous les diables.

Les chaudières dans les dortoirs brûlaient plus de bois et de charbon que d’habitude mais chacun devait se munir de plusieurs couvertures afin de ne pas grelotter dans leur sommeil.


- Je connais un moyen efficace de se réchauffer Harry, lui murmura la brunette à l’oreille.


Celui-ci se mit à rougir et resserra l’étreinte qu’il avait sur sa taille.

Ron imita une envie de vomir et se releva bruyamment pour s’éloigner du couple, qui se lova amoureusement sur la place qu’il venait de quitter.


- Harry, je suppose que tu ne veux pas venir avec moi voir Hagrid ? Demanda Ron sur le pas de la porte.

- Oh vieux, maintenant ? Je suis un peu crevé là et puis il fait vraiment trop froid pour ressortir.

- Mouais pas assez froid pour qu’elle te laisse tes vêtements, marmonna-t-il en remarquant la main baladeuse de Cho sous le pull de son ami.


Harry secoua la tête de dépit. Il n’allait pas encore chercher le conflit avec son meilleur ami, ça ne menait jamais à rien, sauf à des cris et de longues heures de bouderies.

Alors à quoi bon, autant l’ignorer.


Ron s’emmitoufla sous un gros pull et passa sa cape sur ses épaules avant de descendre vers la hutte de Hagrid.

Celui-ci l’attendait sur le pas de la porte.


- Bonjour Ron, Harry ne vient pas avec toi aujourd’hui ?


Il secoua la tête et se faufila à l’intérieur pour se réfugier devant le feu. Il eu un frisson et poussa un profond soupir en sentant la douce chaleur commencer à lui réchauffer le dos.


- Je ne sais pas si tu vas pouvoir y aller seul Ron, ce n’est pas forcément facile et je ne peux vraiment pas venir.

- Ca va aller Hagrid, je l’attraperai. Et si je n’y arrive pas et ben j’y retournerai demain, peut-être qu’il viendra cette fois.


Hagrid haussa les épaules et lui tendit un gros sac de toile.

Il y avait quelques jours, un bébé dragon qu’avait ramené Hagrid d’un de ses voyages, s’était échappé et réfugié dans la forêt interdite.

D’abord amusés, Harry et Ron s’était proposé pour aider le garde chasse à ramener l’animal, mais c’était sans savoir, qu’à cet âge là, ces braves petites bêtes savaient déjà cracher de bonnes flammes.

Il commençait à faire beaucoup de gros dégâts et il fallait à tout pris l’attraper, Hagrid devant s’absenter durant trois jours.

Ron se cala à nouveau sous sa cape et après avoir salué le demi géant, partit à la recherche de l’adorable petit chalumeau.


- Harry ? Harry ?....HARRY !


Le brun poussa un grognement en se calant plus confortablement contre la jeune fille.


- Harry réveille toi. Je crois que Ron est rentré dans un piteux état.


Harry ouvrit un œil et se retourna dans son lit afin de vérifier les dires de sa petite amie.

Ron était recroquevillé en boule sous sa couverture et tremblait de tous ses membres.


- Eh Ron ! Ca va ?


Pas de réponse.

Harry se leva et s’approcha du lit. Il tira doucement sur la couverture découvrant un rouquin couvert de suie.

Il ne put s’empêcher d’étouffer un rire entre ses mains.


- J’espère au moins que tu as pu l’attraper vu l’état dans lequel il t’a mit.


Ron secoua la tête en s’enfouissant plus profondément sous la couette.


- Il est entré dans le château en plus. Je pense qu’il se cache au troisième étage.

- Quoi ??? Dans le château ?? S’écria Cho.


Un « chuuuut » en fond de salle signala à la Serdaigle de se taire. Elle enfonça sa tête dans son cou, se rendant subitement compte qu’elle était censée être ici incognito.

Ron émergea sa tête et lui jeta un regard noir.


- Si demain tu n’es pas trop occupé, peut-être que tu pourrais m’aider ? Demanda-t-il fermement à Harry.

- On t’aidera tous les deux si tu veux. J’avais promis à Cho de…

- Ouais comme à moi ! Le coupa Ron en repartant sous la couverture, se roulant en boule pour bien faire comprendre qu’il ne souhaitait pas continuer la conversation.


Décidément, ce n’était guère simple de concilier vie amoureuse et amicale !


Le silence s’installa.

Comme Harry l’avait promis, et cette fois-ci il tint parole, il accompagna Ron à la recherche du dragon.

Cho les suivait bien tranquillement derrière, faisant bien attention à rester discrète.

Déjà que le jeune Weasley n’appréciait guère sa présence, autant qu’elle le gêne le moins possible.

Soudain, ils s’arrêtèrent à un coin de couloir, entendant un bruit suspect dans un placard.


- Je pense qu’il doit être là, déclara Ron.


Les deux autres se penchèrent plus en avant afin d’essayer d’apercevoir derrière le mur.


- Potter ! Il me semble que vous devriez déjà vous trouver dans les cachots à l’heure qu’il est ! Ne me dites pas que vous avez oublié votre retenue.


Le professeur Rogue le toisait d’un regard mauvais, les mains sur les hanches.

Effectivement, il avait complètement oublié cette sempiternelle retenue que s’évertuait à lui infliger le maître des potions, pour une raison ou pour une autre.

Harry jura doucement et jeta un regard implorant vers Cho qui n’osait rien dire.


- Vous pouvez très bien laisser Miss Chang avec ce cher Mr Weasley, Potter. Je doute qu’elle soit en grand danger, annonça le professeur en jetant un regard dédaigneux aux deux élèves.


Harry secoua la tête et disparut dans le couloir, suivit de près par le directeur des Serpentard.

Ron resta les bras ballants, constatant avec horreur qu’il restait seul avec la Serdaigle.

Il lui jeta un regard en coin et constata qu’elle-même l’observait, attendant certainement une quelconque réflexion.

Il souffla et continua son ascension à travers les couloirs, pensant sûrement qu’elle ferait demi-tour.

Mais elle n’en fit rien et le suivit bien sagement, en jetant de temps à autre des regards autour d’elle, à la recherche d’éventuels indices sur le passage furtif de l’animal.

Mais bientôt….


- Il est là ! Dans cette salle!


En effet, la queue de l’animal disparut en même temps que la misérable porte de bois qu’il venait de réduire en cendres.

Ron se saisit du sac de toile et avança à pas de velours vers la pièce.


- Je pense que ça va être plus dur que je ne le pensais. Heureusement que le sac est ensorcelé pour résister au feu…Marmonna Ron dans sa barbe en avançant à pas de loup vers l’embrasure de feu la porte.


Cho était bien décidé à montrer au rouquin qu’elle était loin d’être la petite pleurnicharde qu’il pensait qu’elle était.

Elle passa même devant lui et se retourna fièrement pour lui faire face.


- Je vais passer devant, faire diversion et quand il s’approchera de moi, tu te saisiras de lui, d’accord ?


D’abord étonné, Ron lui sourit hypocritement.


- Et tu penses qu’il va te sauter dessus ? C’est un bébé dragon Cho, son plat préféré ce n’est pas l’étudiante en jupette. Ce que tu risques c’est juste de lui faire peur et qu’il te transforme en saucisse grillée.


Visiblement, la brunette parut offensée. Elle voulait l’aider, trouver des solutions et il trouvait encore le moyen de répondre sèchement.

Elle allait lancer une réplique quand un bruit sourd se fit entendre dans la pièce, les incitants à s’accroupir l’un à côté de l’autre comme pour se protéger.

Prenant subitement conscience de la situation, Ron s’écarta précipitamment en passant une main nerveuse dans ses cheveux.


- Il a du encore détruire quelque chose, il faut qu’on se dépêche.


Ils entrèrent dans la pièce.

Un vrai désastre.

Des petits morceaux de bois jonchés le sol qui, quelques minutes auparavant devait encore être de somptueuses armoires, les tapisseries sur les murs pendaient en lambeau, les carreaux des fenêtres étaient brisés.

Comment une si petite chose pouvait-elle faire autant de dégâts ??

Bientôt, ils aperçurent l’animal au fond de la pièce, prostré dans un coin en train de mâchouiller ce qui semblait être une statue de plâtre.

Cho ne pu s’empêcher de pencher la tête de compassion devant ce spectacle attendrissant, ce que ne manqua pas de remarquer Ron.


- Tu veux peut-être aller lui faire un câlin avant que je ne le l’attrape ? Lança-t-il sarcastiquement en secouant la tête.


La jeune fille souffla en roulant les yeux au ciel.

En faisant un pas vers le petit monstre sur pattes, Ron fit craquer un morceau de bois, signalant clairement sa présence à l’animal qui releva la tête vers les deux intrus leur lançant un regard meurtrier.

Ron déglutit avec difficulté, en se couvrant derrière le sac, parant une éventuelle attaque enflammée.

Il avança doucement et Cho le contourna pour surprendre la bête par le côté au cas où elle tenterait de s’échapper.

Le duo s’avançait de plus en plus près, se jetant mutuellement des regards inquiets, mais quand le dragon fonça à toute allure sur Ron, l’envoyant valser à l’autre bout de la pièce dans un bruit sourd, Cho se précipita sur lui, ne prêtant plus aucune attention à la bête qui se stoppa sur le pas de la porte.


- Pourquoi ne l’as-tu pas attrapé ? Hurla le rouquin.

Cette fois-ci la jeune Serdaigle ne se démonta pas.

- Parce que c’est toi qui tenait le sac sombre crétin !


Ron resta interdit.

Elle lui avait crié dessus et ne semblait pas du tout regretter ses paroles, bien au contraire.

Finalement, elle n’était peut-être pas si cruche que ça, se mit-il à penser.



C’est alors que le dragon se jeta violemment contre le mur, laissant s’effondrer une grosse armoire en pin massif sur la seule issue de la pièce.


- Oh non mais c’est pas vrai ! Il manquait plus que ça ! S’énerva Ron en se relevant difficilement, comment est-ce que l’on va sortir de là ?


Cho tenta de dégager le terrain de ses frêles petites mains, mais le peu de force qu’elle détenait dans les bras ne lui permirent même pas de bouger une porte.

En temps normal, Ron se serait empressé de le lui faire remarquer, mais il se tut.

Il se retrouvait avec elle, seul, pas vraiment fier de la situation, alors si en plus ils se mettaient à se disputer, il pourrait être pris d’une furieuse envie de lui cogner dessus.


- Tu as ta baguette Ron ? Lui demanda-t-elle pleine d’assurance.

- Bien sur que j’ai ma….Ma baguette ??? Ou est ma baguette ?? S’époumona-t-il en se fouillant, et….et la tienne ? Tu l’as ?


Elle secoua la tête.


- Je l’ai oublié dans mon sac.


Crétine ! Aurait-il voulu crier, mais il sembla que « mais quelle conne » sembla plus approprié pour l’heure.


- Quelle quoi ? S’indigna-t-elle. Non mais oh Ron, je te permets pas, fais pas le malin, je te rappelle que tu n’as pas la tienne non plus.

- J’ai du la perdre en chemin MOI car je ne m’en sépare jamais MOI.

- Ben voyons, murmura-t-elle en tournant sur elle-même à la recherche d’une solution.


Après, quelques longues minutes de silence, chacun de leur côté, à rechercher une issue ou un moyen de signaler leur présence, Cho rompit le silence.


- Je meure de froid avec ces fenêtres cassées. Il faut à tout prix qu’on nous trouve ou qu’on se débrouille à sortir rapidement.

- Et que crois-tu que l’on fasse depuis tout à l’heure ? Un concours de résistance au froid ?


Cho s’avança d’un pas résolu vers le Gryffondor et s’arrêta à quelques centimètres de son visage.


- Ron Weasley tu es imbuvable ! Comment Harry peut-il te supporter ?

- Il n’a plus vraiment l’occasion de supporter ma présence à vrai dire depuis que tu passes ton temps collé à lui !


Cho souffla en affichant un sourire en coin.


- Tu es jaloux de lui ma parole. Trouves-toi une copine et vite fait qu’il puisse respirer un peu.

Elle commençait vraiment à faire monter en lui une envie soudaine de meurtre, allait-il réussir à se contenir ? Cependant, il n’en avait pas réellement envie…

- Dis donc, tu te prends pour qui pour t’immiscer dans un groupe comme ça, sans penser aux répercutions que ta niaiserie et tes manières peuvent avoir ? Nous sommes des Gryffondors ! On ne passe pas notre temps au chaud à rien faire NOUS. Et depuis que tu es là, Harry ne mets presque plus le nez dehors.


Cho eut un frisson, saisit par le froid trop présent dans la pièce.


- Tu es pitoyable du haut de ton arrogance Ron, tu n’es pas indispensable à Harry, et maintenant que tu t’en rends compte, c’est ça qui te vexe !


Et elle ? Etait-elle indispensable à l’école ? Qu’elle disparaisse soudainement, passant accidentellement par la fenêtre, personne ne la regretterait vraiment ?

Il lui saisit violemment les épaules et pu alors lire dans les yeux une crainte soudaine.

Ce n’était pas dans l’habitude d’un Weasley de se montrer violent et peut-être que leur petite mise au point était allé trop loin.

Il la poussa durement au centre de la pièce, la rapprochant dangereusement de la fenêtre.

Elle trébucha et se rattrapa de justesse sur un meuble près d’elle.


- Arrêtes Ron, tu vas finir par me faire mal.

- Et alors ? Répondit-il calmement, comme si pour lui il ne s’agissait que d’un jeu.


Mais une fois qu’elle se trouva à proximité de la fenêtre, elle jeta un rapide regard derrière elle, grelottant sous une violente rafale de vent glacial la giflant de plein fouet.


- Tu ferais mieux de trouver un moyen de nous sortir….sortir de là avant que l’on ne meure de froid, articula-t-elle entre deux claquements de dents.


Ron tremblait de tous ses membres également. De froid ? De colère ? Il ne savait pas vraiment, aussi, il se surprit soudainement à vouloir la saisir à nouveau par les épaules mais pour cette fois la coller étroitement contre lui.

Sans même réfléchir aux conséquences de ses actes, il joint l’acte à la pensée et saisit la jeune fille par le bras pour l’attirer violemment à lui.

Elle plongea un regard étonné dans le sien et saisit d’un élan incontrôlé, il l’embrassa furieusement.

Elle refusa ce baiser et le repoussa expressément de la main.

Ils restèrent un instant silencieux, l’un face à l’autre, la respiration rapide sous le manque d’oxygène que provoquait le froid, laissant une fine fumée s’échapper d’entre leurs lèvres.

Quand Cho baissa les yeux un quart de seconde, Ron en profita pour à nouveau se saisir d’elle par la taille et l’embrassa de nouveau en resserrant sa nuque de sa main valide pour approfondir son baiser.

Elle gémit de refus entre ses lèvres mais bientôt, sous l’effet chaleureux de l’étreinte, elle s’abandonna et passa timidement ses bras autour de son cou en glissant des doigts fins dans la chevelure du garçon.

Satisfait qu’elle réponde à ses baisers, il s’enhardit et tenta de glisser sa langue plus avant afin qu’elle puisse entretenir une douce danse avec sa semblable.

Elle hoqueta de surprise mais laissa rapidement le jeune homme s’insinuer entre ses lèvres et serra une mèche de ses cheveux plus fortement dans sa main afin de rendre ce baiser plus fougueux et passionné.

Ron grogna de plaisir et laissa finement glisser ses mains le long de la taille de la belle jusqu’à saisir les deux rondeurs qui la terminaient si parfaitement.

Il les enserra avec force, provoquant un gémissement étouffé chez leur propriétaire. Il la souleva du sol et elle encercla la taille du garçon de ses longues jambes graciles.

Il avança à tâtons entre les décombres, tout en maintenant fermement ce baiser interdit, quittant seulement ses lèvres quelques secondes pour prendre sa respiration.

Quand le dos de la Serdaigle heurta le mur, il la fit glisser le long du béton froid jusqu'à ce qu’elle se pose sur le sol.

Il s’accroupit face à elle et plongea à nouveau un instant son regard dans le sien.

Non, il ne fallait pas qu’il la regarde. Il ne fallait pas.

Pourquoi ? Car il pouvait lire dans ses yeux qu’elle ne lui appartenait pas. Que ce qu’il faisait lui coûterait certainement son amitié si importante avec Harry.

Et pourtant, la seule chose qui lui brûlait actuellement les entrailles, c’était la posséder. Posséder cette petite pimbêche qui le rendait fou. Fou de désir. Fou de passion.

Elle grelotta en se mordant la lèvre inférieure. L’impatience pouvait se lire sur son visage mais ses yeux trahissaient son appréhension.

Ne dit-on pas que le seul moyen de se délivrer de la tentation c’est d’y céder ? Alors qu’attendaient-ils ?

Ron poussa un grognement et saisit à nouveau la brunette par les fesses afin de la poser sur ses jambes.

Il passa ses mains gelées sous son pull, appréciant d’un grommellement la douceur de sa peau. La jeune fille tressaillit mais se cala plus confortablement contre l’étudiant, plaquant sa poitrine sur son torse musclé.

Elle passa à son tour ses mains sur sa peau si finement sculpté, hésitant à retirer le vêtement sous le froid saisissant qui régnait dans la pièce.

Voyant qu’il ne lui ôtait pas le sien, se contentant de découvrir avec les mains chaque parcelle que lui offrait le corps de la demoiselle, elle en fit autant.

Ils ne pouvaient détacher leur lèvres l’un de l’autre, comme si ces baisers enflammés leur permettaient de maintenir leur corps à température ambiante.

Mais bientôt, ce ne fut plus suffisant pour le jeune Weasley qui en voulait plus, qui voulait la sentir trembler sous ses caresses plus approfondies, la faire gémir de plaisir.

Il passa alors une main le long des courbes gracieuses de la belle et quand il atteint l’élastique de ce qui emprisonnait encore la contrée dans laquelle il se languissait de s’aventurer, il la fit basculer à même le sol, sur le dos.

Elle se cambra un instant provoquant sous la vision qu’elle offrait une décharge dans le bas ventre du rouquin qui sentit son excitation à son summum.

Il s’empressa de passer ses doigts sous le fin tissu et effleura du bout des ongles, la peau délicate de son petit puis d’amour.

D’un mouvement leste du bassin, elle l’incita à enfin approfondir sa caresse, faisant sourire de malice le jeune homme, satisfait de provoquer tant d’impatience chez la petite Serdaigle.

Enfin, il répondit à ses attentes, et glissa deux doigts dans l’exiguïté offerte, faisant échapper un soupir de plaisir à la jeune demoiselle.

Quand il imprima de légers mouvements de va et vient tout en caressant d’une main experte, la douce poitrine de son amante, elle ne put retenir quelques cris qui poussèrent son bourreau à se pencher en avant, relever rapidement l’étau de laine qui empêchait encore à ses yeux de découvrir sa poitrine et d’une bouche gourmande, il se saisit d’une des charmantes collines, jouant insidieusement avec l’une des petites protubérance de chair qui les surplombaient.

Il se fit plus ardent dans ses gestes, oubliant un instant, douceur et galanterie.

Même si à l’intérieur, leur sang bouillait dans leur veine, leur peau ne manquait pas de prendre cette petite couleur bleutée trahissant un froid glacial.

Il se coucha expressément sur elle, prenant bien soin de lui faire sentir à quel point son désir était saillant.

Elle ne manqua pas d’apprécier ce contact sur sa peau et bougea son bassin du mieux qu’elle pu, accélérant les immixtions lubriques, des doigts du Gryffondor.

Se sentant légèrement à l’étroit dans ses propres vêtements, Ron se dépêcha d’envoyer promener son pantalon et boxer à l’autre bout de la pièce.

Il était libre enfin. Libre de se repaître du plus délicieux des plaisirs par la partie la plus encline à l’apprécier, de son anatomie.

Il déposa un nouveau baiser passionné sur les lèvres entrouvertes et impatientes et se positionna à l’entrée de sa belle.

Elle passa sa langue sur ses lèvres et déglutit difficilement en se cambrant pour pencher sa tête en arrière.

Prenant cette initiative de sa part comme une tentative désespérée de passer enfin à l’acte, il s’insinua en elle violemment, la faisant pousser un cri de surprise.

Elle planta ses ongles dans les épaules robustes du jeune Weasley, qui poussa un puissant coup de rein en arborant un sourire vainqueur.

Quel plaisir de se sentir ainsi si puissant ! Maître de tous les désirs et de toutes les perversions. Ainsi à sa merci, il pouvait se venger de la rancœur qu’il avait contre elle.

Et pourtant, malgré les coups violents qu’il assainissait, elle continuait de lui jeter de sempiternels regards enflammés, presque reconnaissants.

Quand il la regardait, il perdait tous ses moyens.

Pourquoi ne pouvait-il pas se sentir plus grand ? Plus bourreau que victime ?

Il enfoui son visage au creux de sa nuque afin de ne plus croiser ce regard lui faisant perdre toute assurance.

Il passa ses mains sous la taille fine de la jouvencelle afin de pouvoir la rehausser et pouvoir ainsi s’immiscer plus profondément en elle.

Elle répondait à ses assauts par des gémissements réguliers, ponctué par de longues griffures le long de la colonne vertébrale de Ron, qui devait serrer les dents pour ne pas hurler.

Son étreinte se fit plus forte quand il sentit le plaisir de sa maîtresse se faire plus pressant.

D’un mouvement agile, il la retourna sur le ventre et releva brutalement son bassin contre le sien.

Sous la rapidité du geste, elle n’avait pas eu le temps de répliquer et du subir avec délectation la nouvelle torture que lui infligé son bourreau avec plus de hargne et de ferveur.

Cette position lui offrait une vue plus qu’intéressante sur la chute de rein vertigineuse de la brunette et il sentit monter en lui cette excitation dû par la domination qu’il avait longtemps recherché.

Enfin il reprenait le contrôle. Il ne croisait plus ses prunelles scintillantes.


- Tu aimes ça, hein ? Lança-t-il sans vraiment prendre conscience des mots qui venait de sortir de sa bouche.


Elle ondula du bassin pour signifier son contentement et quand il lui assainit un puissant coup de rein en lui enserra fermement la taille, elle s’écria :


- Ha….Harry, oui….


Pendant un instant, Ron stoppa ses assauts.

Puis sentant les mouvements sous lui reprendre de plus belle, il acheva sa besogne en appuyant fermement sur le bas des reins de la Serdaigle, la forçant à se cambrer d’avantage, et par des mouvements secs et sans douceur, démontrant une colère plus qu’évidente, il laissa son plaisir le submerger dans un cri de délivrance auquel s’unit celui de sa maîtresse.

Il s’allongea doucement sur elle, lui saisit avec irritation ses deux pommes d’amour et donna deux derniers coups de reins plus violents que jamais en poussant un râle de plaisir qu’il étouffa dans l’épaule de sa belle.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Ron
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Mardi 18 juillet 2 18 /07 /Juil 19:38

Rock’n roll attitude

Une aventure sexuelle de Harry Potter en quatrième année

 

Avec : Ron Weasley, Angelina Jonhson, Fred Weasley et les Bizarr’Sisters

 

 

 

 

 

            Ron passa le trou pour sortir de la salle commune des gryffondors. Il était encore rouge de colère de la dispute qu’il venait d’avoir avec Hermione et il avait besoin d’aller faire quelques pas pour se détendre. Harry avait voulu l’accompagner mais il préférait rester seul pour le moment. Pour lui, le bal de Noël avait été un fiasco complet. Non seulement Hermione l’avait énervé mais en plus il n’avait pas assez fait attention à Padma, sa cavalière, et se retrouvait seul pour finir la soirée. Il ruminait encore ce qu’elle lui avait dit, ou plutôt hurlé, quelques minutes plus tôt. Au fond de lui-même, Ron savait très bien que Hermione n’était pas assez bête pour se laisser manipuler par Krum et lui donner des détails sur Harry. En fait il ne comprenait pas très bien pourquoi cette histoire l’énervait tant. Et cela le remplissait encore plus de colère.

 

            Ron descendit un escalier. Il ne savait pas trop où il allait mais, perdu dans ses pensées, il ne s’aperçut même pas qu’il était passé devant la grande salle laissant encore échapper quelques notes de musique. Il tourna dans un couloir où il aperçut un couple étroitement enlacé. Une mèche rousse s’attardait dans une multitude de petites tresses africaines. Ron fut exaspéré. Déjà énervé et seul, il n’avait aucune envie de voir l’un de ses frères avec l’une des plus jolie fille de Poudlard. Ne voulant pas rebrousser chemin pour autant, Ron rentra la tête entre les épaules et traversa le couloir de grandes enjambées nerveuses, espérant que les tourtereaux seraient trop occupés pour s’occuper de lui. Mais une voix l’arrêta.

 

« Eh bien petit frère, qu’est-ce que tu fais là… tout seul ? »

 

Ron se tourna lentement en soupirant. Il eut toutefois le temps de voir Angelina rajuster le bas de sa robe ce qui ne le calma pas du tout.

 

« Rien, répondit-il, je ne fais que passer.

_ Je te connais quand tu as cette tête là, reprit Fred, j’ai comme l’impression que tu n’as pas passé une excellente soirée, non ?

_ Qu’est-ce que ça peut te faire ? »

 

Il tourna les talons pour repartir mais il n’avait pas encore fait un pas qu’une main le pris par l’épaule. Il fit volte face, près à hurler à Fred de le laisser tranquille, mais il se retrouva face à Angelina qui lui souriait.

 

« Si ça ne va pas tu peux nous en parler tu sais. »

 

Dans le dos de la jeune noire, Fred fit une grimace, exprimant clairement qu’après avoir un peu jouer avec les nerfs de son petit frère il était très pressé de reprendre là où Angelina et lui s’étaient arrêtés.

 

            Ron regarda la jeune fille et se sentit tout de suite un peu calmé. De toute façon, même hors de lui, il ne se serait jamais permis de crier sur Angelina.

 

« Non ça ira, grommela-t-il, merci. »

 

Fred poussa un soupir de soulagement, mais la jeune noire revint à la charge.

 

« Ecoute, viens avec nous. On va se trouver un endroit tranquille pour discuter. Je suis sûre que tu seras plus calme ensuite. Tu veux bien Fred chéri ? »

 

Fred s’apprêtait à répondre un « pas question » franc et massif mais devant Angelina qui lui faisait les yeux doux, il se trouva désarçonné.

 

« Paksstion !

_ Plaît-il ?

_ Euh… je… ben… je disais… oui bien sûr. »

 

Angelina sembla ravie et entraîna Ron par la main vers une porte. Celui-ci n’avait pas très envie de discuter mais il n’osa pas refuser la proposition de la jeune fille. Fred lui suivit d’un air bougon.

 

            La pièce était remplie de nombreuses caisses qui apparemment servaient à ranger des instruments de musique.

 

« C’est une réserve qui a été prêtée aux Bizarr’Sisters pour leur matériel, fit Angelina. Le bal doit être finit mais elles sont sûrement restées avec les profs. On sera tranquilles. »

 

Fred s’assit sur une caisse en boudant toujours. Ron, mal à l’aise, s’assit sur une autre à côté de lui.

 

« Vous en faites de ces têtes, reprit Angelina, il va falloir mettre le paquet pour vous dérider. »

 

Ron ne savait plus très bien ce qui se passait, mais il cessa totalement de penser lorsqu’il vit la jeune noire remonter lentement le bas de sa robe sur ses cuisses tout en esquissant une légère danse sensuelle. Elle s’arrêta à la limite de son entrejambe et se tourna lascivement pour que les garçons aient bien vu sur l’étoffe qui enserrait son petit cul parfait. Ron risqua un œil vers son frère et s’aperçut qu’il ne boudait plus du tout mais il avait les yeux fixés sur le corps de la jeune fille. Angelina bougeait ses hanches avec lenteur, laissant l’étoffe de sa robe dessiner le moindre contour de ses petites fesses rondes. Ron dût admettre qu’il aimait bien ce genre de discussion.

 

            La jeune noire savait l’effet qu’avait cette petite danse sur les garçons et sur une bonne partie des filles. Le fait qu’elle n’entendait plus le moindre grognement ou soupir lui donnait raison. Elle laissa retomber le bas de sa robe et fit passer ses tresses devant elle. Elle se tourna lentement tout en faisant glisser les fines bretelles du vêtement de soirée sur ses épaules et le laissa tombé sur ses hanches. Ses cheveux recouvraient sa poitrine mais les garçons n’avaient qu’à regarder les renflements qu’elle produisait pour la deviner superbe. Au rythme de la danse, quelques petites tresses africaines s’écartaient parfois pour laisser entrevoir une petite partie des magnifiques seins. Angelina s’approcha lentement des deux garçons en leur jetant un regard gourmand. Lorsqu’elle fut tout près d’eux, elle lança sa tête en arrière et fit voler ses petites tresses pour les renvoyer dans son dos. Ni Fred, ni Ron ne firent le moindre mouvement. Comme si la beauté parfaite de cette poitrine gonflée de désir leur était interdite.

 

            La jeune noire était apparemment très à son aise devant la béatitude des deux garçons. Avec un sourire malicieux, elle remonta lentement leurs robes de soirées sur leurs cuisses. Elle s’avança encore un peu de sorte que ses jambes se trouvaient entre les genoux de ses partenaires. Elle s’assit sur leurs cuisses et passa doucement ses mains sous leurs vêtements retroussés. Elle rencontra les deux membres virils qu’elle dégagea de leurs caleçons avant de les masser avec adresse. Les garçons semblèrent soudain se réveiller grâce au voluptueux contact. Fred s’empara des seins magnifiques et les caressa avec envie tout en goûtant à leurs extrémités sensibles. Ron savourait la tendresse de la cuisse ferme qui se trouvait entre ses jambes. Angelina devinait ce dernier encore un peu timide. Elle se pencha vers lui et l’embrassa avec fougue. Le désir de la jeune fille l’enivra et Ron laissa sa main glisser sur la peau douce pour passer sous la robe. Ses doigts s’ingénièrent à deviner le moindre contour de l’intimité de la jeune noire à travers la mince paroi de sa petite culotte et il s’arrêta sur le petit bouton d’amour qu’il se mit à agacer vigoureusement. Les halètements d’Angelina à ses oreilles lui procurèrent plus de plaisir que la main qui s’était emparée de son membre.

 

            La jeune fille semblait ravie. Elle se releva, lâchant les pieux de chair au plus grand dam de leurs possesseurs, et se tourna pour qu’ils aient une vue imprenable sur son petit derrière aux courbes merveilleuses. D’un mouvement des hanches, Angelina fit tomber sa robe à ses pieds. Elle remarqua une grande caisse large qui aurait pu servir de table basse à Hagrid. La jeune noire s’allongea lentement sur le côté, légèrement recroquevillée. Elle ressemblait à une proie fatiguée de courir, attendant résignée son prédateur à qui elle ne pouvait plus que s’offrir. Sauf que son regard de braise n’inspirait aucun regret mais fouettait le sang des deux garçons, leur brûlant le bas ventre. Fred et Ron se levèrent comme un seul homme et s’approchèrent de la jeune fille. Leurs mains n’en finissaient pas de découvrir chaque courbe de ce corps gracile. Angelina ne faisait aucun mouvement. Elle avait amené les garçons à agir d’eux mêmes et il leur revenait d’aller plus loin. Fred, remarquant que la caisse mettait Angelina juste à hauteur de leurs hanches, s’avança vers la tête de la jeune fille devant laquelle il brandit son membre. Elle ouvrit à peine les lèvres, faisant comprendre à son partenaire que c’était à lui d’agir. Et il ne s’en priva pas. Fred posa les mains sur la nuque et les cheveux de la jeune noire et fit lentement entrer son sexe gonflé dans la petite bouche offerte. Il fit de longs va et viens dans la fine gorge de sa camarade qui restait passive.

 

            Ron s’était assis sur le bord de la caisse et s’était penché sur la croupe divine de la jeune fille. Ses doigts avaient immédiatement retrouvé le beau petit coquillage d’Angelina et avaient contournés la paroi de tissu pour l’explorer plus en profondeur. Sa langue avait parcouru le dos de la jeune fille, descendant avec lenteur vers la chute des reins, goûtant avec plaisir à l’arrondi des petites fesses, sur lesquelles il s’attarda, avant de descendre dans l’étroit sillon le conduisant au petit puit secret qu’il dévora avec fougue. Angelina laissa les garçons utiliser son corps comme ils le voulaient encore quelques temps mais elle sentait son excitation devenir de plus en plus forte et l’inaction lui semblait de plus en plus intolérable. Elle finit par ne plus pouvoir tenir et se redressa d’un coup pour se retrouver à quatre pattes sur la caisse. Elle entoura les hanches de Fred de ses bras, posant sa tête contre le ventre du garçon, et reprit la virilité en bouche dans un rythme passionné. Ron contemplait le petit fessier parfait qui lui faisait face. La petite culotte était descendue juste en dessous des deux globes de chair entre lesquels s’offrait le petit anus. Il s’avança et s’empara de la superbe poitrine de la jeune noire tandis que son membre s’installait confortablement entre les deux collines chaleureuses. Son gland se posa sur le puit secret. Ron donna un coup de rein puissant qui fit pousser un gémissement étouffé à Angelina.


 

 

            La jeune fille se retrouva rapidement à ruer sur les deux dards avec force. Maintenant qu’elle avait repris le contrôle, elle se déchaînait corps et âme sur les garçons qui ne demandaient pas mieux. Ron dû toutefois relâcher les seins magnifiques sous la fougue d’Angelina. Il fit glisser ses mains sur la douce peau du ventre pour parvenir au trésor intime de la jeune noire que ses doigts envahirent à nouveau. Tout le corps de la jeune fille frémit. Fred haletait sous les mouvements des lèvres frénétiques. Ni tenant plus, il immobilisa les tresses africaines qui dansaient contre son ventre et se répandit dans la gorge de son amie. Angelina savoura le nectar de jouissance avec plaisir tandis que Ron s’activait toujours dans ses deux orifices intimes. Elle sentait son partenaire sur le point de jouir également et se mit à nouveau à aller au devant de ses coups de boutoir lorsque la porte de la salle s’ouvrit brusquement.

 

            Sur le seuil se dessinaient quatre silhouettes dans de longues robes de sorciers. Elles restèrent figés quelques secondes puis s’avancèrent un peu en refermant la porte. Les trois partenaires reconnurent les Bizarr’sisters.

 

« Eh bien il ne faut pas vous gêner, lança la plus grande d’entre elles, vous savez ce que coûte ce genre de matériel.

_ Ne soit pas si dure avec ces jeunes, intervint l’une de ses compagnes aux cheveux teints en bleu nuit, ils ne faisaient rien de mal après tout.

_ Quand même, ce n’est pas une chambre d’hôtel ici ! »

 

Ron s’était rapidement retiré d’Angelina et, tout comme elle et Fred, tentait de se cacher de ses mains. Mais il était encore très excité et il constata que la jeune noire, également au bord de laisser exploser tout son plaisir, avait beaucoup de mal à ne rien laisser paraître de son trouble tandis que les musiciennes discutaient.

 

« Après tout les caisses sont solides, disait une blonde avec une grande tresse, ils n’ont pas pu abîmer quoi que ce soit.

_ Je crois qu’il faudrait s’occuper un peu de nos invités surprises, intervint la quatrième fille aux longs cheveux noirs et soyeux, ils n’ont pas l’air dans leurs assiettes. »

 

En effet, Angelina et Ron, interrompu au bord de la jouissance mais non moins excités, commençaient à transpirer, espérant pouvoir partir au plus vite pour se soulager.

 

La plus grande, aux cheveux bruns coupés courts, s’avança vers la jeune fille recroquevillée sur la caisse et repoussa ses petites tresses africaines pour voir son visage.

 

« Tu sais que tu es très mignonne toi ? J’ai l’impression que nous ne sommes pas arrivés au bon moment, n’est-ce pas ma belle ? Ne t’inquiète pas, on va arranger ça. Tu vas pouvoir goûter au savoir faire d’une spécialiste. »

 

Elle fit signe à la fille aux cheveux noirs. Celle-ci s’avança et s’agenouilla devant la jeune noire. Elle lui caressa doucement la joue puis posa ses lèvres sur celles d’Angelina. La jeune adolescente, ne pouvant plus attendre, lui rendit son baiser avec fougue.

 

« Tu m’as l’air bien disposée ! Mais attend la suite ! »

 

La musicienne retira sa robe. Elle fit allonger Angelina sur le dos et se coucha sur elle. Elle s’empara des seins magnifiques et continua de l’embrasser. Son intimité se frotta contre celle de la jeune fille qui l’entoura de ses bras.

 

            « Il faudrait s’occuper aussi de ces garçons, fit celle aux cheveux courts tout en introduisant deux doigts dans le beau coquillage de la jeune noire, ils vont se sentir seuls »

 

Aussitôt, les deux autres jeunes femmes retirèrent leurs vêtements. La blonde à la tresse s’approcha de Fred. Elle s’assit sur une autre caisse et l’enveloppa d’un regard coquin tandis qu’elle écartait les jambes. Fred n’eut pas besoin de plus d’explication et plongea la tête entre ses cuisses. Du bout de la langue, il titilla le petit bouton d’amour. La musicienne posa les mains sur sa tête en poussant un gémissement de plaisir. Le garçon s’enhardit et emprisonna la chair sensible entre ses lèvres pour la déguster à loisir. La blonde frissonnait sous chaque coup de langue. De ses pieds, elle caressait les cuisses et les hanches de son partenaire puis elle se mit à manipuler le membre vaincu avec ses orteils pour lui redonner consistance.

 

            La fille aux cheveux bleu nuit s’était approchée de Ron. Elle avait pris son sexe fébrile en main et avait commencé à le caresser doucement.

 

« Tu as attendu bien assez longtemps, lui fit-elle, il va te falloir un traitement de choc. »

 

Ron ne répondit rien tant il était pressé de jouir enfin. La jeune femme lui demanda de se lever puis s’agenouilla devant lui. Elle entoura le dard impatient de ses deux tendres monts de venus et le caressa ainsi avec lenteur. Elle posa plusieurs baisers sur le ventre du jeune garçon, le léchant doucement par endroit. Ron croyait que tout son bas ventre allait exploser. Un éclair lui parcouru le dos et sa semence se répandit sur la poitrine et la gorge de sa partenaire. Celle-ci prit tout son temps pour nettoyer consciencieusement le pieu de chair. Puis, toujours à genoux, elle se tourna vers la fille aux cheveux courts et lui caressa la jambe. Cette dernière se retourna et cessa la masturbation frénétique de l’intimité d’Angelina pour venir s’abreuver du nectar de jouissance répandu sur sa camarde. Ron les regardait faire sans rien dire. Son membre à peine vaincu se relevait déjà sous les charmes du joli tableau. La fille aux cheveux bleu nuit l’ayant remarqué, elle laissa son amie retourner explorer le sexe de l’adolescente noire et s’allongea sur le sol. Ron se coucha immédiatement sur elle, plus excité que jamais, et la pénétra d’un coup de rein.

 

            Angelina se laisser porter par les douces caresses de ses amantes. Elle ne pouvait que parcourir le corps de la fille aux cheveux noirs de ses mains et avait d’ailleurs choisis de s’arrêter sur ses fesses qu’elle massait avec insistance. Elle avait sentit que celle qui s’amusait avec son trésor intime l’avait quitté quelques instants puis était revenue en usant cette fois-ci de sa langue. Angelina ne pu s’empêcher de pousser un long râle de plaisir tandis que sa liqueur d’amour se répandait dans la bouche de la musicienne qui n’en perdit pas une goutte. La fille aux cheveux courts se releva doucement l’air ravie.

 

« Décidément, fit-elle, cette petite est délicieuse sous tout rapport. Elle mérite ce qui se fait de mieux. »

 

Elle fit apparaître deux godes ceintures tandis que la fille aux cheveux noirs se relevait. Elles enfilèrent les sexes factices autour de la taille puis la brune s’allongea sur le dos en lançant à l’adolescente un regard coquin. Angelina s’avança à quatre pattes jusqu’à être au-dessus d’elle puis s’empala d’un grand coup sur le gode dressé. La musicienne malaxait sa magnifique poitrine avec enthousiasme tandis qu’elle la chevauchait avec fougue. La jeune noire sentit des mains écarter ses fesses parfaites et le deuxième membre factice venir se presser contre son puit secret. Angelina réprima difficilement un cri lorsque son petit anneau fut à nouveau envahit. Elle ne pouvait pas bouger et laissait les deux jeunes femmes aller et venir en elle tandis que des mains et des langues parcouraient tout son corps d’albâtre. Les musiciennes appréciaient apparemment autant de voir la jeune adolescente haleter et gémir sous leurs coups de boutoir qu’Angelina d’être ainsi possédée avec fougue. A l’instant où la jeune noire poussa un feulement de plaisir, les deux jeunes femmes gémirent également et leurs nectars de jouissances se mélangèrent entre leurs cuisses. Angelina s’écroula sur la brune tandis que la fille aux cheveux noirs s’allongeait à leurs côtés. Toutes trois épuisées se caressèrent et s’embrassèrent tendrement dans l’attente de retrouver leurs forces.

 

            Fred buvait à la source de tous les plaisirs lorsque sa langue envoya sa partenaire au septième ciel. Mais les caresses que celle-ci lui avait procurées l’avaient remis en forme et il n’entendait pas s’arrêter en si bon chemin. La jeune femme blonde l’espérait également. Elle se tourna alors, genoux au sol et poitrine sur la caisse, et offrit sa croupe accueillante à son partenaire. Fred ne se fit pas prier et écarta les deux jolies fesses. Il joua quelques secondes de l’extrémité de son gland sur le petit anus, jusqu’à ce que son amante pousse un gémissement d’impatience plein de désir et entra enfin en elle. Fred commença à aller et venir lentement puis se fit de plus en plus pressant. Mais il était encore loin des envies de la jeune femme qui se mit à venir au devant de lui avec force. Elle se releva, collant son dos contre le torse du garçon, et continua de s’activer avec vigueur. Fred avait du mal à coulisser en elle dans cette position qui la rendait très serrée. Il s’accrocha aux seins de sa partenaire et continua ses coups de boutoirs déjà fougueux. Le jeune garçon pensait, avec raison, qu’il ne tiendrait pas longtemps à ce rythme là. Il sentait peu à peu la jouissance envahir son corps et se retenait à grande peine de ne pas se laisser aller. D’un coup, la jeune femme poussa un cri de jouissance et son torse s’affala sur la caisse. Réjouis à l’idée d’avoir tenu si longtemps, Fred se ficha profondément en elle et laissa son nectar de jouissance se répandre dans le dos de sa partenaire.

 

            Ron avait très envie de la jeune femme sur le sol et le lui avait fait savoir dès ses premiers coups de reins vigoureux. Bien qu’il soit grand pour son âge, sa partenaire le dépassait d’une bonne tête, ce qui lui laissait tout le loisir de savourer sa poitrine généreuse. La fille aux cheveux bleu nuit lui caressait tout le corps. Elle passa doucement sur ses fesses pour venir masser les deux bourses de son amant. Ron sentit un nouvel éclair lui vriller la colonne vertébrale mais il réussit à grandes peines à retenir sa jouissance. La musicienne semblait prendre beaucoup de plaisir à le mettre ainsi au supplice. Ron se décida à réagir. Il roula sur le côté et, malgré la différence de taille, entraîna la jeune femme avec lui qui se retrouva à chevaucher le jeune adolescent. Mais si elle l’avait lâché, Ron se rendit compte qu’il avait fait une erreur. La fille aux cheveux bleu nuit était désormais la seule à choisir le rythme de leur union et elle en profita, se lançant avec force sur le membre prêt à laisser éclater son plaisir. Le jeune garçon avait toutes les peines du monde à ne pas se laisser aller. Il s’accrochait à la taille fine de sa partenaire pour rester concentré lorsque lui vint une idée. Il contourna les hanches rondes pour introduire deux doigts dans le petit anneau de la jeune femme qui poussa un cri de plaisir. Ron explorait son intérieur avec autant de vigueur que ses ruades. La musicienne se sentit venir et décida dans un sourire de laisser le combat s’achever en libérant son plaisir. A peine avait-il reçu les premières gouttes de liqueur d’amour sur ses cuisses que Ron poussa un long râle en se répandant dans le ventre de la fille aux cheveux bleu nuit. Celle-ci s’allongea à nouveau sur le sol et attira le jeune adolescent à elle. Elle le laissa se reposer sur son opulente poitrine en le caressant doucement et en le gardant fiché en elle.

 

            Malgré la nuit qui se faisait tardive, les adolescents et les musiciennes se mélangèrent encore longtemps. Pendant les quelques temps de repos qu’ils s’accordaient, les Bizarr’s Sisters leur expliquèrent que pendant le concert elles avaient regardé les étudiants pour repérer les garçons et les filles qui leurs plaisaient. Evidemment, Angelina a tout de suite fait partit du lot mais elles n’avaient pas espéré pouvoir la rencontrer ici. Ce n’est que lorsque le petit matin approcha qu’ils se séparèrent tous enfin en espérant pouvoir se revoir un jour.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Ron
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