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Lundi 23 juillet 1 23 /07 /Juil 17:59
Première rentrée à Poudlard

Une aventure sexuelle de Harry Potter en première année

Avec : Lavande Brown, Parvati Patil







    Jamais de sa vie, Lavande Brown n'avait vu un hall aussi immense que celui de Poudlard. Il était si grand qu'elle en avait le vertige en regardant le plafond. Elle était entourée d'inconnus de son âge qui, eux aussi, regardaient les alentours avec étonnement. Mais même s'ils semblaient tous ressentir la même chose, Lavande n'était pas rassurée pour autant. Elle commençait sérieusement à regretter ses amies de son ancienne école. Aujourd'hui, entourée d'une foule de gens, elle était toute seule.

    Mais elle ne savait pas encore le pire. A peine arrivée dans la grande salle qui lui faisait aussi tourner la tête, elle fut appelée pour mettre le choixpeau magique devant les regards scrutateurs des professeurs et de tous les élèves rassemblés. Elle crut voir un groupe de garçon la regarder avec une attention particulière qui la mettait mal à l'aise. Elle s'assit, posa le chapeau sur la tête et fut envoyée à Gryffondor. En redonnant le chapeau à la directrice adjointe, qui n'avait pas particulièrement une tête sympathique, elle dut reprendre ses esprits quelques secondes avant d'être sûre de s'asseoir à la bonne table d'où elle ne bougea plus.

    Elle fut vite rejointe par plusieurs élèves de son âge, ses nouveaux camarades de classe, pensa-t-elle. Le repas lui redonna un peu de coeur au ventre mais elle ne prit pas beaucoup part aux discussions, se contentant surtout d'écouter les plus anciens leur donner des conseils. Lorsqu'ils eurent terminés, ils prirent des chemins inimaginables et Lavande était sûre qu'elle n'arriverait jamais à se retrouver dans les dédales du château.

    Enfin vint l'un des moments qu'elle redoutait, se retrouver seules avec les filles qui partageraient sa chambre pendant toute l'année scolaire. Très intimidée, Lavande se contenta d'une présentation sommaire de sa personne lorsque Hermione et Parvati l'eurent également fait. Les filles discutèrent un peu et Lavande se rassura. Elles avaient l'air sympathique finalement. Mais le voyage jusqu'à Poudlard les avait épuisées et elles décidèrent de se coucher au plus vite. Lavande était assez pudique et elle ne se résolut pas facilement à se déshabiller devant les autres. Toutefois, Hermione et Parvati n'étaient pas gênées le moins du monde et agissaient avec naturel. Elle se força donc un peu pour ne pas paraître distante mais enfila rapidement son pyjama. Puis elles se souhaitèrent bonne nuit et se couchèrent.

    Lavande ne trouva pas le sommeil. Certes, les filles semblaient gentilles et l'école était belle mais elle ne parvenait pas à effacer le sentiment de solitude qui faisait comme une boule dans son ventre. Des larmes s'échappèrent de ses yeux et elle étouffa des sanglots dans son oreiller. Par besoin d'oxygène, elle en laissa échapper malgré elle un ou deux assez sonores. Elle espérait n'avoir pas dérangé Hermione ou Parvati mais dût se rendre à l'évidence que ce n'était pas le cas en entendant des pas légers s'approcher de son lit. Lavande prit une grande inspiration, essuya ses yeux du revers de sa manche et se tourna. Parvati s'assit sur le lit et demanda à voix basse :

« Tout va bien ?
_ Oui. Excuse-moi, je ne voulais pas te réveiller.
_ Je ne dormais pas encore. Dis-moi ce qui t'arrive.
_ Non ce n'est rien. Laisse ! »

Parvati avança une main et caressa la joue de Lavande sur laquelle perlait encore une larme.

« Je n'ai pas l'impression que ce n'est rien. Vas-y raconte-moi.
_ Ce n'est pas grave. Je suis idiote. C'est que... j'ai un peu peur... d'être ici.
_ Tu n'es pas idiote. Moi aussi j'ai un peu peur. Et je suis sûre que si l'on réveillait Hermione, elle nous dirait la même chose.
_ C'est vrai ?
_ Oui. Moi je croyais que je serai avec ma soeur. On est jumelle, on est toujours ensemble. Mais elle a été à Serdaigle. On a beau être dans la même école, c'est la première fois qu'on est séparée ainsi. Alors tu vois, tu n'as pas de raison d'avoir honte. Je suis sûre que pleins de premières années vont plutôt mal dormir cette nuit.
_ Merci Parvati. Je suis désolée de t'avoir dérangé. »

Parvati lui caressa les cheveux avec douceur.

« Ne t'inquiète pas. En fait ça me fait du bien de parler un peu aussi. »

La jeune fille grelotta. Le froid dans la chambre se faisait plus intense et Parvati ne portait qu'une nuisette. Lavande le remarqua et repoussa ses couvertures.

« Viens. J'aimerai bien que tu restes encore un peu... sauf si tu veux retourner dans ton lit. »

Parvati se glissa rapidement à côté de Lavande et rabattit les couvertures.

« Non, je n'ai pas encore sommeil mais il fait vraiment trop froid pour ne pas accepter ce genre d'invitation. Je suis gelée. »

Lavande constata effectivement que Parvati tremblait un peu. Elle se colla un peu contre elle et l'entoura d'un bras.

« Je vais te réchauffer un peu, ma pauvre.
_ Pour ça, je suis toujours d'accord. »

    Parvati se colla beaucoup plus contre la mignonne et posa ses lèvres sur les siennes. Lavande resta tétanisée quelques secondes. Elle comprit en un éclair qu'elle était en train de savourer la tendresse des lèvres de Parvati et recula soudain.

« Qu'est-ce que... »

Lavande s'écarta de la jeune fille avec précipitation et faillit en tomber du lit.

« Mais qu'est-ce que tu fais ?
_ Quoi ? Tu... ce n'étais pas... une invitation...
_ A rester avec moi. Pas à... à...
_ Oh, excuse-moi, fit Parvati horrifiée. Je suis trop bête. C'est une habitude... avec ma soeur...
_ Ta soeur ? S'écria Lavande.
_ Chut ! »

Dans le lit en face, Hermione remua un peu mais ne se réveilla pas. Parvati reprit doucement.

« Oui. Avec ma soeur nous partageons beaucoup de choses et nous avons découvert beaucoup de choses ensemble. Mais ce n'est pas si grave enfin.
_ Tu... tu aimes les filles ? Demanda Lavande à voix basse.
_ Oui. Mais pas seulement. J'aime aussi beaucoup les garçons. Tu sais je... »

Parvati voulut mettre sa main sur l'épaule de Lavande mais celle-ci eut un autre mouvement de recul qui manqua à nouveau de la faire tomber.

« Calme-toi, Lavande ! Je n'ai jamais forcé personne pour ça. Je ne te ferai pas de mal. Je ne te ferai rien du tout même, si tu n'as pas envie.
_ Pardon. Je ne veux pas te vexer mais je trouve ça... bizarre.
_ Bizarre ? Tu t'es déjà posés des questions sur l'amour entre filles ? »

Lavande rougit jusqu'aux oreilles.

« Euh... non... pas vraiment.
_ Tu sais ça n'a rien d'exceptionnel. Des baisers, des caresses, pas grand chose de plus. Ce n'est rien de grave.
_ Et tu... tu voulais faire ça... avec moi ? »

    Parvati regarda ce que les couvertures de la jeune fille ne cachaient pas. Sa respiration faisait lentement monter et descendre une petite poitrine naissante qui se dessinait sous le haut du pyjama. Ses lèvres, légèrement entrouvertes, semblaient deux fruits bien mûrs qui demandaient que l'on goûte leur saveur. Même dans le noir, ses yeux semblaient briller comme une constellation d'étoiles.

« Je pense que tu serais rassurée si je te disais non, reprit Parvati, mais ce serait te mentir et je veux être franche avec toi. Tu es très belle Lavande. Et j'aurai aimé te montrer ce que c'était. J'ai adoré t'embrasser.
_ En fait… moi… moi aussi ! »

Parvati parut surprise. Lavande pensait bien que cela la chamboulerait un peu. Mais elle aussi avait l’intention d’être franche. Et elle devait l’admettre. Ce baiser lui avait plu.

« Ecoute ! Reprit-elle. C’est vrai que j’ai aimé ton baiser mais je ne sais pas encore ce que ça signifie. Je ne sais pas si… ça me fait vraiment envie… ou si c’est juste la peur qui me fait faire un peu n’importe quoi.
_ Tu as peur avec moi ?
_ Non, c’est vrai. Mais je suis un peu perdu. »

Parvati laissa à nouveau une main caresser les cheveux de la mignonne qui lui faisait face. Cette fois-ci, Lavande ne recula pas.

« Ce n’est pas grave, fit Parvati. »



La jeune fille allait pour se relever et rejoindre son lit mais Lavande attrapa son bras.

« Dis… tu… tu veux bien… recommencer ? … Juste le baiser… s’il te plaît.
_ Tu joues à un jeu dangereux ma belle, fit Parvati en se retournant. »

Lavande ne dit rien et se contenta de la regarder intensément. Du reste, Parvati n’attendait aucune réponse et prit doucement les lèvres de sa jolie compagne. Lavande, cette fois-ci, répondit au baiser et apprécia pleinement l’agréable trouble de l’esprit que cela lui procurait. Elle ne pouvait nier qu’elle aimait ça, elle en était maintenant sûre. Elle sentit une main glisser lentement sur le fin tissu de son pyjama, partant de son épaule pour s’arrêter sur son petit sein. Lavande frémit mais ne la retira pas. Parvati glissa sa bouche vers l’oreille de sa gracieuse partenaire.

« Je ne te ferai jamais rien que tu ne veuilles pas faire, murmura-t-elle dans un souffle. Tu n’as qu’à me dire quand m’arrêter. A n’importe quel moment. Je n’irai pas plus loin que là où tu le souhaites. »

Lavande ne bougea pas. Elle attendit simplement que les lèvres de sa belle camarade viennent se poser à nouveau sur les siennes. Parvati passa sa main sous le petit haut du pyjama. Elle remonta doucement sur la taille fine et la peau satinée de la jeune fille jusqu’à s’emparer de la petite colline qu’elle venait à peine de quitter. Ses doigts cajoleurs caressèrent le tendre sommet érigé avec mille attentions. Avec douceur, elle glissa sa langue habile entre les lèvres de la jeune ingénue qui n’y opposa aucune résistance. Son autre main avait reprit ses caresses dans les longs accroche-cœurs de Lavande qui gisaient sur son oreiller.

    Jamais Parvati ne brusqua ses mouvements. Jamais elle ne parut pressée ou impatiente. Chacun de ses gestes était calculé, millimétré pour que Lavande en apprécie le moindre contact. Parvati enleva la barrière de vêtement qui recouvrait le torse de l’objet de ses désir. Sa bouche gourmande mais réfléchie s’empara du petit sein jusqu’ici oublié tandis que sa main massait toujours l’autre avec douceur. Mais cette dernière avait un autre but. Lentement, elle glissa sur l’arrondi à peine éclos et descendit peu à peu sur le ventre plat et tendre de Lavande qui, bien qu’encore peu connaisseuse de ce genre de choses, avait déjà deviné l’objectif final des doigts attentionnés. Ils passèrent en effet sous l’élastique du pantalon mais s’arrêtèrent aussitôt. Parvati savait que ce moment était crucial. Le moindre empressement pouvait complètement braquer la mignonne encore indécise. Du geste suivant dépendrait tout le reste de la nuit.

    Parvati libéra le petit sein et releva la tête. Elle plongea son regard dans celui mêlé de crainte et d’envie de Lavande. Elle se contenta de la regarder avec douceur. Pour toute réponse, la petite novice entoura son amante de ses bras et l’attira contre elle, impatiente de goûter sa langue à nouveau. Parvati laissa alors sa main descendre et effleurer le tendre sanctuaire de Lavande. Elle trouva le petit bouton d’amour de la belle et se mit à l’agacer par de petites cajoleries du bout des doigts. Elle sentait les dernières défenses de Lavande fondre comme neige au soleil. Parvati fut heureuse lorsque les mains de sa nouvelle compagne se posèrent sur ses cuisses, juste sous la limite de sa nuisette. Puis elles remontèrent lentement vers les petites fesses. L’exploration des douces collines de chair tendre fit frémir Lavande. Ou peut être était-ce les doigts habiles de son amante qui venaient de commencer une exploration plus profonde de son plus précieux trésor.

    Lavande laissa également ses phalanges s’aventurer dans les recoins de chair de sa nouvelle amie. Elle passa sur le bord des cuisses pour rejoindre l’entrejambe délicat de Parvati. Ses doigts s’amusèrent avec la douce élasticité des lèvres inférieures. Puis, après de lentes recherches, elle découvrit le clitoris de la belle. Parvati laissa échapper un petit gémissement de ses lèvres collées à celles de Lavande. Peut être que cette dernière n’y connaissait rien au sexe, elle était néanmoins douée.

    Parvati se laissa un peu de temps pour apprécier les savoureuses caresses de sa camarade avant de passer à la suite de son programme. Au grand dépit de Lavande, elle brisa le contact de leurs lèvres et retira sa main de sous le pantalon. Elle se redressa, à genoux sur le lit, au-dessus de son amante et retira sa nuisette.

« Tu es vraiment belle, ne put s’empêcher de dire Lavande. »

Parvati lui sourit puis recula pour se retrouver au pied du lit. Là, elle tira vivement sur le pantalon de pyjama et révéla enfin sa conquête dans toute sa splendeur. La jeune ingénue semblait gênée de se retrouver ainsi nue. Parvati savait qu’un vêtement ou un drap pouvait rassurer certaines personnes. Lavande venait à peine de prendre conscience de la situation dans laquelle elle avait été un peu traînée malgré tout. Elle semblait lutter contre une envie de rabattre son drap sur elle et de démontrer à sa camarade qu’elle n’était pas aussi timorée qu’elle avait pu le laisser croire plus tôt. Mais Parvati reprit l’initiative et la jeune novice se félicita intérieurement de n’avoir pas toucher à ce fichu drap lorsqu’elle sentit le baiser de son amante sur son bouton d’amour. Parvati releva légèrement la tête.

« Tu as un nom de fleur et tu en as l’odeur, ma mignonne. Il ne me reste plus qu’à te goûter. »

Lavande ne comprit pas tout de suite ce qu’elle voulait dire mais elle oublia complètement les mots et leur sens lorsque la langue de sa belle s’introduisit en douceur dans son joli coquillage. Elle se mordit les lèvres pour ne pas gémir sous le plaisir intense que lui procurait la gourmandise de Parvati. Elle se détendit peu à peu et ouvrit un peu plus ses cuisses pour signifier à sa charmante partenaire de ne plus hésiter en quoi que ce soit.

    Justement, Parvati avait une idée derrière la tête. Elle appréciait pleinement de donner du plaisir à Lavande, mais elle sentait bien que cela ne lui suffirait jamais.

« S’il te plaît, tu veux bien… »

Lavande comprit très bien ce que souhaitais sa camarade. Un instant de panique se lut dans ses yeux. Elle n’avait jamais fait ça auparavant. Mais elle ne voulait pas se soustraire à la demande de Parvati qui étalait déjà ses jambes vers la tête du lit. Elle avait ressenti tellement de sensations nouvelles grâce à sa douceur qu’elle voulait aussi lui donner du plaisir. Lavande écarta les cuisses de la belle et se pencha vers la tendre intimité sans plus hésiter. Elle sentait la langue de Parvati reprendre son délicieux manège et tenta de l’imiter, s’attardant précautionneusement sur les endroits où elle aimait être elle-même touchée.

    Rapidement, son amante frémit à son tour pour le plus grand contentement de Lavande qui découvrit à quel point sentir le corps de sa douce s’emplir de plaisir lui procurait également plus de jouissance. Elle se fit d’autant plus active, savourant le doux miel dont regorgeait la féminité de Parvati. Celle-ci se sentit perdre pied sous les merveilleux assauts de sa fleur si mignonne. Emportée par le plaisir, elle se rendit à peine compte que c’était maintenant Lavande qui menait le bal. Et avec quel brio. Parvati avait bien du mal à retenir ses gémissements de plaisir et elle devait enfuir sa bouche tout contre le trésor intime de sa belle pour en étouffer certains.

    Dans cet état, il ne lui fallut pas attendre bien longtemps avant que l’orgasme ne l’emporte. Lavande le ressentit dans son corps presque aussi intensément que sa partenaire, ce qui l’amena aussitôt à sa propre jouissance. Elle roula sur le côté, essoufflée. Parvati la rejoignit dans le bon sens et passa ses bras autour d’elle. Lavande ne réussit qu’à prononcer un seul mot :

« Merci !
_ De rien ma beauté. Tout le plaisir était pour moi.
_ J’en doute. »

Parvati tira les draps et couvertures sur elles. Epuisées, elle s’endormirent sans demander leur reste.

    Le lendemain matin, Parvati s’éveilla de bonne heure. Il était encore très tôt, il lui semblait que le soleil se levait à peine. Elle comprit soudain qu’elle était restée toute la nuit avec Lavande. Elle se releva pour gagner son lit avant que Hermione ne se réveille. Mais il était déjà trop tard. Elle était en pyjama debout à côté du lit et les regardait avec un sourire.

« Je vois que vous avez fait connaissance toutes les deux.
_ Euh… oui… mais…
_ Ce n’est pas ce que je crois, sans doute ? »

La conversation tira Lavande des bras de Morphée. Elle poussa un petit cri en voyant Hermione.

« Attends, c’est… c’est parce que j’étais triste hier soir. Parvati est juste venue me consoler, il ne c’est rien passé d’autre. »

Hermione regarda ostensiblement le pyjama et la nuisette en boules au pied du lit. Lavande ne savait plus où se mettre.

« Bon, calme-toi Lavande, ce n’est rien. Et puis moi aussi j’aimerai mieux vous connaître. »

Hermione enleva rapidement son pyjama, révélant son corps superbe, et s’approcha à quatre pattes de Lavande pour la réconforter d’un long baiser sur ses lèvres.
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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