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Histoires avec Harry

Dimanche 30 janvier 7 30 /01 /Jan 22:17

 

Une contribution de SnakeBZH

 

Chapitre 1 : Surprise dans les vestiaires

 

La première année d’Harry à Poudlard ne fut pas de tout repos. Il s’était retrouvé face à l’assassin de ses parents, l’empêchant de s’emparer de la Pierre Philosophale. Son amie Hermione avait fait preuve d’une grande intelligence et d’un soutien sans faille durant cette action courageuse. Et Ron avait été légèrement blessé, se sacrifiant pour vaincre l’échiquier géant du professeur MacGonagall. Mais ils allaient bien tous les deux. Mais lui-même se posait des questions sur les ressemblances qu’il avait remarquées entre lui et Voldemort.

Maintenant, il attendait sans vouloir la fin de l’année. Les examens étaient terminés. Et demain soir, le festin de fin d’année aurait lieu. Il suivrait la Fête de fin d’année de l’école qui se déroulait sur toute la journée et serait suivi du bal de fin d’année. Une tradition datant de plusieurs décennies. Tous les élèves des années au dessus de lui en parlaient comme d’un grand moment de détente après la forte période de stress des examens. Les clubs présenteraient leurs activités et proposeraient des initiations. Pour sa part, Harry avait prévu d’en profiter pour se détendre en participant aux activités de Quidditch le matin et irait de stand en stand l’après-midi avec Ron et Hermione.

Mais en attendant la journée de demain, il se détendait sous la douche après le dernier entraînement de Quidditch de l’année. Dubois avait réuni l’équipe une dernière fois, soi-disant pour faire une dernière mise au point tactique sur ce qu’il aimerait que l’équipe réfléchisse durant l’été. Mais Harry se doutait que le professeur Dumbledore lui avait demandé de lui faire changer les idées. Et Harry devait reconnaître que cela avait marché. Lorsqu’il enfourchait son balai et fonçait d’un bout à l’autre du terrain, il se sentait bien et ailleurs.

Il se savonnait consciencieusement quand les lumières s’éteignirent toutes, plongeant les douches dans le noir. Harry avait laissé sa baguette avec ses vêtements. Il se rinça et récupéra ses lunettes en tâtonnant. Une serviette nouée autour de la taille, il ressortit des douches garçon et se dirigea vers la pièce unique où tous les joueurs, filles et garçons se changeaient. Il trouvait bizarre que les douches soient séparées alors que la pièce pour se changer était commune. Il avait fait en sorte durant toute l’année de cacher au mieux sa nudité aux filles de l’équipe tout en faisant attention à ne pas les regarder. Mais il était un jeune adolescent qui découvrait les pulsions sexuelles et osa, parfois malgré lui, jeter une œillade au corps sublimes d’Angelina, Katie et Alicia. Il savait aussi que les deux jumeaux Weasley ne se faisaient pas prier pour les reluquer avant et après les entraînements. Et d’après ce qu’il pouvait comprendre, elles ne se privaient pas non-plus de le faire à leur encontre.

Harry s’arrêta à deux mètres de la porte. Elle était légèrement entrouverte et un filet de lumière passait par l’interstice. Mais ce qui arrêta Harry, ce fut les soupirs à l’unisson de plusieurs personnes qui lui parvenaient. Il lui sembla même entendre quelques mots soufflés. Des « Oui » et des « C’est bon ». Harry avait le choix entre surgir dans la pièce d’un coup ou s’approcher discrètement pour voir ce qu’il se passait et surtout qui était encore là. Il opta pour la seconde solution. Sur la pointe des pieds, il s’approcha de la porte. Il fit attention à ce que sa respiration ne soit pas trop bruyante.

Il se retint de pousser une exclamation de surprise quand il découvrit ce qui se passait. Il découvrit Angelina entourée de Fred et Georges. Les jumeaux n’étaient vêtus que de leurs caleçons et ils s’évertuaient à caresser le moindre centimètre de la peau de la belle noire. Cette dernière était également en sous-vêtement. D’une main elle caressait le torse du rouquin placé devant elle qu’Harry arriva à identifier comme Fred. De l’autre, elle frictionnait la bosse qui saillait sous le caleçon de celui de George se tenant derrière. Elle ondulait lascivement des hanches contre le bassin gonflé de Fred.

Harry n’osait plus faire le moindre bruit et encore moins bougé. Il était totalement fasciné par le spectacle des deux frères et de la belle noire. Les trois adolescents prenaient visiblement du plaisir à se frotter ainsi les uns contre les autres. Harry était si obnubilé par cette vision, qu’il n’entendit pas la porte des douches des filles s’ouvrir et se refermer. Et il sursauta quand Katie Bell lui posa une main sur l’épaule, retenant in extremis une exclamation effrayée qui les aurait trahis. Il fit signe à Katie de ne rien dire et se replongea dans sa contemplation. Intriguée, Katie se pencha légèrement au dessus de l’épaule du garçon pour voir ce qu’il regardait. Elle porta sa main à sa bouche sous la surprise. Et ce fut les yeux exorbités par la curiosité qu’elle se mit à regarder elle aussi.

Fred avait glissé une main dans la culotte d’Angelina et titillait son clitoris avec vigueur. Ceci eut pour effet de rendre les ondulations de bassin de la jeune fille plus sensuelles qu’ils ne l’étaient déjà. Georges retira le soutien-gorge, libérant sa jeune et ferme poitrine. Il massait les seins en l’embrassant dans le cou. La belle noire lui facilita les choses en penchant la tête en arrière, fermant les yeux pour apprécier d’autant plus les caresses de ses amants. Elle avait maintenant chacune de ses mains glissées dans le caleçon de ses partenaires, les masturbant en douceur. George passa sous l’aisselle d’Angelina pour atteindre un sein qu’il se mit à sucer avec délectation. Fred décida de s’agenouiller, retirant le dernier vêtement de la belle. Harry remarqua que l’intimité de l’adolescente était presque imberbe, aussi noir que le reste de son magnifique corps, mais lorsque Fred écarta les lèvres de son sexe, il découvrit un rose chatoyant. Une petite boule de chair s’érigeait entre les lèvres. Et il vit Angelina être parcourue d’un frisson de plaisir quand Fred commença à passer sa langue dessus.

Malgré ce spectacle des plus fascinants, Harry eut un moment de lucidité. Il remarqua que sa serviette s’était soulevé, son pénis tout dur érigeant un petit chapiteau. Mais surtout, il se rappela la présence de Katie à côté de lui. La fillette avait toujours sa tête penchée au dessus de son épaule et observait les amants prendre du bon temps. Harry sentait ses cheveux humides lui effleurer l’épaule et cela lui donna envie de se retourner pour caresser le corps de Katie avec autant de douceur que Fred et Georges sur celui d’Angelina. Mais il se retint, estimant que se serait déplacé dans un sursaut de bon sens. Il ne put s’empêcher malgré tout de la regarder plus attentivement. Comme lui elle n’était habillée que d’une serviette mais elle était noué autour de sa poitrine et se finissait juste sous ses fesses. C’était diablement sexy et cela n’arrangea pas l’excitation d’Harry. Il préféra de nouveau se concentrer sur ses aînés et leur jeu intime.

Angelina était maintenant allongée sur un banc des vestiaires. Fred continuait de laper son clitoris avec appétit, la faisant soupirer de plaisir. George lui suçait les seins. A voir les deux frères, on aurait pu croire que la jeune noire n’était qu’un plat très gouteux à leurs yeux. Georges quitta la poitrine luisante de salive d’Angelina mais cette dernière, totalement obnubilée par les sensations qui lui arrivait en cascades de son entrejambe, ne démontra aucune déception. Georges retira son caleçon, laissant apparaître au grand jour son sexe dressé. Il l’approcha du visage de la belle. Celle-ci eut un sourire coquin en prenant le pénis d’une main. Elle ouvrit les lèvres pour avaler le gland d’un coup. Georges lança sa tête en arrière en sentant la bouche de la jeune fille se refermer sur sa virilité. Elle le pompait vigoureusement d’une main tout en suivant avec sa bouche. Harry devinait que la langue d’Angelina devait tourbillonner autour du gland du garçon pour augmenter le plaisir chez ce dernier. Puis soudain elle retira le sexe de sa bouche, se contentant de le lécher sur toute la longueur. Elle gémissait de plus en plus fort et finit par se cambrer sous son premier orgasme de la soirée. Il y eut un moment de calme pendant qu’elle se remettait de son plaisir explosif. Puis elle reprit ses va-et-vient sur le pénis de Georges.

Voir la belle noire jouir excita encore plus Harry si c’était possible. Il voulait se soulager en masturbant son sexe durci par le désir mais il n’oubliait pas la présence de Katie à ses côtés. Il lança une nouvelle œillade vers la gamine et ne fut pas surpris de deviner ses joues rosies dans le léger rai de lumière. Il descendit encore une fois son regard le long de son corps et s’arrêta sur le bas de sa serviette. Ce fut le dernier coup porté à son bon sens, celui qui le vainquit totalement. La fillette se caressait, une main sur son entrejambe. Harry devina ses doigts bougés, jouant avec son clitoris. Ceci expliquait d’autant plus la respiration plus profonde de Katie. Il s’agissait de soupirs de plaisir. Sentant peut-être le regard d’Harry sur elle, elle plongea ses yeux dans les siens. Elle parut figée un moment, sûrement gêné d’avoir été prise sur le faite. Mais sa gêne se transforma en sourire. Harry y répondit. La main de Katie quitta son intimité pour venir frôler la serviette d’Harry là où son pénis formait une bosse. Elle le caressa doucement, n’osant pas encore aller plus près. Harry passa sa main sur la cuisse si douce de Katie. Cette dernière prit ça pour une invitation et écarta un pan de la serviette pour atteindre la jeune virilité d’Harry. Harry sentit la peur montée en lui : et si elle trouvait son sexe d’enfant trop petit ? Mais elle continua à sourire en masturbant le petit garçon. Harry releva le bas de la serviette et atteignit l’intimidé chaude et humide de Katie qui l’aida en écartant légèrement les cuisses. Elle avait le sexe entièrement glabre et il en apprécia tout le velours. Il trouva rapidement la petite boule de chair qui avait fait tant d’effet chez Angelina et commença à la masser. La respiration de Katie se fit plus profonde encore. Elle ferma même paresseusement les yeux en profitant du plaisir qu’elle ressentait.

 

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Harry et Katie, se masturbant l’un l’autre, regardèrent de nouveau vers le trio torride. Georges était monté au dessus du visage d’Angelina et celle-ci le tenait à deux mains par les fesses en suçant plus vigoureusement que jamais son membre gonflé de désir. Elle gémissait malgré sa bouche pleine, Fred ayant lui aussi retiré son caleçon et la pénétrant profondément. Les coups de reins de Fred donnaient le rythme des va-et-vient de la bouche de la belle noire sur le pénis de Georges. Georges s’enfonçait si profondément entre ses lèvres si douces que la langue d’Angelina venait lui lécher les bourses. Les jambes d’Angelina entourèrent la taille de Fred, l’empêchant de s’enfuir s’il le désirait. Pour la deuxième fois de la soirée, Harry la vit se cambrer sous une vague de plaisir plus forte. Harry était sûr qu’elle aurait poussé un véritable cri si le membre de Georges ne l’étouffait pas. Fred se retira du sexe ruisselant de l’adolescente. Georges en fit de même de sa bouche. Malgré tout, Angelina ne parut pas du tout contrariée, devinant que ce n’était pas encore fini. Georges s’allongea sur le sol, invitant la jeune fille à s’installer sur son sexe vigoureux. Elle ne se fit pas attendre, tournant le dos à Georges. D’une main experte, elle fit appuyer le gland du rouquin sur son entrée du plaisir et s’empala sur toute la longueur du sexe dur en poussant un râle. Fred s’approcha debout de la jeune fille qui ne se fit pas prier pour le prendre dans sa bouche.

Harry était sidéré par le rythme avec lequel Angelina montait et descendait sur le pénis de Georges. C’est alors qu’il remarqua que la respiration de Katie se faisait plus saccadée contre son épaule. Sans même le remarquer, il avait glissé un doigt dans son antre des plaisirs et avait calqué le rythme de ses va-et-vient sur celui d’Angelina. Mais il n’arrêta pas, la gamine semblant apprécier au plus haut point ce traitement. Elle-même se montrait plus vigoureuse sur le sexe d’Harry. Le nœud retenant la serviette du jeune garçon avait lâché et elle avait glissé au sol. De sa main libre, Harry retira la serviette de Katie, dévoilant une poitrine naissante mais dont les tétons étaient durcis de désirs. Il ne résista pas et sa main caressa son jeune sein.

Angelina se mit à pousser de petits cris de plaisir. Elle jouissait en ondulant sensuellement du bassin, le sexe de Georges toujours fiché en elle. Elle reprit son souffle un instant, suçant encore un peu Fred. Puis elle se retourna pour faire face à Georges. Harry apprécia la souplesse dont elle fit preuve en parvenant à se retourner sans que le rouquin ne se retrouve en dehors de son humide intimité. Elle ondula des hanches en creusant les reins, mettant au jour son petit anneau. Fred ne fut pas long à comprendre l’invitation. Il appuya son gland contre l’orifice et y pénétra doucement. Angelina ferma les yeux en soupirant, son visage exprimant autant le contentement que la douleur. Fred parvint à entrer jusqu’à la garde. Il commença alors des va-et-vient tout en douceur. Georges attendait patiemment sans bouger qu’Angelina s’habitue à la présence des deux pieux de chair en elle. Et ce fut elle qui donna le départ pour ses deux amants en recommençant à onduler des hanches en soupirant d’autant plus fort qu’elle n’avait plus rien entre les lèvres. Harry ne s’attendait pas à voir ça. Angelina n’eut bientôt plus besoin de bouger, les frères Weasley s’activaient en elle de plus en plus vite. Elle se mit à ne plus se retenir et à hurler sous les assauts dans ses deux orifices. Harry se demandait combien de temps les jumeaux pouvaient tenir un rythme si effréné. Il eut la réponse quand ils cessèrent d’un coup, comme s’ils s’étaient fait un signe pour s’arrêter. Angelina elle ne s’arrêta pas. Emporter par le plus violent orgasme de la soirée, elle vibrait littéralement sur les deux pénis en hurlant. Elle subissait avec ravissement un orgasme multiple qui la faisait aller et venir sur les deux membres aussi vite que quand les jumeaux s’activaient en elle. Quand elle commença à ralentir, ceux-ci reprirent leur double pénétration avec autant de vigueur. Angelina tentait de reprendre son souffle tout en haletant. Et finalement, les deux frères se retirèrent d’un geste presque synchrone, chacun se masturbant rapidement. De longs jets de sperme jaillirent de leurs sexes et vinrent inonder la fente et les fesses d’Angelina. Celle-ci apprécia la sensation de chaleur du fluide sur sa peau, son anneau et son intimité. Elle s’était totalement effondrée sur Georges. Fred s’était aussi allongé sur son dos. Leurs sourires suffisaient pour comprendre qu’ils étaient tous les trois pleinement satisfaits.

Harry sentait qu’il ne serait plus très long à venir. Et il ne voulait pas être repéré maintenant par les trois amants. Mais il ne savait pas s’il pourrait retenir un râle de plaisir tant la main de Katie sur son sexe était douce. Celle-ci avait-elle pensé à la même chose ? Toujours est-il qu’elle tira Harry à elle pour l’embrasser passionnément. Harry sentit alors la gamine se contracter autour de ses doigts et un orgasme s’étouffer sur ses lèvres. Il ne lui en fallut pas plus pour jouir à son tour, arrosant le doux ventre de Katie de semence. Les deux gamins continuèrent à s’embrasser durant un moment, ne désirant pas faire cesser cet instant magique. Mais ils furent ramenés à la réalité par les trois autres qui se déplaçaient dans le vestiaire. Harry et Katie prirent peur en découvrant qu’ils prenaient leurs affaires de douches. C’était pourtant logique après autant d’efforts. Harry regarda autour de lui en espérant trouver une cachette. Il se saisit des deux serviettes et tira Katie par la main vers le placard où les produits et matériels d’entretien des douches étaient entreposés. Il ne referma pas la porte entièrement pour surveiller ses coéquipiers. Ces derniers, hilares, se rendirent tous les trois dans les douches des garçons. Harry soupira, rassuré. Ils devraient rester là tous les deux, le temps qu’ils s’en aillent. Surtout qu’ils avaient besoin d’une bonne douche eux-aussi.

Harry referma la porte. Le placard était petit et ils devaient tous les deux se tenir étroitement pour y tenir. Harry se souvint qu’ils étaient encore tous les deux nus. Il sentait le corps de Katie contre le sien et la douceur de sa peau. Il n’en fallut pas plus à son membre pour redresser fièrement la tête. Se faisant, il effleura doucement la cuisse de Katie. Cette dernière n’en parut pas outré et elle parcourut le corps du garçon jusqu’à trouver le pénis durci d’Harry. Elle le masturba doucement. Harry essaya de rejoindre son intimité mais avant qu’il ne puisse l’atteindre, la gamine s’était agenouillée. Harry n’avait pas osé espérer qu’elle en vienne à faire ça, mais il ne comptait pas l’arrêter. Il sentit les lèvres de Katie déposer un baiser sur son gland avant de l’entourer tendrement. Imitant Angelina précédemment, elle fit des va-et-vient avec sa bouche tout en le masturbant d’une main. Parfois, elle le retirait de son bouche pour donner quelques coups de langue. Harry sentit son corps se tendre alors qu’il se répandait dans la bouche de la fillette en poussant un râle de plaisir. Cette dernière fut surprise mais ne retira pas le pénis et avala toute les giclées. Elle nettoya consciencieusement le membre avec sa langue.

Quand elle se releva, frottant ses petits seins contre le torse d’Harry, ce fut à son tour de s’agenouiller. Il voulait rendre à Katie ce qu’elle lui avait donné. Il trouva son bouton d’amour et le titilla de sa langue. Il trouvait son gout absolument exquis. Il parcourut toute sa fente, s’enfonçant entre ses lèvres intimes et se délectant de sa mouille. Il concentra les efforts de sa langue sur le clitoris gonflé et fit pénétrer un de ses doigts dans son vagin. Il sentait la fillette frissonner de désir à chaque va-et-vient. Il s’activa progressivement de plus en plus vite. Les soupirs de Katie se firent plus pressant. Et soudainement, elle se mit à trembler en haletant, poussant même de petits gémissements.

Harry se releva pour rejoindre Katie. Elle l’entoura de ses bras pour l’embrasser en remerciement du plaisir qu’ils s’étaient mutuellement donnés. Ils entendirent les trois autres sortirent de la douche, se rhabiller et partir. Alors seulement ils osèrent sortir du placard. Ils prirent leur douche ensemble, se savonnant mutuellement en mettant l’accent sur leurs sexes. Mais ils n’allèrent pas plus loin ce soir là. Ils se rhabillèrent.

Et au moment de quitter les vestiaires de Gryffondor, Katie embrassa une fois de plus Harry. Le garçon ne se fit pas prier pour répondre à son baisé. Lorsque leurs bouches se séparèrent, elle lui souriait.

« On remettra ça j’espère, dit-elle.

-J’espère aussi, dit Harry d’un ton qui avait tout d’une promesse. »

Un dernier baisé et ils rentrèrent sagement vers le château.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Harry
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Dimanche 14 février 7 14 /02 /Fév 15:13

Contribution de Lylah

 

ivresse irreversible

 

- A toi, je t’en prie.

- Je t’en prie Harry, je n’en ferai rien.

Harry prit alors la bouteille que lui tendait son ami.

Il prit le temps de l’examiner entre ses doigts et la porta rapidement à la bouche.

Un liquide brulant s’insinua dans sa gorge, et il fit une rapide grimace en l’avalant.

- Huuum ! Pas mauvais ! Il faut s’habituer au goût mais c’est plutôt pas mal.

Les jumeaux Weasley avaient mis au point une version améliorée de la bière au beurre. Elle gardait sa douceur et son gout si appréciable mais elle avait pour effet, cette fois d’être pourvu d’une bonne dose d’alcool.

- C’est absolument imperceptible au gout, lança Georges, aucun moyen de se faire pincer.

- A moins que ce cher maître des potions ne se mette à l’analyser, s’empressa de répondre Hermione.

- Et pourquoi il le ferait ? Il ne faut pas arriver en classe après en avoir bu, tout simplement ! Acheva Ron en portant la bouteille à ses lèvres.

Tout comme son ami, il fit une petite grimace et se passa une langue gourmande sur les lèvres après avoir avalé.

- Je ne vois toujours pas l’intérêt d’une telle invention, grommela Hermione en croisant les bras sur sa poitrine. Il y a assez d’alcool sur terre pour ne pas avoir à en créer de nouveaux.

Fred s’empressa de défendre son produit.

- C’est la que la bière au beurre nouvelle génération fait toute la différence ma chère Hermione ! Elle rend joyeux, désinhibe mais ne rend pas malade, contrairement au whisky pur feu.

Non. Décidément, elle n’en voyait pas l’utilité.

Aussi, elle ramassa ses affaires et quitta de ce pas la chambre des préfets.

 

Pourquoi Rogue le regardait-il comme ça ?

Harry se trémoussait sur sa chaise, visiblement très mal à l’aise que son professeur de potion le dévisage de la sorte.

Non pas qu’il n’ait pas l’habitude que ce cher professeur cherche à le mettre mal à l’aise à chaque occasion, mais d’ordinaire, il n’avait pas 3 grammes d’alcool dans le sang.

Lui et Ron s’étaient pourtant jurés de ne pas boire cette satané bière au beurre avant d’assister à un cours, mais une chose en entraînant une autre, ils s’étaient bien vite laisser emporter dans le feu de l’action et avaient rapidement vidés une bouteille à deux.

- Mr Potter, lança de sa voix sèche et froide le maître des potions, puis-je me permettre de vous demander la raison de votre regard vitreux ? J’ai la très nette impression que vous tenez à peine debout.

Afin de lui tenir tête, Harry aurait aimé répondre en précisant qu’il n’était précisément pas debout, mais assis, que sa place était fort confortable et qu’il tenait parfaitement droit.

Mais bien entendu, il se garda bien de faire une telle réflexion et se contenta de se défendre au mieux.

- Monsieur, je vous assure d’être en bonne santé, je vous remercie.

Rogue parut s’offenser de cette réponse, pourtant formulé très poliment.

- Mr Potter, je ne m’inquiète aucunement de votre santé ! Vous pourriez être à l’article de la mort que je ne m’en préoccuperais pas. Seulement, j’apprécie moyennement que l’on assiste à mes cours sous l’effet d’une quelconque drogue ou alcool.

Ron se mit à pouffer à côté de lui, et le regard noir que lui lança son professeur eu tôt fait d’éteindre son hilarité.

- Bien, puisque vous jugez cela tellement marrant, vous viendrez ce soir, tous les deux, en retenus dans les cachots. Je vais vous faire passer l’envie de vous moquer de moi.

Harry enfoui sa tête dans ses bras pour cacher un rire qu’il n’arrivait pas à contrôler et Ron en fit de même de son côté.

Rogue, qui avait déjà tourné les talons, ne remarqua pas le violent coup de classeur que leur assainit Hermione sur le haut de la tête.

Non, décidément, l’irresponsabilité dont ils faisaient preuve la dépassait complètement.

 

- La soirée va être longue….Je suis certain que la chauve souris va nous le faire payer au centuple ! Quels imbéciles ont a été franchement ! Déclara Ron en s’affalant dans le fauteuil de la salle commune.

Harry serrait Ginny dans ses bras en se calant bien confortablement sous un plaid polaire.

- En même temps, on l’a un peu cherché ! Mais je ne savais pas que les effets de cette bière étaient aussi persistants !

Georges fit alors son entrée à ce moment là, les bras chargés de bouteilles.

- Ah non ! S’écria Hermione en se relevant brutalement, je pense que ces saletés ont assez fait de dégâts comme ça ! Harry et Ron en font déjà les frais de par leur débilité !

- Hé ! S’offusqua le roux, on est là au cas où tu ne l’aurai pas remarqué.

Mais Hermione ne s’excusa aucunement, de plus, les rires de Ginny ne la confortaient que plus dans son envie de les ridiculiser encore.

Mais Georges s’affairait déjà à fournir ses précieux clients de cet excellent breuvage.

Elle avait beau faire sa petite dame, ses amis, à présent, ne s’en préoccupaient que peu.

Ils avaient trouvé un nouveau jeu, qui certes pouvait leur coûter gros, mais qui leur plaisait énormément.

- N’oubliez pas votre retenue de ce soir les garçons, si vous en buvez trop maintenant, les effets seront encore présents ce soir et là, c’est un avada kedavra qui vous pends au nez, pas une punition.

A cette phrase de Ginny tout le monde se mit à rire.

Quelqu’un à part Hermione prenait-il réellement au sérieux ce qui pourrait se passer de catastrophique si ils en abusaient ?

Bah ! Après tout, ils sont jeunes, ce qu’ils risquent de faire, c’est quelques bêtises, qu’ils ne se rappelleront pas le lendemain, rien de bien méchant, en soit.

 

La nuit était à présent tombée sur Poudlard.

Chaque étudiant avaient regagné, sous l’œil attentif des préfets, leur dortoir et s’apprêtaient à entamer une bonne nuit de sommeil.

Tous, sauf deux.

Ron et Harry déambulaient dans les couloirs en direction des cachots, la mine basse et l’esprit ailleurs.

Qu’allait encore leur réserver ce vil Serpentard comme punition qu’ils se rappelleraient toute leur vie ?

Ils n’auraient pas à attendre longtemps, voilà déjà qu’ils apercevaient la porte glaciale, dans l’embrasure de laquelle se tenait le sombre individu, les bras croisés dans le dos, les toisant d’un regard méprisant.

Il s’écarta légèrement pour les faire entrer dans la pièce et referma la porte bruyamment derrière eux.

- Je vous ferai grâce des punitions telle que les imposaient le professeur Ombrage Messieurs, lança t’il d’un ton acerbe.

Harry se frotta douloureusement la main, qui marquait encore l’horrible cicatrice de cette soirée qu’il n’était pas prêt d’oublier.

- Sachez que je me montrerai plus perfide et plus innovateur !

Le contraire aurait été étonnant.

Ron déglutit avec difficulté et se mit inconsciemment à trembler.

Harry, quant à lui, ne se démontait pas face à son professeur. Il avait toujours été habitué à ce qu’il le traite mal, une punition de plus ou de moins ne le ferait pas flancher.

Il les fit asseoir aux bureaux les plus près du sien et déposa deux chaudrons devant eux.

Curieux, Ron se pencha en avant afin d’en apercevoir le contenu.

Un liquide rougeâtre bouillait docilement, comme sous un feu qui n’existait pas.

- Vous avez des bocaux près de vous. Remplissez-en jusqu’à ce que j’en ai assez pour ma réserve.

Harry ne put s’empêcher de jeter des regards autour de lui et Rogue intercepta sa question.

- Ne cherchez pas de louche Monsieur Potter, vous utiliserez tout simplement vos mains.

- Nos mains ? S’écria Ron, mais on va en avoir pour des heures.

Harry lui jeta un regard suppliant.

- Mr Weasley, si je peux vous rassurer sur une chose, je ne vous laisserai pas pendant plusieurs heures.

Ron soupira de soulagement.

Mais Rogue continua.

- Je doute que votre résistance à la douleur vous permette de tenir jusque là.

Le voilà le piège.

De toute évidence, le liquide dans les chaudrons était bouillant. Jamais ils ne pourraient s’en saisir ?

Rogue croisa les bras et se positionna devant le bureau qu’occupait Harry.

Il ne quitterait pas sa place tant qu’il ne l’aurait pas vu souffrir en insérant ses mains dans le liquide.

Harry lui jeta un regard noir et s’avança plus en avant sur sa chaise pour jeter un regard dans le récipient.

Le liquide semblait le narguer en émettant de grosses bulles qui en éclatant, laissaient échapper une forte odeur de soufre.

D’une main tremblante, il se saisit d’un bocal et de l’autre attira le chaudron vers lui.

Il jeta un bref regard à Ron, qui suivait chacun de ses gestes en affichant un rictus de dégoût sur le visage.

Ses doigts effleurèrent le contenu, et il fut surprit de constater que le liquide était étrangement froid.

Il releva les yeux vers son professeur qui lui adressa un hochement de tête lui signifiant de continuer.

Quand il plongea la main entièrement, il ne put s’empêcher de grogner en sentant le liquide prendre vie sous ses doigts et l’engloutir complètement.

Il tira fermement son bras hors du chaudron, laissant émerger une bonne partie de son contenu.

Il s’empressa de l’insérer dans un bocal et le referma rapidement en constatant que le liquide essayait de s’en échapper.

Il soupira et tourna la tête vers Ron.

- Ca ne t’a rien fait ? Lui demanda son ami.

- Ben….non….ça essai de t’emmener avec lui dans le chaudron mais…..

Mais il ne termina pas sa phrase, saisit soudainement d’une violente douleur dans la main.

Il la sortit de sous la table pour constater avec horreur qu’elle avait prit une teinte violette et lui brûlait atrocement.

- Le liquide dont vous venez de vous saisir, ne brûle qu’une fois la main libérer de son contact. Vous ne serez apaisé qu’en insérant à nouveau votre main dans le chaudron. Cependant, je vous ai à l’œil et je compte bien avoir un stock conséquent de bocaux PLEINS, j’entends bien.

Et il partit s’asseoir à son bureau afin de pouvoir se repaître avec un air sadique sur le visage, de la douleur intense qu’il infligeait à ses deux élèves.

De grosses gouttes de sueur commençaient à perler le long de la tempe d’Harry, la douleur devenait insupportable et en poussant un râle bruyant, il enfoui sa main au fond du chaudron.

 

- Quel sale….

- Je serai toi je ne finirai pas ta phrase, le supplia Ron, il serait fichu de t’entendre et de nous donner une nouvelle retenu.

Harry se frottait la main, essuyant quelques larmes qui avaient eu l’audace de ce montrer face au maître des potions, provoquant chez lui une jouissance extrême, caractérisé par un affreux rictus, censé être un sourire.

- Je vais avoir mal pendant des semaines, je ne pourrai certainement pas être capable de jouer au Quidditch prochainement.

Ron devait tout de même admettre qu’il avait raison. Lui-même, tenant son bras en écharpe, souffrait horriblement, mais avait su, au grand étonnement d’Harry, restait serein.

Ils entrèrent dans la salle commune et se laissèrent tomber mollement sur le canapé, plongeant leurs yeux dans le feu se mourrant dans l’âtre.

Harry laissa tomber son bras valide sur le bord du canapé, sentant entre ses doigts la bouteille de bière au beurre qu’il avait laisser un peu plus tôt dans la journée.

Il la saisit et la porta rapidement à la bouche.

Ron, de son côté venait également d’en trouver une, et imitant son ami, bu une première gorgée.

- Autant qu’on en profite pour faire passer la douleur à coup de bière au beurre remasterisée ! Lança Harry en brandissant fièrement sa bouteille.

Ron acquiesça en agitant également la sienne au dessus de sa tête.

Rapidement, la première bouteille fut éliminée, puis une seconde.

La douleur se faisant à présent moins sentir, ils pouvaient commencer à ralentir un peu la cadence.

- Tu vois mon vieux, cette vieille chauve souris, et ben un jour j’lui ferais payer ! Babilla Ron en s’essuyant la bouche du revers de la main.

Harry rejeta sa tête en arrière, sentant soudainement le sol trembler sous le canapé.

- Tu as bien raison. On va le jeter au fond du lac, avec des pierres aux pieds. Même si je suis certain que les poissons ne voudront même pas toucher à cette viande avariée.

Harry se leva et jeta une bûche dans la cheminée, histoire de raviver un peu le feu. Il trébucha dans le tapis, se rattrapant de justesse au rebord, manquant de se casser les dents dessus.

- Ouoh….lança-t-il en se saisissant la tête, je trouve que la rotation de la terre se fait drôlement sentir ce soir.

- Viens t’asseoir, sinon tu vas passer par-dessus bord, lui répondit Ron, réalisant subitement que ce qu’il venait de dire était complètement stupide.

Stupide ? Pas tant que ça au vu de la réponse que lui fourni son meilleur ami.

- Tu as raison, de plus, je ne pense pas qu’il y ait suffisamment de bouée pour sauver tout le monde.

Et il s’affala sur le canapé, laissant retomber sa tête sur l’épaule de son ami.

Ils restèrent un instant silencieux, puis Harry releva brusquement sa tête et plongea son regard dans celui de Ron.

- Hey ! Où tu en es avec Herm’ ? Va p’tète falloir que tu te décides non ? Tu attends quoi ? Qu’un aut’ gars te la pique ?

D’ordinaire, Ron serait devenu pivoine et aurait certainement changé de sujet plus vite que son ombre, mais là, il croisa les bras derrière sa nuque et leva les yeux au ciel.

- Mouais…’m’agace…’comprends pas mes signaux…

Harry se mit à rire si fort qu’il dû poser une main sur sa bouche pour ne pas réveiller les autres étudiants.

- Tes signaux ? ‘s’excuses moi mais qu’est-ce tu fais comme signaux ? J’en ai capté aucun moi…

Ron marmonna dans sa barbe.

- ‘normal ! ‘T’étaient pas destinés !

Harry se releva alors et se positionna devant son ami, assis sur ses pieds.

- Montre ! Montre moi tes….euh….signaux ! Dit-il en pouffant.

Ron parut un instant déconcerté, puis, voyant que son ami était sérieux, il se releva un peu, tout en gardant sa position assise, prit une gorgée de bière au beurre et se pencha en avant.

Il plongea son regard dans le sien et lui sourit timidement.

Harry ouvrit grand les yeux et éclata de rire.

- C’est ça ton signal ?!? J’comprends qu’la p’tite ai rien compris.

Ron se renfonça dans le fauteuil en boudant.

Harry reprit sa place à côté de lui et croisa sa jambe sous son genou pour lui faire face.

Il prit à son tour une gorgée de sa bouteille et la reposa à même le sol.

-Bon, j’te mont’ comment j’fais.

Il prit délicatement la main de son ami, qui haussa les sourcils de surprise et lui lança un regard sulfureux.

Un instant, il en était certain, Ron avait rougi.

En lui reposant les mains sur les genoux, tout en continuant d’intensifier son regard, il s’expliqua :

- T’vois, l’contact y est pour beaucoup. Hésites pas à la toucher. Z’adore ça les nanas.

Ron restait malgré tout très perturbé et évita, l’espace d’un instant, le regard insistant de son ami.

- Allez vieux, rougi pas, lança Harry en caressant Ron sur la joue, avec une voix amusée.

Mais Ron lui saisit la main avant qu’elle ne quitte son visage.

Il tourna doucement la tête afin de pouvoir caresser de ses lèvres la paume de la main du brun.

Celui-ci, ne bougea pas, comme pétrifié par un quelconque sortilège et eut un léger sursaut quand il sentit les lèvres du rouquin imprimer une légère succion contre sa peau.

- Ron…Qu’est-ce que….

Mais déjà celui-ci s’affairait à glisser un des doigts de la main tremblante de son ami dans sa bouche et le titillait de la langue.

Ce fut au tour de Harry de rougir des pieds à la tête.

Etait-ce l’important degré d’alcool qu’il avait dans le sang qui lui faisait à se point tourner la tête ou était-ce la caresse plus que surprenante du Gryffondor ?

Toujours est-il que quand il se rapprocha de lui, Harry ne bougea pas.

Ron retira le doigt de sa bouche et posa la main derrière sa nuque.

Il releva les yeux pour les plonger dans le regard émeraude qui le fixait intensément.

Alors, poussé par une passion sans nom, Harry resserra ses doigts et attira avidement le visage de Ron contre le sien.

Quand leurs lèvres se rencontrèrent, il poussa un grognement de plaisir et se saisit de la chevelure rousse pour accroître son baiser.

Ron plaqua ses mains dans le dos de son compagnon, enserrant son pull fermement sous la chaleur qui l’habitait soudainement.

Mais quel feu les consumait ? Que leur arrivait-il ?

Il n’y avait plus amitié, seulement désir. Désir de posséder. Et même s’ils étaient parfaitement conscients de chacun de leurs gestes, ils n’avaient nulle envie d’y mettre un terme, bien au contraire.

La langue de Ron força la barrière de dents de son amant, qui ouvrit aimablement la bouche afin de lui permette de s’insérer à l’intérieur et de caresser tendrement sa langue.

Ils étaient à présent étroitement serrés l’un contre l’autre, dans une étreinte bestiale et virile.

Même s’ils étaient en train de se donner le plus passionné des baisers, ils n’en restaient pas moins des hommes, des vrais. Ils ne s’abaisseraient pas à minauder des mimiques efféminées mais parviendraient à leurs fins, chacun, en gardant leur fierté de Gryffondor.

Afin de reprendre son souffle, Harry abandonna un instant la bouche de son ami, qui en profita pour glisser des lèvres brûlantes le long de sa jugulaire en glissant ses mains sous le tissu épais de son pull.

Sa main tuméfiée, qui dégageait une puissante chaleur, fit sursauter Harry à son contact, mais le poussa à vouloir sentir Ron plus près.

Il passa donc ses jambes de part et autre de ses hanches et se retrouva à califourchon sur les jambes du rouquin.

Ils stoppèrent leurs caresses un instant et se fixèrent, comme attendant une réaction de la part de l’un ou de l’autre.

Ron déglutit avec difficulté et Harry souffla afin de dégager une mèche lui couvrant les yeux.

Il était assis sur son meilleur ami. Il était assis sur Ron et avait ses doigts perdus dans sa chevelure, par Merlin !

Au diable l’étique ! Il se mordit avec provocation la lèvre inférieure et fondit littéralement sur le jeune Weasley qui apprécia grandement de recevoir à nouveau ses lèvres contre les siennes.

Harry pouvait sans mal sentir son pantalon devenir de plus en plus étroit, et il avait beau gesticuler du mieux qu’il le pouvait sur les cuisses de son ami, il ne réussissait qu’à rendre celui de son compagnon que plus étréci.

Harry passa rapidement ses mains sous l’ourlet du pull de Ron et d’un geste rapide, le lui ôta, décoiffant sa chevelure rousse au passage, lui donnant dès lors un côté sauvage qui l’enhardit.

Il aurait voulu lui dire qu’il le trouvait beau, mais il n’était pas question qu’il s’abaisse à une telle chose.

Ron fit de même avec le pull du brun, qu’il envoya valdinguer à travers la pièce.

Il s’arrêta un instant pour consulter avec admiration, le corps finement sculpté du jeune attrapeur.

Il l’avait certes déjà vu torse nu, mais il ne l’avait jamais trouvé aussi désirable, aussi appétissant qu’à l’instant même, assis sur ses cuisses, quémandant caresses et baisers du regard.

Il caressa longuement les formes longilignes de son corps, s’arrêtant sur ses tétons durcis par le plaisir afin de les titiller du bout des doigts.

Harry sembla apprécier et rejeta sa tête en arrière.

Ron descendit plus insidieusement ses mains jusqu'à atteindre la fermeture éclair de l’étau qui maintenait séquestré le pauvre petit Potter junior.

Quand il caressa, à travers le tissu de son jean, la protubérance qui frémissait sous ses caresses, sans qu’il ne s’en rende compte, il passa une langue gourmande sur ses lèvres, ce que ne manqua pas de remarquer son amant, qui afin de satisfaire l’appétit de son ami, se releva pour se libérer enfin de ce vêtement, bien trop gênant à son goût.

Harry fit glisser, avec une lenteur criminelle, sa fermeture éclair et déboutonna son bouton. Puis, tout en fixant les réactions de son ami, il fit lentement glisser pantalon et caleçon le long de ses jambes pour, une fois sur le sol, les envoyer balader d’un revers du pied.

Ron respira soudainement bruyamment et lorsque Harry se pencha entre ses jambes afin de faire voir le jour à la fierté de son ami, il se laissa aimablement faire en relevant les hanches pour lui faciliter la tâche.

Voilà qu’ils étaient nus comme des vers, leurs corps d’athlètes ruisselant de sueur, tremblant de désirs l’un pour l’autre.

Leurs regards oscillant entre leurs yeux et l’objet de leur désir, l’un et autre brûlaient d’envie d’aller plus loin.

Alors pourquoi refusaient-ils de bouger ? La situation commençait à se montrer embarrassante.

Alors, Harry prouva une fois de plus le courage des Gryffondor en s’agenouillant le premier devant son ami.

Ron se mit à rougir de nouveau quand il sentit les doigts experts du jeune Potter parcourir sa virilité de haut en bas, en y imprimant de puissants va et vient.

Il lui jeta un bref regard suppliant et celui-ci, affichant un petit sourire en coin, descendit lentement sa tête, jusqu’à toucher du bout de ses lèvres, la naissance de son membre.

Il y passa une langue féline, arrachant un râle de plaisir à sa victime, glissa de haut en bas en le gratifiant de quelques baisers et enfin, l’engloutit avidement dans sa gorge chaude.

Ron, sous l’effet de l’extase, cambra son bassin, provoquant un sursaut chez le petit gourmand, qui lui plaqua les hanches rudement sur le canapé en maintenant sa sucette dans sa bouche, bien caler entre sa langue et son palais pour ne pas qu’elle lui fasse à nouveau ce genre de surprise.

Quand Ron reprit son calme, il se lova plus confortablement dans les coussins et Harry pu enfin lui prodiguer la plus merveilleuse des gâteries.

Ses prodigieuses allées et venues sur la masculinité du jeune Weasley ne faisait qu’agrémenter la soif qu’éprouvait la sienne.

Ron avait glissé ses doigts dans les cheveux hirsutes du Gryffondor afin de lui imposer un rythme plus soutenu, qu’il n’eut aucun mal à appliquer, connaissant très bien le corps masculin et la manière indéniable de le pousser dans les méandres de la jouissance.

Mais bientôt, il dut cesser ses expertes caresses buccales, sentant sa friandise se tendre de plaisir, s’il ne voulait pas que leurs galipettes se terminent de cette bien égoïste façon.

Il remonta le long de son ventre, déposant quelques baisers au passage, jouant du bout de sa langue sur son nombril, titillant les tétons du bout de ses dents et Ron lui saisit fermement le visage afin de l’attirer à lui pour lui prodiguer un baiser enfiévré.

- Harry….c’est intenable….

Celui-ci se contenta de sourire de satisfaction en rehaussant un sourcil provocateur.

Ron saisit cette provocation au bond.

- Ah ça t’amuse Potter ? A moi de te rendre la pareille à ma façon.

Il poussa Harry sur le canapé et se releva, en titubant légèrement, son sang ayant quitté provisoirement son cerveau afin d’en gratifier une partie de son anatomie plus disposée à en être pourvue pour l’heure et s’agenouilla dernière lui.

Il s’affala de tout son long sur le corps tremblant du beau brun qui, sentant des mains s’aventurer à cajoler tendrement sa virilité, enfoui son visage dans les coussins pour cacher les gémissements qui sortaient de sa gorge.

Ron déposa quelques baisers le long de sa colonne vertébrale ayant pour effet de déclencher de petites décharges électriques dans le creux des reins de son amant, et s’affaira à exécuter de longs vas et vient de sa main sur la turgescence à fleur de peau.

Harry poussait de longs gémissements étouffés au fur et à mesure que les caresses se faisaient plus rapides.

Soudainement, il sentit quelques doigts commencer à caresser de façon bien curieuse, la petite entrée de son anatomie, qu’il n’aurait jamais pensé un jour solliciter de la sorte.

Il fut tout d’abord assez effrayé, mais Ron, se montrant assez doux et plutôt expérimenté pour un novice en la matière, le rassura et bientôt, il pu le sentir se détendre sous ses doigts.

Il le sentit se relever et se positionner plus confortablement contre lui, sentant contre ses fesses rebondit, l’impatience significative de cette petite coquine, qui n’attendait qu’une chose, pouvoir entamer une quelconque aventure dans cette inexplorée contrée.

Harry saisit rapidement la bouteille de bière au beurre et bu goulûment quelques gorgées pour, d’une, abreuver sa soif et sa bouche sèche mais également embrumé au mieux son cerveau afin de subir son assaut sans trop de mal.

Ron se pencha en avant et lui susurra à l’oreille :

- Ca va aller Harry….

Facile à dire quand on se trouve en position de wagon et lui en position de locomotive.

Joignant le geste à la parole, Ron s’insinua doucement en lui. Il exécuta de petites poussées tout d’abord, afin qu’il s’habitue à sa présence.

Harry enfoui à nouveau sa tête dans les coussins, les mordant au passage pour éviter de crier sous la douleur lancinante qu’il ressentait.

Mais bientôt, les légères immixtions de son ami se firent plus douces, et la douleur s’estompa peu à peu pour se mêler à un agréable plaisir.

Jamais il n’aurait pensé ressentir une telle chose.

A chaque coup de rein que lui assainissait le rouquin, il poussait des râles de plaisir, laissant constater sans peine à son bourreau que la torture qu’il lui infligeait le ravissait au plus au point.

Bientôt, il imprima de légers mouvements de bassin, afin d’approfondir ses entrées et Ron intensifia ses coups de rein.

Leurs corps perlaient de sueurs, leurs muscles saillants sous l’effort les rendaient tellement beaux que ni l’un ni l’autre n’arrivaient à calmer cette passion qui les consumait.

Sous les demandes non formulés du brun, Ron comprit qu’il devait se montrer plus ardent et il ne se fit pas prier pour saisir fermement ses hanches afin de donner des coups plus forts et plus puissants.

Harry ne retint plus ses cris, il serrait avec force les accoudoirs du canapé, se cambrant de plus belle pour accueillir au mieux son assaillant.

La chaleur montait, leurs muscles se crispaient, leurs gorges se nouaient. Leur délivrance était proche, et dans un ultime cri de plaisir, l’un et l’autre atteignirent les contrées du nirvana.

 

L’alcool et le sexe font-ils bon ménage ?

L’alcool désinhibe les plus prudes et l’alcool est la cause de bien des ruptures.

Il rend les gens plus communicatifs, plus ouverts, plus détendus, et dans tous les sens du terme….

« Que va-t-il penser de moi ? »  « Non, je ne peux pas faire ça ! »….

Et hop ! Une petite bouteille de bière au beurre nouvelle génération, et tous ces petits principes sont ébranlés, pour laisser place à volupté, passion et sexualité.

Mais…

C’est le réveil….La conscience se réveille en même temps que nos muscles endoloris.

Harry tourne la tête pour apercevoir son meilleur ami, nu dans ses bras.

Une bouffée de chaleur l’enveloppe.

Mais plus la même…Plus âpre, plus amère.

La vérité saute aux yeux.

 

L’ivresse est cause de bien des faiblesses

L’ivresse est cause de bien des bassesses.

Et quand le réveil pointe le bout de son nez,

On peut être sur que tout cela on va regretter….

 

Morale : L'effet de l'ivresse est d'abolir les scrupules du sentiment.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Harry
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Dimanche 28 septembre 7 28 /09 /Sep 10:18

Jeux secrets

Une aventure sexuelle de Harry Potter en sixième année

 

Avec : Harry Potter, Ginny Weasley, Hermione Granger et Luna Lovegood.

 

 

 

Harry avait du mal à croire à son bonheur en des heures si sombres. Les partisans du seigneur des ténèbres étaient déchaînés et, bien sûr, il en était inquiet. Toutefois, depuis quelques semaines maintenant, il sortait avec Ginny. Les quelques heures qu'ils passaient ensemble dans des endroits isolés du château, bien qu'encore trop rares à son goût, lui faisaient croire qu'un avenir était toujours possible malgré les épreuves qui l'attendaient.

Ou du moins y avait-il cru. Entre ses cours très particuliers avec Dumbledore et l'approche des examens de Ginny, les deux tourtereaux n'avaient plus eu un seul instant d'intimité depuis plus d'une semaine. Entre deux cours, Harry errait souvent dans les couloirs d'un air dépité. Son fan club, avec Romilda Vane à sa tête, cherchait à en profiter pour le « consoler », espérant surtout le faire changer d'avis sur son choix de petite amie. Harcelé, Harry devait désormais souvent se cacher seul dans les endroits où il se retrouvait avant avec Ginny. Evidemment, elle ne lui en manquait que plus.

Il fut donc heureux lorsqu'un jour, à l'heure du déjeuner, Ginny qui s'était assise à côté de lui, lui glissa un petit morceau de parchemin dans la poche, en faisant attention à être très discrète. Ni elle, ni Harry ne craignaient que leur relation se sache. De toute façon, l'école entière avait été informée quelques minutes après leur premier rendez-vous. Tous deux préféraient néanmoins que Ron reste dans l'ignorance la plus complète possible si ce n'était des instants où ils se retrouvaient, du moins de ce qu'ils y faisaient. Bien sûr, ce dernier n'était pas dupe, mais par délicatesse pour son meilleur ami, Harry ne lui disait jamais un mot de sa relation avec Ginny, lui qui, auparavant, lui racontait toutes ses relations par le détail.

Ainsi, Lorsque Harry, Ron et Hermione sortirent de la grande salle après le repas, Harry prétexta un arrêt urgent aux toilettes pour s'enfermer seul dans une cabine et lire le parchemin qui ne contenait que quelques mots écrits à la hâte.

 

« Retrouve-moi après ton cours de sortilèges au 2e étage, à côté du débarras des balais. Je t'aime. Ginny. »

 

Harry sentait son coeur faire des bonds dans sa poitrine. Il regrettait que le cours de sortilège soit le dernier de la journée, ce qui présageait encore un long après-midi sans voir sa belle, mais il devait bien reconnaître que c'était le seul moment où ils pourraient espérer avoir un peu de tranquillité.

Absorbé dans ses pensées et sa joie, Harry ne fut pas très bons durant les cours. Il faillit même écoper d'une retenue le soir même lorsqu'il fut incapable de répéter ce que le professeur McGonagall venait d'expliquer pendant près d'un quart d'heure. Heureusement, d'autres élèves n'avaient pas très bien compris et la directrice de gryffondor préféra reprendre le point en question. Après avoir faillit bêtement gâcher son rendez-vous, Harry redoubla d'attention pour le cours de sortilèges.

Enfin, le cours s'arrêta. Soucieux de ne pas brusquer Ron, Harry lutta contre son envie de balancer toutes ses affaires en vrac dans son sac et réussit même à s'éloigner de celui-ci et d'Hermione sans courir, après avoir prétexté que Dumbledore voulait le voir. Lorsqu'il fut certain qu'on ne le verrait plus, il se rua dans les escaliers et atteignit le second étage en un clin d'oeil. Il tourna dans le couloir du débarras et aperçut Ginny, adossée contre le mur. Il se précipita vers elle. La petite rousse se jeta dans ses bras et prit ses lèvres passionnément.

Après avoir attendu si longtemps, Harry sentait son coeur battre à tout va tandis qu'il tenait Ginny serrée contre lui. Il aurait aimé continuer à l'embrasser mais la petite rousse avait une autre idée en tête. Elle le prit par la main.

 

« Viens par là ! »

 

Ginny utilisa le mot de passe du débarras des balais que seuls connaissaient le professeur Bibine et les capitaines d'équipes de quidditch.

 

« Je ne t'ai jamais donné le mot de passe de la réserve, observa Harry.

_ Fred et Georges le connaissaient avant Dubois lui-même quand il a été nommé capitaine, expliqua Ginny. Quand ils ont su que je faisais partie de l'équipe ils me l'ont confié. »

 

Le débarras à balais était à peine plus petit qu'une salle de classe standard. Sur chaque murs étaient fixés des râteliers sur lesquels étaient accrochés des balais de toutes sortes. Les plus vieux et les plus inutilisables étaient amassés dans un coin. Les plus neufs étaient gardés sous clefs dans deux grosses armoires au centre de la pièce avec les malles de balles de quidditch.

La jeune fille referma la porte consciencieusement avant de se retourner vers son amoureux.

 

« Il n'y a plus de cours de vol et aucun entraînement de prévu pour ce soir, déclara-t-elle en souriant, j'ai vérifié. On est tranquilles.

_ Vraiment tranquilles ? Fit-il en la prenant par la taille.

_ Oh oui ! Vraiment ! »

 

Ils s'embrassèrent à nouveau avec envie.

Harry laissa ses mains caresser doucement le dos de sa belle qui en ronronnait de plaisir sans lâcher la bouche de son homme. Il se sentit grandir peu à peu. Il voulut passer sous la chemise de son amante. Ginny stoppa doucement son baiser et s'approcha de l'oreille de Harry.

 

« Attends un peu mon amour. J'aimerai jouer un peu.

_ Tout ce que tu veux, mon coeur. »

 

La petite rousse s'écarta de son amant et enleva vivement la cravate rouge et or de son uniforme. Elle passa derrière Harry et lui posa le long tissu sur les yeux.

 

« Oh ! Un cache-cache. Tu ne crois pas qu'on est un peu vieux pour ça. C'est un jeu de gamins.

_ Je serai très étonnée que tu ais déjà joué à cache-cache à ma façon, répondit-elle. Avec mes règles, je t'assure que ce serait plutôt un jeu interdit aux enfants.

_ J'ai hâte de voir ça. Enfin, façon de parler, évidemment. »

 

Pour plus de sureté, Ginny prit également la cravate de Harry et l'attacha par dessus la sienne. Puis elle se colla contre lui dans son dos en caressant son torse. Il tardait à Harry que la partie commence.

 

« Voilà les règles. Je vais enlever un par un mes vêtements et les laisser tomber derrière-moi. Tu dois suivre la piste pour me retrouver. Si tu y parviens avant que je sois complètement nue, je te promets que tu connaitras tous les délices dont je suis capable. Sinon, non seulement tu devras d'abord m'attraper sans rien voir mais tu auras un gage en plus.

_ Quel genre de gage ? Demanda Harry en souriant.

_ Le genre où je te ferais comprendre que tu m'as beaucoup manqué ces derniers jours. Laisse-moi un peu d'avance, le temps que j'enlève mes chaussures, sinon c'est pas du jeu. »

 

Ginny le lâcha et il l'entendit marcher sur sa gauche. Puis plus un bruit. Harry, poussé par la taille de plus en plus réduite de son pantalon, se mit à la traque de sa proie. Il marcha assez rapidement dans la direction où son amoureuse était partie et finit par buter sur une chaussure. Il s'agenouilla alors et tâtonna le sol tout autour. Sa main finit par effleurer, sur sa droite, un morceau de tissu qu'il identifia comme une chaussette. Il partit à quatre pattes dans cette direction. Il trouva vite la seconde chaussette puis vint le gilet qui se trouvait dans un coin de la pièce. Harry ne trouvait rien autour de celui-ci. Il se mit alors à inspecter les murs et découvrit la jupe accrochée à un balai. Se relevant complètement, il explorait le râtelier de ses mains et trouva bientôt la chemise. Harry accéléra. Il n'avait plus beaucoup de temps. Ginny ne faisait pas le moindre bruit. Il posa ses mains sur un tissu fin et courbé qui ne pouvait être qu'un soutien-gorge. Harry courut presque en laissant sa main effleurer le râtelier et ses balais.

Il eut le souffle coupé en touchant le dernier morceau de tissu qu'il trouva. Mais celui-ci était encore tenu par une main.

 

« Je t'ai eu ma belle, fit-il en souriant. Tu n'as pas eu le temps de t'en débarrasser.

_ Je suis quand même nue, répondit-elle d'une voix amusée.

_ Alors qu'est-ce qu'on fait ?

_ Match nul, déclara-t-elle. Disons que nous avons tous les deux gagnés. Chacun a droit à sa récompense. »

 

Elle se colla contre lui et l'embrassa. Harry éprouva une sensation étrange en caressant le doux corps de son amoureuse sans le voir. C'était comme s'il la redécouvrait. Il appréciait chaque courbe qu'il avait maints fois parcouru en ayant l'impression de les dessiner sous ses doigts. Il ne souhaitait pas la voir encore. Il voulait la sentir. Ses caresses se firent légères et rapides. Ginny avait l'impression qu'un vent doux et chaud s'aventurait de ses épaules à ses cuisses. Elle en frissonna de plaisir. Mais elle avait encore son plan à mettre en action.

Doucement, elle dévêtit Harry, refusant qu'il enlève son bandeau. Elle caressait et embrassait le torse qu'elle libérait peu à peu de la chemise. Le jeune homme n'y tenait plus.

 

« Oh ! Ginny! C'est un excellent début de récompense.

_ En fait Harry, celle-là c'est la mienne. »

 

Il la sentit s'écarter brusquement puis elle dit d'une voix forte :

 

« Intravo ! »

 

Harry fut projeté dans les airs. Il fut plaqué contre l'un des râteliers et des cordes s'enroulèrent autour de ses poignets, de ses chevilles et une autour de sa taille.

 

« Mais... qu'est-ce que... ?

_ Calme-toi, fit Ginny. Rien de méchant. »

 

Celle-ci retira le bandeau. Harry constata que c'était bien toujours sa petite amie qui se trouvait face à lui. Pendant un court instant, il avait craint d'être tombé dans un piège.

 

« En fait, tu n'es qu'une petite perverse, fit-il en retrouvant le sourire.

_ Et je sais que ça te plait, répondit-elle en abaissant le pantalon de Harry. C'est juste que tu ne sais pas encore à quel point. »

 

Elle embrassa son amant passionnément tout en débarrassant celui-ci de son caleçon. La petite rousse s'empara du membre dressé et se mit à le caresser lentement de haut en bas. Très lentement. Harry croyait défaillir.

 

« OK ma belle ! Tu peux faire tout ce que tu veux.

_ Oui mais non, répliqua Ginny amusée. Ce serait un peu trop facile comme gage, non ? D'abord tu prends ton plaisir selon mes règles, ensuite selon les tiennes. Je doute que tu trouves cela contraignant.

_ Euh..., argumenta Harry.

_ J'ai un autre programme en tête. Je te l'ai dit, je vais te montrer combien tu m'as manqué. Et crois-moi je vais te le faire comprendre.

_ Mais c'était pas ma faute ! Tenta désespérément Harry. A moi aussi tu m'as manqué.

_ Je sais. C'est pourquoi tu aurais eu ta récompense de toute façon. »

 

 

Ginny s'écarta du jeune homme de quelques centimètres à peine. Celui-ci voulut la retenir mais il ne pouvait que tirer sur ses liens qui ne bougeaient pas d'un pouce. La magie dont faisait preuve Ginny était toujours impressionnante.

La petite rousse commença à caresser sa petite poitrine en douceur tout en le regardant d'un air d'envie proche du désespoir.

 

« Euh... c'était à ce point là ? Hasarda Harry estomaqué. »

 

La belle ne lui répondit pas et laissa l'une de ses mains descendre lentement sur son ventre jusqu'à l'échancrure intime de son corps. Harry ne savait plus quoi faire. Les premiers gémissements de Ginny lui fouettaient le sang mais il ne pouvait toujours pas faire le moindre mouvement. Il lui semblait que la température de la pièce devenait infernale et de la sueur perlait sur son front tandis que les doigts de la petite rousse investissaient le bas de son corps.

 

« Tu... tu sais, articula-t-il difficilement, tu te mets dans le même état que moi. On pourrait y remédier si... si tu me libérais. »

 

Ginny lui sourit d'un air malicieux.

 

« Pas encore mon amour. Je dois te faire ressentir en quelques minutes tout ce que j'ai ressenti au long de la semaine. Heureusement, j'ai des amies qui m'ont permis de tenir sans toi. »

 

Harry comprit que son délicieux supplice était loin d'être terminé lorsque Ginny prit sa baguette et ouvrit la porte à distance pour laisser entrer deux silhouettes toute encapuchonnées. La porte se referma et un cliquetis se fit entendre, annonçant leur tranquillité.

Ginny s'approcha des nouveaux arrivants et retira leurs capes pour dévoiler Hermione Granger et Luna Lovegood, toutes les deux entièrement nues. Bien qu'il le savait, Harry était toujours émerveillé par la beauté de la jeune serdaigle qui cachait bien son jeu. Celle-ci observa le jeune homme solidement attaché de ses habituels yeux rêveurs.

 

« Tu as raison, fit-elle à Ginny, ça a l'air très amusant. Salut Harry.

_ Euh... salut... Luna, répondit Harry embarrassé. »

 

Hermione, quant à elle, pouffait de rire.

 

« Intéressant tes rendez-vous avec Dumbledore, à ce que je vois. Tu n'aurais pas dû délaisser ta petite copine.

_ Hé ! Protesta Harry. J'ai fais ce que j'ai pu.

_ De toute façon, après ça, je pense que tu t'en souviendras.

 

Ginny se positionna face à son homme, à quelques centimètres tout au plus, avec la blonde dans son dos. Elles commencèrent un nouveau manège érotique. Luna se colla contre le dos de son amie et commença à caresser son ventre tout en lui posant des baisers dans le cou. La petite rousse se cambra sous les caresses et renversa la tête en arrière, sur l'épaule de la jeune serdaigle. Les filles en profitèrent pour goûter à leurs langues emmêlées tandis que Ginny envoya ses mains sur le popotin de son amie et que celle-ci lui massait sa tendre poitrine par échange de bons procédés.

Harry aurait bien détourné les yeux le temps de se calmer mais il ne pouvait pas quitter le somptueux spectacle du regard. Sa petite amie le connaissait trop bien et avait tout prévu. Hermione entra alors en scène à son tour. Elle s'agenouilla devant la jeune Weasley et laissa sa langue trainer sur la douceur de ses cuisses en remontant vers sa destination. Elle s'arrêta sur le bel abricot qu'elle goûta avec passion. Les gémissements de Ginny, étouffés par la bouche de Luna, électrisèrent Harry au point qu'il croyait presque pouvoir jouir sans qu'aucune des filles ne le touche. Sans cesser de s'embrasser, les filles gémirent bientôt de concert, la jeune serdaigle ayant également trouvé l'entrée intime de la petite rousse avec ses doigts, se mêlant à la langue de la brune.

Pensant que, désormais, rien ne pourrait plus l'exciter d'avantage, Harry fut étonné de voir Ginny s'emparer de sa baguette magique. Elle lança un sort informulé pour faire apparaître un gode ceinture en bois, outil très répandu à Poudlard. Délaissant quelques secondes ses amies qui s'occupèrent sans elle, Ginny l'enfila et l'ajusta. Harry n'en crut pas ses yeux lorsque sa petite amie vint s'assoir à ses pieds, le dos nu contre ses jambes, sa tête juste sous son pieu de chair, et attira Luna vers elle pour l'assoir à califourchon sur le membre factice. La jeune serdaigle avait le visage juste en face de la virilité de Harry et il sentit le souffle de son gémissement lorsqu'elle se laissa descendre sur le gode. Luna observait le sexe dressé avec envie mais, finalement, elle passa en dessous pour embrasser Ginny à pleine bouche. Pendant quelques instants, Harry ne voyait plus que deux touffes de cheveux, écarlate et dorée, le dos légèrement arrondi de la serdaigle et ses petites fesses qui se trémoussaient. Il avait extrêmement chaud et sa gorge était en train de se dessécher lorsque Luna bascula en arrière pour poser le dos au sol, révélant absolument tout au jeune homme. Il avait maintenant une vue d'ensemble allant du visage empourpré de plaisir de Ginny à celui tout aussi rouge de la jeune serdaigle gémissante en passant par la pénétration de celle-ci par la première. Harry avait l'impression que c'était sur son sexe que Luna gigotait. Il ignorait si tout cela avait ou non était calculé par Ginny mais il ne put s'empêcher de gémir de dépit. Hermione s'ajouta au tableau, s'agenouillant au dessus du visage de Luna qui s'occupa rapidement de son trésor intime, et s'abaissant pour prendre en bouche l'un des seins de la petite rousse. Les cheveux bruns frôlaient le dard de Harry qui émit un nouveau gémissement plaintif.

 

« Le pauvre, fit Luna compatissante en le regardant, ses yeux dépassant à peine du petit derrière d'Hermione. Peut être qu'on a assez joué, non ?

_ Oui, je pense que maintenant, il mérite de participer. »

 

Sur ces mots, la petite rousse leva la tête et avec sa langue, dessina la rondeur de l'une des bourses de son petit ami. Alléchée par la perspective, Hermione se redressa et ses lèvres s'emparèrent du membre bien dur. Les filles n'eurent pas besoin de le soumettre longtemps au délicieux traitement avant que Harry ne s'écoule dans la gorge de la brune.

Les trois filles se relevèrent et ce fut au tour d'Hermione de prendre sa baguette et d'en pointer le jeune homme. Celui-ci espéra une délivrance, mais en réalité, il fut simplement retourné. Ses pieds et ses hanches n'étaient plus retenus. Par contre ses mains étaient attachées beaucoup plus bas, ce qui l'obligeait à être penché pratiquement à angle droit.

 

« Quelle est la suite du programme ? Demanda-t-il.

_ Un tout dernier fantasme personnel, mon amour, répondit Ginny. Après ce sera ton tour.

_ Comme tu veux ma belle. Je ne bouge pas d'ici, fit-il d'un air goguenard. »

 

Les filles se mirent en place selon un plan apparemment moitié répété, moitié improvisé. Hermione vint se mettre face à lui, les jambes écartées au dessus de ses bras, lui présentant sa tendre intimité que Harry lécha avec plaisir. Luna S'agenouilla sous le jeune homme et prit le membre qu'elle avait tant désiré dans sa bouche. La langue de Ginny parcourut les fesses de son amoureux avant d'aller plus avant et d'explorer le petit anneau de celui-ci. Harry en fut électrisé et creusa les reins. C'était apparemment la réaction attendue. La petite rousse se redressa et le jeune homme ne fut pas étonné de sentir le membre factice qu'elle portait toujours à la ceinture, se frayait un chemin entre ses fesses. S'agrippant aux hanche de son petit ami, Ginny entra en lui d'un petit coup de rein avant de se mettre à faire des va et viens en cadence. Harry appréciait beaucoup ce traitement mais il ne pouvait pas le montrer, à part en faisant de légers mouvements pour aller au devant des coups de boutoirs de son amoureuse. Il redoubla également d'intensité dans sa dégustation de la merveilleuse vallée d'Hermione qui s'accrochait d'une main au râtelier de balais derrière elle et appuyait sur la tête du jeune homme pour l'encourager. Sous les mouvements de Harry, Luna n'avait plus grand chose à faire et laissait aller et venir le sexe dans sa bouche tout en se caressant.

Hermione poussa soudain la tête en arrière et lâcha un cri de jouissance. Enivré par sa liqueur intime, Harry la suivit peu de temps après et Luna se régala de sa semence. Ginny attrapa alors le membre vaincu de son amoureux et le caressa à la cadence de ses coups de reins. Hermione rejoignit la serdaigle et elles activèrent toutes deux leurs langues pour redresser le mât de Harry. Lorsqu'il eut reprit une nouvelle vigueur, la petite rousse pointa sa baguette magique sur les liens de son amoureux et le libéra.

 

« Alors, lui fit-elle tandis qu'il se retournait, ça t'a plut ?

_ c'est le genre de surprises que j'aime. »

 

Ils s'enlacèrent et s'embrassèrent passionnément. Le membre de Harry se frotta à celui de bois.

 

« Il te reste encore ta récompense, reprit Ginny.

_ Je n'ai pas oublié, ne t'en fais pas. »

 

Ils posèrent tous deux le regard sur les filles. Hermione et Luna ne les avaient pas attendus pour continuer leurs ébats. Allongées au sol, elles partageaient leurs lèvres tout en caressant leurs corps.

 

« Vous pourriez attendre votre ami, quand même.

_ Elle est toujours la bienvenue, à n'importe quel moment, répondit la voix à moitié étouffée d'Hermione. »

 

Harry retira le gode ceinture des hanches de sa petite amie et pointa sa baguette sur celui-ci.

 

« Duplicatem ! »

 

Il se retrouva avec un deuxième membre factice, exactement semblable au premier. Il les lança aux filles qui s'en équipèrent rapidement.

 

« Il faut faire vite, le sort de duplication ne dure pas longtemps. »

 

Harry positionna Ginny dos à un râtelier et lança un sort informulé qui attacha ses poignets à celui-ci en hauteur pour que ses bras soient tendus et fassent ainsi ressortir sa délicieuse petite poitrine. Le jeune homme caressa les seins offerts avant de s'effacer devant Hermione et Luna qui avaient compris où leur camarade voulait en venir. La jeune serdaigle se glissa derrière Ginny et inséra doucement le gode entre ses deux petites fesses bien rondes. Lorsqu'elle se trouva devant le petit anneau, elle y entra avec douceur, la position de la petite rousse ne facilitant pas cet accès. Pendant ce temps, Hermione s'installa entre les jambes de la jeune Weasley et agaçait le bouton d'amour de cette dernière pour la prévenir de ce qui l'attendait. Ginny la regardait intensément et passa la langue sur ses lèvres d'un air provocateur signifiant à son amie qu'elle avait tout le loisir de faire ce qu'il lui plaisait. Hermione ne patienta pas plus et installa le gode dans l'antre douce et chaude de la petite rousse d'un coup de rein, avant de s'emparer également de ses lèvres avec passion. Harry était resté en retrait. Il appréciait grandement le spectacle de sa petite amie à la merci des deux filles qui n'avaient d'autre but que de lui donner le plus de plaisir possible. Entendre leur concert de gémissements approbateurs à chacun de leur mouvement était également un régal. Au bout d'un moment, il s'approcha et alla caresser les petites fesses d'Hermione qu'il accompagnait dans la cadence de ses vas et viens. Puis il les écarta, libérant le petit anus, et vint placer son gland contre celui-ci. Grâce au mouvement de la jeune gryffondor, il n'eut pas besoin du moindre effort pour entrer en elle. Harry s'accrocha aux hanches d'Hermione et se colla à la cadence de ses coups de reins.

Le groupe resta ainsi pendant quelques minutes, les mains libres se baladant à leurs guises sur les corps enfiévrés. Puis, comme Harry l'avait dit, le gode ceinture d'Hermione disparut et elle se retrouva à se frotter frénétiquement contre Ginny.

 

« J'aimerai bien être un peu seul avec Ginny maintenant, les filles, s'il vous plaît. »

 

Sans dire un mot de plus, Luna se retira du dos de la petite rousse tandis que Hermione s'agenouillait à côté du couple et posa son torse au sol dans une pose qui indiquait clairement la marche à suivre pour la jeune serdaigle. Luna ne la fit pas attendre, s'agenouilla à son tour derrière elle et pénétra son intimité jusqu'à la garde d'un seul coup, ce qui arracha un cri de plaisir expressif à la brune.

Pendant de temps, Harry s'était positionné entre les douces cuisses de son amoureuse et avait aussitôt investit le joli coquillage roux de son pieu. Mais il n'en resta pas là. Il saisit les petites fesses de Ginny et s'écarta légèrement du mur, tirant un peu sur les liens. Ainsi, la petite rousse ne touchait plus terre et était totalement soutenue par son amant. Ce fut seulement à ce moment là que Harry commença ses coups de reins et qu'il se courba pour venir goûter aux fruits défendus. Entre les puissants mouvements de Harry et la sensation de sa langue sur ses seins, Ginny bascula la tête en arrière et se laissa aller à crier son plaisir autant que le permettait ses poumons. Après le traitement de Luna et Hermione, elle ne fut pas longue à jouir. Harry voulut s'arrêter et en terminer d'une autre manière mais elle l'enferma entre ses jambes, lui faisant bien comprendre qu'il n'était pas question qu'il parte avant d'avoir eut droit, lui aussi, à l'apogée du plaisir. Il s'activa de plus belle et se répandit dans son ventre en gémissant de bonheur. Hermione et Luna se trouvaient derrière lui et elles le firent se retirer vivement, se saisirent de son sexe qu'elles masturbèrent avec vigueur dans l'intention qu'il envoie ses derniers jets de nectar sur le ventre, les cuisses et les seins de Ginny. Une fois fait, elles se régalèrent à nettoyer la petite rousse à coups de langues habiles. Luna, qui appréciait grandement la saveur du jus d'amour masculin, colla ses lèvres à l'intimité de Ginny pour aller chercher le nectar en profondeur.

Lorsqu'elle fut toute propre, ils libérèrent la petite rousse qui chancela sur ses jambes, épuisée par toutes ces expériences. Elle lança un sort de prévention sur son ventre puis ils se rhabillèrent. Ils sortirent tous les quatre de la remise après s'être assurés que personne ne les verrait. Harry et Ginny, enlacés, laissèrent leurs amies prendre de l'avance.

 

« Intéressant, n'est-ce pas ? Fit la petite rousse.

_ Oui, répondit le jeune homme. Mais je n'ai pas encore eu ma récompense. »

 

Ginny s'arrêta, interloquée.

 

« Qu'est-ce que tu veux dire ? »

 

Pour toute réponse, Harry s'empara de ses lèvres en un baiser tendre et passionné.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Harry
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Dimanche 27 janvier 7 27 /01 /Jan 18:14

Voici une nouvelle contribution qui nous vient de la talentueuse Lylah. Je pense que vous allez apprécier son style à la fois direct et tout en douceur.

Lylah a commencé une série d'histoires érotiques en se fixant pour but de suivre l'alaphabet pour chacune d'elles. Voici donc la lettre A, première d'entre elles et, vous aller le constater, des plus prometteuses.

Je termine en vous disant que c'est Lylah elle-même qui a créé les fanarts au début de chaque histoire. Encore une corde à son arc.


Contribution de Lylah

Chapitre 1 : A comme…amour anisé


Le soleil filtrait à travers les vitraux colorés du dortoir des filles.

Sous un monticule de couvertures, une jolie rousse daigna sortir son joli minois, grimaçant quand le premier rayon solaire vint lui caresser le visage.

En cette chaude journée d’octobre, une sortie à Pré-au-lard était prévu et il n’était pas question qu’elle soit en retard.

En autant de temps qu’il ne faut pour le dire, elle sauta du lit et commença à se préparer.


  • Debout Hermione, scanda-t-elle à l’adresse de son amie, encore une fois nous sommes les dernières à émerger.


Une nouvelle forme se mit à se mouvoir sur le lit d’à côté, poussant un grognement de désapprobation en enfouissant sa tête plus profondément sous les draps.

Mais la jolie rousse, qui avait prit l’habitude de ce coutumier manège, ne se laisserait pas avoir, pas aujourd’hui ! Ça non !


  • Wingardium Leviosa !


Et la lourde couverture se mit à virevolter au dessus du lit, découvrant une jeune fille très peu vêtue, qui, s’en rendant subitement compte, sortit immédiatement de sa léthargie pour attraper la couverture au vol et s’en couvrir prestement.


  • Tu as un malin plaisir à me torture Ginny ! C’est pas vrai !


Pour toute réponse, elle se mit à rire en enfilant ses longues chaussettes rouge et or.

Hermione dû se rendre à l’évidence, si elle ne se levait pas, Ginny la traînerait de force jusqu’à Pré-au-lard, alors autant qu’elle le fasse d’elle-même.

Quelques minutes plus tard, elles étaient prêtes à suivre le joyeux petit groupe qui se formait impatiemment devant la grande porte de l’école.

En chemin, Ginny cherchait des yeux la chevelure hirsute de celui qui faisait battre secrètement son cœur.

Secrètement ?

Non pas tant que ça finalement puisque son émoi se caractérisait facilement de par la jolie couleur pourpre qui couvrait ses joues dès qu’elle croisait son regard émeraude, expliquant clairement la nature de ses sentiments pour le Gryffondor.


- C’est moi que tu cherches Weasley ? Lança une voix glaciale derrière elle.


Pas besoin de se retourner, elle savait déjà à qui elle avait affaire. Elle reconnaîtrait cette voix de serpent persifleur entre mille. Aussi, elle décida de l’ignorer, ne prêtant pas attention aux diverses remarques qu’il formulait à son égard, malgré son mépris significatif.


- Et bien Granger, elle n’a jamais appris à répondre quand on lui parle ta copine ? Adressa-t-il alors à Hermione.

- Depuis quand est-ce que l’on t’adresse la parole Malefoy ?


Celui-ci plissa les yeux jusqu’à ce qu’ils ne ressemblent qu’à deux fentes et avant de les distancer, lui assainit un violent coup de coude.


- Crétin ! Murmura Hermione se frottant douloureusement le bras.

- On parle de Malefoy ? Fanfaronna la voix d’Harry.

- Harry ! Ron ! On vous cherche depuis que l’on a quitté Poudlard !


Ginny sentit qu’elle rougissait à vue d’œil et détourna rapidement la tête afin de cacher au mieux l’état dans lequel elle se trouvait.


- Demande à Ron ! Il lui faut toujours un temps indéfinissable pour se lever ! N’est-ce pas Ginny ?


Mon dieu ! C’est à moi qu’il parle ?? Se mit-elle à penser.


La rouquine acquiesça rapidement de la tête sans se retourner.

Malgré le manque de perspicacité qu’il faisait part à l’égard des filles, Harry avait tout de même remarqué l’effet qu’il produisait sur elle et il avait un malin plaisir à la mettre dans l’embarra afin de pouvoir voir ses tendres joues se teinter d’un joli rose qui lui donnait envie de les croquer.

Mais Ginny ne lui donna pas ce plaisir. Elle resta le dos tourné et cachait son visage entre ses mains.


Mais quelle idiote ! Reprends toi ma vieille, il t’a juste adressé quelques mots !! Pas de quoi virer au rouge ! Continua-t-elle de penser.


Harry passa ses bras autour des épaules d’Hermione et Ginny et ils continuèrent leur chemin jusqu’à Pré-au-lard.

Ginny sentit ses jambes défaillir quand il posa sa main sur une de ses épaules, la caressant négligemment, tout en racontant son début de matinée à Hermione, ne prêtant pas attention au fait que la jolie rousse était au bord de l’évanouissement.

Elle allait passer un bras autour de sa taille pour se retenir quand…


- Oh ! Chez Honeydukes il y a de nouvelles confiseries il parait ! Il faut à tout prix que l’on aille voir ça !


Ron, le ventre sur patte, courait déjà vers la boutique, entraînant Hermione par la main, rompant ainsi la chaîne qu’ils formaient avec Harry et Ginny.

Celui-ci lui fit face et un sourire aux lèvres, lui tendit la main qu’elle s’empressa de saisir.

La confiserie était déjà noire de monde, mais cela ne les empêcherait pas de s’y faufiler.

Baguettes magiques à la réglisse, ballongommes de Bullard, des bulles baveuses, des chocogrenouilles, toujours les mêmes friandises qui leur donnaient à tous l’eau à la bouche.

Harry relâcha nonchalamment la main de Ginny pour disparaître au milieu de la foule.

Celle-ci ressentit une atroce sensation de vide et déambula à travers les rayons afin de trouver une douce sucrerie qui apaiserait sa légère peine.

Son attention fut soudainement attirée par une suave odeur anisée. Elle chercha rapidement des yeux ce qui lui mettait déjà l’eau à la bouche et au bout de quelques secondes, son regard se posa sur un petit ballotin d’osier remplit d’étoiles à la jolie couleur vert amande.

Elle s’avança plus près et, vérifiant que personne ne la regardait, elle saisit une gourmandise entre ses doigts.


- Ginny ! Tu viens ! On a un stock pour tout un mois, s’époumona Hermione devant la porte de la boutique.


Déçue, la jeune fille reposa la douceur parmi ses consœurs et sortit de la boutique, chagrinée de ne pas avoir pu porter à ses lèvres ce qui promettait d’être un pur délice.

Le pas lourd, elle remontait l’allée qui la ramènerait à Poudlard, jetant quelques rapides coups d’œil à ses amis, qui, devant elle, commençait déjà à se repaître de leur butin.

Harry ne les avait pas suivis. Peut-être avait-il encore quelques courses à faire.

Mais lorsqu’elle passa devant la dernière petite ruelle perpendiculaire à la grande rue, elle sentit deux bras robustes la tirer à l’intérieur et la plaquer obligeamment contre le mur.

Elle n’eut pas le temps d’émettre une protestation, qu’une main féline vint se poser délicatement sur sa bouche.


Elle leva alors doucement les yeux et croisa le regard enivrant d’Harry. Celui-ci, retira sa main et la gratifia du plus charmeur des sourires.


- Je t’ai enfin pour moi tout seul, murmura-t-il dans un souffle.


Est-ce vraiment à moi qu’il s’adresse là ??....Bien sur sombre idiote, tu vois quelqu’un d’autre ici ? se remit-elle encore à penser.


Bien qu’il ne puisse lire dans ses pensées, Harry comprenait bien que les questions devaient fuser dans l’esprit de la jeune fille, il tenta donc une explication, en adoptant une voix des plus suaves.


- Ca fait longtemps que je me languis de te prendre dans mes bras, je n’ai jamais su qu’elle attitude adopter avec toi. Après tout, tu es la sœur de mon meilleur ami. Je te connais depuis si longtemps, mais depuis quelques temps…tu…


Il rapprochait maintenant son visage plus près du sien, et elle pouvait sentir le souffle chaud de sa respiration caresser doucement ses lèvres.

Il n’aurait suffit que d’un simple hochement de tête pour qu’elles se rejoignent.


- Tu es….si….


Mais il ne termina pas sa phrase et lui prodigua un baiser passionné et fougueux.

Ginny sentit ses jambes se dérober sous son poids quand la langue de son ami força délicatement le passage de ses lèvres pour entamer une danse endiablée avec sa semblable.

Elle glissa alors doucement ses doigts dans la sombre chevelure de son amant et répondit à son baiser avec intensité, laissant tomber les dernières barrières de pudeur qui couvaient en elle.

Harry passa ses doigts dans sa nuque et relâchant ses lèvres, au plus grand désarroi de la demoiselle, il lui glissa deux doigts à l’endroit même que venait de quitter sa bouche.

Elle parut un instant étonné et lentement, une agréable sensation sucrée lui fit prendre conscience qu’il venait de glisser à l’intérieur une friandise.


- Il m’a semblé voir que ces douceurs te faisaient envie….


Ginny sentit à nouveau que la voix d’Harry la faisait fondre au plus profond de ses entrailles, comme la douce gourmandise commençait à le faire contre son palet.

Un exquis mélange d’anis et de menthe éveillait ses papilles, lui procurant une sensation de fraîcheur intense qui lui parcouru tout le corps.


- Je peux goûter ? Lui susurra Harry en faisant glisser sa langue sur le contour de ses lèvres.


Alors, dans un élan de passion, elle engloutit littéralement sa bouche en un baiser plus profond et plus sauvage que le précédent.

La douce fraîcheur qu’elle éprouvait par le bonbon se mit à faire place petit à petit à une chaleur qu’elle sentit monter depuis le creux de ses reins.

Harry, impatient, glissa ses doigts sous le chemisier de la jolie rousse et elle hoqueta de surprise au contact de sa peau fraîche contre la sienne.

Sans relâcher l’étreinte de son baiser, il défit avec une dextérité étonnante, les quelques boutons qui le séparait encore de la peau douce et parfumée de sa tentatrice.

Celle-ci gémissait de plaisir, commençant à perdre totalement son self-control. Elle en voulait plus, elle voulait qu’il soit plus pressant, plus audacieux.

Dans un râle de plaisir, elle laissa tomber le fin tissu sur le sol et entreprit de déshabiller son doux tortionnaire.

Comprenant l’invitation, Harry s’empressa d’envoyer ses quelques vêtements rejoindre ceux de son amie.

Puis, haletant, il prit un instant pour l’admirer.

Elle était belle, désirable mais…toujours debout ! Toujours contre le mur, le regard emplit d’envie et de convoitise. Elle suçait encore agréablement la petite étoile, et Harry sentit monter en lui une envie soudaine de la posséder.

En un éclair, il entoura sa fine taille pour l’asseoir sur un tas de vieilles boîtes de bois qui se trouvait à côté. D’une main câline, il caressa ses deux magnifiques petits seins, et il ne put s’empêcher de se passer la langue sur les lèvres avec envie.

Il imprima une légère poussée afin qu’elle se couche, l’entendant gémir au contact du matériau froid sur sa frêle peau blanche, et il déposa quelques baisers enflammer sur la pointe de l’une de ses charmantes collines.

Le corps de la demoiselle était parcouru de soubresauts de plaisir, ce qui rendait Harry plus ardent, l’incitant à mordiller tendrement le petit téton qui pointait fièrement contre ses lèvres.

Il descendit plus au sud en laissant une fine lignée sur le ventre appétissant de la jolie rousse, jouant avec son nombril un instant et continuant sa descente avec une lenteur presque criminelle.

Ginny gémissait de plaisir, sentant que son corps entier réclamait Harry sur chacune des parties de son anatomie. Elle glissait de plus en plus vers le bas, comme pour chercher impatiemment le contact, mais d’une main ferme, Harry la remettait à sa place, un sourire malicieux sur les lèvres.

Quand il atteint l’objet de ses plus lubriques convoitises, il leva légèrement les yeux vers son amante, attendant quelques signes de protestation, qui bien sûr, ne vinrent pas.
Satisfait il commença un jeu lascif avec le bout de sa langue, goûtant avec délice le charmant petit fruitier.

Ginny sombrait dans une lente agonie, subissant sa torture avec ravissement. Elle tenait fermement les morceaux de bois avec ses mains, se cambrant sous une décharge électrique quand Harry effleura son petit bouton d’amour et s’insinua plus profondément en elle.

Jamais elle n’avait connu pareil plaisir. Son corps tout entier était parcouru de légères décharges, la poussant à crier le nom de son bourreau, qu’elle essayait de taire entre ses dents.

Au bord du supplice, elle passa une main dans les mèches sombres d’Harry, lui indiquant de la rejoindre avant qu’elle ne défaille complètement.

Le Griffondor se releva alors lentement et tout en se rapprochant de la petite rousse, il passa délicieusement la langue sur ses lèvres, comme après avoir bu le plus merveilleux des breuvages.

Il prit appui sur les mains pour prendre position au dessus de son visage et un sourire malicieux sur les lèvres, la tenta :


- Préfères-tu une sucrerie à l’anis ?


Mais déjà la jeune jouvencelle avait reprit ses lèvres, appréciant avec délectation la nouvelle saveur qu’elles dégageaient.

Elle enserra d’un geste rapide les hanches de Harry, qui sous l’effet de surprise en perdit presque l’équilibre.

C’est alors que, le regard l’un dans l’autre, il descendit doucement quelques doigts vers son divin puits d’amour et lorsqu’il les inséra dans un mouvement agile, elle se cambra encore plus, pouvant sentir tout contre son ventre, la virilité concupiscente qui bientôt l’emmènerai jusqu’à l’extase.

Avec un malin plaisir, Harry jouait avec ses doigts, imprimant de légers vas et vient, mais il ne souhaitait pas encore lui donner ce qu’elle voulait, il préférait la voir se languir sous ses caresses insoutenables, il voulait qu’elle ouvre la bouche pour autre chose que lui rendre ses baisers, il voulait qu’elle lui demande. Oui ! Quelle lui demande enfin….

Et enfin….


- Oh….Harry ! Je t’en prie ! Je te veux en moi !

- Ah ! J’ai bien cru que tu ne me le demanderais jamais, lança-t-il avec malice.


Et en un mouvement ardent, il pénétra le douce et chaude entrée de son aimée.

Chacun émit un gémissement de plaisir intense, dans l’impossibilité de garder plus longtemps en eux ce feu qui les consumait.

Harry donnait de puissants coups de rein, obligeant Ginny à se maintenir à lui pour ne pas glisser sur le sol. Il aimait la sentir contre lui, et elle aimait le sentir au plus profond d’elle. La tête en arrière, elle laissait son tendre amant la couvrir de baiser enflammer dans sa nuque chaude et offerte dans laquelle il pouvait sentir son cœur battre à toute allure.

Et quand, elle sentit le souffle de son bourreau s’accélérer contre sa poitrine, elle enserra d’autant plus son étreinte autour de sa taille et plaça des mains souples sur ses fesses fermes et musclées, l’incitant à accélérer le mouvement.

Celui-ci ne se fit pas prier et octroya des coups plus vigoureux et plus indomptés, arrachant des cris de plaisir à Ginny, qui sentait en elle, montait en plus du membre concupiscent d’Harry, une chaleur telle qu’elle ne pouvait plus retenir ses cris. Elle enfoui son visage dans le creux de l’épaule de son amant, tandis que celui-ci tentait de se maintenir en équilibre tout en ne ralentissant pas son rythme soutenu.

Et dans un râle de jouissance extrême, il sentit une décharge vive lui parcourir le bas des reins et il ne pu s’empêcher de se mordre le poing pour ne pas hurler quand son corps se contorsionna en plusieurs petits soubresauts.

Lentement, leur respiration se fit plus calme, plus sereine. Comme le calme qui précède la tempête un lourd silence s’installa.

Ils restèrent un instant l’un contre l’autre, ne voulant pas se relâcher, de peur de vaincre la magie du moment.

Harry s’appuya tout de même difficilement sur ses avants bras et toisa son aimée d’un regard amoureux.

Celle-ci, le visage empourpré par le désir, lui rendait son regard qui en disait long sur la reconnaissance qu’elle lui témoignait.

Sans un mot, ils se rhabillèrent et avant de quitter la ruelle, Harry saisit la main de Ginny et docilement, lui glissa une petite étoile à l’anis entre les lèvres, symbole de leur désir ardent et amour naissant.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Harry
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Vendredi 4 janvier 5 04 /01 /Jan 17:51

Merci à Prong pour sa contribution qui dévoile un aspect du tome 6 que plusieurs personnes attendaient de pouvoir lire. Je ne vous en dis pas plus.


Contribution de Prong


Pris au piège


Ce samedi avait pourtant si bien commencé se dit Harry en quittant l’infirmerie et en déambulant au hasard dans les couloirs de l’école. D’abord, c’était son anniversaire, et il adorait généralement ce jour là. Mais il avait fallu que Ron avale ces stupides chocolats remplis de philtre d’amour !!!Il avait par la suite faillit mourir à cause d’un vin empoisonné chez le professeur Slughorn. Seule la présence d’esprit et la rapidité de Harry avait sauvé son ami, en lui enfonçant un bézoard, petite pierre aux vertus d’antidote étonnantes. Passé le premier choc, Ron s’était calmé rapidement et s’était plongé dans un profond sommeil. Harry et le Maître des potions l’avaient alors transporté à l’infirmerie, où le jeune homme avait dû répondre à beaucoup de questions de la part de Mme Pomfresh et de la directrice de la maison des gryffondors, Le professeur Mc Gonagall.

Il essayait maintenant de retrouver le chemin de la salle commune des gryffondors, mais, perdu dans ses pensés, il s’égara et errait dans les couloirs sans regarder où il allait. Mais alors qu’il se demandait de quelle manière ce poison était arrivé dans ce tonneau, une voix féminine qu’il connaissait l’appela derrière lui. Il se retourna et tomba nez à nez avec une jeune fille de 4 éme année, grande, assez belle avec des cheveux noirs comme le jais. Il répondit presque machinalement


<< Salut Romilda. Ça va ?

_ Très bien Harry ! et toi ? tu as goûté à mes chaudrons au chocolats ? lui répondit elle avec un grand sourire>>


Soudain, la réalité lui revint à la vitesse d’un hippogriffe au galop. C’était Ron qui avait mangé ces chaudrons remplis de philtre d’amours !! Et c’était à cause de ça qu’ils étaient allés chez le professeur Slughorn et que Ron avait failli mourir ! A cette pensée, il eut une bouffé de rage et allait lui répondre violemment quand Romilda lui dit


<< Apparemment non ! Tant pis, j’ai un plan B>>


Elle sortit d’une des poches de son manteau une fiole de parfum. Harry crut qu’elle allait s’en asperger et tenter de le charmer mais c’est vers lui qu’elle retourna la fiole et lui envoya un petit nuage rose dans le nez. Harry essaya de dire quelque chose mais la tête lui tournait déjà et il s’effondra sans un bruit.


Il finit par émerger lentement. Il était toujours allongé mais était ligoté et entendait des voix au dessus de lui


<< Le mieux c’est de tirer au sort.

_ Pas question ! c’est moi qui ai pris les risques, c’est moi qui commence !!

_ Tu vas l’épuiser et on ne pourra plus rien en tirer après !

_ Tu n’avais qu’à m’aider à lui faire prendre la potion !Et puis c’est ça où je lui donne l’antidote maintenant !

_ Bon bon ne te fâche pas Rom ! tu peux y aller .

_ Non, j’ai une meilleure idée : pourquoi pas tout les deux !

_ Tu es folle, j’ai jamais fait ça moi !

_ Raison de plus pour essayer. »


Machinalement, Harry avait compté deux voix différentes mais il était encore trop endormis pour les identifier. Il entendit tout à coup une voix féminine énoncer Revigorvitas et sentit une grande chaleur inonder tout son corps Et il eut enfin la force d’ouvrir les yeux. Il était entouré de deux jeunes filles dont la belle Romilda Vane .


<< Salut Harry !! »


Il se tourna vers celle qui avait parlé et reconnu une des amies de Romilda qui était avec elle dans le poudlard express


« Euhhh salut !

_ Bon Rom tu lui expliques ? »


La jeune femme se pencha sur Harry et lui murmura :


« Nous sommes amoureuses de toi Harry, et tu es là pour qu’on te le prouve.

_ Mais l’amour, ce n’est pas sur commande Romilda !! Il faut être amoureux !

_ Mais tu vas être amoureux Harry !! Très amoureux aussi !>>


Elle sortit de sa poche un autre flacon et lui introduit entre les lèvres


<< - Tu vois, il me restait encore du philtre d’amour de chez Weasley & Weasley ! »


Horrifié, Harry se rendit compte que dans quelque instants il allait être amoureux fou de la jeune femme et ne serait plus maître de ses actes.


Sa tête lui tournait déjà quand il sentit que ces liens se défaisaient tout seul. Il se redressa pour constater à travers un regard embué qu’il était dans les toilettes des filles du deuxième étage. Bizarrement, il n’y avait plus personne autour de lui et pensait déjà que tout ceci n’avait été qu’un rêve étrange lorsque soudainement une silhouette surgit d’une des cabines. Romilda, toute nue le prit dans ces bras et l’embrassa longuement. Harry fut surpris de répondre à ce baiser avec une fougue qu’il ne se connaissait pas. Passant ses bras dans le dos de la jeune femme, il la pressa contre lui comme s’il allait la perdre. Visiblement ravie, Romilda l’attira vers le cabinet dont elle avait surgit et se mit dos au mur, laissant les mains du jeune homme la caresser. Ce dernier avait l’impression d’avoir enfin atteint le paradis. Il fit remonter ces deux mains vers les mamelons de Romilda. Il les suça, les pétrit, il n’en pouvait plus d’éprouver leur délicieuse élasticité. Il en prit un dans sa bouche et le suça à en faire disparaître la couleur. Mais au même moment il sentit une autre poitrine se coller à son dos et des mains fouiller dans son pantalon. Sans voir cette inconnue, il sentit qu’il était amoureux fou d’elle. Tout en embrassant Romilda, il prit la tête de la deuxième fille, lui indiquant son rôle. Comprenant aussitôt, celle-ci se baisse et prit à deux mains l’imposant outil. Mais au lieu de le prendre dés le début, elle préféra jouer un peu avec Harry. Elle commença par dénuder le gland, puis lui faire de petites léchouilles afin de le titiller. Elle descendit jusqu’aux bourses pour les englober entièrement, les faisant rouler dans sa bouche. Pendant ce temps, Harry était aux anges. Il avait fait se mettre à quatre patte Romilda et était penché en train de lui embrasser sa rose, puis s’était enhardi jusqu’à lui sonder son petit trou coquin. La jeune fille poussait de petits cris aigus qui traduisait son plaisir évident. Elle ne fut pas longue à déverser son nectar sur la bouche d’Harry qui s’en délecta. Celui-ci l’abandonna un peu, car il fallait s’occuper de celle qui lui avait patiemment lubrifier son engin. Il la coucha sur le sol et l’embrassa passionnément. Il se mit alors à faire de lents mouvements du bassin de façon à ce que son sexe soit en face du puit des félicités de la belle inconnue. En même temps, Romilda, se sentant délaissée, se plaça derrière le couple en action et se mit à embrasser son amie. Le spectacle de ses deux filles en train de s’embrasser langoureusement donna un regain d’énergie à Harry qui accéléra le rythme, l’amenant avec sa partenaire au bord du précipice du bonheur. Et c’est allégrement qu’ils le franchirent, mélangeant leurs deux liqueurs.

Passablement épuisé, Harry reposa sa tête sur la douce poitrine de sa partenaire. Cette dernière caressait les cheveux du garçon, ayant cessé les embrassades avec Romilda. Mais cette dernière fit clairement comprendre au couple qu’une pause n’était pas dans ses intentions. Elle se plaça derrière Harry et commença à faire des ronds à l’aide de sa langue autour du petit puit du garçon. Celui ci attendait avec impatiente la suite, mais n’arrivait pas à se décider à quitter son confortable oreiller. Ce ne fut que quand il sentit deux doigts s’infiltrer en lui qu’il se releva brusquement comme électrocuté. Il se mit à quatre patte, indiquant clairement à Romilda qu’il ne désirait absolument pas qu’elle cesse ces caresses. La seconde adolescente s’accroupit avec un soupir et chercha les lèvres gorgées de désir de Harry. Elle y introduisit sa langue, étouffant un gémissement du garçon qui comptait désormais trois doigts dans un lieu fort agréable. La jeune fille abandonna ses lèvres pour se glisser contre le corps de l’adolescent elle aussi à quatre patte. En voyant cette petite paire de fesse s’ajouter en dessous de celles qu’elle titillait déjà, Romilda comprit aussitôt. Elle demanda à Harry de soulever légèrement son bassin grâce à une pression judicieuse et saisit la verge de ce dernier qu’elle dirigea sur le petit trou de sa compagne. Harry, complètement inconscient à cause des doigts enfoncés dans son anatomie, se rabaissa brutalement, pénétrant en une seule fois la jeune fille qui apparemment était vierge…de ce côté-ci

Après bien des mouvements passionnés, les trois amants finirent par trouver leur limite et s’effondrèrent sur le sol même.

Quelques heures plus tard, Harry se réveilla, allongé sur un des sofa de la salle commune de gryffondor. Il commença par douter de ses souvenirs, mais quand il tenta de se retourner une vive sensation au niveau du bassin lui prouva que les évènements de la soirée avait été bien réels. Il ne savait que penser, et finit par décider de ne pas en parler. Le Grand Harry Potter qui tombe dans un piège monté par quelques filles… ?

Pas très glorieux !


Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Harry
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