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Jeudi 3 mai 4 03 /05 /Mai 19:34
Bonjours chères lectrices et chers lecteurs,

Il est rare que je laisse un mot avant une histoire, je préfère vous laisser entrer dans le vif du sujet avant de discuter. Mais là, je ne peut pas m’empêcher de faire une petite introduction. Rien de bien long, simplement pour vous prévenir que l’histoire que vous allez lire compte parmi les meilleures que j’ai jamais eu sous les yeux. Et très franchement, je n’exagère pas. Les quelques publications que j’ai pu lire n’atteignent pas ce niveau d’écriture, ou disons rarement. L’histoire de Bibi-chan me fait penser à celles écrites par des auteurs classiques qui ont soudain eu envie d’aller explorer le côté frivole que leur notoriété ne leur permet pas d’exprimer. J’ai un ouvrage collectif en particulier que j’aimerai vous citer mais que je ne parviens pas à retrouver. Ce sera pour la prochaine fois car en plus d’être talentueuse, Bibi-chan est généreuse puisqu’elle va nous régaler d’une histoire en trois partie. Mais je parle et je sens bien que je vais trop loin avec mon admiration pour cette œuvre et je vous laisse constater plutôt.

Poudlard Secret


Contribution de Bibi-chan

Nymphésis, Sex Toy


 

 

« On inverse ? » demanda Drago à Harry, d’une voix teintée de plaisir, exacerbée par les caresses buccales que leur charmante partenaire, une Poufsouffle de sixième année, effectuait avec dextérité sur la virilité du Serpentard.

 

   Le Gryffondor acquiesça d’un bref hochement de tête, entre deux halètements, et donna quelques derniers coups de reins des plus énergiques pour s’insérer profondément dans le délicieux sanctuaire de la jeune fille, avant de céder la place encore chaude à son complice. 

 

   Cela faisait maintenant trois mois que les deux garçons logeaient ensemble dans un appartement des plus spacieux, ayant respectivement été nommés Préfet en chef en début d’année scolaire. Malgré une cohabitation des plus difficiles dans les premiers temps, ils avaient fini par trouver un terrain d’entente sur lequel ils se rejoignaient parfaitement, de par leur manière de le pratiquer : le sexe. Tout avait commencé le jour où Malefoy avait surpris son homologue en train de “partager” une jolie demoiselle avec Weasley sur le canapé de leur Salle Commune, allant même jusqu’à proposer au blondinet de participer. D’abord sidéré de découvrir la face cachée du modèle de sainteté de l’école, le Vert et Argent avait fini par accepter la généreuse offre de son colocataire, après consentement de l’adolescente, bien entendu.

 

   Telle était la vraie personnalité du grand Harry Potter : l’apparence d’un élève des plus chastes et réservés la journée, pour ensuite ôter la nuit l’angélique masque qu’il se plaisait à porter, afin de tromper son entourage sur la réalité de sa conduite des plus débauchées. Son meilleur ami était d’ailleurs le seul au courant de son inclination prononcée pour la luxure puisque c’était ensemble, et dès l’âge de quatorze ans, qu’ils avaient débuté leurs premières folies nocturnes en se laissant initier par plusieurs expertes de trois ans leurs aînées. Etant une figure publique et adulée, il ne lui était pas permis de révéler au monde sorcier les jeux pervers qu’il avait usage de faire dans quelques lieux privés, sous peine d’en perdre définitivement sa crédibilité. Hermione, elle-même, ignorait tout de ses penchants salaces, pour être encore persuadée de la virginité de notre jeune premier.

 

   Aimant goûter avec excès aux plaisirs de la chair, les ennemis de toujours avaient trouvé là l’excellent moyen d’enterrer pour l’année la baguette de guerre, en se faisant profiter mutuellement des jolies coquines qu’ils ramenaient pour leurs soirées libertines. Le marché était fort simple : chaque semaine, et à tour de rôle, ils devaient dénicher une ravissante dévergondée qui accepterait le week-end de se laisser posséder en même temps par les deux jeunes gens. Et quel ne fut pas leur étonnement de constater le peu de difficultés rencontrées pour y arriver. En effet, bon nombre d’étudiantes fantasmaient secrètement sur les rivaux les plus séduisants de l’école et aimaient à s’imaginer dénudées entre les deux garçons, l’ange et le démon, lorsqu‘elles se livraient à une certaine caresse en solitaire afin de combler leur petite frustration.  

 

   Cependant, il y en avait une avec laquelle notre vicieux petit Serpentard aurait adoré pouvoir fricoter, étant donné le côté inaccessible et l’air de “Je-ne-touche-pas-à-ça-moi” qu’elle se donnait : la très intelligente Hermione Granger. Elle pouvait s’enorgueillir d’avoir de jolies rondeurs, malheureusement presque entièrement dissimulées sous son uniforme, et Drago ne pouvait s’empêcher d’être émoustillé en la voyant rouler des hanches dans les couloirs de Poudlard. Il se plaisait à penser que sa prétendue vertu voilait en réalité une profonde lascivité et sa conviction s’était renforcée lorsqu’un jour il l’avait croisée dans le parc, studieusement plongée dans un livre au titre des plus évocateurs : “Mémoires érotiques et impudiques” de la très célèbre auteur Wendy Perversekisassume. Immédiatement, notre vil ami s’en était allé quérir Harry pour le supplier de l’amener à une de leurs lubriques soirées, mais ce dernier avait répondu qu’elle refuserait certainement – et à son grand désespoir également – sur-le-champ. Elle n’était pas de celles qui s’abandonnaient volontiers dans les bras de plusieurs partenaires et préférait de loin les jeux dans le noir faits à deux, voire carrément en solitaire si nul mâle digne de ce nom n’était là pour combler ses désirs luxurieux. Qui plus est, elle entretenait une sincère inimitié envers notre blondinet et n’accepterait, de ce fait, sûrement pas de partager avec lui une quelconque intimité. Dépité, le concerné avait alors compris qu’il devait renoncer à cette idée et refouler l’envie qu’il avait de faire joujou avec elle.

 

   Mais revenons à nos moutons et à l’intéressante scène qui se déroulait devant la cheminée, à même le tapis de la Salle Commune de nos très honorables Préfets en chef. Potter avait donc changé de place avec son associé de dépravation et c’était avec joie que ce dernier s’était agenouillé derrière le splendide fessier de la petite demoiselle, à quatre pattes, pour enfin passer à l’action. Il commença par insinuer deux doigts dans l’exiguïté de celle-ci afin d’en apprécier l’humidité, pour ensuite saisir son impatiente virilité d’une main et se mêler à ce territoire qui lui apporterait bientôt félicité. Après avoir soupiré de contentement, il se pencha au-dessus d’elle en vue de se rapprocher de son corps et prit appui sur ses bras placés de chaque côté de la belle, avant de débuter quelques agréables coups de reins.  

 

Merlin ! Cette position est définitivement ma préférée ! estima-t-il, tandis que son compère était déjà à genoux devant le visage de la jeune fille, glissant entre ses fines lèvres l’intense turgescence de sa masculinité.   

 

   L’héroïne de cette pièce réservée à un public averti, entreprit de suçoter avec sensualité la friandise d’un nouveau genre qui frétillait de bonheur au contact de sa langue exercée, améliorant sa caresse d’un régulier va-et-vient réalisé d’une main experte sur cette virilité offerte. Elle sentit également le souffle chaud du Serpentard devenir plus saccadé sur sa nuque, alors qu’il se mouvait en elle avec talent, approfondissant chacune de ses immixtions sans pour autant se révéler brutal. Une minute plus tard, le Gryffondor maintint la tête de l’adolescente bien droite afin d’effectuer à son tour, et avec plus de facilité, quelques légers mouvements du bassin contre la bouche de son amante temporaire. Il ne lui en fallut pas davantage pour atteindre l’orgasme et manifester son plaisir en gémissant doucement, appréciant la délicate attention dont elle faisait preuve en avalant avec circonspection le fruit de sa libération. Puis, une fois son intimité consciencieusement nettoyée par les habiles coups de langue de sa jolie partenaire, Harry se releva pour s’en aller s’asseoir sur le canapé et admirer la fin de ce spectacle des plus délectables.     

 

   Pendant que la demoiselle réfugiait son visage dans le creux d’un de ses bras, tout en glissant une main jusqu’à sa petite perle des plaisirs pour l’effleurer en douceur, Malefoy se redressa et s’empara tendrement du gracieux bassin féminin. Mais alors qu’il s’apprêtait à continuer ses voluptueuses allées et venues, son regard enflammé par la jouissance imminente se posa par inadvertance sur le corridor en face de lui qui menait à l’entrée, pour instantanément se figer lorsqu’il croisa deux iris couleur caramel, qu’il reconnut sans hésitation.

 

   Depuis combien de temps Hermione Granger était là à les observer et, surtout, comment avait-elle bien pu entrer ?

 

   Il se rappela aussitôt que son colocataire lui avait un jour confié le mot de passe, et à en juger par les rougeurs visibles sur ses petites joues de même que l’étincelle exaltée qui animait actuellement ses prunelles, elle devait déjà les espionner depuis un certain temps. Loin de se décontenancer pour si peu, notre blondinet saisit l’opportunité pour tester la jeune femme et connaître ainsi ses limites de voyeurisme. Il esquissa donc un sourire malicieux et laissa son regard couler de l’insoupçonnée curieuse jusqu’au dos de la Poufsouffle, pour ensuite replonger ses yeux emplis de convoitise dans les siens tout en se passant une langue désireuse sur les lèvres, afin de lui signifier clairement son envie de la prendre elle – ce que la concernée comprit incontestablement. Puis il empoigna fermement les hanches de sa partenaire et débuta quelques vigoureux coups de reins, s’immisçant fortement et au plus profond de cette accueillante contrée érotique, sans cesser de fixer discrètement la Rouge et Or ne serait-ce qu’une seconde.

 

   Hoquetant premièrement de surprise sous le rythme diablement plus prononcé du jeune homme, la jouvencelle à terre s’habitua rapidement à cette nouvelle cadence qui eut, par ailleurs, le don de la faire gémir succinctement à chaque fougueuse et merveilleuse pénétration. De son côté, Drago alterna ses va-et-vient en les accélérant parfois puissamment ou bien en les ralentissant pour les intensifier violemment, de manière à s’enfoncer en elle le plus loin possible et faire ainsi claquer sensuellement la peau de son bas-ventre contre les fesses charnues de sa belle d’une nuit. Il percevait d’ailleurs que cette dernière était proche de l’extase, étant donné les répétées contractions de son intérieur, et décida de terminer en beauté.

 

   Il amplifia donc encore la mesure sous les prunelles médusées de la Gryffondor, bouche bée, qui se sentait étrangement fiévreuse à la vue du Serpentard complètement nu dans cette position, les yeux rivés sur elle et brûlants de désir, haletant presque avec frénésie et le visage légèrement rougi par l’effort. Néanmoins, Hermione n’arriva pas à détourner les iris quand la demoiselle exprima son ravissement en ondulant brusquement du bassin, manquant de faire lâcher prise à Malefoy qui dut reporter son attention sur elle et l’agripper vivement. Lorsqu’elle le vit ensuite fermer les paupières et l’entendit pousser un excitant gémissement orgastique, elle ressentit séance tenante une exquise montée de chaleur dans le creux de ses reins et ne put s’empêcher d’imaginer être à la place de la Poufsouffle.

 

   Par Merlin, ce qu’il pouvait être beau et sexuellement irrésistible en train de jouir !

 

   Une fois la violente vague du plaisir passée, le garçon s’allongea délicatement sur le dos de sa partenaire couchée sur le ventre, en l’enlaçant, et déposa quelques affectueux baisers sur ses fines épaules dénudées afin de la remercier de l’exquise félicité prodiguée. Il se redressa ensuite légèrement en s’appuyant sur son avant-bras et, après avoir lancé un regard furtif devant lui, il fut ravi de constater que la jolie brune n’avait toujours pas déserté les lieux et se tenait encore discrètement dans l’entrée. Il se résolut donc à continuer de la provoquer et afficha un sourire triomphant en introduisant deux doigts dans le savoureux petit temple de sa compagne, en vue de les enduire de cyprine mélangée à sa semence. Puis il les glissa avec sensibilité dans la bouche de cette dernière, avant d’entamer un langoureux mouvement d’aller et retour entre ses lèvres. Par ce geste des plus lascifs et suggestifs, il lui fit goûter le délice fusionnel de leur liquide corporel et ne se gêna aucunement pour jeter au passage quelques œillades d’une avidité mutine en direction de la Rouge et Or.

 

   Le message qu’il avait souhaité lui faire passer tout du long était on ne peut plus pénétrant :   “J’ai envie de te sauter et voilà comment… ”

 

   Depuis le début, la jeune fille avait assisté à la scène en éprouvant un certain sentiment de culpabilité et de honte, mais son esprit n’avait cependant pas réussi – ni eu le temps – de convaincre ses jambes de rebrousser chemin, trop occupé à se régaler de l’alléchant spectacle offert gratuitement par son bel ennemi et cent fois plus stimulant que le meilleur des aphrodisiaques ! L’abondante humidité dont elle pouvait d’ailleurs aisément percevoir la présence au seuil de son intimité témoignait nettement du plaisir dissolu qu’elle avait ressenti en les épiant ainsi. Mais la représentation était encore loin d’être finie, puisqu’elle vit Harry apparaitre dans son champ de vision et demander à son collègue d’avoir l’amabilité de s’écarter. La performance de son ami l’avait furieusement remis en appétit et ce fut d’un geste empreint d’une grande douceur qu’il retourna la petite demoiselle sur le dos, pour ensuite embrasser tendrement son cou et se faufiler avec impatience entre ses cuisses. N’étant nullement rebuté par le fait de se mélanger à la semence déjà déposée par son prédécesseur, il prit appui sur ses bras tendus de chaque côté de la mignonne et s’engagea en elle sans plus attendre. Il exécuta enfin ses coups de reins d’une manière enthousiaste et dynamique, qui se répercutèrent dans le corps de son amante avec ferveur et lui arrachèrent quelques mélodieux murmures, bien vite étouffés par les lèvres de ses compagnons.  

 

   Et dire qu’elle pensait que Harry était gay, ne l’ayant jamais vu sortir avec une fille ! Forcée d’admettre qu’elle s’était bien trompée… Et heureusement dans un sens, car cela aurait été une dure perte pour la gent féminine étant donné sa manifeste… qualité ! Elle avait d’ailleurs une vue plongeante sur sa masculinité qui s’attachait à faire de gracieuses allées et venues dans le sanctuaire de l’adolescente, en émettant un son spécifique et des plus érotiques dû aux oscillations effectuées au sein des fluides organiques dont elle luisait désormais. Mais lorsqu’elle vit la main de Malefoy se diriger vers le pétale de la rose des charmes de la jeune fille pour le caresser, ce fut la goutte de concupiscence qui faillit faire déborder sa petite culotte en coton et l’incita à décamper au plus vite, si elle ne voulait pas voir ses dernières résistances s’effriter pour les rejoindre tous trois dans l’instant. Les rares aventures qu’elle avait eues ces derniers mois s’étaient toutes soldées par un échec, puisque les mâles qui avaient partagé sa couche ne faisaient que bêtement gesticuler au-dessus d’elle, sans être capable de prolonger l’acte plus de deux minutes, ni même de le recommencer. Ce fut donc véritablement frustrée par une trop longue abstinence orgasmique, et par la vue de ces ébats des plus extatiques, qu’elle sortit précipitamment pour s’en aller aussitôt prendre une douche bien glacée.    

 

 

 

A suivre…

 

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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