Participation

hog.gif

Recherche

INTRODUCTION

hp367Bienvenue dans le monde secret d'Harry Potter

 

Ce blog est dédié aux histoires érotiques, ou lemons, sur le monde d'Harry Potter. Les personnages et l'univers général appartiennent à J.K. Rowling. Seules les apports des auteurs sont à apporter à leurs crédits.

 

Ce blog n'a aucune vocation pécuniaire, il s'agit de laisser libre cours à l'imagination des auteurs et au respect de toutes les formes de sexualités. Tout le monde peut participer au développement du blog en envoyant une histoire à poudlardsecret@laposte.net.

 

Les commentaires dénigrant ou insultant seront supprimer sans sommation.

 

Merci et bonne lecture.

 

banner-durex.gif

Dimanche 23 avril 7 23 /04 /Avr 21:31
Consolation

Une aventure sexuelle de Harry Potter en quatrième année.

Avec : Hermione Granger et Ginny Weasley






    Elle commençait à se dire qu’il était temps de rentrer. Même si en été le fond de l’air n’était jamais vraiment plus frais, elle sentait bien que les rayons du soleil caressaient de moins en moins sa peau. Elle referma son livre et ferma les yeux, prenants encore quelques minutes pour sentir la douceur de l’air du soir. Elle était si tranquille dans cette petite clairière. Ginny la lui avait indiqué dès son arrivée. D’après la petite rousse, c’était le seul endroit où l’on ne risquait pas de  voir Ron, Fred ou George arriver pour se rincer l’œil. Et de fait, malgré ses fréquentes séances de bronzage, Hermione n’entendait que le chant des oiseaux et celui des feuilles entraînées par le vent. En de fréquentes occasions, Ginny se joignait à elle. Mais elles étaient obligées de parler à voix basses pour ne pas trahir leur endroit secret et empêcher que les garçons n’aient envie de voir de plus près leur invitée lascivement allongée en bikini.

    Elle finit par se lever, un peu à contre cœur, et s’étira de tout son long. Elle remit sa chemise et sa jupe, replia sa serviette et ramassa son livre avant d’emprunter le petit sentier qui serpentait dans le bois. Avec de grandes précautions, elle finit par déboucher sur un chemin qui passait juste derrière le jardin des Weasley. Elle passa le portail, évita quelques gnomes qui se faufilait entre ses pieds et entra dans la cuisine. Les odeurs d’aromates et de légumes frais l’envahirent. Mrs Weasley était déjà aux fourneaux tandis que Ron, assit à table, lisait un magazine de balais.

« Eh bien où étais-tu ? Fit celui-ci.
_ Oh ! Pas loin !
_ Mais qu’est-ce que tu faisais ? Insista Ron.
_ Rien. Un peu de bronzette et de lecture.
_ Mais jusqu’où as-tu été ?
_ Mmmmh, ça a l’air drôlement bon Mrs Weasley, fit Hermione en espérant être convaincante dans son changement de discussion.
_ Oh tu es gentille Hermione, mais je ne fais que commencer. Tu m’as l’air d’avoir beaucoup pris le soleil. Tu ferais mieux d’aller prendre une douche.
_ Oui vous avez raison, répondit Hermione en se tournant vers les escaliers. J’y vais tout de suite.
_ Au fait, reprit Ron tandis qu’elle gravissait les premières marches, on a reçu la réponse de Harry. On ira le chercher bientôt. J’espère que tu seras plus présente quand il sera là. »

    Hermione ne répondit pas et se hâta vers le premier étage. Elle était contente de savoir que Harry allait bientôt être délivré de son oncle et sa tante et qu’il les rejoindrai pour aller voir la coupe du monde. Elle entra dans la chambre de Ginny où elle dormait également et avait toutes ses affaires. La petite rousse lisait tranquillement sur son lit vêtue seulement d’un petit débardeur et d’une petite culotte.

« Qu’est-ce que tu fais comme ça ? Demanda Hermione.
_ Rien, j’avais juste trop chaud. Et comme je n’avais pas envie de cuire au soleil je suis restée ici.
_ Ah bon ! Moi par contre je suis presque grillée. Je vais aller prendre une douche. Et tu sais ? Harry va bientôt venir, tu pourrais peut être enfin déclarer ta flamme.
_ Euh oui… enfin non… c’est à dire… peut être. »

Ginny avait soudain l’air extrêmement gênée et rajusta son oreiller. Hermione eut le temps de voir une sorte de bout de papier en dessous. Elle s’approcha du lit et s’assit.

« Qu’est-ce qui ne va pas ?
_ Rien… rien, tout va bien. »

Nonchalamment, Hermione avait passé une main sous l’oreiller et en retira vivement ce qui était caché. C’était une coupure de la « gazette du sorcier » qui datait de deux ans sur laquelle figurait une photo. Hermione la connaissait bien. C’était celle prise à Fleury et Bott où le futur professeur Lockhart avait insisté pour que Harry figure sur le cliché. D’habitude, le double de Harry cherchait vaille que vaille à fuir le cadre de la photo, mais là il était tranquille et souriant tandis que Lockhart semblait avoir peur de se montrer. Ginny lui avait sûrement lancé un sort d’acné virulente qui avait passablement gâché son beau visage.

« Que c’est mignon, fit Hermione tout sourire, dormir avec la photo d’Harry sous ton oreiller. C’est si romantique.
_ Rends-la moi ! S’écria Ginny en lui arrachant le papier des mains. »

La petite rousse ne semblait pas en colère mais ses joues avaient la couleur de tomates bien mures et elle n’osait plus regarder Hermione dans les yeux. Cette dernière lui prit la main et posa un baiser sur sa joue.

« Excuse-moi ! je n’avais pas l’intention de me moquer de toi. J’étais sincère, je trouve ça très beau. Et je sais bien que tu aimes Harry, tu me l’a dit bien souvent.
_ Ce n’est pas ça ! Lui il ne m’aime pas. Il passe tout son temps avec Ron et toi. C’est comme si je n’existais pas pour lui. Cette photo c’est tout ce que j’ai de lui et qui n’est qu’à moi.
_ Ron et moi nous sommes ses amis. Nous n’allons pas le laisser de côté jusqu’à ce qu’il se rende compte que tu es mignonne. Tu ferais bien de l’oublier un peu et de penser un peu plus à toi. Il finira par se réveiller tout seul. En tout cas si tu l’accueillais dans cette tenue, il te tomberai dans les bras aussitôt. »

    Ginny eut un petit rire. Elle décida à se lever et bouscula ses draps sans le vouloir. Un long objet de plastique tomba sur le sol. Hermione reconnut un gode et le ramassa. Ginny riait d’un air faussement coupable.

« Petite coquine. Cette photo ne sert pas à se rappeler uniquement de son bon souvenir. Je comprends mieux pourquoi tu ne m’as pas accompagné cet après-midi.
_ Tu ne vas pas me faire la leçon, répondit Ginny d’un air malicieux, comme si toi tu t’en privais.
_ Oui mais moi je ne reste pas dans mon coin, j’en fais profiter les copines. »

Hermione attrapa Ginny par la taille et l’attira contre elle. Leurs lèvres et leurs langues se rencontrèrent tout naturellement tandis qu’elles sentaient leurs jeunes poitrines s’écraser l’une contre l’autre. La petite rousse descendit ses mains et passa en dessous de la jupe pour caresser avec tendresse le petit postérieur de son amie. Hermione préféra agacer le bouton d’amour et le beau coquillage par dessus la petite culotte tandis que son autre main s’aventurait sous le petit débardeur pour caresser la chair tendre des deux petits monts de Venus.

Ginny commençait à gémir faiblement et son amante en profita pour contourner la barrière de tissu et introduire deux de ses doigts dans le trésor intime frémissant. La petite rousse jeta la tête en arrière en tentant de ne pas faire trop de bruit sous les délicieuses caresses. Hermione en profita pour remonter vivement le petit débardeur et laisser sa langue goûter avec délectation à la petite poitrine. Elle pesa doucement sur Ginny pour la faire asseoir sur le lit puis l’allonger sans jamais quitter un instant ses charmes. La petite rousse ne semblait plus maîtresse d’elle-même. Ses mains se promenaient sur le corps d’Hermione, sans but précis. Elle avait les yeux fermées, toute concentrée sur les caresses de son amante. Hermione se releva alors et contemplait la jeune fille en proie au désir.

« Qu’est-ce que tu fais ? S’écria Ginny dépitée.
_ Je te l’ait dit, je dois aller prendre ma douche. Je crois que tu es assez excitée pour la première partie.
_ Tu… tu ne vas pas me laisser comme ça quand même ?
_ Oh si, et j’emporte également ça, dit Hermione en s’emparant du gode, je te veux toute aussi disposée à mon retour. Et là je te garantie des sensations fortes. »

La petite rousse la supplia encore mais Hermione tourna les talons en souriant d’un air malicieux, cacha le gode sous ses vêtements et sortit de la chambre.



    Bien qu’elle aurait aimé continuer de caresser son amie, Hermione prenait un certain plaisir à la faire languir dans l’état d’excitation où elle se trouvait. Elle se promit bien de faire tout ce qu’elle pouvait ensuite pour se faire pardonner. Elle atteignit la salle de bain et prononça le mot de passe. Seule Ginny en avait un différent des autres et elle l’avait révélé à Hermione pour qu’aucun de ses frères n’entrent par « inadvertance ». Elle se déshabilla en pensant au petit effet que produirait un strip-tease face à Ginny brûlante de désir. Hermione entra sous la douche et régla la température de l’eau assez fraîche. Elle aussi avait du mal à attendre tout le temps de la douche. Elle sentait l’eau ruisseler sur tout son corps. Mais si son corps était rafraîchit, elle ne pouvait en dire autant de ses désirs qui la chauffaient de plus en plus. Sans s’en rendre bien compte, ses mains remontèrent le long de son ventre pour atteindre ses seins qu’elle se mit à masser avec lenteur, imaginant que Ginny les savouraient tendrement. Bien vite, ses doigts descendirent vers son intimité en pensant que la petite rousse serait ravie de pouvoir explorer en profondeur le beau coquillage. Mais elle se rendit compte à quel point l’envie qu’elle avait de Ginny ne pourrait se calmer uniquement grâce à ses doigts. Elle s’empara alors du gode dans ses vêtements et s’agenouilla sous la douche. Le membre factice ne tarda guère à se retrouver profondément fiché dans son intimité et elle le fit aller et venir avec force. Elle essayait de retenir ses gémissements. Elle voyait sans cesse la petite rousse, tantôt la masturber avec entrain, tantôt laisser ses mains ruisseler sur son corps comme l’eau battante de la douche.

    La porte s’ouvrit à la volée et Ginny entra. Elle découvrit Hermione à quatre pattes, manipulant vigoureusement le gode qui s’arrêta soudain, tétanisé par l’entrée impromptue. Dans un éclair de lucidité, la petite rousse referma la porte puis se retourna vers son amie qui s’était redressée.

« Alors comme ça tu me fais attendre au bord de l’évanouissement pendant que tu t’amuses toute seule ? Il est joli ton partage avec les copines.
_ Mais qu’est-ce que tu fais là ?
_ Je n’en pouvais plus d’attendre. D’ailleurs dans ces conditions là, j’aurai pu attendre longtemps.
_ Désolée, c’était plus fort que moi.
_ Eh bien maintenant j’espère que tu sais a quel point j’en ai envie aussi. »

Ginny s’approcha vivement de la douche et pris le gode des mains d’Hermione. Sans se soucier de ses vêtements, elle entra sous la douche en faisant faire un demi tour à son amie. L’extrémité de plastique fouilla entre les deux petits globes de chairs et Hermione savait que la petite rousse allait se venger. En effet, le gode s’arrêta sur son puît secret et Ginny l’introduisit sans ménagement.

    Hermione savait que la petite rousse était un peu frustrée, et elle ne pouvait lui en vouloir, mais elle n’était pas vraiment en colère. Après les deux ou trois premiers coups un peu rudes, Ginny se fit plus douce. Hermione sentit la petite langue de son amie lécher doucement la peau de son dos tandis qu’une main l’avait contournée pour se poser sur sa poitrine. Elle s’abaissa un peu plus pour faciliter les caresses de la petite rousse. Ginny s’agenouilla sans cesser de manipuler le gode. Elle fit courir sa langue le long de la cuisse de son amante, remontant jusqu’à son trésor intime qu’elle envahit avidement. Hermione poussait des gémissements de plaisir tandis qu’elle se plaquait conte le mur. Sa poitrine juvénile se pressait contre le carrelage ruisselant tandis que ses mains écartaient ses petites fesses rondes pour faciliter la pénétration du membre de plastique. La main vacante de la petite rousse caressait tendrement son ventre plat à la douceur satinée. Hermione ne put tenir plus longtemps. Elle lança son bassin en arrière et plaqua son joli coquillage sur la bouche gourmande de Ginny qui reçut de grands flots de son jus de plaisir qui se mêlèrent à l’eau descendant en cascade de sa superbe croupe.

    Ginny cessa de mouvoir le gode dans le petit anneau d’Hermione tandis qu’elle buvait à la source intarissable. Elle le retira après avoir été pleinement rassasiée. Hermione se retourna et contempla la petite rousse. Ses vêtements étaient si trempés qu’ils ne cachaient plus rien de son corps encore jeune. Ses formes peu développées semblaient distendre le tissu jusqu’à ses dernières limites. Ses yeux pétillants de désir semblaient supplier Hermione de mettre enfin un terme à ses chaudes attentes. Celle-ci la pris par les épaules et la releva tendrement. Elles s’embrassèrent avec passion tandis qu’Hermione faisait glisser les deux fines bretelles du débardeur le long des bras de sa partenaire et le laissa tomber à ses pieds. Elle écarta légèrement Ginny et s’empara de sa jeune poitrine avec ses lèvres. Elle savoura les deux petits seins tendus, presque aussi rafraîchissants que l’eau qui les submergeait. Hermione fit lentement descendre ses mains sur les hanches de la petite rousse et retira la petite culotte avec précaution, comme si elle ouvrait l’écrin d’une pierre aussi précieuse que fragile.

    Le corps de Ginny semblait fondre à la moindre caresse, au moindre toucher. Hermione fut soudain aussi impatiente de la satisfaire qu’elle d’être satisfaite. Ses doigts se promenèrent quelque peu sur son entrejambe glabre et doux puis allèrent visiter l’antre du plaisir. La petite rousse se crispa quelques secondes sous la jouissance qui venait enfin. Elle se détendit et caressa tendrement les cheveux d’Hermione dont les lèvres étaient toujours occupée par sa poitrine de jeune adolescente. Ginny sentait le plaisir se faire plus fort et elle dût se mordre les lèvres pour ne pas crier. Sans cesser de savourer la petite poitrine, Hermione s’empara du gode et en posa la pointe sur le ventre de la petite rousse. Elle le fit descendre très lentement vers sa destination prévisible arrachant des frissonnements d’impatience à Ginny haletante. Le membre de plastique se positionna contre les lèvres intimes et les pénétrèrent d’un grand coup. Cette fois, la petite rousse ne put retenir un cri qu’elle essaya malgré tout de contrôler. Hermione maniait le gode avec vigueur, savourant la douce chaleur du corps de son amie tout contre elle. Ginny ne se plaignait aucunement du rythme imposé par sa partenaire. Elle avait attendu si longtemps qu’elle se sentit aller au devant du membre factice tandis qu’Hermione glissait une main pour caresser son petit cul bien tendre. Deux doigts s’immiscèrent dans le petit anneau de la jeune rousse qui se tendit alors sous le choc d’une vague brûlante de plaisir. Sa liqueur d’amour se répandit sur le gode et la main d’Hermione qui s’agenouilla aussitôt pour la recueillir dans sa bouche.

    Les deux jeunes filles restèrent assises, tendrement pelotonnées l’une contre l’autre, attendant de reprendre leur souffle avec pour seule occupation de petits baisers et de légères caresses. Elles finirent par se relever. Elles se lavèrent l’une l’autre, usant de savon et de shampooing avec des airs coquins. Hermione se rhabilla et Ginny s’entoura d’une grande serviette. Elle ramassa ses vêtements trempés et toutes deux filèrent à pas de loup jusqu’à la chambre. La petite rousse put s’habiller convenablement tandis qu’Hermone faisait sécher ses cheveux grâce à sa baguette magique. Elle remarqua la photo de Harry dépassant de l’oreiller.

« Tu sais Ginny, je crois sérieusement que tu devrais fréquenter d’autres garçons.
_ Quoi ? s’étonna la petite rousse.
_ Oui ! Tu es peut être trop amoureuse de Harry. La dernière fois, quand on était tous aux chaudron baveur, tu ne lui a presque pas dit une phrase entière.
_ Je ne vois pas le rapport, répondit Ginny dont les joues redevenaient écarlates.
_ Tu devrais sortir avec un autre garçon qui te plaît, voir comment ça se passe. Tu n’es pas obligée de finir ta vie avec le premier que tu rencontres. Donne toi du temps, fais tes propres expériences. Je suis sûre qu’au final tu sauras comment attirer Harry.
_ Je ne sais pas si je pourrais voir un autre garçon. Je penserai tout le temps à lui. Et puis je t’aime bien aussi. On aura plus le temps de se voir.
_ On trouve toujours le temps pour ça, fit Hermione avec un petit sourire. Ecoute, tu n’as qu’à essayer, tu n’as rien à perdre finalement.
_ Oui peut être. On verra à la rentrée. »

Elles entendirent Mrs Weasley les appeler pour le repas. Elles s’embrassèrent tendrement et descendirent en vitesse.
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
Ecrire un commentaire - Voir les 10 commentaires
Dimanche 23 avril 7 23 /04 /Avr 21:26
Mon cher ennemi

Une aventure sexuelle de Harry Potter en quatrième année.

Avec : Harry Potter et Drago Malefoy






    Jamais les couloirs du château ne lui avait parus si angoissants. Pourtant sa récente victoire contre un dragon aurait suffit à tout autre garçon de se sentir beaucoup plus en confiance. Mais Harry devait déjà affronter une nouvelle épreuve : Trouver une cavalière pour le bal. Et ce n’était pas une mince affaire. L’approche du bal et son regain de popularité à travers l’école l’amenait à être souvent assaillit par une horde de filles. Mais s’il en trouvait parmi elles qui aient pu l’accompagner, il ne pouvait jamais leur en parler seul à seul. Et même lors, il lui restait un tout autre problème à résoudre. Cho Chang était-elle encore libre ? Accepterait-elle de venir avec lui ?

    Harry arpentait les couloirs du château en ayant le faible espoir de pouvoir enfin rencontrer Cho toute seule. Mais pour éviter de nombreuses autres rencontres indésirables, il était forcé d’emprunter les passages les moins fréquentés, voir secrets, ce qui, il le savait bien, réduisait considérablement ses chances de tomber sur Cho. C’est dans l’un des couloirs secondaires qu’il faillit tomber nez à nez avec Crabbe et Goyle. Les apercevants à la dernière minute, Harry fit un pas en arrière pour se cacher derrière l’angle du mur. Il trouvait leur comportement curieux. Drago n’était pas avec eux et ils semblaient attendre bêtement devant une porte. Harry se doutait bien que Malefoy devait être à l’intérieur et il se demandait ce qu’il pouvait bien mijoter.

    Pris par la curiosité, Harry se mit à réfléchir au moyen de chasser Crabbe et Goyle. Il aperçut un grand vase ancien sur un piédestal à l’autre bout du couloir. Il sortit sa baguette et lança à voix basse :

« Accio vase ! »

L’ornement pris aussitôt son envol et se dirigea vers Harry en traversant le couloir. Crabbe et Goyle l’aperçurent et le regardèrent avec un hébétement qu’une statue même n’aurait pu reproduire. Arrivé à mi-chemin, juste devant les deux serpentards, Harry relâcha le sortilège et le vase s’écrasa sur le sol avec grands fracas.

    Harry alla vivement se cacher derrière une statue d’où il pourrait voir toute la scène. D’après les visages des deux acolytes, même eux savaient ce qui allait arriver. Et Harry ne comprit pas pourquoi ils ne prenaient pas leurs jambes à leurs cous. De toute évidence, Crabbe et Goyle était devant un grand dilemme et ils ne parvenaient pas à se décider. Harry entendit la cavalcade habituelle qui accompagnait l’arrivée de Rusard. Précédé par Miss Teigne, le concierge arriva essoufflé devant les deux serpentards terrifiés.

« Alors comme ça on s’amuse à détruire la décoration du château. Avez-vous idée du temps qu’il me faudra pour recoller correctement tout ça ? D’ailleurs je ne vois pas pourquoi ce serait à moi de le faire. Ramassez ça et suivez-moi. Vous allez voir !
_ Mais ce n’est pas nous, fit Crabbe avec sur le visage une expression de réflexion intense et paniquée. Le vase flottait tout seul. C’est… c’est sûrement Peeves qui la cassé.
_ Menteurs en plus. Je pourchassais Peeves vers l’étage inférieur quand je vous ait entendu. Maintenant faîtes ce que je vous dis. »

Les deux serpentards ne discutèrent plus et ramassèrent les morceaux du vase avant d’emboîter le pas au concierge. Harry attendit qu’ils aient disparu pour sortir de sa cachette et se diriger vers la porte. Son plan avait faillit échouer. Il n’avait pas attendu une pareille présence d’esprit de la part de Crabbe et Goyle.

    Soulagé de leur départ, Harry regarda par le trou de la serrure. Il voyait bien des ombres bouger mais cela ne lui révélait rien. Avec précaution, il poussa légèrement la porte et jeta un œil par l’entrebâillement. Malefoy se tenait debout devant Pansy Parkinson complètement nue et à genoux. Mais ce qui attira le plus l’attention d’Harry était la multitude d’ustensiles sur le sol qui, entre les fouets et les godes, ne laissaient pas vraiment de doutes sur les relations des deux jeunes serpentards. Malefoy ricanait.

« Tu t’es vraiment bien débrouillée Pansy ! Je pense que tu seras parmi mes favorites lorsque je ferai le choix de ma cavalière pour le bal. Je verrai bien si les prochaines sont aussi douées. »

La jeune fille eut un regard boudeur indiquant clairement qu’elle n’appréciait pas d’avoir encore de la concurrence. Elle s’approcha à quatre pattes de Malefoy et se mit à lécher doucement la verge vaincue qui dépassait du pantalon. Toutefois elle eut beau se démener, Harry voyait bien que le membre ne durcissait pas. Il savait que Drago n’était jamais excité à moins qu’il n’use de violence sur ses partenaires. Et bien qu’elle en eut déjà fait les frais, Pansy s’y prenait très mal. Elle s’activait de plus en plus vigoureusement sur le sexe qui ne grandissait pas tandis que Malefoy la regardait d’un air condescendant.

« Tu es vraiment une salope, lâcha-t-il. Tu es prête à tout pour que je t’emmène à ce bal. Pour que tu t’affiches à côté de moi, à côté d’un membre d’une famille aussi prestigieuse. Mais tu te crois digne de moi ? »

    Malefoy gifla la jeune fille qui tomba à la renverse et se cogna durement le dos contre le sol. Harry s’aperçut que le visage de Pansy s’était involontairement tourné vers la porte et il recula vivement, espérant qu’elle ne l’avait pas vu. Il tendit l’oreille mais la jeune fille ne dit pas un mot tandis que Drago lui ordonnait sèchement de se rhabiller. Il se risqua de nouveau à regarder et vit qu’elle obéissait, tête baissée. Harry fut soulagé mais il était à peine rassuré que, soudain, Pansy fit un grand pas de côté et brandit une baguette magique.

« Petrificus totalus »

Le sort passa par l’entrebâillement de la porte et frappa Harry de plein fouet. Surpris par la réaction soudaine de la jeune serpentard, il n’avait pas pu faire le moindre mouvement pour esquiver l’attaque et se retrouva raide sur le sol. La porte s’ouvrit complètement et Pansy, encore en sous vêtements, apparue suivit de Drago l’air étonné. Mais il reprit très vite contenance et sourit d’un air mauvais.
« Tiens tiens, Potter. Tu te rinçais l’œil ? Je ne sais pas comment tu t’es débarrassé de Crabbe et Goyle, même si j’admet que ça ne doit pas être bien difficile. Mais je crois que certains de mes outils t’intéresseront de plus près. Bravo Pansy ! Tu viens tout juste de passer en tête de liste. »

La jeune serpentard parut aux anges tandis que Malefoy regardait à nouveau Harry.

« Ce ne sera pas très pratique de t’avoir comme ça. Tu devrais faire un gros dodo pour e laisser le temps de tout préparer. »

Drago brandit sa baguette et lança un sort de stupéfaction sur le jeune gryffondor impuissant.

    Lorsqu’il s’éveilla, Harry constata qu’il pouvait de nouveau bouger, à ceci près que ses poignées et ses chevilles étaient solidement attachés aux pieds d’une table sur laquelle son torse reposait. Ses pieds étaient à terre, lui donnant une posture des plus suggestives. Et un courant d’air froid parcourant son dos lui indiqua qu’il était entièrement nu. Il ressentit soudain une brûlure entre ses omoplates et se retint difficilement de crier.

« Alors Potter, tu aimes ? Enfin ce n’est qu’un début. »

Malefoy tenait une grosse bougie allumée et faisait couler la cire chaude sur le dos de Harry.

« Je t’ai réservé pleins de surprises, fit Drago en versant une nouvelle fois de la cire. D’ailleurs je suis sûr qu’à gryffondor tous les mecs connaissent la prochaine. »



    Tout en continuant à s’amuser avec la bougie, Drago fit voler un énorme gode jusqu’à lui. Puis il posa la bougie et se plaça derrière son prisonnier. Harry savait ce qui l’attendait mais il eut grande peine à retenir un hurlement de douleur lorsque le membre factice entra en lui sans aucune douceur. Tant qu’il ne montrait pas qu’il avait mal, il avait le dessus sur Malefoy. Mais il craignait ce que le serpentard pouvait inventer pour lui arracher un cri de douleur. Drago revint devant lui en remuant sa baguette pour faire bouger le gode.

« Alors Potter ? Je suis sûr que ça te plaît, non ? Un traître à son sang comme toi doit aimer les actes contre nature. »

Harry ne bougeait pas. Il ne lui aurait pas fait ce plaisir. En fait, passer la surprise de la pénétration, il n’avait plus vraiment mal et commençait à apprécier les mouvements du gode dans son dos. Il n’en laissait rien paraître, persuadé que Malefoy ne pouvait comprendre que l’on prenne du plaisir ainsi. Il se concentrait pour garder son visage impassible lorsqu’il posa les yeux sur Drago. Bien que sa victime n’ait pas pousser le moindre gémissement, le jeune serpentard grandissait à vue d’œil tout en continuant à manipuler le gode grâce à sa baguette.

    Harry en fut surpris mais il comprit finalement qu’il n’était pas le seul à prendre du plaisir à cet instant. Il se décida à remuer légèrement et à crisper un peu son visage, faisant semblant d’avoir mal mais aussi de résister courageusement, et guettait la réaction de Malefoy. Celui-ci semblait ne plus pouvoir tenir. La bosse sous son pantalon grossissait encore et il ne pouvait plus détacher ses yeux du membre factice qui ne cessait d’aller et venir à grands coups dans l’anus de Harry. Le jeune gryffondor se laissa enfin aller à un gémissement.

« Je… je crois que ça te suffit, fit Malefoy en essayant de retrouver une contenance, du moins pour l’instant. Passons à autre chose. »

Harry se doutait bien qu’il aurait droit à un traitement plus dur mais il espérait également pouvoir ainsi excité Drago au plus haut point. Il était curieux de voir jusqu’où le jeune serpentard irait.

    Malefoy retira le gode et Harry ne l’entendit plus bouger comme s’il était hypnotisé par quelque chose. Puis Drago reposa le gode et s’empara d’un autre ustensile qu’il fit claquer. Un fouet. Harry serra les dents en s’apprêtant à tout moment à la morsure du cuir. Mais c’était sans compter sur l’incroyable suffisance du serpentard.

« Je n’ai pas l’impression que tu aies bien réagis à notre première expérience, dit-il d’une voix encore troublée, aussi je crois qu’il faut en arriver à l’étape supérieure. »

Soudainement, Harry sentit une brûlure dans tout le dos. Il n’avait même pas entendu le coup venir, ce qui en disait long sur la capacité de Malefoy à manipuler le fouet. Très vite, deux autres coups cinglèrent sa peau et il ne put s’empêcher de lâcher un cri. Il entendit également Drago glousser de contentement. Reprenant ses esprits alors que la lanière de cuir le frappait à nouveau, il cambra le reins au mieux pour donner une meilleure visibilité à son bourreau. Il sentit une hésitation de la part de Malefoy puis le fouet claqua encore dans son dos. Harry se concentra pour bien faire frémir son arrière train et le coup suivant fut nettement moins puissant.

    Le fouet avait cessé de claquer. Harry ne savait à quoi s’attendre. Il ne voyait plus Drago dans son dos et ignorait tout de son excitation. Deux mains fébriles se posèrent sur ses hanches tandis qu’un membre, cette fois bel et bien de chair, s’engouffrait entre ses fesses. Sans dire un mot, il le laissa entrer en lui. Malefoy poussait des grognements à chaque va et viens. Ses mains se glissèrent sur les côtés de sa victime et s’empara de son sexe bien tendu. Il le caressa avec autant de vigueur que ses coups de reins. Harry commençait à prendre du plaisir lorsqu’il sentit un liquide chaud se répandre dans son dos. Malefoy avait apparemment beaucoup apprécié et avait déjà jouit. Sans dire un mot, le jeune serpentard relâcha le pieu de chair et se retira. Il contourna la table et se présenta devant Harry qui n’eut aucun mal à deviner la suite du programme.

    Malefoy lui tira les cheveux en arrière pour relever sa tête et pressa son gland encore visqueux sur les lèvres. Harry ne se fit pas prier et le prit en bouche. Il était décidé à faire bénéficier Drago de tout son savoir faire dans cet art. Mais le serpentard n’avait pas lâché ses cheveux et s’ingéniait à diriger maladroitement sa victime qui se serait bien mieux débrouillé sans cela. Harry supposait que Malefoy était persuadé de diriger encore les événements, mais il sentait bien qu’il se laissait de plus en plus aller. Privé d’une certaine liberté de mouvement, Harry utilisa alors au mieux sa langue pour abattre les défenses du jeune serpentard. Comme lors de leur première étreinte, Malefoy ne fut pas long à crier son plaisir et à se répandre dans la gorge de Harry qui, docilement, avala tout.

    Toutefois ses deux jouissances successives ne semblait pas avoir calmé Drago. Tandis qu’il conservait son membre dans la bouche de Harry, il dénoua de sa baguette magique les liens qui retenaient celui-ci prisonnier. Le jeune gryffondor se retourna sur le dos comme les mains de Malefoy l’en pressait. Drago grimpa sur la table pour s’allonger sur lui et prit le pieu de chair entre ses lèvres. Harry renchérit en laissant un doigt s’aventurer dans le puit secret de Malefoy qui, à sa grande surprise personnelle, se laissa totalement faire. Drago laissa à nouveau éclater son plaisir très vite mais il fut suivi de près par Harry qui se répandit dans sa bouche. Malefoy se releva alors, semblant sortir d’un rêve. D’un coup de pied, il fit rouler Harry sur le sol avant de sauter de la table. Le gryffondor, un peu étourdi, le vit prendre ses vêtements. Lorsqu’il se releva enfin sans avoir peur de retomber aussitôt, Malefoy était déjà habiller et ramassait rapidement les objets qui traînait.

    Harry se glissa silencieusement vers ses affaires et en sortit sa baguette magique. Drago ayant retrouvé tous ses esprits, c’était plus prudent. Celui-ci ayant enfermé toutes ses affaires dans un sac allait pour sortir lorsqu’il se retourna soudain.

« Tu n’as pas intérêt à parler de quoi que ce soit. Sinon…
_ Sinon quoi Malefoy ? L’interrompit Harry en montrant ostensiblement sa baguette. Tu vas encore me servir ton baratin sur les sangs purs qui considère les homosexuels comme des dégénérés ou des malades ? Pourtant on ne peut pas dire que tu t’es beaucoup défendu, n’est-ce pas ?
_ Je te préviens Potter… ferme-la…
_ Oh ne t’inquiète pas. En fin de compte je ne tiens pas tellement à ce que l’on sache que tu m’as attrapé si facilement. Mais est-ce que toi tu pourras retenir tes fanfaronnades habituelles ? »

Avec un regard de haine profonde, Malefoy se retourna à nouveau et sortit de la salle en claquant la porte. Harry commença à se rhabiller. Il était ravi d’avoir cloué le bec de Drago. Mais il était aussi un peu peiné. Il avait pensé que peut être Malefoy allait finalement changer sa façon de penser. Mais il est tellement plus facile de féliciter les gens de leurs réussites que de les convaincre de leurs torts.
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Harry
Ecrire un commentaire - Voir les 7 commentaires
Samedi 11 mars 6 11 /03 /Mars 19:33
Apprivoisement

Une aventure sexuelle de Harry Potter en sixième année.

Avec : Ginny Weasley, Fleur Delacour et Bill Weasley.





    Les vacances d’été touchaient à leur fin. Un vent chaud soufflait à travers la campagne environnante et venait caresser le visage de Ginny qui marchait lentement. Elle observait les arbres aux feuilles frémissantes et les fleurs qui se courbaient. Le vent se promenait en vagues sur l’herbe d’un vert rayonnant avant de venir s’engouffrer dans le chemisier de la jeune fille et le faire gonfler. Ginny ferma les yeux pour savourer la douceur de l’air sur sa peau. Elle continuait de marcher à pas lent sans regarder le chemin. Elle le connaissait par cœur de toute façon. Elle se sentait enfin calme et détendue ce qui lui était impossible à la maison.

    A croire que tout le monde devenait nerveux à l’approche de la rentrée. Il était vrai que jamais les risques n’avaient été aussi importants depuis que Voldemort s’était révélé au grand jour. La situation était tendue à travers tout le pays, même chez les moldus. Et Poudlard était devenu le centre d’attention de tout le monde magique puisqu’il regroupait les deux plus grands adversaires du mage noir : Harry Potter et Albus Dumbledore. Ginny ne savait pas vraiment quoi penser de tout ça. Bien sûr, sa confiance à Harry et au directeur était absolue. Mais elle se demandait, comme tout le monde, si l’école était vraiment sans risque.

    Sa mère avait beaucoup d’appréhensions à ce sujet. Mais comme elle était membre de l’ordre du phœnix, elle n’en laissait rien paraître avec les autres sorciers. Lorsqu’elle était au terrier, en revanche, elle se laissait aller à faire plus de remontrances et était bien plus nerveuse qu’à l’ordinaire. Alors que septembre arrivait, l’ambiance dans la maison des Weasley était parfois électrique. Et Fleur n’arrangeait rien. En dehors des humeurs de sa mère, la jeune française était l’une des raisons principales de la promenade solitaire de Ginny. Elle avait vraiment beaucoup de mal à supporter la fiancée de son frère qui ne cessait de faire des remarques sur tout et n’importe quoi. Sortir de la maison était alors le seul moyen de retrouver un peu de tranquillité d’esprit. Harry, Ron et Hermione étaient occupés à discuter de choses et d’autres dont ils préféraient que Ginny les ignore et la jeune fille se retrouvait souvent seule ces derniers temps.

    Elle ne s’en plaignait pas toutefois car avec tout ce monde à la maison, il faisait bon être un peu tranquille. Ginny prit un petit chemin de terre envahit par les mauvaises herbes qui traversait un bosquet d’arbres pour déboucher sur un petit étang. Elle s’assit au bord de l’eau et s’allongea dans l’herbe fraîche. Elle ferma les yeux et essaya de ne plus penser aux tristes événements qui se succédaient ces derniers temps. Elle ne sut pas trop combien de temps elle était restée là sans bouger lorsqu’elle entendit des voix approcher. Elle se redressa et scruta les alentours. En plus des voix, des bruits de pas venaient du bosquet. Elle n’avait pas tellement envie de croiser des gens pour l’instant et se précipita derrière un buisson, espérant que les promeneurs importuns ne s’arrêteraient pas.

    Elle entendit un rire cristallin et envoûtant passer entre les arbres. Un rire qu’elle connaissait bien et qui ne l’arrangeait pas du tout en ce moment. Elle écarta doucement quelques branches du buisson et vit sans surprise Fleur et Bill, main dans la main, s’arrêter devant l’étang.

« Oh ! C’est vraiment très beau ici. S’exclama Fleur.
_ Oui ! J’ai découvert cet étang quand j’étais enfant. C’est un endroit connu de moi seul. »

Ginny ne put s’empêcher de sourire devant la naïveté de son grand frère. Elle espérait toutefois qu’il irait vite lui montrer d’autres endroits qu’il était soit disant seul à connaître afin qu’elle puisse bouger d’ici. Il lui était impossible autrement de s’éloigner sans attirer leur attention. Mais à son grand dam, le couple s’assit sur l’herbe et s’embrassa passionnément.

« C’est si calme. Pas comme chez toi.
_ Il y a beaucoup de monde en ce moment. Répliqua Bill. On a presque plus un moment à nous.
_ Alors profitons-en ! »

    Fleur posa à nouveau ses lèvres sur celle de son fiancé mais elle en profita pour faire pression sur ses épaules et le faire s’allonger sur le dos. Elle passa une jambe de l’autre côté de Bill et se retrouva sur lui. Ginny se sentait incroyablement gênée. Non pas par les jeux de l’amour qu’elle connaissait fort bien mais par le fait qu’elle n’avait pas du tout envie de voir l’un de ses frères en pleine action. Elle espérait qu’après quelques caresses et baisers, ils iraient poursuivre dans un endroit plus tranquille. Ginny se mordit la lèvre. Elle devait bien admettre qu’elle ne connaissait pas de lieu plus calme et discret que les abords de cet étang. Elle essaya de se concentrer sur des souris qui passaient dans l’herbe non loin d’elle et se boucha les oreilles. Pendant quelques secondes elle ne pensa plus au couple enlacé tout près d’elle mais elle dût se rendre à l’évidence, elle n’arriverait jamais à faire comme si de rien n’était. Elle était toujours gênée vis à vis de son frère mais elle avait très envie de regarder Fleur. Ginny était loin d’être rebutée par les autres filles et elle devait admettre que malgré son antipathie pour la jeune française, elle était la plus belle qu’elle n’ait jamais vue.

    Elle écarta à nouveau les branches avec discrétion et fut déjà soulagée de voir que Bill avait encore ses vêtements pour le moment. Fleur s’était redressée et se retrouvait assise sur le bassin de son fiancé. Elle se mit à onduler des hanches comme si elle exécutait une danse lascive et, bien que les pans de sa robe le cache, Ginny devinait qu’une bosse devait naître sous les petites fesses de la jeune femme. Bill posa les mains sur les genoux de Fleur et les fit remonter lentement sur ses cuisses mais elle écarta ses bras et dit en le regardant d’un air coquin :

« On se calme ! Où est donc passé ton flegme britannique mon amour ? »

« Le faire languir tout en le chauffant, pensa Ginny, classique mais toujours efficace »

La jeune fille était admirative devant l’incontestable savoir-faire de Fleur puis elle se rappela soudain que c’était son frère qui recevait toutes ces caresses et elle faillit trébucher sous la stupeur. Elle reprit contenance assez vite et, après avoir pris une profonde inspiration, jeta un nouveau coup d’œil sur le couple.

    Fleur ne cessait de remuer lascivement son petit cul sur le membre de son fiancé dont le visage trahissait l’insoutenable attente. La jeune femme déboutonna lentement sa robe qui s’ouvrait par-devant. Presque malgré elle, Ginny se sentit de plus en plus intéressée par le spectacle dévoilant la peau claire et apparemment douce de sa future belle-sœur. Elle constata que la jeune française ne portait pas de soutien-gorge, ce qui était on ne peut plus normal au vu de la chaleur et qui de toute façon ne devait pas lui servir pour soutenir sa belle poitrine bien ferme. L’ouverture de la robe ne dévoilait qu’un sillon de sa peau satinée allant de son cou délicat jusqu’à sa petite culotte de dentelles fines. Elle se laissa aller doucement en arrière et prit appuie sur les jambes de son fiancé pour que l’étoffe qui la recouvrait glisse lentement de son corps jusqu’au sol. Ginny, qui voyait pour la première fois les formes parfaites de Fleur au grand jour en eut le souffle coupé. Elle constata rapidement que, malgré l’habitude qu’il devait en avoir, Bill semblait lui aussi totalement subjugué par la beauté qui se tenait sur sa verge. Il avança les mains vers les deux parfaits globes de chair mais à nouveau sa compagne le repoussa.

« Décidément tu perds tes moyens mon petit Bill, s’exclama-t-elle avec un sourire moqueur. Mais je vais te soulager un peu avant de passer aux choses sérieuses. »

    Fleur se poussa vers l’arrière pour s’asseoir sur les cuisses de son fiancé, libérant ainsi son bassin. Elle déboutonna vivement son pantalon et tira sur la fermeture éclaire. Elle dégagea lentement le sexe gonflé de désir qui se dressa aussi droit qu’un i et plus dur que du métal. Ginny se sentit mal à l’aise en voyant la virilité de son frère mais elle ne détourna pas les yeux pour autant, fascinée par le regard pervers mais posé de Fleur. Quand elle était plus petite, il n’était pas rare qu’elle voie l’un de ses frères nu mais jamais en érection. Il lui semblait que le pieu de chair de Bill allait exploser lorsque la jeune femme le prit en main. Elle le masturba avec tendresse avec son sourire le plus coquin sans quitter le visage de son amant des yeux. Elle prenait beaucoup de plaisir à voir Bill froncer les sourcils ou gémir à chaque mouvement de son poignet. Elle s’avança légèrement et amena le gland surchauffé en contact avec sa petite culotte. Par de petits mouvements, elle faisait deviner à l’extrémité sensible la forme de son intimité protéger par le fin tissu.

« C’est ça que tu veux n’est-ce pas ? Tu aimerais que j’écarte ma culotte pour te laisser passer ? »

Tandis que son frère émettait un grognement de supplication, Ginny commençait à ne plus tenir. Elle aurait beaucoup aimé pouvoir toucher de ses doigts le bel abricot de la jeune française à travers le tissu et le masser avec passion. Elle retroussa sa petite jupe et caressa son trésor intime à travers sa petite culotte, appréciant le frottement du tissu sur toute la surface de son sexe et de son petit bouton d’amour en particulier.

Tout en essayant de calmer les ardeurs de son bas ventre, Ginny regardait le couple continuer ses ébats. Fleur s’était allongée sur Bill qui n’avait apparemment toujours pas le droit de la toucher. La jeune femme ouvrait sa chemise, bouton par bouton, prenant tout son temps pour lécher le torse de son amant. Elle descendait peu à peu, au rythme de son effeuillage, prenant bien soin que son fiancé ressente le frottement de son ventre plat sur son membre impatient. Bill serrait les poings sous la délicieuse torture presque autant que Ginny serrant sa petite culotte qu’elle enleva d’un coup sec. La jeune fille eut bien besoin d’introduire trois doigts dans son beau coquillage vermeil pour se calmer lorsqu’elle vit les superbes seins de Fleur s’arrêter de part et d’autre de la queue frémissante.

« Mon pauvre chéri, fit la jeune française, tu es vraiment endurant. J’en connais peu qui eut tenu aussi longtemps. Tu es un vrai champion mon amour. Tu mérites une belle récompense. »

Fleur pressa ses seins autour du membre palpitant de désir et le fit aller et venir sur sa tendre peau. Ses lèvres se refermèrent sur le gland qu’elle savoura avec passion.

    Ginny était surexcitée et se masturbait de plus en plus vigoureusement en regardant la bouche de la jeune française se distendre pour accueillir la verge gonflée à l’extrême. Elle voyait tout le corps de Bill se tendre sous le plaisir qu’il ne voulait pas encore libérer. Fleur le regardait d’un air amusé et se fit plus violente sur le pieu de chair. Bill poussa presque aussitôt un râle de plaisir et la jeune femme s’arrêta pour se délecter du nectar de jouissance de son amant. Lorsqu’elle fut totalement rassasiée, elle s’allongea doucement sur le corps enfin calmé de Bill et l’embrassa avec tendresse. Il put enfin caresser à loisir les merveilleuses courbes de sa fiancée. Ginny baissa les yeux. Elle n’avait pas encore prit tout son plaisir mais elle ne voulait pas les regarder dans un moment pareil, ce qui lui semblait pourtant bizarre puisqu’elle venait d’assister à une étreinte des plus excitantes sans plus sentir la moindre gêne. Mais si elle ne les voyait pas, elle les entendait toujours.

« Ce que j’aime te mettre au supplice mon amour.
_ Je n’aimerai jamais que quelqu’un d’autre ne le fasse. Mais attend, tu ne vas pas être déçue à ton tour.
_ Tu penses faire mieux ? Dit-elle avec un sourire malicieux.
_ Je ne perds rien à essayer. Et toi non plus. »

    Ginny les regardait à nouveau, reprenant de plus belle le mouvement de ses doigts alors qu’ils n’avaient pas encore bougé. Bill se glissa sur le côté faisant rouler le corps chaud de son amante dans l’herbe fraîche tandis qu’elle riait. Il la fit mettre à quatre pattes et s’agenouilla derrière elle. Il massait les petites fesses rebondies et se mit à passer tendrement sa langue de l’une à l’autre. Ginny voyait bien que Fleur frissonnait sous les caresses de son amant et elle comprit que la jeune française savait déjà à quoi s’attendre. Bill ne fut pas long à plonger son visage entre les douces collines et à s’amuser avec le petit puits secret dont il testa la profondeur de sa langue. La jeune femme gémissait déjà alors qu’il laissait une main contourner sa hanche pour s’arrêter sur son trésor intime. Ses doigts s’immiscèrent dans le temple de Venus brûlant de désir et l’explorèrent de fond en comble. Fleur poussait de petits cris de jouissance en se cambrant au mieux. Sans faire attention, elle souleva ses pieds qui rencontrèrent le ventre de son fiancé. Avec un petit sourire de satisfaction que seule Ginny put voir, elle les abaissa pour caresser la verge vaincue. Les délicieuses caresses de Bill l’empêchaient d’être pleinement concentrée sur ses gestes et elle tripotait maladroitement le membre qu’elle sentit néanmoins grandir sous la plante de ses pieds.

    Bill se releva l’air ravi.

« Tu as l’air impatiente mon cœur.
_ Oh, je t’en prie ! Viens en moi ! Maintenant ! »

Il prit sa verge dans la main et caressa les abords de l’intimité trempée de sa fiancée. Elle poussa des gémissements de supplication en offrant encore un peu plus sa croupe. Bill s’empara de ses hanches et la pénétra sans plus d’attente. Fleur haletait sous les vigoureux coups de reins de son fiancé. Elle se mit à ruer au devant des coups de boutoirs et ses gémissements se transformèrent en cris de jouissance. Ginny devenait folle en s’imaginant coller son antre secrète sur la bouche délicieusement pulpeuse de la jeune française. Bien qu’elle n’ait toujours que ses doigts à agiter frénétiquement, il lui semblait sentir la langue vicieuse de la jeune femme s’introduire entre ses lèvres intimes et son souffle chaud et haletant faire frémir sa douce toison écarlate. Ginny n’y tenait plus et laissa la jouissance l’envahir totalement. Elle ne put retenir un petit gémissement sonore et plaqua immédiatement les mains sur la bouche. Mais le couple était loin d’être silencieux et ils ne l’avaient pas entendue. La jeune fille s’assit dans l’herbe fraîche et reprenait son souffle tandis que des râles rauques lui indiquèrent que les deux amants étaient venus à bout de leur plaisir.

    Ils étaient étroitement enlacés, encore l’un dans l’autre, se prodiguant de nombreuses caresses et baisers. Ginny détourna à nouveau les yeux. Elle remit sa petite culotte et s’allongea dans l’herbe. Elle attendait patiemment qu’ils se rhabillent et s’en aillent tout en regardant la frondaison des arbres se balancer lentement à la grâce du vent. Elle réfléchissait à toute cette aventure. Fleur était le genre de fille qui l’exaspérait au plus haut point mais elle ne pouvait nier que c’était elle qu’elle avait désiré pendant qu’elle les regardait. Même la gêne d’espionner son frère s’était estompée sous son admiration pour Fleur. Elle songea un instant que sa future belle sœur avait usé de son pouvoir de demi-vélane mais il lui apparut bientôt évident que ce serait absurde. Pas lorsqu’elle était avec Bill. Elle resta longtemps à penser tandis que la soirée avançait peu à peu. Lorsqu’elle se décida à se lever enfin, Bill et Fleur étaient déjà partis sans qu’elle ait su dire depuis quand. Le soleil déclinait rapidement et Ginny pressa le pas en direction du terrier. Il ne faisait pas bon rester dehors le soir ces temps-ci et elle aurait probablement droit à quelques cris de la part de sa mère. C’est donc sans surprise qu’elle reçut les remontrances de Mrs Weasley dès qu’elle eut passé le seuil de la porte. Les remarques à peine voilées de Fleur sur son manque de maturité refroidirent grandement son ardeur envers elle.

    Les jours passèrent finalement jusqu’au retour à Poudlard, et c’est avec l’image du corps enfiévré de la jeune française que Ginny fit sa rentrée. Elle fit bénéficier Dean Thomas, son petit ami, de ses fiévreuses attentions pendant tout le premier trimestre. Mais le jeune garçon, heureux comme jamais, ne pouvait éteindre en elle son véritable désir. Même Luna, si belle et si attentionnée avec Ginny, ne put lui enlever Fleur de la tête. Au fil des jours, elle se jetait avec toujours plus de passion dans les bras de Dean, qui était tout de même intrigué sans être assez bête pour poser la moindre question. Tout le plaisir qu’il lui donnait la comblait sur l’instant mais elle revenait toujours à la charge avec des désirs plus ardents. Lorsqu’arrivèrent les vacances de Noël, il était grandement partagé entre la peine que lui procurait sa séparation avec la douce Ginny qui l’embrassait tendrement quand il la tenait dans ses bras et dont il ne se lassait jamais de caresser ses jolies courbes, et le soulagement du repos qu’il allait prendre sans la tigresse qui, au détour d’un couloir, pouvait l’entraîner dans les toilettes ou dans une salle vide pour assouvir toutes ses envies.

    Le terrier était presque enterré sous la neige et il était d’autant plus difficile de le voir que les temps obscurs empêchaient les sorciers de décorer leurs maisons comme pour les camoufler au mieux. Il y avait beaucoup de monde pour la veille de Noël et Ginny fut catastrophée d’apprendre qu’elle allait devoir partager sa chambre avec Fleur et non pas avec Hermione. Bien qu’elle ait beaucoup fantasmé sur sa future belle sœur au long de ses derniers mois, elle doutait que la condescendance de la jeune femme ne s’atténue au point de lui faire partager son lit. Elle enviait fortement Bill de ne pas avoir seulement le mauvais côté de sa fiancée. Elle réussit tout de même à passer une bonne soirée, oubliant la mauvaise nouvelle sous les effets de la fête. Elle ne s’en souvint que tard dans la nuit, lorsque Mrs Weasley pria tout le monde d’aller au lit. Elle monta les marches d’un air lugubre, dit bonne nuit à Hermione, Harry et Ron d’une voix éteinte, et entra dans sa chambre. Elle se déshabilla et enfila un long tee-shirt avant de s’allonger sur le matelas par terre, son lit étant réservé pour sa compagne de chambre qui le trouverait sûrement beaucoup trop dur pour son dos délicat.



    Elle était allongée depuis quelques bonnes minutes, essayant de ne pas songer au merveilleux corps qui serait bientôt allongé près d’elle, lorsqu’elle entendit des bruits dans l’escalier.

« Tout de même c’est insensé, fit la voix de Fleur, chez nous personne ne nous dit quand on doit aller se coucher un soir de fête !
_ Ma mère aimerait voir des gens se lever avant que le soleil, lui, ne se recouche. Lui répondit la voix de Bill amusé.
_ Et pourquoi nous faire faire chambre à part ? Nous sommes adultes quand même.
_ Il n’y aurait pas assez de chambres ce soir si nous en prenions une pour nous seuls. Et puis tu as de la chance, Ginny a le sommeil dur.
_ Ta sœur est très gentille et je l’aime bien. Mais moi je n’aimerai pas qu’on s’impose comme ça dans ma chambre.
_ Oui, mais crois-moi, dormir avec Fred et George c’est tout autre chose. On fait l’échange quand tu veux… (Bill se tut quelques secondes) euh… non ! Finalement je préfère pas. »

Ils poussèrent de petits rires étouffés puis Ginny entendit distinctement le froissement d’un tissu. Elle se leva, se dirigea vers la porte aussi silencieusement qu’un chat et jeta un œil par la serrure. Fleur et Bill étaient dans les bras l’un de l’autre et s’embrassaient tendrement. Ginny regardait les mains de son frère glisser sur la robe fendue de sa fiancée. Sa mère avait faillit exploser quand elle la vit arriver à table. Même Hermione avait parfois eu du mal à ne pas la regarder trop longtemps et elle n’avait même pas broncher lorsque Ron avait fait tomber sa fourchette pour la sixième fois.

« J’aimerai tellement rester avec toi, fit-elle, c’est injuste.
_ Oui, mais on a pas le choix. Demain on fera une petite balade dans la neige. Je vais te donner un avant goût. »

    Bill embrassa à nouveau la jeune française en faisant remonter sa main le long de la cuisse dénudée et la fit passer sous la robe.

« Tiens ? Pas de sous-vêtement ? Fit-il en lui souriant. C’est donc vraiment fête ce soir ?
_ C’était au cas où, répondit-elle avec un regard coquin. Si jamais on avait trouvé un moyen de s’éclipser un peu. »

Bill caressa l’intimité de sa fiancée et lui posait de petits baisers dans le cou.

« Oh ! Bill ! Mais… qu’est-ce que tu fais ?
_ Je te laisse un petit souvenir de moi pour cette nuit.
_ Ah ! Vilain garçon, souffla-t-elle à son oreille, ooooh… je ne vais jamais réussir à dormir dans cet état… oui… plus profond…
_ Aïe ! Je crois que mes parents vont monter. Eh bien ce sera tout pour ce soir mon cœur. A demain. »

Bill posa un baiser sur les lèvres de son aimée et courut jusqu’à la chambre des jumeaux. Ginny se projeta sur le matelas et se recouvrit des couvertures au moment où la porte s’ouvrit. Fleur entra et referma vivement la porte. Elle attendit que les pas de Mr et Mrs Weasley se soient éloignés avant de tourner la tête vers Ginny qui faisait semblant de dormir.

Fleur pris sa baguette magique et alluma une bougie pour fouiller dans ses affaires. Ginny la surveillait, les yeux entrouverts, tandis que la jeune française tirait une petite nuisette de soie de son sac. Elle se déshabilla. La lueur de la flamme dansait sur son corps blanc. Ginny sentit la chaleur envahir son bas ventre. Elle serra les lèvres. Pas maintenant. Mais Fleur ne l’aidait pas à se calmer. La jeune femme passa une main sur ses petites fesses parfaites pour atteindre son intimité encore ruisselante Où elle laissa un doigt s’égarer.

« Ooooh ! Bill, lâcha-t-elle dans un soupir. »

Elle tourna subitement la tête vers Ginny qui eut tout juste le temps de fermer les yeux. Elle les rouvrit avec précaution pour voir Fleur passer sa nuisette en levant les bras ce qui gonflait sa magnifique poitrine. Le vêtement se posa sur son corps aussi léger qu’une feuille. La jeune femme pris le bougeoir et gagna son lit. Ginny se sentit frissonner lorsque les jambes passèrent devant son visage.

    La jeune française posa la bougie sur la table de chevet et s’allongea. Mais elle ne tira pas les couvertures sur elle. Elle écarta les cuisses et ses doigts retrouvèrent le chemin de son entrejambe doré. Elle poussait de faibles gémissements qu’elle s’efforçait de contrôler. Ginny en devinait plus qu’elle n’en voyait du sol. Mais cela lui suffit amplement pour sentir son intimité devenir brûlante. Rester calme à côté de fleur endormie était une chose, mais à côté de Fleur chaude et gémissante était insoutenable. Sans vraiment penser à ce qu’elle faisait, la petite rousse se laissa tomber de son matelas avec bruit. Elle sentit Fleur faire un sursaut sur le lit et devina qu’elle devait se rajuster rapidement. Elle vit apparaître la tête de la jeune française paniquée au-dessus d’elle.

« Ginny ? Mais qu’est-ce que tu fabriques ? »

Habituellement pâles, ses joues étaient rouges et ses yeux brillaient encore de son plaisir interrompu. Ginny la trouva encore plus belle sans savoir si c’était vraiment possible.

« Euh… je… je crois que j’ai fait un mauvais rêve.
_ Quoi ? A ton âge ?
_ Oh ! C’était… horrible, hoqueta-t-elle comme si elle pleurait, il y avait Tu-sais-qui et… et il tuait Harry.
_ Allons ! Arry ne se laisserait pas faire voyons. Recouche-toi et oublie ça.
_ Oh ! Fleur ! S’il te plaît ! Je peux venir avec toi ? Juste quelques minutes.
_ Mais enfin Ginny… ce n’est… ce ne serait pas…
_ S’il te plaît ! »

    Ginny jouait si bien la comédie que Fleur ne put faire autrement que de la laisser se coucher, non sans un regard désappointé. La jeune rousse savait bien tout ce qui lui en coûtait de l’acceptait dans son lit et jura de le lui rendre au centuple.

« Bon ! Tu vas mieux maintenant ?
_ Encore un peu s’il te plaît.
_ C’est insensé ! »

Ginny posa la tête sur l’épaule de Fleur. D’abord surprise, la jeune française finit par se radoucir et caressa les cheveux flamboyant de l’adolescente. Ginny pensa qu’elle avait déjà dû consoler sa petite sœur Gabrielle au milieu de la nuit bien des fois auparavant. Elle s’y prenait avec beaucoup de tact. Mais Ginny en voulait plus.

    Elle se colla un peu plus contre Fleur et fit glisser sa cuisse nue sur les jambes de la jeune française jusqu’à rencontrer le trésor intime encore humide. Fleur sembla comme électrocuté mais elle ne put reculer que son torse.

« Ginny !
_ Oh ! J’ai l’impression que toi tu faisais de beaux rêves, fit la petite rousse d’un air innocent.
_ Je… tu…
_ Calme-toi ! Ce n’est pas si grave. Et puis ça me donne une occasion de m’excuser de t’avoir réveillé. »

Ginny frotta sa cuisse sur le petit abricot doré avec douceur. La jeune femme poussa des gémissements. Son visage se détendit un peu mais elle semblait toujours partagée entre le fait de coucher avec sa future belle sœur et le plaisir qu’elle n’avait toujours pas réussit à prendre cette nuit.

« Non ! Arrête… faut pas… ! »

Mais l’adolescente n’écoutait pas les supplications de Fleur qui venait d’ouvrir un peu plus ses cuisses soyeuses. Sans hésiter, Ginny plongea vers le bas ventre mais elle passa la tête entre les jambes de la jeune française et écarta ses petites fesses rondes bien décidée à suivre la leçon que son frère lui avait donnée inconsciemment quelques mois plus tôt.

    Elle posa sa langue agile sur le petit anneau et sentit sa partenaire frémir. Elle s’enfonça d’un seul coup aussi loin qu’elle le put. Elle fit la meilleure feuille-de-rose qu’elle n’avait jamais pratiqué de sa vie. Lorsqu’elle pénétra quelques doigts dans la douce intimité de Fleur, elle se rendit compte qu’elle avait déjà jouit sous le seul effet de sa langue. La petite rousse redoubla d’effort tout en masturbant vigoureusement le petit abricot désormais bien juteux. La jeune française ne fut pas longue à venir une deuxième fois sous le délicieux et énergique traitement de Ginny. L’adolescente se releva, déjà essoufflée, mais ravie que Fleur ait abandonné toute idée de la jeter hors de son lit. Elle retira son tee-shirt et se retrouva nue. La jeune femme la regarda quelques secondes et dit d’une voix douce.

« Tu sais que tu es vraiment très mignonne. »

Un tel compliment venant de Fleur, c’était comme si la lune s’était mise à chanter. Ginny lui sourit, rayonnante. La jeune française se redressa et prit les deux jolis seins de la petite rousse avec tendresse.

« Ces beaux fruits là sont très appétissants ! »

Tout en les massants avec douceur, Fleur prit l’un des petits tétons dressés entre ses lèvres et le fit jouer de sa langue, au plus grand plaisir de l’adolescente. Ginny caressait la longue chevelure blonde qui lui chatouillait le ventre.

Fleur voulut se débarrasser de sa nuisette mais la jeune fille l’en empêcha.

« Oh non ! S’il te plaît ! Laisse-moi faire ! »

Ginny releva doucement le bord du vêtement fin pour révéler le ventre plat. Elle laissa sa langue savourer la chaude et tendre peau, titillant le nombril qui fit lâcher un petit rire à la jeune femme. Puis elle dégagea les seins superbes et prit tout son temps pour les savourer. Elle retira enfin complètement la nuisette qu’elle envoya rejoindre en boule son tee-shirt au pied du lit puis elle prit passionnément les lèvres de Fleur. Elles s’embrassèrent longuement. Ginny crut bien qu’elle n’arriverait jamais à se défaire de la saveur de la bouche de la jeune femme. Fleur caressait tout le corps de la tendre adolescente et arrêta l’un de ses doigts sur le petit anus. Aussitôt, la petite rousse releva un peu les fesses et la jeune française y pénétra profondément. Ginny vint au-devant de ses va et viens avec force.

« Apparemment toi aussi tu es très sensible par-là. Mais le spectacle ne fait que commencer ma belle. »

    Fleur posa doucement l’adolescente sur le côté et alla prendre sa baguette magique. Elle le transforma en gode ceinture qu’elle enfila rapidement.

« Un petit tour apprit à l’internat de Beauxbâtons. D’après ce que j’ai vu, c’est pareil à Poudlard. »

Ginny acquiesça en souriant et se mit à quatre pattes. Fleur vint derrière elle, s’accrocha à ses hanches et posa l’extrémité du membre factice sur le puits secret. La petite rousse pinça les lèvres lorsqu’elle sentit le gode pénétrer lentement en elle. La jeune française accélérait peu à peu le rythme. Ginny pressa un oreiller contre sa bouche pour étouffer ses cris mêlaient de douleur et de jouissance.

« Dire que Bill voulait que je passe une nuit tranquille. Qu’est-ce qu’il dirait maintenant s’il savait que je sodomise sa petite sœur ? »

L’adolescente laissa un rie sonore lui échapper mais les vigoureux coups de reins de Fleur lui remirent vite les idées en place. Une vague de plaisir envahit son ventre et se déversa sur les cuisses de la jeune française. La jeune femme se retira en douceur et s’abaissa pour boire à la plus belle des sources.

    La petite rousse était totalement épuisée. Elle avait rarement jouit avec une telle force. Fleur prononça une formule et le gode se retrouva avec deux extrémités en forme de gland. La jeune femme le tordit en U et introduisit une extrémité dans son beau coquillage. Elle s’allongea et prit Ginny sur elle.

« Je vois que tu fatigues ma jolie, mais on va finir en beauté. Ne t’inquiète pas, tu n’auras rien à faire, « il » s’en charge. »

En effet, alors que l’adolescente sentait indiscutablement les mains de la jeune française caresser tendrement son dos, l’extrémité du gode vint de lui-même caresser ses lèvres intimes avant de la pénétrer. Les filles eurent tout loisir de s’embrasser et de se caresser tandis que le membre factice ondulait dans leurs ventres. Fleur poussa un gémissement alors que la tendre adolescente avait repris l’un de ses seins en bouche. En sentant la liqueur de jouissance de sa partenaire se répandre sur leur cuisse, Ginny fut également prise par l’orgasme et s’écroula sur la douce poitrine de la jeune femme.

    Fleur prononça une autre formule et le gode se retira en douceur. Il reprit la forme de la baguette magique et se posa sagement sur la table de chevet. La jeune française tira la couverture sur leurs deux corps enlacés en faisant de son mieux pour ne pas faire bouger Ginny. Elle claqua des doigts et la bougie s’éteignit en un souffle. Tendrement blottie contre le corps doux et chaud de Fleur, l’adolescente tomba presque aussitôt d’un sommeil lourd. Elle ne fut réveillée que lorsque le soleil été déjà très haut. La porte s’ouvrit brusquement laissant apparaître Bill.

« Alors les filles ? Qu’est-ce que vous… ? »

Il s’arrêta net, regardant fixement Ginny. Cette dernière plongea presque entièrement sous les draps, laissant seulement sortir sa tête, pour couvrir sa nudité. Mais elle sentit le tee-shirt sur elle.

« Ginny ! Qu’est-ce que tu fais dans le lit ? On était d’accord pour que tu le laisse à Fleur juste cette nuit.
_ Calme-toi Bill, fit la voix de fleur, c’est moi qui lui aie dit de venir. On a eu une nuit difficile. »

L’adolescente se tourna vers Fleur, à nouveau vêtue de sa nuisette. Apparemment la jeune française avait eu la présence d’esprit de leur remettre leurs vêtements de nuit avant que le jour ne se lève.

    Rassurée, Ginny ressortit un peu de sous les draps, prenant néanmoins l’air affligé de quelqu’un qui a désobéi et qui s’est fait prendre. Fleur se leva en posant un baiser sur le front de l’adolescente.

« La pauvre a fait un cauchemar cette nuit. Tu sais ça arrive parfois quand on a trop mangé. Alors forcément un soir de fête, ça n’est pas étonnant. Gabrielle fait parfois des cauchemars. Je vais toujours la consoler ou alors elle dort avec moi. Elle est rassurée de sentir une présence, mon petit ange. Alors quand j’ai vu Ginny si effrayée cette nuit je lui aie dis de venir avec moi. Et elle s’est presque endormie tout de suite. Après tout elle sera bientôt comme ma sœur et je dois prendre soin d’elle. »

Tout en parlant, Fleur s’habillait et se coiffait. Lorsqu’elle eut terminé, Bill s’excusa auprès de Ginny et le couple descendit prendre le petit déjeuner. La petite rousse s’habilla également et descendit. Elle ne fut pas surprise de voir sa mère se jeter sur elle.

« Oh, tu as fait un cauchemar ma pauvre chérie. Viens ! Un bon thé va te remettre d’aplomb. En tout cas c’est très gentille à vous Fleur de l’avoir consolée. »

Elle fit un sourire à la jeune française, ce qui était aussi rare que cette dernière complimentant quelqu’un sur sa beauté.

« Décidément, il n’y a qu’à Noël qu’on voit des miracles chuchota doucement George à l’oreille de Ron.
_ Arrête de marmonner toi. Ah vous n’avez pas entendu ce qu’ils ont fait cette nuit ces deux-là. Ils ont tiré un feu d’artifices dans la chambre. Résultat, un lit en miette. Tout ce que vous avez gagné c’est de repartir pour votre boutique au plus vite. »

Les jumeaux marmonnèrent en regardant leur thé mais Fleur intervint.

« Vous savez, Mrs Weasley, si vous voulez, je peux rester encore une nuit avec Ginny. Bill peut prendre le lit de Lupin puisqu’il est reparti. C’est dommage de ne pas avoir ses enfants pour Noël quand c’est possible. Enfin si Ginny veut bien. »

Ginny acquiesça et lança un regard à Hermione, Harry et Ron qui voulait leur signifier qu’elle y était bien forcée. Pendant que Mrs Weasley remerciait Fleur non sans se demander pourquoi elle était soudain si serviable, Ginny se pencha sur sa tasse de thé en souriant.

« Allez, Bill ! Tu m’as promis une ballade aujourd’hui, Lança Fleur en se levant.
_ Ah oui ! Allons-y, le coin est magnifique avec toute cette neige. »

Ils prirent de gros manteaux et s’apprêtèrent à sortir lorsque Ginny s’exclama :

« Oh Bill ! Il y a un très joli étang pas loin. Si tu connais, tu devrais l’emmener, ça doit être très beau en ce moment. »

Bill la regarda, médusé, tandis que Fleur le poussait dehors en essayant à grandes peines de ne pas éclater de rire.
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
Ecrire un commentaire - Voir les 10 commentaires
Dimanche 5 mars 7 05 /03 /Mars 12:01
Un petit article rapide pour signaler aux lecteurs que le lien avec le site Les secrets d'Hermione est rétablit. Les fans d'histoires érotiques et de lemons en seront ravis.



Quant à la 12e histoire, elle avance bien et ne devrait plus tarder à être publiée.
Par poudlardsecret - Publié dans : Infos Poudlard Secret
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 12 février 7 12 /02 /Fév 19:14
Une surprise dans les ténèbres

Une aventure sexuelle de Harry Potter en sixième année.

Avec : Hermione Granger, Ron Weasley, Lavande Brown et Parvati Patil.



   

    Hermione claqua furieusement la porte derrière elle. Elle s’avança d’un pas rageur dans la pièce, une salle de cours désaffectée pleine de poussière. Elle prit l’une des chaises entreposées contre le mur et s’assit, la tête dans les mains. Elle aurait voulu retenir les larmes de fureur et de dépit qui coulaient entre ses paumes. Mais elle en avait assez, plus qu’assez de Ron. Désormais il ne lui suffisait plus d’embrasser et de peloter Lavande en sa présence mais il se moquait ouvertement d’elle devant sa petite copine et Parvati.

    Elle se sentait si seule. Elle voyait bien que Harry faisait des efforts pour l’aider mais il n’avait jamais été très doué dans ce genre d’exercice et, bien qu’elle appréciait l’intention, cela lui était tout à fait inutile. Ginny quant à elle, bien plus douée pour affubler Ron des pires horreurs qui soit, traversait une mauvaise passe avec Dean et n’était pas souvent présente lorsque Hermione avait besoin d’elle.

    Elle se recroquevilla sur sa chaise, entourant ses genoux de ses bras, et laissa ses sanglots aller de plus belle, n’ayant plus la force de les retenir. Elle était bête. Si seulement elle avait eu le courage de déclarer ses sentiments à Ron avant que Lavande ne se jette sur lui. Après tout ce n’était qu’un garçon comme les autres. Il n’a pas perdu de temps à se demander pourquoi une fille aussi jolie voulait sortir avec lui et il a profité de l’occasion. Elle l’avait bien vu ce matin entre deux piliers en train de lui caresser les seins sous sa chemise. Mais s’il avait su qu’elle l’aimait ? L’aurait-il choisis ? Aurait-il risqué de briser leur amitié en sortant avec elle ? Ou aurait-il choisis de ne rien brusquer ?

    Hermione se secoua la tête. Quand elle était dans cet état, elle se laissait aller à penser à beaucoup de choses dont elle savait pertinemment qu’elle n’obtiendrait aucune réponse. Et puis à quoi cela lui servirait de savoir ce qu’aurait fait Ron s’il avait su qu’elle l’aimait puisqu’il était déjà avec Lavande et qu’ils s’entendaient si bien. Hermione décida de se ressaisir et sécha ses larmes avec un pan de sa robe. Elle remit la chaise en place et se dirigea vers la sortie, voulant retourner dans son dortoir pour ne pas croiser à nouveau Ron et Lavande et leurs mains baladeuses.

    Mais elle avait à peine avancé la main pour saisir la poignée de la porte qu’elle entendit des rires dans le couloir. Des rires qu’elle connaissait bien. C’était eux. Et ils s’approchaient. Hermione regarda frénétiquement autour d’elle et vit une armoire délabrée mais dont la porte tenait toujours. Elle se précipita vers elle et entra à l’intérieur. Elle referma la porte, laissant juste un interstice pour voir ce qui se passait, et pria pour que le couple n’entre pas. La classe désaffectée se trouvait sur le chemin de la salle commune des gryffondors et il n’était pas rare de croiser des élèves de cette maison dans le couloir. Mais, par une impression bizarre, Hermione savait qu’ils allaient entrer. Et s’ils le faisaient, elle savait également pour quelle raison.

    Elle entendit le grincement de la porte et deux rires étouffés se faufilèrent dans la salle. Elle entendit la voix de Ron prononcer doucement « Collaporta » ainsi que le bruit de succion annonçant que la porte était scellée. Elle entendit le son de leurs baisers s’approcher et leurs pas titubants d’être trop étroitement enlacés.

« Allons par-là ! »

Hermione vit la main de Lavande désigner le vieux bureau au bout de la salle ce qui la remplit de dépit. S’ils faisaient ça sur le bureau elle ne pourrait rien en manquer tant l’armoire était étroite. Et il était déjà suffisamment pénible de n’avoir qu’à les entendre. Mais, main dans la main, Ron et lavande entrèrent dans son champ de vision en gloussant.

« Ah oui ! S’exclama Ron. J’aimerai bien être prof parfois. Je pense que ça doit être sympa d’avoir toute une classe sous ses ordres.
_ Et bien pourquoi pas ? Fit Lavande, les yeux pétillants. Vous ne voudriez pas me donner une leçon particulière monsieur le professeur ? »

    Hermione se crut en plein cauchemar tandis que Ron acquiesçait avec un grand sourire. Il contourna le bureau et se laissa tomber dans le vieux fauteuil qui grinça sous son poids. Hermione ferma les yeux mais elle ne put s’empêcher de les rouvrir immédiatement lorsque Ron parla.

« Alors miss Brown ! On m’a raconté que vous aviez encore fait des bêtises. »

Il avait pris un air sérieux, la tête reposant sur ses mains, et détaillant Lavande devant lui avec insistance. La jeune fille avait pris un air de petite fille prise en faute, tournant la pointe de son pied d’un air naïf, les mains dans le dos, faisant ressortir sa poitrine, et la tête baissée, les yeux fixés sur la surface plane et poussiéreuse du bureau.

« Je ne sais pas de quoi vous parlez ! Répondit Lavande d’une petite voix.
_Allons, ne faites pas l’innocente. On vous a vu dans les toilettes.
_ Je… ne …
_ Qu’y faisiez-vous ? Dites-le !
_ Je… mais… rien voyons.
_ Ah oui ? Hé bien nous allons voir ça. Relevez votre robe miss Brown. »

Hermione, sous le choc, ne pouvait détacher ses yeux des jambes de Lavande qui se révélaient peu à peu jusqu’à son ventre.

« Enlevez également cette petite culotte miss Brown. »

Lavande retira son sous-vêtement sans dire un mot tandis que Ron prenait sa baguette magique. Il la mit entre les cuisses de la jeune fille, s’insérant entre les lèvres intimes et se mit à faire des va et viens énergiques. La tige de bois frottait le petit bouton d’amour et tout le seuil de son petit coquillage, la faisant gémir tandis que ses mains se crispaient sur sa robe relevée. Hermione ne voyait que la pointe de la baguette qui ressortait sous les fesses de la jeune fille mais elle sentit presque aussitôt une boule de chaleur intense dans son bas ventre.

« Alors miss Brown ? N’est-ce pas là ce que vous faisiez dans les toilettes ?
_ Si… si… oh oui… je l’avoue. Mais c’est si bon. »

Ron arrêta ses mouvements et retira sa baguette, faisant pousser un gémissement de dépit à Lavande.

« C’est une faute très grave miss Brown. Une faute qu’un professeur ne peut laisser passer. De plus, vous m’avez menti. Il va falloir que je vous donne une punition.
_ Oui monsieur. Répondit Lavande sans relâcher sa robe. Je n’ai pas été sage.
_ Commencez par retirer vos vêtements. Mais n’allez pas trop vite. Nous avons tout notre temps. »

Lavande commença à se déshabiller langoureusement. Ron la regardait tout en relevant sa propre robe. Le bureau empêchait Hermione voir ce qu’il faisait de sa main mais elle le savait déjà. Elle-même n’avait pu résister à passer ses doigts sur sa petite culotte et à caresser son intimité à travers l’étoffe tout en contemplant le corps de Lavande qui s’offrait peu à peu.

    Lorsqu’elle fut entièrement nue, Ron se leva, sa virilité fièrement dressée. Lavande avait un air gêné et cachait ses seins d’un bras et son sexe de l’autre.

« Ne faites pas votre ingénue, miss Brown. »

Ron écarta les bras de la jeune fille et caressa sa poitrine d’une main tandis que l’autre massait son bel abricot.

« Vous avez été une vilaine fille miss Brown. Mais maintenant il va falloir être gentille et obéissante.
_ Oui… monsieur…, haleta Lavande.
_ C’est pour votre bien miss Brown.
_ Oui… professeur… je sens… que c’est bien !
_ Penchez-vous sur le bureau que je vous enseigne mieux. »

Lavande posa son torse sur le bureau, écrasant sa belle poitrine. Sa tête arriva à hauteur du membre de Ron. Elle le prit en bouche d’un air timide et fit de petits va et viens, n’allant guère plus loin que le gland. Ron appuya alors fortement sur la tête de la jeune fille et lui imposa un rythme plus brutal, allant du gland à la garde.

« Comme ceci miss Brown. C’est comme ceci que vous retiendrez la leçon. »

    Hermione savait que Lavande aimait être quelque peu malmenée en matière de sexe. Elle ne se soucia donc pas de la réaction de Ron et prit un certain plaisir à voir la verge gonflée prendre la petite bouche sans ménagement. Elle introduisit même deux doigts dans son trésor intime en regardant le petit cul de la jeune fille, bien relevé dans cette position, frémir à chaque assaut. Hermione devait faire un véritable effort pour ne pas gémir du plaisir que lui procurait ses doigts. Elle vit Ron saisir à nouveau sa baguette. Il prononça une formule et elle s’allongea d’un bon mètre. Ron se servit de son nouvel instrument pour frapper les petites fesses rondes de Lavande qui en gémit de douleur. C’était la première fois qu’Hermione la voyait ainsi mais la jeune fille semblait apprécier d’être traitée de la sorte et un long filet de jus de plaisir coulait sur ses jambes tandis qu’elle frémissait sous chaque coup de baguette. En reprenant ses caresses de plus belle, Hermione pensa à quel point elle aurait aimé aller lécher le petit cul endolori.

    Ron relâcha son étreinte sur la tête de Lavande et se retira de sa bouche. Il rendit sa forme initiale à sa baguette et contourna le bureau pour se positionner derrière Lavande.

« Bien miss Brown. J’espère que vous êtes encore en forme, la punition ne fait que commencer. »

Lavande émit un petit couinement qui se voulait contraint mais qui ne parvenait pas à cacher son désir. Ron s’empara des petites fesses rougies par la baguette et les massa en laissant échapper un grognement de satisfaction. Puis il les écarta brusquement pour découvrir le petit anneau. Il posa son membre dur tout contre le puits secret et commença à entrer avec lenteur. Bonne comédienne, Lavande ne fut pas en reste et se tortilla sur le bureau en parlant d’une voix faussement contrariée.

« Non monsieur ! Pas par là ! C’est trop étroit, ça va me faire mal.
_ Miss Brown ! Laissez-moi vous éduquer comme il se doit et cessez de gigoter. »

Ron plaqua le corps de la jeune fille sur le bureau et pénétra le petit cul d’un grand coup, arrachant un cri de douleur véritable à sa partenaire. Il se mit à faire de vigoureux va et viens dans le petit anus tandis que Lavande haletait de plus belle.

    Dans son armoire, Hermione se mordait la lèvre pour ne pas se faire entendre. Voir Lavande dans cet état là l’avait toujours beaucoup excitée. Sans en être totalement consciente, sa main libre plongea dans sa poche pour en ressortir avec sa baguette magique. Elle souleva l’arrière de sa robe, non sans difficulté dans un lieu si étroit, et baissa sa petite culotte. Elle présenta immédiatement le manche de sa  baguette devant ses fesses et l’enfonça rudement dans son petit anneau. Sa respiration se fit encore lus forte tandis que sa baguette et ses doigts la soumettaient au doux supplice du plaisir.

    Ron avait ajouté ses deux pouces à son membre et prenait un malin plaisir à malmener la merveilleuse élasticité du petit orifice. Lavande poussait de petits cris de jouissance en essayant de prendre une voix suppliante de moins en moins convaincante au fil de leur étreinte bestiale.

« Non ! Monsieur… aaah… arrêtez… ooooh… ça… ça fait mal. »

A la surprise d’Hermione, Ron stoppa aussitôt et se retira vivement. En voyant le visage dépité de Lavande, Hermione comprit qu’elle avait peur que son partenaire l’ait prise trop au sérieux. Mais Ron s’assit sur le bureau et dit de sa voix toujours sérieuse :

« En effet miss Brown, la punition ne me semble pas assez explicite. Je fais tout le travail comme si c’était moi qui était en faute. A vous de devenir active. »

Les yeux de Lavande pétillèrent de joie quelques instants puis elle reprit son air contrit en se relevant et en posant ses lèvres sur le torse du jeune garçon. Elle descendit peu à peu la tête, guidé par l’une des mains de Ron dans ses cheveux tandis que l’autre lui flattait les fesses et faisait connaissance avec son doux coquillage. Elle entoura de ses lèvres le gland fébrile de désir tandis que des doigts s’insinuaient dans ses orifices intimes. Elle ferma les yeux et fit glisser le pieu de chair au fond de sa gorge. Elle sentit Ron s’allonger sur le bureau et ses mains relâcher leur pression. Elle se releva alors et passa ses jambes de part et d’autre du corps du jeune garçon. L’extrémité de la virilité se pressait contre son trésor intime et elle s’assit d’un seul coup sur les hanches de son amant. Ron s’empara de sa poitrine et les pinça légèrement, lui faisant comprendre ce qui l’attendait si elle n’était pas à la hauteur.

    Lavande se mit immédiatement à ruer de plus belle sur le sexe qu’elle sentait entrer et sortir de son ventre. Hermione commençait à avoir les larmes aux yeux de retenir son plaisir. Ses doigts s’agitaient dans son intimité brûlante sans pouvoir la satisfaire. Elle enviait plus que jamais Lavande qu’elle voyait en pleine extase à chaque fois qu’elle s’abaissait brutalement sur le membre dressé. Mais soudain Ron l’interrompit et poussa un grand cri en se déversant dans le ventre de la jeune fille. Lorsqu’elle sentit la douce chaleur du plaisir se répandre en elle, Lavande cria à son tour et s’effondra sur son amant.

    Ils restèrent là, liés l’un à l’autre, se dorlotant pendant qu’ils reprenaient leur souffle. Lavande lança enfin un sort de prévention sur son ventre, puis ils se rhabillèrent sans cesser de se peloter.

« Calme-toi petite gourmande ! Tu auras droit à une autre leçon ce soir. »

Ils sortirent de la salle en gloussant. Dès que le claquement de la porte eut retenti dans la classe, Hermione poussa la porte de l’armoire et s’affala sur le sol. Elle ne retint qu’à moitié le cri qu’elle poussa alors, tandis que sa main était inondée de son jus de plaisir. Elle resta là, contre la pierre froide, haletante. Mais elle sentait toujours la brûlure de son sexe. Ses doigts n’y suffiraient pas. Il lui semblait que sa poitrine allait exploser et ses jambes étaient ankylosées d’être restées si longtemps immobiles dans une position si inconfortable. Elle se rajusta rapidement et se dirigea d’un pas chancelant vers la salle commune de gryffondor avec la vague idée de rejoindre son dortoir où elle aurait tout le loisir de se calmer. Elle franchit le trou derrière le portrait de la grosse dame et monta péniblement les escaliers vers les chambres des filles. Elle entra dans son dortoir, sur le point de s’écrouler.

    Parvati était là, lisant sagement un livre sur son lit. Elle tourna la tête à l’arrivée de sa camarade.

« Ah ! Hermione ! Je t’attendais. »

Elle se leva et contourna un baldaquin pour s’approcher de son amie.

« Je voulais m’excuser pour tout à l’heure. Je… mais ? Qu’est-ce qui t’arrive ? »

Hermione fit un pas à l’intérieur de la chambre et trébucha. Parvati se précipita et la rattrapa. Elle l’emmena jusqu’à son lit et la fit s’allonger. Elle s’assit à côté d’elle.

« Alors ? Que s’est-il passé ? »

Hermione ne pouvait plus attendre. Elle attira Parvati à elle et l’embrassa avec passion. La jeune fille fut prise au dépourvu mais elle se ressaisit très vite et lui rendit son baiser. Elle sentait le corps de sa camarade frémir et n’eut pas besoin de plus d’explications.

« Je ne sais pas ce qui t’a mis dans un tel état ma jolie mais on va y remédier tout de suite. »

En l’embrassant à nouveau, Parvati retroussa la robe d’Hermione sur son ventre et abaissa la petite culotte. Elle entrouvrit les douces cuisses de sa camarade et se pencha sur son bas ventre. Sa langue explora l’entrée du trésor secret d’Hermione qui ne put s’empêcher de jouir immédiatement. Parvati but de longues gorgées de son jus de plaisir et continua son exploration plus en profondeur. Elle étirait les grandes lèvres de ses doigts, non sans s’attarder régulièrement sur le petit bouton d’amour.

    Hermione gémissait sous chaque caresse experte de son amie et sentit tout son corps s’emplir de félicité. Elle passa une main sous la robe de Parvati et rencontra son trésor intime qu’elle se mit à masser avec tendresse. Les deux jeunes filles gémissaient de concert sous l’impulsion de leurs doigts profondément ancrés dans l’une et l’autre. Parvati retira ses vêtements et déshabilla langoureusement Hermione, caressant et embrassant sa poitrine et son ventre dès qu’elle les eut mis à nu. Puis elle présenta son intimité ruisselante à la bouche d’Hermione qui s’en empara avec avidité tandis qu’elle se penchait également sur le doux coquillage de sa partenaire. Hermione écarta les petites fesses rondes de son amie et introduisit sa langue dans le petit puits secret découvert. Parvati préféra savourer le bel abricot juteux qui s’ouvrait pour elle mais elle glissa néanmoins un doigt dans le petit anneau de son amie. Hermione ne fut pas longue à jouir dès lors. Elle sentit son plaisir s’échapper en ruisseau d’entre ses cuisses et des lèvres se refermer sur son intimité pour n’en laisser échapper aucune goutte. Parvati se laissa alors submerger par la jouissance et Hermione se désaltéra à la plus belle des sources.



    Parvati se retourna et se glissa le long du corps de sa camarade. Elle prit Hermione, calmée, dans ses bras et lui caressa tendrement les cheveux.

« Alors ? Tu vas mieux maintenant ma belle ?
_ Oui ! Merci Parvati !
_ Qu’est-ce qui a bien pu t’arriver pour te mettre dans un état pareil ? »

Hermione lui raconta ce qui était arrivé dans la classe désaffectée. Elle s’échauffait tellement au cours de son récit que Parvati dû à nouveau faire appel à ses doigts agiles pour libérer son plaisir.

« Je vois, reprit Parvati, j’étais sûre que tu aimais Ron depuis longtemps.
_ Je ne sais plus quoi faire ! Ils ont l’air de si bien s’entendre. Et même si j’avais le courage de parler à Ron, je ne voudrais pas blesser Lavande. Même s’ils m’exaspèrent souvent en ce moment elle est toujours mon amie.
_ Il y a peut être un moyen que tu le vois seul à seul. Si tu prenais la place de Lavande ce soir ?
_ Je ne crois pas. Même si Ron n’était pas le dernier à sauter sur tout ce qui bouge auparavant, il ne trahira pas Lavande.
_ Oui, mais on peut s’arranger pour qu’il croit être avec elle. J’ai appris un sort qui permet de rendre une pièce très sombre qu’aucune lumière ne peut éclairer. On y voit à peine. On ne peut pas reconnaître les traits des gens. Si tu te coiffes correctement et que tu utilises le parfum de Lavande, je suis sûre qu’il ne fera pas la différence. »

Les yeux d’Hermione pétillèrent d’excitation dans la perspective de passer la soirée avec Ron.

« Mais comment faire pour que Lavande ne débarque pas tout à coup ?
_ J’en fais mon affaire ! Fit Parvati avec un regard coquin. Tu n’as aucun souci à te faire pour ça. Je te garantis qu’elle oubliera son rendez-vous. »

    Ses jambes redevenues légères, Hermione alla prendre une douche et passa les quelques heures qui restaient avant le rendez-vous à coiffer convenablement ses cheveux en pagaille pour qu’ils ressemblent à la coiffure de Lavande. Puis elle rejoignit Parvati qui avait trouvé le parfum de leur camarade. Elle eut à peine le temps d’en mettre un peu que Lavande entra dans le dortoir. Hermione se pencha sur sa valise pour qu’elle ne remarque pas sa coiffure inhabituelle. Lavande ouvrit son armoire et fouilla à l’intérieur à la recherche d’un bandeau tandis que Hermione se faufilait vers la porte et que Parvati s’approchait d’elle. Hermione avait franchi le seuil du dortoir mais ne put s’empêcher de regarder ce qu’allaient faire ses camarades avant de partir. Parvenue derrière sa proie, Parvati enserra la taille de Lavande et posa un baiser dans son cou. Celle-ci tourna la tête en lui souriant.

« Tu te sens d’humeur joyeuse ce soir Parvati ?
_ Oh oui ! Depuis combien de temps on est pas resté un peu seules toutes les deux ?
_ C’est vrai que ça fait longtemps. Mais ce soir je ne peux pas ma jolie. Mon petit Ron va m’attendre. »

Parvati la lâcha et lui tourna le dos d’un air boudeur.

« Tu n’as plus jamais de temps, sauf pour lui. Je sais que tu es amoureuse mais c’est comme si je n’existais plus. On s’entendait si bien avant. »

La jeune fille commença à pleurer. Lavande semblait gênée et incapable d’agir. Elle avança prudemment vers son amie et la prit dans les bras. Hermione vit Parvati lui sourire et lui faire un clin d’œil.

« Calme-toi ! Je suis désolée. Je te promets qu’on passera un peu de temps ensemble très bientôt. Même demain. Mais ce soir je dois partir. »

Sans dire un mot, Parvati enleva sa tête de l’épaule de Lavande et posa ses lèvres sur les siennes. Lavande le lui rendit avec joie, pensant qu’elle pourrait s’en aller juste après. Mais sans desserrer son étreinte ni séparer leurs lèvres, Parvati poussa sa camarade, dos contre la porte de l‘armoire. Dans le même temps, elle avait soulevé la robe de la jeune fille si habilement que lavande ne s’en aperçut que lorsqu’elle sentit des doigts caresser langoureusement son intimité à travers sa petite culotte.

« OoooH ! Non ! Pas maintenant Parvati. S’il te plaît. »

Mais Hermione voyait bien que Lavande ne faisait presque rien pour se défendre tandis que des mains agiles lui retirait le sous-vêtement et elle savait que Parvati avait déjà gagné la partie. Cette dernière s’agenouilla rapidement et passa sa langue sur la douce fente qui s’humidifiait. Lavande avait posé ses mains sur la tête de sa camarade mais ne savait apparemment plus si elle devait la repousser ou l‘encourager.

« Oh, mon ange, c’est si bon ! Mais arrête, je t’en prie. Je dois vraiment y aller. Je te jure qu’on se verra demain.
_ Mais moi j’ai envie maintenant. Et puis rien ne dit que tu ne pourras pas aller voir Ron après. S’il t’aime vraiment, ce ne sont pas quelques minutes de retard qui le décourageront. »

Vaincue par les paroles et la langue agile de Parvati, Lavande s’agenouilla à son tour et embrassa son amie passionnément.

    Hermione referma la porte en silence et s’en fut vers la classe désaffectée, un sourire aux lèvres. Elle fit bien attention que Ron ne se trouvait pas dans la salle avant d’entrer puis elle jeta le sort que Parvati lui avait appris. La pièce s’assombrit aussitôt. Elle ne voyait plus que les quelques tables et chaises qui se trouvaient à proximité. Ils lui semblaient comme à peine esquissés au crayon et leurs contours finissaient par se perdre dans les ombres. Elle entendit alors la porte s’ouvrir et un rectangle de lumière apparut sur le mur. Une grande silhouette se dessina et entra doucement.

« Lavande ? Fit la voix de Ron.
_ Je suis là ! Répondit Hermione en espérant que son imitation ferait illusion. »

Ron fit quelques pas et prononça une formule.

« Lumos »

Un point de lumière apparut mais rien de ce qui l’entourait n’était éclairé.

« C’est bizarre. Fit Ron.
_ C’était comme ça quand je suis arrivé. Répondit Hermione tout en s’avançant vers lui. Mais ce n’est pas grave. »

Elle arriva à sa hauteur et l’embrassa aussitôt afin qu’il ne se pose pas top de question.

Son stratagème fonctionna au-delà de ses espérances. Elle avait à peine posé les lèvres sur les siennes qu’il l’enlaça et la serra tout contre lui. Hermione sentit l’excitation de Ron devenir de plus en plus dur contre son ventre. Ses grandes mains la caressaient déjà aux endroits les plus sensibles. Elle se rendit compte qu’elle commençait à gémir alors que Ron avait quitté ses lèvres pour embrasser son cou. Leurs mains retirèrent leurs robes en prenant bien soin de glisser sur leurs peaux découvertes. Hermione prit le pieu de chair fermement dressé et le masturba avec vigueur. Ron s’empara de ses petites fesses et laissa un doigt s’aventurer dans le puits secret. Puis il la souleva ainsi et la fit redescendre subitement sur son membre viril. Hermione poussa un petit cri en se sentant pénétrée si subitement. Soutenue par les mains de Ron sous ses fesses, elle se mit à ruer sur le sexe dur.

Hermione aimait un peu plus de douceur dans ses étreintes. Mais elle s’était attendue à ce que Ron soit rude avec elle. Après tout il voulait faire plaisir à celle qu’il croyait être Lavande qui, elle, raffolait de sexualité plus sauvage. Hermione en prit son parti et s’abattit encore plus brutalement sur la verge gonflée.

« Ooooh, gémit Ron, tu m’as l’air en forme ce soir ma puce. »

Elle sentit deux doigts supplémentaires se joindre à celui qui occupait son petit anus tandis que des dents mordillaient ses tétons. Elle pinça les lèvres, essayant de retenir son plaisir encore un peu, mais elle éprouvait tant de sensations nouvelles à être ainsi malmenée qu’elle poussa un râle de jouissance en libérant une rivière de jus de plaisir.

    Ron la maintint dans ses bras pendant quelques minutes, toujours profondément fiché en elle.

« Eh bien, mon amour, tu démarres au quart de tour ce soir. Mais tu es une vilaine fille d’avoir jouit sans moi. Il va falloir que je rattrape mon retard. »

Ron la déposa sur le bureau qu’il avait auparavant partagé avec Lavande. Il alla prendre sa baguette magique et prononça une formule. Des cordes jaillirent alors et s’enroulèrent autour des poignées et des chevilles d’Hermione.

« C’est une petite variante du sort d’emprisonnement. Il est bien plus intéressant comme ça. Je crois que même Harry ne connaît pas encore ce coup là. »

Ron posa sa baguette et parcourut le corps de celle qu’il croyait être sa petite amie. Hermione frissonna de satisfaction. Elle se sentait étrangement calme. Elle était totalement à la merci de Ron mais, par la même occasion, elle n’avait plus à se soucier de la suite des événements. Il n‘avait plus qu’à réaliser tout ce qu’il voulait lui faire. Il présenta son membre fébrile de désir devant la petite bouche d’Hermione qui ouvrit docilement les lèvres. Elle le laissa aller et venir à son rythme tandis que ses mains s’attardaient sur sa poitrine.

« Tiens ? J’aurai juré que tes seins étaient un peu plus gros. Ou c’est parce que j’ai du mal à les voir peut être ? »

Hermione s’empressa de jouer plus habilement de sa langue et d’augmenter au mieux sa succion sur la verge. Ron poussa des gémissements, indiquant qu’il avait oublié toute idée de mesurer la poitrine sur laquelle se crispaient ses mains. Il ne fut pas long à éjaculer dans la petite gorge de son amante qui n’en perdit rien.

    Ron se retira des lèvres accueillantes. Hermione sentit un morceau de tissu se plaquer sur sa bouche tandis que Ron le nouait derrière sa tête.

« Je n’ai pas encore découvert le moyen de faire apparaître ce truc en même temps que les cordes. Mais je finirai par trouver. »

Hermione ne put que pousser des gémissements étouffés par le bâillon tandis que la langue de Ron descendait de sa nuque sur son dos et elle ne fut pas surprise de la sentir s’arrêter sur son puits secret et se mettre à l’explorer en profondeur. Ron prit tout son temps pour savourer le petit anneau avant de positionner sa partenaire à genoux sur le bureau, son torse s’écrasant contre la surface poussiéreuse, bougeant chaque membre comme il l’aurait fait d’une poupée articulée. Il s’agenouilla derrière elle et écarta les petites fesses. Son membre se colla contre le petit anus dont il força le passage d’un coup brusque. Hermione poussa un cri de douleur étouffé, songeant à quel point Lavande aurait adoré cela. Ron ne se fit pas plus tendre lorsqu’il s’activa de plus en plus rapidement. Elle sentait le bas de son dos s’embraser sans toutefois que cela ne lui devienne insupportable.

    La chaleur brûlante s’empara bientôt de son intimité et son plaisir arriva aussi violemment que l’un des coups de boutoir de son amant. Ron sentit le corps de sa partenaire frémir sous la jouissance mais ne s’arrêta pas pour autant.

« Décidément, tu es à fleur de peau ce soir mon cœur. Tu m’as encore devancé. Mais je sens que j’arrive aussi. Et après je t’ai réservé une petite surprise pour finir en beauté. »

Ron grogna bientôt tandis qu’il se répandait dans le petit cul qu’il croyait être celui de son amoureuse. Il se dégagea aussitôt pour s’allonger sur le dos. Il prit Hermione sur lui et son membre s’engouffra immédiatement dans le petit ventre encore tout chaud. Il introduisit sans attendre deux doigts dans le petit anus. Mais tout en remuant ses hanches sur la verge gonflée, Hermione sentit un troisième doigt les rejoindre, puis un quatrième. Comprenant alors où il voulait en venir et comprenant également que Lavande ne s’y serait soustrait pour rien au monde, Elle creusa les reins du mieux qu’elle le pouvait pour faciliter l’accès à son puits secret. Ron finit alors de faire pénétrer toute sa main d’un seul coup, arrachant un cri de douleur à Hermione que le bâillon ne put contenir. Elle sentit une cascade de sa liqueur d’amour s’écouler de son intimité. La douleur et la jouissance se mêlaient à chaque fois qu’elle donnait un coup de rein. Il lui aurait été impossible de compter ses orgasmes qui arrivaient les uns derrière les autres.

    Elle était en nage, haletante et quasiment à bout de force lorsque Ron éjacula enfin dans son ventre. Il retira sa main du passage étroit en souriant. Hermione s’effondra sur lui, comme si l’on venait de retirer un crochet auquel elle était suspendue. Ron leva l’enchantement et retira le bâillon. Il la prit dans ses bras et la couvrit de baisers tandis qu’elle reprenait son souffle. Ils restèrent longtemps enlacés sur le bureau. Hermine ne se releva que lorsque Ron se fut endormi. Elle prit sa baguette et se lança un sort de prévention. Elle voulut retourner se pelotonner contre Ron mais elle entendit des pas raisonner dans le couloir. Il était très tard et l’on pouvait entendre le moindre promeneur nocturne de loin. Hermione savait qui approchait. Elle s’empara rapidement de ses vêtements et alla se mettre dans un coin particulièrement sombre. Elle vit la porte s’ouvrir et Lavande apparaître dans le couloir faiblement éclairé. Elle s’avança à tâtons.

« Ron ? Tu es là ? »

Lavande avança jusqu’au bureau où elle vit une silhouette allongée. Elle la toucha timidement et reconnut son petit ami.

« Ron, je suis désolée. Je ne sais pas comment j’ai pu oublier l’heure de notre rendez-vous. »

Hermione sourit, sachant parfaitement ce qu’il en était. Lavande se pencha un peu plus sur le bureau et comprit que son amant était endormit. Elle se déshabilla alors et s’allongea tout contre lui. Hermione quant à elle se rhabilla en silence et se dirigea vers la porte. Mais elle ne put la franchir que lorsqu’un faible souffle lui indiqua que Lavande avait également succombée au sommeil.

    Elle rentra au dortoir d’un pas traînant, totalement vidée par l’expérience qu’elle avait vécue. Elle monta difficilement l’escalier et poussa la porte de la chambre dans un soupir de soulagement. Elle vit Parvati, à moitié endormie relever la tête alors qu’elle se rapprochait. Elle était nue dans son lit, et se redressa, faisant tomber la couverture qui recouvrait sa poitrine exquise. Hermione s’assit à côté d’elle.

« Te voilà enfin ! Je t’ai attendue ! Alors ? Comment ça s’est passé ? »

Hermione lui raconta toute sa soirée tandis qu’elle se préparait à aller se coucher. Parvati lui fit également les confidences de ses aventures avec Lavande. Hermione la rejoint dans son lit.

« Encore merci Parvati. Sans toi ça n’aurait pas été possible.
_ A ton service ma jolie. »

Les deux jeunes filles s’enlacèrent tendrement et s’endormirent paisiblement épuisées mais heureuses de leur soirée.
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
Ecrire un commentaire - Voir les 9 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés