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Samedi 11 mars 6 11 /03 /Mars 19:33
Apprivoisement

Une aventure sexuelle de Harry Potter en sixième année.

Avec : Ginny Weasley, Fleur Delacour et Bill Weasley.





    Les vacances d’été touchaient à leur fin. Un vent chaud soufflait à travers la campagne environnante et venait caresser le visage de Ginny qui marchait lentement. Elle observait les arbres aux feuilles frémissantes et les fleurs qui se courbaient. Le vent se promenait en vagues sur l’herbe d’un vert rayonnant avant de venir s’engouffrer dans le chemisier de la jeune fille et le faire gonfler. Ginny ferma les yeux pour savourer la douceur de l’air sur sa peau. Elle continuait de marcher à pas lent sans regarder le chemin. Elle le connaissait par cœur de toute façon. Elle se sentait enfin calme et détendue ce qui lui était impossible à la maison.

    A croire que tout le monde devenait nerveux à l’approche de la rentrée. Il était vrai que jamais les risques n’avaient été aussi importants depuis que Voldemort s’était révélé au grand jour. La situation était tendue à travers tout le pays, même chez les moldus. Et Poudlard était devenu le centre d’attention de tout le monde magique puisqu’il regroupait les deux plus grands adversaires du mage noir : Harry Potter et Albus Dumbledore. Ginny ne savait pas vraiment quoi penser de tout ça. Bien sûr, sa confiance à Harry et au directeur était absolue. Mais elle se demandait, comme tout le monde, si l’école était vraiment sans risque.

    Sa mère avait beaucoup d’appréhensions à ce sujet. Mais comme elle était membre de l’ordre du phœnix, elle n’en laissait rien paraître avec les autres sorciers. Lorsqu’elle était au terrier, en revanche, elle se laissait aller à faire plus de remontrances et était bien plus nerveuse qu’à l’ordinaire. Alors que septembre arrivait, l’ambiance dans la maison des Weasley était parfois électrique. Et Fleur n’arrangeait rien. En dehors des humeurs de sa mère, la jeune française était l’une des raisons principales de la promenade solitaire de Ginny. Elle avait vraiment beaucoup de mal à supporter la fiancée de son frère qui ne cessait de faire des remarques sur tout et n’importe quoi. Sortir de la maison était alors le seul moyen de retrouver un peu de tranquillité d’esprit. Harry, Ron et Hermione étaient occupés à discuter de choses et d’autres dont ils préféraient que Ginny les ignore et la jeune fille se retrouvait souvent seule ces derniers temps.

    Elle ne s’en plaignait pas toutefois car avec tout ce monde à la maison, il faisait bon être un peu tranquille. Ginny prit un petit chemin de terre envahit par les mauvaises herbes qui traversait un bosquet d’arbres pour déboucher sur un petit étang. Elle s’assit au bord de l’eau et s’allongea dans l’herbe fraîche. Elle ferma les yeux et essaya de ne plus penser aux tristes événements qui se succédaient ces derniers temps. Elle ne sut pas trop combien de temps elle était restée là sans bouger lorsqu’elle entendit des voix approcher. Elle se redressa et scruta les alentours. En plus des voix, des bruits de pas venaient du bosquet. Elle n’avait pas tellement envie de croiser des gens pour l’instant et se précipita derrière un buisson, espérant que les promeneurs importuns ne s’arrêteraient pas.

    Elle entendit un rire cristallin et envoûtant passer entre les arbres. Un rire qu’elle connaissait bien et qui ne l’arrangeait pas du tout en ce moment. Elle écarta doucement quelques branches du buisson et vit sans surprise Fleur et Bill, main dans la main, s’arrêter devant l’étang.

« Oh ! C’est vraiment très beau ici. S’exclama Fleur.
_ Oui ! J’ai découvert cet étang quand j’étais enfant. C’est un endroit connu de moi seul. »

Ginny ne put s’empêcher de sourire devant la naïveté de son grand frère. Elle espérait toutefois qu’il irait vite lui montrer d’autres endroits qu’il était soit disant seul à connaître afin qu’elle puisse bouger d’ici. Il lui était impossible autrement de s’éloigner sans attirer leur attention. Mais à son grand dam, le couple s’assit sur l’herbe et s’embrassa passionnément.

« C’est si calme. Pas comme chez toi.
_ Il y a beaucoup de monde en ce moment. Répliqua Bill. On a presque plus un moment à nous.
_ Alors profitons-en ! »

    Fleur posa à nouveau ses lèvres sur celle de son fiancé mais elle en profita pour faire pression sur ses épaules et le faire s’allonger sur le dos. Elle passa une jambe de l’autre côté de Bill et se retrouva sur lui. Ginny se sentait incroyablement gênée. Non pas par les jeux de l’amour qu’elle connaissait fort bien mais par le fait qu’elle n’avait pas du tout envie de voir l’un de ses frères en pleine action. Elle espérait qu’après quelques caresses et baisers, ils iraient poursuivre dans un endroit plus tranquille. Ginny se mordit la lèvre. Elle devait bien admettre qu’elle ne connaissait pas de lieu plus calme et discret que les abords de cet étang. Elle essaya de se concentrer sur des souris qui passaient dans l’herbe non loin d’elle et se boucha les oreilles. Pendant quelques secondes elle ne pensa plus au couple enlacé tout près d’elle mais elle dût se rendre à l’évidence, elle n’arriverait jamais à faire comme si de rien n’était. Elle était toujours gênée vis à vis de son frère mais elle avait très envie de regarder Fleur. Ginny était loin d’être rebutée par les autres filles et elle devait admettre que malgré son antipathie pour la jeune française, elle était la plus belle qu’elle n’ait jamais vue.

    Elle écarta à nouveau les branches avec discrétion et fut déjà soulagée de voir que Bill avait encore ses vêtements pour le moment. Fleur s’était redressée et se retrouvait assise sur le bassin de son fiancé. Elle se mit à onduler des hanches comme si elle exécutait une danse lascive et, bien que les pans de sa robe le cache, Ginny devinait qu’une bosse devait naître sous les petites fesses de la jeune femme. Bill posa les mains sur les genoux de Fleur et les fit remonter lentement sur ses cuisses mais elle écarta ses bras et dit en le regardant d’un air coquin :

« On se calme ! Où est donc passé ton flegme britannique mon amour ? »

« Le faire languir tout en le chauffant, pensa Ginny, classique mais toujours efficace »

La jeune fille était admirative devant l’incontestable savoir-faire de Fleur puis elle se rappela soudain que c’était son frère qui recevait toutes ces caresses et elle faillit trébucher sous la stupeur. Elle reprit contenance assez vite et, après avoir pris une profonde inspiration, jeta un nouveau coup d’œil sur le couple.

    Fleur ne cessait de remuer lascivement son petit cul sur le membre de son fiancé dont le visage trahissait l’insoutenable attente. La jeune femme déboutonna lentement sa robe qui s’ouvrait par-devant. Presque malgré elle, Ginny se sentit de plus en plus intéressée par le spectacle dévoilant la peau claire et apparemment douce de sa future belle-sœur. Elle constata que la jeune française ne portait pas de soutien-gorge, ce qui était on ne peut plus normal au vu de la chaleur et qui de toute façon ne devait pas lui servir pour soutenir sa belle poitrine bien ferme. L’ouverture de la robe ne dévoilait qu’un sillon de sa peau satinée allant de son cou délicat jusqu’à sa petite culotte de dentelles fines. Elle se laissa aller doucement en arrière et prit appuie sur les jambes de son fiancé pour que l’étoffe qui la recouvrait glisse lentement de son corps jusqu’au sol. Ginny, qui voyait pour la première fois les formes parfaites de Fleur au grand jour en eut le souffle coupé. Elle constata rapidement que, malgré l’habitude qu’il devait en avoir, Bill semblait lui aussi totalement subjugué par la beauté qui se tenait sur sa verge. Il avança les mains vers les deux parfaits globes de chair mais à nouveau sa compagne le repoussa.

« Décidément tu perds tes moyens mon petit Bill, s’exclama-t-elle avec un sourire moqueur. Mais je vais te soulager un peu avant de passer aux choses sérieuses. »

    Fleur se poussa vers l’arrière pour s’asseoir sur les cuisses de son fiancé, libérant ainsi son bassin. Elle déboutonna vivement son pantalon et tira sur la fermeture éclaire. Elle dégagea lentement le sexe gonflé de désir qui se dressa aussi droit qu’un i et plus dur que du métal. Ginny se sentit mal à l’aise en voyant la virilité de son frère mais elle ne détourna pas les yeux pour autant, fascinée par le regard pervers mais posé de Fleur. Quand elle était plus petite, il n’était pas rare qu’elle voie l’un de ses frères nu mais jamais en érection. Il lui semblait que le pieu de chair de Bill allait exploser lorsque la jeune femme le prit en main. Elle le masturba avec tendresse avec son sourire le plus coquin sans quitter le visage de son amant des yeux. Elle prenait beaucoup de plaisir à voir Bill froncer les sourcils ou gémir à chaque mouvement de son poignet. Elle s’avança légèrement et amena le gland surchauffé en contact avec sa petite culotte. Par de petits mouvements, elle faisait deviner à l’extrémité sensible la forme de son intimité protéger par le fin tissu.

« C’est ça que tu veux n’est-ce pas ? Tu aimerais que j’écarte ma culotte pour te laisser passer ? »

Tandis que son frère émettait un grognement de supplication, Ginny commençait à ne plus tenir. Elle aurait beaucoup aimé pouvoir toucher de ses doigts le bel abricot de la jeune française à travers le tissu et le masser avec passion. Elle retroussa sa petite jupe et caressa son trésor intime à travers sa petite culotte, appréciant le frottement du tissu sur toute la surface de son sexe et de son petit bouton d’amour en particulier.

Tout en essayant de calmer les ardeurs de son bas ventre, Ginny regardait le couple continuer ses ébats. Fleur s’était allongée sur Bill qui n’avait apparemment toujours pas le droit de la toucher. La jeune femme ouvrait sa chemise, bouton par bouton, prenant tout son temps pour lécher le torse de son amant. Elle descendait peu à peu, au rythme de son effeuillage, prenant bien soin que son fiancé ressente le frottement de son ventre plat sur son membre impatient. Bill serrait les poings sous la délicieuse torture presque autant que Ginny serrant sa petite culotte qu’elle enleva d’un coup sec. La jeune fille eut bien besoin d’introduire trois doigts dans son beau coquillage vermeil pour se calmer lorsqu’elle vit les superbes seins de Fleur s’arrêter de part et d’autre de la queue frémissante.

« Mon pauvre chéri, fit la jeune française, tu es vraiment endurant. J’en connais peu qui eut tenu aussi longtemps. Tu es un vrai champion mon amour. Tu mérites une belle récompense. »

Fleur pressa ses seins autour du membre palpitant de désir et le fit aller et venir sur sa tendre peau. Ses lèvres se refermèrent sur le gland qu’elle savoura avec passion.

    Ginny était surexcitée et se masturbait de plus en plus vigoureusement en regardant la bouche de la jeune française se distendre pour accueillir la verge gonflée à l’extrême. Elle voyait tout le corps de Bill se tendre sous le plaisir qu’il ne voulait pas encore libérer. Fleur le regardait d’un air amusé et se fit plus violente sur le pieu de chair. Bill poussa presque aussitôt un râle de plaisir et la jeune femme s’arrêta pour se délecter du nectar de jouissance de son amant. Lorsqu’elle fut totalement rassasiée, elle s’allongea doucement sur le corps enfin calmé de Bill et l’embrassa avec tendresse. Il put enfin caresser à loisir les merveilleuses courbes de sa fiancée. Ginny baissa les yeux. Elle n’avait pas encore prit tout son plaisir mais elle ne voulait pas les regarder dans un moment pareil, ce qui lui semblait pourtant bizarre puisqu’elle venait d’assister à une étreinte des plus excitantes sans plus sentir la moindre gêne. Mais si elle ne les voyait pas, elle les entendait toujours.

« Ce que j’aime te mettre au supplice mon amour.
_ Je n’aimerai jamais que quelqu’un d’autre ne le fasse. Mais attend, tu ne vas pas être déçue à ton tour.
_ Tu penses faire mieux ? Dit-elle avec un sourire malicieux.
_ Je ne perds rien à essayer. Et toi non plus. »

    Ginny les regardait à nouveau, reprenant de plus belle le mouvement de ses doigts alors qu’ils n’avaient pas encore bougé. Bill se glissa sur le côté faisant rouler le corps chaud de son amante dans l’herbe fraîche tandis qu’elle riait. Il la fit mettre à quatre pattes et s’agenouilla derrière elle. Il massait les petites fesses rebondies et se mit à passer tendrement sa langue de l’une à l’autre. Ginny voyait bien que Fleur frissonnait sous les caresses de son amant et elle comprit que la jeune française savait déjà à quoi s’attendre. Bill ne fut pas long à plonger son visage entre les douces collines et à s’amuser avec le petit puits secret dont il testa la profondeur de sa langue. La jeune femme gémissait déjà alors qu’il laissait une main contourner sa hanche pour s’arrêter sur son trésor intime. Ses doigts s’immiscèrent dans le temple de Venus brûlant de désir et l’explorèrent de fond en comble. Fleur poussait de petits cris de jouissance en se cambrant au mieux. Sans faire attention, elle souleva ses pieds qui rencontrèrent le ventre de son fiancé. Avec un petit sourire de satisfaction que seule Ginny put voir, elle les abaissa pour caresser la verge vaincue. Les délicieuses caresses de Bill l’empêchaient d’être pleinement concentrée sur ses gestes et elle tripotait maladroitement le membre qu’elle sentit néanmoins grandir sous la plante de ses pieds.

    Bill se releva l’air ravi.

« Tu as l’air impatiente mon cœur.
_ Oh, je t’en prie ! Viens en moi ! Maintenant ! »

Il prit sa verge dans la main et caressa les abords de l’intimité trempée de sa fiancée. Elle poussa des gémissements de supplication en offrant encore un peu plus sa croupe. Bill s’empara de ses hanches et la pénétra sans plus d’attente. Fleur haletait sous les vigoureux coups de reins de son fiancé. Elle se mit à ruer au devant des coups de boutoirs et ses gémissements se transformèrent en cris de jouissance. Ginny devenait folle en s’imaginant coller son antre secrète sur la bouche délicieusement pulpeuse de la jeune française. Bien qu’elle n’ait toujours que ses doigts à agiter frénétiquement, il lui semblait sentir la langue vicieuse de la jeune femme s’introduire entre ses lèvres intimes et son souffle chaud et haletant faire frémir sa douce toison écarlate. Ginny n’y tenait plus et laissa la jouissance l’envahir totalement. Elle ne put retenir un petit gémissement sonore et plaqua immédiatement les mains sur la bouche. Mais le couple était loin d’être silencieux et ils ne l’avaient pas entendue. La jeune fille s’assit dans l’herbe fraîche et reprenait son souffle tandis que des râles rauques lui indiquèrent que les deux amants étaient venus à bout de leur plaisir.

    Ils étaient étroitement enlacés, encore l’un dans l’autre, se prodiguant de nombreuses caresses et baisers. Ginny détourna à nouveau les yeux. Elle remit sa petite culotte et s’allongea dans l’herbe. Elle attendait patiemment qu’ils se rhabillent et s’en aillent tout en regardant la frondaison des arbres se balancer lentement à la grâce du vent. Elle réfléchissait à toute cette aventure. Fleur était le genre de fille qui l’exaspérait au plus haut point mais elle ne pouvait nier que c’était elle qu’elle avait désiré pendant qu’elle les regardait. Même la gêne d’espionner son frère s’était estompée sous son admiration pour Fleur. Elle songea un instant que sa future belle sœur avait usé de son pouvoir de demi-vélane mais il lui apparut bientôt évident que ce serait absurde. Pas lorsqu’elle était avec Bill. Elle resta longtemps à penser tandis que la soirée avançait peu à peu. Lorsqu’elle se décida à se lever enfin, Bill et Fleur étaient déjà partis sans qu’elle ait su dire depuis quand. Le soleil déclinait rapidement et Ginny pressa le pas en direction du terrier. Il ne faisait pas bon rester dehors le soir ces temps-ci et elle aurait probablement droit à quelques cris de la part de sa mère. C’est donc sans surprise qu’elle reçut les remontrances de Mrs Weasley dès qu’elle eut passé le seuil de la porte. Les remarques à peine voilées de Fleur sur son manque de maturité refroidirent grandement son ardeur envers elle.

    Les jours passèrent finalement jusqu’au retour à Poudlard, et c’est avec l’image du corps enfiévré de la jeune française que Ginny fit sa rentrée. Elle fit bénéficier Dean Thomas, son petit ami, de ses fiévreuses attentions pendant tout le premier trimestre. Mais le jeune garçon, heureux comme jamais, ne pouvait éteindre en elle son véritable désir. Même Luna, si belle et si attentionnée avec Ginny, ne put lui enlever Fleur de la tête. Au fil des jours, elle se jetait avec toujours plus de passion dans les bras de Dean, qui était tout de même intrigué sans être assez bête pour poser la moindre question. Tout le plaisir qu’il lui donnait la comblait sur l’instant mais elle revenait toujours à la charge avec des désirs plus ardents. Lorsqu’arrivèrent les vacances de Noël, il était grandement partagé entre la peine que lui procurait sa séparation avec la douce Ginny qui l’embrassait tendrement quand il la tenait dans ses bras et dont il ne se lassait jamais de caresser ses jolies courbes, et le soulagement du repos qu’il allait prendre sans la tigresse qui, au détour d’un couloir, pouvait l’entraîner dans les toilettes ou dans une salle vide pour assouvir toutes ses envies.

    Le terrier était presque enterré sous la neige et il était d’autant plus difficile de le voir que les temps obscurs empêchaient les sorciers de décorer leurs maisons comme pour les camoufler au mieux. Il y avait beaucoup de monde pour la veille de Noël et Ginny fut catastrophée d’apprendre qu’elle allait devoir partager sa chambre avec Fleur et non pas avec Hermione. Bien qu’elle ait beaucoup fantasmé sur sa future belle sœur au long de ses derniers mois, elle doutait que la condescendance de la jeune femme ne s’atténue au point de lui faire partager son lit. Elle enviait fortement Bill de ne pas avoir seulement le mauvais côté de sa fiancée. Elle réussit tout de même à passer une bonne soirée, oubliant la mauvaise nouvelle sous les effets de la fête. Elle ne s’en souvint que tard dans la nuit, lorsque Mrs Weasley pria tout le monde d’aller au lit. Elle monta les marches d’un air lugubre, dit bonne nuit à Hermione, Harry et Ron d’une voix éteinte, et entra dans sa chambre. Elle se déshabilla et enfila un long tee-shirt avant de s’allonger sur le matelas par terre, son lit étant réservé pour sa compagne de chambre qui le trouverait sûrement beaucoup trop dur pour son dos délicat.



    Elle était allongée depuis quelques bonnes minutes, essayant de ne pas songer au merveilleux corps qui serait bientôt allongé près d’elle, lorsqu’elle entendit des bruits dans l’escalier.

« Tout de même c’est insensé, fit la voix de Fleur, chez nous personne ne nous dit quand on doit aller se coucher un soir de fête !
_ Ma mère aimerait voir des gens se lever avant que le soleil, lui, ne se recouche. Lui répondit la voix de Bill amusé.
_ Et pourquoi nous faire faire chambre à part ? Nous sommes adultes quand même.
_ Il n’y aurait pas assez de chambres ce soir si nous en prenions une pour nous seuls. Et puis tu as de la chance, Ginny a le sommeil dur.
_ Ta sœur est très gentille et je l’aime bien. Mais moi je n’aimerai pas qu’on s’impose comme ça dans ma chambre.
_ Oui, mais crois-moi, dormir avec Fred et George c’est tout autre chose. On fait l’échange quand tu veux… (Bill se tut quelques secondes) euh… non ! Finalement je préfère pas. »

Ils poussèrent de petits rires étouffés puis Ginny entendit distinctement le froissement d’un tissu. Elle se leva, se dirigea vers la porte aussi silencieusement qu’un chat et jeta un œil par la serrure. Fleur et Bill étaient dans les bras l’un de l’autre et s’embrassaient tendrement. Ginny regardait les mains de son frère glisser sur la robe fendue de sa fiancée. Sa mère avait faillit exploser quand elle la vit arriver à table. Même Hermione avait parfois eu du mal à ne pas la regarder trop longtemps et elle n’avait même pas broncher lorsque Ron avait fait tomber sa fourchette pour la sixième fois.

« J’aimerai tellement rester avec toi, fit-elle, c’est injuste.
_ Oui, mais on a pas le choix. Demain on fera une petite balade dans la neige. Je vais te donner un avant goût. »

    Bill embrassa à nouveau la jeune française en faisant remonter sa main le long de la cuisse dénudée et la fit passer sous la robe.

« Tiens ? Pas de sous-vêtement ? Fit-il en lui souriant. C’est donc vraiment fête ce soir ?
_ C’était au cas où, répondit-elle avec un regard coquin. Si jamais on avait trouvé un moyen de s’éclipser un peu. »

Bill caressa l’intimité de sa fiancée et lui posait de petits baisers dans le cou.

« Oh ! Bill ! Mais… qu’est-ce que tu fais ?
_ Je te laisse un petit souvenir de moi pour cette nuit.
_ Ah ! Vilain garçon, souffla-t-elle à son oreille, ooooh… je ne vais jamais réussir à dormir dans cet état… oui… plus profond…
_ Aïe ! Je crois que mes parents vont monter. Eh bien ce sera tout pour ce soir mon cœur. A demain. »

Bill posa un baiser sur les lèvres de son aimée et courut jusqu’à la chambre des jumeaux. Ginny se projeta sur le matelas et se recouvrit des couvertures au moment où la porte s’ouvrit. Fleur entra et referma vivement la porte. Elle attendit que les pas de Mr et Mrs Weasley se soient éloignés avant de tourner la tête vers Ginny qui faisait semblant de dormir.

Fleur pris sa baguette magique et alluma une bougie pour fouiller dans ses affaires. Ginny la surveillait, les yeux entrouverts, tandis que la jeune française tirait une petite nuisette de soie de son sac. Elle se déshabilla. La lueur de la flamme dansait sur son corps blanc. Ginny sentit la chaleur envahir son bas ventre. Elle serra les lèvres. Pas maintenant. Mais Fleur ne l’aidait pas à se calmer. La jeune femme passa une main sur ses petites fesses parfaites pour atteindre son intimité encore ruisselante Où elle laissa un doigt s’égarer.

« Ooooh ! Bill, lâcha-t-elle dans un soupir. »

Elle tourna subitement la tête vers Ginny qui eut tout juste le temps de fermer les yeux. Elle les rouvrit avec précaution pour voir Fleur passer sa nuisette en levant les bras ce qui gonflait sa magnifique poitrine. Le vêtement se posa sur son corps aussi léger qu’une feuille. La jeune femme pris le bougeoir et gagna son lit. Ginny se sentit frissonner lorsque les jambes passèrent devant son visage.

    La jeune française posa la bougie sur la table de chevet et s’allongea. Mais elle ne tira pas les couvertures sur elle. Elle écarta les cuisses et ses doigts retrouvèrent le chemin de son entrejambe doré. Elle poussait de faibles gémissements qu’elle s’efforçait de contrôler. Ginny en devinait plus qu’elle n’en voyait du sol. Mais cela lui suffit amplement pour sentir son intimité devenir brûlante. Rester calme à côté de fleur endormie était une chose, mais à côté de Fleur chaude et gémissante était insoutenable. Sans vraiment penser à ce qu’elle faisait, la petite rousse se laissa tomber de son matelas avec bruit. Elle sentit Fleur faire un sursaut sur le lit et devina qu’elle devait se rajuster rapidement. Elle vit apparaître la tête de la jeune française paniquée au-dessus d’elle.

« Ginny ? Mais qu’est-ce que tu fabriques ? »

Habituellement pâles, ses joues étaient rouges et ses yeux brillaient encore de son plaisir interrompu. Ginny la trouva encore plus belle sans savoir si c’était vraiment possible.

« Euh… je… je crois que j’ai fait un mauvais rêve.
_ Quoi ? A ton âge ?
_ Oh ! C’était… horrible, hoqueta-t-elle comme si elle pleurait, il y avait Tu-sais-qui et… et il tuait Harry.
_ Allons ! Arry ne se laisserait pas faire voyons. Recouche-toi et oublie ça.
_ Oh ! Fleur ! S’il te plaît ! Je peux venir avec toi ? Juste quelques minutes.
_ Mais enfin Ginny… ce n’est… ce ne serait pas…
_ S’il te plaît ! »

    Ginny jouait si bien la comédie que Fleur ne put faire autrement que de la laisser se coucher, non sans un regard désappointé. La jeune rousse savait bien tout ce qui lui en coûtait de l’acceptait dans son lit et jura de le lui rendre au centuple.

« Bon ! Tu vas mieux maintenant ?
_ Encore un peu s’il te plaît.
_ C’est insensé ! »

Ginny posa la tête sur l’épaule de Fleur. D’abord surprise, la jeune française finit par se radoucir et caressa les cheveux flamboyant de l’adolescente. Ginny pensa qu’elle avait déjà dû consoler sa petite sœur Gabrielle au milieu de la nuit bien des fois auparavant. Elle s’y prenait avec beaucoup de tact. Mais Ginny en voulait plus.

    Elle se colla un peu plus contre Fleur et fit glisser sa cuisse nue sur les jambes de la jeune française jusqu’à rencontrer le trésor intime encore humide. Fleur sembla comme électrocuté mais elle ne put reculer que son torse.

« Ginny !
_ Oh ! J’ai l’impression que toi tu faisais de beaux rêves, fit la petite rousse d’un air innocent.
_ Je… tu…
_ Calme-toi ! Ce n’est pas si grave. Et puis ça me donne une occasion de m’excuser de t’avoir réveillé. »

Ginny frotta sa cuisse sur le petit abricot doré avec douceur. La jeune femme poussa des gémissements. Son visage se détendit un peu mais elle semblait toujours partagée entre le fait de coucher avec sa future belle sœur et le plaisir qu’elle n’avait toujours pas réussit à prendre cette nuit.

« Non ! Arrête… faut pas… ! »

Mais l’adolescente n’écoutait pas les supplications de Fleur qui venait d’ouvrir un peu plus ses cuisses soyeuses. Sans hésiter, Ginny plongea vers le bas ventre mais elle passa la tête entre les jambes de la jeune française et écarta ses petites fesses rondes bien décidée à suivre la leçon que son frère lui avait donnée inconsciemment quelques mois plus tôt.

    Elle posa sa langue agile sur le petit anneau et sentit sa partenaire frémir. Elle s’enfonça d’un seul coup aussi loin qu’elle le put. Elle fit la meilleure feuille-de-rose qu’elle n’avait jamais pratiqué de sa vie. Lorsqu’elle pénétra quelques doigts dans la douce intimité de Fleur, elle se rendit compte qu’elle avait déjà jouit sous le seul effet de sa langue. La petite rousse redoubla d’effort tout en masturbant vigoureusement le petit abricot désormais bien juteux. La jeune française ne fut pas longue à venir une deuxième fois sous le délicieux et énergique traitement de Ginny. L’adolescente se releva, déjà essoufflée, mais ravie que Fleur ait abandonné toute idée de la jeter hors de son lit. Elle retira son tee-shirt et se retrouva nue. La jeune femme la regarda quelques secondes et dit d’une voix douce.

« Tu sais que tu es vraiment très mignonne. »

Un tel compliment venant de Fleur, c’était comme si la lune s’était mise à chanter. Ginny lui sourit, rayonnante. La jeune française se redressa et prit les deux jolis seins de la petite rousse avec tendresse.

« Ces beaux fruits là sont très appétissants ! »

Tout en les massants avec douceur, Fleur prit l’un des petits tétons dressés entre ses lèvres et le fit jouer de sa langue, au plus grand plaisir de l’adolescente. Ginny caressait la longue chevelure blonde qui lui chatouillait le ventre.

Fleur voulut se débarrasser de sa nuisette mais la jeune fille l’en empêcha.

« Oh non ! S’il te plaît ! Laisse-moi faire ! »

Ginny releva doucement le bord du vêtement fin pour révéler le ventre plat. Elle laissa sa langue savourer la chaude et tendre peau, titillant le nombril qui fit lâcher un petit rire à la jeune femme. Puis elle dégagea les seins superbes et prit tout son temps pour les savourer. Elle retira enfin complètement la nuisette qu’elle envoya rejoindre en boule son tee-shirt au pied du lit puis elle prit passionnément les lèvres de Fleur. Elles s’embrassèrent longuement. Ginny crut bien qu’elle n’arriverait jamais à se défaire de la saveur de la bouche de la jeune femme. Fleur caressait tout le corps de la tendre adolescente et arrêta l’un de ses doigts sur le petit anus. Aussitôt, la petite rousse releva un peu les fesses et la jeune française y pénétra profondément. Ginny vint au-devant de ses va et viens avec force.

« Apparemment toi aussi tu es très sensible par-là. Mais le spectacle ne fait que commencer ma belle. »

    Fleur posa doucement l’adolescente sur le côté et alla prendre sa baguette magique. Elle le transforma en gode ceinture qu’elle enfila rapidement.

« Un petit tour apprit à l’internat de Beauxbâtons. D’après ce que j’ai vu, c’est pareil à Poudlard. »

Ginny acquiesça en souriant et se mit à quatre pattes. Fleur vint derrière elle, s’accrocha à ses hanches et posa l’extrémité du membre factice sur le puits secret. La petite rousse pinça les lèvres lorsqu’elle sentit le gode pénétrer lentement en elle. La jeune française accélérait peu à peu le rythme. Ginny pressa un oreiller contre sa bouche pour étouffer ses cris mêlaient de douleur et de jouissance.

« Dire que Bill voulait que je passe une nuit tranquille. Qu’est-ce qu’il dirait maintenant s’il savait que je sodomise sa petite sœur ? »

L’adolescente laissa un rie sonore lui échapper mais les vigoureux coups de reins de Fleur lui remirent vite les idées en place. Une vague de plaisir envahit son ventre et se déversa sur les cuisses de la jeune française. La jeune femme se retira en douceur et s’abaissa pour boire à la plus belle des sources.

    La petite rousse était totalement épuisée. Elle avait rarement jouit avec une telle force. Fleur prononça une formule et le gode se retrouva avec deux extrémités en forme de gland. La jeune femme le tordit en U et introduisit une extrémité dans son beau coquillage. Elle s’allongea et prit Ginny sur elle.

« Je vois que tu fatigues ma jolie, mais on va finir en beauté. Ne t’inquiète pas, tu n’auras rien à faire, « il » s’en charge. »

En effet, alors que l’adolescente sentait indiscutablement les mains de la jeune française caresser tendrement son dos, l’extrémité du gode vint de lui-même caresser ses lèvres intimes avant de la pénétrer. Les filles eurent tout loisir de s’embrasser et de se caresser tandis que le membre factice ondulait dans leurs ventres. Fleur poussa un gémissement alors que la tendre adolescente avait repris l’un de ses seins en bouche. En sentant la liqueur de jouissance de sa partenaire se répandre sur leur cuisse, Ginny fut également prise par l’orgasme et s’écroula sur la douce poitrine de la jeune femme.

    Fleur prononça une autre formule et le gode se retira en douceur. Il reprit la forme de la baguette magique et se posa sagement sur la table de chevet. La jeune française tira la couverture sur leurs deux corps enlacés en faisant de son mieux pour ne pas faire bouger Ginny. Elle claqua des doigts et la bougie s’éteignit en un souffle. Tendrement blottie contre le corps doux et chaud de Fleur, l’adolescente tomba presque aussitôt d’un sommeil lourd. Elle ne fut réveillée que lorsque le soleil été déjà très haut. La porte s’ouvrit brusquement laissant apparaître Bill.

« Alors les filles ? Qu’est-ce que vous… ? »

Il s’arrêta net, regardant fixement Ginny. Cette dernière plongea presque entièrement sous les draps, laissant seulement sortir sa tête, pour couvrir sa nudité. Mais elle sentit le tee-shirt sur elle.

« Ginny ! Qu’est-ce que tu fais dans le lit ? On était d’accord pour que tu le laisse à Fleur juste cette nuit.
_ Calme-toi Bill, fit la voix de fleur, c’est moi qui lui aie dit de venir. On a eu une nuit difficile. »

L’adolescente se tourna vers Fleur, à nouveau vêtue de sa nuisette. Apparemment la jeune française avait eu la présence d’esprit de leur remettre leurs vêtements de nuit avant que le jour ne se lève.

    Rassurée, Ginny ressortit un peu de sous les draps, prenant néanmoins l’air affligé de quelqu’un qui a désobéi et qui s’est fait prendre. Fleur se leva en posant un baiser sur le front de l’adolescente.

« La pauvre a fait un cauchemar cette nuit. Tu sais ça arrive parfois quand on a trop mangé. Alors forcément un soir de fête, ça n’est pas étonnant. Gabrielle fait parfois des cauchemars. Je vais toujours la consoler ou alors elle dort avec moi. Elle est rassurée de sentir une présence, mon petit ange. Alors quand j’ai vu Ginny si effrayée cette nuit je lui aie dis de venir avec moi. Et elle s’est presque endormie tout de suite. Après tout elle sera bientôt comme ma sœur et je dois prendre soin d’elle. »

Tout en parlant, Fleur s’habillait et se coiffait. Lorsqu’elle eut terminé, Bill s’excusa auprès de Ginny et le couple descendit prendre le petit déjeuner. La petite rousse s’habilla également et descendit. Elle ne fut pas surprise de voir sa mère se jeter sur elle.

« Oh, tu as fait un cauchemar ma pauvre chérie. Viens ! Un bon thé va te remettre d’aplomb. En tout cas c’est très gentille à vous Fleur de l’avoir consolée. »

Elle fit un sourire à la jeune française, ce qui était aussi rare que cette dernière complimentant quelqu’un sur sa beauté.

« Décidément, il n’y a qu’à Noël qu’on voit des miracles chuchota doucement George à l’oreille de Ron.
_ Arrête de marmonner toi. Ah vous n’avez pas entendu ce qu’ils ont fait cette nuit ces deux-là. Ils ont tiré un feu d’artifices dans la chambre. Résultat, un lit en miette. Tout ce que vous avez gagné c’est de repartir pour votre boutique au plus vite. »

Les jumeaux marmonnèrent en regardant leur thé mais Fleur intervint.

« Vous savez, Mrs Weasley, si vous voulez, je peux rester encore une nuit avec Ginny. Bill peut prendre le lit de Lupin puisqu’il est reparti. C’est dommage de ne pas avoir ses enfants pour Noël quand c’est possible. Enfin si Ginny veut bien. »

Ginny acquiesça et lança un regard à Hermione, Harry et Ron qui voulait leur signifier qu’elle y était bien forcée. Pendant que Mrs Weasley remerciait Fleur non sans se demander pourquoi elle était soudain si serviable, Ginny se pencha sur sa tasse de thé en souriant.

« Allez, Bill ! Tu m’as promis une ballade aujourd’hui, Lança Fleur en se levant.
_ Ah oui ! Allons-y, le coin est magnifique avec toute cette neige. »

Ils prirent de gros manteaux et s’apprêtèrent à sortir lorsque Ginny s’exclama :

« Oh Bill ! Il y a un très joli étang pas loin. Si tu connais, tu devrais l’emmener, ça doit être très beau en ce moment. »

Bill la regarda, médusé, tandis que Fleur le poussait dehors en essayant à grandes peines de ne pas éclater de rire.
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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