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Dimanche 12 février 7 12 /02 /Fév 19:14
Une surprise dans les ténèbres

Une aventure sexuelle de Harry Potter en sixième année.

Avec : Hermione Granger, Ron Weasley, Lavande Brown et Parvati Patil.



   

    Hermione claqua furieusement la porte derrière elle. Elle s’avança d’un pas rageur dans la pièce, une salle de cours désaffectée pleine de poussière. Elle prit l’une des chaises entreposées contre le mur et s’assit, la tête dans les mains. Elle aurait voulu retenir les larmes de fureur et de dépit qui coulaient entre ses paumes. Mais elle en avait assez, plus qu’assez de Ron. Désormais il ne lui suffisait plus d’embrasser et de peloter Lavande en sa présence mais il se moquait ouvertement d’elle devant sa petite copine et Parvati.

    Elle se sentait si seule. Elle voyait bien que Harry faisait des efforts pour l’aider mais il n’avait jamais été très doué dans ce genre d’exercice et, bien qu’elle appréciait l’intention, cela lui était tout à fait inutile. Ginny quant à elle, bien plus douée pour affubler Ron des pires horreurs qui soit, traversait une mauvaise passe avec Dean et n’était pas souvent présente lorsque Hermione avait besoin d’elle.

    Elle se recroquevilla sur sa chaise, entourant ses genoux de ses bras, et laissa ses sanglots aller de plus belle, n’ayant plus la force de les retenir. Elle était bête. Si seulement elle avait eu le courage de déclarer ses sentiments à Ron avant que Lavande ne se jette sur lui. Après tout ce n’était qu’un garçon comme les autres. Il n’a pas perdu de temps à se demander pourquoi une fille aussi jolie voulait sortir avec lui et il a profité de l’occasion. Elle l’avait bien vu ce matin entre deux piliers en train de lui caresser les seins sous sa chemise. Mais s’il avait su qu’elle l’aimait ? L’aurait-il choisis ? Aurait-il risqué de briser leur amitié en sortant avec elle ? Ou aurait-il choisis de ne rien brusquer ?

    Hermione se secoua la tête. Quand elle était dans cet état, elle se laissait aller à penser à beaucoup de choses dont elle savait pertinemment qu’elle n’obtiendrait aucune réponse. Et puis à quoi cela lui servirait de savoir ce qu’aurait fait Ron s’il avait su qu’elle l’aimait puisqu’il était déjà avec Lavande et qu’ils s’entendaient si bien. Hermione décida de se ressaisir et sécha ses larmes avec un pan de sa robe. Elle remit la chaise en place et se dirigea vers la sortie, voulant retourner dans son dortoir pour ne pas croiser à nouveau Ron et Lavande et leurs mains baladeuses.

    Mais elle avait à peine avancé la main pour saisir la poignée de la porte qu’elle entendit des rires dans le couloir. Des rires qu’elle connaissait bien. C’était eux. Et ils s’approchaient. Hermione regarda frénétiquement autour d’elle et vit une armoire délabrée mais dont la porte tenait toujours. Elle se précipita vers elle et entra à l’intérieur. Elle referma la porte, laissant juste un interstice pour voir ce qui se passait, et pria pour que le couple n’entre pas. La classe désaffectée se trouvait sur le chemin de la salle commune des gryffondors et il n’était pas rare de croiser des élèves de cette maison dans le couloir. Mais, par une impression bizarre, Hermione savait qu’ils allaient entrer. Et s’ils le faisaient, elle savait également pour quelle raison.

    Elle entendit le grincement de la porte et deux rires étouffés se faufilèrent dans la salle. Elle entendit la voix de Ron prononcer doucement « Collaporta » ainsi que le bruit de succion annonçant que la porte était scellée. Elle entendit le son de leurs baisers s’approcher et leurs pas titubants d’être trop étroitement enlacés.

« Allons par-là ! »

Hermione vit la main de Lavande désigner le vieux bureau au bout de la salle ce qui la remplit de dépit. S’ils faisaient ça sur le bureau elle ne pourrait rien en manquer tant l’armoire était étroite. Et il était déjà suffisamment pénible de n’avoir qu’à les entendre. Mais, main dans la main, Ron et lavande entrèrent dans son champ de vision en gloussant.

« Ah oui ! S’exclama Ron. J’aimerai bien être prof parfois. Je pense que ça doit être sympa d’avoir toute une classe sous ses ordres.
_ Et bien pourquoi pas ? Fit Lavande, les yeux pétillants. Vous ne voudriez pas me donner une leçon particulière monsieur le professeur ? »

    Hermione se crut en plein cauchemar tandis que Ron acquiesçait avec un grand sourire. Il contourna le bureau et se laissa tomber dans le vieux fauteuil qui grinça sous son poids. Hermione ferma les yeux mais elle ne put s’empêcher de les rouvrir immédiatement lorsque Ron parla.

« Alors miss Brown ! On m’a raconté que vous aviez encore fait des bêtises. »

Il avait pris un air sérieux, la tête reposant sur ses mains, et détaillant Lavande devant lui avec insistance. La jeune fille avait pris un air de petite fille prise en faute, tournant la pointe de son pied d’un air naïf, les mains dans le dos, faisant ressortir sa poitrine, et la tête baissée, les yeux fixés sur la surface plane et poussiéreuse du bureau.

« Je ne sais pas de quoi vous parlez ! Répondit Lavande d’une petite voix.
_Allons, ne faites pas l’innocente. On vous a vu dans les toilettes.
_ Je… ne …
_ Qu’y faisiez-vous ? Dites-le !
_ Je… mais… rien voyons.
_ Ah oui ? Hé bien nous allons voir ça. Relevez votre robe miss Brown. »

Hermione, sous le choc, ne pouvait détacher ses yeux des jambes de Lavande qui se révélaient peu à peu jusqu’à son ventre.

« Enlevez également cette petite culotte miss Brown. »

Lavande retira son sous-vêtement sans dire un mot tandis que Ron prenait sa baguette magique. Il la mit entre les cuisses de la jeune fille, s’insérant entre les lèvres intimes et se mit à faire des va et viens énergiques. La tige de bois frottait le petit bouton d’amour et tout le seuil de son petit coquillage, la faisant gémir tandis que ses mains se crispaient sur sa robe relevée. Hermione ne voyait que la pointe de la baguette qui ressortait sous les fesses de la jeune fille mais elle sentit presque aussitôt une boule de chaleur intense dans son bas ventre.

« Alors miss Brown ? N’est-ce pas là ce que vous faisiez dans les toilettes ?
_ Si… si… oh oui… je l’avoue. Mais c’est si bon. »

Ron arrêta ses mouvements et retira sa baguette, faisant pousser un gémissement de dépit à Lavande.

« C’est une faute très grave miss Brown. Une faute qu’un professeur ne peut laisser passer. De plus, vous m’avez menti. Il va falloir que je vous donne une punition.
_ Oui monsieur. Répondit Lavande sans relâcher sa robe. Je n’ai pas été sage.
_ Commencez par retirer vos vêtements. Mais n’allez pas trop vite. Nous avons tout notre temps. »

Lavande commença à se déshabiller langoureusement. Ron la regardait tout en relevant sa propre robe. Le bureau empêchait Hermione voir ce qu’il faisait de sa main mais elle le savait déjà. Elle-même n’avait pu résister à passer ses doigts sur sa petite culotte et à caresser son intimité à travers l’étoffe tout en contemplant le corps de Lavande qui s’offrait peu à peu.

    Lorsqu’elle fut entièrement nue, Ron se leva, sa virilité fièrement dressée. Lavande avait un air gêné et cachait ses seins d’un bras et son sexe de l’autre.

« Ne faites pas votre ingénue, miss Brown. »

Ron écarta les bras de la jeune fille et caressa sa poitrine d’une main tandis que l’autre massait son bel abricot.

« Vous avez été une vilaine fille miss Brown. Mais maintenant il va falloir être gentille et obéissante.
_ Oui… monsieur…, haleta Lavande.
_ C’est pour votre bien miss Brown.
_ Oui… professeur… je sens… que c’est bien !
_ Penchez-vous sur le bureau que je vous enseigne mieux. »

Lavande posa son torse sur le bureau, écrasant sa belle poitrine. Sa tête arriva à hauteur du membre de Ron. Elle le prit en bouche d’un air timide et fit de petits va et viens, n’allant guère plus loin que le gland. Ron appuya alors fortement sur la tête de la jeune fille et lui imposa un rythme plus brutal, allant du gland à la garde.

« Comme ceci miss Brown. C’est comme ceci que vous retiendrez la leçon. »

    Hermione savait que Lavande aimait être quelque peu malmenée en matière de sexe. Elle ne se soucia donc pas de la réaction de Ron et prit un certain plaisir à voir la verge gonflée prendre la petite bouche sans ménagement. Elle introduisit même deux doigts dans son trésor intime en regardant le petit cul de la jeune fille, bien relevé dans cette position, frémir à chaque assaut. Hermione devait faire un véritable effort pour ne pas gémir du plaisir que lui procurait ses doigts. Elle vit Ron saisir à nouveau sa baguette. Il prononça une formule et elle s’allongea d’un bon mètre. Ron se servit de son nouvel instrument pour frapper les petites fesses rondes de Lavande qui en gémit de douleur. C’était la première fois qu’Hermione la voyait ainsi mais la jeune fille semblait apprécier d’être traitée de la sorte et un long filet de jus de plaisir coulait sur ses jambes tandis qu’elle frémissait sous chaque coup de baguette. En reprenant ses caresses de plus belle, Hermione pensa à quel point elle aurait aimé aller lécher le petit cul endolori.

    Ron relâcha son étreinte sur la tête de Lavande et se retira de sa bouche. Il rendit sa forme initiale à sa baguette et contourna le bureau pour se positionner derrière Lavande.

« Bien miss Brown. J’espère que vous êtes encore en forme, la punition ne fait que commencer. »

Lavande émit un petit couinement qui se voulait contraint mais qui ne parvenait pas à cacher son désir. Ron s’empara des petites fesses rougies par la baguette et les massa en laissant échapper un grognement de satisfaction. Puis il les écarta brusquement pour découvrir le petit anneau. Il posa son membre dur tout contre le puits secret et commença à entrer avec lenteur. Bonne comédienne, Lavande ne fut pas en reste et se tortilla sur le bureau en parlant d’une voix faussement contrariée.

« Non monsieur ! Pas par là ! C’est trop étroit, ça va me faire mal.
_ Miss Brown ! Laissez-moi vous éduquer comme il se doit et cessez de gigoter. »

Ron plaqua le corps de la jeune fille sur le bureau et pénétra le petit cul d’un grand coup, arrachant un cri de douleur véritable à sa partenaire. Il se mit à faire de vigoureux va et viens dans le petit anus tandis que Lavande haletait de plus belle.

    Dans son armoire, Hermione se mordait la lèvre pour ne pas se faire entendre. Voir Lavande dans cet état là l’avait toujours beaucoup excitée. Sans en être totalement consciente, sa main libre plongea dans sa poche pour en ressortir avec sa baguette magique. Elle souleva l’arrière de sa robe, non sans difficulté dans un lieu si étroit, et baissa sa petite culotte. Elle présenta immédiatement le manche de sa  baguette devant ses fesses et l’enfonça rudement dans son petit anneau. Sa respiration se fit encore lus forte tandis que sa baguette et ses doigts la soumettaient au doux supplice du plaisir.

    Ron avait ajouté ses deux pouces à son membre et prenait un malin plaisir à malmener la merveilleuse élasticité du petit orifice. Lavande poussait de petits cris de jouissance en essayant de prendre une voix suppliante de moins en moins convaincante au fil de leur étreinte bestiale.

« Non ! Monsieur… aaah… arrêtez… ooooh… ça… ça fait mal. »

A la surprise d’Hermione, Ron stoppa aussitôt et se retira vivement. En voyant le visage dépité de Lavande, Hermione comprit qu’elle avait peur que son partenaire l’ait prise trop au sérieux. Mais Ron s’assit sur le bureau et dit de sa voix toujours sérieuse :

« En effet miss Brown, la punition ne me semble pas assez explicite. Je fais tout le travail comme si c’était moi qui était en faute. A vous de devenir active. »

Les yeux de Lavande pétillèrent de joie quelques instants puis elle reprit son air contrit en se relevant et en posant ses lèvres sur le torse du jeune garçon. Elle descendit peu à peu la tête, guidé par l’une des mains de Ron dans ses cheveux tandis que l’autre lui flattait les fesses et faisait connaissance avec son doux coquillage. Elle entoura de ses lèvres le gland fébrile de désir tandis que des doigts s’insinuaient dans ses orifices intimes. Elle ferma les yeux et fit glisser le pieu de chair au fond de sa gorge. Elle sentit Ron s’allonger sur le bureau et ses mains relâcher leur pression. Elle se releva alors et passa ses jambes de part et d’autre du corps du jeune garçon. L’extrémité de la virilité se pressait contre son trésor intime et elle s’assit d’un seul coup sur les hanches de son amant. Ron s’empara de sa poitrine et les pinça légèrement, lui faisant comprendre ce qui l’attendait si elle n’était pas à la hauteur.

    Lavande se mit immédiatement à ruer de plus belle sur le sexe qu’elle sentait entrer et sortir de son ventre. Hermione commençait à avoir les larmes aux yeux de retenir son plaisir. Ses doigts s’agitaient dans son intimité brûlante sans pouvoir la satisfaire. Elle enviait plus que jamais Lavande qu’elle voyait en pleine extase à chaque fois qu’elle s’abaissait brutalement sur le membre dressé. Mais soudain Ron l’interrompit et poussa un grand cri en se déversant dans le ventre de la jeune fille. Lorsqu’elle sentit la douce chaleur du plaisir se répandre en elle, Lavande cria à son tour et s’effondra sur son amant.

    Ils restèrent là, liés l’un à l’autre, se dorlotant pendant qu’ils reprenaient leur souffle. Lavande lança enfin un sort de prévention sur son ventre, puis ils se rhabillèrent sans cesser de se peloter.

« Calme-toi petite gourmande ! Tu auras droit à une autre leçon ce soir. »

Ils sortirent de la salle en gloussant. Dès que le claquement de la porte eut retenti dans la classe, Hermione poussa la porte de l’armoire et s’affala sur le sol. Elle ne retint qu’à moitié le cri qu’elle poussa alors, tandis que sa main était inondée de son jus de plaisir. Elle resta là, contre la pierre froide, haletante. Mais elle sentait toujours la brûlure de son sexe. Ses doigts n’y suffiraient pas. Il lui semblait que sa poitrine allait exploser et ses jambes étaient ankylosées d’être restées si longtemps immobiles dans une position si inconfortable. Elle se rajusta rapidement et se dirigea d’un pas chancelant vers la salle commune de gryffondor avec la vague idée de rejoindre son dortoir où elle aurait tout le loisir de se calmer. Elle franchit le trou derrière le portrait de la grosse dame et monta péniblement les escaliers vers les chambres des filles. Elle entra dans son dortoir, sur le point de s’écrouler.

    Parvati était là, lisant sagement un livre sur son lit. Elle tourna la tête à l’arrivée de sa camarade.

« Ah ! Hermione ! Je t’attendais. »

Elle se leva et contourna un baldaquin pour s’approcher de son amie.

« Je voulais m’excuser pour tout à l’heure. Je… mais ? Qu’est-ce qui t’arrive ? »

Hermione fit un pas à l’intérieur de la chambre et trébucha. Parvati se précipita et la rattrapa. Elle l’emmena jusqu’à son lit et la fit s’allonger. Elle s’assit à côté d’elle.

« Alors ? Que s’est-il passé ? »

Hermione ne pouvait plus attendre. Elle attira Parvati à elle et l’embrassa avec passion. La jeune fille fut prise au dépourvu mais elle se ressaisit très vite et lui rendit son baiser. Elle sentait le corps de sa camarade frémir et n’eut pas besoin de plus d’explications.

« Je ne sais pas ce qui t’a mis dans un tel état ma jolie mais on va y remédier tout de suite. »

En l’embrassant à nouveau, Parvati retroussa la robe d’Hermione sur son ventre et abaissa la petite culotte. Elle entrouvrit les douces cuisses de sa camarade et se pencha sur son bas ventre. Sa langue explora l’entrée du trésor secret d’Hermione qui ne put s’empêcher de jouir immédiatement. Parvati but de longues gorgées de son jus de plaisir et continua son exploration plus en profondeur. Elle étirait les grandes lèvres de ses doigts, non sans s’attarder régulièrement sur le petit bouton d’amour.

    Hermione gémissait sous chaque caresse experte de son amie et sentit tout son corps s’emplir de félicité. Elle passa une main sous la robe de Parvati et rencontra son trésor intime qu’elle se mit à masser avec tendresse. Les deux jeunes filles gémissaient de concert sous l’impulsion de leurs doigts profondément ancrés dans l’une et l’autre. Parvati retira ses vêtements et déshabilla langoureusement Hermione, caressant et embrassant sa poitrine et son ventre dès qu’elle les eut mis à nu. Puis elle présenta son intimité ruisselante à la bouche d’Hermione qui s’en empara avec avidité tandis qu’elle se penchait également sur le doux coquillage de sa partenaire. Hermione écarta les petites fesses rondes de son amie et introduisit sa langue dans le petit puits secret découvert. Parvati préféra savourer le bel abricot juteux qui s’ouvrait pour elle mais elle glissa néanmoins un doigt dans le petit anneau de son amie. Hermione ne fut pas longue à jouir dès lors. Elle sentit son plaisir s’échapper en ruisseau d’entre ses cuisses et des lèvres se refermer sur son intimité pour n’en laisser échapper aucune goutte. Parvati se laissa alors submerger par la jouissance et Hermione se désaltéra à la plus belle des sources.



    Parvati se retourna et se glissa le long du corps de sa camarade. Elle prit Hermione, calmée, dans ses bras et lui caressa tendrement les cheveux.

« Alors ? Tu vas mieux maintenant ma belle ?
_ Oui ! Merci Parvati !
_ Qu’est-ce qui a bien pu t’arriver pour te mettre dans un état pareil ? »

Hermione lui raconta ce qui était arrivé dans la classe désaffectée. Elle s’échauffait tellement au cours de son récit que Parvati dû à nouveau faire appel à ses doigts agiles pour libérer son plaisir.

« Je vois, reprit Parvati, j’étais sûre que tu aimais Ron depuis longtemps.
_ Je ne sais plus quoi faire ! Ils ont l’air de si bien s’entendre. Et même si j’avais le courage de parler à Ron, je ne voudrais pas blesser Lavande. Même s’ils m’exaspèrent souvent en ce moment elle est toujours mon amie.
_ Il y a peut être un moyen que tu le vois seul à seul. Si tu prenais la place de Lavande ce soir ?
_ Je ne crois pas. Même si Ron n’était pas le dernier à sauter sur tout ce qui bouge auparavant, il ne trahira pas Lavande.
_ Oui, mais on peut s’arranger pour qu’il croit être avec elle. J’ai appris un sort qui permet de rendre une pièce très sombre qu’aucune lumière ne peut éclairer. On y voit à peine. On ne peut pas reconnaître les traits des gens. Si tu te coiffes correctement et que tu utilises le parfum de Lavande, je suis sûre qu’il ne fera pas la différence. »

Les yeux d’Hermione pétillèrent d’excitation dans la perspective de passer la soirée avec Ron.

« Mais comment faire pour que Lavande ne débarque pas tout à coup ?
_ J’en fais mon affaire ! Fit Parvati avec un regard coquin. Tu n’as aucun souci à te faire pour ça. Je te garantis qu’elle oubliera son rendez-vous. »

    Ses jambes redevenues légères, Hermione alla prendre une douche et passa les quelques heures qui restaient avant le rendez-vous à coiffer convenablement ses cheveux en pagaille pour qu’ils ressemblent à la coiffure de Lavande. Puis elle rejoignit Parvati qui avait trouvé le parfum de leur camarade. Elle eut à peine le temps d’en mettre un peu que Lavande entra dans le dortoir. Hermione se pencha sur sa valise pour qu’elle ne remarque pas sa coiffure inhabituelle. Lavande ouvrit son armoire et fouilla à l’intérieur à la recherche d’un bandeau tandis que Hermione se faufilait vers la porte et que Parvati s’approchait d’elle. Hermione avait franchi le seuil du dortoir mais ne put s’empêcher de regarder ce qu’allaient faire ses camarades avant de partir. Parvenue derrière sa proie, Parvati enserra la taille de Lavande et posa un baiser dans son cou. Celle-ci tourna la tête en lui souriant.

« Tu te sens d’humeur joyeuse ce soir Parvati ?
_ Oh oui ! Depuis combien de temps on est pas resté un peu seules toutes les deux ?
_ C’est vrai que ça fait longtemps. Mais ce soir je ne peux pas ma jolie. Mon petit Ron va m’attendre. »

Parvati la lâcha et lui tourna le dos d’un air boudeur.

« Tu n’as plus jamais de temps, sauf pour lui. Je sais que tu es amoureuse mais c’est comme si je n’existais plus. On s’entendait si bien avant. »

La jeune fille commença à pleurer. Lavande semblait gênée et incapable d’agir. Elle avança prudemment vers son amie et la prit dans les bras. Hermione vit Parvati lui sourire et lui faire un clin d’œil.

« Calme-toi ! Je suis désolée. Je te promets qu’on passera un peu de temps ensemble très bientôt. Même demain. Mais ce soir je dois partir. »

Sans dire un mot, Parvati enleva sa tête de l’épaule de Lavande et posa ses lèvres sur les siennes. Lavande le lui rendit avec joie, pensant qu’elle pourrait s’en aller juste après. Mais sans desserrer son étreinte ni séparer leurs lèvres, Parvati poussa sa camarade, dos contre la porte de l‘armoire. Dans le même temps, elle avait soulevé la robe de la jeune fille si habilement que lavande ne s’en aperçut que lorsqu’elle sentit des doigts caresser langoureusement son intimité à travers sa petite culotte.

« OoooH ! Non ! Pas maintenant Parvati. S’il te plaît. »

Mais Hermione voyait bien que Lavande ne faisait presque rien pour se défendre tandis que des mains agiles lui retirait le sous-vêtement et elle savait que Parvati avait déjà gagné la partie. Cette dernière s’agenouilla rapidement et passa sa langue sur la douce fente qui s’humidifiait. Lavande avait posé ses mains sur la tête de sa camarade mais ne savait apparemment plus si elle devait la repousser ou l‘encourager.

« Oh, mon ange, c’est si bon ! Mais arrête, je t’en prie. Je dois vraiment y aller. Je te jure qu’on se verra demain.
_ Mais moi j’ai envie maintenant. Et puis rien ne dit que tu ne pourras pas aller voir Ron après. S’il t’aime vraiment, ce ne sont pas quelques minutes de retard qui le décourageront. »

Vaincue par les paroles et la langue agile de Parvati, Lavande s’agenouilla à son tour et embrassa son amie passionnément.

    Hermione referma la porte en silence et s’en fut vers la classe désaffectée, un sourire aux lèvres. Elle fit bien attention que Ron ne se trouvait pas dans la salle avant d’entrer puis elle jeta le sort que Parvati lui avait appris. La pièce s’assombrit aussitôt. Elle ne voyait plus que les quelques tables et chaises qui se trouvaient à proximité. Ils lui semblaient comme à peine esquissés au crayon et leurs contours finissaient par se perdre dans les ombres. Elle entendit alors la porte s’ouvrir et un rectangle de lumière apparut sur le mur. Une grande silhouette se dessina et entra doucement.

« Lavande ? Fit la voix de Ron.
_ Je suis là ! Répondit Hermione en espérant que son imitation ferait illusion. »

Ron fit quelques pas et prononça une formule.

« Lumos »

Un point de lumière apparut mais rien de ce qui l’entourait n’était éclairé.

« C’est bizarre. Fit Ron.
_ C’était comme ça quand je suis arrivé. Répondit Hermione tout en s’avançant vers lui. Mais ce n’est pas grave. »

Elle arriva à sa hauteur et l’embrassa aussitôt afin qu’il ne se pose pas top de question.

Son stratagème fonctionna au-delà de ses espérances. Elle avait à peine posé les lèvres sur les siennes qu’il l’enlaça et la serra tout contre lui. Hermione sentit l’excitation de Ron devenir de plus en plus dur contre son ventre. Ses grandes mains la caressaient déjà aux endroits les plus sensibles. Elle se rendit compte qu’elle commençait à gémir alors que Ron avait quitté ses lèvres pour embrasser son cou. Leurs mains retirèrent leurs robes en prenant bien soin de glisser sur leurs peaux découvertes. Hermione prit le pieu de chair fermement dressé et le masturba avec vigueur. Ron s’empara de ses petites fesses et laissa un doigt s’aventurer dans le puits secret. Puis il la souleva ainsi et la fit redescendre subitement sur son membre viril. Hermione poussa un petit cri en se sentant pénétrée si subitement. Soutenue par les mains de Ron sous ses fesses, elle se mit à ruer sur le sexe dur.

Hermione aimait un peu plus de douceur dans ses étreintes. Mais elle s’était attendue à ce que Ron soit rude avec elle. Après tout il voulait faire plaisir à celle qu’il croyait être Lavande qui, elle, raffolait de sexualité plus sauvage. Hermione en prit son parti et s’abattit encore plus brutalement sur la verge gonflée.

« Ooooh, gémit Ron, tu m’as l’air en forme ce soir ma puce. »

Elle sentit deux doigts supplémentaires se joindre à celui qui occupait son petit anus tandis que des dents mordillaient ses tétons. Elle pinça les lèvres, essayant de retenir son plaisir encore un peu, mais elle éprouvait tant de sensations nouvelles à être ainsi malmenée qu’elle poussa un râle de jouissance en libérant une rivière de jus de plaisir.

    Ron la maintint dans ses bras pendant quelques minutes, toujours profondément fiché en elle.

« Eh bien, mon amour, tu démarres au quart de tour ce soir. Mais tu es une vilaine fille d’avoir jouit sans moi. Il va falloir que je rattrape mon retard. »

Ron la déposa sur le bureau qu’il avait auparavant partagé avec Lavande. Il alla prendre sa baguette magique et prononça une formule. Des cordes jaillirent alors et s’enroulèrent autour des poignées et des chevilles d’Hermione.

« C’est une petite variante du sort d’emprisonnement. Il est bien plus intéressant comme ça. Je crois que même Harry ne connaît pas encore ce coup là. »

Ron posa sa baguette et parcourut le corps de celle qu’il croyait être sa petite amie. Hermione frissonna de satisfaction. Elle se sentait étrangement calme. Elle était totalement à la merci de Ron mais, par la même occasion, elle n’avait plus à se soucier de la suite des événements. Il n‘avait plus qu’à réaliser tout ce qu’il voulait lui faire. Il présenta son membre fébrile de désir devant la petite bouche d’Hermione qui ouvrit docilement les lèvres. Elle le laissa aller et venir à son rythme tandis que ses mains s’attardaient sur sa poitrine.

« Tiens ? J’aurai juré que tes seins étaient un peu plus gros. Ou c’est parce que j’ai du mal à les voir peut être ? »

Hermione s’empressa de jouer plus habilement de sa langue et d’augmenter au mieux sa succion sur la verge. Ron poussa des gémissements, indiquant qu’il avait oublié toute idée de mesurer la poitrine sur laquelle se crispaient ses mains. Il ne fut pas long à éjaculer dans la petite gorge de son amante qui n’en perdit rien.

    Ron se retira des lèvres accueillantes. Hermione sentit un morceau de tissu se plaquer sur sa bouche tandis que Ron le nouait derrière sa tête.

« Je n’ai pas encore découvert le moyen de faire apparaître ce truc en même temps que les cordes. Mais je finirai par trouver. »

Hermione ne put que pousser des gémissements étouffés par le bâillon tandis que la langue de Ron descendait de sa nuque sur son dos et elle ne fut pas surprise de la sentir s’arrêter sur son puits secret et se mettre à l’explorer en profondeur. Ron prit tout son temps pour savourer le petit anneau avant de positionner sa partenaire à genoux sur le bureau, son torse s’écrasant contre la surface poussiéreuse, bougeant chaque membre comme il l’aurait fait d’une poupée articulée. Il s’agenouilla derrière elle et écarta les petites fesses. Son membre se colla contre le petit anus dont il força le passage d’un coup brusque. Hermione poussa un cri de douleur étouffé, songeant à quel point Lavande aurait adoré cela. Ron ne se fit pas plus tendre lorsqu’il s’activa de plus en plus rapidement. Elle sentait le bas de son dos s’embraser sans toutefois que cela ne lui devienne insupportable.

    La chaleur brûlante s’empara bientôt de son intimité et son plaisir arriva aussi violemment que l’un des coups de boutoir de son amant. Ron sentit le corps de sa partenaire frémir sous la jouissance mais ne s’arrêta pas pour autant.

« Décidément, tu es à fleur de peau ce soir mon cœur. Tu m’as encore devancé. Mais je sens que j’arrive aussi. Et après je t’ai réservé une petite surprise pour finir en beauté. »

Ron grogna bientôt tandis qu’il se répandait dans le petit cul qu’il croyait être celui de son amoureuse. Il se dégagea aussitôt pour s’allonger sur le dos. Il prit Hermione sur lui et son membre s’engouffra immédiatement dans le petit ventre encore tout chaud. Il introduisit sans attendre deux doigts dans le petit anus. Mais tout en remuant ses hanches sur la verge gonflée, Hermione sentit un troisième doigt les rejoindre, puis un quatrième. Comprenant alors où il voulait en venir et comprenant également que Lavande ne s’y serait soustrait pour rien au monde, Elle creusa les reins du mieux qu’elle le pouvait pour faciliter l’accès à son puits secret. Ron finit alors de faire pénétrer toute sa main d’un seul coup, arrachant un cri de douleur à Hermione que le bâillon ne put contenir. Elle sentit une cascade de sa liqueur d’amour s’écouler de son intimité. La douleur et la jouissance se mêlaient à chaque fois qu’elle donnait un coup de rein. Il lui aurait été impossible de compter ses orgasmes qui arrivaient les uns derrière les autres.

    Elle était en nage, haletante et quasiment à bout de force lorsque Ron éjacula enfin dans son ventre. Il retira sa main du passage étroit en souriant. Hermione s’effondra sur lui, comme si l’on venait de retirer un crochet auquel elle était suspendue. Ron leva l’enchantement et retira le bâillon. Il la prit dans ses bras et la couvrit de baisers tandis qu’elle reprenait son souffle. Ils restèrent longtemps enlacés sur le bureau. Hermine ne se releva que lorsque Ron se fut endormi. Elle prit sa baguette et se lança un sort de prévention. Elle voulut retourner se pelotonner contre Ron mais elle entendit des pas raisonner dans le couloir. Il était très tard et l’on pouvait entendre le moindre promeneur nocturne de loin. Hermione savait qui approchait. Elle s’empara rapidement de ses vêtements et alla se mettre dans un coin particulièrement sombre. Elle vit la porte s’ouvrir et Lavande apparaître dans le couloir faiblement éclairé. Elle s’avança à tâtons.

« Ron ? Tu es là ? »

Lavande avança jusqu’au bureau où elle vit une silhouette allongée. Elle la toucha timidement et reconnut son petit ami.

« Ron, je suis désolée. Je ne sais pas comment j’ai pu oublier l’heure de notre rendez-vous. »

Hermione sourit, sachant parfaitement ce qu’il en était. Lavande se pencha un peu plus sur le bureau et comprit que son amant était endormit. Elle se déshabilla alors et s’allongea tout contre lui. Hermione quant à elle se rhabilla en silence et se dirigea vers la porte. Mais elle ne put la franchir que lorsqu’un faible souffle lui indiqua que Lavande avait également succombée au sommeil.

    Elle rentra au dortoir d’un pas traînant, totalement vidée par l’expérience qu’elle avait vécue. Elle monta difficilement l’escalier et poussa la porte de la chambre dans un soupir de soulagement. Elle vit Parvati, à moitié endormie relever la tête alors qu’elle se rapprochait. Elle était nue dans son lit, et se redressa, faisant tomber la couverture qui recouvrait sa poitrine exquise. Hermione s’assit à côté d’elle.

« Te voilà enfin ! Je t’ai attendue ! Alors ? Comment ça s’est passé ? »

Hermione lui raconta toute sa soirée tandis qu’elle se préparait à aller se coucher. Parvati lui fit également les confidences de ses aventures avec Lavande. Hermione la rejoint dans son lit.

« Encore merci Parvati. Sans toi ça n’aurait pas été possible.
_ A ton service ma jolie. »

Les deux jeunes filles s’enlacèrent tendrement et s’endormirent paisiblement épuisées mais heureuses de leur soirée.
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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