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hp367Bienvenue dans le monde secret d'Harry Potter

 

Ce blog est dédié aux histoires érotiques, ou lemons, sur le monde d'Harry Potter. Les personnages et l'univers général appartiennent à J.K. Rowling. Seules les apports des auteurs sont à apporter à leurs crédits.

 

Ce blog n'a aucune vocation pécuniaire, il s'agit de laisser libre cours à l'imagination des auteurs et au respect de toutes les formes de sexualités. Tout le monde peut participer au développement du blog en envoyant une histoire à poudlardsecret@laposte.net.

 

Les commentaires dénigrant ou insultant seront supprimer sans sommation.

 

Merci et bonne lecture.

 

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Mardi 15 novembre 2 15 /11 /Nov 19:26
Baignade particulière dans le lac

Une aventure sexuelle de Harry Potter en Sixième année



Avec : Harry Potter, Ginny Weasley et Luna Lovegood.




    Le temps était magnifique alors que juin devenait très proche. Nombre d’élèves se seraient volontiers allongés dans les pelouses bien vertes du parc de Poudlard pour réviser les examens qui arrivaient à grands pas. Mais aujourd’hui avait lieu le dernier match de Quidditch de la saison, Gryffondor contre Serdaigle.

    Harry ne partageait pas l’allégresse générale de ses camarades pour la finale étant donné qu’une retenue avec Rogue l’empêchait d’y participer. Ginny Weasley, son amour secret, l’avait remplacé au poste d’attrapeur. Il lui semblait plus cruel encore de ne pas pouvoir discuter avec elle dans les vestiaires ou simplement de la regarder sans rien dire.

    La retenue s’était achevée et Harry eut une belle surprise en revenant dans la salle commune de Gryffondor. L’équipe avait remporté le match et avait gagné la coupe de Quidditch in extremis. Ginny lui avait sauté au cou et Harry, dans le bonheur de l’instant, l’embrassa avec passion. Revenu du choc, les deux tourtereaux s’étaient décidés à se balader autour du lac pour éviter les regards interloqués de leurs camarades.

    Ils sortirent dans le parc alors que tous les autres étaient dans la grande salle pour le déjeuner. Ils avançaient doucement, se tenant tous deux par la taille tandis que Ginny posait de petits baisers dans le cou de Harry. Le lac était grand et il leur faudrait sûrement tout le début d’après-midi pour en faire le tour.

    Ils arrivèrent dans une petite crique bordée d’arbres qui la cachait à la vue de quiconque se trouvait au château et ses environs. Ginny se positionna vivement devant Harry et l’embrassa avec fougue.

« Depuis le temps que j’attendais ça, dit-il lorsqu’elle desserra son étreinte, tu ne peux pas imaginer.
_ Je crois que je peux mieux l’imaginer que toi. Je te rappelle que je t’aime depuis ma première année ici. Et qu’il t’en a fallut cinq pour t’en rendre compte.
_ Oui, je sais. Je ne comprends pas comment j’ai pu laisser passer tant de temps sans m’en apercevoir.
_ On a beaucoup de temps à rattraper. Alors maintenant tais-toi. »

Ginny posa à nouveau ses lèvres sur celles de Harry et se serra encore plus contre lui. Il descendit une main sur les longs cheveux d’un roux flamboyant qui s’arrêtaient aux hanches de la jeune fille mais continua son chemin jusqu’au petit cul rebondi. Il la sentit frémir et la regarda droit dans les yeux.

« Tu sais, si tu ne veux pas…
_ Tu plaisantes ? Répondit Ginny. Depuis le temps que j’ai envie de toi. »

Sans dire un mot de plus, elle lui prit la main et l’entraîna au pied d’un grand arbre aux racines noueuses. Elle fit allonger Harry et se coucha sur lui pour l’embrasser. Elle descendit une main sur la bosse qui déformait sa robe de sorcier et se mit à la frictionner. Harry n’était pas en reste et caressait avec avidité les fesses et les seins de sa compagne.

    Ginny se redressa, s’asseyant confortablement sur la bosse et se mit à déboutonner sa robe dont le haut tomba sur ses hanches fines. Elle enleva rapidement son soutien gorge et offrit sa magnifique poitrine aux yeux de son amant.

« Oh, Harry ! S’il te plaît ! Suce-moi les seins. »

Harry ne se fit pas prier et pris les deux monts de vénus à pleine main avant d’y laisser courir sa langue. Ginny s’empara des cheveux en broussaille de son amant pour plaquer la bouche sur sa poitrine. Elle remuait langoureusement des hanches sur le sexe viril qu’elle sentait grandir encore à chaque mouvement contre son pubis enflammé.

Elle interrompit Harry dans sa délectation et se leva. Elle effectua une légère danse au-dessus de lui, ondulant les hanches avec lenteur tout en retirant sa robe et tout ce qu’elle portait. Harry avança ses mains le long des jambes fines. Il s’attarda sur la douceur des cuisses avant de faire pénétrer ses doigts sous la petite culotte, l’écartant un peu pour libérer l’intimité de Ginny. Elle remuait toujours son petit abricot si appétissant sous son nez. N’y tenant plus, il s’agrippa aux petites fesses rondes et la tira à lui pour plaquer sa bouche sur le sexe trempé. La jeune fille continuait sa danse tandis que la langue de Harry l’explorait en profondeur et qu’un de ses doigts s’attardait sur son puits secret. Il pénétra en elle et constata qu’elle était particulièrement serrée de ce côté-ci. Ginny semblait toutefois l’encourager à continuer dans cette voie et accentua ses mouvements de hanches.

Une pierre roula sur le chemin et les deux amoureux s’arrêtèrent net, tendant l’oreille. Des bruits de pas approchaient lentement. Ginny se leva en hâte et cacha ses seins de ses bras en jetant un regard autour d’elle à la recherche d’une quelconque cachette. Mais elle n’eut pas le temps de faire le moindre pas vers un bosquet ou un tronc qu’une jeune fille apparut et stoppa. Harry reconnut Luna Lovegood dont le regard rêveur les détailla lentement, lui allongé de tout son long et Ginny debout, quasiment nue. Elle ne semblait ni surprise, ni gênée de les trouver ainsi et leur adressa un sourire.

« Bonjour ! Belle journée non ? Tu allais te baigner Ginny ?
_ Oui je pense que l’eau doit être excellente, répondit Ginny avec conviction tout en retirant les bras de sa poitrine pour paraître plus naturelle et que Harry essayait de cacher nonchalamment la bosse sous sa robe.
_ Je peux venir avec toi ?
_ Evidemment. »

Ginny retira sa petite culotte révélant une toison rousse tandis que Luna enlevait sa robe. Harry avait toujours pensé que Luna était jolie mais qu’elle ne savait pas se mettre en valeur, ou plutôt qu’elle s’en fichait éperdument. Mais tandis qu’il la voyait se dévêtir, il constata qu’elle était d’une beauté époustouflante. Même Cho Chang et Angelina Jonhson, les deux plus belles filles qu’il ait jamais connu à Poudlard, ne lui avait fait autant d’effet. Seule Fleur Delacour aurait pu tenir la comparaison. Luna continuait de discuter calmement tout en retirant ses sous-vêtements et chassant ses cheveux blonds de son visage.

« C’était un très beau match ce matin Ginny. Je suis déçue que Serdaigle ait perdu bien sûr, mais tu as été exceptionnelle.
_ Merci. C’est dommage que tu ne l’aie pas commenté cette fois. Ton remplaçant ne t’arrive pas à la cheville.
_ C’est gentil de dire ça. Mais de toute façon je n’aurai pas eu envie de le faire puisque Harry ne jouait pas. C’était moins drôle. »

Harry, perdu dans la contemplation des deux superbes corps qui s’offraient à ses yeux, fut soudain ramené à la réalité par la franchise aussi incisive que gênante de Luna. Comme si elle n’avait rien dit de vraiment important, Luna, complètement nue s’approcha du bord du lac puis se tourna vers eux.

« C’est vrai que vous sortez ensemble vous deux ? »

Harry et Ginny furent totalement pris au dépourvu. Ginny se ressaisit très vite.

« Oui c’est vrai. Mais qui t’a dit ça ?
_ J’ai croisé des filles de Gryffondor en descendant. Elles avaient l’air furieuses. Elles disaient qu’elles ne savaient pas ce que Harry te trouvait et qu’elles allaient te lancer un sort de laideur pour qu’il s’en rende compte. Alors je les toutes stupéfixées et cachées dans un passage secret. Je les libérerai après ma promenade. »

Ginny éclata de rire et posa un baiser sur la joue de Luna. Puis elle se jeta dans les eaux du lac en poussant un cri de joie. Luna la rejoignit en entrant avec lenteur. Harry se leva et resta debout sur la berge en regardant avec ravissement les filles nager. Il avait du mal à garder les yeux sur l’une ou sur l’autre. Elles firent une pause à un endroit où l’eau leur arrivait aux hanches, laissant apparaître les naissances de leurs fesses et de leurs pubis.

« Elle est encore un peu fraîche, fit Ginny frissonnante.
_ Attends, répondit Luna, viens par-là. »

Luna attira Ginny à elle et l’entoura de ses bras pour la réchauffer. Harry crut entendre un léger craquement de son pantalon tandis qu’il regardait, ébahi, les poitrines des jeunes filles se presser l’une contre l’autre et leurs ventres se coller. Mais ce fut comme s’il venait d’être frapper par la foudre lorsque leurs lèvres se rencontrèrent et que leurs langues se mirent à danser avec douceur. Harry sentit son sexe lui faire mal tandis que Ginny posait la tête sur l’épaule de Luna en le regardant d’un air malicieux.

« Luna et moi sommes de très grandes amies Harry. On partage beaucoup de choses ensemble. »

Harry n’eut pas besoin de se faire répéter l’allusion deux fois. Il retira fébrilement sa robe et ses vêtements. Il entra dans l’eau fraîche qui ne calma pas ses ardeurs pour autant et s’avança vers le couple enlacé sans se soucier de son membre trépidant. Luna le regardait arriver de ses habituels yeux rêveurs avec un petit sourire. Lorsqu’il fut arrivé à leur hauteur, le sexe fièrement dressé juste au-dessus de la surface de l’eau, Harry constata que Luna avait déjà une main entre les cuisses de sa compagne et que ses doigts allaient et venaient dans le petit abricot roux. Ginny rosissait sous le plaisir mais elle s’écarta néanmoins de Luna pour aller coller son corps humide contre celui de Harry et l’embrasser avec passion en écrasant le pieu de chair contre son ventre. Harry fit doucement glisser son membre contre la peau tendre et fraîche de la jeune fille. Il sentit Luna se serrer dans le dos de Ginny tandis que quatre mains se baladaient sur ses fesses. Harry ne fut pas en reste et caressait le parfait petit cul de Luna d’une main. Avec l’autre, il s’était difficilement frayé un passage entre les deux filles pour que son doigt pénètre à nouveau l’anus très serré de Ginny. Au passage, le dos de sa main frottait contre le petit bouton d’amour de Luna.

Harry sentit venir le plaisir. Il tira sur les fesses de Luna pour que Ginny se plaque un peu plus contre lui et son dard coulissant entre leurs corps. Ils étaient si serrés que Harry ne vit pas sa semence jaillir et se répandre sur leur ventre. La petite rousse s’écarta en souriant et pris le membre gluant dans sa main. Elle masturba tendrement Harry tandis que Luna se penchait sur elle et massait sa poitrine en nettoyant les traces de sperme autour du nombril avec sa langue. La jeune Serdaigle semblait apprécier le nectar de jouissance et elle nettoya le ventre de Harry avec le même plaisir. Ginny masturbait toujours son petit ami. Elle posa une main sur la tête de Luna et la fit descendre jusqu’à ce que les lèvres de la jeune blonde se posent sur le gland luisant. Luna le prit immédiatement en bouche et se mit à sucer Harry au rythme que lui suggérait Ginny.

Le jeune garçon, quant à lui, avait positionné sa deuxième main sur le petit coquillage roux et masturbait son amoureuse par ses deux orifices intimes tandis que sa langue parcourait sa magnifique poitrine. Il sentit alors les doigts de Luna s’emparer de ses fesses et s’immiscer jusqu’à son puits secret. La jeune blonde y plongea deux doigts qu’elle remua avec lenteur, au même rythme que ses lèvres sur la queue tendue. Ginny retira les doigts de son amant de ses orifices et alla s‘accroupir derrière lui. Harry sentit la langue de la petite rousse passer lentement d’une fesse à l’autre puis se joindre avec passion aux doigts de Luna. Cette dernière sentit que le jeune garçon était au bord de la jouissance et elle stoppa soudain ses mouvements de va et viens. Elle prit les mains de Harry et les posa sur ses cheveux pour lui faire comprendre qu’il devait décider de son propre rythme. Il ne se fit pas prier et fit aller la tête docile avec lenteur comme si la jeune fille ne la contrôlait plus du tout. Il aperçut les mains de Ginny caresser la magnifique poitrine de la jeune blonde et l’une d’elle s’éleva soudain pour attraper les joues. La petite rousse activa le mouvement de la tête de Luna sur la verge frémissante tandis que sa langue s’amusait avec plus de vigueur dans l’anus. Harry ne put tenir la cadence et se ficha d’un coup jusqu’à la garde dans la bouche de la jeune blonde où il éjacula longuement. Apparemment rompue à ce genre de chose, Luna ne fit pas le moindre mouvement de protestation et avala la délicieuse liqueur avec ravissement.



Ginny attira sa camarade entre les jambes de Harry et, tout en continuant de lui caresser la poitrine, elle l’embrassa fougueusement. Comme si elles s’étaient entendues d’avances, les jeunes filles enlacées poussèrent sur le fond et flottèrent doucement ensemble jusqu’à ce que les épaules de Luna touchent le bord. Ses seins mouillés jaillissaient de la surface comme deux douces collines après la pluie et l’eau entourait peu à peu son ventre pour ne plus laisser apparaître que sa délicieuse petite toison dorée. Ginny s’était agenouillée au-dessus de sa tête et offrait son bel abricot flamboyant à la jeune Serdaigle qui le savoura sans hésiter. Harry s’approcha d’elle alors que la petite rousse frémissait sous les assauts experts et gourmands de sa camarade. Il s’agenouilla à la hauteur du ventre de Luna et lui caressa les seins tendrement. Mais malgré l’intense beauté de la jeune blonde, Harry ne parvenait pas à détacher ses yeux du petit cul qui se trémoussait de plaisir devant lui. Le petit anneau si serré qui semblait danser était l’invitation la plus scandaleuse et la plus excitante qu’il ait jamais vu.

Harry se rapprocha et prit Ginny par les hanches. Il passa son gland entre les fesses de son amoureuse qui se pencha en avant, posant ses mains au sol, pour l’inviter à continuer. Rassuré par la réaction de la jeune fille, Harry posa l’extrémité de son sexe sur le puits secret et appuya avec force pour le faire entrer. Ginny poussa un cri aigu puis creusa les reins pour lui faciliter la tâche mais il ne parvenait à la pénétrer que très lentement. Après quelques efforts, il parvint à se ficher entièrement en elle et se mit à coulisser avec ardeur. Il eut peur de lui faire mal mais la jeune rousse ne cessait de l’encourager à aller encore plus fort entre deux gémissements de plaisir. Luna se prêta également au jeu en faisant pression sur ses fesses. Harry sentait son sexe si serré qu’il craignait de voir Ginny se briser. En ce moment elle lui semblait si fragile alors qu’il tenait sa taille si fine entre ses mains. Bien qu’il allait toujours en elle avec la vigueur qu’elle lui avait demandé, il fit lentement glisser ses mains le long de son ventre pour aller caresser avec tendresse sa jolie poitrine. La jeune rousse attrapa les mains de son amant pour les garder fermement contre ses seins et se mit à ruer sur le membre viril avec encore plus de force. Luna dut s’accrocher aux cuisses de Ginny pour garder le rythme avec sa langue. Harry sentit tout son bas ventre devenir ardent tandis que son amoureuse hurlait son plaisir sans se soucier que quelqu’un puisse les entendre. Puis elle s’affaissa une dernière fois sur tout le long de la verge et poussa un cri aigu tandis qu’elle emplissait la bouche de Luna de sa liqueur de jouissance. Harry constata qu’elle appréciait autant le plaisir des filles que celui des garçons et alors qu’il avait commencer à se répandre dans le petit cul de Ginny, il se retira vivement et donna ses derniers jets à Luna pour qu’elle goûte un fameux mélange.

La jeune rousse semblait épuisée mais ravie. Elle se retourna pour embrasser fougueusement Harry avec un sourire puis elle s’allongea sur le dos à côté de Luna qui se mit immédiatement sur elle pour lui faire partager le goût de leurs deux semences emmêlées. Harry n’eut pas besoin d’autre stimulation que de voir à nouveau les deux jeunes filles enlacées se caresser et s’embrasser. Il s’empara du joli petit cul de Luna et pressa son pieu contre son bel abricot doré. Sans autre préambule, la jeune fille donna un grand coup de rein et s’empala entièrement sur le membre viril. Harry n’hésita pas à donner de vigoureux coup de rein tout en faisant aller et venir son pouce dans le petit anus qui lui faisait face. Luna pousser des gémissements de plaisirs étouffés par la poitrine de Ginny qu’elle léchait, embrassait, massait et suçait avec entrain. La jeune rousse avait une vue parfaite de son petit ami pénétrant les orifices de sa magnifique camarade dont elle caressait le dos et les longs cheveux blonds. Luna descendit une main et introduisit plusieurs doigts dans l’intimité de Ginny qu’elle remua au même rythme que le sexe de Harry dans son propre ventre. Ce dernier fit doucement entrer son deuxième pouce dans le puits secret de la jeune serdaigle. Luna se cabra alors en poussant un cri aigu et Harry sentit son sexe être inondé de liqueur de plaisir. Ginny suivit presque immédiatement son amie et jouit avec force sur les doigts de la jeune blonde qui s’écroula sur elle. Luna attrapa le sexe de Harry et l’invita à se rapprocher. Il se positionna alors devant les visages des filles dont les langues se délectèrent du membre tendu. Elles s’appliquèrent à ne laisser aucun morceau de chair trop longtemps délaissé. Lorsqu’il se sentit à l’extrême bord du plaisir, Harry retira sa queue des bouches gourmandes et éjacula sur la poitrine de Ginny. La jeune rousse resserra vivement ses seins qui gardèrent la précieuse semence comme un écrin. Luna, aux anges, se mit à boire le nectar qu’elle savoura tout autant que les deux globes de chair qui le contenait et sur lesquels elle laissa courir sa langue et ses lèvres bien après que toute trace de sperme ait disparu.

Elle se leva ensuite en laissant Ginny allongée et offerte. Harry prit immédiatement sa place et embrassa tendrement son amoureuse tandis que sa verge s’écrasait contre le pubis de la jeune fille. Elle entoura son amant de ses jambes et de ses bras et l’encouragea à la pénétrer dans un murmure sensuel. Harry lui obéit aussitôt et entra en elle d’un vigoureux coup de rein, la faisant gémir de plaisir. A peine avait-il fait quelques mouvements de va et viens qu’il sentit une langue se posait sur les deux sexes joint. Luna se régalait de leurs intimités mais elle préféra laisser les amoureux seuls et Harry sentit ses mains glisser le long de ses jambes tandis qu’elle allait vers plus de profondeur. Ginny, les yeux fermés, savourait les doux assauts de son amant. Elle resserra son étreinte autour du corps du jeune garçon et l’embrassait à l’aveuglette dans le cou. Avec agilité, Harry s’agenouilla, releva le corps de Ginny vers lui et se leva en la tenant enlacée dans ses bras. La jeune rousse montait et descendait par la force de ses bras autour du cou de son amant et par celle de ses jambes autour de sa taille. Harry debout, la soutenait par les fesses et donnait quelques légers coups de rein. Soudain, elle s’abattit durement sur le membre viril et poussa un long cri de jouissance en serrant encore plus les paupières. Harry se répandit alors dans son ventre et chancela sur ses jambes.

Il tomba à la renverse, entraînant Ginny et s’attendit à être amorti par l’eau. Mais son dos rencontra quelque chose de solide et froid et il poussa un cri de douleur. Il se retourna et vit juste en face de lui un être de l’eau qui le regardait de ses yeux globuleux. Il se recula, surpris, et eut alors un vrai choc en apercevant Luna au prise avec deux autres créatures grisâtres qui l’avaient prise en sandwich et l’empêcher de crier avec leurs mains palmées. Il entendit un cri derrière lui et fit volte face pour voir trois sirènes qui s’étaient aventurées dans des eaux moins profondes pour attraper Ginny. Il ne put même pas amorcé le moindre mouvement pour lui porter secours quand d’autres mains d’un gris bleuté le saisir à son tour et le tirèrent en arrière.

Harry faisait face à une sirène femelle tandis qu’un autre le tenait par derrière et était sans aucun doute un mâle s’il en jugeait par la chose longue et dure mais terriblement froide qu’il sentait dans son dos. La femelle avait une peau un peu plus bleue que celle qu’il avait déjà vue auparavant et il en conclut qu’elle devait être encore jeune. Un regard général lui montra que tous leurs assaillants n’étaient pas très âgés. Il sentit alors la poitrine de la sirène s’écraser contre son ventre. Elle lui sembla fraîche, à peine plus chaude que les écailles de sa queue contre ses jambes. La langue qu’elle passa sur sa poitrine était par contre, d’un froid glacial et il en trembla des pieds à la tête en la sentant se déplacer lentement vers le bas de son corps. Il essaya de se débattre, non pas que l’expérience ne l’ait pas tenté dans d’autres mesures, mais surtout parce qu’il devait aller libérer les filles dont le silence ne lui disait rien qui vaille. Ce fut peine perdue car les sirènes étaient bien plus fortes que les humains de par leur vie sous l’eau et il s’avoua vaincu en sentant les lèvres froides mais douces se refermer sur son membre.

Luna n’avait plus pied et était totalement à la merci de ses partenaires. Deux sirènes mâles l’avaient entreprise, l’un dans son puits secret et l’autre dan son abricot doré, et une femelle goûtait avec ravissement à sa poitrine. Luna s’était d’abord sentit inquiète d’avoir été tirée en arrière par des mains gelées, dont l’une sur sa bouche pour l’empêcher de crier, alors qu’elle dégustait les sexes joints de Harry et Ginny, mais finalement elle ne trouvait pas sa situation désagréable et avait même commencé à masser les seins de la jeune femelle qu’elle avait encore petits. Les mâles s’arrêtèrent au dépit de la jeune fille et celui qui lui faisait face s’allongea se déchaussa de son ventre et s’allongea sous l’eau, son membre gris dépassant de la surface. Tandis que l’autre reprenait son va et viens dans son petit cul, Luna se pencha vers le sexe dur et froid et le suça avec attention. Elle sentit la jeune femelle passer sous l’eau et plaquer ses lèvres contre le petit abricot délaissé. Sa langue, plus longue que celle des humains, la pénétra avec passion et Luna crut qu’un petit serpent de glace s’agitait dans son ventre.

Ginny se débattait comme une diablesse en essayant de se dégager. Mais elle comprit très vite qu’elle ne pouvait lutter contre la force des sirènes et bien qu’elle continuait son vain combat, elle s’attendait au pire. Deux sirènes mâles la retenaient et un troisième se trouvait devant elle. Ce dernier approcha la main et se mit à caresser la douce poitrine de la jeune fille. Ginny vit qu’au niveau de sa taille, deux écailles plus grosses que les autres s’écartaient sous la pression du membre viril qui grandissait en dessous. Une fois le sexe totalement sortit, La jeune rousse constata qu’il était bien plus gros que celui d’un humain. En pensant que finalement son sort ne serait pas si terrible, elle s’avança un peu et pris la verge grise dans sa bouche. Elle était froide et salée mais ce n’était finalement pas désagréable. Sentant qu’elle devenait plus douce, l’un des autres ondins glissa avec dextérité sous elle et parvint à pénétrer son intimité. Ginny en frissonna mais elle se sentit réellement inquiète lorsqu’un gland énorme se posa sur son petit anus. Elle pensait qu’elle ne pourrai pas prendre la troisième sirène par-là et essaya de le lui faire comprendre par des gestes frénétiques mais la créature ne comprit pas et s’enfonça dans l’étroit passage sans faire plus attention. La jeune fille poussa un cri de douleur qui alerta le mâle qui venait de la pénétrer et il prit ensuite plus de précaution en lui caressant doucement le dos. Ginny ressentit une brûlure insoutenable pendant quelques minutes mais la douleur laissa peu à peu place au plaisir et elle se remit à la fellation qu’elle avait commencée.

Harry n’aurait pas pensé que les êtres de l’eau seraient aussi doués pour donner du plaisir aux humains mais finalement leur sexualité n’était pas si différente. Il donnait à présent de petit coup de rein pour accompagner la bouche de la jeune femelle qui le suçait et finit par éjaculer dans sa gorge ce qui semblait la ravir. Elle avala la moindre goutte de semence du jeune homme puis elle donna un coup de sa puissante queue pour se retourner et lui tourner le dos. A hauteur de son bassin se trouvaient deux orifices ressemblant à ceux des humaines. Harry comprit ses intentions et l’attrapa par la taille en posant son gland contre ce qui devait être son intimité. Il la pénétra lentement mais se rendit vite compte que les sirènes avait la possibilité de prendre de plus gros organe et il se mit à bouger avec ardeur. Une autre sirène, un peu plus jeune, se tenait plus loin d’eux pour les regarder et elle s’approcha discrètement, ayant apparemment un peu peur des humains. Elle se mit devant la première femelle qui sortit sa longue langue pour la lécher. Harry contemplait le spectacle en redoublant d’efforts. Derrière lui le mâle avait relâché son étreinte mais Harry le sentit approcher et le membre qu’il avait déjà sentit plus tôt dans son dos s’engouffra cette fois entre ses fesses à la recherche de son petit anneau. Il n’avait jamais été pénétré par un sexe aussi gros mais il se relâcha au maximum tandis que le mâle le pénétrait en douceur. Harry ruait de plus belle entre ses deux partenaires lorsque la femelle se dégagea. Elle prit son amie à la peau un peu plus bleue et la positionna dos au jeune garçon. Elle prit le membre viril de Harry en main et l’approcha de l’anus de sa camarade. La deuxième femelle ne semblait pas ravie de la tournure de la situation mais se plia aux volontés de son amie et s’empala d’elle-même sur la queue du garçon. Harry l’attrapa par les seins tandis que sa première partenaire enlaçait sa camarade pour l’embrasser. Harry sentit soudain quelque chose d’incroyablement froid lui parcourir les entrailles et il se rendit compte que le mâle avait jouit en lui. Surexcité par cette sensation, il ne put se retenir et éjacula dans le petit cul de la femelle qui fut probablement surprise par la chaleur de la semence qu’il déversa en elle.

Luna avait déjà jouit plusieurs fois sous les assauts des êtres de l’eau qui échangèrent soudain des cris aigus. Le mâle qu’elle suçait remplaça son homologue derrière elle mais il préféra la pénétrer à nouveau dans son petit abricot. La femelle se mit devant la jeune fille et lui caressa le ventre et les seins pendant que le deuxième mâle arrivait derrière elle et la prenait sans ménagement. Luna et la femelle se tenaient enlacées tandis qu’elles savouraient les assauts des mâles. La jeune blonde se mit à sucer la poitrine douce et fraîche de sa partenaire qui lui caressait les fesses. Les mâles ne tinrent plus très longtemps et ils répandirent leur semence froide dans les ventres de leurs partenaires qui poussèrent aussitôt des cris de jouissance.

Ginny se régalait des sexes en elle et, bien qu’il lui fut presque impossible de bouger, elle ruait avec force sur les membres froids. Elle sentit le plaisir arriver peu à peu pour finalement la submerger totalement. Elle poussa un long cri de jouissance comme un feulement de bête enragée et ne fut plus capable de bouger. Les sirènes continuaient de s’activer en elle et elle les laissa profiter de son corps sans rien dire. En peu de temps, elle les sentit se tétaniser puis son dos, son ventre et sa gorge furent inondés de semence glaciale. Elle sentit des mains lui caresser doucement tout le corps en signe de remerciements.

Soudain d’autres cris aigus se firent entendre plus loin derrière des rangées de roseaux. Les sirènes plongèrent alors sous la surface en direction de ses bruits. Luna, Ginny et Harry s’approchèrent et écartèrent les roseaux pour voir ce qui se passait. Des dizaines d’autres êtres de l’eau, tous avec des reflets bleus sur leur peau grisâtre, étaient rassemblaient et semblaient en plein ébats sexuels.

« C’est leur période d’apprentissage, fit Luna d’un air docte comme le faisait souvent Hermione. Ils sont jeunes et vont apprendre ensemble la sexualité avant de se choisir un partenaire.
_ Ce n’était donc pas la bonne période pour se baigner, remarqua Ginny d’une petite voix.
_ Non, il vaut mieux attendre l’été, reprit Luna. Mais je crois qu’on leur a appris des choses. C’est déjà bien. »

Les trois jeunes gens s’attardèrent un peu dans le lac pour se nettoyer puis Luna et Ginny se lancèrent chacune le sort de prévention. Le soir tombait peu à peu. La jeune Serdaigle les quitta avec un sourire rêveur pour continuer sa balade avant que la nuit n’arrive.

« Pour une première fois, ce n’était pas très intime comme sortie, fit Harry d’un air amusé.
_ Oui, répondit Ginny. Mais je crois qu’en tant que capitaine de l’équipe de Quidditch tu as droit d’aller dans la salle de bains des préfets non ? A cette heure-ci il n’y a encore personne et de l’eau bien chaude et parfumée ça devrait nous changer un peu. »

Harry lui sourit puis ils s’en retournèrent tous deux, tendrement enlacés vers le château.
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Harry
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Mardi 8 novembre 2 08 /11 /Nov 00:00
Voici un autre site d'Histoires érotiques et d'images consacrées à Harry Potter. Aller jeter un oeil à Les secrets de Hermione à l'adresse suivante :

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En ce qui concerne Poudlard Secret, la prochaine histoire est bientôt achevée. Patience.
Par poudlardsecret - Publié dans : Infos Poudlard Secret
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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00
La fin des BUSE

Une aventure sexuelle de Harry Potter en 5e année

Avec : Harold Dingle, Katie Bell, Angelina Johnson, Alicia Spinnet et Dennis Crivey.





« Quoi ? 2 gallions et 6 mornilles la bouteille ? Tu te moques de nous Harold ? »

Dean Thomas regardait Harold Dingle comme s’il venait de lui pousser des verrues sur le visage. Mais Harold lui souriait toujours d’un air goguenard.

« Si tu crois que c’est facile de se procurer du Whisky Pur Feu au marché noir, tu peux toujours te débrouiller tout seul, Thomas. Mais moi j’en ai déjà deux caisses pleines qui attendent de participer à votre petite fête. Mais peut être vous contenterez-vous d’en rester à la bièraubeurre ?
_ Mais on aura plus rien pour acheter autre chose ! Intervint Seamus Finnigan.
_ Allons, allons, les gars ! Je ne suis pas sans cœur vous savez. Je peux vous faire crédit. Je suis encore là pour l’année prochaine. Vous aurez tout le temps de me payer.
_ Tu es malade ! Reprit Dean l’air toujours écœuré.
_ Dans ce cas allez dire à tous ceux à qui vous avez promis une fête pour la fin des BUSE qu’ils n’ont plus qu’à se contenter de jus de citrouille. Il ne faut pas essayer de jouer aux héros quand on en a pas les moyens. »

Dean et Seamus se regardèrent inquiets puis Dean dit d’une voix sombre.

« D’accord Harold. On s’arrangera pour te payer la suite après les vacances. Mais j’espère pour toi que ce n’est pas du jus de troll.
_ T’inquiète pas, répondit Harold en agitant sa baguette et en faisant apparaître deux petites caisses tintants dans un bruit de verre, si je vous vendais un mauvais produit je n’aurais pas accepté de rester à votre fête.
_ Mais jamais on ne t’a pas demandé de… , commença Seamus
_ Bon ! Coupa Harold. Amenez ces caisses à vos camarades. Ils doivent être impatients. »

Harold passa entre les deux gryffondors ahuris et alla rejoindre les autres membres de la maison qui criaient et chantaient joyeusement pour célébrer la fin des examens. Des feuxfous fuseboum, commandés par hibou express auprès des jumeaux Weasley, rebondissaient sur les murs et frôlaient les visages des élèves. Plusieurs cadavres de bièraubeurre traînaient déjà sur les tables et les caisses de Whisky Pur Feu furent ouvertes par Seamus et Dean sous les acclamations de tous les autres.

    La soirée avançait et de nombreux visages étaient rouges sous les effets de l’alcool qui coulait encore à flot. Parvati et Lavande riaient aux éclats en regardant Lee Jordan faire une imitation impressionnante de Dolores Ombrage fulminante après la nomination de Firenze le centaure au poste de professeur de divination. Colin Crivey était allongé en travers d’un fauteuil et gloussait tout seul, une bouteille de bièreaubeurre à la main. Dean et Seamus avaient défié un garçon de sixième année à qui boirait le plus et avalaient les verres les uns après les autres sous les regards admiratifs de quelques filles de deuxième année qui étaient sagement restées au jus de citrouille. Harold s’était rapproché de Katie Bell qui s’avançait d’un pas peu sûr vers une chaise. Ils se connaissaient car ils étaient tous deux en sixième année et avaient de nombreux cours en commun. Harold attrapa le bras de Katie et l’amena jusqu’à la chaise.

« Merci… Harold ! Hoqueta-t-elle.
_ Je t’en prie, fit-il en attrapant un verre et une bouteille. Tiens ! Prend un peu de Whisky, ça va te requinquer.
_ Non… je préfère pas. J’ai déjà trop… trop bu. Je… je vais aller me coucher.
_ Allez ! Tu sais que c’est moi qui aie réussi à en ramener. Tu me ferais plaisir.
_ Bon, d’accord. Mais juste… un petit. »

Harold lui donna le verre et attendit qu’elle l’ait bu entièrement. Puis elle voulut se relever pour rejoindre son dortoir mais retomba lourdement sur la chaise.

« Je crois que je ferai mieux de t’aider. Tu nous feras une mauvaise chute dans les escaliers sinon. »

Il aida Katie à se lever puis la soutint d’un bras autour de la taille et passa l’un des bras de la jeune fille autour de ses épaules. Ils traversèrent la salle d’un pas chancelant tandis que tous les autres continuaient de faire bruyamment la fête.

    Ils se retrouvèrent dans la pénombre de l’escalier et commencèrent à monter lentement. Katie avait du mal à garder ses yeux ouverts et elle ne remarqua même pas que le toboggan qui devait repousser les garçons ne s’étaient pas déclenché, signifiant qu’ils n’allaient pas vers les dortoirs des filles. Elle ne remarqua pas non plus la main qui avait glissé de sa taille jusqu’à son sein et qui le palpait avec avidité. Ils entrèrent dans un dortoir et Harold déposa la jeune fille sur un lit. Puis il referma la porte et pointa sa baguette magique sur celle-ci en prononçant :

« Collaporta »

Un bruit de succion lui indiqua que la porte était désormais scellée. Il se retourna, rangea sa baguette et s’assit sur le lit. Il empoigna les seins de la jeune gryffondor avec vigueur et les massa à travers la robe. Katie sembla vouloir ouvrir les yeux mais, comme si ses paupières étaient de plombs, elle n’y parvint pas.

« Je crois que tu as trop bu ma belle. Depuis le temps que j’attendais une occasion comme celle-là. Dommage que tu ne sentes rien. Mais je m’en contenterai. »

Il pinça fortement l’un des seins entre ses doigts. Katie remua un peu sous la douleur mais ne se réveilla pas.

    Harold se leva et commença à déshabiller la jeune fille inerte. Il la secouait sans ménagement pour faciliter sa tâche, savourant l’absence totale de réaction. Il la contempla un instant alors qu’il ne lui restait plus que ses sous-vêtements et commença à caresser l’entrejambe à travers la petite culotte qui s’humidifia rapidement. Katie poussa un petit gémissement mais ne bougeait toujours pas. De son autre main, Harold arracha violemment le soutien gorge. Il se pencha sur la poitrine nue et se mit à la lécher avec empressement. Il mordillait les petits tétons dressés en guettant les réactions de sa partenaire involontaire. Mais elle ne faisait pas le moindre mouvement. Il se releva soudainement et prit le soutien gorge par le milieu. Il le leva et l’abaissa brutalement sur la poitrine de la jeune fille. Les élastiques aux bouts de plastique cinglèrent la peau en deux traînées rouges. Il frappa plusieurs fois les seins et enfonçait trois doigts avec frénésie dans le trésor intime de la jeune gryffondor. Elle avait le visage crispé mais les effets de l’alcool la tenaient toujours endormie.
    
    Harold jeta le soutien gorge et retira la petite culotte. Il caressa les cuisses très douces puis les écarta en sentant une légère résistance de la jeune fille. Il s’allongea sur elle et souleva sa robe de sorcier jusqu’à la taille. Il dégagea son sexe gonflé et le guida à l’entrée du coquillage de la belle endormie. Il pénétra le sexe sans ménagement et Katie poussa un nouveau soupir de dépit. Harold s’accrocha durement à ses seins et se mit à s’activer dans son ventre avec force. Il ne prêta pas attention aux faibles gémissements de protestation de la jeune gryffondor et s’approcha de son oreille.

« Ah ! Katie ! C’est trop bon. Je suis sûr que tu aimes ça aussi. Mmmmh ! Oui ! Tu n’attendais que ça, c’est certain. Tu es une petite vicieuse. Et même une belle salope. Je m’en doutais dès que je t’ai vu la première fois. Quel gâchis d’avoir attendu tout ce temps. Mais je… ooooh… je… je viens déjà. Allez ! Prends tout salope ! »

Il s’activa plus rapidement pendant quelques secondes puis donna un dernier coup de rein brutal et se répandit dans le ventre de la jeune fille.

Il se mit à lécher le visage fin de la belle endormie. Harold voulut l’embrasser mais les lèvres de Katie étaient closes. Il fit une pression avec deux doigts de chaque côté de la bouche pour l’entrouvrir et y enfouir sa langue qui ne rencontra aucune sorte de réaction. Il eut alors une idée et se redressa un peu pour dégager son membre viril du ventre de Katie. Il se mit à genoux au-dessus d’elle et s’assit sur sa poitrine, ressentant un certain plaisir en écrasant les seins fermes sous ses fesses. Il posa une main derrière la tête de la jeune fille et la releva tandis qu’il saisissait son dard de son autre main. Il caressa le visage avec le bout de son gland encore poisseux puis il s’arrêta devant les lèvre entrouvertes. Il appuya sur les joues pour les écarter encore plus et introduisit son sexe dans la bouche involontairement offerte. Il maintenait la tête en donnant de petits coups de reins, sentant avec extase les seins rouler sous les frottements de ses fesses. Katie remuait légèrement. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait mais l’alcool l’empêchait de réagir. Harold reposa la tête sur l’oreiller, la renversant un peu vers l’arrière, et se positionna plus haut vers la tête de lit, son bassin juste au-dessus du visage de la jeune fille. Il put ainsi donner de plus grand coup de reins et s’enfoncer plus profondément dans la petite bouche. Son corps se raidit soudain et il se déversa dans la gorge de la jeune gryffondor. Il pinça le nez de Katie, l’obligeant à avaler sa semence pour pouvoir respirer.

Elle hoqueta et ouvrit un peu plus les yeux. Harold se retira et attrapa sa baguette magique.

« Désolé ma belle. Mais je n’en ai pas encore finit avec toi. »

Il fit apparaître une bouteille de whisky dont il restait un fond et força la jeune fille à l’avaler en comprimant à nouveau son nez. En quelques minutes, Katie retomba dans sa léthargie. Harold se leva et retourna le corps endormit sans ménagement. Il introduisit alors trois doigts dans le sexe de la jeune gryffondor et son pouce dans le petit anus. Il massa quelques instants les deux orifices, pinçant la fine paroi qui les séparaient, puis attrapa deux coussins. Il souleva le bassin de Katie avec les doigts enfouis en elle et positionna les coussins sous son ventre de son autre main. Le petit cul de la jeune fille était ainsi totalement offert. Harold saisit la bouteille vide et fourra le goulot dans le trésor intime de la dormeuse. Katie fut parcourue d’un frisson au contact du verre froid dans son intimité, faisant quelques mouvements de va et viens sous les commentaires narquois du garçon.

« Alors ? Tu aimes ça ? Tu voudrais sûrement que j’aille plus loin. Mais on verra ça après. Pour l’instant j’ai l’impression que ton petit cul a besoin d’une vraie queue. Tu vas voir, c’est plus intéressant sans lubrifiant. »

Il lâcha la bouteille mais écarta des deux mains les jolies fesses de la jeune gryffondor, libérant une voie royale jusqu’au petit anneau. Il posa son gland contre celui-ci et força lentement l'entrée étroite. Mais il dû donner de nombreux coups de reins pour s’enfoncer peu à peu dans le petit cul.

« Ah ! Katie ! Ils ne doivent pas être nombreux à être passé par-là. Je suis peut être même le premier. C’est un honneur, je t’assure. »

Il se planta enfin entièrement entre les fesses de la jeune fille et savoura sa victoire quelques secondes avant de commencer de grands mouvements, sortant presque jusqu’au gland avant de retomber durement jusqu’à la garde. Le corps de Katie était parcouru de frissons à chaque violent coup de boutoir. Ses mains crispées s’accrochaient machinalement aux draps. Harold s’allongea sur la jeune fille et passa ses bras sous elle pour prendre ses seins. Il les pressait brutalement à chaque coup de rein, griffant la peau délicate. Il se figea soudain, poussant un cri tandis qu’il envoyait de longs jets de sperme dans le petit cul de la jeune gryffondor.

    Il cria si fort qu’il n’entendit même pas la porte du dortoir s’ouvrir soudainement, laissant apparaître le petit Dennis Crivey, Alicia Spinnet et Angelina Johnson, le regard flamboyant et sa baguette levée. Elle pénétra dans le dortoir à grands pas tandis que Harold se retournait et les aperçut. Il dû se retirer de Katie avant d’essayer de bondir sur sa baguette magique mais Angelina l’avait déjà récupérée en lançant un sortilège d’attraction. Elle le pointa et prononça d’une voix forte

« Impedimenta ! »

Harold fut projeté au sol où il ne pouvait plus faire le moindre mouvement, le membre toujours dressé. Angelina se retourna vers le lit, faisant voler ses petites tresses africaines dans son dos. Alicia avait passer un bras autour des épaules de Katie et la redressa légèrement. Elle inspectait la poitrine malmenée de ses doigts sous les yeux écarquillés de Dennis Crivey.

« Qu’est-ce qu’il lui a fait ? Murmura Alicia
Je ne sais pas, répondit Angelina entre ses dents mais ça va se payer. »

La jeune noire retira la bouteille de Whisky du sexe de son amie d’un air dégoutté puis la brandit en direction de Harold.

« Toi tu ne paie rien pour attendre. On va d’abord s’occuper d’elle et ensuite on te fera passer l’envie de t’amuser sans le consentement des autres. »

Elle agita sa baguette et libéra le garçon du sortilège d’entrave mais des cordes s’enroulèrent aussitôt autour de lui et un bâillon lui enserra la bouche

    Alicia caressait toujours les blessures sur les seins de son amie et une bosse s’était formée sous la robe de Dennis qui ne s’en était même pas rendu compte, fasciné par le corps nu devant lui et des doigts qui le caressaient. Angelina pointa sa baguette sur Katie et marmonna une formule. Aussitôt cette dernière se réveilla en sursaut, les yeux grands ouverts. Elle avait un visage apeuré et jetait des regards frénétiques autour d’elle.

« Que… que s’est-il passé ? J’ai l’impression… j’ai senti que… »

Angelina lui expliqua tout alors que Alicia serrait son amie contre elle pour la rassurer.

« Dennis vous a vu par la serrure, expliquait la jeune fille noire d’une voix calme, et il est venu nous prévenir immédiatement. Et maintenant ne bouge pas. Je vais te soigner un peu mais tout ne redeviendra normal qu’au bout de quelques jours. »

Elle pointa à nouveau sa baguette magique sur Katie tandis qu’Alicia massait un sein avec un peu trop d’insistance pour simplement se rendre compte de ses blessures. Elle lança d’abord un sort de prévention pour empêcher son amie de tomber enceinte. Puis elle lança un sort de soin. Les marques sur la poitrine délicate s’effacèrent un peu. Katie parut contente mais Alicia était si heureuse qu’elle embrassa son amie à pleine bouche. Angelina caressa un sein en pinçant doucement un téton lorsqu’une étoffe tomba sur sa main. Dennis était aller chercher sa cape pour recouvrir Katie, alors que son visage complètement rouge montrait bien qu’il aurait préféré continuer de contempler le corps de la jeune fille. Angelina lui sourit d’un air bienveillant, reconnaissante de cette attention pour son amie. Puis elle se tourna vers Harold.

    Celui-ci la regardait d’un air apeuré et les yeux de la jeune noire, remplit d’une colère froide, lui donnait amplement raison. Elle se positionna devant lui, juste à ses pieds.

« Alors comme ça tu te permet de violer ma copine ? Sous prétexte qu’elles ont bu un verre tu crois que toutes les filles sont pour toi ? Mais des tonneaux entiers de liqueur de pissenlits rouges n’y suffiraient pas. Je plains les pauvres imbéciles qui ne peuvent coucher avec quelqu’un qu’en les faisant boire. J’espère que tu la trouvais jolie au moins. Et moi ? Comment tu me trouves ? »

Harold fut tellement surpris par la question qu’il crut avoir mal entendu. Mais Angelina avait abandonné son air colérique pour une figure de petite fille angélique et cambrait les reins en croisant ses mains derrière la tête, faisant ressortir sa belle poitrine.

« Oh ! Tu ne verras rien avec tout ça. »

La jeune noire enleva alors sa robe de sorcier, dévoilant des vêtements très sexy, moulant parfaitement son corps de rêve. Harold n’en croyait pas ses yeux et il sentit son sexe se remettre à durcir. Et soudain il comprit le piège que lui tendait la divine jeune fille. Les cordages étaient si serrés qu’il n’y avait même plus de place pour son érection. Il sentait même les cordes l’enserrer un peu plus tandis que son membre gonflait. Son sexe était pris dans un véritable étau et il commençait à avoir mal.
    
    Angelina continuait son strip-tease de plus en plus langoureux et le garçon avait du mal à ne pas la regarder. Alicia, un sourire aux lèvres, alla rejoindre son amie pour lui retirer lentement ses sous-vêtements et en profiter pour caresser sa peau. Katie tourna la tête vers Dennis Crivey, subjugué par le corps de déesse de la jeune noire qui se dévoilait peu à peu.

« Alors c’est grâce à toi que j’ai été sauvée ? Viens près de moi ! J’ai besoin d’un peu de tendresse après tout ça. »

Le garçonnet détacha péniblement son regard d’Angelina et s’approcha du lit.

« Oh la la ! On dirait que ma copine te fait de l’effet. Mais toi tu n’es pas attaché, tu ferais bien de le laisser respirer. »

Sans laisser Dennis comprendre ce qu’elle venait de dire, Katie glissa une main sous la robe de sorcier et ouvrit le pantalon du petit garçon avec dextérité. Elle attrapa le jeune sexe tendu et le caressa avec douceur. Elle lui fit enlever complètement sa robe de sorcier et tous les vêtements qu’il portait en dessous. Elle embrassa tendrement le ventre du garçonnet qui frémit lorsqu’il sentit les lèvres de la jeune fille descendre peu à peu sur son bas ventre.




    Dennis pensa avoir sûrement atteint le paradis, ou en tout cas ce qui s’en rapprochait le plus, en contemplant Angelina et Alicia se caresser langoureusement avec de petits gémissements de plaisir tandis que Katie refermait ses douces lèvres sur son gland surchauffé. Sans vraiment savoir ce qu’il faisait, il posa fébrilement les mains sur la tête de la jeune fille et caressa timidement ses cheveux. Il ne parvenait pas à croire que trois des plus belles filles parmi toutes celles de Poudlard étaient devant lui, dont l’une le suçait et les deux autres se caressaient. Au sol, Harold gémissait également mais de dépit. Dans sa position il ne parvenait pas à tourner la tête pour échapper au spectacles des deux graciles gryffondor étroitement enlacées. Il essayait de garder les yeux fermés mais les soupirs et les petits cris des filles annihilaient toute sa volonté et il les rouvrait invariablement à chaque essai.

Dennis sentit un petit courant d’air froid sur son sexe et remarqua soudainement, comme sortant d’un rêve, que Katie avait relâché son membre. Elle se tenait sur le côté et souleva la cape pour laisser apparaître son corps magnifique en murmurant :

« Viens ! »

Le petit gryffondor ne se le fit pas répéter. Il s’allongea tout contre la jeune fille tandis qu’elle l’enveloppait également dans l’étoffe noire dont seules les têtes, et dans le cas de Katie, les pieds, dépassaient. Elle l’embrassa alors avec tendresse et caressa le petit corps qu’elle sentait tremblant. Bien qu’il y eut suffisamment de place sous la cape, Dennis sentit son sexe se durcir tellement qu’il eut l’impression d’être lui aussi entouré de cordes. Son membre était tout contre le ventre doux et chaud de Katie qui passait désormais sa langue sur son cou et ses mains sur son dos et ses petites fesses. Les seins de la jeune fille s’écrasaient sur son torse et il avança une main pour les caresser. Sa partenaire s’écarta un peu en souriant pour l’encourager. Elle en profita pour glisser sur ses hanches du bout des doigts et attraper le pieu de chair fièrement dressé. Elle massa le membre viril avec tendresse tandis que le petit garçon approchait avec lenteur sa bouche des tétons érigés. Il lécha la belle poitrine de la jeune fille à petits coups de langue timide et Katie gémissait en lui demandant de continuer. Dennis pris alors le bout d’un sein dans la bouche et se mit à téter avec plus de vigueur tandis qu’il descendait sa main vers le bel abricot de son amante. Il passa ses doigts sur le petit clitoris, sentant la jeune fille frémir, puis fit entrer son majeur entre les douces lèvres intimes mais n’osant pas aller trop loin. Katie savoura pendant quelques minutes les efforts du garçonnet pour la satisfaire sans cesser de le caresser. Puis elle l’obligea avec douceur à s’allonger sur le dos tandis qu’elle se positionnait sur lui. Elle se redressa pour se trouver à genoux au-dessus de lui, le dos voûté maintenant la cape autour d’eux comme une petite tente. Elle lui sourit tandis qu’il reprenait les caresses sur ses seins et qu’elle prenait son membre pour le diriger lentement vers son trésor intime. Ils poussèrent un gémissement mutuel lorsque leurs sexes ne firent plus qu’un. Katie se soulevait et s’abaissait lentement pour que son jeune amant savoure pleinement cet instant. Les doigts de Dennis s’étaient crispés sur sa poitrine tant il éprouvait de plaisir. Il reprit un peu ses esprits et la caressa à nouveau avec des gestes plus sûrs et plus langoureux.

    Pendant ce temps, Alicia s’était adossée contre le mur et Angelina, agenouillée devant elle, léchait consciencieusement son petit coquillage. Harold avait une vue imprenable sur le petit cul de rêve de la jeune noire qui se trémoussait langoureusement en accompagnant les coups de langues et les caresses. Il sentait presque les cordes lui rentrer dans la peau tant son sexe était dur. Il n’aurait même pas pensé être capable d’une telle érection. Mais actuellement, il ne s’en réjouissait pas. Les filles s’approchèrent de lui et il essaya encore fébrilement de fermer les yeux. Il entendait les gémissements encore plus forts et plus excitants. Angelina prit une petite voix fluette et vicieuse.

« Alors ? Tu n’as pas envie de voir ma copine et moi en train de se doigter ? Ne me dis pas que ça ne te plaît pas ? »

Harold aurait été bien incapable de dire quoi que ce soit lorsqu’il rouvrit les yeux, même s’il n’avait pas eu de bâillon. Les deux filles étaient collées l’une à l’autre, s’embrassant à pleines bouches, leurs seins s’écrasant mutuellement. Elles avaient légèrement écarté leurs bassins en cambrant les reins pour laisser leurs mains aller librement sur le sexe de l’autre. Elles les caressaient avidement et les pénétraient langoureusement avec deux ou trois doigts. Leurs mains libres se promenaient sur leurs fesses et titillaient leurs petit anus avant d’y plonger chacune un doigt. Les deux filles poussaient de petits cri aigus mais ils furent couverts par le hurlement étouffé de Harold qui n’y tenait plus.

    Angelina libéra la bouche d’Alicia et s’exclama d’un air triste qui aurait eu l’air très convaincant si un petit sourire n’était pas apparu sur ses lèvre :

« Oh mon pauvre !  Tu dois avoir bien mal là-dedans. Mais je ne sais pas si je dois déjà te libérer.
_ Peut être que nous pourrions quand même le soulager un peu, fit Alicia d’un air accablé tout aussi faux que celui de son amie.
_ Oui. Après tout nous ne sommes pas des monstres. »

Les deux filles s’agenouillèrent de chaque côté de Harold et se penchèrent vers son bassin et la grosse bosse qui soulevait péniblement le cordage. Elles passèrent toutes deux leurs langues le long du membre gonflé mais les cordes étaient trop épaisses pour que le garçon sente quoi que ce soit. Par contre, en les regardant faire, il sentit son membre se gonfler encore un peu plus et cria de plus belles alors que les filles s’embrassaient tendrement au-dessus de son ventre.

« Je crois que ce n’est pas la bonne solution, Alicia. Il faudrait essayer autre chose.
_ Peut être que si on lui montrait ce qu’il a envie de faire, ça le calmerai.
_ On peut toujours essayer. Mets-toi en place. »

Alicia s’assit juste en dessous de l’érection d’Harold et s’allongea sur le dos, sa tête arrivant juste sous le menton du garçon. Elle prit un air faussement inquiet.

« Ça va ? Je ne suis pas trop lourde ?
_ Tu es parfaite comme ça. N’est-ce as Harold ? »

Angelina s’assit sur les tibias du garçon et se pencha en avant. Elle posa tendrement sa bouche sur le trésor intime de sa camarade et sortit sa langue pour l’enfoncer du plus profondément qu’elle pu. Alicia gémissait de plaisir en plaquant une main sur la tête de son amie. Elle se tortillait avec frénésie sous les caresses expertes de la jeune noire et ses reins se frottaient contre la bosse sous les cordes en un rythme démentiel. Harold ne pouvait croire que son érection et sa douleur puissent encore croître. Alicia se caressait les seins de sa main libre et posait sa tête contre son épaule pour que le garçon ne manque rien du spectacle.

    Dennis et Katie avait retiré la cape qui leur tenait maintenant trop chaud. La jeune fille ruait plus rapidement, étonnée que son jeune amant soit déjà si endurant. Elle le sentait toutefois proche de la jouissance et elle accéléra encore le rythme pour l’envoyer au septième ciel. Dennis se crispa et s’accrocha durement aux seins de son amante lorsqu’il lâcha enfin de longs jets de semence en elle. Katie s’arrêta et savoura la liqueur de jouissance qui se répandait dans son ventre. Au contact du liquide doux et chaud, elle sentit le plaisir l’envahir également et poussa un cri reconnaissant en s’écroulant sur le petit garçon. Celui-ci chercha ses lèvres avec sa bouche et l’embrassa doucement. Mais la jeune fille ne comptait pas en finir si vite. Elle glissa lentement vers le petit dard encore tendu et l’enfouit dans la bouche pour le nettoyer consciencieusement. Dennis dû se retenir de ne pas jouir une nouvelle fois si vite lorsque Katie libéra son membre pour goûter aux deux petites bourses avec ses lèvres et sa langue. Le petit gryffondor se contractait pour retenir le plaisir le plus longtemps possible. Il plia les jambes ce qui releva involontairement son bassin et la bouche de la jeune fille rencontra le puit secret. Elle n'hésita pas un instant et explora en profondeur le petit anus de sa langue agile. Mais s’en était trop pour Dennis qui poussa un cri en se répandant sur les cheveux de sa compagne. Il voulut s’excuser mais celle-ci continua son affaire sans faire attention et en caressant de ses mains le ventre et la peau douce du garçonnet. Puis elle se glissa vers sa tête, prenant bien soin que tout son corps caresse celui du petit garçon , et lui dit à l’oreille :

« Moi aussi j’aime bien cet endroit. Si tu veux essayer. »

Avec un petit sourire elle se mit à quatre pattes au pied du lit et présenta sa magnifique croupe au petit gryffondor. Celui-ci se releva prestement et, voulant rendre la politesse à son amante, écarta les superbes fesses pour poser sa langue sur le puit secret. Il était moins doué que Katie dans cet art délicat et il compléta ses caresses en introduisant trois doigts dans le trésor intime de la jeune fille qui haletait de plaisir. Dennis se redressa mais il était si petit qu’il était presque debout pour mettre son sexe à la hauteur de l’anus de sa partenaire. Il posa son gland contre le petit anneau mais eu peur de pénétrer la jeune fille trop violemment. Katie sentait qu’il voulait entrer en elle avec douceur mais le puit secret, trop étroit, refusait de le laisser entrer. Elle posa son torse sur le matelas et lança ses bras en arrière pour attraper les hanches de Dennis. Elle le tira alors à elle d’un coup et il s’introduisit dans le joli petit cul jusqu’à la garde. Katie se redressa et s’accrocha à la barre en bois du baldaquin tandis que le petit garçon donnait de vigoureux coups de reins.

    Angelina avait fait jouir plusieurs fois Alicia qui se trémoussais à chaque fois avec force sur Harold lorsqu’elle envoyait une quantité de jus de plaisir dans la bouche de son amante. Angelina se décida toutefois à arrêter et partit chercher sa baguette magique ainsi que celle d’Alicia. Elle pointa la sienne sur celle de son amie qui s’illumina et s’allongea soudain en forme de phallus. Des lanières de cuir firent leur apparition à l’arrière et la jeune noire se retrouva bientôt avec un gode ceinture à la main. Elle l’enfila rapidement sous le regard d’envie d’Alicia qui se caressait en l’attendant. Angelina s’agenouilla à hauteur des cuisses de Harold et s’allongea sur son amie.

Les deux filles s’embrassèrent langoureusement tandis que la jeune noire positionnait correctement le membre de bois qui se frotta contre celui de chair emprisonné. Puis Alicia poussa un cri aigu, juste à côté de l’oreille de Harold, lorsque le gode entra en elle. Angelina ne ménageait pas ses efforts car elle savait que son amie aimait la sexualité plutôt « énergique » et elle donnait de grands coups de reins dans le sexe déjà ruisselant de quantité de liqueur intime. Alicia se cambrait avec force comme si son corps ne pouvait plus contenir autant de plaisir puis elle s’affaissa soudain en hurlant de bonheur et attirant son amante à elle. Elle l’embrassa fougueusement pour la remercier et lui murmura à l’oreille :

« Tu réussis toujours à me faire jouir de plus en plus fort après tant de temps passer ensemble. Je t’en prie, mon ange, continue. Encore. »

Angelina lui sourit et recommença alors ses va et viens en allant d’abord très lentement puis de plus en plus vite. Elle caressa les magnifiques seins de son amie et laissa sa langue s’y promener, appréciant les gémissements de plaisir que cela procurait à sa compagne. Alicia l’entoura tendrement de ses bras. Elle posa une main sur les longues et fines tresses africaines qui lui chatouillaient agréablement la poitrine et le ventre tandis que son autre main caressait toutes les parties qu’elle pouvait atteindre du corps somptueux qui lui donnait tant de plaisir.

Alicia avait jouit plusieurs fois avec force lorsqu’un grand tremblement envoya les filles au sol. Elles avaient complètement oublié Harold qui ne pouvait plus se tenir tant son membre le faisait souffrir. Angelina attrapa sa baguette magique et l’agita en direction des cordes qui se détendirent un peu et calmèrent la douleur du garçon.

« Je pense que tu as compris la leçon, Dingle. Mais j’aimerai mieux en être sûre. »

Elle agita à nouveau sa baguette et Harold se retrouva à genoux, le torse contre le sol, les fesses levées. Les cordes s’écartèrent pour laisser apparaître son cul. Avec un petit sourire, la jeune noire ramassa alors la bouteille de Whisky vide et déclara d’un ton ferme :

« Je crois que c’est ce que tu voulais faire à ma copine. Voyons un peu si tu aimes ça toi aussi. »

Restant sourde aux supplications étouffées du garçon, Angelina s’approcha de lui et posa le goulot entre ses fesses. Elle appuya alors avec force sur la bouteille qui pénétra profondément dans l’anus, arrachant un cri de douleur à Harold qui s’écroula sur le sol de côté.

« Bien ! Je te laisse le temps de réfléchir à ce que tu as fait pendant que mes copines et moi on s’amuse. Ensuite j’aurai peut être la bonté de te libérer. »

    Angelina laissa le garçon sur le sol et se tourna vers le lit. Dennis était allongé de tout son long sur le lit et tenait les haches de Katie qui était assise sur lui de dos. Alicia s’était mise en face de son amie, entre les jambes du petit garçon, et savourait le coquillage libre et trempé. La jeune noire s’avança vers eux et contempla le petit cul de Alicia qui se trémoussait de plaisir. Angelina caressa les jolies fesses offertes puis elle attrapa les hanches fines et positionna le gode contre le petit anneau. Alicia n’attendit pas et s’empala elle-même d’un grand coup de rein sur le membre de bois en poussant un râle de plaisir. Katie se pencha vers Angelina et caressa sa poitrine si incroyablement belle et douce. La jeune noire avança la tête et embrassa fougueusement son amie.

« J’espère que tu feras plus attention la prochaine fois, lui dit-elle. Nous ne serons peut être pas toujours là pour t’aider.
_ J’espère qu’Alicia et toi serait toujours près de moi. Mais c’est promis, je ferais attention. »

Katie embrassa à nouveau son amie et posa sa main sur le gode pour ajouter deux doigts dans le petit cul de Alicia. Celle-ci répondit positivement en ruant de plus belle. Mais elle avait également eu une idée et enfonça son majeur dans le puit secret de Dennis. Ce dernier fut surpris par la soudaineté du geste mais apprécia la douce masturbation de son petit anneau. De son autre main, Alicia pénétra tendrement le sexe de Katie et posa sa langue sur les bourses du petit garçon. Ce dernier ne put se retenir cette fois-ci et se répandit dans le petit cul de Katie. Celle-ci, en sentant son dos inondé d’une douce chaleur, jouit également avec force et plaqua le visage de Alicia sur son sexe qui déversait de grande quantité de jus de plaisir. Alicia ne perdit pas une gorgée de la liqueur intime de son amie et se sentit venir également tandis que le membre de bois se figeait entre ses petites fesses.

    Angelina prononça rapidement une formule qui fit disparaître les lanières de cuir autour de ses hanches. Le gode resta toutefois, profondément enfoncé dans le cul d’Alicia qui s’allongea face sur le lit en ronronnant de plaisir. Katie se coucha sur son amie et lui lécha ses jolies fesses en titillant le membre de bois. La jeune noire se leva en contemplant ses camarades d’un air attendrit. Puis elle prit Dennis par la main et l’emmena sur le lit d’à côté.

« Avec tout ça, fit la jeune noire, je n’ai pas pu jouir moi. Qu’en dis-tu Dennis ? Tu te sens encore capable de t’occuper de moi ? »

Même si Poudlard était en train de s’effondrer, rien n’aurait pu empêcher Dennis Crivey de se sentir aussi heureux en ce moment-là. Angelina était si belle qu’il n’aurait jamais imaginé faire l’amour avec quelqu’un qui lui serait à peine arrivé à la cheville. La jeune noire au corps de déesse que tous les garçons regardaient avec envie et désespoir se tenait devant lui, prête à l’accueillir. Il s’avança vers elle et, bien que la vue de son corps irréel lui ait suffit pour avoir une nouvelle érection, elle l’allongea doucement sur le lit et prit son membre dans sa bouche. C’était, de loin, la meilleur sensation qu’il eut connut ce soir là. Il tourna la tête vers Alicia et Katie. Les deux filles avait transformé le membre de bois en double gode et l’avait fait pénétrer dans leurs petits coquillages inondés de plaisirs. L’une sur l’autre, elle se trémoussaient en frottant leurs belles poitrines avec attention.

    Dennis sentit les lèvres d’Angelina quitter son sexe qui fut aussitôt entouré de quelque chose de doux et chaud. La jeune noire avait enfermé le membre viril entre ses seins divins et elle les faisait monter et descendre sur tout le long du pieu de chair. A la vision de son sexe entouré de la sublime poitrine d’Angelina, Dennis éjacula sans même sentir le coup venir. La si belle peau noire de la jeune fille fut striée de marques blanches jusqu’à la gorge.

« Je… Je suis… désolé, hoqueta Dennis d’un air terrorisé.
_ Ce n’est rien, Dennis, répondit Angelina en souriant, je t’assure. »

Pour joindre la parole et le geste, la jeune noire caressa le membre encore tendu et répandit ses derniers jets sur sa poitrine. Mais Dennis ne pouvait supporter d’avoir souillé si maladroitement tant de beauté. Il se jeta vers elle et avant qu’Angelina n’ait pu l’en empêcher, il se mit à lécher jusqu’à la moindre trace de sa semence. Il caressait et nettoyait les superbes seins avec beaucoup d’attention et la jeune noire poussait des gémissements de plaisir. Tout en laissant ses mains sur les deux globes de chair si doux, il remonta sa langue sur le cou puis sur le menton. Angelina baissa la tête et l’embrassa tendrement pour le remercier.

    Elle s’allongea sur le lit et lui lança un regard coquin. Dennis se coucha sur elle. Sa tête arrivait au niveau de la poitrine et il se remit à la lécher langoureusement tandis qu’Angelina amenait doucement son membre vers son trésor intime. Elle posa les mains sur ses petites fesses et tira un grand coup pour qu’il la pénètre entièrement. Le petit garçon était en extase. Il faisait des mouvements rapides tout en s’accrochant et en savourant les seins magnifiques de la jeune noire. L’une de ses douces mains parcourait tendrement son dos tandis que l’autre était toujours posée sur son cul et qu’un doigt indiscret caressait la raie. Il sentit bientôt deux grands doigts forcer son passage étroit et s’engouffrer plus profondément que ne l’avait fait Katie ou Alicia. Il s’activa plus rapidement encore, encouragé par les soupirs de plaisir d’Angelina. Soudain, la jeune noire cessa de remuer ses doigts dans le petit anus et se figea complètement. Elle poussa un grand cri et s’affala sur le matelas. Elle avait libéré le petit anneau mais continuait d’imposer un rythme à Dennis pour qu’il jouisse à son tour. Ce dernier se figea également quelques minutes plus tard et se répandit dans le ventre de la jeune fille, s’écroulant sur elle à bout de force.

    Le petit garçon, épuisé, se remit toutefois à jouer de sa langue sur les seins merveilleux tandis que la chambre raisonnait encore des cris de plaisir de Katie et Alicia qui semblait ne jamais pouvoir s’arrêter. Sans s’en apercevoir, Dennis s’endormit, confortablement installé entre les cuisses d’Angelina avec sa poitrine en guise d’oreiller. La jeune noire le serra tendrement dans ses bras, posa un baiser sur son front, et le garda ainsi, fiché en elle, contre la chaleur de son corps. Elle commençait également à somnoler lorsque la porte du dortoir s’ouvrit avec fracas et que l’on entendit de grands cris.

« Dennis ! Dennis ! Où es-tu ? La nuit ne fait que commencer et … »

Les cris se turent subitement. Le groupe de garçon de deuxième année qui venait d’entrer regardait successivement avec stupéfaction les deux filles avec leur gode double, Angelina qui tenait étroitement enlacé Dennis réveillé en sursaut et Harold, ligoté avec une bouteille de Whisky vide dans un endroit inapproprié. Angelina leur sourit tandis qu’Alicia s’était levée pour refermer la porte.

« Eh bien je crois en effet que la nuit ne fait que commencer les garçons. Votre silence va être dur à acheter. Mais je pense que nous avons de quoi vous convaincre. »
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00
Loup solitaire

Une aventure sexuelle de Harry Potter en cinquième année.



Avec : Nymphadora Tonks et Remus Lupin.






Le couloir était sombre et mal éclairé. Tonks frissonna. Elle n’aimait pas la maison. Elle n’était au quartier général de l’ordre du phœnix que par obligation. Et ce n’était vraiment pas drôle, surtout depuis la rentrée scolaire et le départ de Hermione et Ginny. En dehors des réunions, l’endroit était d’un calme mortuaire. Un tombeau immense. Elle plaignait sincèrement le pauvre Sirius qui devait rester ici tout le temps, affrontant sans cesse les spectres du passé que lui rappelait cette maison. Tonks, bien que de la même famille que les Blacks, n’était jamais venue ici avant la refondation de l’ordre. Sa mère n’étant plus désirée aux réunions de famille depuis qu’elle s’était mariée à un sorcier d’origine moldue.

Elle avança d’un pas, le parquet craquant sous son poids pourtant léger. Elle avait presque l’impression que le sol geignait. Elle sentit un courant d’air froid sur ses jambes. Prête à aller se coucher, elle déambulait dans la maison dans un grand et unique tee-shirt à l’effigie des Bizarr’s Sisters. Elle avança doucement pour faire le moins de bruits possible, cherchant à regagner sa chambre. Elle avait décidé de passer la nuit au 12 square Grimmaurd car la dernière réunion s’était finie tardivement et qu’elle devait finir un rapport important pour Dumbledore le plus tôt possible demain matin. Or il lui était plus simple de l’envoyer depuis le quartier général.

Tonks était gelée. Elle ne voulait pas aller plus vite pour ne réveiller personne mais elle ne pensait plus qu’à aller se mettre au chaud sous les couvertures dans l’une des chambres nettoyées par Molly et les filles pour accueillir les membres de l’ordre. Elle avait d’ailleurs pris la chambre qu’Hermione et Ginny avaient quitté en début septembre. Un peu de leurs parfums avait imprégné les murs durant leur passage et Tonks se sentait mieux dans cette chambre que partout ailleurs dans la maison. En l’honneur de Ginny, elle s’était même essayée ce soir aux cheveux roux, flamboyants, mais qu’elle préférait quand même garder mi-longs, tombants sur ses épaules. Elle était impatiente de voir ce que cela donnerait demain à la lumière du jour.

Tonks arriva enfin devant la porte de sa chambre. Elle posa la main sur la poignée lorsqu’elle entendit une sorte de sanglot étouffé, provenant de la chambre face à la sienne. Un faible son de lamentations s’entendait toujours. Elle s’approcha et constata que la porte était entrouverte. Elle regarda avec discrétion, ayant soudain l’impression de repasser ses examens d’Auror. A l’intérieur de la chambre se trouvait Remus Lupin. Il était revenu d’une mission depuis plusieurs jours mais avait à nouveau disparu lors de la pleine lune. Comme tous les membres de l’ordre, Tonks savait que Lupin était un loup garou. Le professeur Rogue lui préparait toujours la potion Tue-loup, mais il ne pouvait rester au quartier général durant ses transformations. Il y avait trop de passage.. Il n’était revenu qu’hier, avec un teint maladif et un pâle sourire.

Tonks sentit un vague à l’âme l’envahir en contemplant la tristesse de son ami. Elle l’avait toujours beaucoup apprécié, surtout lorsqu’il lui avait donné de nombreux conseils lors de ses examens d’Auror. En plus elle lui trouvait beaucoup de charme malgré son air fatigué. Elle décida qu’elle ne pouvait le laisser ainsi. Elle poussa la porte en cognant légèrement dessus. Lupin sursauta.

« Tonks ? Qu’est-ce que tu fais ici ?
_ Je suis désolée, Remus, répondit Tonks toujours sur le palier. Je revenais de la salle de bain et je t’ai entendu. Je ne voulais pas t’espionner. Je voulais juste voir si tu allais bien.
_ Je sais. Ne t’inquiète pas pour moi. C’est juste… que par moment c’est difficile. »

Tonks entra dans la chambre et referma la porte pour que personne n’entendent leur conversation.

« C’est dur pour tout le monde en ce moment. Je sais que tu en endure plus que d’autres. Mais tu n’es pas le seul. Pense à Sirius, par exemple. Pour lui c’est une torture de tous les jours d’être ici. Et même Harry. Pleins d’élèves le croient fou. Et il paraît que cet Ombrage ne le lâche pas d’une semelle. »

Le visage de Tonks, plutôt pâle à l’accoutumée, devint légèrement rose tandis qu’elle prononçait la dernière phrase avec un soupçon d’aigreur. Malgré le peu de lumière dans la pièce, Lupin la trouva jolie en colère et il eut un petit rire.

« Tu as raison, je le sais bien. Mais je pourrai les aider plus facilement si je ne devais pas m’absenter chaque mois.
_ Tu en fais déjà assez. Ils peuvent aussi se débrouiller sans toi, s’ils savent que tu es tout de même près d’eux. »

La jeune femme alla s’asseoir sur le lit à coté de son ami. Elle lui trouvait un air touchant, son regard perdu, ses cheveux prématurément grisonnants et sa peau marquée par les épreuves. Elle lui prit la main. Elle était chaude et douce. Il se tourna vers elle, un peu surpris que Tonks lui parle et agisse ainsi alors qu’il l’avait toujours considéré comme ayant encore un esprit d’enfant. Mais il ne considérait pas cela comme un problème. Bien au contraire, cela faisait tout le charme de la jeune femme.

    Toutefois à ce moment-là, c’était une adulte qu’il contemplait. Encore jeune certes. Un écart de presque une génération. Mais une adulte. Elle avait un air sérieux mais doux avec ses yeux sombres et sincères et un sourire très léger. La pâleur de son visage en cœur semblait luire faiblement dans l’obscurité de la chambre. Avant même qu’il ne comprenne pourquoi, il approcha sa tête de celle de Tonks et prit ses lèvres avec tendresse. La jeune femme eut un petit soubresaut de surprise mais ne bougea pas. Lupin savoura la douceur de ses lèvres alors qu’inconsciemment il serrait la main de Tonks.

    Il écarquilla les yeux soudainement et se retira vivement, l’air apeuré.

« Tonks ! Je ne… je voulais… je ne sais pas… »

La jeune Auror le regardait avec surprise, sa main toujours dans celle de Lupin.

« Je suis désolé ! Je ne voulais… j’étais tellement seul ces derniers jours. Je ne… »

La jeune femme entrouvrit légèrement les lèvres et ne dit qu’un seul mot à voix basse, presque un murmure.

« Pourquoi… ?
_ Je ne sais pas, répondit vivement Lupin. Je suis…
_ Non, l’interrompit Tonks, les yeux pétillants. Pourquoi tu t’es arrêté ? »

Lupin resta sans voix devant la question de la jeune Auror. Elle souriait légèrement, les joues roses en évitant de regarder son ami.

« Tu… tu embrasses bien, fit-elle devenant maintenant complètement rouge. C’était… bien. »

Avant qu’il n’ait eu même le temps de penser à ce qu’il pourrait lui dire, Tonks posa les mains sur ses épaules et l’embrassa à son tour avec plus de fougue. Lupin, surpris, avança ses bras pour la repousser, mais, à son grand étonnement, il finit par les poser délicatement autour de la taille de la jeune femme et la serra contre lui.

    Tonks rompit doucement le contact de leurs lèvres et posa sa tête sur l’épaule de son ami.

« Je crois que tu m’as toujours fait un certain effet, fit-elle d’une voix un peu tremblante. J’ai toujours aimé que tu sois près de moi. Sans vraiment savoir ce que ça signifiait vraiment. »

Lupin ne voyait pas le visage enfouit au creux de son cou mais il le devinait virant au rouge pivoine en sentant la douce chaleur qui s’en dégageait. Il pencha la tête et posa un baiser dans le cou de la jeune Auror qu’il sentit frémir. Ses mains caressèrent le dos légèrement courbé de Tonks à travers le tee-shirt léger. Il sentait tout le corps de la jeune femme devenir plus chaud, comme un rayon de soleil matinal, tandis qu’elle se collait encore un peu plus à lui. Il sentit la belle poitrine de Tonks se presser contre son torse tandis que la cuisse nue de la jeune femme était posée en travers de ses jambes et remontait lentement.

    Elle se souleva un peu et fit pression sur Lupin pour qu’il s’allonge sur le matelas. Elle se coucha alors sur lui, continuant de l’embrasser et se mit à tirer sur la robe de sorcier pour la faire remonter. Lorsqu’elle eut dégagé le ventre, Lupin se sentit soudainement apeuré. Il était seul. Cela le taraudait tellement qu’il laissait faire Tonks sans rien dire. Depuis qu’il l’avait connu, il avait toujours apprécié la jeune femme. Il la trouvait mignonne, intelligente et drôle. Mais il se disait qu’il n’était pas amoureux. Or Tonks éprouvait des sentiments pour lui. Il fut soudain dégoûté de son attitude. Il attrapa la jeune Auror par les épaules et la souleva un peu.

« Non, fit-il avec douceur. Je ne peux pas te laisser continuer. Je t’aime beaucoup, Tonks, mais je ne sais pas si c’est à ce point. »

La jeune femme avait un visage grave, inhabituel. Elle sembla réfléchir quelques secondes puis elle murmura en souriant.

« Peu m’importe ! Ecoute, accorde-moi juste cette nuit. Juste celle-là. Je ne suis plus une enfant. Je suis consciente de ce que je fais, que ça ne mènera peut être à rien. Mais laisse-moi prendre ce risque. Moi aussi parfois je me sens seule. »

Ce fut cette dernière phrase, plus que toutes les autres, qui eut raison de la peur de Lupin. Il laissa de nouveau le corps de la jeune Auror s’allonger sur le sien. Elle reprit ses baisers langoureux tandis qu’elle finissait d’enlever la robe de sorcier. Il sentit son sexe se dresser peu à peu sous les caresses sensuelles des doigts et des lèvres.



    Lupin laissa alors ses mains glisser sur tout le corps de la jeune femme. L’une d’elle caressait toujours le dos tandis que l’autre descendait avec lenteur sur les fesses rondes puis sur la cuisse nue de Tonks. Il savoura la douceur de la peau tandis que la jeune femme posait ses lèvres sur son torse et laissa sa langue s’y promener. Il remonta sa main vers le petit cul tendre, passant sous le tee-shirt qu’il fit ensuite remonter en tirant avec sa deuxième main. Tonks frémit en sentant son ventre nu en contact avec le membre dur de Lupin. Tout en continuant à lécher le torse et le cou de son ami, elle descendit une petite main vers le pieu de chair et se mit à le caresser avec douceur. Lupin finit d’enlever le tee-shirt en révélant les seins fermes aux tétons érigés qu’il savoura contre son ventre. Sa verge grandit encore un peu sous les tendres mouvements de Tonks. Il descendit entre les cuisses de la jeune Auror et posa ses doigts sur le petit sexe trempé qu’il se mit à masser langoureusement. Elle se mit à gémir faiblement en se tournant un peu sur le côté pour faciliter l’accès à son trésor intime, regardant son ami avec des yeux quémandeurs, presque plaintifs.

    Lupin engouffra un doigt entre les lèvres inférieures. Il s’enfonçait avec lenteur, apparemment au grand plaisir de la jeune femme dont le visage se crispa un peu. Elle resserra ses doigts autour du chibre qu’elle caressait toujours. Lupin entra en elle jusqu’à ce qu’il sentit une paroi l’empêcher de continuer. Tonks était encore vierge. Il s’arrêta net. Non, il ne pouvait pas lui faire ça, pas maintenant. La jeune femme sembla deviner son trouble. Avec rapidité, elle se retrouva à genoux au dessus de lui et se positionna pour avoir le sexe dressé, qu’elle tenait toujours, entre les cuisses. Elle se pencha légèrement en avant, posa sa main libre sur le torse de son ami et abaissa ses fesses en guidant le chibre vers l’entrée des plaisirs. Elle s’empala d’elle-même sur le membre sans aller au bout. Lupin sentit son gland se presser contre l’hymen de la jeune Auror. Elle le regarda avec des yeux ardents de désir et murmura faiblement :

« S’il te plaît ! »

Il sut qu’il ne pourrait pas résister. Il posa ses mains sur la fine taille de Tonks et donna un petit coup de rein qui transperça la faible paroi. La jeune Auror poussa un petit cri puis se remit à descendre le long du sexe jusqu’à se retrouver assise sur les cuisses de son amant.

    Elle sentait son homme douter encore. Elle lui prit alors les mains et les posa sur ses beaux seins en entamant un voluptueux mouvement de hanches qui donnait l’impression que ses jolies fesses glissaient sur le membre durcit. Lupin gémissait sous ses assauts en caressant tendrement la poitrine de la jeune femme. Il trouva pourtant qu’elle se débrouillait très bien pour une fille qui venait juste de perdre sa virginité. Mais il savait que Tonks était pleine de surprises. Elle s’allongea entièrement sur lui et l’embrassa vigoureusement. Tout son corps se frottait à celui de son amant tandis qu’elle s’abattait avec de plus en plus de force sur le sexe viril. Lupin caressait son dos nu, aussi doux et lisse que le satin et il descendit vers les deux fesses rondes qu’il enferma au creux de ses paumes.

    Tonks se démenait avec plaisir sur le chibre de son amant en embrassant chaque parcelle de son visage, comme si elle voulait lui dévorer la tête. Elle se cabra soudain, poussa un cri et retomba sur le corps de Lupin tandis que leurs entrecuisses se trouvèrent inondés. Il entoura la jeune femme de ses bras et la serra un peu pour graver en lui la douce chaleur qu’elle émanait. Tonks se redressa un peu, en souriant. Elle relâcha le membre de son amant qui n’avait pas encore jouit et se mit à glisser vers ses jambes. Elle arrêta sa poitrine à la hauteur du sexe viril. Elle jeta un regard malicieux à Lupin puis elle plissa les yeux comme si elle se concentrait. Aussitôt, ses seins se mirent à grossir pour atteindre la taille de ballon de foot qui restaient toutefois bien fermes. Pendant les quelques instants de bonheur qu’il venait de connaître, Lupin avait oublié que Tonks était une métamorphomage. Il se rendit compte que rien d’autre ne comptait pour lui que la jeune femme qui le caressait si tendrement et l’amour qu’il lui portait. Pendant ce temps, elle s’était abaissée vers le chibre et le léchait avec lenteur bien qu’il n’eut pas besoin de plus d’excitation encore. Tonks mit alors le membre dur entre ses seins qu’elle pressa avant de commencer à monter et descendre le long de la tige tendue, regardant Lupin gémir de plaisir. Malgré la volupté des caresses de la jeune Auror et ses sentiments pour elle, il ne put s’empêcher de penser qu’elle semblait presque experte avec les sexes masculins et se demanda d’où pouvait bien lui provenir tant d’expérience en ce domaine puisqu’il avait pris sa virginité.

    Maintenant, Tonks s’était mise à le sucer avec délectation tout en lui caressant les cuisses et le ventre. Lupin appréciait la langue experte qui allait de son gland à la garde et les lèvres douces qui l’entouraient. Il se redressa, prenant appuie sur l’un de ses coudes, et caressa tendrement les cheveux de sa douce. Il sentait le plaisir arriver. Tonks sembla le comprendre également car elle laissa ses lèvres autour du gland tandis qu’elle masturbait le membre d’une main fougueuse. Lupin crut qu’un torrent déchaîné parcourait son sexe et se répandait sur la langue de la jeune femme qui se régalait du nectar de plaisir de son homme. Elle avala chaque jet de sperme avec un sourire et lécha les derniers restes sur le dard encore frémissant, le nettoyant avec application. Lupin l’attira à lui et embrassa ses lèvres salées en caressant son corps et notamment la voluptueuse poitrine.

« Tu aimes ? Lui demanda-t-elle d’un air malicieux.
_ Oui. Mais je te préfère quand même au naturel. Tu es bien plus mignonne en restant simple. »

Tonks le remercia d’un autre baiser puis plissa à nouveau les yeux. Ses seins retrouvèrent leur taille originelle qui suffisait amplement aux mains qui voulaient les découvrir. Lupin commença à les caresser et à les lécher tout en faisant doucement tomber son amante sur le lit. Il massait lentement les deux monts de vénus sous les gémissements ravis de sa compagne. Sa langue entourait successivement les deux pointes de chair érigées. Puis il descendit sa tête sur le ventre plat, s’arrêtant un peu à hauteur du nombril pour le lécher tendrement et reprenant son délicieux chemin vers la source de tous les plaisirs.

    Lupin voulait plus que tout donner du plaisir à Tonks. S’il n’était pas sûr de ses sentiments envers elle, alors la seule chose qu’il pouvait lui apporter c’était la jouissance. Il posa sa langue sur l’intimité humide de la jeune femme et se mit à la lécher dans de longs mouvements. Il prit son bouton d’amour entre deux doigts et se mit à le masturber comme un petit sexe. Tonks gémissait en cambrant les reins. Un flot de sa liqueur d’amour vint se perdre dans la bouche de Lupin. Il remonta ses lèvres pour entourer le doux clitoris tandis qu’il faisait pénétrer deux doigts dans le trésor intime de son amante. Il s’arrêta alors étonné. Comme la première fois qu’il l’avait pénétré de ses doigts, il venait d’être arrêté par une mince paroi. Il lança un regard perdu à Tonks qui souriait d’un air un peu moqueur.

« Je suis une métamorphomage, dit-elle avec malice. Je peux changer ce que bon me semble dans mon corps. Et je peux offrir plusieurs fois ma virginité. J’ai connu pas mal de garçons dans ma vie. Ils ont tous cru être les premiers. Quelque part ils étaient un peu plus fidèles grâce à ça. Ils pensaient tous avoir eu un grand honneur… ou m’avoir fait un grand honneur pour les plus vantards. Mais tu es le premier à qui je révèle mon secret.
_ Tu faisais donc semblant la première fois ?
_ Oh non, rassure-toi. J’ai toujours sentit quelque chose dans ces moments-là. Ce n’est plus aussi fort que la toute première fois, c’est vrai, mais ça me fait toujours beaucoup d’effets. »

Elle lui sourit encore et tendit une main pour caresser les cheveux grisonnants de son homme avec tendresse. Lupin se traita d’idiot. Il aurait dû y penser bien avant. Mais encore une fois il ne voyait plus en Tonks une métamorphomage. Juste une jeune femme à qui il voulait donner du plaisir.

Souriant à son tour il repris ses caresses, faisant bien attention de préserver la faible paroi pour plus tard. Il but encore de longues gorgées de jus de jouissance sous les petits cris de sa douce puis il remonta vers son tendre visage. Il l’embrassa avec fougue tandis que son membre approchait de l’intimité ruisselante. Il la pénétra avec lenteur jusqu’à ce qu’il soit tout contre le voile intime puis, d’un coup de reins, l’hymen fut à nouveau vaincu alors que Tonks poussa un petit cri. Lupin était encore pris dans un sexe étroit de vierge. Il en ressentait un incroyable plaisir en allant et venant dans le trésor intime de sa douce qui gémissait de plaisir sous chaque coup de boutoir. Il embrassait ses lèvres, laissant les langues se caresser mutuellement, et massaient avec volupté la belle poitrine de Tonks. Il était au bord de la jouissance mais il ne voulait pas venir trop vite. La jeune Auror semblait en pleine extase et il refusait de s’arrêter tant qu’elle n’aurait pas goûter pleinement au plaisir. Il la sentit bientôt se tendre et elle lança sa tête en arrière lâchant un cri aigu tandis qu’elle jouit en inondant le sexe de son amant. Il s’avoua enfin vaincu et s’apprêta à se retirer de sa douce pour éjaculer. Mais Tonks sentit qu’il se dégageait et elle referma les jambes sur son bassin, le maintenant du plus fermement qu’elle put tout contre elle. Lupin n’eut pas le choix et ne lutta pas. Il se figea du plus profond qu’il lui était possible dans le ventre de sa douce et laissa couler son nectar de jouissance. Il s’écroula sur le doux corps de Tonks et la prit dans ses bras en la berçant tendrement. Un courant d’air léger les frôla et ils se réfugièrent bien vite sous les couvertures, l’un contre l’autre. Le sommeil les prit par surprise.

Au petit matin, Lupin fut le premier à se réveiller. Tonks dormait encore contre lui, la tête posée sur son torse et un bras entourant sa taille. Elle avait un petit sourire aux lèvres et sa respiration faible mais chaude caressait la poitrine de son amant. Lupin se sentait bien. Mieux qu’il ne s’était sentit depuis bien longtemps. Il regardait le visage en cœur de Tonks aux joues encore un peu rose et se demanda s’il aurait un jour l’envie de détourner les yeux. La nuit lui avait porté conseil. Il avait toujours eu beaucoup de tendresse pour la jeune Auror mais il s’était rendu à l’évidence que cela cachait bien d’autre chose. Il ne pensa même pas à la prochaine pleine lune, ni à toutes celles qui suivraient. Il ne pensait qu’à elle, couchée contre son flanc, dans un air si paisible. Il ne voulait pas la réveiller. La cruelle réalité et leurs obligations pour l'ordre pouvait attendre encore un peu. Il posa un baiser délicat sur son front et murmura un « je t’aime » à la jeune endormie. Un instant il crut que le sourire de Tonks s’était un peu élargit. Puis il posa sa tête sur l’oreiller en resserrant un peu et avec précaution son étreinte sur sa douce. Il savoura la douceur de sa peau sur la sienne. Et il ne bougea plus.
 
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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00
Relations internationales

Une aventure sexuelle de Harry Potter en 4e année.


Avec Parvati Patil, Padma Patil, Lavande Brown, Seamus Finnigan, Neville Londubat et les garçons de Beauxbâtons.




    Le bal de Noël battait son plein. La plupart des élèves de Poudlard s’amusaient beaucoup sur les sons déchaînés des Bizarr’s Sisters. Mais certains étaient maussades. Notamment Harry et Ron qui, bien qu’ayant trouvé des cavalières in extremis, avaient délaissé ces dernières. Parvati et Padma Patil avaient tout d’abord été ravies d’être invitées par l’un des champions de l’école du tournoi des trois sorciers et par l’un de ses proches amis. Mais les pauvres avaient vite déchanté. Heureusement, des garçons de Beauxbatons les avaient invité à danser.

    Les deux français parlaient avec raffinement et galanterie mais leurs manières étaient un peu plus entreprenantes. Le cavalier de Parvati lui avait furtivement caressé une fesse en laissant glisser son bras de la taille de la jeune fille après un slow tandis que le cavalier de Padma lui avait légèrement palpé un sein en la faisant tourner sur un rock. Les deux sœurs appréciaient les approches des garçons. Elles savaient toutefois que le bal ne durerait pas éternellement et qu’il leur faudrait précipiter les choses pour finir la soirée en beauté. Elles se mirent rapidement d’accord en allant chercher des bièraubeurres. Elles entraînèrent leurs cavaliers sur la piste pendant un slow. Les deux jeunes filles se pressèrent contre les corps des garçons, faisant tout leur possible pour que pas un espace ne subsiste entre eux. Les deux français furent troublés par l’attitude sans équivoque des jeunes filles, mais pas autant que lorsque les mains des deux sœurs descendirent sur leurs fesses. Aussitôt, elles sentirent une bosse grandir contre leurs pubis.

    Avec un sourire malicieux, les deux jeunes filles entraînèrent alors leurs cavaliers dans le parc. La faible lumière de l’extérieur était parfois suffisante pour apercevoir quelques couples plus ou moins bien cachés derrière des buissons ou des arbres. En se faufilant discrètement vers l’arrière du château, les quatre jeunes gens eurent le temps d’apercevoir quelques personnes qui s’embrassaient chastement mais également d’autres bien moins prude. Ils virent Fleur Delacour prodiguer une fellation acharnée à un Roger Davies si hébété qu’il devait sûrement se croire dans un autre monde. Ils virent également Stebbins, un garçon de Serdaigle, sodomiser brutalement Faucett, une fille de Poufsouffle, qui se mordait les doigts pour ne pas gémir trop fort.

    Ils finirent par trouver un endroit à l’écart de tous les autres, uniquement éclairé par la lune. Les garçons embrassaient les filles et laissaient désormais leurs mains se promener librement sur les seins et les fesses de leurs partenaires. Mais les deux sœurs s’écartèrent de leurs cavaliers, leur faisant comprendre d’un signe qu’ils devaient patienter. Elles s’avancèrent un peu, leurs pas crissant dans la neige fraîche, et se positionnèrent de sorte que les garçons puissent bien les voir toutes les deux. Elles s’enlacèrent alors et s’embrassèrent, caressant chacune le corps de l’autre. Les français restèrent interdits devant le spectacle. Maintenant, les filles se massaient allègrement le sexe, entrecoupant leurs baisers de petits gémissements.

    Parvati passa derrière sa jumelle et entreprit de lui enlever sa robe. Elle embrassait et léchait chaque parcelle de peau qu’elle libérait de l’étoffe. Puis ce fut au tour de Padma de dévêtir langoureusement sa sœur. Aucune robe de sorcier n’aurait pu être assez ample pour cacher les érections des deux garçons qui avaient encore du mal à croire en leur chance. Les deux jeunes sorcières se tenaient étroitement enlacées, s’embrassant et se caressant de plus belle sous les rares flocons de neige qui tombait avec lenteur, donnant au tableau une impression de ralenti. Maintenant qu’elles étaient nues, il était très difficile de reconnaître les jumelles. Seules leurs coiffures permettaient encore de les distinguer. Elles bougeaient leurs deux corps graciles avec douceur, frottant leurs poitrines menues et fermes l’une contre l’autre et faisant glisser leurs sexes sur leurs cuisses.

    Padma descendit une main sur les fesses de sa sœur et introduisit deux doigts dans le petit anneau de Parvati qui en gémit de plaisir avant de lui rendre la pareille. Puis elle tourna la tête vers les garçons, encore ébahis.

« Je trouve qu’il fait froid. Je suis gelée, et ma sœur aussi ! Venez nous réchauffer ! »

Les deux français ne se firent pas prier et s’approchèrent des jeunes sorcières. Les deux sœurs se séparèrent et soulevèrent les robes des garçons, libérant leurs sexes gonflés. Parvati prit le chibre de son partenaire dans la main et le caressa langoureusement tandis qu’il lui suçait ses deux jolis seins en pomme comme s’il venait de trouver la plus délicieuse des nourritures après plusieurs jours de jeun. Padma s’était agenouillée devant son cavalier et pressait ses seins sur le membre viril, attrapant le gland qui dépassait avec sa bouche. Le garçon posa les mains sur la tête de la jeune serdaigle et commença à aller et venir sur sa poitrine, savourant la langue agile de la jeune fille.

    Le cavalier de Parvati descendit une main sur le petit cul de sa partenaire. Ses doigts fouillèrent entre les jambes de la jeune sorcière. Il avança deux doigts dans le coquillage glabre de Parvati tandis que son pouce s’enfonçait avec facilité dans le petit anus. La jeune gryffondor gémit en même temps que le cavalier de sa sœur qui appuya sur la tête de sa partenaire tandis qu’il inondait sa bouche. Padma avalait de longues gorgées de semences lorsqu’un cri de douleur retentit dans le parc.

    Tous tournèrent la tête vers la provenance du hurlement, la jeune serdaigle relâchant le sexe de son partenaire dont le dernier jet de sperme alla s’étaler sur les seins de la jeune fille. Un peu plus loin, Rusard, armé d’une cravache, frappait allègrement Stebbins et Faucett qui n’arrivaient pas à se relever. Le concierge profitait apparemment aussi du relâchement de l’attention des professeur pour se laisser aller à punir les élèves plus durement que Dumbeldore ne l’aurait permis. Il avait immobilisé le garçon avec son pied et s’acharnait désormais sur la jeune fille qui poussait des lamentations de douleurs, essayant de protéger les parties de son corps les plus sensibles avec les mains. Mais c’était vain car Rusard faisait preuve d’une indéniable habilité lorsqu’il s’agissait de punir les élèves et il atteignait toujours la cible qu’il avait choisis. A bout de force, Faucett s’écroula finalement sur le sol, sanglotante, les bras en croix. Miss Teigne s’approcha du sexe humide de la jeune poufsouffle et se mit à lécher la liqueur d’amour sous les gémissements indignés de la fille. Elle essaya de se relever pour repousser l’animal mais un coup de cravache la renvoya au sol. Rusard ricanait, plus heureux qu’il ne l’avait jamais paru.

« Allez, bois ma belle. Une humiliation comme ça, c’est encore trop doux pour ces vermines ! Mais ça devrait les retenir d’aller voir le directeur ! »

Tandis que Miss Teigne se régalait de l’entrejambe de Faucett, Rusard attrapa son balai et se mit à donner de violents coups de manche à Stebbins, qui regardait sa robe de sorcier, hors de portée, en pensant que sa baguette s’y trouvait. Il essayait également de se protéger mais, tout comme pour sa partenaire, cela ne lui servit à rien.

    Pendant ce temps, Parvati et Padma s’étaient rapidement habillées puis elles quittèrent discrètement leur cachette avec les garçons de Beauxbâtons. Rusard était trop occupé et ne les vit pas partir. Devant les portes du château, elles embrassèrent leurs cavaliers avec regrets.

« Pour ce soir c’est trop dangereux, murmura Parvati, mais ce n’est que partie remise. »

Elle fit un clin d’œil malicieux aux garçons dépités, puis elle rentra au château avec sa sœur. Cette dernière n’était pas très heureuse.

« D’abord cet idiot de Weasley qui ne pense qu’à son Hermione et maintenant Rusard qui nous coupe au moment le plus intéressant. Quelle soirée pourrie ! »

Parvarti pris sa jumelle dans ses bras pour la consoler et l’embrassa, savourant le goût salé de ses lèvres.

« Ne t’en fais pas ! Nous n’en sommes qu’à la moitié de l’année. On aura encore plein d’occasions de les revoir. »

Padma sourit. Les deux sœurs passèrent les portes du château et se séparèrent pour rejoindre leurs dortoirs respectifs.

    Parvati monta jusqu’à l’étage des Gryffondor mais avant de passer le portrait de la grosse dame elle s’arrêta aux toilettes des filles. Elle n’avait fait que quelques pas lorsqu’elle entendit un son étouffé en provenance d’une cabine. Elle s’approcha doucement et regarda par la serrure (qui ne servait à rien puisque les portes se verrouillaient par magie). A l’intérieur de la cabine elle vit Seamus Finnigan, assit sur le trône, tandis que sa cavalière de la soirée, Lavande Brown, agenouillée devant lui, le suçait frénétiquement. La jeune fille avait fait tomber le haut de sa robe sur ses hanches, libérant sa magnifique poitrine. Elle agitait une main sous sa robe et Parvati n’eut même pas besoin de deviner ce qu’elle faisait. Seamus s’était légèrement penché en avant pour caresser les seins de sa partenaire d’une main tandis qu’il appuyait sur la tête de la jeune fille de l’autre. Parvati aurait été tenté de les rejoindre, elle savait que Lavande n’y verrait aucun inconvénient et il était peu probable que Seamus s’y oppose, mais son envie pressante ne l’avait pas quitté. Elle décida d’aller dans les toilettes des garçons pour ne pas déranger le couple.

    Elle fit timidement quelques pas dans la salle puis, constatant que personne ne s’y trouvait, elle entra dans une cabine et put enfin se soulager. Tandis qu’elle s’essuyait, elle entendit la porte des toilettes s’ouvrir brutalement puis ce fut au tour d’une porte de cabine de s’ouvrir avec fracas. Parvati sortit en silence de sa cabine et essaya de se faufiler vers la sortie. La porte de la cabine occupée n’était même pas complètement fermée et elle vit Neville Londubat de dos, se croyant apparemment seul, occupé à se masturber furieusement en grommelant entre ses dents.

« Imbécile de Michael Corner ! Non mais quel crétin… »

Parvati ne put s’empêcher de le regarder. Neville n’avait certes pas inventé la poudre mais la nature l’avait doté d’un membre assez exceptionnel pour son âge. La jeune fille se sentit frémir. Voir cet énorme sexe s’agiter devant elle juste après avoir assisté à une fellation de sa meilleure amie et alors qu’elle était toujours frustrée de sa séparation brutale avec les français lui semblait une vraie torture. Son sexe était brûlant et sa liqueur intime glissait lentement sur ses cuisses.

    N’y tenant plus Parvati ouvrit la porte de la cabine en grand, faisant sursauter Neville qui se retourna, les mains sur son membre qu’il ne parvenait même pas à cacher en entier.

« P… P… Parvati ? Que… Qu’est-ce que… tu fais… là ?
_ Oh, les toilettes des filles étaient… impraticables. Mais toi qu’est-ce que tu fais tout seul ?
_ Euh… Ginny est… enfin… elle m’a lâché quoi. Répondit Neville en se tordant pour essayer de mieux cacher son sexe.
_ Oui, mon cavalier aussi est parti plus tôt que prévu. Il devait ignorer que les cavaliers restent en général ensemble après le bal.
_ Euh… oui… effectivement. »

Neville ne semblait plus savoir où se mettre. Parvati lui sourit tendrement pour le mettre en confiance. Elle se rapprocha ;

« Enfin, au moins toi tu sembles mieux disposé. »

Elle entoura Neville de ses bras fins et l’embrassa. Le garçon frissona. Il avait un visage surpris lorsque Parvati s’écarta de lui, ses mains mollement posées sur son membre.

« J’en ai trop envie ! Laisse-toi aller, Neville ! »

Elle fit pression sur les épaules du jeune gryffondor pour qu’il s’asseye sur le trône. Elle s’écarta encore un peu, s’adossant à la porte qu’elle avait refermée au préalable.

    Parvati fit glisser les bretelles de sa robe de ses épaules à ses bras. Elle retirait son vêtement avec lenteur, effectuant une danse aussi sensuelle que le lui permettait l’étroitesse des lieux. Neville se masturbait de plus belle en regardant le strip-tease langoureux de sa camarade. Lorsqu’elle fut enfin nue, elle s’agenouilla sur le sol et approcha sa tête du ventre du jeune garçon. A l’instar de Lavande, elle prit le magnifique chibre entre ses lèvres. Bien qu’elle y mit du cœur, elle ne parvint pas à faire descendre sa petite bouche beaucoup plus loin que l’énorme gland. Pour compenser ses va et vient très court, elle s’efforçait d’utiliser au mieux sa langue agile. Elle caressait les bourses de Neville et imitait à nouveau sa meilleure amie en se masturbant de l’autre main. Le jeune garçon massait doucement la nuque de sa partenaire, accompagnant les mouvements de sa tête.

    Parvati releva soudain la tête et attrapa les épaules de Neville. Elle se hissa, jambes écartées, sur ses genoux et l’embrassa fougueusement. Le jeune garçon caressa ses seins, descendit sur son ventre plat et sa taille fine. Il la prit par les hanches, la souleva légèrement et la laissa s’empaler seule sur son membre extrêmement gonflé. Parvati s’abattit d’un seul coup sur le sexe et crut bien être transpercée de part en part. Rapidement remise du premier choc, elle se mit à monter et descendre le long du chibre qui lui écartelait le nid d’amour, accrochée au cou de son camarade. Elle ne put retenir ses gémissements qui se transformèrent rapidement en cris de jouissances. Neville lui caressait les seins des deux mains et laissait sa langue parcourir les deux monts de Venus. Il descendit ses mains sur le petit cul de Parvati. Il massait les deux globes de chair bien ferme en introduisant un doigt dans le puit d’amour de la jeune fille. Parvati lança alors un cri perçant en s’abattant d’un grand coup sur le membre de Neville. Sa liqueur d’amour se répandit sur les cuisses du jeune garçon. Elle était essoufflée et sa tête reposait sur l’épaule de son partenaire.

    Neville lui caressait toujours les fesses. Un doigt encore figé dans son anus, il souleva la jeune fille et dégagea son sexe encore très dur du bel abricot de son amie. Il lui laissa quelques minutes de répit en continuant de tordre son doigt dans le petit trou pour lui faire comprendre que la partie n’était pas encore finie. Ils finirent par se relever. Parvati se pencha vers la porte, plaçant son si beau cul le plus haut qu’elle put. Neville caressa le sexe humide de sa partenaire et plaça son gland sur le puit d’amour. Rares étaient les filles qui lui permettaient d’emprunter cette voie. Elles avaient trop peur de la taille peu ordinaire du membre du jeune garçon. Parvati ferma les yeux alors que Neville écartait ses fesses. Il entra en elle d’un seul coup brutal qui lui fit pousser un long hurlement de douleur. Le jeune garçon s’accrocha aux seins de sa camarade et commença de longs mouvements de va et vient. Le visage crispé par la douleur, Parvati criait sans se soucier d’être entendue. Son sexe ruisselait de plaisir. Neville augmentait encore la cadence. Puis il se figea du plus profond qu’il put entre les fesses de Parvati qui sentit la semence chaude de Neville se répandre dans le bas de son dos ce qui la fit jouir à nouveau.

    Les deux amants se rhabillèrent rapidement, se complimentant l’un l’autre puis rejoignirent leurs dortoirs. Parvati marchait sur la pointe des pieds pour ne pas réveiller Hermione et Lavande. Mais si un souffle lent lui indiquait que Hermione dormait vraiment, elle fut étonnée de voir Lavande dans un grand tee-shirt qui lui descendait jusqu’à mi-cuisse, debout devant son lit. Elle lui souriait. Parvati se déshabilla et enfila une nuisette légère. Elle s’allongea sous les draps frais et fut rejointe par son amie. Elles avaient l’habitude de dormir ensemble, parfois même avec Hermione mais cette dernière semblait vraiment trop épuisée. Elles s’enlacèrent tendrement.

« Alors ? Ta soirée ? Demanda Parvati.
_ Pas mal. Seamus était très gentil. On s’est bien amusé.
_ J’ai remarqué ! »

Elle lui raconta qu’elle les avait surpris dans les toilettes. Lavande n’en fut pas choquée, elle le lui aurait dit de toute façon.

« C’est aussi un bon danseur. Fit-elle en souriant. Et toi ? comment ça s’est passé ? »

Parvati lui raconta toute sa soirée en détail. Les garçons de Beauxbâtons, Rusard et sa cravache, et Neville.

« Les français attendent que nous les retrouvions un de ces jours, ça te tenterait aussi ?
_ Oui, ils avaient l’air très sympathiques. »

Parvati embrassa son amie. Elles entrelacèrent leurs jambes nues, savourant la douceur de leurs peaux. Lavande caressait tendrement les seins de sa camarade à travers l’étoffe légère. Cette dernière avait passé les mains sous le tee-shirt et s’attardait sur le ventre et les fesses de sa compagne. Mais elles étaient toutes deux trop fatiguées pour faire l’amour et décidèrent sagement de dormir.



    Elles rencontrèrent les garçons de Beauxbâtons le lendemain au détour d’un couloir. Mais ils leur était très difficile de parler au milieu de tout le monde. Seule Padma réussit à fixer un nouveau rendez-vous alors que les garçons mangeaient dans la grande salle à la table des serdaigles. Il fut convenu que les filles les retrouveraient devant le carrosse de Beauxbâtons lors de la prochaine sortie à Pré-au-lard.

    Le jour dit, les filles s’attardèrent dans la salle commune de gryffondor, où les avait rejoint Padma, laissant les autres partir devant. Elles se préparèrent avec soin, mettant des dessous particulièrement sexy mais se vêtant ensuite de robes plus austères pour ne pas éveiller les soupçons des professeurs et des autres élèves. Elles sortirent toutes trois, traversant des couloirs presque déserts. En se retrouvant dans le parc, elles attachèrent des ceintures à leurs tailles fines, les serrant un peu pour que l’étoffe colle au mieux à leurs formes adolescentes. Elles se présentèrent devant le carrosse et frappèrent à la porte. Le cavalier de Padma vint leur ouvrir et s’effaça pour les laisser entrer. Les filles furent frappées de stupeur. L’intérieur du carrosse était bien plus grand qu’il ne le paraissait à l’extérieur. Il faisait dans les quatre étage de haut, avec des escaliers en marbre. Au milieu du rez-de-chaussée se trouvait une fontaine projetant un liquide vert étincelant jusqu’au deuxième étage. Des tableaux et des miroirs ornaient les murs. Un lustre de cristal était accroché au plafond et dispensait une lumière feutrée.

« En bas nous avons la bibliothèque, les salles de travail, les laboratoires de potions et les appartements de Madame Maxime. Expliqua le français. Au premier se trouve les chambres des filles, le deuxième et le troisième contiennent des salles de repos, de jeux, les toilettes et les salles de bains et au quatrième ce sont les chambres des garçons. Nous vous ferons visiter si ça vous intéresse… un peu plus tard… pour l’instant suivez-moi. Nous serons tranquilles, les autres sont tous partis au village.»

Le garçon emprunta un escalier en enserrant la taille de Padma qui marchait à ses côtés. Il lui caressait les fesses et lui posait des baisers dans le cou. En passant par le premier étage, les filles remarquèrent que sur chaque porte était accroché un écriteau avec un nom. Apparemment, les élèves de Beauxbâtons avaient droit à des chambres personnelles. Ils s’arrêtèrent au deuxième étage devant une porte où était écrit « piscine ».Galamment, le garçon tint la porte ouverte tandis que les filles entraient. La piscine était grande et ronde. Des plantes vertes et des bancs de marbres étaient disposés un peu partout et une grande baie vitrée permettait de voir à l’extérieur sans que l’inverse soit possible si les filles en jugeait par le fait que de l’extérieur aucune vitre n’était visible sur le carrosse.

    Mais plus intéressant encore pour elles, allongés sur le sol, assis sur les bancs ou nageants dans la piscine, cinq garçons entièrement nus les regardaient, souriants.

« Et moi qui n’ait pas pensé à prendre un maillot de bain. Ironisa Parvati
_ Je crois que ça n’a pas grande importance, ma jolie. » Fit le cavalier de Padma qui se déshabillait.

Les filles enlevèrent leurs chaussures et s’approchèrent de la piscine en même temps que leur guide. Ce dernier leva soudain sa baguette magique dans leur dos et prononça :

« Ploufalo »

Les trois filles se sentirent soulevé du sol et firent un vol plané jusqu’au milieu de la piscine. Des garçons se portèrent aussitôt à leur secours et les aidèrent à remonter en riant. Les robes des filles flottaient au niveau de leurs torses, révélant leurs jambes, leurs petites culottes sexy et leurs tailles de guêpes.

« Tout va bien ? Demanda celui qui tenait étroitement Lavande par la taille. Ou vous faut-il une petite séance de bouche à bouche pour vous remettre ?
_ Je n’ai nul besoin d’eau pour ce genre de séance. » Répondit Lavande qui embrassa fougueusement son sauveur d’opérette.

Parvati et Padma l’imitèrent tandis que le reste des garçons sautaient également à l’eau. Les filles sentirent une multitude de mains se promener sur tout leur corps, notamment sur les parties déjà découvertes. Le cavalier de Parvati s’écarta un peu du groupe.

« On a beaucoup apprécié votre petit spectacle la dernière fois. Serait-il possible de voir le second acte pour que nos amis puissent juger de vos grandes capacités ? »

Les filles acquiescèrent et aussitôt les élèves de Beauxbâtons les lâchèrent et se positionnèrent au bord de la piscine, les yeux avides.

    Parvati prit Lavande par la taille et l’embrassa langoureusement, décollant légèrement ses lèvres pour que les garçons puissent voir le ballet de leurs langues. Padma passa les mains sous les petites culottes des filles et caressa les petits culs rebondit en embrassant sa sœur puis Lavande à tour de rôle. Parvati entreprit d’enlever la robe de son amie tandis que sa jumelle se positionnait derrière cette dernière, ses deux mains dans la petite culotte, caressant simultanément les fesses et le petit abricot. Lavande gémissait déjà lorsque sa camarade de gryffondor dégrafa son soutient gorge et se mit à lui sucer les seins tandis que sa sœur faisait glisser la petite culotte le long de ses jambes et l’en débarrassait. Les garçons de Beauxbâtons grandissaient à vue d’œil. Certains se masturbaient déjà, ne tenant plus alors que les jumelles, debouts, installaient leur amie en position allongée à la surface de l’eau. Parvati embrassait Lavande en lui caressant les seins tandis que Padma s’occupait de l’entrejambe avec sa langue et ses doigts.

    Jugeant que leur amie était fin prête, les deux sœurs la poussèrent avec douceur en direction des garçons. Deux d’entre eux l’attrapèrent et l’emmenèrent vers le bord tandis que les quatre autres s’avançaient vers les jumelles qui se débarrassaient rapidement de leurs vêtements. Un garçon s’assit sur le bord de la piscine et attira Lavande à lui. La jeune fille s’accrocha à ses jambes, le membre viril juste devant son visage, tandis qu’un autre français l’attrapa par les cuisses et la souleva pour positionner son beau coquillage à hauteur de son chibre. Lavande lécha les bourses du premier garçon puis son gland tandis que le second caressait fougueusement son intimité avec sa queue et que son pouce avait déjà pénétré son petit anneau. Le garçon sur le bord était trop échauffé. Il pris son membre et le fourra avec rudesse dans la petite bouche de Lavande puis appuya avec force sur la tête de celle-ci pour aller jusqu’au fond de l’étroite gorge. Le second pénétra alors sans ménagement entre les lèvres intimes et força le passage de l’anus avec son deuxième pouce. Rudoyée, Lavande en prit son parti et se mit à sucer et à trémousser ses jolies fesses avec fougue, envoyant les deux garçons aux anges.

    Le premier garçon qui s’était approché de Padma s’était positionné face à elle, l’avait soulevé par les fesses pour rabattre ensuite son petit sexe sur son membre viril et la pénétrer jusqu’à la garde du premier coup. La jeune serdaigle poussa un long gémissement de plaisir et voulu commencer son va et vient. Le français la prit par la taille, la souleva légèrement et la tint ainsi quelques secondes. Padma sentit des mains s’emparer de ses seins et un second chibre se presser contre son anus. D’un coup de rein, elle alla au devant du membre viril et se retrouva empaler par ses deux orifices intimes. Les garçons la laissèrent aller à son gré sur leurs sexes. Le premier continuait de caresser le délicieux cul de la jeune fille d’une main tandis qu’il lui fourrait deux de ses autres doigts dans la bouche qu’elle suça avec avidité. Le second lui léchait la peau du dos avec douceur.
    Parvati pensa qu’elle allait se retrouver dans la même position que sa sœur et accueillie les deux garçons en souriant et en les regardant d’un air coquin. L’un d’eux se plaça effectivement derrière elle et commença à lui caressait les seins et son ventre plat avant de descendre vers son trésor intime. Le second pointa sur elle une baguette magique et lui lança un sortilège de Têtenbulle. La jeune gryffondor eut l’impression de se retrouver dans un bocal. Le garçon à la baguette posa une main sur sa nuque et appuya pour que la jeune fille se penche directement vers son sexe dressé qui franchit comme un rien la bulle et s’enfonça entre les lèvres de Parvati. Le garçon immobilisa la tête de la jeune fille et fit de long mouvement de va et vient sur la langue de la jeune sorcière sortant son chibre jusqu’au gland avant de l’enfoncer jusqu’à la garde d’un grand coup. Le second attrapa les hanches de Parvati en faisant glisser ses jambes et elle se retrouva allongée sous l’eau. Elle s’accrocha aux fesses du garçon devant elle et entoura le second de ses jambes. Le membre de ce dernier se fraya un chemin entre les fesses, très serrées dans cette position, de la jeune gryffondor. Il s’arrêta lorsqu’il trouva l’anus et força le passage d’un coup brutal, arrachant à Parvati un cri de douleur qui se perdit dans l’eau.

    Les deux garçons qui avaient entreprit Lavande continuer d’agir assez brutalement mais ils notèrent que la jeune fille semblait apprécier. Soudainement, le garçon sur le bord repoussa la tête de la jeune gryffondor et se recula pour s’allonger complètement sur le sol. Le second se déchaussa alors de son sexe et de son cul. Il l’aida à sortir de l’eau et à monter sur le bord en la soulevant, les doigts profondément enfoncés dans son abricot et son anus. Le premier l’attira alors à lui, le dos contre son torse. Lavande eut alors la possibilité de voir ses amies dans la piscine avant que le deuxième garçon ne monte à son tour et lui cache la vue. Le garçon allongé souleva le petit cul de la gryffondor et l’empala sans ménagement par son puit secret. Elle cria de surprise et s’écroula, le dos sur le torse du français. Elle vit le second se plaçait entre ses jambes et écarta tout naturellement les cuisses pour lui faciliter le passage vers son beau coquillage. Mais il écarta les fesses de la jeune fille en les soulevant légèrement et pressa son gland sur l’anus déjà occupé. Lavande se mordit les lèvres lorsque le deuxième chibre la pénétra mais finalement elle ne put retenir un cri. Les garçons ne bougeaient pas et elle comprit que ce serait à elle de s’empaler sur les deux queues en même temps. Elle ondula des hanches en glissant la main vers son sexe inoccupé.

    Padma s’activait avec acharnement sur les deux membres des français. Mais le garçon derrière elle se retira soudain et s’approcha de son ami.

« Dis, tu veux bien me la laisser un peu tout seul, s’il te plaît ! »

Le second français parut surpris puis il acquiesça en souriant. Il embrassa Padma en lui caressant les seins avant de se retirer d’elle et de partir en direction du groupe de Parvati. Le garçon restant entraîna la jeune serdaigle vers le bord. C’était son cavalier du bal de Noël et Padma supposa qu’il devait être un peu tombé amoureux d’elle. Elle lui sourit tendrement et l’embrassa. Elle s’accrocha ensuite au bord de la piscine et, faisant face à son amant, elle l’attira avec ses jambes qu’elle enroula ensuite autour de sa taille. Le français ne se fit pas attendre et, tout en l’embrassant tendrement, il la pénétra. Il lui lécha les seins, mordillant ses petits tétons érigés. Il s’accrochait des deux mains à son magnifique petit cul et en profita pour laisser deux doigts se promener à l’intérieur du puit secret.

    Parvati appréciait les assauts de ses amants. Elle ne voyait rien de ce qui se passait à la surface et fut surprise de sentir deux mains supplémentaire lui pétrir les seins. Puis un deuxième sexe passa à travers la bulle et s’arrêta devant ses lèvres. Sans chercher à comprendre, Parvati ouvrit la bouche le plus grand qu’il lui fut possible pour accueillir deux queues en même temps. Elle sentit sa mâchoire se distendre, lui faisant même mal. Mais deux nouvelles mains s’étaient posées sur sa tête et l’obligeaient à subir les assauts des deux membres. Au bout d’un certain temps, les trois garçons se retirèrent en même temps. Parvati se releva en toussant. Les français annulèrent le sortilège et l’emmenèrent vers le bord. Là, l’un des garçons s’assit sur le sol de marbre, un autre se mit dos au mur, légèrement décalé par rapport au premier. Le troisième guida Parvarti. La jeune fille s’empala sur le chibre du français contre le mur tandis que son guide s’installait dans son petit anneau. Le dernier, assis, attira la tête de la gryffondor par dessus l’épaule de son ami et enfourna son sexe entre les lèvres accueillantes.

    Lavande se démenait de plus belle sur les deux sexes qui écartelaient son anus, tandis qu’elle sentait son sexe s’enflammer sous ses doigts. Le français qui lui faisait face sortit soudainement son membre de son petit cul douloureux, se leva rapidement, attrapa sans ménagement la tête de la jeune fille et enfonça son chibre d’un coup jusqu’à la garde. Il se répandit alors dans l’étroite gorge de Lavande qui eut du mal à tout avaler. Elle sentit alors le second lâcher sa semence dans son dos. Au contact des deux jets de sperme chaud, La jeune fille se contracta et jouit en criant et en libérant un flot de liqueur intime. Elle s’écroula sur le garçon dans son dos qui l’entoura de ses bras avec douceur.

    Padma ruait avec force sur les coups de boutoir de son amant. Il était proche de la jouissance tout comme elle. Au moment où elle entendit les cris de Lavande, elle sentit tout son corps parcouru d’un frisson électrique. Elle se redressa à la force du bassin et s’agrippa à la tête du français qui lui léchait toujours les seins avec délectation. Elle s’abattit une dernière fois sur le membre tendu et jouit en criant également. Elle s’affaissa sur le corps de son amant mais celui-ci ne lui laissa pas de temps de repos. Il la souleva par les fesses et appuya sur ses épaules et sa tête pour la faire pénétrer sous l’eau sans sortilège de têtenbulle. Padma se retrouva face à face avec le sexe qu’elle prit immédiatement dans la bouche. Elle n’eut pas à le sucer longtemps avant que le français n’éjacule et elle bu goulûment le doux nectar. Puis elle sortit la tête de l’eau, souriante, et embrassa son amant en continuant de caresser son sexe d’une main.

    Sous les différents assauts des garçons, Parvati ne pouvait plus faire le moindre mouvement. Elle sentait des mains la caresser sur tout le corps. Des langues parcouraient son dos et sa poitrine. Elle se sentait doucement venir lorsque le garçon derrière elle se figea dans son petit cul. Presque aussitôt, celui qui lui faisait face stoppa également, profondément enfoncé dans son sexe. Tout de suite après, celui qui était assis fit pression sur sa nuque pour qu’elle cesse de bouger la tête. Comme s’ils avaient été synchronisés, les trois français éjaculèrent en même temps, inondant le ventre, le dos et la gorge de Parvati. En sentant les trois rivières de sperme qui s’écoulaient en elle, la jeune fille jouit avec force sans pour autant lâcher le chibre entre ses lèvres. Les trois garçons se retirèrent et aidèrent une Parvati sans force à se hisser sur le bord de la piscine.

    Les filles firent sécher leurs vêtements par magie. L’un des français pointa une baguette magique sur la piscine et prononça :

« Aqua Recuro »

L’eau, souillée par les nombreuses liqueurs intimes redevint claire. Les filles embrassèrent les garçons un par un puis se décidèrent à repartir au château. Fourbues, elles mangèrent à peine au dîner mais sourirent discrètement aux garçons de Beauxbâtons à la table des serdaigles. Padma était assise à côté de son cavalier et tous deux parlaient à voix basse en se souriant discrètement.
Parvati et Lavande remontèrent ensuite dans leur dortoir où Hermione lisait un livre. Cette dernière s’inquiétant de l’étrange démarche de Lavande. En mettant leurs tenues de nuit, elles lui expliquèrent alors ce qui s’était passé avec les français et surtout la douloureuse double pénétration.

« Pauvre Lavande ! »

Hermione avait rejoins les filles sur le lit de Parvati. Elle caressa la cuisse de Lavande et remonta son tee-shirt jusqu’à la taille. Elle s’agenouilla.

« Je vais te soigner un peu. Tu verras, ça ira mieux après. »

Hermione écarta les deux jolies fesses de Lavande et promena sa langue sur le petit puit endolori tandis que Parvati enlevait sa nuisette et se pencha entre les cuisses de sa meilleure amie. Les filles se firent jouir les unes après les autres et s’enlacèrent tendrement, entièrement nues. Lavande, exténuée, fut la première à s’endormir, sous les douces caresses de ses amies. Hermione et Parvati, leurs mains parcourant toujours leurs corps ainsi que celui de leur amie plongée dans le sommeil, parlaient à voix feutrées.

« Mais alors, fit soudainement Hermione avec un sourire malicieux, vous risquez d’être bientôt invitée à passer les vacances en France ? Chez… euh… comment s’appellent vos amis au fait ?
_ Aucune idée ! Répondit Parvati. J’ai totalement oublié de leur demander. »

Riants doucement, les filles décidèrent qu’il était bien assez tard, posèrent leurs têtes sur les oreillers et s’endormirent.
 
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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