Participation

hog.gif

Recherche

Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00
Loup solitaire

Une aventure sexuelle de Harry Potter en cinquième année.



Avec : Nymphadora Tonks et Remus Lupin.






Le couloir était sombre et mal éclairé. Tonks frissonna. Elle n’aimait pas la maison. Elle n’était au quartier général de l’ordre du phœnix que par obligation. Et ce n’était vraiment pas drôle, surtout depuis la rentrée scolaire et le départ de Hermione et Ginny. En dehors des réunions, l’endroit était d’un calme mortuaire. Un tombeau immense. Elle plaignait sincèrement le pauvre Sirius qui devait rester ici tout le temps, affrontant sans cesse les spectres du passé que lui rappelait cette maison. Tonks, bien que de la même famille que les Blacks, n’était jamais venue ici avant la refondation de l’ordre. Sa mère n’étant plus désirée aux réunions de famille depuis qu’elle s’était mariée à un sorcier d’origine moldue.

Elle avança d’un pas, le parquet craquant sous son poids pourtant léger. Elle avait presque l’impression que le sol geignait. Elle sentit un courant d’air froid sur ses jambes. Prête à aller se coucher, elle déambulait dans la maison dans un grand et unique tee-shirt à l’effigie des Bizarr’s Sisters. Elle avança doucement pour faire le moins de bruits possible, cherchant à regagner sa chambre. Elle avait décidé de passer la nuit au 12 square Grimmaurd car la dernière réunion s’était finie tardivement et qu’elle devait finir un rapport important pour Dumbledore le plus tôt possible demain matin. Or il lui était plus simple de l’envoyer depuis le quartier général.

Tonks était gelée. Elle ne voulait pas aller plus vite pour ne réveiller personne mais elle ne pensait plus qu’à aller se mettre au chaud sous les couvertures dans l’une des chambres nettoyées par Molly et les filles pour accueillir les membres de l’ordre. Elle avait d’ailleurs pris la chambre qu’Hermione et Ginny avaient quitté en début septembre. Un peu de leurs parfums avait imprégné les murs durant leur passage et Tonks se sentait mieux dans cette chambre que partout ailleurs dans la maison. En l’honneur de Ginny, elle s’était même essayée ce soir aux cheveux roux, flamboyants, mais qu’elle préférait quand même garder mi-longs, tombants sur ses épaules. Elle était impatiente de voir ce que cela donnerait demain à la lumière du jour.

Tonks arriva enfin devant la porte de sa chambre. Elle posa la main sur la poignée lorsqu’elle entendit une sorte de sanglot étouffé, provenant de la chambre face à la sienne. Un faible son de lamentations s’entendait toujours. Elle s’approcha et constata que la porte était entrouverte. Elle regarda avec discrétion, ayant soudain l’impression de repasser ses examens d’Auror. A l’intérieur de la chambre se trouvait Remus Lupin. Il était revenu d’une mission depuis plusieurs jours mais avait à nouveau disparu lors de la pleine lune. Comme tous les membres de l’ordre, Tonks savait que Lupin était un loup garou. Le professeur Rogue lui préparait toujours la potion Tue-loup, mais il ne pouvait rester au quartier général durant ses transformations. Il y avait trop de passage.. Il n’était revenu qu’hier, avec un teint maladif et un pâle sourire.

Tonks sentit un vague à l’âme l’envahir en contemplant la tristesse de son ami. Elle l’avait toujours beaucoup apprécié, surtout lorsqu’il lui avait donné de nombreux conseils lors de ses examens d’Auror. En plus elle lui trouvait beaucoup de charme malgré son air fatigué. Elle décida qu’elle ne pouvait le laisser ainsi. Elle poussa la porte en cognant légèrement dessus. Lupin sursauta.

« Tonks ? Qu’est-ce que tu fais ici ?
_ Je suis désolée, Remus, répondit Tonks toujours sur le palier. Je revenais de la salle de bain et je t’ai entendu. Je ne voulais pas t’espionner. Je voulais juste voir si tu allais bien.
_ Je sais. Ne t’inquiète pas pour moi. C’est juste… que par moment c’est difficile. »

Tonks entra dans la chambre et referma la porte pour que personne n’entendent leur conversation.

« C’est dur pour tout le monde en ce moment. Je sais que tu en endure plus que d’autres. Mais tu n’es pas le seul. Pense à Sirius, par exemple. Pour lui c’est une torture de tous les jours d’être ici. Et même Harry. Pleins d’élèves le croient fou. Et il paraît que cet Ombrage ne le lâche pas d’une semelle. »

Le visage de Tonks, plutôt pâle à l’accoutumée, devint légèrement rose tandis qu’elle prononçait la dernière phrase avec un soupçon d’aigreur. Malgré le peu de lumière dans la pièce, Lupin la trouva jolie en colère et il eut un petit rire.

« Tu as raison, je le sais bien. Mais je pourrai les aider plus facilement si je ne devais pas m’absenter chaque mois.
_ Tu en fais déjà assez. Ils peuvent aussi se débrouiller sans toi, s’ils savent que tu es tout de même près d’eux. »

La jeune femme alla s’asseoir sur le lit à coté de son ami. Elle lui trouvait un air touchant, son regard perdu, ses cheveux prématurément grisonnants et sa peau marquée par les épreuves. Elle lui prit la main. Elle était chaude et douce. Il se tourna vers elle, un peu surpris que Tonks lui parle et agisse ainsi alors qu’il l’avait toujours considéré comme ayant encore un esprit d’enfant. Mais il ne considérait pas cela comme un problème. Bien au contraire, cela faisait tout le charme de la jeune femme.

    Toutefois à ce moment-là, c’était une adulte qu’il contemplait. Encore jeune certes. Un écart de presque une génération. Mais une adulte. Elle avait un air sérieux mais doux avec ses yeux sombres et sincères et un sourire très léger. La pâleur de son visage en cœur semblait luire faiblement dans l’obscurité de la chambre. Avant même qu’il ne comprenne pourquoi, il approcha sa tête de celle de Tonks et prit ses lèvres avec tendresse. La jeune femme eut un petit soubresaut de surprise mais ne bougea pas. Lupin savoura la douceur de ses lèvres alors qu’inconsciemment il serrait la main de Tonks.

    Il écarquilla les yeux soudainement et se retira vivement, l’air apeuré.

« Tonks ! Je ne… je voulais… je ne sais pas… »

La jeune Auror le regardait avec surprise, sa main toujours dans celle de Lupin.

« Je suis désolé ! Je ne voulais… j’étais tellement seul ces derniers jours. Je ne… »

La jeune femme entrouvrit légèrement les lèvres et ne dit qu’un seul mot à voix basse, presque un murmure.

« Pourquoi… ?
_ Je ne sais pas, répondit vivement Lupin. Je suis…
_ Non, l’interrompit Tonks, les yeux pétillants. Pourquoi tu t’es arrêté ? »

Lupin resta sans voix devant la question de la jeune Auror. Elle souriait légèrement, les joues roses en évitant de regarder son ami.

« Tu… tu embrasses bien, fit-elle devenant maintenant complètement rouge. C’était… bien. »

Avant qu’il n’ait eu même le temps de penser à ce qu’il pourrait lui dire, Tonks posa les mains sur ses épaules et l’embrassa à son tour avec plus de fougue. Lupin, surpris, avança ses bras pour la repousser, mais, à son grand étonnement, il finit par les poser délicatement autour de la taille de la jeune femme et la serra contre lui.

    Tonks rompit doucement le contact de leurs lèvres et posa sa tête sur l’épaule de son ami.

« Je crois que tu m’as toujours fait un certain effet, fit-elle d’une voix un peu tremblante. J’ai toujours aimé que tu sois près de moi. Sans vraiment savoir ce que ça signifiait vraiment. »

Lupin ne voyait pas le visage enfouit au creux de son cou mais il le devinait virant au rouge pivoine en sentant la douce chaleur qui s’en dégageait. Il pencha la tête et posa un baiser dans le cou de la jeune Auror qu’il sentit frémir. Ses mains caressèrent le dos légèrement courbé de Tonks à travers le tee-shirt léger. Il sentait tout le corps de la jeune femme devenir plus chaud, comme un rayon de soleil matinal, tandis qu’elle se collait encore un peu plus à lui. Il sentit la belle poitrine de Tonks se presser contre son torse tandis que la cuisse nue de la jeune femme était posée en travers de ses jambes et remontait lentement.

    Elle se souleva un peu et fit pression sur Lupin pour qu’il s’allonge sur le matelas. Elle se coucha alors sur lui, continuant de l’embrasser et se mit à tirer sur la robe de sorcier pour la faire remonter. Lorsqu’elle eut dégagé le ventre, Lupin se sentit soudainement apeuré. Il était seul. Cela le taraudait tellement qu’il laissait faire Tonks sans rien dire. Depuis qu’il l’avait connu, il avait toujours apprécié la jeune femme. Il la trouvait mignonne, intelligente et drôle. Mais il se disait qu’il n’était pas amoureux. Or Tonks éprouvait des sentiments pour lui. Il fut soudain dégoûté de son attitude. Il attrapa la jeune Auror par les épaules et la souleva un peu.

« Non, fit-il avec douceur. Je ne peux pas te laisser continuer. Je t’aime beaucoup, Tonks, mais je ne sais pas si c’est à ce point. »

La jeune femme avait un visage grave, inhabituel. Elle sembla réfléchir quelques secondes puis elle murmura en souriant.

« Peu m’importe ! Ecoute, accorde-moi juste cette nuit. Juste celle-là. Je ne suis plus une enfant. Je suis consciente de ce que je fais, que ça ne mènera peut être à rien. Mais laisse-moi prendre ce risque. Moi aussi parfois je me sens seule. »

Ce fut cette dernière phrase, plus que toutes les autres, qui eut raison de la peur de Lupin. Il laissa de nouveau le corps de la jeune Auror s’allonger sur le sien. Elle reprit ses baisers langoureux tandis qu’elle finissait d’enlever la robe de sorcier. Il sentit son sexe se dresser peu à peu sous les caresses sensuelles des doigts et des lèvres.



    Lupin laissa alors ses mains glisser sur tout le corps de la jeune femme. L’une d’elle caressait toujours le dos tandis que l’autre descendait avec lenteur sur les fesses rondes puis sur la cuisse nue de Tonks. Il savoura la douceur de la peau tandis que la jeune femme posait ses lèvres sur son torse et laissa sa langue s’y promener. Il remonta sa main vers le petit cul tendre, passant sous le tee-shirt qu’il fit ensuite remonter en tirant avec sa deuxième main. Tonks frémit en sentant son ventre nu en contact avec le membre dur de Lupin. Tout en continuant à lécher le torse et le cou de son ami, elle descendit une petite main vers le pieu de chair et se mit à le caresser avec douceur. Lupin finit d’enlever le tee-shirt en révélant les seins fermes aux tétons érigés qu’il savoura contre son ventre. Sa verge grandit encore un peu sous les tendres mouvements de Tonks. Il descendit entre les cuisses de la jeune Auror et posa ses doigts sur le petit sexe trempé qu’il se mit à masser langoureusement. Elle se mit à gémir faiblement en se tournant un peu sur le côté pour faciliter l’accès à son trésor intime, regardant son ami avec des yeux quémandeurs, presque plaintifs.

    Lupin engouffra un doigt entre les lèvres inférieures. Il s’enfonçait avec lenteur, apparemment au grand plaisir de la jeune femme dont le visage se crispa un peu. Elle resserra ses doigts autour du chibre qu’elle caressait toujours. Lupin entra en elle jusqu’à ce qu’il sentit une paroi l’empêcher de continuer. Tonks était encore vierge. Il s’arrêta net. Non, il ne pouvait pas lui faire ça, pas maintenant. La jeune femme sembla deviner son trouble. Avec rapidité, elle se retrouva à genoux au dessus de lui et se positionna pour avoir le sexe dressé, qu’elle tenait toujours, entre les cuisses. Elle se pencha légèrement en avant, posa sa main libre sur le torse de son ami et abaissa ses fesses en guidant le chibre vers l’entrée des plaisirs. Elle s’empala d’elle-même sur le membre sans aller au bout. Lupin sentit son gland se presser contre l’hymen de la jeune Auror. Elle le regarda avec des yeux ardents de désir et murmura faiblement :

« S’il te plaît ! »

Il sut qu’il ne pourrait pas résister. Il posa ses mains sur la fine taille de Tonks et donna un petit coup de rein qui transperça la faible paroi. La jeune Auror poussa un petit cri puis se remit à descendre le long du sexe jusqu’à se retrouver assise sur les cuisses de son amant.

    Elle sentait son homme douter encore. Elle lui prit alors les mains et les posa sur ses beaux seins en entamant un voluptueux mouvement de hanches qui donnait l’impression que ses jolies fesses glissaient sur le membre durcit. Lupin gémissait sous ses assauts en caressant tendrement la poitrine de la jeune femme. Il trouva pourtant qu’elle se débrouillait très bien pour une fille qui venait juste de perdre sa virginité. Mais il savait que Tonks était pleine de surprises. Elle s’allongea entièrement sur lui et l’embrassa vigoureusement. Tout son corps se frottait à celui de son amant tandis qu’elle s’abattait avec de plus en plus de force sur le sexe viril. Lupin caressait son dos nu, aussi doux et lisse que le satin et il descendit vers les deux fesses rondes qu’il enferma au creux de ses paumes.

    Tonks se démenait avec plaisir sur le chibre de son amant en embrassant chaque parcelle de son visage, comme si elle voulait lui dévorer la tête. Elle se cabra soudain, poussa un cri et retomba sur le corps de Lupin tandis que leurs entrecuisses se trouvèrent inondés. Il entoura la jeune femme de ses bras et la serra un peu pour graver en lui la douce chaleur qu’elle émanait. Tonks se redressa un peu, en souriant. Elle relâcha le membre de son amant qui n’avait pas encore jouit et se mit à glisser vers ses jambes. Elle arrêta sa poitrine à la hauteur du sexe viril. Elle jeta un regard malicieux à Lupin puis elle plissa les yeux comme si elle se concentrait. Aussitôt, ses seins se mirent à grossir pour atteindre la taille de ballon de foot qui restaient toutefois bien fermes. Pendant les quelques instants de bonheur qu’il venait de connaître, Lupin avait oublié que Tonks était une métamorphomage. Il se rendit compte que rien d’autre ne comptait pour lui que la jeune femme qui le caressait si tendrement et l’amour qu’il lui portait. Pendant ce temps, elle s’était abaissée vers le chibre et le léchait avec lenteur bien qu’il n’eut pas besoin de plus d’excitation encore. Tonks mit alors le membre dur entre ses seins qu’elle pressa avant de commencer à monter et descendre le long de la tige tendue, regardant Lupin gémir de plaisir. Malgré la volupté des caresses de la jeune Auror et ses sentiments pour elle, il ne put s’empêcher de penser qu’elle semblait presque experte avec les sexes masculins et se demanda d’où pouvait bien lui provenir tant d’expérience en ce domaine puisqu’il avait pris sa virginité.

    Maintenant, Tonks s’était mise à le sucer avec délectation tout en lui caressant les cuisses et le ventre. Lupin appréciait la langue experte qui allait de son gland à la garde et les lèvres douces qui l’entouraient. Il se redressa, prenant appuie sur l’un de ses coudes, et caressa tendrement les cheveux de sa douce. Il sentait le plaisir arriver. Tonks sembla le comprendre également car elle laissa ses lèvres autour du gland tandis qu’elle masturbait le membre d’une main fougueuse. Lupin crut qu’un torrent déchaîné parcourait son sexe et se répandait sur la langue de la jeune femme qui se régalait du nectar de plaisir de son homme. Elle avala chaque jet de sperme avec un sourire et lécha les derniers restes sur le dard encore frémissant, le nettoyant avec application. Lupin l’attira à lui et embrassa ses lèvres salées en caressant son corps et notamment la voluptueuse poitrine.

« Tu aimes ? Lui demanda-t-elle d’un air malicieux.
_ Oui. Mais je te préfère quand même au naturel. Tu es bien plus mignonne en restant simple. »

Tonks le remercia d’un autre baiser puis plissa à nouveau les yeux. Ses seins retrouvèrent leur taille originelle qui suffisait amplement aux mains qui voulaient les découvrir. Lupin commença à les caresser et à les lécher tout en faisant doucement tomber son amante sur le lit. Il massait lentement les deux monts de vénus sous les gémissements ravis de sa compagne. Sa langue entourait successivement les deux pointes de chair érigées. Puis il descendit sa tête sur le ventre plat, s’arrêtant un peu à hauteur du nombril pour le lécher tendrement et reprenant son délicieux chemin vers la source de tous les plaisirs.

    Lupin voulait plus que tout donner du plaisir à Tonks. S’il n’était pas sûr de ses sentiments envers elle, alors la seule chose qu’il pouvait lui apporter c’était la jouissance. Il posa sa langue sur l’intimité humide de la jeune femme et se mit à la lécher dans de longs mouvements. Il prit son bouton d’amour entre deux doigts et se mit à le masturber comme un petit sexe. Tonks gémissait en cambrant les reins. Un flot de sa liqueur d’amour vint se perdre dans la bouche de Lupin. Il remonta ses lèvres pour entourer le doux clitoris tandis qu’il faisait pénétrer deux doigts dans le trésor intime de son amante. Il s’arrêta alors étonné. Comme la première fois qu’il l’avait pénétré de ses doigts, il venait d’être arrêté par une mince paroi. Il lança un regard perdu à Tonks qui souriait d’un air un peu moqueur.

« Je suis une métamorphomage, dit-elle avec malice. Je peux changer ce que bon me semble dans mon corps. Et je peux offrir plusieurs fois ma virginité. J’ai connu pas mal de garçons dans ma vie. Ils ont tous cru être les premiers. Quelque part ils étaient un peu plus fidèles grâce à ça. Ils pensaient tous avoir eu un grand honneur… ou m’avoir fait un grand honneur pour les plus vantards. Mais tu es le premier à qui je révèle mon secret.
_ Tu faisais donc semblant la première fois ?
_ Oh non, rassure-toi. J’ai toujours sentit quelque chose dans ces moments-là. Ce n’est plus aussi fort que la toute première fois, c’est vrai, mais ça me fait toujours beaucoup d’effets. »

Elle lui sourit encore et tendit une main pour caresser les cheveux grisonnants de son homme avec tendresse. Lupin se traita d’idiot. Il aurait dû y penser bien avant. Mais encore une fois il ne voyait plus en Tonks une métamorphomage. Juste une jeune femme à qui il voulait donner du plaisir.

Souriant à son tour il repris ses caresses, faisant bien attention de préserver la faible paroi pour plus tard. Il but encore de longues gorgées de jus de jouissance sous les petits cris de sa douce puis il remonta vers son tendre visage. Il l’embrassa avec fougue tandis que son membre approchait de l’intimité ruisselante. Il la pénétra avec lenteur jusqu’à ce qu’il soit tout contre le voile intime puis, d’un coup de reins, l’hymen fut à nouveau vaincu alors que Tonks poussa un petit cri. Lupin était encore pris dans un sexe étroit de vierge. Il en ressentait un incroyable plaisir en allant et venant dans le trésor intime de sa douce qui gémissait de plaisir sous chaque coup de boutoir. Il embrassait ses lèvres, laissant les langues se caresser mutuellement, et massaient avec volupté la belle poitrine de Tonks. Il était au bord de la jouissance mais il ne voulait pas venir trop vite. La jeune Auror semblait en pleine extase et il refusait de s’arrêter tant qu’elle n’aurait pas goûter pleinement au plaisir. Il la sentit bientôt se tendre et elle lança sa tête en arrière lâchant un cri aigu tandis qu’elle jouit en inondant le sexe de son amant. Il s’avoua enfin vaincu et s’apprêta à se retirer de sa douce pour éjaculer. Mais Tonks sentit qu’il se dégageait et elle referma les jambes sur son bassin, le maintenant du plus fermement qu’elle put tout contre elle. Lupin n’eut pas le choix et ne lutta pas. Il se figea du plus profond qu’il lui était possible dans le ventre de sa douce et laissa couler son nectar de jouissance. Il s’écroula sur le doux corps de Tonks et la prit dans ses bras en la berçant tendrement. Un courant d’air léger les frôla et ils se réfugièrent bien vite sous les couvertures, l’un contre l’autre. Le sommeil les prit par surprise.

Au petit matin, Lupin fut le premier à se réveiller. Tonks dormait encore contre lui, la tête posée sur son torse et un bras entourant sa taille. Elle avait un petit sourire aux lèvres et sa respiration faible mais chaude caressait la poitrine de son amant. Lupin se sentait bien. Mieux qu’il ne s’était sentit depuis bien longtemps. Il regardait le visage en cœur de Tonks aux joues encore un peu rose et se demanda s’il aurait un jour l’envie de détourner les yeux. La nuit lui avait porté conseil. Il avait toujours eu beaucoup de tendresse pour la jeune Auror mais il s’était rendu à l’évidence que cela cachait bien d’autre chose. Il ne pensa même pas à la prochaine pleine lune, ni à toutes celles qui suivraient. Il ne pensait qu’à elle, couchée contre son flanc, dans un air si paisible. Il ne voulait pas la réveiller. La cruelle réalité et leurs obligations pour l'ordre pouvait attendre encore un peu. Il posa un baiser délicat sur son front et murmura un « je t’aime » à la jeune endormie. Un instant il crut que le sourire de Tonks s’était un peu élargit. Puis il posa sa tête sur l’oreiller en resserrant un peu et avec précaution son étreinte sur sa douce. Il savoura la douceur de sa peau sur la sienne. Et il ne bougea plus.
 
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires
Retour à l'accueil
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés