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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00
Relations internationales

Une aventure sexuelle de Harry Potter en 4e année.


Avec Parvati Patil, Padma Patil, Lavande Brown, Seamus Finnigan, Neville Londubat et les garçons de Beauxbâtons.




    Le bal de Noël battait son plein. La plupart des élèves de Poudlard s’amusaient beaucoup sur les sons déchaînés des Bizarr’s Sisters. Mais certains étaient maussades. Notamment Harry et Ron qui, bien qu’ayant trouvé des cavalières in extremis, avaient délaissé ces dernières. Parvati et Padma Patil avaient tout d’abord été ravies d’être invitées par l’un des champions de l’école du tournoi des trois sorciers et par l’un de ses proches amis. Mais les pauvres avaient vite déchanté. Heureusement, des garçons de Beauxbatons les avaient invité à danser.

    Les deux français parlaient avec raffinement et galanterie mais leurs manières étaient un peu plus entreprenantes. Le cavalier de Parvati lui avait furtivement caressé une fesse en laissant glisser son bras de la taille de la jeune fille après un slow tandis que le cavalier de Padma lui avait légèrement palpé un sein en la faisant tourner sur un rock. Les deux sœurs appréciaient les approches des garçons. Elles savaient toutefois que le bal ne durerait pas éternellement et qu’il leur faudrait précipiter les choses pour finir la soirée en beauté. Elles se mirent rapidement d’accord en allant chercher des bièraubeurres. Elles entraînèrent leurs cavaliers sur la piste pendant un slow. Les deux jeunes filles se pressèrent contre les corps des garçons, faisant tout leur possible pour que pas un espace ne subsiste entre eux. Les deux français furent troublés par l’attitude sans équivoque des jeunes filles, mais pas autant que lorsque les mains des deux sœurs descendirent sur leurs fesses. Aussitôt, elles sentirent une bosse grandir contre leurs pubis.

    Avec un sourire malicieux, les deux jeunes filles entraînèrent alors leurs cavaliers dans le parc. La faible lumière de l’extérieur était parfois suffisante pour apercevoir quelques couples plus ou moins bien cachés derrière des buissons ou des arbres. En se faufilant discrètement vers l’arrière du château, les quatre jeunes gens eurent le temps d’apercevoir quelques personnes qui s’embrassaient chastement mais également d’autres bien moins prude. Ils virent Fleur Delacour prodiguer une fellation acharnée à un Roger Davies si hébété qu’il devait sûrement se croire dans un autre monde. Ils virent également Stebbins, un garçon de Serdaigle, sodomiser brutalement Faucett, une fille de Poufsouffle, qui se mordait les doigts pour ne pas gémir trop fort.

    Ils finirent par trouver un endroit à l’écart de tous les autres, uniquement éclairé par la lune. Les garçons embrassaient les filles et laissaient désormais leurs mains se promener librement sur les seins et les fesses de leurs partenaires. Mais les deux sœurs s’écartèrent de leurs cavaliers, leur faisant comprendre d’un signe qu’ils devaient patienter. Elles s’avancèrent un peu, leurs pas crissant dans la neige fraîche, et se positionnèrent de sorte que les garçons puissent bien les voir toutes les deux. Elles s’enlacèrent alors et s’embrassèrent, caressant chacune le corps de l’autre. Les français restèrent interdits devant le spectacle. Maintenant, les filles se massaient allègrement le sexe, entrecoupant leurs baisers de petits gémissements.

    Parvati passa derrière sa jumelle et entreprit de lui enlever sa robe. Elle embrassait et léchait chaque parcelle de peau qu’elle libérait de l’étoffe. Puis ce fut au tour de Padma de dévêtir langoureusement sa sœur. Aucune robe de sorcier n’aurait pu être assez ample pour cacher les érections des deux garçons qui avaient encore du mal à croire en leur chance. Les deux jeunes sorcières se tenaient étroitement enlacées, s’embrassant et se caressant de plus belle sous les rares flocons de neige qui tombait avec lenteur, donnant au tableau une impression de ralenti. Maintenant qu’elles étaient nues, il était très difficile de reconnaître les jumelles. Seules leurs coiffures permettaient encore de les distinguer. Elles bougeaient leurs deux corps graciles avec douceur, frottant leurs poitrines menues et fermes l’une contre l’autre et faisant glisser leurs sexes sur leurs cuisses.

    Padma descendit une main sur les fesses de sa sœur et introduisit deux doigts dans le petit anneau de Parvati qui en gémit de plaisir avant de lui rendre la pareille. Puis elle tourna la tête vers les garçons, encore ébahis.

« Je trouve qu’il fait froid. Je suis gelée, et ma sœur aussi ! Venez nous réchauffer ! »

Les deux français ne se firent pas prier et s’approchèrent des jeunes sorcières. Les deux sœurs se séparèrent et soulevèrent les robes des garçons, libérant leurs sexes gonflés. Parvati prit le chibre de son partenaire dans la main et le caressa langoureusement tandis qu’il lui suçait ses deux jolis seins en pomme comme s’il venait de trouver la plus délicieuse des nourritures après plusieurs jours de jeun. Padma s’était agenouillée devant son cavalier et pressait ses seins sur le membre viril, attrapant le gland qui dépassait avec sa bouche. Le garçon posa les mains sur la tête de la jeune serdaigle et commença à aller et venir sur sa poitrine, savourant la langue agile de la jeune fille.

    Le cavalier de Parvati descendit une main sur le petit cul de sa partenaire. Ses doigts fouillèrent entre les jambes de la jeune sorcière. Il avança deux doigts dans le coquillage glabre de Parvati tandis que son pouce s’enfonçait avec facilité dans le petit anus. La jeune gryffondor gémit en même temps que le cavalier de sa sœur qui appuya sur la tête de sa partenaire tandis qu’il inondait sa bouche. Padma avalait de longues gorgées de semences lorsqu’un cri de douleur retentit dans le parc.

    Tous tournèrent la tête vers la provenance du hurlement, la jeune serdaigle relâchant le sexe de son partenaire dont le dernier jet de sperme alla s’étaler sur les seins de la jeune fille. Un peu plus loin, Rusard, armé d’une cravache, frappait allègrement Stebbins et Faucett qui n’arrivaient pas à se relever. Le concierge profitait apparemment aussi du relâchement de l’attention des professeur pour se laisser aller à punir les élèves plus durement que Dumbeldore ne l’aurait permis. Il avait immobilisé le garçon avec son pied et s’acharnait désormais sur la jeune fille qui poussait des lamentations de douleurs, essayant de protéger les parties de son corps les plus sensibles avec les mains. Mais c’était vain car Rusard faisait preuve d’une indéniable habilité lorsqu’il s’agissait de punir les élèves et il atteignait toujours la cible qu’il avait choisis. A bout de force, Faucett s’écroula finalement sur le sol, sanglotante, les bras en croix. Miss Teigne s’approcha du sexe humide de la jeune poufsouffle et se mit à lécher la liqueur d’amour sous les gémissements indignés de la fille. Elle essaya de se relever pour repousser l’animal mais un coup de cravache la renvoya au sol. Rusard ricanait, plus heureux qu’il ne l’avait jamais paru.

« Allez, bois ma belle. Une humiliation comme ça, c’est encore trop doux pour ces vermines ! Mais ça devrait les retenir d’aller voir le directeur ! »

Tandis que Miss Teigne se régalait de l’entrejambe de Faucett, Rusard attrapa son balai et se mit à donner de violents coups de manche à Stebbins, qui regardait sa robe de sorcier, hors de portée, en pensant que sa baguette s’y trouvait. Il essayait également de se protéger mais, tout comme pour sa partenaire, cela ne lui servit à rien.

    Pendant ce temps, Parvati et Padma s’étaient rapidement habillées puis elles quittèrent discrètement leur cachette avec les garçons de Beauxbâtons. Rusard était trop occupé et ne les vit pas partir. Devant les portes du château, elles embrassèrent leurs cavaliers avec regrets.

« Pour ce soir c’est trop dangereux, murmura Parvati, mais ce n’est que partie remise. »

Elle fit un clin d’œil malicieux aux garçons dépités, puis elle rentra au château avec sa sœur. Cette dernière n’était pas très heureuse.

« D’abord cet idiot de Weasley qui ne pense qu’à son Hermione et maintenant Rusard qui nous coupe au moment le plus intéressant. Quelle soirée pourrie ! »

Parvarti pris sa jumelle dans ses bras pour la consoler et l’embrassa, savourant le goût salé de ses lèvres.

« Ne t’en fais pas ! Nous n’en sommes qu’à la moitié de l’année. On aura encore plein d’occasions de les revoir. »

Padma sourit. Les deux sœurs passèrent les portes du château et se séparèrent pour rejoindre leurs dortoirs respectifs.

    Parvati monta jusqu’à l’étage des Gryffondor mais avant de passer le portrait de la grosse dame elle s’arrêta aux toilettes des filles. Elle n’avait fait que quelques pas lorsqu’elle entendit un son étouffé en provenance d’une cabine. Elle s’approcha doucement et regarda par la serrure (qui ne servait à rien puisque les portes se verrouillaient par magie). A l’intérieur de la cabine elle vit Seamus Finnigan, assit sur le trône, tandis que sa cavalière de la soirée, Lavande Brown, agenouillée devant lui, le suçait frénétiquement. La jeune fille avait fait tomber le haut de sa robe sur ses hanches, libérant sa magnifique poitrine. Elle agitait une main sous sa robe et Parvati n’eut même pas besoin de deviner ce qu’elle faisait. Seamus s’était légèrement penché en avant pour caresser les seins de sa partenaire d’une main tandis qu’il appuyait sur la tête de la jeune fille de l’autre. Parvati aurait été tenté de les rejoindre, elle savait que Lavande n’y verrait aucun inconvénient et il était peu probable que Seamus s’y oppose, mais son envie pressante ne l’avait pas quitté. Elle décida d’aller dans les toilettes des garçons pour ne pas déranger le couple.

    Elle fit timidement quelques pas dans la salle puis, constatant que personne ne s’y trouvait, elle entra dans une cabine et put enfin se soulager. Tandis qu’elle s’essuyait, elle entendit la porte des toilettes s’ouvrir brutalement puis ce fut au tour d’une porte de cabine de s’ouvrir avec fracas. Parvati sortit en silence de sa cabine et essaya de se faufiler vers la sortie. La porte de la cabine occupée n’était même pas complètement fermée et elle vit Neville Londubat de dos, se croyant apparemment seul, occupé à se masturber furieusement en grommelant entre ses dents.

« Imbécile de Michael Corner ! Non mais quel crétin… »

Parvati ne put s’empêcher de le regarder. Neville n’avait certes pas inventé la poudre mais la nature l’avait doté d’un membre assez exceptionnel pour son âge. La jeune fille se sentit frémir. Voir cet énorme sexe s’agiter devant elle juste après avoir assisté à une fellation de sa meilleure amie et alors qu’elle était toujours frustrée de sa séparation brutale avec les français lui semblait une vraie torture. Son sexe était brûlant et sa liqueur intime glissait lentement sur ses cuisses.

    N’y tenant plus Parvati ouvrit la porte de la cabine en grand, faisant sursauter Neville qui se retourna, les mains sur son membre qu’il ne parvenait même pas à cacher en entier.

« P… P… Parvati ? Que… Qu’est-ce que… tu fais… là ?
_ Oh, les toilettes des filles étaient… impraticables. Mais toi qu’est-ce que tu fais tout seul ?
_ Euh… Ginny est… enfin… elle m’a lâché quoi. Répondit Neville en se tordant pour essayer de mieux cacher son sexe.
_ Oui, mon cavalier aussi est parti plus tôt que prévu. Il devait ignorer que les cavaliers restent en général ensemble après le bal.
_ Euh… oui… effectivement. »

Neville ne semblait plus savoir où se mettre. Parvati lui sourit tendrement pour le mettre en confiance. Elle se rapprocha ;

« Enfin, au moins toi tu sembles mieux disposé. »

Elle entoura Neville de ses bras fins et l’embrassa. Le garçon frissona. Il avait un visage surpris lorsque Parvati s’écarta de lui, ses mains mollement posées sur son membre.

« J’en ai trop envie ! Laisse-toi aller, Neville ! »

Elle fit pression sur les épaules du jeune gryffondor pour qu’il s’asseye sur le trône. Elle s’écarta encore un peu, s’adossant à la porte qu’elle avait refermée au préalable.

    Parvati fit glisser les bretelles de sa robe de ses épaules à ses bras. Elle retirait son vêtement avec lenteur, effectuant une danse aussi sensuelle que le lui permettait l’étroitesse des lieux. Neville se masturbait de plus belle en regardant le strip-tease langoureux de sa camarade. Lorsqu’elle fut enfin nue, elle s’agenouilla sur le sol et approcha sa tête du ventre du jeune garçon. A l’instar de Lavande, elle prit le magnifique chibre entre ses lèvres. Bien qu’elle y mit du cœur, elle ne parvint pas à faire descendre sa petite bouche beaucoup plus loin que l’énorme gland. Pour compenser ses va et vient très court, elle s’efforçait d’utiliser au mieux sa langue agile. Elle caressait les bourses de Neville et imitait à nouveau sa meilleure amie en se masturbant de l’autre main. Le jeune garçon massait doucement la nuque de sa partenaire, accompagnant les mouvements de sa tête.

    Parvati releva soudain la tête et attrapa les épaules de Neville. Elle se hissa, jambes écartées, sur ses genoux et l’embrassa fougueusement. Le jeune garçon caressa ses seins, descendit sur son ventre plat et sa taille fine. Il la prit par les hanches, la souleva légèrement et la laissa s’empaler seule sur son membre extrêmement gonflé. Parvati s’abattit d’un seul coup sur le sexe et crut bien être transpercée de part en part. Rapidement remise du premier choc, elle se mit à monter et descendre le long du chibre qui lui écartelait le nid d’amour, accrochée au cou de son camarade. Elle ne put retenir ses gémissements qui se transformèrent rapidement en cris de jouissances. Neville lui caressait les seins des deux mains et laissait sa langue parcourir les deux monts de Venus. Il descendit ses mains sur le petit cul de Parvati. Il massait les deux globes de chair bien ferme en introduisant un doigt dans le puit d’amour de la jeune fille. Parvati lança alors un cri perçant en s’abattant d’un grand coup sur le membre de Neville. Sa liqueur d’amour se répandit sur les cuisses du jeune garçon. Elle était essoufflée et sa tête reposait sur l’épaule de son partenaire.

    Neville lui caressait toujours les fesses. Un doigt encore figé dans son anus, il souleva la jeune fille et dégagea son sexe encore très dur du bel abricot de son amie. Il lui laissa quelques minutes de répit en continuant de tordre son doigt dans le petit trou pour lui faire comprendre que la partie n’était pas encore finie. Ils finirent par se relever. Parvati se pencha vers la porte, plaçant son si beau cul le plus haut qu’elle put. Neville caressa le sexe humide de sa partenaire et plaça son gland sur le puit d’amour. Rares étaient les filles qui lui permettaient d’emprunter cette voie. Elles avaient trop peur de la taille peu ordinaire du membre du jeune garçon. Parvati ferma les yeux alors que Neville écartait ses fesses. Il entra en elle d’un seul coup brutal qui lui fit pousser un long hurlement de douleur. Le jeune garçon s’accrocha aux seins de sa camarade et commença de longs mouvements de va et vient. Le visage crispé par la douleur, Parvati criait sans se soucier d’être entendue. Son sexe ruisselait de plaisir. Neville augmentait encore la cadence. Puis il se figea du plus profond qu’il put entre les fesses de Parvati qui sentit la semence chaude de Neville se répandre dans le bas de son dos ce qui la fit jouir à nouveau.

    Les deux amants se rhabillèrent rapidement, se complimentant l’un l’autre puis rejoignirent leurs dortoirs. Parvati marchait sur la pointe des pieds pour ne pas réveiller Hermione et Lavande. Mais si un souffle lent lui indiquait que Hermione dormait vraiment, elle fut étonnée de voir Lavande dans un grand tee-shirt qui lui descendait jusqu’à mi-cuisse, debout devant son lit. Elle lui souriait. Parvati se déshabilla et enfila une nuisette légère. Elle s’allongea sous les draps frais et fut rejointe par son amie. Elles avaient l’habitude de dormir ensemble, parfois même avec Hermione mais cette dernière semblait vraiment trop épuisée. Elles s’enlacèrent tendrement.

« Alors ? Ta soirée ? Demanda Parvati.
_ Pas mal. Seamus était très gentil. On s’est bien amusé.
_ J’ai remarqué ! »

Elle lui raconta qu’elle les avait surpris dans les toilettes. Lavande n’en fut pas choquée, elle le lui aurait dit de toute façon.

« C’est aussi un bon danseur. Fit-elle en souriant. Et toi ? comment ça s’est passé ? »

Parvati lui raconta toute sa soirée en détail. Les garçons de Beauxbâtons, Rusard et sa cravache, et Neville.

« Les français attendent que nous les retrouvions un de ces jours, ça te tenterait aussi ?
_ Oui, ils avaient l’air très sympathiques. »

Parvati embrassa son amie. Elles entrelacèrent leurs jambes nues, savourant la douceur de leurs peaux. Lavande caressait tendrement les seins de sa camarade à travers l’étoffe légère. Cette dernière avait passé les mains sous le tee-shirt et s’attardait sur le ventre et les fesses de sa compagne. Mais elles étaient toutes deux trop fatiguées pour faire l’amour et décidèrent sagement de dormir.



    Elles rencontrèrent les garçons de Beauxbâtons le lendemain au détour d’un couloir. Mais ils leur était très difficile de parler au milieu de tout le monde. Seule Padma réussit à fixer un nouveau rendez-vous alors que les garçons mangeaient dans la grande salle à la table des serdaigles. Il fut convenu que les filles les retrouveraient devant le carrosse de Beauxbâtons lors de la prochaine sortie à Pré-au-lard.

    Le jour dit, les filles s’attardèrent dans la salle commune de gryffondor, où les avait rejoint Padma, laissant les autres partir devant. Elles se préparèrent avec soin, mettant des dessous particulièrement sexy mais se vêtant ensuite de robes plus austères pour ne pas éveiller les soupçons des professeurs et des autres élèves. Elles sortirent toutes trois, traversant des couloirs presque déserts. En se retrouvant dans le parc, elles attachèrent des ceintures à leurs tailles fines, les serrant un peu pour que l’étoffe colle au mieux à leurs formes adolescentes. Elles se présentèrent devant le carrosse et frappèrent à la porte. Le cavalier de Padma vint leur ouvrir et s’effaça pour les laisser entrer. Les filles furent frappées de stupeur. L’intérieur du carrosse était bien plus grand qu’il ne le paraissait à l’extérieur. Il faisait dans les quatre étage de haut, avec des escaliers en marbre. Au milieu du rez-de-chaussée se trouvait une fontaine projetant un liquide vert étincelant jusqu’au deuxième étage. Des tableaux et des miroirs ornaient les murs. Un lustre de cristal était accroché au plafond et dispensait une lumière feutrée.

« En bas nous avons la bibliothèque, les salles de travail, les laboratoires de potions et les appartements de Madame Maxime. Expliqua le français. Au premier se trouve les chambres des filles, le deuxième et le troisième contiennent des salles de repos, de jeux, les toilettes et les salles de bains et au quatrième ce sont les chambres des garçons. Nous vous ferons visiter si ça vous intéresse… un peu plus tard… pour l’instant suivez-moi. Nous serons tranquilles, les autres sont tous partis au village.»

Le garçon emprunta un escalier en enserrant la taille de Padma qui marchait à ses côtés. Il lui caressait les fesses et lui posait des baisers dans le cou. En passant par le premier étage, les filles remarquèrent que sur chaque porte était accroché un écriteau avec un nom. Apparemment, les élèves de Beauxbâtons avaient droit à des chambres personnelles. Ils s’arrêtèrent au deuxième étage devant une porte où était écrit « piscine ».Galamment, le garçon tint la porte ouverte tandis que les filles entraient. La piscine était grande et ronde. Des plantes vertes et des bancs de marbres étaient disposés un peu partout et une grande baie vitrée permettait de voir à l’extérieur sans que l’inverse soit possible si les filles en jugeait par le fait que de l’extérieur aucune vitre n’était visible sur le carrosse.

    Mais plus intéressant encore pour elles, allongés sur le sol, assis sur les bancs ou nageants dans la piscine, cinq garçons entièrement nus les regardaient, souriants.

« Et moi qui n’ait pas pensé à prendre un maillot de bain. Ironisa Parvati
_ Je crois que ça n’a pas grande importance, ma jolie. » Fit le cavalier de Padma qui se déshabillait.

Les filles enlevèrent leurs chaussures et s’approchèrent de la piscine en même temps que leur guide. Ce dernier leva soudain sa baguette magique dans leur dos et prononça :

« Ploufalo »

Les trois filles se sentirent soulevé du sol et firent un vol plané jusqu’au milieu de la piscine. Des garçons se portèrent aussitôt à leur secours et les aidèrent à remonter en riant. Les robes des filles flottaient au niveau de leurs torses, révélant leurs jambes, leurs petites culottes sexy et leurs tailles de guêpes.

« Tout va bien ? Demanda celui qui tenait étroitement Lavande par la taille. Ou vous faut-il une petite séance de bouche à bouche pour vous remettre ?
_ Je n’ai nul besoin d’eau pour ce genre de séance. » Répondit Lavande qui embrassa fougueusement son sauveur d’opérette.

Parvati et Padma l’imitèrent tandis que le reste des garçons sautaient également à l’eau. Les filles sentirent une multitude de mains se promener sur tout leur corps, notamment sur les parties déjà découvertes. Le cavalier de Parvati s’écarta un peu du groupe.

« On a beaucoup apprécié votre petit spectacle la dernière fois. Serait-il possible de voir le second acte pour que nos amis puissent juger de vos grandes capacités ? »

Les filles acquiescèrent et aussitôt les élèves de Beauxbâtons les lâchèrent et se positionnèrent au bord de la piscine, les yeux avides.

    Parvati prit Lavande par la taille et l’embrassa langoureusement, décollant légèrement ses lèvres pour que les garçons puissent voir le ballet de leurs langues. Padma passa les mains sous les petites culottes des filles et caressa les petits culs rebondit en embrassant sa sœur puis Lavande à tour de rôle. Parvati entreprit d’enlever la robe de son amie tandis que sa jumelle se positionnait derrière cette dernière, ses deux mains dans la petite culotte, caressant simultanément les fesses et le petit abricot. Lavande gémissait déjà lorsque sa camarade de gryffondor dégrafa son soutient gorge et se mit à lui sucer les seins tandis que sa sœur faisait glisser la petite culotte le long de ses jambes et l’en débarrassait. Les garçons de Beauxbâtons grandissaient à vue d’œil. Certains se masturbaient déjà, ne tenant plus alors que les jumelles, debouts, installaient leur amie en position allongée à la surface de l’eau. Parvati embrassait Lavande en lui caressant les seins tandis que Padma s’occupait de l’entrejambe avec sa langue et ses doigts.

    Jugeant que leur amie était fin prête, les deux sœurs la poussèrent avec douceur en direction des garçons. Deux d’entre eux l’attrapèrent et l’emmenèrent vers le bord tandis que les quatre autres s’avançaient vers les jumelles qui se débarrassaient rapidement de leurs vêtements. Un garçon s’assit sur le bord de la piscine et attira Lavande à lui. La jeune fille s’accrocha à ses jambes, le membre viril juste devant son visage, tandis qu’un autre français l’attrapa par les cuisses et la souleva pour positionner son beau coquillage à hauteur de son chibre. Lavande lécha les bourses du premier garçon puis son gland tandis que le second caressait fougueusement son intimité avec sa queue et que son pouce avait déjà pénétré son petit anneau. Le garçon sur le bord était trop échauffé. Il pris son membre et le fourra avec rudesse dans la petite bouche de Lavande puis appuya avec force sur la tête de celle-ci pour aller jusqu’au fond de l’étroite gorge. Le second pénétra alors sans ménagement entre les lèvres intimes et força le passage de l’anus avec son deuxième pouce. Rudoyée, Lavande en prit son parti et se mit à sucer et à trémousser ses jolies fesses avec fougue, envoyant les deux garçons aux anges.

    Le premier garçon qui s’était approché de Padma s’était positionné face à elle, l’avait soulevé par les fesses pour rabattre ensuite son petit sexe sur son membre viril et la pénétrer jusqu’à la garde du premier coup. La jeune serdaigle poussa un long gémissement de plaisir et voulu commencer son va et vient. Le français la prit par la taille, la souleva légèrement et la tint ainsi quelques secondes. Padma sentit des mains s’emparer de ses seins et un second chibre se presser contre son anus. D’un coup de rein, elle alla au devant du membre viril et se retrouva empaler par ses deux orifices intimes. Les garçons la laissèrent aller à son gré sur leurs sexes. Le premier continuait de caresser le délicieux cul de la jeune fille d’une main tandis qu’il lui fourrait deux de ses autres doigts dans la bouche qu’elle suça avec avidité. Le second lui léchait la peau du dos avec douceur.
    Parvati pensa qu’elle allait se retrouver dans la même position que sa sœur et accueillie les deux garçons en souriant et en les regardant d’un air coquin. L’un d’eux se plaça effectivement derrière elle et commença à lui caressait les seins et son ventre plat avant de descendre vers son trésor intime. Le second pointa sur elle une baguette magique et lui lança un sortilège de Têtenbulle. La jeune gryffondor eut l’impression de se retrouver dans un bocal. Le garçon à la baguette posa une main sur sa nuque et appuya pour que la jeune fille se penche directement vers son sexe dressé qui franchit comme un rien la bulle et s’enfonça entre les lèvres de Parvati. Le garçon immobilisa la tête de la jeune fille et fit de long mouvement de va et vient sur la langue de la jeune sorcière sortant son chibre jusqu’au gland avant de l’enfoncer jusqu’à la garde d’un grand coup. Le second attrapa les hanches de Parvati en faisant glisser ses jambes et elle se retrouva allongée sous l’eau. Elle s’accrocha aux fesses du garçon devant elle et entoura le second de ses jambes. Le membre de ce dernier se fraya un chemin entre les fesses, très serrées dans cette position, de la jeune gryffondor. Il s’arrêta lorsqu’il trouva l’anus et força le passage d’un coup brutal, arrachant à Parvati un cri de douleur qui se perdit dans l’eau.

    Les deux garçons qui avaient entreprit Lavande continuer d’agir assez brutalement mais ils notèrent que la jeune fille semblait apprécier. Soudainement, le garçon sur le bord repoussa la tête de la jeune gryffondor et se recula pour s’allonger complètement sur le sol. Le second se déchaussa alors de son sexe et de son cul. Il l’aida à sortir de l’eau et à monter sur le bord en la soulevant, les doigts profondément enfoncés dans son abricot et son anus. Le premier l’attira alors à lui, le dos contre son torse. Lavande eut alors la possibilité de voir ses amies dans la piscine avant que le deuxième garçon ne monte à son tour et lui cache la vue. Le garçon allongé souleva le petit cul de la gryffondor et l’empala sans ménagement par son puit secret. Elle cria de surprise et s’écroula, le dos sur le torse du français. Elle vit le second se plaçait entre ses jambes et écarta tout naturellement les cuisses pour lui faciliter le passage vers son beau coquillage. Mais il écarta les fesses de la jeune fille en les soulevant légèrement et pressa son gland sur l’anus déjà occupé. Lavande se mordit les lèvres lorsque le deuxième chibre la pénétra mais finalement elle ne put retenir un cri. Les garçons ne bougeaient pas et elle comprit que ce serait à elle de s’empaler sur les deux queues en même temps. Elle ondula des hanches en glissant la main vers son sexe inoccupé.

    Padma s’activait avec acharnement sur les deux membres des français. Mais le garçon derrière elle se retira soudain et s’approcha de son ami.

« Dis, tu veux bien me la laisser un peu tout seul, s’il te plaît ! »

Le second français parut surpris puis il acquiesça en souriant. Il embrassa Padma en lui caressant les seins avant de se retirer d’elle et de partir en direction du groupe de Parvati. Le garçon restant entraîna la jeune serdaigle vers le bord. C’était son cavalier du bal de Noël et Padma supposa qu’il devait être un peu tombé amoureux d’elle. Elle lui sourit tendrement et l’embrassa. Elle s’accrocha ensuite au bord de la piscine et, faisant face à son amant, elle l’attira avec ses jambes qu’elle enroula ensuite autour de sa taille. Le français ne se fit pas attendre et, tout en l’embrassant tendrement, il la pénétra. Il lui lécha les seins, mordillant ses petits tétons érigés. Il s’accrochait des deux mains à son magnifique petit cul et en profita pour laisser deux doigts se promener à l’intérieur du puit secret.

    Parvati appréciait les assauts de ses amants. Elle ne voyait rien de ce qui se passait à la surface et fut surprise de sentir deux mains supplémentaire lui pétrir les seins. Puis un deuxième sexe passa à travers la bulle et s’arrêta devant ses lèvres. Sans chercher à comprendre, Parvati ouvrit la bouche le plus grand qu’il lui fut possible pour accueillir deux queues en même temps. Elle sentit sa mâchoire se distendre, lui faisant même mal. Mais deux nouvelles mains s’étaient posées sur sa tête et l’obligeaient à subir les assauts des deux membres. Au bout d’un certain temps, les trois garçons se retirèrent en même temps. Parvati se releva en toussant. Les français annulèrent le sortilège et l’emmenèrent vers le bord. Là, l’un des garçons s’assit sur le sol de marbre, un autre se mit dos au mur, légèrement décalé par rapport au premier. Le troisième guida Parvarti. La jeune fille s’empala sur le chibre du français contre le mur tandis que son guide s’installait dans son petit anneau. Le dernier, assis, attira la tête de la gryffondor par dessus l’épaule de son ami et enfourna son sexe entre les lèvres accueillantes.

    Lavande se démenait de plus belle sur les deux sexes qui écartelaient son anus, tandis qu’elle sentait son sexe s’enflammer sous ses doigts. Le français qui lui faisait face sortit soudainement son membre de son petit cul douloureux, se leva rapidement, attrapa sans ménagement la tête de la jeune fille et enfonça son chibre d’un coup jusqu’à la garde. Il se répandit alors dans l’étroite gorge de Lavande qui eut du mal à tout avaler. Elle sentit alors le second lâcher sa semence dans son dos. Au contact des deux jets de sperme chaud, La jeune fille se contracta et jouit en criant et en libérant un flot de liqueur intime. Elle s’écroula sur le garçon dans son dos qui l’entoura de ses bras avec douceur.

    Padma ruait avec force sur les coups de boutoir de son amant. Il était proche de la jouissance tout comme elle. Au moment où elle entendit les cris de Lavande, elle sentit tout son corps parcouru d’un frisson électrique. Elle se redressa à la force du bassin et s’agrippa à la tête du français qui lui léchait toujours les seins avec délectation. Elle s’abattit une dernière fois sur le membre tendu et jouit en criant également. Elle s’affaissa sur le corps de son amant mais celui-ci ne lui laissa pas de temps de repos. Il la souleva par les fesses et appuya sur ses épaules et sa tête pour la faire pénétrer sous l’eau sans sortilège de têtenbulle. Padma se retrouva face à face avec le sexe qu’elle prit immédiatement dans la bouche. Elle n’eut pas à le sucer longtemps avant que le français n’éjacule et elle bu goulûment le doux nectar. Puis elle sortit la tête de l’eau, souriante, et embrassa son amant en continuant de caresser son sexe d’une main.

    Sous les différents assauts des garçons, Parvati ne pouvait plus faire le moindre mouvement. Elle sentait des mains la caresser sur tout le corps. Des langues parcouraient son dos et sa poitrine. Elle se sentait doucement venir lorsque le garçon derrière elle se figea dans son petit cul. Presque aussitôt, celui qui lui faisait face stoppa également, profondément enfoncé dans son sexe. Tout de suite après, celui qui était assis fit pression sur sa nuque pour qu’elle cesse de bouger la tête. Comme s’ils avaient été synchronisés, les trois français éjaculèrent en même temps, inondant le ventre, le dos et la gorge de Parvati. En sentant les trois rivières de sperme qui s’écoulaient en elle, la jeune fille jouit avec force sans pour autant lâcher le chibre entre ses lèvres. Les trois garçons se retirèrent et aidèrent une Parvati sans force à se hisser sur le bord de la piscine.

    Les filles firent sécher leurs vêtements par magie. L’un des français pointa une baguette magique sur la piscine et prononça :

« Aqua Recuro »

L’eau, souillée par les nombreuses liqueurs intimes redevint claire. Les filles embrassèrent les garçons un par un puis se décidèrent à repartir au château. Fourbues, elles mangèrent à peine au dîner mais sourirent discrètement aux garçons de Beauxbâtons à la table des serdaigles. Padma était assise à côté de son cavalier et tous deux parlaient à voix basse en se souriant discrètement.
Parvati et Lavande remontèrent ensuite dans leur dortoir où Hermione lisait un livre. Cette dernière s’inquiétant de l’étrange démarche de Lavande. En mettant leurs tenues de nuit, elles lui expliquèrent alors ce qui s’était passé avec les français et surtout la douloureuse double pénétration.

« Pauvre Lavande ! »

Hermione avait rejoins les filles sur le lit de Parvati. Elle caressa la cuisse de Lavande et remonta son tee-shirt jusqu’à la taille. Elle s’agenouilla.

« Je vais te soigner un peu. Tu verras, ça ira mieux après. »

Hermione écarta les deux jolies fesses de Lavande et promena sa langue sur le petit puit endolori tandis que Parvati enlevait sa nuisette et se pencha entre les cuisses de sa meilleure amie. Les filles se firent jouir les unes après les autres et s’enlacèrent tendrement, entièrement nues. Lavande, exténuée, fut la première à s’endormir, sous les douces caresses de ses amies. Hermione et Parvati, leurs mains parcourant toujours leurs corps ainsi que celui de leur amie plongée dans le sommeil, parlaient à voix feutrées.

« Mais alors, fit soudainement Hermione avec un sourire malicieux, vous risquez d’être bientôt invitée à passer les vacances en France ? Chez… euh… comment s’appellent vos amis au fait ?
_ Aucune idée ! Répondit Parvati. J’ai totalement oublié de leur demander. »

Riants doucement, les filles décidèrent qu’il était bien assez tard, posèrent leurs têtes sur les oreillers et s’endormirent.
 
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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