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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00
Convocation mystérieuse

Une aventure sexuelle de Harry Potter en 2e année

Avec Hermione Granger, Susan Bones et Gilderoy Lockhart




« Miss Granger, pourrais-je vous parler en privé après le déjeuner ? »

Hermione sursauta lorsqu’elle entendit le professeur s’adresser à elle. Gilderoy Lockhart la regardait avec son habituel sourire idiot, révélant ses dents étincelantes. Elle en conclut déjà qu’elle n’avait commise aucune faute. Mais alors pourquoi un enseignant voudrait lui parler en privé ? Et surtout… lui. Ron se posait les mêmes questions lorsqu’ils descendirent dans la grande salle après le cours.

« Qu’est-ce qu’il te veut Lockhart ? Tu lui as envoyé une lettre d’amour ou quoi ?
_ RON ! Arrête de dire n’importe quoi. Je ne sais pas ce qu’il me veut. Je n’ai rien fait de particulier… je crois.
_ Peut être qu’il espère que tu pourras lui apprendre un ou deux sortilèges, intervint Harry à côté d’eux. Son cours était tout à fait nul… une fois de plus.
_ Ou peut être qu’il a simplement remarqué les petits cœurs dont tu as entouré ses cours sur ton emploi du temps ? »

Hermione rougit jusqu’aux oreilles mais ne répondit plus un mot. Elle mangea rapidement, essayant, avec difficulté, d’ignorer les ricanements narquois de Ron et de ne pas lui envoyer son jus de citrouille à la figure. Lorsqu’elle eut terminée, elle se leva et partit à grandes enjambées sans un regard en arrière.

Sa colère se dissipa tandis qu’elle gravissait les marches menant à l’étage de la salle de défense contre les forces du mal et elle se mit à réfléchir plus sérieusement. Il était vrai qu’elle n’était pas indifférente à Lockhart, même si elle aurait préféré se faire arracher la tête par un troll plutôt que de l’avouer, mais elle n’était pas la seule. Elle en avait parlé avec Hannah Abbot la veille encore. Elle lui avait énumérée le nombre de filles de Poufsouffle amoureuses du professeur. Si jamais Lockhart l’avait découverte, il n’avait pas pu passer à côté de toutes les autres. Mais si ce n’était pas ça… tout de même pas comme l’avait suggéré Harry afin qu’elle lui apprenne un sort. Même si elle reconnaissait un peu que leur professeur de défense contre les forces du mal n’était pas un excellent pédagogue, il n’accepterait jamais de s’abaisser à ce niveau. Sans en avoir compris d’avantage, Hermione était arrivée devant la porte du bureau.

Elle frappa et entra. Lockhart était assis derrière son bureau et paru surpris de son arrivée. Il avait rapidement mis sa main sur ses genoux, ou du moins c’est ce qu’il semblait à Hermione qui ne voyait que son torse.

« Miss Granger ! Je… vous… vous êtes rapide. Je ne… ne vous attendez pas si tôt. Je croyez avoir fermé la porte à clef.
_ Excusez-moi ! Bredouilla Hermione en rougissant à nouveau. Je reviendrai plus tard. »

Elle allait pour ressortir mais le professeur la rappela en reposant la main sur le bureau.

« Non, restez Miss Granger. J’ai été surpris c’est tout. Asseyez-vous, je vous prie. Mais fermez la porte avant… à clef cette fois-ci. Il ne faudrait pas que quelqu’un nous dérange encore. »

La jeune fille, confuse, referma la porte et la verrouilla. Bien qu’elle trouvait cela bizarre, elle ne voulait pas contester un ordre d’un professeur. Elle alla s’asseoir et donna la clef à Lockhart. Celui-ci se tenait presque allongé contre le dossier de son fauteuil et regardait la jeune Gryffondor avec un sourire charmeur.

« Si je ne me trompe pas Miss Granger, vous n’avez pas de cours après le déjeuner, n’est-ce pas ? (Hermione acquiesça) Bien, nous avons donc suffisamment de temps devant nous. J’ai remarqué que nombres d’élèves ne parviennent pas à lancer les sorts, pourtant simples, que je tente de leur enseigner. Bien sûr si je leur faisais une démonstration de mes talents ils seraient certes impressionnés mais ils ne comprendraient pas le fonctionnement réel d’un sort. »

Il eut un petit rire satisfait en se tortillant légèrement sur son fauteuil et poursuivi.

« Mais je ne pense pas que tous les élèves soient idiots. J’ai donc pensé que certains pouvaient avoir des problèmes avec leurs baguettes. Une sorte de défaut de fabrication en série vous voyez ? A partir de maintenant, je vais examiner toutes les baguettes des élèves pour être sûr. Pouvez-vous me donner votre baguette Miss Granger ? »

Malgré les sentiments qu’elle ressentait pour son professeur, Hermione fut agacée par sa demande. Elle était l’une des seules à avoir réussis les sortilèges de Lockhart alors que lui-même n’en avais jamais lancé un seul en classe. De plus sa baguette magique venait, tout comme celle de Harry, de chez Ollivander, et elle serait incroyablement surprise qu’elle ait le moindre défaut de fabrication. Elle lui tendit sa baguette en ne laissant rien paraître mais en pensant que c’était plutôt l’enseignant qui avait un problème de conception.

    Lockhart prit la baguette et la regarda précautionneusement en la faisant rouler entre ses doigts. Il poussa un faible mais curieux soupir puis regarda la jeune fille.

« Tant que vous êtes là miss Granger, vous avez laissé traîner votre emploi du temps lors du dernier cours. »

Hermione devint à nouveau écarlate et baissa les yeux.

« Dois-je comprendre par les petits cœurs que je ne vous suis pas indifférent ? »

La jeune gryffondor, gênée, gardait les yeux baissés. Elle fut traversée par une pensée aussi fulgurante que stupide et inutile en cet instant : Ron avait raison. Puis elle chassa cela de sa tête et essaya de se concentrer sur ce que disais le professeur.

« Je suis flatté miss Granger, très flatté, mais une question me vient à l’esprit. Jusqu’où iriez-vous pour cet amour ? »

Hermione leva la tête, sans comprendre ce que voulait dire Lockhart. L’enseignant avait un sourire plus énigmatique qu’auparavant.

« Venez de ce côté-ci du bureau, je vous prie. Vous comprendrez mieux, jeune fille. »

Avec une certaine appréhension, elle se leva et fit le tour du bureau. Ce qu’elle vit lui retourna le cœur. Lockhart avait relevé sa robe sur la taille et sous le bureau se trouvait une jeune fille totalement nue qu’elle reconnut comme étant Susan Bones, une élève de deuxième année de Poufsouffle. Elle suçait le membre du professeur avec vigueur.

    Hermione en resta pétrifiée. Elle était terrifiée mais, en même temps, elle sentit une boule de chaleur dans son bas ventre, comme si son intimité venait de prendre feu. Elle n’arrivait pas à détacher ses yeux de la bouche de sa camarade qui montait et descendait le long du sexe dressé. Lockhart poussa des deux mains sur la tête de la fille et enfonça son chibre aussi profond qu’il le put. Susan poussait des gémissements de lamentations étouffés et gigotait pour échapper à l’emprise de l’homme. Mais celui-ci la maintenait fermement et laissa exploser sa jouissance dans la gorge de la petite poufsouffle.

« Vous voyez miss Granger, s’exclama Lockhart en tirant sur les cheveux de Susan pour qu’elle relève enfin la tête, un harem de jeunes filles n’était pas dans la description du poste mais je me suis arrangé comme j’ai pu. »

Susan, en pleurs, recrachait la semence qu’elle n’avait pas réussis à ingurgiter. Elle était très mince et sa poitrine commençait à peine à se former. Ses jambes étaient maigrelettes et ses fesses un peu plates.

    Le professeur la prit sous les aisselles et la posa sur le bureau. Il la poussa sans ménagement et elle se retrouva brutalement allongée. Lockhart ouvrit ses cuisses et s’avança vers son entrejambe. Susan cria.

« Non… professeur… vous aviez dit… qu’avec la bouche ça suffirait. »

Elle essaya de se redresser, ses yeux révulsés d’horreur, mais il la repoussa sur la surface de bois lisse et plaqua une main sur sa pauvre poitrine pour la maintenir.

    Hermione se jeta alors dans le dos du professeur. Elle chercha à s’agripper à son cou pour le forcer à reculer mais il la fit tomber d’un violent coup de coude. Il lui attrapa les cheveux et l’envoya brutalement à terre.

« Je vous conseille de bien regarder miss Granger, votre tour viendra. »

Hermione ne pouvait plus rien faire. Des larmes coulèrent sur ses joues lorsque Susan hurla de douleur sous le violent coup de rein de l’homme qui pénétra dans son intimité. La jeune gryffondor ne pouvait pas s’empêcher de regarder le membre entrer et sortir brutalement du petit coquillage d’où s’écoulait un mince filet de sang.

« Encore vierge miss Bones ? Vous vous êtes réservée pour moi ? Je n’en demandais pas tant ! »

Hermione regarda le visage crispée de Susan. Elle criait alors que de grosses larmes tombaient de ses joues sur le bureau. La petite gryffondor aurait tant voulu avoir un quelconque moyen de lui porter secours. Mais sans sa baguette, elle ne pouvait lutter contre Lockhart. Elle sentit son intimité brûlante commencer à devenir humide, honteuse de se sentir excitée dans un moment si tragique.

« Miss Granger ! Déshabillez-vous ! »

Le professeur ne l’avait même pas regardée, trop occupé à infliger le plus de douleur possible à la jeune poufsouffle. Hermione se raidit. Elle ne comptait pas le laisser jouer avec elle si facilement. Lockhart lui jeta un regard.

« Obéissez-moi rapidement, ma petite. Ou vous le regretterez. »

La jeune gryffondor ne bougea pas, observant le professeur avec un regard de défi. L’homme haussa alors les épaules et leva une main. Il frappa violemment Susan au visage qui poussa ensuite un cri aigu lorsqu’il tirailla l’un de ses petits tétons.

Hermione se leva d’un trait, horrifiée, et retira immédiatement sa robe. Lockhart eut un sourire narquois en voyant la jeune fille retirer son petit soutien gorge. Il souleva les fesses de la jeune poufsouffle dont le nez saignait, et introduisit un doigt dans son puit secret. Il se figea profondément dans le ventre de Susan et éjacula longuement.

« Venez ici miss Granger ! » Lança Lockhart en se retirant de l’intimité de sa première victime.

Hermione s’approcha tremblante.

« Agenouillez-vous et nettoyez moi ça ! Je n’ai pas besoin de préciser ce qui pourrait arriver à votre camarade si vous ne vous exécutez pas. »

Résignée, la jeune gryffondor se mit a genoux. Elle entrouvrit ses petites lèvres et happa le gland du professeur, se sentant proche de la nausée. Lockhart lui posa une main sur la tête pour qu’elle garde une cadence raisonnable. De l’autre, il masturbait toujours le petit anneau de Susan qui sanglotait, incapable de faire le moindre mouvement.

    Lorsque l’homme eut repris toute sa vigueur, il sortit de la bouche d’Hermione en lui ordonnant de ne pas bouger. Il retourna la petite poufsouffle sur le bureau et la tira un peu en arrière. Il donna une forte claque sur les maigres fesses et lui aboya de tenir ses jambes droites. Susan utilisa probablement ses dernières forces pour raidir ses jambes et soulever son petit cul. Lockhart se tourna vers Hermione.

« Si vous tenez à ce que votre amie ait moins mal je vous suggère de la préparer correctement. Dit-il en lui montrant le petit anus. Mais je vous avouerai que moi je me contenterai de ce passage même sec. »

A nouveau, la jeune gryffondor n’eut pas le choix. Elle s’avança vers le bureau et positionna sa tête à hauteur des fesses de Susan. Elle sortit sa langue et lécha consciencieusement les abords du puit secret. La jeune poufsouffle semblait ne plus avoir de réaction. Hermione, quant à elle, frissonna lorsqu’elle sentit deux grandes mains attraper ses seins qu’elle avait un peu plus développés que ceux de sa camarade. Elle introduisit sa langue dans l’anus étroit tandis que les doigts de l’homme derrière elle descendirent sur ses fesses rondes et sur son trésor intime qui ruisselait maintenant.

    Lockhart caressa le sexe de la petite gryffondor pendant quelques minutes puis il se redressa soudainement et donna ses doigts trempés à la bouche d’Hermione pour qu’elle les nettoie.

« Bien miss Granger. Je vous autorise à vous occuper du sexe de miss Bones pendant que je l’enculerai. Vous serez la seule à pouvoir lui rendre ce moment un peu plus doux. Vous feriez bien de vous appliquer. »

Il plaqua la tête d’Hermione contre l’intimité de sa camarade. Elle se mit à lécher les lèvres et le bouton d’amour, espérant avec la plus grande des sincérités que cela l’aiderait à supporter les sévices du professeur. Elle avala quelques gouttes de sperme de Lockhart et un peu de sang de la petite poufsouffle mais très vite elle but aussi un peu de la liqueur de plaisir de Susan qui se remit à couler comme une source presque tarie.

    Les yeux levés, Hermione vit s’approcher le membre de l’homme qui se positionna tout contre le petit anneau. Lockhart s’accrocha durement aux hanches de Susan et la pénétra violemment, arrachant un hurlement de douleur à la jeune fille. Aussitôt, la petite gryffondor reçue une longue giclée de fluide intime qu’elle avala avec plaisir. Le professeur donnait de vigoureux coups de reins, cherchant de toute évidence à faire crier sa victime encore plus fort. Hermione s’activait de son mieux, allant de long en large sur le petit coquillage de Susan tout en caressant ses petits seins. Elle pinça légèrement le bouton d’amour et reçue de nouveau une grande quantité de liqueur de jouissance. La petite gryffondor n’y tenait plus. Elle descendit une main sur son propre sexe et se caressa avec vigueur. Elle envoya sa langue se promener sur le petit clitoris tandis qu’elle introduisait deux doigts dans le sexe de sa camarade. Susan hurla et libéra plus de son jus intime qu’elle ne l’avait déjà fait. Elle s’écroula sur le bureau, inconsciente. Cela ne gênait pas Lockhart qui continuait ses va et viens brutaux dans le cul de la petite poufsouffle qu’il devait maintenant soutenir. Il se raidit soudain et se répandit dans le dos de la jeune fille. Mais il se retira rapidement et déversa ses derniers jets sur les cheveux d’Hermione.

    Le professeur remarqua alors que la petite gryffondor se masturbait. Il la tira par les cheveux et l’obligea à nettoyer son sexe. Il retourna à nouveau Susan, attrapa Hermione par l’épaule et la jeta sur sa camarade évanouie. Elle faisait face à la petite poufsouffle au visage grave et sentit des mains lui écarter ses deux jolies petites fesses.

« Vous avez apparemment apprécié la sodomie de miss Bones, voyons ce que vous en pensez pour vous ! Fit-il en posant son gland sur le puit secret. Hélas votre amie n’est pas en état de vous préparer comme vous l’avez fait. Il faudra vous en contenter. »

Hermione fut pris de panique et essaya de se relever mais le professeur entra en elle violemment. Elle poussa un gémissement de douleur mais réussit à se retenir de crier. Toutefois, l’homme n’avait réussis à faire entrer que son gland dans l’étroit passage. S’appuyant sur les reins de la jeune gryffondor, il poussa sur ses jambes pour faire entrer le membre en entier. Hermione pleurait en se mordant les lèvres. Son petit cul était en feu et la brûlure augmentait à chaque centimètre que Lockhart parvenait à introduire en elle. Il choisit de la pénétrer par saccades, donnant de grands coup de boutoir à intervalle régulier, gagnant à peine plus de terrain mais augmentant la douleur de la petite gryffondor. La tête de la jeune fille s’écroula sur l’épaule de sa camarade inconsciente alors que le professeur était enfin fiché en elle de toute sa longueur et que la brûlure atteignait ses reins et son ventre. Rapidement, Lockhart se retira presque entièrement puis s’enfonça à nouveau en elle d’un seul coup. Cette fois-ci, elle ne put retenir un long hurlement entrecoupé de sanglots. Tandis que l’homme entamait de violents mouvements entre ses fesses, faisant trembler le bureau, Hermione entoura Susan de ses bras et la serra contre elle, cherchant désespérément un tant soit peu de douceur au contact de la peau de sa camarade.

    Alors que la douleur avait atteint son paroxysme lors des premiers va et viens du professeur, la petite gryffondor constata qu’elle semblait s’atténuer peu à peu, bien qu’encore trop présente à son goût. Toutefois son intimité se remit à ruisseler de plus belle de sa liqueur de plaisir, s’écoulant sur le petit coquillage de Susan. Elle ne pouvait croire qu’elle était sur le point de jouir alors que tout son bas ventre semblait remplit de charbons ardents. Mais elle ne put retenir la vague de plaisir qui parcourut tout son corps et elle plaqua sa bouche contre le cou de Susan pour étouffer un cri de jouissance alors qu’elle déversait une grande quantité de liqueur de plaisir. Lockhart fini par se figer en elle et se répandit dans son petit cul douloureux.

    Sans plus de précautions, il tira Hermione par les cheveux, la forçant à se plier en deux sur le corps frêle de la petite poufsouffle, amenant sa tête à la hauteur du sexe de cette dernière, et la força à prendre le membre gluant dans sa bouche. Tandis qu’elle suçait avec dégoût le chibre du professeur, elle sentit une main se promener sur ses jambes, ses fesses puis sur son intimité. Lockhart introduisit trois doigts dans son petit coquillage et commença à la masturber sans aucune douceur. Elle remarqua qu’il faisait de même avec le trésor intime de Susan qui ne s’était toujours pas réveillée. Malgré la répulsion que lui inspirait le professeur, elle sentit son excitation revenir. Son petit sexe recommença à s’humidifier et elle en fut encore plus honteuse que tout à l’heure car, cette fois-ci, Lockhart ne pouvait ignorer son état.

Mais l’homme regarda une horloge et arrêta le mouvement de ses doigts.

« Par Merlin, je vais être en retard à mon prochain cours. Je comptais justement parler avec miss Edgecombe. Il va nous falloir abréger notre entrevue mesdemoiselles. Dommage, il me restait encore des endroits à explorer. »

En disant cela, il avait pincer fortement les lèvres intimes d’Hermione entre ses doigts. Il se déchaussa des sexes des jeunes filles et posa ses mains de part et d’autre de la tête de la petite gryffondor. Il fit pression sur les oreilles tout en donnant un coup de rein pour pénétrer au plus profond de la petite bouche, puis il fit de grands mouvements de va et viens, du gland jusqu’à la garde, ignorant les gémissements plaintifs d’Hermione qui ne parvenait plus à respirer. Lockhart commençait à se répandre sur sa langue lorsqu’elle réussit enfin à repousser sa tête, prenant une grande respiration tandis que le professeur se déversait sur ses cheveux et son visage, ainsi que sur le pubis et le sexe de Susan.

    Le professeur obligea la petite gryffondor à nettoyer le bas ventre de sa camarade tandis qu’il se rhabillait.

« Je vous laisse raccompagner miss Bones à son dortoir. Je crains que vous n’ayez déjà manqué votre prochain cours. J’enverrai un mot d’excuse à vos professeurs. »

Il traversa le bureau et s’apprêta à sortir.

« Vos baguettes sont dans le premier tiroir de gauche. Je vous conseille de tenir vos langues, sans cela je serai obligé de vous jeter un sort d’amnésie… et il se pourrait que j’ai la main trop lourde, pour cause d’énervement, vous voyez. »



Lockhart sortit en chantonnant. Hermione essaya de réveiller Susan qui ouvrit les yeux mais semblait avoir du mal à savoir où elle était. La petite gryffondor sauta à bas du bureau et récupéra leurs baguettes magiques et pointa la sienne sur sa camarade en prononçant :

« Forcis Regeneratum. »

Susan ouvrit les yeux complètement et s’assit sur le bord du bureau, incrédule. Elle regarda Hermione et fondit soudainement en larmes. La jeune gryffondor la prit dans ses bras et la serra avec douceur. Susan balbutiait entre deux sanglots.

« Je n’aurai jamais imaginé… comment a-t-il pu ? Je croyais… il m’avait dit…
_ Calme toi ! Répliqua Hermione elle même en pleurs. C’est terminé. Il faut que nous partions au plus vite d’ici, d’accord ? »

La petite poufsouffle acquiesça. Toutes deux se rhabillèrent en silence et sortirent du bureau.

    Malgré le sortilège de régénération, Susan avait du mal à tenir sur ses jambes. Hermione la soutenait et suivit ses indications pour l’emmener jusqu’à la pièce commune des poufsouffles. La jeune gryffondor avait encore très mal et elle pensa que leur démarche devait être pour le moins ridicule et même inquiétante. Heureusement les cours avaient repris et les couloirs étaient déserts. Elles ne virent même pas le moindre fantôme. Après une marche qui leur sembla interminable, elles arrivèrent enfin dans le dortoir des filles de deuxième année de poufsouffle et s’écroulèrent épuisées sur le lit de Susan. Hermione était hors d’haleine et tout le bas de son corps la tiraillait horriblement. Sa camarade pleurait, le visage enfouit dans les coussins. L’entourant à nouveau de ses bras, la petite gryffondor lui caressa les cheveux avec douceur. Susan la regarda avec une expression de terreur.

« Il… il a jouit… dans mon ventre ! Qu’est-ce que… je vais faire si je… tombe enceinte ? »

Hermione s’écarta un peu d’elle et se redressa. Avec précaution et douceur, elle releva la robe de son amie sur sa poitrine et pointa sa baguette sur le ventre nu. Elle effectua un petit mouvement de poignée assez compliqué et lança :

« Protectem Infantis. »

Susan ressentit une vague de fraîcheur tourner dans son ventre qui s’estompa rapidement. Hermione s’allongea à nouveau près de sa camarade, la reprit dans ses bras et lui parla avec douceur.

« Avec le sortilège de prévention tu ne risques plus rien. Je croyais que toutes les filles de Poudlard le connaissaient dès leur première année. C’est de notoriété publique. Tu n’en as jamais entendu parlé ?
_ C’est que… je n’en avais jamais eu besoin jusqu’à… aujourd’hui.
_ Excuse-moi ! Répondit précipitamment Hermione qui eut peur de voir sa camarade se désespérer à nouveau. Ne pensons plus à ça.
_ Ne t’inquiète pas. Je te remercie pour ce que tu as fait là-bas. Sans toi je crois que j’aurais été capable de me jeter de la volière. »

La jeune gryffondor parut effarée mais Susan lui sourit tendrement pour la rassurer.
    Elles restèrent longtemps l’une contre l’autre sans bouger. Un autre cours avait déjà dû commencer, mais elles ne voulaient pas sortir du dortoir. Hermione gigota en poussant un gémissement.

« Qu’y a-t-il ? Demanda Susan inquiète.
_ Ce n’est rien. C’est juste que j’ai encore mal. Je ne parviens pas à trouver une position qui me soulage.
_ Oui, c’est pareil pour moi. »

La petite poufsouffle dévisageait gravement son amie, semblant perplexe. Elle se redressa alors.

« Je connais peut être un moyen d’atténuer la douleur. Je ne sais pas si ce sera efficace mais on ne perd rien à essayer. Laisse-toi faire. »

Susan fit allonger Hermione sur le ventre. Cette dernière se demandait ce que sa camarade connaissait pour soulager les élancements cuisants de son bassin et de ses jambes. Peut être avait elle appris un sortilège d’anti-douleur. La petite poufsouffle releva la robe d’Hermione jusqu’à la taille, puis elle fit descendre la petite culotte sur les cuisses avec douceur. La jeune gryffondor fut troublée de se dévoiler ainsi à nouveau mais il s’agissait probablement d’un sort qui ne fonctionnait que sur la peau nue, à l’instar du sortilège de prévention.

    Elle sentit soudain deux petites mains se poser sur ses fesses et les écarter tendrement alors qu’une langue s’appuyait sur son puit secret endolori. Un éclair parcourut sa colonne vertébrale et son petit coquillage devint instantanément humide.

« Susan ? Qu’est-ce que… ?
_ Ne t’en fais pas ! Répondit rapidement la petite poufsouffle. Je te suis reconnaissante de ce que tu as fait pour moi là-haut. Je suis désolée de ne pas avoir pu t’aider à mon tour. Je t’en prie, laisse-moi prendre soin de toi maintenant. »

Hermione aurait voulu répondre qu’elle n’avait pas à faire cela, mais Susan avait immédiatement recommencer à caresser le petit anneau de sa langue agile et la jeune gryffondor ne put que pousser un petit gémissement. Elle sentit une chaleur se répandre dans tout son corps. Mais c’était une douce chaleur, qui l’enveloppait comme un drap, et qui lui donnait d’agréables sensations, bien loin des brûlures intenses infligées par Lockhart. Hermione ne pouvait plus supporter ses vêtements et se débarrassa, en se tortillant, de sa robe et de son minuscule soutien-gorge.

    Susan retira complètement la culotte puis se redressa et se dévêtit également, tandis que la petite gryffondor se tourna sur le dos pour contempler son amie. Une fois nue, la jeune poufsouffle se pencha à nouveau sur sa camarade et embrassa langoureusement son nombril. Elle fit ensuite courir sa langue sur le ventre plat, descendant en douceur vers le trésor intime en écartant lentement les cuisses d’Hermione. Elle se délecta de longues gorgées de jus de plaisir avant d’enserrer le bouton d’amour entre ses lèvres. D’une main elle caressait la cuisse de son amie tandis que l’autre s’était avancée pour masser avec tendresse les deux monts de vénus naissants. La petite gryffondor gémissait sous les délicieux coups de langue de son amante. Elle posa une main sur les doigts qui caressaient sa poitrine et accompagnait leurs mouvements sensuels. Son autre main caressait avec douceur les longs cheveux soyeux de Susan, sans jamais guider les mouvements de sa tête contrairement à la brutalité du professeur.

    Hermione, emportée par la volupté, ne fut pas longue à sentir une vague de plaisir la submerger et inonder son sexe. Sa partenaire se régala de la grande quantité de liqueur de jouissance qu’elle libéra. La petite gryffondor tira avec douceur sur la nuque de Susan pour l’attirer à elle. Les deux jeunes filles s’enlacèrent et s’embrassèrent avec tendresse, savourant la douceur de leur peau l’une contre l’autre. Hermione descendit ses lèvres et sa langue sur la poitrine minuscule de son amante et posa une main sur l’entrecuisse de celle-ci qu’elle caressa avec lenteur. Susan gémit de plaisir avant d’embrasser et de lécher le cou de sa partenaire. Elle descendit également une main sur le sexe de la petite gryffondor tandis que l’autre parcourait lentement les jolies fesses rondes.

Les filles se masturbaientt l’une l’autre, se tortillant et gémissant de plus belles, lorsque Hermione s’allongea sur le dos avec un sourire coquin. Susan comprit ce qu’elle désirait. Elle se mit au dessus de son amante et l’embrassa avant de se tourner et d’offrir son trésor intime à la bouche de son amie tandis qu’elle-même avait une vue plongeante sur le beau coquillage trempé. Elles explorèrent leurs sexes au plus profond que le leur permettaient leurs langues et leurs doigts, alors que la petite poufsouffle sentait avec délectation son ventre se frotter à la poitrine si menue de son amie. Hermione releva les jambes, offrant son puit secret au grand jour. Susan y promena un peu sa langue avant d’y introduire deux doigts avec douceur et qu’elle enfourna trois autres doigts dans le sexe dégoulinant. La petite gryffondor laissa échapper un petit cri puis, encouragée par la réaction de son amante, elle fit de même avec les orifices qui lui étaient offert. Il ne fallut pas longtemps avant que les filles se mettent à crier de concert, libérant chacune de grandes quantité de liqueur de jouissance dans la bouche de leur partenaire. Elles s’allongèrent l’une à côté de l’autre et s’enlacèrent en posant de nombreux baisers sur tout leurs corps.

Vaincue par la fatigue, Susan s’endormit rapidement. Hermione la recouvrit des draps et se rhabilla. Elle sortit du dortoir non sans avoir déposé un tendre baiser sur les lèvres de son amante. Marchant dans les couloirs encore silencieux du château, la jeune gryffondor constata que la douleur de son bassin et de son ventre s’était estompée et que celle de ses jambes avait complètement disparue. Elle regagna son dortoir pour faire croire qu’elle s’était endormie, pensant même qu’elle devrait faire semblant d’être paniquée pour être plus crédible.

Durant le repas ce soir là, Harry et Ron la questionnèrent, surpris de ne pas l’avoir vu de l’après-midi.

« Mais où étais-tu passée ? La convocation de Lockhart s’est transformée en rendez-vous galant ? »

Hermione sentit son cœur se soulever à cette pensée. Elle fit tout pour ne rien laissé paraître et pris un air coléreux, ce qui lui fut en fait très facile.

« Tais-toi Ron ! Il m’a simplement félicité d’avoir réussit les derniers sortilèges et il voulait me lire un passage de son nouveau livre en pensant que ça me passionnerait. »

Elle avait répété son mensonge toute la fin d’après-midi, pensant que Lockhart était suffisamment imbus de sa personne pour que l’on croit qu’il donnait des lectures privés à ses meilleurs élèves. Ron voulut répondre avec un sourire narquois mais Harry lui posa la main sur le bras avec un regard « c’est bon maintenant » et Ron haussa les épaules en s’occupant de son assiette. Hermione sourit à Harry, reconnaissante. Elle jeta un coup d’œil à la table des poufsouffle où elle aperçut Susan qui riait avec Hannah Abbot. A la table des serdaigles par contre, elle reconnut Marietta Edgecombe, la mine sombre, les yeux fixés sur son assiette, alors qu’une de ses amies, une fille magnifique, lui parlait avec entrain. Elle tourna les yeux vers la table des professeur où Lockhart parlait joyeusement avec le professeur Flitwick qui semblait singulièrement agacé. Hermione savait qu’on ne la croirait pas si elle s’attaquait à quelqu’un d’aussi célèbre que Gilderoy Lockhart. Tout le monde penserait qu’elle cherchait à entacher sa réputation pour se faire connaîte. Elle espérait donc que quelqu’un finirait par lui jouer un très sale tour avant la fin de l’année. Â ses côtés, Ron se plaignait encore à Harry des dégâts qu’avait provoqué sa baguette brisée lors des cours de l’après-midi.
 
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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