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INTRODUCTION

hp367Bienvenue dans le monde secret d'Harry Potter

 

Ce blog est dédié aux histoires érotiques, ou lemons, sur le monde d'Harry Potter. Les personnages et l'univers général appartiennent à J.K. Rowling. Seules les apports des auteurs sont à apporter à leurs crédits.

 

Ce blog n'a aucune vocation pécuniaire, il s'agit de laisser libre cours à l'imagination des auteurs et au respect de toutes les formes de sexualités. Tout le monde peut participer au développement du blog en envoyant une histoire à poudlardsecret@laposte.net.

 

Les commentaires dénigrant ou insultant seront supprimer sans sommation.

 

Merci et bonne lecture.

 

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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00
Convocation mystérieuse

Une aventure sexuelle de Harry Potter en 2e année

Avec Hermione Granger, Susan Bones et Gilderoy Lockhart




« Miss Granger, pourrais-je vous parler en privé après le déjeuner ? »

Hermione sursauta lorsqu’elle entendit le professeur s’adresser à elle. Gilderoy Lockhart la regardait avec son habituel sourire idiot, révélant ses dents étincelantes. Elle en conclut déjà qu’elle n’avait commise aucune faute. Mais alors pourquoi un enseignant voudrait lui parler en privé ? Et surtout… lui. Ron se posait les mêmes questions lorsqu’ils descendirent dans la grande salle après le cours.

« Qu’est-ce qu’il te veut Lockhart ? Tu lui as envoyé une lettre d’amour ou quoi ?
_ RON ! Arrête de dire n’importe quoi. Je ne sais pas ce qu’il me veut. Je n’ai rien fait de particulier… je crois.
_ Peut être qu’il espère que tu pourras lui apprendre un ou deux sortilèges, intervint Harry à côté d’eux. Son cours était tout à fait nul… une fois de plus.
_ Ou peut être qu’il a simplement remarqué les petits cœurs dont tu as entouré ses cours sur ton emploi du temps ? »

Hermione rougit jusqu’aux oreilles mais ne répondit plus un mot. Elle mangea rapidement, essayant, avec difficulté, d’ignorer les ricanements narquois de Ron et de ne pas lui envoyer son jus de citrouille à la figure. Lorsqu’elle eut terminée, elle se leva et partit à grandes enjambées sans un regard en arrière.

Sa colère se dissipa tandis qu’elle gravissait les marches menant à l’étage de la salle de défense contre les forces du mal et elle se mit à réfléchir plus sérieusement. Il était vrai qu’elle n’était pas indifférente à Lockhart, même si elle aurait préféré se faire arracher la tête par un troll plutôt que de l’avouer, mais elle n’était pas la seule. Elle en avait parlé avec Hannah Abbot la veille encore. Elle lui avait énumérée le nombre de filles de Poufsouffle amoureuses du professeur. Si jamais Lockhart l’avait découverte, il n’avait pas pu passer à côté de toutes les autres. Mais si ce n’était pas ça… tout de même pas comme l’avait suggéré Harry afin qu’elle lui apprenne un sort. Même si elle reconnaissait un peu que leur professeur de défense contre les forces du mal n’était pas un excellent pédagogue, il n’accepterait jamais de s’abaisser à ce niveau. Sans en avoir compris d’avantage, Hermione était arrivée devant la porte du bureau.

Elle frappa et entra. Lockhart était assis derrière son bureau et paru surpris de son arrivée. Il avait rapidement mis sa main sur ses genoux, ou du moins c’est ce qu’il semblait à Hermione qui ne voyait que son torse.

« Miss Granger ! Je… vous… vous êtes rapide. Je ne… ne vous attendez pas si tôt. Je croyez avoir fermé la porte à clef.
_ Excusez-moi ! Bredouilla Hermione en rougissant à nouveau. Je reviendrai plus tard. »

Elle allait pour ressortir mais le professeur la rappela en reposant la main sur le bureau.

« Non, restez Miss Granger. J’ai été surpris c’est tout. Asseyez-vous, je vous prie. Mais fermez la porte avant… à clef cette fois-ci. Il ne faudrait pas que quelqu’un nous dérange encore. »

La jeune fille, confuse, referma la porte et la verrouilla. Bien qu’elle trouvait cela bizarre, elle ne voulait pas contester un ordre d’un professeur. Elle alla s’asseoir et donna la clef à Lockhart. Celui-ci se tenait presque allongé contre le dossier de son fauteuil et regardait la jeune Gryffondor avec un sourire charmeur.

« Si je ne me trompe pas Miss Granger, vous n’avez pas de cours après le déjeuner, n’est-ce pas ? (Hermione acquiesça) Bien, nous avons donc suffisamment de temps devant nous. J’ai remarqué que nombres d’élèves ne parviennent pas à lancer les sorts, pourtant simples, que je tente de leur enseigner. Bien sûr si je leur faisais une démonstration de mes talents ils seraient certes impressionnés mais ils ne comprendraient pas le fonctionnement réel d’un sort. »

Il eut un petit rire satisfait en se tortillant légèrement sur son fauteuil et poursuivi.

« Mais je ne pense pas que tous les élèves soient idiots. J’ai donc pensé que certains pouvaient avoir des problèmes avec leurs baguettes. Une sorte de défaut de fabrication en série vous voyez ? A partir de maintenant, je vais examiner toutes les baguettes des élèves pour être sûr. Pouvez-vous me donner votre baguette Miss Granger ? »

Malgré les sentiments qu’elle ressentait pour son professeur, Hermione fut agacée par sa demande. Elle était l’une des seules à avoir réussis les sortilèges de Lockhart alors que lui-même n’en avais jamais lancé un seul en classe. De plus sa baguette magique venait, tout comme celle de Harry, de chez Ollivander, et elle serait incroyablement surprise qu’elle ait le moindre défaut de fabrication. Elle lui tendit sa baguette en ne laissant rien paraître mais en pensant que c’était plutôt l’enseignant qui avait un problème de conception.

    Lockhart prit la baguette et la regarda précautionneusement en la faisant rouler entre ses doigts. Il poussa un faible mais curieux soupir puis regarda la jeune fille.

« Tant que vous êtes là miss Granger, vous avez laissé traîner votre emploi du temps lors du dernier cours. »

Hermione devint à nouveau écarlate et baissa les yeux.

« Dois-je comprendre par les petits cœurs que je ne vous suis pas indifférent ? »

La jeune gryffondor, gênée, gardait les yeux baissés. Elle fut traversée par une pensée aussi fulgurante que stupide et inutile en cet instant : Ron avait raison. Puis elle chassa cela de sa tête et essaya de se concentrer sur ce que disais le professeur.

« Je suis flatté miss Granger, très flatté, mais une question me vient à l’esprit. Jusqu’où iriez-vous pour cet amour ? »

Hermione leva la tête, sans comprendre ce que voulait dire Lockhart. L’enseignant avait un sourire plus énigmatique qu’auparavant.

« Venez de ce côté-ci du bureau, je vous prie. Vous comprendrez mieux, jeune fille. »

Avec une certaine appréhension, elle se leva et fit le tour du bureau. Ce qu’elle vit lui retourna le cœur. Lockhart avait relevé sa robe sur la taille et sous le bureau se trouvait une jeune fille totalement nue qu’elle reconnut comme étant Susan Bones, une élève de deuxième année de Poufsouffle. Elle suçait le membre du professeur avec vigueur.

    Hermione en resta pétrifiée. Elle était terrifiée mais, en même temps, elle sentit une boule de chaleur dans son bas ventre, comme si son intimité venait de prendre feu. Elle n’arrivait pas à détacher ses yeux de la bouche de sa camarade qui montait et descendait le long du sexe dressé. Lockhart poussa des deux mains sur la tête de la fille et enfonça son chibre aussi profond qu’il le put. Susan poussait des gémissements de lamentations étouffés et gigotait pour échapper à l’emprise de l’homme. Mais celui-ci la maintenait fermement et laissa exploser sa jouissance dans la gorge de la petite poufsouffle.

« Vous voyez miss Granger, s’exclama Lockhart en tirant sur les cheveux de Susan pour qu’elle relève enfin la tête, un harem de jeunes filles n’était pas dans la description du poste mais je me suis arrangé comme j’ai pu. »

Susan, en pleurs, recrachait la semence qu’elle n’avait pas réussis à ingurgiter. Elle était très mince et sa poitrine commençait à peine à se former. Ses jambes étaient maigrelettes et ses fesses un peu plates.

    Le professeur la prit sous les aisselles et la posa sur le bureau. Il la poussa sans ménagement et elle se retrouva brutalement allongée. Lockhart ouvrit ses cuisses et s’avança vers son entrejambe. Susan cria.

« Non… professeur… vous aviez dit… qu’avec la bouche ça suffirait. »

Elle essaya de se redresser, ses yeux révulsés d’horreur, mais il la repoussa sur la surface de bois lisse et plaqua une main sur sa pauvre poitrine pour la maintenir.

    Hermione se jeta alors dans le dos du professeur. Elle chercha à s’agripper à son cou pour le forcer à reculer mais il la fit tomber d’un violent coup de coude. Il lui attrapa les cheveux et l’envoya brutalement à terre.

« Je vous conseille de bien regarder miss Granger, votre tour viendra. »

Hermione ne pouvait plus rien faire. Des larmes coulèrent sur ses joues lorsque Susan hurla de douleur sous le violent coup de rein de l’homme qui pénétra dans son intimité. La jeune gryffondor ne pouvait pas s’empêcher de regarder le membre entrer et sortir brutalement du petit coquillage d’où s’écoulait un mince filet de sang.

« Encore vierge miss Bones ? Vous vous êtes réservée pour moi ? Je n’en demandais pas tant ! »

Hermione regarda le visage crispée de Susan. Elle criait alors que de grosses larmes tombaient de ses joues sur le bureau. La petite gryffondor aurait tant voulu avoir un quelconque moyen de lui porter secours. Mais sans sa baguette, elle ne pouvait lutter contre Lockhart. Elle sentit son intimité brûlante commencer à devenir humide, honteuse de se sentir excitée dans un moment si tragique.

« Miss Granger ! Déshabillez-vous ! »

Le professeur ne l’avait même pas regardée, trop occupé à infliger le plus de douleur possible à la jeune poufsouffle. Hermione se raidit. Elle ne comptait pas le laisser jouer avec elle si facilement. Lockhart lui jeta un regard.

« Obéissez-moi rapidement, ma petite. Ou vous le regretterez. »

La jeune gryffondor ne bougea pas, observant le professeur avec un regard de défi. L’homme haussa alors les épaules et leva une main. Il frappa violemment Susan au visage qui poussa ensuite un cri aigu lorsqu’il tirailla l’un de ses petits tétons.

Hermione se leva d’un trait, horrifiée, et retira immédiatement sa robe. Lockhart eut un sourire narquois en voyant la jeune fille retirer son petit soutien gorge. Il souleva les fesses de la jeune poufsouffle dont le nez saignait, et introduisit un doigt dans son puit secret. Il se figea profondément dans le ventre de Susan et éjacula longuement.

« Venez ici miss Granger ! » Lança Lockhart en se retirant de l’intimité de sa première victime.

Hermione s’approcha tremblante.

« Agenouillez-vous et nettoyez moi ça ! Je n’ai pas besoin de préciser ce qui pourrait arriver à votre camarade si vous ne vous exécutez pas. »

Résignée, la jeune gryffondor se mit a genoux. Elle entrouvrit ses petites lèvres et happa le gland du professeur, se sentant proche de la nausée. Lockhart lui posa une main sur la tête pour qu’elle garde une cadence raisonnable. De l’autre, il masturbait toujours le petit anneau de Susan qui sanglotait, incapable de faire le moindre mouvement.

    Lorsque l’homme eut repris toute sa vigueur, il sortit de la bouche d’Hermione en lui ordonnant de ne pas bouger. Il retourna la petite poufsouffle sur le bureau et la tira un peu en arrière. Il donna une forte claque sur les maigres fesses et lui aboya de tenir ses jambes droites. Susan utilisa probablement ses dernières forces pour raidir ses jambes et soulever son petit cul. Lockhart se tourna vers Hermione.

« Si vous tenez à ce que votre amie ait moins mal je vous suggère de la préparer correctement. Dit-il en lui montrant le petit anus. Mais je vous avouerai que moi je me contenterai de ce passage même sec. »

A nouveau, la jeune gryffondor n’eut pas le choix. Elle s’avança vers le bureau et positionna sa tête à hauteur des fesses de Susan. Elle sortit sa langue et lécha consciencieusement les abords du puit secret. La jeune poufsouffle semblait ne plus avoir de réaction. Hermione, quant à elle, frissonna lorsqu’elle sentit deux grandes mains attraper ses seins qu’elle avait un peu plus développés que ceux de sa camarade. Elle introduisit sa langue dans l’anus étroit tandis que les doigts de l’homme derrière elle descendirent sur ses fesses rondes et sur son trésor intime qui ruisselait maintenant.

    Lockhart caressa le sexe de la petite gryffondor pendant quelques minutes puis il se redressa soudainement et donna ses doigts trempés à la bouche d’Hermione pour qu’elle les nettoie.

« Bien miss Granger. Je vous autorise à vous occuper du sexe de miss Bones pendant que je l’enculerai. Vous serez la seule à pouvoir lui rendre ce moment un peu plus doux. Vous feriez bien de vous appliquer. »

Il plaqua la tête d’Hermione contre l’intimité de sa camarade. Elle se mit à lécher les lèvres et le bouton d’amour, espérant avec la plus grande des sincérités que cela l’aiderait à supporter les sévices du professeur. Elle avala quelques gouttes de sperme de Lockhart et un peu de sang de la petite poufsouffle mais très vite elle but aussi un peu de la liqueur de plaisir de Susan qui se remit à couler comme une source presque tarie.

    Les yeux levés, Hermione vit s’approcher le membre de l’homme qui se positionna tout contre le petit anneau. Lockhart s’accrocha durement aux hanches de Susan et la pénétra violemment, arrachant un hurlement de douleur à la jeune fille. Aussitôt, la petite gryffondor reçue une longue giclée de fluide intime qu’elle avala avec plaisir. Le professeur donnait de vigoureux coups de reins, cherchant de toute évidence à faire crier sa victime encore plus fort. Hermione s’activait de son mieux, allant de long en large sur le petit coquillage de Susan tout en caressant ses petits seins. Elle pinça légèrement le bouton d’amour et reçue de nouveau une grande quantité de liqueur de jouissance. La petite gryffondor n’y tenait plus. Elle descendit une main sur son propre sexe et se caressa avec vigueur. Elle envoya sa langue se promener sur le petit clitoris tandis qu’elle introduisait deux doigts dans le sexe de sa camarade. Susan hurla et libéra plus de son jus intime qu’elle ne l’avait déjà fait. Elle s’écroula sur le bureau, inconsciente. Cela ne gênait pas Lockhart qui continuait ses va et viens brutaux dans le cul de la petite poufsouffle qu’il devait maintenant soutenir. Il se raidit soudain et se répandit dans le dos de la jeune fille. Mais il se retira rapidement et déversa ses derniers jets sur les cheveux d’Hermione.

    Le professeur remarqua alors que la petite gryffondor se masturbait. Il la tira par les cheveux et l’obligea à nettoyer son sexe. Il retourna à nouveau Susan, attrapa Hermione par l’épaule et la jeta sur sa camarade évanouie. Elle faisait face à la petite poufsouffle au visage grave et sentit des mains lui écarter ses deux jolies petites fesses.

« Vous avez apparemment apprécié la sodomie de miss Bones, voyons ce que vous en pensez pour vous ! Fit-il en posant son gland sur le puit secret. Hélas votre amie n’est pas en état de vous préparer comme vous l’avez fait. Il faudra vous en contenter. »

Hermione fut pris de panique et essaya de se relever mais le professeur entra en elle violemment. Elle poussa un gémissement de douleur mais réussit à se retenir de crier. Toutefois, l’homme n’avait réussis à faire entrer que son gland dans l’étroit passage. S’appuyant sur les reins de la jeune gryffondor, il poussa sur ses jambes pour faire entrer le membre en entier. Hermione pleurait en se mordant les lèvres. Son petit cul était en feu et la brûlure augmentait à chaque centimètre que Lockhart parvenait à introduire en elle. Il choisit de la pénétrer par saccades, donnant de grands coup de boutoir à intervalle régulier, gagnant à peine plus de terrain mais augmentant la douleur de la petite gryffondor. La tête de la jeune fille s’écroula sur l’épaule de sa camarade inconsciente alors que le professeur était enfin fiché en elle de toute sa longueur et que la brûlure atteignait ses reins et son ventre. Rapidement, Lockhart se retira presque entièrement puis s’enfonça à nouveau en elle d’un seul coup. Cette fois-ci, elle ne put retenir un long hurlement entrecoupé de sanglots. Tandis que l’homme entamait de violents mouvements entre ses fesses, faisant trembler le bureau, Hermione entoura Susan de ses bras et la serra contre elle, cherchant désespérément un tant soit peu de douceur au contact de la peau de sa camarade.

    Alors que la douleur avait atteint son paroxysme lors des premiers va et viens du professeur, la petite gryffondor constata qu’elle semblait s’atténuer peu à peu, bien qu’encore trop présente à son goût. Toutefois son intimité se remit à ruisseler de plus belle de sa liqueur de plaisir, s’écoulant sur le petit coquillage de Susan. Elle ne pouvait croire qu’elle était sur le point de jouir alors que tout son bas ventre semblait remplit de charbons ardents. Mais elle ne put retenir la vague de plaisir qui parcourut tout son corps et elle plaqua sa bouche contre le cou de Susan pour étouffer un cri de jouissance alors qu’elle déversait une grande quantité de liqueur de plaisir. Lockhart fini par se figer en elle et se répandit dans son petit cul douloureux.

    Sans plus de précautions, il tira Hermione par les cheveux, la forçant à se plier en deux sur le corps frêle de la petite poufsouffle, amenant sa tête à la hauteur du sexe de cette dernière, et la força à prendre le membre gluant dans sa bouche. Tandis qu’elle suçait avec dégoût le chibre du professeur, elle sentit une main se promener sur ses jambes, ses fesses puis sur son intimité. Lockhart introduisit trois doigts dans son petit coquillage et commença à la masturber sans aucune douceur. Elle remarqua qu’il faisait de même avec le trésor intime de Susan qui ne s’était toujours pas réveillée. Malgré la répulsion que lui inspirait le professeur, elle sentit son excitation revenir. Son petit sexe recommença à s’humidifier et elle en fut encore plus honteuse que tout à l’heure car, cette fois-ci, Lockhart ne pouvait ignorer son état.

Mais l’homme regarda une horloge et arrêta le mouvement de ses doigts.

« Par Merlin, je vais être en retard à mon prochain cours. Je comptais justement parler avec miss Edgecombe. Il va nous falloir abréger notre entrevue mesdemoiselles. Dommage, il me restait encore des endroits à explorer. »

En disant cela, il avait pincer fortement les lèvres intimes d’Hermione entre ses doigts. Il se déchaussa des sexes des jeunes filles et posa ses mains de part et d’autre de la tête de la petite gryffondor. Il fit pression sur les oreilles tout en donnant un coup de rein pour pénétrer au plus profond de la petite bouche, puis il fit de grands mouvements de va et viens, du gland jusqu’à la garde, ignorant les gémissements plaintifs d’Hermione qui ne parvenait plus à respirer. Lockhart commençait à se répandre sur sa langue lorsqu’elle réussit enfin à repousser sa tête, prenant une grande respiration tandis que le professeur se déversait sur ses cheveux et son visage, ainsi que sur le pubis et le sexe de Susan.

    Le professeur obligea la petite gryffondor à nettoyer le bas ventre de sa camarade tandis qu’il se rhabillait.

« Je vous laisse raccompagner miss Bones à son dortoir. Je crains que vous n’ayez déjà manqué votre prochain cours. J’enverrai un mot d’excuse à vos professeurs. »

Il traversa le bureau et s’apprêta à sortir.

« Vos baguettes sont dans le premier tiroir de gauche. Je vous conseille de tenir vos langues, sans cela je serai obligé de vous jeter un sort d’amnésie… et il se pourrait que j’ai la main trop lourde, pour cause d’énervement, vous voyez. »



Lockhart sortit en chantonnant. Hermione essaya de réveiller Susan qui ouvrit les yeux mais semblait avoir du mal à savoir où elle était. La petite gryffondor sauta à bas du bureau et récupéra leurs baguettes magiques et pointa la sienne sur sa camarade en prononçant :

« Forcis Regeneratum. »

Susan ouvrit les yeux complètement et s’assit sur le bord du bureau, incrédule. Elle regarda Hermione et fondit soudainement en larmes. La jeune gryffondor la prit dans ses bras et la serra avec douceur. Susan balbutiait entre deux sanglots.

« Je n’aurai jamais imaginé… comment a-t-il pu ? Je croyais… il m’avait dit…
_ Calme toi ! Répliqua Hermione elle même en pleurs. C’est terminé. Il faut que nous partions au plus vite d’ici, d’accord ? »

La petite poufsouffle acquiesça. Toutes deux se rhabillèrent en silence et sortirent du bureau.

    Malgré le sortilège de régénération, Susan avait du mal à tenir sur ses jambes. Hermione la soutenait et suivit ses indications pour l’emmener jusqu’à la pièce commune des poufsouffles. La jeune gryffondor avait encore très mal et elle pensa que leur démarche devait être pour le moins ridicule et même inquiétante. Heureusement les cours avaient repris et les couloirs étaient déserts. Elles ne virent même pas le moindre fantôme. Après une marche qui leur sembla interminable, elles arrivèrent enfin dans le dortoir des filles de deuxième année de poufsouffle et s’écroulèrent épuisées sur le lit de Susan. Hermione était hors d’haleine et tout le bas de son corps la tiraillait horriblement. Sa camarade pleurait, le visage enfouit dans les coussins. L’entourant à nouveau de ses bras, la petite gryffondor lui caressa les cheveux avec douceur. Susan la regarda avec une expression de terreur.

« Il… il a jouit… dans mon ventre ! Qu’est-ce que… je vais faire si je… tombe enceinte ? »

Hermione s’écarta un peu d’elle et se redressa. Avec précaution et douceur, elle releva la robe de son amie sur sa poitrine et pointa sa baguette sur le ventre nu. Elle effectua un petit mouvement de poignée assez compliqué et lança :

« Protectem Infantis. »

Susan ressentit une vague de fraîcheur tourner dans son ventre qui s’estompa rapidement. Hermione s’allongea à nouveau près de sa camarade, la reprit dans ses bras et lui parla avec douceur.

« Avec le sortilège de prévention tu ne risques plus rien. Je croyais que toutes les filles de Poudlard le connaissaient dès leur première année. C’est de notoriété publique. Tu n’en as jamais entendu parlé ?
_ C’est que… je n’en avais jamais eu besoin jusqu’à… aujourd’hui.
_ Excuse-moi ! Répondit précipitamment Hermione qui eut peur de voir sa camarade se désespérer à nouveau. Ne pensons plus à ça.
_ Ne t’inquiète pas. Je te remercie pour ce que tu as fait là-bas. Sans toi je crois que j’aurais été capable de me jeter de la volière. »

La jeune gryffondor parut effarée mais Susan lui sourit tendrement pour la rassurer.
    Elles restèrent longtemps l’une contre l’autre sans bouger. Un autre cours avait déjà dû commencer, mais elles ne voulaient pas sortir du dortoir. Hermione gigota en poussant un gémissement.

« Qu’y a-t-il ? Demanda Susan inquiète.
_ Ce n’est rien. C’est juste que j’ai encore mal. Je ne parviens pas à trouver une position qui me soulage.
_ Oui, c’est pareil pour moi. »

La petite poufsouffle dévisageait gravement son amie, semblant perplexe. Elle se redressa alors.

« Je connais peut être un moyen d’atténuer la douleur. Je ne sais pas si ce sera efficace mais on ne perd rien à essayer. Laisse-toi faire. »

Susan fit allonger Hermione sur le ventre. Cette dernière se demandait ce que sa camarade connaissait pour soulager les élancements cuisants de son bassin et de ses jambes. Peut être avait elle appris un sortilège d’anti-douleur. La petite poufsouffle releva la robe d’Hermione jusqu’à la taille, puis elle fit descendre la petite culotte sur les cuisses avec douceur. La jeune gryffondor fut troublée de se dévoiler ainsi à nouveau mais il s’agissait probablement d’un sort qui ne fonctionnait que sur la peau nue, à l’instar du sortilège de prévention.

    Elle sentit soudain deux petites mains se poser sur ses fesses et les écarter tendrement alors qu’une langue s’appuyait sur son puit secret endolori. Un éclair parcourut sa colonne vertébrale et son petit coquillage devint instantanément humide.

« Susan ? Qu’est-ce que… ?
_ Ne t’en fais pas ! Répondit rapidement la petite poufsouffle. Je te suis reconnaissante de ce que tu as fait pour moi là-haut. Je suis désolée de ne pas avoir pu t’aider à mon tour. Je t’en prie, laisse-moi prendre soin de toi maintenant. »

Hermione aurait voulu répondre qu’elle n’avait pas à faire cela, mais Susan avait immédiatement recommencer à caresser le petit anneau de sa langue agile et la jeune gryffondor ne put que pousser un petit gémissement. Elle sentit une chaleur se répandre dans tout son corps. Mais c’était une douce chaleur, qui l’enveloppait comme un drap, et qui lui donnait d’agréables sensations, bien loin des brûlures intenses infligées par Lockhart. Hermione ne pouvait plus supporter ses vêtements et se débarrassa, en se tortillant, de sa robe et de son minuscule soutien-gorge.

    Susan retira complètement la culotte puis se redressa et se dévêtit également, tandis que la petite gryffondor se tourna sur le dos pour contempler son amie. Une fois nue, la jeune poufsouffle se pencha à nouveau sur sa camarade et embrassa langoureusement son nombril. Elle fit ensuite courir sa langue sur le ventre plat, descendant en douceur vers le trésor intime en écartant lentement les cuisses d’Hermione. Elle se délecta de longues gorgées de jus de plaisir avant d’enserrer le bouton d’amour entre ses lèvres. D’une main elle caressait la cuisse de son amie tandis que l’autre s’était avancée pour masser avec tendresse les deux monts de vénus naissants. La petite gryffondor gémissait sous les délicieux coups de langue de son amante. Elle posa une main sur les doigts qui caressaient sa poitrine et accompagnait leurs mouvements sensuels. Son autre main caressait avec douceur les longs cheveux soyeux de Susan, sans jamais guider les mouvements de sa tête contrairement à la brutalité du professeur.

    Hermione, emportée par la volupté, ne fut pas longue à sentir une vague de plaisir la submerger et inonder son sexe. Sa partenaire se régala de la grande quantité de liqueur de jouissance qu’elle libéra. La petite gryffondor tira avec douceur sur la nuque de Susan pour l’attirer à elle. Les deux jeunes filles s’enlacèrent et s’embrassèrent avec tendresse, savourant la douceur de leur peau l’une contre l’autre. Hermione descendit ses lèvres et sa langue sur la poitrine minuscule de son amante et posa une main sur l’entrecuisse de celle-ci qu’elle caressa avec lenteur. Susan gémit de plaisir avant d’embrasser et de lécher le cou de sa partenaire. Elle descendit également une main sur le sexe de la petite gryffondor tandis que l’autre parcourait lentement les jolies fesses rondes.

Les filles se masturbaientt l’une l’autre, se tortillant et gémissant de plus belles, lorsque Hermione s’allongea sur le dos avec un sourire coquin. Susan comprit ce qu’elle désirait. Elle se mit au dessus de son amante et l’embrassa avant de se tourner et d’offrir son trésor intime à la bouche de son amie tandis qu’elle-même avait une vue plongeante sur le beau coquillage trempé. Elles explorèrent leurs sexes au plus profond que le leur permettaient leurs langues et leurs doigts, alors que la petite poufsouffle sentait avec délectation son ventre se frotter à la poitrine si menue de son amie. Hermione releva les jambes, offrant son puit secret au grand jour. Susan y promena un peu sa langue avant d’y introduire deux doigts avec douceur et qu’elle enfourna trois autres doigts dans le sexe dégoulinant. La petite gryffondor laissa échapper un petit cri puis, encouragée par la réaction de son amante, elle fit de même avec les orifices qui lui étaient offert. Il ne fallut pas longtemps avant que les filles se mettent à crier de concert, libérant chacune de grandes quantité de liqueur de jouissance dans la bouche de leur partenaire. Elles s’allongèrent l’une à côté de l’autre et s’enlacèrent en posant de nombreux baisers sur tout leurs corps.

Vaincue par la fatigue, Susan s’endormit rapidement. Hermione la recouvrit des draps et se rhabilla. Elle sortit du dortoir non sans avoir déposé un tendre baiser sur les lèvres de son amante. Marchant dans les couloirs encore silencieux du château, la jeune gryffondor constata que la douleur de son bassin et de son ventre s’était estompée et que celle de ses jambes avait complètement disparue. Elle regagna son dortoir pour faire croire qu’elle s’était endormie, pensant même qu’elle devrait faire semblant d’être paniquée pour être plus crédible.

Durant le repas ce soir là, Harry et Ron la questionnèrent, surpris de ne pas l’avoir vu de l’après-midi.

« Mais où étais-tu passée ? La convocation de Lockhart s’est transformée en rendez-vous galant ? »

Hermione sentit son cœur se soulever à cette pensée. Elle fit tout pour ne rien laissé paraître et pris un air coléreux, ce qui lui fut en fait très facile.

« Tais-toi Ron ! Il m’a simplement félicité d’avoir réussit les derniers sortilèges et il voulait me lire un passage de son nouveau livre en pensant que ça me passionnerait. »

Elle avait répété son mensonge toute la fin d’après-midi, pensant que Lockhart était suffisamment imbus de sa personne pour que l’on croit qu’il donnait des lectures privés à ses meilleurs élèves. Ron voulut répondre avec un sourire narquois mais Harry lui posa la main sur le bras avec un regard « c’est bon maintenant » et Ron haussa les épaules en s’occupant de son assiette. Hermione sourit à Harry, reconnaissante. Elle jeta un coup d’œil à la table des poufsouffle où elle aperçut Susan qui riait avec Hannah Abbot. A la table des serdaigles par contre, elle reconnut Marietta Edgecombe, la mine sombre, les yeux fixés sur son assiette, alors qu’une de ses amies, une fille magnifique, lui parlait avec entrain. Elle tourna les yeux vers la table des professeur où Lockhart parlait joyeusement avec le professeur Flitwick qui semblait singulièrement agacé. Hermione savait qu’on ne la croirait pas si elle s’attaquait à quelqu’un d’aussi célèbre que Gilderoy Lockhart. Tout le monde penserait qu’elle cherchait à entacher sa réputation pour se faire connaîte. Elle espérait donc que quelqu’un finirait par lui jouer un très sale tour avant la fin de l’année. Â ses côtés, Ron se plaignait encore à Harry des dégâts qu’avait provoqué sa baguette brisée lors des cours de l’après-midi.
 
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00
Erreur de potion

Une aventure sexuelle de Harry Potter en 2e année


Avec : Harry Potter, Hermione Granger et Ron Weasley





    La terreur commençait à s’emparer du château de Poudlard. Maintenant qu’il était connu que l’héritier de Serpentard arpentait les couloirs avec son monstre mythique et avait paralysé plusieurs victimes. Nombre de suspects étaient envisagés mais le nom qui revenait le plus souvent était celui de Harry Potter. Harry supportait mal ce qu’on disait de lui dans son dos et il avait décidé de mener sa propre enquête en commençant par interroger Malefoy, son ennemi juré, qui était en parfaite position pour agir.

    Hermione avait trouvé la recette du polynectar dans un livre, une potion permettant de prendre l’apparence de n’importe qui d’autre. Après l’agression de Justin Finch Fletchey, Harry l’avait pressée de finir la potion et Hermione avait rajouté quelques ingrédients qui, selon elle, devait accélérer la finition de la potion. Tous trois se trouvaient dans les toilettes hors services des filles au deuxième étage.

« Tu es sûre de ce que tu fais ? Lui demanda Ron, sceptique.
_ Oui, répondit-elle de mauvaise humeur. La potion est déjà assez dure à préparer comme ça alors laisse-moi en paix. »

Ron se préparait à répliquer mais Harry lui donna un coup de coude. La potion était bientôt terminée, Hermione était sur les nerfs et il ne tenait pas à boire du polynectar mal préparé. Il redoutait déjà suffisamment d’en boire s’il était bien fait.

Ron ne dit plus rien et regarda la potion d’un air peu rassuré en serrant dans sa poche la fiole qui contenait un cheveux de Crabbe. Harry et lui s’était introduit plus tôt dans la laverie pendant qu’Hermione rajoutait les ingrédients nécessaires. Il avait retrouvé les robes de Crabbe, Goyle et Milicent Bullstrode auprès desquelles restaient accrochés quelques cheveux. Ron s’était déjà énervé après que Hermione se fut soudain rappelée qu’elle avait déjà un cheveux de Milicent, attrapé lors du club de duel. Ron avait répliqué de manière plutôt malpolie que la prochaine fois c’est elle qui irait fouiller dans les affaires sales des Serpentards.

« C’est prêt ! » Lança Hermione d’une voix qui trahissait son appréhension.

Ron déglutit avec difficulté avant de sortir son cheveux en même temps que Harry. Hermione sortit également une fiole.

« Ah non ! S’exclama Ron. On a été te chercher un cheveux alors tu vas le prendre. »

Hermione le regarda de ses yeux apeurés dans lesquels on pouvait discerner un fond de colère. Mais elle se résigna à ne pas répliquer sur le moment et rangea sa fiole avant de prendre celle que lui tendait Harry.

    Elle prit trois gobelet qu’elle remplit de la potion visqueuse et en tendit deux à Harry et Ron. En espérant que quelque chose les arrête avant qu’ils n’aient le temps de boire l’espèce de boue infecte qui continuait de remuer lentement dans leurs verres, Harry y déposa son cheveux. Mais ils avaient même réussit à se débarrasser de Mimi Geignarde, le fantôme des toilettes des filles, après que Ron lui ait rappelé pour une énième fois qu’elle était morte. Elle avait plongé dans une cuvette et devait probablement sangloter dans le lac ce qui lui prendrait des heures. Les potions dans les gobelets prirent des couleurs différentes qui ne les rendirent pas plus appétissantes.

    Prit d’une soudaine envie d’en finir, Ron but de longues gorgées de son verre. Harry et Hermione l’imitèrent juste avant qu’il ne se mette a main devant la bouche pour éviter de tout recracher. Harry sentit aussitôt ses jambes flageoler et son cœur battre plus rapidement. Son ventre semblait être en feu et il ne savait pas combien de bestioles inconnues gigotaient à l’intérieur. Sa vision devint floue mais il aperçut Hermione qui tenta de se raccrocher à un lavabo. Elle le manqua et tomba comme un arbre abattu. Dans un éclair de lucidité, Harry eut le réflexe de se jeter en avant pour la recueillir dans ses bras. Mais ses forces l’abandonnèrent et il s’affala durement sur le sol de pierre. Hermione lui tomba dessus. Il sentit Ron s’effondrer à son tour derrière lui. La douleur descendit peu à peu de son ventre vers son entrejambe ce qui ne lui laisser présager rien de bon.

    Puis la douleur disparut soudainement. La potion avait fait effet. Il se redressa, groggy, et prit Hermione par les épaules. Elle n’avait pas changé d’un sourcil mais semblait au bord de l’évanouissement.

« Tu vas bien ? Lui demanda-t-il mal assuré
_ Voui, répondit-elle d’une voix pâteuse. Kessépassé ?
_ Sais pas. Ron ? Ron ! tu vas bien ?
_ Je crois. » répondit Ron entre deux envie de vomir.

Lui non plus ne semblait pas affecté par la potion. Il marchait à quatre pattes vers l’une des cabines. Harry se releva en aidant Hermione puis il se regarda dans la glace. Il avait toujours ses cheveux noirs en bataille, sa cicatrice sur le front et ses yeux vert feuille.

« Qu’est-il arrivé ? Pourquoi on ne s’est pas transformé ?
_ Je ne sais pas Harry, répondit Hermione qui reprenait ses esprits peu à peu, mais peut être que l’accélération de la potion était trop compliquée. J’ai dû faire une erreur. »

Ses yeux s’humidifièrent et elle partit dans une crise de sanglots. Harry fut surpris puis il la prit dans ses bras avec douceur.

« Allons, calme-toi Hermione. Ce n’est pas si grave, une erreur, ça arrive à tout le monde.
_ Mais la potion aurait pu devenir un poison. J’aurais pu nous tuer tous les trois.
_ Oui mais ce n’est pas arrivé. Nous n’avons même pas été changé.
_ Euh… pas… pas sûr ! Fit la voix légèrement affolée de Ron dans la cabine.
_ Quoi ? »

    Harry et Hermione se précipitèrent vers la cabine. Ron était assit sur la cuvette et se tenait le bas ventre en respirant fortement. Il jeta un regard de dépit à ses amis.

« Je… je crois qu’on en est pas sorti indemne.
_ De quoi tu parles ? Fit Hermione d’une voix tendue. Qu’est-ce qui t’arrive ? »

Ron respira encore plus fortement. Il semblait chercher des mots assez forts pour dire ce qu’il avait vu. Mais il n’y arriva pas et se résolut à leur montrer. Il souleva sa robe de sorcier jusqu’au ventre de ses mains fébriles. Son pantalon et son slip était baissé sur ses cuisses mais ni Harry ni Hermione ne songèrent à détourner les yeux. Au contraire ils fixaient l’entrejambe de Ron avec horreur. Un léger duvet roux ornait deux grandes lèvres lisses surmontées d’un petit clitoris pâle. Nulle trace de pénis. Revenant de leur stupeur, Harry et Hermione plaquèrent immédiatement une main sur leurs sexes. Harry émit un gémissement en constatant qu’il manquait de toute évidence quelque chose. Hermione, elle, poussa un cri strident en sentant une bosse entre ses cuisses. Elle entra vivement dans une cabine pour vérifier de visu. Harry lui dû se retenir à une paroi pour ne pas tomber à nouveau, la respiration haletante.

    Ron regardait son entrejambe sans y croire. Il écarta les grandes lèvres comme pour s’assurer que son membre ne se cachait pas à l’intérieur. Sans se rendre compte de ce qu’il faisait, il introduisit un doigt dans la fente. Il en ressentit un léger frisson. Sa main frotta le clitoris et un deuxième frisson le parcouru. Curieux, il prit le petit bouton entre ses doigts libres tandis que l’autre faisait négligemment un petit mouvement de va et viens. Il sentit une vague de volupté s’emparer de son corps et il s’activa plus rapidement sur sa nouvelle intimité. Il perdit notion de ce qui l‘entourait. Il s’entendit pousser un gémissement puis une autre voix lui parvint aux oreilles.

« Ron ? »

Il ouvrit les yeux et son esprit devint clair comme si on l’avait tiré  brusquement du sommeil. Harry se tenait dans l’encadrement de la porte et le regardait avec des yeux ronds. Ron se rendit compte qu’il se masturbait devant lui et cessa immédiatement.

« Ex… Excuse moi Harry ! C’est que… c’est… »

Il remarqua alors que Harry avait toujours la main plaquée sur son entrejambe et semblait le masser à travers sa robe de sorcier.

« C’est… c’est pas mal… hein ? Fit-il avant d’avoir pu s’en empêcher.
_ Euh… ouais, répondit maladroitement Harry tandis que ses joues rosissaient, c’est… c’est nouveau. »

    Ron, le visage rouge, reprit sa masturbation tandis que Harry passait également sa main sous sa robe. Ils explorèrent leurs nouveaux sexes en faisant attention de ne pas paraître trop intéressés par l‘entrejambe de l’autre. Harry sentit un liquide s’écouler faiblement sur ses doigts lorsqu’un cri retentit dans tout les toilettes.

« Harry ? Ron ? Mais… mais qu’est-ce que vous faîtes ? »

Hermione se tenait derrière eux, l’air interdit. En se retournant, Harry ne put s’empêcher de constater que la bosse entre ses jambes avait grossie.

« Vous ne croyez pas qu’on devrait plutôt essayer de résoudre notre problème ? Vous êtes incroyables ! »

Harry voulut bafouiller des excuses mais Ron parla avant lui d’une voix chevrotante.

« Her… Hermione ! Tu ne… crois pas que… enfin… qu’on a qu’à attendre ?
_ Quoi ?
_ Oui, fit Harry. Tu as dit que la potion ne ferait effet que pendant une heure. Peut être que tout redeviendra normal tout seul.
_ Mais… ? Et si ce n’est pas le cas ? Gronda-t-elle.
_ Alors il sera toujours temps de chercher une solution à ce moment-là. Reprit Ron un peu plus assuré. Si jamais ça finissait tout seul, ce serait bête de ne pas en profiter.
_ En profiter ?
_ C’est sûr que ça n’arrive pas tous les jours ce genre de chose, dit Harry. Il n’y aura sûrement plus d’autres occasion de connaître aussi bien l’autre sexe. Tu ne veux pas savoir ? »

En parlant de connaissances et de savoir, Harry savait qu’il avait touché un point sensible. Hermione réfléchissait à présent en regardant Ron se remettre à faire quelques va et viens avec son doigt.

    Harry s’approcha d’elle et lui parla d’une voix douce.

« Ecoute ! J’ai envie de savoir ce que ça fait. Alors je te masturberai comme un garçon et toi tu me masturberas comme une fille, d’accord ? »

Hermione le regarda avec des yeux brillants puis elle acquiesça avec un petit sourire gêné. Harry la prit tendrement contre lui pour la rassurer et tira sur la robe dans son dos. Il découvrit les petites fesses rondes et glissa une main pour les caresser en douceur. De toute évidence, c’était bien un derrière de fille et il constata, tandis qu’Hermione passait ses mains sur ses cuisses, que c’était toujours bien ses jambes à lui. En dehors de leurs organes génitaux, tout le reste était à sa place.

    Il aida Hermione à se débarrasser de sa robe et la contempla. Elle était belle dans ses petits sous-vêtements. Ses petits seins tendaient à peine le soutien-gorge blanc et sa petite culotte était devenue très étroite entre le sexe bandé et les mains de Harry. Il en profita pour la retirer et fit apparaître le membre dressé tandis que Hermione lui enlevait également sa robe. Il prit la verge et se mit à la caresser lentement de haut en bas. Hermione se cambra et fut incapable de faire le moindre geste pendant quelques minutes. Elle gémissait et s’accrocha au cou de Harry. Reprenant ses esprits, elle descendit sa main sur le petit abricot de Harry et se mit à le masser vigoureusement. Dans le même temps, elle descendit ses lèvres sur la poitrine du jeune garçon et enserra l’un de ses tétons dans sa bouche. Elle pressa le bouton d’amour avec son pouce et introduisit deux doigts dans le petit sexe trempé. Harry se figea à son tour. Il comprit, bien que ce fut la première fois pour lui, que Hermione savait parfaitement comment caresser une autre fille. Harry recommença à la masturber en caressant également ses petites bourse, prêt à montrer que lui savait comment faire jouir d’autres garçons.



    Prit d’une soudaine envie, il se mit à genoux et fourra le membre d’Hermione dans sa bouche qu’il se mit à sucer avec précision. La jeune fille, surprise, faillit jouir sur le coup. Elle agrippa la tête de Harry, ses doigts parcourant les cheveux en bataille. Puis, ne pouvant plus se retenir, elle appuya fortement sur la tête du jeune garçon, donna un coup de rein pour s’introduire au plus profond de sa bouche et elle éjacula dans sa gorge. Harry manifesta son expérience des garçons en restant parfaitement insensibles au fait qu’il ne pouvait pas respirer et il avala rapidement les longues gorgées de nectar que lui envoyait son amie. Hermione appuya un peu plus sur la tête de Harry et lui parla d’une voix rude qui lui était inhabituelle.

« Allez, avale tout espèce de salope. T’aime ça hein ? »

Etonné, Harry se dégagea et regarda Hermione qui lui souriait d’un air entendu.

« Mais qu’est-ce qu’il te prend ? Tu es folle ?
_ Quoi ? Répliqua Hermione dépitée. Ce n’est pas comme ça que vous parlez aux filles, vous, les mecs ?
_ Moi sûrement pas, repris Harry, à moins qu’elles montrent qu’elles aiment ça. Mais comme ça, d’un coup, jamais.
_ Excuse-moi ! J’imaginais…
_ Laisse tomber, fit Harry en lui souriant, on est là pour apprendre après tout. »

    Harry reprit le sexe d’Hermione dans sa bouche pour lui montrer qu’il ne lui en voulait pas et également pour qu’elle retrouve une érection convenable. Hermione se mit à gémir et se contenta cette fois de lui caresser doucement les cheveux. Ron sortit de sa cabine après avoir passer tout ce temps à mater ces amis en inspectant les moindres recoins de son nouveau sexe avec ses doigts. Il se posa dos contre un mur.

« Hé, « salope » ! Viens donc me montrer ce que tu vaut comme lesbienne. »

Ils échangèrent tous les trois un sourire et Harry vint se positionner à genoux devant Ron. Il l’attrapa par les fesses et se mit à lécher langoureusement le petit coquillage ruisselant. Ron haletait tout en remuant ses hanches au rythme de la langue de Harry.

« Ah ! C’est mieux que tout ce que je pouvais imaginer.
_ Et encore il ne s’y prend pas si bien, remarqua Hermione dans le dos de Harry. Mais on verra plus tard si j’ai le temps de vous apprendre. »

Elle embrassa langoureusement Ron puis se mit à genoux et caressa le sexe de Harry tout en se masturbant. Elle posa ensuite son gland contre le trésor intime de son ami et attrapa ses hanches. Harry pensa soudain qu’il allait perdre sa virginité en tant que fille et il en fut bizarrement troublé. Des sensations curieuses qu’il avait du mal à comprendre s’emparait de lui mais il reconnut une part de plaisir et de bonheur et creusa ses reins tandis qu’Hermione enfonçait lentement sa queue en lui.

Elle buta contre la fine paroi et, avec un petit sourire, elle donna un coup de rein qui la transperça. Harry poussa un gémissement tandis que la jeune fille se logeait complètement dans son ventre. Il accentua les mouvements de sa langue sur le sexe de Ron tandis qu’Hermione faisait de vigoureux va et viens, découvrant le plaisir de la pénétration de ce côté et l’appréciant apparemment beaucoup. Harry avait du mal à démêler toutes les sensations qu’il éprouvait à être pénétré ainsi. Seul le plaisir dominait et il se rendit soudain compte qu’il s’avançait au devant des coups de boutoir d’Hermione. Tout en mordillant le bouton d’amour devant lui, Harry se mit à ruer sur le membre viril de la jeune fille. Il sentait la chaleur de son ventre grandir peu à peu. Mais Ron fut le premier à pousser un cri et à lâcher une grande quantité de jus de jouissance dans la bouche de Harry qui en bu de longues gorgées avec satisfaction. Alors qu’il léchait la dernière goutte qui s’échappait d’entre les lèvres intimes de Ron, Hermione se figea soudain en lui et jouit, profondément enfoncée dans le petit coquillage de Harry. Lorsqu’il sentit le liquide chaud se répandre dans son ventre déjà brûlant, il ne put se retenir et cria également sa jouissance.

Hermione et lui s’écroulèrent sur le sol. Sans retirer le membre dressé de son sexe, Harry parvint à se retourner pour se trouver face à la jeune fille. Il l’embrassa tendrement en caressant sa petite poitrine et resserra les muscles de son bassin autour du pieu de chair pour le garder en lui. Ron se pencha sur les deux amants. De sa langue il se mit à nettoyer les restes de sécrétions sur les parties accessibles des sexes toujours joints puis il descendit poser ses lèvres sur les bourses d’Hermione en caressant les fesses de Harry. Celui-ci prenait les seins entier de la jeune fille à pleine bouche avant de laisser sa langue les explorer dans leurs moindres recoins. Il se redressa et libéra la queue dressées d’Hermione pour que Ron puisse la prendre entre ses lèvres avides. Il plaça son abricot juste au dessus de la bouche de la jeune fille qui plaqua immédiatement son visage contre le bas ventre offert et enfouit sa langue aussi profond qu’elle put. Harry laissa alors ses muscles se décontracter et relâcha un peu de sperme qu’Hermione but avec grand plaisir. Il lui sembla bizarre d’absorber sa propre semence mais elle lui trouva un goût plus agréable, se demandant si c’était vraiment le cas ou si ça se passait dans sa tête. Elle accentua ses caresses sur l’intimité d’Harry pour ne pas en perdre une goutte. Ce dernier, sous les délicates caresses de son amie, dû reconnaître que quoi qu’il ait fait à Ron, ce ne pouvait être aussi bon que ce qu’il ressentait en ce moment. Il se libéra d’une grande quantité de liqueur d’amour pour la plus grade joie d’Hermione.

Après que son amie se fut largement abreuvée, Il se retourna pour faire face à Ron qui libérait le chibre qu’il avait fait jouir plusieurs fois si l’on s’en tenait aux traces de semences sur son visage et sur le ventre d’Hermione. Cette dernière se remit à lécher Harry et égara plusieurs de ses doigts dans les orifices à sa portée tandis que Ron se plaçait au-dessus du membre viril. Il le masturba un peu puis le tint bien droit pendant qu’il abaissait son petit coquillage. Il se glissa lentement sur le pieu de chair, essayant de ne pas s’arrêter tandis que sa virginité particulièrement éphémère disparaissait, mais ne put empêcher son visage de se crisper à ce moment. Harry le trouva touchant et se pencha vers lui pour l’embrasser tendrement. Ron s’accrocha à ses épaules pour faciliter ses va et viens tandis que son ami embrassait et léchait son torse tout en descendant ses mains vers son cul. Harry écarta les fesses de son camarade et introduisit trois doigts dans le puit secret découvert, lui faisant découvrir les joies de la double pénétration. Ron en semblait ravi et il embrassa fougueusement Harry pour le remercier tout en caressant la petite poitrine d’Hermione d’une main car elle essayait de donner quelques coups de reins pour augmenter le plaisir du jeune garçon.

Sous les attentions combinées de ses amis, Ron ne fut pas long à jouir à nouveau mais il continua à monter et descendre le long du sexe tendu, bien décidé à ce qu’Hermione éjacule dans son ventre. Ceci arriva au moment précis où Harry se laissa emporter par le plaisir et que la jeune fille dégustait de longue gorgée du précieux nectar. Tous trois s’écroulèrent sur le sol et prirent un temps de repos. Ils se caressèrent et s’embrassèrent mutuellement pendant quelques courtes minutes. Mais le temps dont ils disposaient filait à grande allure et Hermione exprima l’envie de savoir ce que ressent un garçon pendant une sodomie. Harry et Ron furent enthousiastes à cette idée et ils décidèrent de faire bénéficier la jeune fille d’une double fellation avant de commencer. Ron lui lécha ses petits seins avant de descendre le long du ventre tandis que Harry remontait sur sa cuisse. Hermione fut parcourue d’agréables frissons en sentant les deux langues parcourir son corps vers son membre viril. Harry s’empara du gland entre ses lèvres tandis que Ron léchait consciencieusement la garde en massant les testicules. Hermione frémissait sous caque coup de langue tandis que les doigts des garçons caressaient sa poitrine ou s’introduisaient dans sa bouche et son anus. Elle plaqua ses mains sur les cheveux noirs et roux qui s’activaient autour de son sexe. A présent, Harry et Ron s’embrassaient goulûment, effectuant un véritable ballet à leurs langues, tandis que le gland d’Hermione était coincé entre leurs bouches. En pleine extase, la jeune fille éjacula en lâchant un cri aigu. Les lèvres se resserrèrent autour de son membre pour ne pas perdre une seule goutte de la douce semence.

Les garçons s’activèrent encore un peu sur la verge d’Hermione pour qu’elle conserve sa vigueur. Puis il s’installèrent tous deux en position tête bêche. Ron insista pour que Harry soit au-dessus de lui et qu’il bénéficie en premier de l’introduction d’Hermione. Ils commencèrent à se caresser mutuellement tandis que la jeune fille s’agenouillait derrière Harry. Elle caressa le petit cul du jeune garçon tandis que Ron la suçait encore un peu par pure gourmandise. Puis ce fut lui qui écarta les fesses de son ami en retournant à la dégustation du petit abricot. Hermione s’allongea sur le dos de son ami, posa son gland sur le petit anneau et s’enfonça d’un coup jusqu’à la garde. Harry, sentant les petits seins de la jeune fille s’écraser contre ses omoplates, son sexe profondément fiché en lui, ne put se retenir de jouir immédiatement et abreuva grandement Ron de son jus de plaisir. Hermione donnait de grand coup de rein tout en léchant le cou de Harry tandis que Ron s’était accroché aux fesses de la jeune fille et introduisait deux doigts dans son petit cul au même rythme. Hermione ne tint pas longtemps et se répandit dans le dos du jeune garçon.

Lorsqu’elle se retira, les deux garçons roulèrent l’un sur l’autre pour que Ron se retrouve au dessus cette fois-ci. Hermione les contourna pour se mettre face au visage de Harry. Elle lui donna son membre à nettoyer et masturba le puit secret de Ron en attendant. Harry savourait la verge dans sa bouche et appréciait les coups de langues sur son petit coquillage. Toutefois il commençait à ressentir une sensation de froid dans son ventre comme si un glaçon s’y était introduit. Il n’en fit rien dans un premier temps, pensant que Hermione serait heureuse de déverser en lui une nouvelle quantité de sa semence bien chaude pour y remédier. Mais la sensation ne le quittait pas, il lui sembla même qu’elle empirait. Lorsqu’il sentit le glaçon se déplacer vers son bas ventre, il comprit soudain ce que ça signifiait. Déjà une heure. Ron et Hermione s’était également arrêtés et, de toute évidence, le même phénomène se produisait chez eux. Harry resserra ses lèvres autour du membre de la jeune fille comme pour le retenir mais il le sentit nettement en train de rapetisser. Un autre, celui de Ron enflait contre sa gorge tandis que le sien grandissait directement dans la bouche de son ami. Harry se sentit soulagé que les effets de la potion ne soit pas permanent mais une grande amertume s’empara de lui. Il aurait aimé en profiter encore un peu.

Pendant un temps, aucun d’eux ne sut quoi faire. Puis, avec lenteur et sans dire un mot, Ron fit monter et descendre ses lèvres le long du sexe de Harry qu’il ‘avait même pas lâché. Retrouvant ses esprits, Harry prit la queue de Ron dans sa bouche et la suça avec délice tandis qu’il étendait ses bras pour flatter le petit cul d’Hermione et introduire quelques doigts dans la fente qui avait retrouvé sa place. La jeune fille se pencha sur la croupe de Ron et lécha tendrement les bourses en enfonçant trois doigt dans le petit anus qu’elle n’avait pas eu le temps d’explorer avec son membre éphémère. Harry n’eut pas longtemps à attendre avant que le sperme de Ron n’emplisse sa gorge à te point qu’il ne put tout avaler. Heureusement la langue d’Hermione nettoya précautionneusement son visage et ses lèvres. Tandis qu’il embrassait langoureusement son amie tout en lui caressant tendrement sa petite poitrine, Harry sentit un éclair lui traverser le dos et son sperme de gicler dans la bouche de Ron qui n’en perdit pas la moindre goutte.

Hermione s’allongea à côté de Harry et fit comprendre à Ron de changer de partenaire. Il ne se fit pas prier pour installer confortablement son membre dans la bouche de la petite gourmande et se mettre à dévorer l‘entrejambe ruisselant. Hermione écarta alors les fesses de Ron à pleines mains et regarda Harry d’un air coquin. Elle voulait apparemment donner à Ron la sodomie à laquelle il n’avait pas eu droit de sa part. Harry s’agenouilla de bonne grâce derrière son ami et prit ses hanches. Il sentit Ron frémir tandis que sa verge se frayait un chemin sur sa raie. Hermione parcourait les fesses et les cuisses de Harry de ses mais qui l’accompagnèrent lorsqu’il pénétra Ron avec force. Celui-ci se mit à ruer sur le sexe de son amie en faisant des va et viens du sien entre les lèvres d’Hermione et en dévorant le petit abricot de cette dernière de plus belle. Harry fut le premier à jouir cette fois-ci et il se répandit avec bonheur dans le cul de Ron. Hermione poussa également un gémissement de plaisir étouffé par le membre qui emplissait sa bouche et déversa beaucoup de son jus de jouissance. Ron enfin se répandit dans la gorge de la jeune fille en poussant un feulement de lion.

Hermione semblait fatiguée mais ce fut avec plaisir qu’elle n’opposa pas la moindre résistance lorsque Harry l’attira à lui. Allongée face à lui, elle l’embrassa tendrement tandis qu’elle avançait son trésor intime vers sa verge. Elle avait tout juste été pénétrée par le pieu de chair lorsqu’elle sentit de grandes mains écarter ses petites fesses. Le membre de Ron se plaça à l’entrée du puit secret et attendit qu’Hermione continue son chemin. Sans plus attendre elle donna un grand coup de rein et fit pénétrer les deux sexes dans ses orifices jusqu’aux gardes. Elle embrassa longuement Harry en remuant langoureusement son bassin sur les deux queues qui la pourfendait et accélérait peu à peu le rythme. Lorsqu’elle relâcha les lèvres du jeune garçon, ses mouvements était presque frénétique. Harry voyait Ron, le visage crispé, essayant de retenir le plaisir que lui donnait le petit cul étroit avec cette fougue. Mais ce fut Hermione qui, après un violent coup de rein, stoppa net dans son élan et cria sa jouissance en inondant le ventre de Harry de sa liqueur d’amour. Ce fut comme un signal pour les deux garçons qui se figèrent à l’intérieur de la jeune fille et se répandirent dans son petit cul et dans son ventre.

Elle semblait épuisée à présent mais elle insista pour que es garçons s’allongent côte à côte. Elle prit alors leurs deux sexes dans la bouche, l’ouvrant très grande pour qu’ils puissent entrer. Harry voyait là un remerciement à la double fellation que Ron et lui avaient pratiqué un peu plus tôt à la jeune fille quand elle était encore pourvue d’un pénis. Il jugeait le geste inutile puisqu’ils l’avaient gratifié de cette petite gourmandise sans rien en attendre en retour que son plaisir mais il semblait que ce soit le même sentiment désintéressé qui animait Hermione et il se contenta de se laisser aller à la volupté en embrassant Ron. Harry éjacula en sentant la petite main d’Hermione lui caresser les bourses. En sentant le sperme de son ami dans la petite bouche qui continuait de le sucer, Ron ne put se retenir et jouit également entre les lèvres gourmandes. Hermione avala la semence de garçons à grandes gorgées avant de nettoyer consciencieusement les deux verges de sa langue.

Elle s’allongea entre eux et pendant encore un long moment ils échangèrent des caresses coquines et tendres. Mais le soir tombait peu à peu et l‘heure du repas arrivait. Hermione jeta un sort de prévention sur son ventre et Ils se rhabillèrent. La jeune fille pointa sa baguette sur le chaudron et prononça une formule qui la débarrassa des derniers ingrédients qu’elle avait ajouté, lui rendant son aspect d’origine.

« On aurait pu s’en resservir ! Marmonna Ron avec dépit.
_ Je ne crois pas, répondit Hermione tristement, une potion n’a pas forcément les mêmes effets si on la prend plusieurs fois ou trop souvent. Si c’est en plus une potion mal préparée ça peut être très dangereux.
_ Il serait possible d’en refaire ? Demanda Harry avec une pointe d’espoir
_ Je ne crois pas. Il faudrait retrouver à quel moment j’ai commis l’erreur et ça n’est pas possible. Et si je me trompais à nouveau on ne sait pas ce qui pourrait se passer. Ce pourrait être mortel cette fois. Nous avons pu profiter de notre état mais il faut nous résigner à ce que cela ne se reproduise jamais. »

Tous trois regardèrent avec regret le chaudron dans lequel bouillonnait paisiblement l’épaisse potion. Puis ils descendirent prendre leur repas constatant avec un sourire qu’ils n’avaient pas beaucoup avancé dans la recherche du coupable des agressions ce qui, pour une fois, leur sembla bien peu intéressant.
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Harry
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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00
La loi des sangs purs

Une aventure sexuelle de Harry Potter en Troisième année


Avec : Harry Potter, Drago Malefoy, Vincent Crabbe, Grégory Goyle et deux filles de serpentard de première année.





    L’hiver était rude. Il neigeait et ventait fortement et les élèves de Poudlard qui étaient à Pré-au-lard ce week-end marchaient à pas vifs, le col de leur robe relevé. Ils se réfugiaient avec bonheur dans la salle accueillante des trois balais. Et c’est justement parce que tout le monde s’y trouvaient que Harry ne pouvait y entrer. Caché sous sa cape d’invisibilité, il n’avait aucune chance de se déplacer à l’intérieur sans se cogner contre quelqu’un. Ron devait l’attendre quelque part au milieu de la foule mais il ne pouvait même pas aller le prévenir. Harry aurait bien aimé pouvoir se débarrasser de la cape et entrer dans le pub comme n’importe quel autre élève. Mais l’absence d’autorisation de son oncle, la menace de Black sur sa tête et la surveillance dont il faisait preuve depuis l’en empêchait, à son plus grand regret.

Le vent sembla se calmer un peu et Harry décida de se promener un peu en attendant que Ron comprenne qu’il ne viendrait pas. Comme ils n’avaient pas fixé d’heure de rendez-vous précise, cela pourrait durer longtemps. Harry longea la rue principale. Il regardait avec envie les boutiques, décorées à l’occasion de Noël, et affichant chacune un parchemin pour la capture de Sirius Black. Sans Ron pour payer à sa place, il ne lui servait à rien d’entrer où que ce soit. Afin de ne pas gâcher totalement sa sortie, Harry se dirigea vers la cabane hurlante. Il n’avait pas eu le temps de bien la voir la première fois qu’il y était allé.

    Il arpentait un chemin totalement désert qui coupait dans un bois. Personne d’autre que lui n’avait marché dans la neige et il apprécia le calme de l’endroit uniquement dérangé par ses pas crissants dans la neige. C’est alors qu’il entendit un cri aigu venant de sa droite. Harry s’arrêta et tendit l’oreille. D’autres bruits indéterminés lui parvenaient dans la même direction. Intrigué, Harry s’enfonça dans le bois. En s’approchant, il constata qu’il s’agissait de bruits de voix. Il avançait avec une grande prudence, faisant attention de ne pas marcher sur des branches mortes ou tout autre chose qui l’aurait fait repérer. Avec lenteur, il déboucha sur une petite clairière dans laquelle s’élevait la voix traînante de Drago Malefoy, ce qui agaça grandement les oreilles de Harry. Il était bien sûr accompagné de ses deux acolytes Crabbe et Goyle. Tous trois ricanaient devant deux fillettes portant des uniformes de serpentard. L’une avait de longs cheveux blonds et l’autre des cheveux bruns assez courts. Harry ne les avait encore jamais vues, du moins à sa connaissance et, d’après leur jeune âge, il en conclut qu’il s’agissait de premières années. Les fillettes tremblaient comme des feuilles bien qu’elles soient correctement emmitouflées dans leurs capes et que des grands châles vert et argent leur mangeaient le bas de la tête. Elles fixaient de grands yeux effrayés sur les trois garçons qui leur faisaient face.

« Alors, petites garces, fit Drago Malefoy, un sourire mauvais aux lèvres, vous pensiez que nous vous avions oubliées ? Nous avons déjà rencontré la plupart de vos amies de première année. Nous avons forcé l’une d’elle à nous révéler que vous alliez à la cabane hurlante alors que nous vous avions dit de vous rendre dans le cachot de rangement des chaudrons. Mais vous n’êtes pas venues. Or nous n’aimons pas vraiment attendre, surtout pour rien. Votre attitude n’est pas celle de bonnes sangs pures. Nous allons devoir vous punir. »

La jeune serpentard aux cheveux blonds se recroquevilla sur elle même. Des larmes se mirent à couler sur ses joues et tombèrent en creusant de petits trous dans la neige étincelante.

« Je ne veux pas ! »

Elle avait parlé d’une si petite voix que Harry crut un instant qu’il s’agissait du sifflement du vent. Crabbe s’avança vers elle sur un signe de Malefoy et la gifla violemment au visage. Harry avait crispé ses doigts sur sa baguette tandis que la gamine se retrouvait étalée de tout son long dans la neige et que sa compagne tenait toujours debout avec dignité bien qu’elle fut trahie par ses tremblements de plus en plus agités.

« Tu n’as pas le choix, reprit Malefoy d’une voix dure tandis que Goyle s’avançait vers la seconde gamine pour l’empêcher de s’échapper. Tous les sangs purs de serpentard à Poudlard respectent la tradition depuis des siècles. Nous ne te laisserons pas la briser. »

Il fit un nouveau signe à Crabbe et Goyle qui attrapèrent les fillettes et tirèrent sur leurs vêtements, retirant d’un coup les châles et les capes et s’empêtrant ensuite dans les plis des robes pendant qu’elles se débattaient vainement. Harry n’arrivait pas à croire ce qu’il voyait. Il en était comme paralysé, son cerveau fonctionnant au ralenti tandis qu’il cherchait à comprendre ce qui se tramait sous ses yeux.

« Tous les premières et deuxièmes années doivent se soumettre aux désirs des élèves en années supérieures, reprit Malefoy, et ce une fois que les troisièmes années se sont occupés de leurs dépucelages. Tous les garçons sont passés entre les mains des filles de troisième année, mais nous nous avons pris du retard par votre faute. Il faudra en payer le prix. »

La petite brune jetait un regard implorant à Malefoy tandis que son acolyte remontait la robe sur son cou, révélant ses petits seins en coupole. A ses côtés, Crabbe retirait la petite culotte de la blonde en reniflant bruyamment, révélant une très légère toison aux reflets dorés.

    Lorsqu’elles furent toutes les deux entièrement nues, tremblants de tous leurs membres de peur et désormais de froid, Crabbe et Goyle les jetèrent brutalement face contre terre et posèrent un pied sur leurs reins pour les maintenir contre le sol gelé. Les gamines criaient en essayant sans succès de se relever. Harry avait du mal à se retenir d’intervenir. Mais s’il se faisait repérer trop tôt, il savait qu’il ne ferait pas le poids face aux trois serpentards. Et s’il était neutralisé, il ne pourrait plus rien faire pour les filles. Malefoy leva sa baguette et, d’un mouvement, réduit en lambeaux les vêtements sur le sol. Ils ne restaient que les deux baguettes des filles qui roulèrent sur la neige et s’arrêtèrent à quelques mètres de Harry.

« Voilà qui vous forcera à faire le voyage de retour au château de manière plus intéressante. Mais d’ici là, nous avons des affaires à régler. »

Il fit un signe à Crabbe et Goyle qui retirèrent leurs pieds des dos des fillettes. Celles-ci se redressèrent immédiatement, tout le devant du corps rougit par la morsure du froid, et se serrèrent instinctivement l’une contre l’autre à la recherche de chaleur. Mais, sur un autre signe de Malefoy, Crabbe et Goyle les séparèrent. Le premier emmena la petite blonde vers un rocher bombé à la lisière de la clairière tandis que l’autre amena la brune à Drago avant de rejoindre son acolyte. Malefoy attrapa la gamine par le bras et la força à regarder ce qui arrivait à son amie.

Les deux grands serpentards plaquèrent sans ménagement la fillette face contre le rocher dont le contact devait être particulièrement douloureux. La petite blonde se raidit et grimaça mais se retint courageusement de crier. Crabbe se positionna devant la tête de la jeune serpentard tandis que Goyle se plaça derrière elle. Tous deux remontèrent leurs robes sur leur ventre et dégagèrent leurs sexes. La fillette semblait terrifiée, son visage totalement crispé et sa bouche grande ouverte comme si elle poussait un hurlement rendu silencieux par la peur. Crabbe en profita pour fourrer son membre entre les lèvres maigres que le froid avait teinté de bleu. Mais il ne parvenait pas à entrer entièrement. Il donna des coups de reins en appuyant avec force sur la chevelure blonde pour forcer la gorge trop étroite, ne prêtant aucune attention aux protestations étouffées de douleur et aux petits poings qui martelaient inutilement ses hanches. Pendant ce temps, Goyle massait les petites fesses rebondies de la gamine en écartant les cuisses maigrelettes. Il frotta sa queue contre la fente également bleutée par le froid mais remonta jusqu’au petit anneau qu’il pénétra avec lenteur. La petite blonde était si préoccupée par le sexe qui forçait sa bouche qu’elle ne sentit Goyle qu’une fois son gland fiché en elle. Il donna un violent coup de reins et fit pénétrer son dard jusqu’à la garde, arrachant un cri de douleur étouffé à la gamine.

Pendant ce temps, Harry s’était rapproché doucement des baguettes abandonnées sur le sol. Les serpentards avaient tellement tassé la neige au centre de la clairière qu’il parvenait à se déplacer sans trahir sa présence par des empreintes de pas. Il ramassa les baguettes qu’il mit dans sa poche à côté de la sienne, se forçant à ne pas se laisser distraire par les gémissements de la blonde rudoyée et par les pleurs de la petite brune qui, elle-même, essayait de ne pas faire attention à la main qui caressait avidement ses fesses en passant par moment un doigt sur son trésor intime. Harry sentit toutefois son membre se gonfler peu à peu, se demandant comment il pouvait être excité par une situation aussi odieuse. Après avoir contemplé quelques va et viens de ses amis dans le cul et la bouche de la petite blonde, Malefoy attrapa la gamine à ses côtés par ses cheveux courts et tira violemment dessus en l’obligeant à s’agenouiller devant lui dans la neige tandis qu’elle serrait les dents pour ne pas crier. Il releva sa robe et sortit son sexe. Harry constata que malgré le spectacle qu’offrait ses amis, Malefoy ne semblait pas excité. Il pointa sa baguette sur la petite brune qui n’eut pas d’autre choix que d’engloutir le sexe mou dans sa bouche. Ses larmes coulaient le long de ses joues et tombaient sur sa petite poitrine et son ventre plat. La main qui tiraillait ses cheveux l’obligeait à aller d’avant en arrière. Elle fit de son mieux pour suivre le mouvement et éviter la douleur. Mais Harry, qui ressentait encore plus de honte d’avoir une érection à ce moment-là, voyait bien que Malefoy, qui donnait à présent des coups de reins rageur, ne bandait toujours pas.

Enervé, il se retira de la petite bouche de la brune et la gifla violemment comme si elle était responsable de son manque d’excitation. Puis il la traîna vers le rocher, où ses acolytes s’activaient toujours avec vigueur, en la tirant par les cheveux ce qui obligeait la gamine à marcher courbée, glissant et trébuchant sur la neige. Harry se rapprocha également avec prudence. Malefoy laissa la petite brune en arrière, non sans l’avoir projetée sur la neige dure. Il s’approcha du trio sur le rocher au moment où Crabbe et Goyle se figeaient et se répandaient dans la gorge et le cul de la petite blonde. Crabbe obligea la fillette à tout avaler et même à lécher ce qui lui avait échappé et qui s’était étalé sur le rocher. Goyle, lui, attrapa la petite brune par les cheveux (« c’est une manie » pensa Harry) et fourra son sexe encore gonflé dans la petite bouche. La gamine qui n’avait eu qu’un sexe au repos, fut surprise par la taille du nouveau membre et manqua de s’étouffer. Goyle ne fut pas long à jouir une deuxième fois. Il abandonna la petite brune au visage souillé et se tourna vers le rocher où Malefoy écartait brutalement les fesses de la blonde, sa baguette magique à la main.

Drago prononça une formule et le bout de sa baguette se mit à luire d’une lumière rouge qui devint d’un blanc intense. Harry remarqua que la neige prêt de la baguette commençait à fondre. Crabbe tenait les deux petites fesses écartées tandis que Malefoy enfourna sa baguette brûlante dans le petit anus. La fillette hurlait de douleur tandis que le morceau de bois allait et venait dans son petit cul. Malefoy avait un sourire mauvais et augmentait la vitesse de sa baguette faisant crier la petite blonde encore plus fort tandis que Harry remarquait une bosse se former sous la robe du serpentard. Apparemment il n’était excité que par les cris de douleur. Le jeune gryffondor frissonna en pensant à toutes les autres premières années de serpentard.

Il se ressaisit très vite car le moment qu’il attendait tant était enfin venu. Les trois serpentards avaient tous les yeux braqués sur la petite blonde. La brune était en retrait, les bras serrés pour essayer de se réchauffer et pleurant en regardant son amie se faire torturer, songeant qu’elle aurait sûrement droit au même traitement juste après. Harry s’approcha d’elle dans son dos avec lenteur et sans faire de bruit. Alors qu’il était presque contre elle, il ouvrit rapidement sa cape d’invisibilité et enveloppa la fillette qui disparut aux yeux de toute autre personne. Le jeune gryffodor posa vivement une main sur la bouche de la petite serpentard et entoura son torse d’un bras pour la maintenir le plus immobile possible. Surprise, celle-ci se débattit en poussant un gémissement qui fut couvert par les cris de sa camarade. Harry approcha sa tête de celle de la gamine et lui dit doucement à l’oreille.

« Calme-toi ! Je ne te veux pas de mal. Crois-moi ! Je vais essayer de te sortir d’ici. »

La petite brune cessa de bouger et tourna la tête. Elle ouvrit des yeux étonnés et prononça des mots étouffés par la main de Harry. Il relâcha son étreinte et enleva sa main pour qu’elle puisse répéter.

« Tu… tu es Harry Potter ? Reprit-elle d’une voix basse mais tremblotante.
_ Oui ! Mais reste silencieuse. Il faut que nous récupérions ton amie.
_ Co… comment on… va faire ?
_ Je pense savoir. S’ils sont aussi bêtes que je le pense ça ne devrait pas être trop dur. Mais j’espère qu’ils vont faire vite. »

    Harry n’en pouvait plus d’entendre crier la petite blonde. Il se retenait à grande peine de saisir sa baguette et d’attaquer les serpentards. Mais il était si près de les sauver toutes les deux. Il ne pouvait pas risquer de se faire attraper maintenant. Il sentit le petit corps de la brune se coller contre lui. Même à travers sa robe de sorcier il sentait qu’elle était gelée. Son sexe se tendit encore un peu, à sa grande honte, mais il ne parvenait pas à se contrôler. Dans cette position, tout ce qu’il pu faire était de retirer son châle rouge et or pour le passer autour des épaules de la fillette avant de l’envelopper dans sa cape d’hiver. Puis il la serra contre lui en frottant son dos nu, ce qui n’arrangea pas son érection.

    Enfin, Goyle tourna la tête vers eux et se leva d’un bond.

« Drago ! L’autre n’est plus là ! »

Malefoy retira vivement sa baguette ce qui stoppa les hurlements de la petite blonde au grand soulagement de Harry et de la brune. C’était maintenant que tout allait se jouer. Parier sur la stupidité de Crabbe et Goyle c’était comme se demander si le jour succédait à la nuit. Ils s’éloignèrent du rocher en s’approchant de la lisière de la forêt en cherchant où leur victime avait pu se réfugier. La petite blonde était prostrée sur le rocher et semblait à bout de force. Seul Malefoy restait assis sur la pierre scrutant le décor devant lui sans voir Harry et la jeune serpentard juste devant lui. Ses deux acolytes s’étaient maintenant enfoncés dans le bois. L’occasion était trop belle. Harry pris sa baguette et la pointa sur Malefoy qui ne se doutait de rien.

« Pétrificus Totalus ! »

Malefoy devint raide comme une planche et s’écroula le nez le premier dans la neige. Rapidement, Harry s’approcha du rocher, attrapa la fillette et l’amena sous la cape. Il voulut poser la main sur sa bouche mais la petite brune le devança. Elle sourit à son amie lui assurant à voix basse que tout allait bien. Sans dire un mot, la petite blonde se serra contre Harry et son amie à la recherche de chaleur. Le jeune gryffondor sentit le ventre de la gamine se plaquer contre son sexe érigé. Il rougit violemment mais il n’avait pas le temps de se soucier de la bienséance pour l’instant. Il fallait partir avant le retour de Crabbe et Goyle.

    Harry entraîna les filles vers la forêt. Il était difficile de marcher sur le sol inégal avec les deux serpentards collées à lui de chaque côté. Mais elles étaient si glacées que Harry ne pouvait se résoudre à leur demander de s’écarter un peu. Il les avaient toutes les deux entourées de sa cape d’hiver et leur frottait le dos avec vigueur maintenant que le danger s’écartait de plus en plus. Mais cela les obligeait à marcher plus lentement encore pour ne pas perdre la cape d’invisibilité qui, elle, ne protégeait pas du froid. Harry sentit son membre lui faire mal dans son pantalon lorsqu’il se surprit à penser que bien qu’elles soient très froides, leurs peaux étaient également très douces. Ils traversèrent le village de Pré-au-Lard à pas feutrés. Harry aperçut Ron qui était sortit des Trois Balais et scrutait la rue espérant apercevoir son camarade malgré la cape d’invisibilité. Harry ne pouvait toujours pas le prévenir et il se dit qu’il s’excuserai ce soir tandis qu’il franchissait la porte de chez Honeydukes qu’un autre élève de Poudlard avait ouvert en grand pour entrer. Ils eurent du mal à passer car la boutique était pleine à craquer. Harry fut soulagé de se retrouver derrière le comptoir bien qu’il lui semblait avoir percuté légèrement une élève de cinquième année. Mais il y avait tellement de monde que cela fut sans conséquence.

Ils purent souffler une fois qu’ils se retrouvèrent sur les marches dans le souterrains. Mais ils devaient faire vite. Le passage secret était parcouru d’un courant d’air froid et malgré la chaleur du corps de Harry et les frictions qu’il prodiguait aux fillettes, celles-ci tremblaient toujours. Leurs dos redevenaient vite glacés s’il arrêtait de les frotter. Il ignorait combien de temps elles auraient pu tenir le coup si Malefoy avait continué de les traiter comme il l’avait fait. Heureusement ils purent marcher beaucoup plus vite maintenant qu’ils n’avaient plus à s’occuper de la cape d’invisibilité. Ils ne durent la remettre correctement qu’avant de sortir. Harry vérifia sur la carte du maraudeur que personne n’approchait de leur cachette et ils s’élancèrent dans le couloir. Le jeune gryffondor les amena aux douches de sa maison. Il n’avait pas accès à celle des filles et les emmena chez les garçons. A cette heure-ci, elles était encore désertes. Harry se débarrassa de la cape d’invisibilité avec rapidité et détacha sa cape d’hiver dont il enveloppa les deux gamines qui semblaient épuisées. Il ferma la porte des douches à clefs, entra dans la cabine la plus proche et fit couler de l’eau qu’il régla pour qu’elle soit bien chaude sans ébouillanter. Il alla chercher les jeunes serpentards. La brune se redressa avec difficultés mais la blonde ne pouvait plus bouger. Elle semblait avoir donné ses dernières forces pour arriver jusqu’au château. Harry la prit dans ses bras et la porta jusqu’à la cabine tandis que son amie s’était assise contre le mur en savourant l’eau qui coulait sur son corps. Il posa la petite blonde à côté de sa camarade qui la prit dans ses bras.



Harry sentit son pantalon devenir encore plus étroit alors qu’il contemplait les deux fillettes nues, tendrement enlacées. Il allait pour sortir, pensant qu’il pouvait aller se soulager dans une cabine à côté lorsqu’il fut rappelé par une petite voix.

« Harry ! »

Il revint en arrière. Les deux gamines le regardaient d’un air sérieux, la blonde avait posé sa tête sur l’épaule de son amie semblant incapable du moindre mouvement. La brune fit un léger sourire.

« Merci ! Fit-elle d’une voix feutrée.
_ Ce n’était rien. J’ai fait ce que j’avais à faire.
_ Harry ? Tu pourrais nous rendre encore un service ?
_ Bien sûr ! Quoi donc ?
_ Tu pourrais nous faire l’amour ? »

Harry qui s’était attendu à ce qu’elles lui demandent d’aller chercher des vêtements ou autre chose dans ce genre là fut frappé de stupeur. Il resta paralysé devant les deux gamines qui gardaient toujours un air sérieux.

« Tu comprends, reprit la brune devant son air hagard, Malefoy finira par nous mettre la main dessus. Il ne laissera jamais tomber cette sale tradition. Surtout que maintenant c’est lui qui en profite.
_ Alors si tu ne le fais pas, continua la blonde dans une voix où l’on sentait très nettement son épuisement, c’est lui qui finira par nous prendre notre virginité. Et ça nous ne le voulons pas. Surtout pas lui.
_ Je t’en prie Harry ! Nous voulons que tu le fasses. Nous ne serons plus vierges quoi qu’il arrive. Et nous préférons que ce soit par toi. S’il te plaît ! Lui ne nous laissera pas le choix. »

Harry se doutait bien que Malefoy n’en resterai pas là, qu’il prendrait sa revanche sur les fillettes et qu’il ne pourrait pas les protéger tout le temps. Les jeunes serpentards lui jetaient des regards implorants et il s’étonnait que la fermeture éclaire de son pantalon tienne encore. Oui. Il ne pouvait qu’accepter. Mais il ne parvenait pas à prononcer un mot. La petite blonde prit alors la parole.

« Tu sais Harry, nous aimons toutes les deux beaucoup les garçons. Mais en fait nous préférons les filles. »

Elle leva la tête et embrassa sa camarade avec passion. Elle posa une main sur la poitrine de la brune mais deux doigts lui suffirent à masser l’un des petits seins. Harry reçut un nouveau choc en regardant les deux fillettes s’embrasser tendrement. Elles décollèrent leurs lèvres.

« Les relations homosexuelles sont interdites chez les sangs purs de serpentards, reprit la blonde tout en continuant à caresser la poitrine de son amie. Les sangs purs doivent reproduire leur lignée. Souvent, les filles ne sont considérées que comme des poules pondeuses. C’est pour ça que nous avons refusé de nous soumettre à la tradition. Mais nous ne pourrons pas leur tenir tête encore très longtemps. »

La petite blonde descendit la main sur le ventre de son amie puis sur les cuisses qu’elle écarta doucement. Elle se laissa glisser, le seul mouvement qu’elle pouvait apparemment encore se permettre, pour s’allonger sur le sol et positionner sa bouche au niveau du trésor intime de sa camarade. Elle sortit sa langue pour parcourir la fente de haut en bas et s’introduire légèrement entre les lèvres intimes. La petite brune rejeta la tête en arrière en gémissant et ferma les yeux en caressant doucement les cheveux de son amante.

    Harry n’y tenait plus. Il se déshabilla rapidement et entra sous la douche. Il passa une jambe par dessus la blonde et présenta son sexe à la brune qui lui souriait d’un air malicieux. Elle prit le sexe dans la bouche et se mit à faire des mouvements frénétiques. Harry fut surpris mais se douta très vite que la fillette devait essayer de lui faire plaisir en imitant les mouvements violents que lui avaient imposé Malefoy plus tôt, pensant sûrement que c’était ce qu’aimait les garçons. Il attrapa la tête durant l’un de ses passages rapides, comme un gros vif d’or, et l’arrêta. La gamine leva des yeux interrogateurs. Harry la guida dans des mouvements plus lents et plus langoureux. Il apprécia la douceur des lèvres et de la langue sur son membre raide qui devint enfin moins douloureux. Il regardait la petite tête aux cheveux courts aller et venir sur son sexe. L’eau ruisselait sur son bas ventre et sur le doux visage de la fillette avant de s’écouler sur sa poitrine menue, de glisser sur son ventre plat et de finir en chute sur son intimité et la bouche de la petite blonde qui s’en régalait. Harry sentit un éclair le traverser et il éjacula dans la petite bouche qui s’arrêta pour recueillir tout le nectar.

    Il s’accroupit à côté de la blonde et embrassa tendrement la brune qui l’entoura de ses bras. Il massait les petits seins d’une main et y descendit ensuite sa tête pour les lécher. Il prit un téton entre ses lèvres et tira légèrement dessus. La fillette gémit en posant une main sur les cheveux d’Harry. Elle courba la tête et promena sa langue sur la nuque du garçon. Il caressa les longs cheveux de la petite blonde puis il glissa sur son dos avec lenteur. Il lui flatta les fesses et la sentit frémir. Sans cesser de dévorer l’entrejambe de son amie, elle empoigna le membre de Harry et se mit à le masturber en douceur. Il redevint très vite dur tandis que la petite brune poussa un cri de jouissance et que son amante bu de longue gorgée de son jus de plaisir. Elle se redressa ensuite avec difficulté et Harry la soutint de son bras libre. Elle prit le sexe dressé entre ses lèvres en se tournant sur le côté. Harry contourna ses hanches et posa ses doigts sur l’intimité de la petite blonde. Il massa le petit abricot doré puis l’explora un peu plus en profondeur. Il atteint l’hymen et le caressa du bout des doigts. La petite brune s’était assise face à eux, adossée au mur et se masturbait en regardant son amie s’occuper de Harry.

    Elle prit soudain son amie par les épaules et la tira vers elle. La blonde lâcha le membre avec dépit et s’allongea sur le dos entre les jambes de sa camarade, posant la tête sur le pubis de cette dernière. Elle entrouvrit légèrement les jambes. Harry contempla le petit corps qui lui était offert. Il s’avança à genoux en faisant glisser ses mains le longs des jambes fines. La petite blonde frémit en le regardant avec une certaine appréhension tandis qu’il s’asseyait sur ses talons et qu’il soulevait son bassin pour le mettre à la hauteur du sien. Les fillettes avaient une vue claire des deux sexes qui se frottaient l’un contre l’autre. La petite brune regardait le spectacle avec envie et elle gémit même à la place de sa camarade lorsque Harry pressa son gland contre les lèvres intimes et commença à s’enfoncer dans l’intimité avec douceur. La petite blonde ferma les yeux, pinça les lèvres et serra ses mains sur les cuisses de son amie qui regardait avidement le pieu descendre avec lenteur dans le ventre de son amante en lui caressant tendrement les cheveux. Harry buta contre la paroi intime. Il donna un coup de rein et la gamine poussa un cri. La petite brune gémit également en sentant la nuque de sa camarade donner une secousse sur son intimité. Elle regardait un filet de sang s’écouler lentement du coquillage de son amie tandis que Harry allait et venait en douceur dans le fourreau étroit. La petite blonde gémissait sous les coups de reins de Harry et sous les caresses de son amie qui laissait ses doigts aller sur sa poitrine encore plate mais aux tétons fièrement érigés. La petit brune faisait de légers mouvements des hanches pour frotter son petit abricot contre les cheveux de son amante, les recouvrants de jus de plaisir.

    La petite blonde lança un grand cri tout en déversant une grande quantité de sa liqueur d’amour. Harry sentit aussitôt un nouvel éclair lui vriller la colonne vertébrale et il se retira vivement. De longs jets de sperme se répandirent de la tête de la brune à celle de la blonde. Cette dernière, encore haletante, s’efforça de se mettre sur le ventre puis se mit à nettoyer consciencieusement le corps de son amante avec sa petite langue avant que l’eau de la douche n’efface les traces du délicieux nectar. Harry s’assit, dos contre la porte de la cabine, et souffla un peu en regardant les fillettes se laver mutuellement le visage. Elles s’avancèrent ensuite vers lui, la brune aidant sa camarade. La petite blonde s’allongea à plat ventre entre les jambes du jeune gryffondor et laissa sa langue courir le long du sexe encore vaillant qui venait de la faire femme. Sa camarade se plaça debout face à Harry en lui offrant toute son intimité. Il avança la tête et se mit à lécher tendrement le joli coquillage et le pubis encore glabre. Il saisit les petites fesses rondes et se mit à les masser avec lenteur, au rythme de sa langue sur le bouton d’amour gonflé. La fillette avait plaqué son torse contre le mur et gémissait en ondulant des hanches tandis que la petite blonde goûtait à présent les bourses de leur amant en masturbant le membre viril. De son autre main elle introduisait deux doigts dans son intimité ouverte, savourant la profondeur qu’elle atteignait désormais.

    La petite brune s’écarta du mur et se mit à glisser lentement vers le bas, frottant son sexe sur la poitrine et le ventre de Harry. Ce dernier sentit la blonde s’écarter de leur couple, laissant sa camarade tout à son plaisir. La petite brune s’était agenouillée face au jeune gryffondor et le regardait avec un petit sourire qui ne parvenait pas à cacher son trouble et son appréhension. Elle enserra Harry de ses bras et posa sa tête sur son épaule, joue contre joue. Il sentait les muscles de son visage se crisper tandis qu’elle descendait ses petites fesses et que son beau coquillage se posait sur le gland. Elle voulait apparemment décider d’elle-même quand elle s’empalerait sur le membre viril. Harry respectait son choix et il lui caressa tendrement le dos pour la rassurer. Il sentait le regard attentif de la petite blonde sur eux. Le souffle de la fillette devint plus saccadé et plus fort tandis que le dard écartait les abords de ses lèvres intimes. Puis elle donna subitement un grand coup de rein et s’abattit complètement sur le sexe dressé. Elle poussa un grand hurlement de douleur tandis que Harry se retenait de jouir immédiatement, surpris par la rapidité de l’assaut. La gamine resta prostrée contre le corps du garçon, ses larmes s’ajoutant aux zébrures de l’eau sur son torse. Harry lui releva la tête avec douceur et l’embrassa tendrement. Il descendit une main sous son petit cul et la fit se soulever un peu. Il la guida, comme lors de sa première fellation, et lui fit faire des mouvements beaucoup plus doux. La fillette poussa de petits gémissements de douleurs. Cependant, peu à peu, elle montait et descendait d’elle-même et finit par se passer de la main de Harry sur son petit cul qui se contenta alors de le caresser en accompagnant le va et vient de la petite brune. Le jeune gryffondor embrassait les petits seins de sa partenaire dès qu’ils étaient à hauteur de sa bouche. Il lui semblait que le sexe de la brune était encore plus étroit que celui de sa camarade et il sentit le plaisir monter en lui. Il voulut se retirer mais la fillette se laissa tomber complètement sur les cuisses de son amant et se serra contre lui. Harry se doutait qu’elle avait déjà appris le sortilège de prévention et celui d’avortement et ne s’inquiéta plus. La gamine avait fiché le membre viril le plus profondément possible dans son petit ventre et le garçon s’y répandit avec plaisir en embrassant les lèvres exquises de la brune. Sous les caresses de la langue de son amant, et sentant le nectar chaud s’écouler en elle, la petite serpentard n’y tint plus et jouit en lâchant un flot de jus de plaisir.

Les deux amants restèrent serrés l’un contre l’autre, ne faisant toujours qu’un, en s’embrassant de reconnaissance mutuelle. Ils sentirent soudain une petite langue se promener sur leurs sexes joints, recueillant leurs semences emmêlées. La petite brune retira son étroit fourreau du membre viril et laissa sa camarade le prendre à pleine bouche. La gamine se leva et attrapa un savon avant de s’agenouiller à côté du couple. Harry ne tarda pas à jouir à nouveau dans la petite bouche gourmande, s’étonnant de pouvoir encore déverser autant de sperme. La petite brune prit la tête de sa camarade à pleine main, la retira doucement du membre viril qui faiblissait et l’embrassa avidement. Les deux fillettes se partagèrent le nectar de leur amant tout en emmêlant leurs langues. Harry caressait les deux petits corps avec douceur. Il fut content de constater qu’ils rayonnaient de chaleur. La petite brune se redressa un peu et prit le savon. Elle commença à frictionner le sexe de leur amant. La blonde se mit également à frotter le membre au repos, tirant la peau pour ne pas oublier de laver le gland. Harry se laissa aller contre le mur et savoura les mains coquines qui le nettoyaient. Il laissait ses doigts aller sur la peau douce du petit cul de la brune et parcourait les longs cheveux de la blonde. Cette dernière massait maintenant les testicules en les faisant mousser tandis que son amie masturbait le membre en caressant le bout du gland avec la face lisse du savon. Harry se sentit grandir à nouveau tandis qu’il introduisait deux doigts dans le petit abricot de la brune qui gémit en resserrant ses doigts sur le dard glissant. Elle tortilla ses hanches, ravie, en embrassant langoureusement son amie.
Elle jeta ensuite un regard étrange à Harry. Elle retira les doigts du garçon de son intimité et les lécha avec délice. Elle fit ensuite allonger la petite blonde sur le dos puis elle se positionna à genoux au dessus d’elle. Elle posa sa petite poitrine sur celle de son amante mais maintenait son joli petit cul en hauteur. Elle regarda le jeune gryffondor.

« Harry ! Il reste un endroit où je suis encore vierge. Ils n’hésiteront pas à passer par là aussi. »

Harry avait secrètement espéré qu’elle lui ferait cette demande, bien qu’il considérait qu’avoir prit les deux virginités des gamines lui étaient déjà largement suffisant. Il ne se fit cependant pas prier et alla se placer derrière la fillette. Celle-ci embrassait langoureusement sa compagne comme si de rien n’était mais Harry la sentit frémir lorsqu’il posa ses mains sur ses hanches. De toute évidence, elle n’avait pas très envie qu’un garçon ou quoi que ce soit d’autre passe par son puit secret. Seule la répugnance que lui inspirait Malefoy, Crabbe et Goyle la décidait à offrir ses petites fesses à Harry. Celui-ci eut un peu de remords en s’agenouillant devant le petit anus. Mais il savait que les serpentards eux, n’auraient aucun scrupules à forcer ce passage là.

    Il caressa tendrement les deux globes de chair pour rassurer la gamine qui tentait, sans vraiment de conviction, de ne pas s’en préoccuper. La petite blonde, malgré son état d’épuisement avancé, leva un bras et se mit à caresser le petit abricot de son amante en lui souriant. Harry écartait maintenant les petites fesses rondes et posa son gland sur l’anneau serré. Il pensait même ne pas pouvoir entrer tant l’anus lui semblait petit mais il donna un petit coup de rein qui le fit pénétrer jusqu’à la garde qui arracha un hurlement aigu de douleur à la petite brune. Harry se rappela que son sexe était enduit de savon et qu’il glissait comme un rien. Horrifié d’avoir si violemment pénétré la fillette, il lui murmura quelques mots d’excuse. Puis il se mit à faire de doux mouvements de va et viens, bien décidé à rattraper son erreur en donnant du plaisir à la petite serpentard. La blonde s’activa également plus vite dans le joli coquillage de son amie et lécha les larmes qui coulaient sur ses joues si douces. La petite brune poussait des gémissements de douleurs mais sous les caresses de son amie et grâce à l’application dont faisait preuve Harry, elle commença à lâcher de petits cris de jouissances. Elle embrassa son amante avec passion et descendit une main sur son petit sexe pour lui rendre ses tendres caresses. Elles se masturbèrent l’une l’autre en s’embrassant de plus belle tandis que la petite brune ruait maintenant sur le membre du jeune gryffondor. Harry lâcha les hanches de la fillette et introduisit deux doigts dans son intimité, rejoignant ceux de la petite blonde. Il descendit son autre main et se joignit cette fois-ci à la brune pour pénétrer le coquillage doré. Il savoura les mouvements de ses doigts et de ceux des gamines dans les deux abricots qu’il avait lui-même ouverts. Les deux petites serpentards crièrent leur plaisir en même temps. Leurs doigts quittèrent leurs sexes tandis qu’un flot de jus de plaisir inondait ceux de Harry. La petite brune sembla s’affaisser sur sa camarade mais elle se redressa courageusement et demanda au jeune gryffondor de continuer. Il s’activa de plus belle entre les petites fesses de la brune qui continuait de pousser des gémissements de plaisir. Puis il se figea et se déversa dans le dos de la gamine qui s’allongea ensuite sur le corps de sa camarade.

    Elles étaient toutes deux à bout de forces, particulièrement la blonde qui s’endormit soudainement, tendrement enlacée contre son amante. Harry ramassa le savon et se mit à laver les corps des deux fillettes, s’attardant plus que de raison sur les petits sexes, au grand plaisir de la brune et dessinant un sourire sur le visage paisible de la blonde. Il se lava ensuite lui-même puis coupa l’eau de la douche. Il alla prendre des serviettes et essuya en douceur les petites serpentards. Puis ils durent réveiller la dormeuse pour qu’elle s’habille. Avant de revêtir leurs robes, la petite blonde lança un sort de prévention sur le ventre de sa camarade. Ils remirent ensuite la cape d’invisibilité et ouvrirent la porte. Ils l’avaient à peine franchit qu’un garçon de quatrième année arriva au bout du couloir en peignoir de bain. Bien qu’elles furent totalement réchauffées, les deux fillettes restaient collées à Harry, chacune d’un côté. Ils sentaient les petites mains se poser sur ses fesses et sur son membre qui avait à nouveau du mal à rester tranquille. Le jeune gryffondor lui-même avait relevé l’arrière de la robe de la petite blonde pour caresser la douceur de son petit cul et avait passer un bras autour des épaules de la petite brune, plongeant ensuite dans le col baillant de sa robe et massait tendrement les petits seins. Il les ramena jusqu’à leur dortoir. Elles embrassèrent chacune langoureusement Harry puis elles s’allongèrent sur leurs lits respectifs et s’endormirent.

    Le soir, Harry s’excusa devant Ron en prétendant que Rogue et Rusard ne cessaient de patrouiller dans le couloir de la sorcière borgne et qu’il n’avait aucune chance de passer devant eux sans se faire repérer. Il observa la table des serpentards et remarqua que Malefoy, Crabbe et Goyle parlaient à voix basse en jetant des coups d’œils bizarres aux deux fillettes qui lui sourirent discrètement. Puis elles tirèrent la langue à Malefoy qui se tourna, faisant comme s’il n’avait rien remarqué. Plus tard, en les croisant dans un couloir vide, Harry demanda aux filles si tout allait bien.

« Oh oui ! Répondit la petite brune avec un grand sourire. Tu ne vas pas le croire mais Malefoy pense que c’est nous qui l’avons neutralisé dans la clairière.
_ Tu imagines, reprit la blonde, si les autres apprenaient qu’il a été battu par des premières années ? Des filles en plus.
_ Du coup il ne nous a pas touché à condition que l’on ne parle pas.
_ Mais alors, s’exclama Harry d’un air dépité, vous n’aviez pas besoin de perdre votre virginité. Cela aurait causé plus de tort à Malefoy si les autres avaient compris qu’il ne vous avez pas touché.
_ Non, fit la blonde, ils se seraient tous ligués contre nous. Et Malefoy aurait eu alors tout le loisir de se venger. Tandis que maintenant, il est coincé. Bien sûr les autres nous forcent à coucher avec eux avec cette fichue tradition. Mais tant que Malefoy et les deux idiots qui le suivent en sont privés, c’en est presque drôle. »

Harry semblait toujours dépité.

« Je crois que je n’aurai pas dû faire ça avec vous. Ça n’a servit à rien.
_ Tu crois ? » Répondit la petite brune avec un sourire malicieux

Elle se leva sur la pointe des pieds et l’embrassa tendrement. La petite blonde fit de même puis elles s’en allèrent vers leur prochain cours. En les voyant partir avec entrain, Harry se sentit immédiatement mieux. Puis il se souvint qu’il avait également un cours et se hâta vers la salle de classe.
 
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Harry
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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00
La salle des plaisirs

Une aventure sexuelle de Harry Potter en 5e année.


Avec Harry Potter et Cho Chang




    Les temps étaient difficiles à Poudlard. Dolores Ombrage cherchait par tous les moyens à renvoyer les professeurs fidèles à Dumbledore et ne cessait de harceler Harry et ses camarades, présageant qu’ils complotaient dans son dos.
    En effet, Harry, Hermione et Ron avaient fondé l’armée de Dumbledore et se réunissaient régulièrement dans la salle sur demande avec leurs camarades pour apprendre divers sortilèges de défense contre les forces du mal qu’Ombrage voulait à tout prix leur interdire.
    Les réunions de l’AD dans la salle sur demande aidaient beaucoup Harry à supporter la grande inquisitrice de Poudlard, mais ce qui lui remontait encore plus le moral, c’était les rendez-vous avec Cho Chang. Il l’avait déjà embrassé après une soirée de réunion, quand tous les autres étaient partis. Une soirée merveilleuse qui se transforma en cauchemar la nuit même lorsque Harry rêva de l’attaque de Mr Weasley par un serpent.

    Les vacances de Noël étaient alors passées et Harry était revenu à Poudlard enfin convaincu qu’il n’était pas responsable de cette attaque mais obligé de prendre des cours d’occlumancie avec Rogue. Les réunions de l’AD avaient également repris.

    Lors de la première séance après les vacances, Harry, comme la dernière fois, fit mine de remettre de l’ordre dans la salle attendant que les autres sortent et espérant que Cho comprendrait qu’il souhaitait qu’elle reste.

    Lorsque Hermione referma la porte de la salle sur demande emportant un gros livre remplit de sorts atrocement compliqués et souriant à Cho et Harry, ce dernier se retourna. Il fut content de voir que Cho ne pleurait pas comme la dernière fois et qu’elle lui souriait. Elle s’approcha et lui prit tendrement la main.


« Tu m’as manqué durant ces vacances ! Dit-elle.

_ Tu m’as manqué aussi, Cho. »

Elle approcha ses lèvres de celles de Harry et l’embrassa. Le jeune sorcier se sentait en pleine félicité. Il passa un bras autour de la taille de la jeune fille et la serra tendrement pour prolonger le baiser. Il l’avait tellement attendu. Il la sentit frissonner.

    Cho posa la tête sur l’épaule de Harry qui sentait son souffle lent et chaud sur son cou. Elle murmura :


« Pourquoi es-tu parti aussi vite ? J’aurais tellement aimé te voir avant de rentrer. Je t’ai cherché partout tu sais ? Puis j’ai vu Ombrage en colère. Et le professeur Dumbledore qui lui expliquait quelque chose à ton sujet. Il semblait moins amusé que lorsqu’Ombrage s’énerve d’habitude. Que s’est-il passé ? »

Harry pensa à l’état de Mr Weasley après l’attaque du serpent et comprenait parfaitement que Dumbledore fut peu enclin à rire de la frustration d’Ombrage.

« Ma famille a eu… euh… besoin de moi. Répondit Harry en espérant que personne n’ait parlé à Cho de la haine réciproque entre les Dursley et lui. Dumbledore m’a fait partir avant l’heure. C’est tout. »

L’excuse de Harry n’était pas très habile et cela devait se sentir dans sa voix. Cho ne dit rien de plus, comprenant sûrement qu’il ne désirait pas en parler d’avantage. Elle passa ses bras autour de la taille de Harry et se serra encore un peu plus contre lui. Apparemment elle avait fini de se torturer l’esprit avec les souvenirs de Cédric. Ou plutôt elle n’y pensait pas sur l’instant.

    Harry sentit les seins de la jeune fille se presser contre sa poitrine et son ventre se coller au sien. Le souffle de Cho semblait envelopper son cou et il se sentit rougir, de plus en plus troublé. Il se sentit grandir peu à peu et en fut gêné car Cho, tout contre lui, devait également le sentir. Il ne savait pas quoi faire. Il était paralysé par la peur d’effaroucher la jeune fille en restant contre elle mais répugnait à briser leur étreinte.

    Cho ne bougea pas pendant quelques secondes puis, sans dire un mot, elle commença à frotter son bassin contre celui d’Harry avec lenteur. Abasourdi, ce dernier essaya de regarder Cho dans les yeux mais son visage était tout contre son cou. Harry sentit son sexe se gonfler un peu plus sous les douces caresses du corps de Cho. Pas encore tout à fait sûr des intentions de la jeune fille, il se contenta de promener ses mains sur son dos et posa un baiser dans son cou.

    Cho releva la tête et embrassa Harry avec fougue. L’une de ses mains descendit sur les fesses du jeune sorcier tandis que l’autre se mit à masser le sexe dressé et dur à travers l’étoffe. Harry n’y tenait plus. Il ne parvenait pas à détacher ses lèvres de celles de Cho et laissa glisser ses mains sur les fesses menues, rondes et fermes de la jeune fille.

    Soudainement, Cho s’écarta d’Harry, souriant de voir un instant son visage s’effondrer de dépit. Mais elle prit l’extrémité de sa robe à deux mains et la fit passer par dessus la tête en un éclair. Elle ne portait rien en dessous alors que le château était encore parcouru des courants d’air glacés de l’hiver. Harry resta en arrêt devant les formes parfaites de Cho ayant beaucoup de mal à croire que tant de beauté lui était offert si soudainement. Il comprit pourquoi elle avait frissonné plus tôt. Reprenant un peu ses esprits et sans quitter le corps de Cho des yeux, Harry retira sa robe de sorcier sous laquelle il portait encore un jean et un tee-shirt. Cho passa ses mains sous le tee-shirt et, tout en caressant la peau d’Harry, le fit glisser avec lenteur jusqu’à ce que le jeune garçon en fut débarrassé.

    Ils s’embrassèrent à nouveau, collés l’un à l’autre, les seins en pommes de Cho s’écrasant sur la poitrine nue de Harry. Celui-ci sentit son sexe trépigner d’impatience au point qu’il crut que son pantalon allait craquer. Cho semblait aimer le faire attendre et elle descendit très lentement sa langue sur le torse du jeune garçon puis sur son ventre. Harry fut parcouru d’un frisson qui n’avait rien à voir avec le froid lorsque Cho embrassa son membre à travers le jean avant de commencer à le lui retirer. Elle fit également descendre le caleçon et contempla le sexe dressé à quelques centimètres de son visage.

    Elle l’embrassa maintenant qu’il était libre puis commença à le lécher lentement de haut en bas. Il semblait à Harry que tout son corps baignait dans une incroyable volupté. Cho semblait posséder une certaine expérience de ce genre de pratique et Harry se demanda combien d’autres veinards avaient bien pu profiter de ses faveurs. Puis il décida qu’il s’en fichait éperdument lorsque la jeune fille prit son gland entre ses lèvres. Elle avança une main et se mit à caresser les bourses de Harry tandis que sa tête allait et venait sur toute la longueur de son membre. Le jeune sorcier se sentit soudain comme traversé d’éclairs qui descendaient tous vers son bas ventre pour se répandre sur la langue de Cho. La jeune fille avala les longs jets de sperme de son amant sans en laisser échapper une goutte.

    Harry baissa les yeux sur sa compagne et remarqua que sa deuxième main était occupée à caresser son joli abricot. Harry se débarrassa de son jean et de son caleçon d’un coup de pied et  se mit à genoux, bien décidé à rendre la pareille à la jeune sorcière. Il la prit dans ses bras et l’embrassa. Ses lèvres avaient désormais un goût salées. Cho l’entoura également de ses bras et fit pression sur son torse pour que Harry s’allonge, dos sur le sol. Le jeune sorcier s’exécuta et tout deux se retrouvèrent allongés. Cho, couchée sur le corps d’Harry, se redressa légèrement en lui souriant puis se retourna pour présenter son sexe à la bouche du jeune garçon tandis qu’elle même s’occupait à redonner de la vigueur au pénis.

    Harry allongé sur le sol froid sentit les seins de la jeune fille se presser contre son ventre et pensa qu’il ne lui faudrait pas longtemps pour recouvrer une érection. Mais il voulait donner du plaisir à Cho avant cela. Il caressa ses fesses magnifiques, les écarta légèrement puis plongea son visage vers la source des plaisirs les plus intenses. Il fit courir sa langue sur les lèvres inférieures, buvant la liqueur intarissable de Cho, plus enivrante que tous les alcools. Il sentait le doux corps de la jeune fille frémir sous ses assauts et accentua ses efforts sur le bouton d’amour gonflé. Cho gémissait et elle ne put continuer à laisser sa langue se délecter du membre du jeune sorcier. Harry continuait de caresser les fesses parfaites de la jeune sorcière. Le bout de ses doigts effleurèrent le puit secret. Curieux de savoir ce qu’elle ressentirait, le jeune garçon laissa un doigt s’attarder avant de le faire pénétrer avec lenteur. Cho poussa un petit cri de plaisir tandis que le doigt se redressait puis s’abaissait à nouveau et que la langue explorait plus en profondeur son joli coquillage. Harry sentait le plaisir de la jeune fille qui sembla soudain se transmettre à son propre corps. Son sexe se redressa. Cho le caressa d’une main puis le reprit dans la bouche, effectuant quelques va et vient. Le corps de la jeune fille trembla alors et Harry bu de longues gorgées de son jus de plaisir.

    Cho se redressa, posant son sexe trempé sur le torse de Harry, tenant toujours son pénis dressé dans la main. Elle le caressa encore un peu avant de se retourner et de s’allonger à nouveau sur son amant, mettant son abricot juteux à la hauteur du membre de Harry. Elle l’embrassa langoureusement puis roula sur le côté pour se retrouver sur le sol. Elle regarda tendrement Harry qui n’eut besoin d’aucune explication. Il se tourna et vint s’allonger sur elle. Ils se regardèrent mutuellement dans les yeux puis Cho avança la main pour guider le sexe de Harry jusqu’à l’entrée de son plus précieux trésor. Harry, tout en embrassant Cho, entra en elle avec douceur. Il lui caressait les seins tout en laissant sa langue parcourir son cou et revenant régulièrement entre ses lèvres. Cho gémissait en caressant le dos et les fesses d’Harry. Elle trouva également son anus et entra en lui en souriant d’un air coquin. Harry, électrisé, fouilla les fesses de la jeune sorcière et lui rendit la pareille. Il commença à aller et venir de plus en plus vite. Cho fermait les yeux pour savourer les assauts de son amant. Harry s’étais mis à genoux, assis sur ses talons. Il attira Cho à lui. Elle se dressa, lui faisant face, et commença à monter et descendre le long du membre et du doigt de Harry. Elle s’accrocha à ses épaules et augmenta la cadence en gémissant de plus en plus fort. Harry tenait Cho par sa taille très fine et sentait la jeune fille au bord de la jouissance. Lui-même se retenait pour ne pas jouir trop tôt. Cho s’abaissa une dernière fois sur le membre de Harry en poussant un cri. Le jeune garçon sentit ses jambes être inondées tandis qu’elle s’affaissait sur son torse. Harry ne pouvait plus se retenir et se répandit dans le ventre de la jeune fille.



    Il aperçut les coussins entassés juste à côté d’eux et il se laissa tomber dessus entraînant Cho avec lui. La jeune fille resserra son étreinte sur son amant pour le garder encore un peu en elle. Tout en embrassant et en caressant le corps de Cho, Harry se demandait depuis combien de temps ils étaient là. Il espérait que personne n’avait remarqué leur absence. Il pensa que Ron et Hermione devaient être inquiet à son sujet. Tout en parcourant la courbe de l’un des seins de Cho, Harry voulut lui proposer de s’en aller et de se retrouver dès le lendemain soir, même s’il doutait qu’il puisse attendre jusque là. Mais il ne parvint pas à dire le moindre mot lorsqu’il regarda le visage paisible de Cho, souriante, les yeux clos, reposant sur son torse. Elle avait un bras autour des épaules de Harry tandis qu’elle lui caressait lentement le ventre du bout des doigts. Le jeune garçon sentait les doux seins de sa compagne contre ses côtes et son intimité encore humide contre sa cuisse. Ses longues et fines jambes s’emmêlaient à celles plus noueuses de Harry.

    En y repensant, le jeune garçon se disait qu’il était si bien ici, allongé dans les coussins, qu’il n’avait vraiment aucune envie de rejoindre le dortoir. Mais soudain, Cho se leva, laissant Harry seul avec une mine dépitée. Elle traversa la salle entièrement nue pour aller prendre une sorte de boîte sur une étagère. Harry qui en connaissait un rayon sur les différents ustensiles contre le mal ne savait pourtant pas de quoi il s’agissait et il pensa que la jeune sorcière devait avoir « demandé » à la salle de lui amener le coffret. Cho revint près de son amant qui ne pouvait s’empêcher de la regarder comme si rien de plus beau ne serait jamais plus offert à ses yeux. La jeune sorcière ramassa également les baguettes magiques qu’elle posa, avec la boîte, juste à côté des coussins.

    Cho se mit à quatre pattes au dessus de Harry laissant ses longs cheveux noirs tombants effleurer le visage de son partenaire. Elle s’étira un peu laissant son sexe se poser doucement sur celui de Harry et caressant légèrement son torse de ses seins. Elle l’embrassa avec douceur puis, souriant de plus belle, elle laissa son corps reposer entièrement sur celui de Harry, descendant une main vers son membre qu’elle se mit à masser lentement. Le jeune sorcier, pourtant fatigué, se sentit remplit d’une nouvelle vigueur. Il se mit à durcir à nouveau lorsque la jeune fille se laissa glisser et que son membre se frotta à son pubis, son ventre, sa poitrine et sa gorge pour arriver devant ses lèvres qui s’ouvrirent. Cho engloutit le chibre dressé et se mit à lever puis à abaisser sa tête en lançant un regard malicieux à Harry qui gémissait.

    Sous les voluptueuses caresses de la langue et des lèvres de la jeune sorcière, Le membre viril grandit et durcit encore. Cho s’arrêta alors et se mit à nouveau à quatre pattes, présentant à Harry ses fesses sublimes qu’elle écarta des deux mains, découvrant son petit anus.


« Harry ! Je t’en prie ! Viens, par là ! »

Le jeune sorcier n’eut pas besoin de se le faire répéter et se positionna derrière elle. Il prit son sexe dans la main et le guida tout contre le puit secret de Cho qui poussa un petit gémissement qui devint un râle lorsque Harry s’enfonça en elle d’un seul coup de rein. Elle en fut presque désarçonnée et se rattrapa de ses mains sur le sol de pierre. Harry, tout en caressant les petites fesses de Cho, bougeait en elle avec douceur. La jeune fille gémissait.

« Oh Harry ! C’est bon ! Vas-y ! Plus fort ! Fais-moi mal ! Plus fort ! »

Sous les encouragements de sa partenaire, le jeune sorcier s’activa plus rapidement en s’accrochant aux hanches de la jeune fille. Cho laissait échapper de petits cris en creusant son dos pour que Harry puisse aller encore plus loin. Le jeune garçon aperçut le visage de sa compagne se mordant la lèvre sous la douleur de la pénétration mais elle ne cessait de s’avancer sur les coups de boutoir de Harry de plus en plus brutalement. Elle s’arrêta soudain pour attraper sa baguette magique et la boîte qu’elle ouvrit. Harry stoppa également, fiché dans le cul de Cho jusqu’à la garde, et regarda. La jeune sorcière venait de sortir deux longs godes de bois qu’elle posa à terre. Elle les pointa de sa baguette et prononça :

« Mouvamento ! »

Les deux godes frémirent puis redevinrent immobiles.

« Tu dois le faire aussi Harry ! »

Harry attrapa sa baguette et prononça la formule. Ils se soulevèrent alors du sol. L’un vint se positionner devant l’abricot de Cho tandis que le deuxième s’avança devant sa bouche.

« Montre leur ce qu’il faut faire ! »

Harry recommença alors son va et vient de plus en plus rapide. Tandis que Cho se remettait à gémir de plus belle, le premier gode s’engouffra dans son intimité. Harry eu alors la sensation que c’était lui qui venait de la pénétrer une seconde fois. Mais il était toujours profondément enfoncé entre les si délicieuses fesses de Cho et alors même qu’il s’était arrêté, surpris, il sentait dans son propre membre le va et vient du gode. Alors qu’il ne s’était pas encore remis de cette sensation, le deuxième membre de bois alla se ficher dans la bouche de Cho et il sentit le contact des lèvres et de la langue de la jeune fille. Il se remit alors à bouger de plus belle dans le cul de sa douce et ressentit l’incroyable plaisir de trois pénétrations à la fois. Harry se crut dans un autre monde tant le plaisir qu’il éprouvait était intense. Cho émettait des sons étouffés qui traduisait son plaisir. Elle venait de jouir mais cela ne calma pas son ardeur.

    Harry eut soudainement une idée. Il s’enfonça du plus profond qu’il le pouvait en Cho, l’entoura de ses bras et la tira en arrière. Ils s’écroulèrent tous deux dans les coussins. Harry était allongé et laissé la jeune sorcière, les bras en arrière de part et d’autre de son amant, s’empaler seule sur son vit. Il se redressa un peu et prit sa baguette qu’il pointa sur le gode entre les lèvres inférieur de la jeune fille en prononçant :


« Amplificatum ! »

Tout en continuant de besogner le doux coquillage, le membre de bois se mit alors à grossir pour atteindre plus de deux fois sa taille. Cho criait maintenant son plaisir, toujours de manière étouffé, jouissant presque à répétition. Elle montait et descendait encore plus vigoureusement sur la queue de Harry. Ce dernier, pus excité que jamais, se redressa un peu et fit basculer les cheveux de son amante entre ses seins. Il empoigna la poitrine ferme, malaxant les deux globes de chair tendre, et surtout les deux petits tétons fièrement érigés, avec ardeur. Harry était enivré de l’odeur de Cho.  Il laissa courir sa langue sur la peau si douce de son dos et de son cou. La jeune fille se démenait en pleine extase et Harry ressentait tellement de sensation qu’il fut  sur le point de jouir. Mais il se retint encore un peu et s’approcha de l’oreille de sa partenaire.

« Dis Cho, s’il te plaît, laisse moi encore jouir dans ta bouche. »

Cho attrapa le gode entre ses lèvres et le retira. Elle tourna la tête vers Harry du mieux qu’elle le put.

« Tu me demandes ça comme si c’était pénible. »

Elle souriait et tendit le gode à Harry. Il le prit et souleva les fesses de Cho. Il se retira du petit trou et y plaça le gode qui s’activa immédiatement. La jeune fille le regarda d’un air coquin et il sut ce qu’elle voulait. Il pointa à nouveau sa baguette et lança la formule.

« Amplificatum ! »

Le gode s’activait dans le puit secret tout en grossissant pour atteindre la même taille que le premier. Cho ne retenait plus ses cris frénétiques. Il lui fallut se ressaisir un peu pour s’apercevoir que Harry s’était levé et se tenait devant elle. Il se retenait difficilement de jouir, ressentant toujours les sensations, également amplifiées par leur taille, des deux godes. Cho attrapa les fesses de Harry et l’attira à elle en commençant à sucer le dard prêt à éclater. Le jeune garçon réussit à se retenir encore un peu, savourant les va et viens vigoureux de la tête de son amante. Il sentit tout à coup les muscles de tout son corps se crisper. Il plaqua ses mains sur les cheveux de Cho pour l’immobiliser puis se répandit à nouveau dans sa gorge.

    La jeune sorcière avalait avec rapidité la semence de Harry puis le lâcha pour s’écrouler dans les coussins et se laisser complètement aller à l’ultime jouissance qui s’emparait d’elle. Au bout de quelques minutes, elle prit sa baguette, la pointa sur les deux godes qui continuaient leur besogne et murmura épuisée :


« Finite incantatem ! »

Les deux objets de bois s’arrêtèrent net et reprirent leur taille initiale. Cho les dégagea des ses orifices et les posa à terre.

Elle s’allongea dans les coussins, essoufflée. Harry se coucha près d’elle et la prit dans ses bras. D’une main il caressait ses longs cheveux si doux et de l’autre il allait et venait sur sa peau si tendre. Leurs lèvres se promenaient sur le torse, le cou ou le visage et se rencontraient fréquemment. Il sembla à Harry que la peau de Cho scintillait d’or. Il s’aperçut qu’en fait un rayon de soleil passait par la fenêtre et illuminé le corps de sa douce. C’était le petit matin.

Avec lenteur, comme s’ils répugnaient de quitter une couche où ils se sentaient si bien, les deux amants se levèrent et s’habillèrent non sans se couvrir de baisers à tout instant. Puis ils durent se résoudre à se quitter non sans avoir convenu d’un autre rendez-vous, bien avant la prochaine réunion de l’AD. Ils savaient qu’ils ne pourraient attendre jusque là.

 
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Harry
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Mercredi 28 septembre 3 28 /09 /Sep 00:00
Je trouve que les liens sont assez peu visibles. C'est pourquoi je crée un article spécial pour vous signaler que dans la colonne de gauche se trouve des liens vers différents sites que vous apprécierez sûrement.

Premirement le site Le Chicaneur qui recense un certain nombres d'informations sur le monde d'Harry Potter, sur les films et de nombreuses autres choses difficiles à énumérer. Vous trouverez aussi des histoires érotiques.














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Par poudlardsecret - Publié dans : Infos Poudlard Secret
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