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INTRODUCTION

hp367Bienvenue dans le monde secret d'Harry Potter

 

Ce blog est dédié aux histoires érotiques, ou lemons, sur le monde d'Harry Potter. Les personnages et l'univers général appartiennent à J.K. Rowling. Seules les apports des auteurs sont à apporter à leurs crédits.

 

Ce blog n'a aucune vocation pécuniaire, il s'agit de laisser libre cours à l'imagination des auteurs et au respect de toutes les formes de sexualités. Tout le monde peut participer au développement du blog en envoyant une histoire à poudlardsecret@laposte.net.

 

Les commentaires dénigrant ou insultant seront supprimer sans sommation.

 

Merci et bonne lecture.

 

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Dimanche 11 mai 7 11 /05 /Mai 18:27
Contribution de Lylah



Il était déjà tard quand le professeur Lockhart prit enfin la décision de quitter la salle de classe.

Exténué, il avait prit le chemin de ses appartements, bombant fièrement le torse et affichant un sourire charmeur dés qu’il arrivait à proximité de jolies petites étudiantes.

La tentation avait toujours été grande de vouloir jouer au docteur avec l’une d’entre elles mais il n’avait jamais succombé aux avances plus qu’évidentes de ces petites demoiselles.

Et pourtant, ce jour là, malgré une journée harassante à narrer ses innombrables exploits, quand une jolie rousse au visage rosi par l’émotion lui tint ces quelques propos, il capitula.

- Professeur ? Je vous admire tant. Pourtant, je peine un peu en pratique et je pense qu’il serait de votre devoir que vous me fassiez don de vos précieux conseils.

Que répondre à cela ?

Non seulement elle flattait son ego démesuré mais elle s’appliquait en plus à afficher une mine soucieuse qui la rendait encore plus attirante.

- Miss Weasley, c’est avec plaisir que je vous apporterai assistance (Attention Gilderoy ! Attention !), cependant remettons ça à demain soir, cette journée fut bien trop fatigante pour que je sois à la hauteur (Bien…Très bien ! Tu as su te sortir de ce mauvais pas pour ce soir !)

La jeune fille le gratifia d’un sourire satisfait et après avoir murmuré un rapide « au revoir », elle lui tourna le dos en prenant bien soin de faire virevolter ses fins cheveux de sorte qu’il en sente la douce fragrance.

Pendant un très court instant, il resta rêveur et puis…

«  Mais…que cherche-t-elle cette gamine ? Se questionna-t-il, je trouve qu’elles sont de moins en moins prudes de nos jours par Merlin ! »

Il secoua la tête, chassant de son esprit les idées quelque peu crapuleuses qui commençaient à y germer.

Foi de Lockhart, il ne s’abaisserait pas à chasser de l’étudiante ! Celles-ci n’étant pas assez expérimentées pour le grand prédateur qu’il était.

Rassuré dans sa fierté exacerbée, il gravit rapidement les quelques marches le menant à sa chambre et entama une nuit de repos bien méritée.

 

- Entrez jeunes gens et prenez place ! Fit le professeur à l’adresse des Gryffondors qui se pressaient dans les rangs.

Il prit place sur son bureau, rejetant négligemment sa longue cape derrière son épaule provoquant l’illumination soudaine de toutes les jouvencelles de la salle, face à ce geste si noble.

Il avait beau le renouveler chaque jour, dans chaque cours, devant le même public, cela produisait exactement le même effet.

Les jeunes filles soupiraient en passant rêveusement leurs doigts dans leurs cheveux, quand aux garçons, ils soufflaient en levant les yeux au ciel, exaspérés.

Que ce professeur pouvait être stupide !!! Inutile, futile, puéril et débile !

Malheureusement, la force de persuasion des ces jeunes hommes n’était pas assez efficace face au charme professoral indéniable.

Lockhart balaya des yeux la grande salle où tous les regards étaient tournés vers lui.

Quelle sensation agréable que de se sentir adulé !!

Bientôt, son regard croisa celui de la jolie Weasley. Elle se mit à rougir timidement quand il lui sourit, ce qu’il regretta aussitôt, pensant avoir généré quelques idées lubriques dans cet esprit si torturé qu’est celui de l’adolescent.

Le cours se déroula au mieux.

Histoires en tout genre, chevaleries rocambolesques, héroïsme et bravoure à toute épreuve, en bref, des récits tous plus faux les uns que les autres, mais au libre jugement de chacun de le croire.

Notre cher professeur oubliait peu à peu sa proposition d’aider la jeune Gryffondor à parfaire ses sortilèges de défense contre les forces du mal, mais la belle le rappela vite à l’ordre.

- Professeur ?

Il se retourna en affichant son plus beau sourire, qui se transforma bien rapidement en rictus quand il la vit dans son champ de vision.

« Zut ! Elle ne va pas me lâcher cette gamine ! »

- Professeur, à quelle heure voulez-vous que nous nous retrouvions ?

Voulant en finir au plus vite, il la convoqua sur le champ.

Ils entrèrent dans la grande salle de classe, qui paraissait maintenant beaucoup plus impressionnante aux yeux de la demoiselle, alors qu’elle était vide.

Mais quand elle sentit le contact de son professeur dans son dos, elle oublia bien vite ses angoisses.

Il la contourna, monta brillamment sur l’estrade et lui fit face.

Subitement, il prit conscience d’une certaine chose.

«  Je ne serai peut-être pas capable de lui inculquer la pratique !!! Je ne suis qu’un fin baratineur…. Les seules choses que je maîtrise sont le charme et…et bien c’est déjà pas mal ! »

Si elle avait su lire dans les pensées, la jeune fille aurait vite fait d’être ramenée à la réalité.

Son si parfait professeur n’est en fait qu’un parfait imposteur.

Mais elle ne le saura pas ! Il saura feinter la perfection. Et si vraiment elle devenait un peu trop curieuse, alors il trouverait une parade adéquate.

- Miss Weasley, que souhaitez-vous que je vous apprenne ? (Ouh là ! Mais qu’est-ce que je viens de dire ? Imbécile ! Elle va saisir la balle au bond !)

La jeune fille grimpa à son tour sur l’estrade.

- Je pense que mon tour de poignet n’est pas bon lorsque…je lance un sort un peu compliqué !

« Ben voyons ! Et je suppose qu’il faut que je te tienne le bras ? »

Le professeur soupira et se plaça derrière elle.

Elle sentit une douce décharge la parcourir sur tout le corps quand elle sentit son torse contre son dos.

Il posa rapidement une main robuste sur son fin poignet et imprima un geste parfait.

- Vous êtes allé trop vite professeur, minauda-t-elle, je n’ai pas eu le temps de bien comprendre.

« Elle veut me rendre dingue ? C’est ça, elle veut me rendre dingue. J’ai beau ne pas aimer les minettes, je n’en reste pas moins un homme et son parfum est si… »

- Bien ! Reprenons, mais soyez attentive Miss Weasley, c’est la base !

Promis ! Cette fois elle serait attentive.

Il se positionna plus étroitement derrière elle, lui prit fermement le poignet, ce qui la fit hoqueter de surprise.

- Etes-vous attentive à présent ?

Elle hocha timidement la tête.

- Bien.

Et il reprit le geste plus calmement en faisant en sorte qu’elle l’assimile parfaitement pour ne pas prolonger indéfiniment cette rencontre, plus qu’ennuyeuse pour lui.

Il se dégagea et lui demanda de répéter son geste, appuyé contre le bureau, les bras croisés sur sa poitrine.

Elle tendit fièrement le bras et d’un mouvement leste, répéta parfaitement la manoeuvre.

Elle avait terminé depuis plusieurs secondes mais le blond professeur continuait de parcourir d’un regard intéressé ce corps si jeune et si parfait se mouvant avec grâce devant lui.

Pourquoi ne pouvait-il pas s’en détacher par Merlin ?

Il commençait à sentir une douce fièvre l’envahir mais il reprit rapidement contenance avant que celle-ci n’est pour effet de modifier de façon significative, une certaine partie de son anatomie.

- Bien miss, je pense que vous n’aurez pas trop de problème avec la pratique, maintenant, apprenez juste parfaitement les formules adéquates.

Mais quand il s’apprêta à passer la porte, elle le rappela.

- Apprenez-moi à faire un patronus Professeur.

« Un quoi ?? Mais que veux-t-elle faire d’un patronus ? »

Il soupira bruyamment et retourna prés d’elle.

Son regard avait changé. Il semblait inquisiteur et suspicieux. Où était la jolie gamine en admiration devant lui ?

Elle affichait un sourire en coin et attendait les bras croisés.

« Mais pourquoi me regarde-t-elle de la sorte ?? »

- Pouvez-vous me montrer le votre ‘professeur ‘, vous en faîtes souvent mention dans vos livres.

«  Elle cherche à me piéger la garce ! Aurait-elle compris ? »

Il était évident que Ginny était loin d’être la petite écervelée qu’elle laissait paraître. Elle avait depuis bien longtemps compris les agissements de son professeur et comptait bien le mettre à nu. Dans tous les sens du terme.

Lockhart sentit monter en lui une vive colère et il soutenait son regard alors qu’elle jubilait à l’idée de sa victoire si proche.

Elle s’avança plus prés de lui et croisa les bras dans son dos, approchant son visage si proche du sien que lorsqu’il sentit sa chaude respiration sur sa peau, un long frisson lui parcouru l’échine.

- Je sais que vous êtes un imposteur, je ne compte pas ruiner votre réputation, n’ayez crainte, peut-être juste en profiter pour avoir de meilleures notes.

Mais pourquoi était-il aussi fier ? Il aurait suffit qu’il l’envoie balader pour en finir avec cette histoire, mais cette petite lionne était bien trop vicieuse, elle aurait pu en un éclair, réduire son mythe à néant.

Il quitta expressément la pièce et courut se réfugier dans ses appartements.

Il ne pourrait même pas utiliser une quelconque formule contre elle, de crainte de créer totalement l’inverse de l’effet escompté.

Il se rappelait que trop bien du jour où il avait liquéfié les os de Potter au lieu de les ressouder.

Qu’allait-il pouvoir faire ?

L’éviter ?

Ce ne serait pas évident compte tenu du fait qu’elle était l’une de ses quotidiennes étudiantes.

Se faire porter pâle ?

Le reste de l’année ?

Non. Certainement pas. Gilderoy Lockhart ne se laisse pas démonter par une vulgaire gamine !

Bientôt, le sommeil eut raison de lui et il sombra dans des rêves quelques peu agités.


 

 

 

A peine fut-il réveillé que ses premières pensées se tournèrent vers la rouge et or.

Décidément, il lui était à présent impossible de l’occulter de son esprit !

Il s’imaginait tant de chose !

Allait-elle tenir sa promesse de ne pas le dénoncer ? Et….si il succombait à la tentation ?

« Non, c’est absurde Gilderoy ! N’y pense même pas ! »

- Professeur ! J’aimerai m’entretenir avec vous !

« Que fait-elle dans mes appartements ?? »

Ginny s’avança de quelques pas et resta immobile un instant devant lui.

Toujours assit sur son lit, il se remettait difficilement de cette intrusion inattendue.

Il n’osait pas bouger de peur qu’elle ne le prenne pour une tentative de fuite, mais finalement, il croisa ses jambes et tenta de prendre l’air le plus serein que possible, même si au fond de lui, il n’en menait pas large.

Elle lui sourit et glissa un genou entre ses jambes, les forçant à s’écarter afin qu’elle puisse prendre appui sur le lit.

- Que faîtes vous…je…

Mais au regard noir qu’elle lui lança, le professeur comprit aussitôt qu’il valait mieux qu’il se taise.

Elle s’approcha dangereusement de lui et passa ses deux bras d’une manière féline autour de son cou.

Elle lui alloua un nouveau sourire et le professeur laissa tomber ses dernières défenses.

Si c’était ce qu’elle voulait, alors elle l’aurait. Au diable les convenances !

Il passa à son tour rapidement ses bras autour de la taille fine de la jeune fille et la bascula sur le lit.

Elle tenta de se relever, visiblement mécontente d’avoir perdu le contrôle de la situation.

- Restez calme petite emmerdeuse, si c’est me pousser à bout que vous vouliez, c’est chose faîtes.

Et il colla étroitement ses lèvres contre les siennes en un baiser brutal.

Puis, il se fit plus doux. Il titilla les gencives de sa belle du bout de sa langue afin qu’elle le laisse gracieusement entamer une danse avec sa semblable, ce qu’elle s’empressa de faire sans plus tarder.

« Je ne sais vraiment pas quelle connerie je suis en train de faire mais…oh et zut ! »

Il passa une main baladeuse sous le chemisier de la demoiselle et elle gémit de plaisir quand elle sentit les doigts courir sur sa peau.

Il s’attaquait à présent à laisser de petits suçons à la naissance de son cou, tendit que la douce rejetait sa tête en arrière pour accueillir plus en profondeur ses prodigieux baisers.

Les mains sur les épaules de son amant, elle gesticulait sous le corps puissant qui l’étouffait presque, provoquant de violente décharge dans le bas ventre de se dernier, qui sentait son royal pantalon commencer à faire furieusement abstraction à son plaisir grandissant.

Il se releva alors rapidement pour l’ôter, permettant à la belle d’enlever son chemisier.

Quand il se pencha à nouveau sur elle, il ne pu qu’être ému face à ces deux ravissantes pommes enveloppaient de ce fin tissu qui ne demandaient qu’à être croquée avec délice.

Il se dépêcha de les libérer et y passa une langue gourmande.

Ginny frémit sous cette caresse saisissante et passa ses doigts dans la fine chevelure de son homme.

La chaleur en elle commençait à faire bouillir ses entrailles et notre expert ressentie rapidement les prémices de ce qui promettait d’être une joyeuse partie de jambes en l’air.

Quand il eu dégusté jusqu'à satiété ses deux merveilleux fruits, il jeta un rapide coup d’œil à la lionne qui le regardait dangereusement descendre vers le reste du verger.

Elle déglutit avec difficulté quand il passa un doigt sur l’étoffe bouillante de sa petite culotte et qu’il la fit descendre lentement le long de ses cuisses.

Jamais encore elle n’avait connu cette caresse, que lui narrait pourtant bon nombre de ses amies, et maintenant qu’elle allait la subir avec une folle envie, elle ne savait plus comment réagir.

Mais elle n’eut pas longtemps à chercher la réponse. Elle n’avait qu’à gémir sous la langue expérimentée de son bourreau qui s’affairait à la faire glisser malicieusement sur son divin fruitier, s’arrêtant par instant sur la petite protubérance, qu’il titillait légèrement du bout des dents, envoyant littéralement sa propriétaire au bord de la jouissance.

Il inséra un doigt avide dans l’exigüe petite entrée et prolongea sa caresse en imprimant de doux mouvements enfiévrés.

Le divin nectar qu’il récoltait continuait de le mettre en transe, et les gémissements de plus en plus prononcés de son étudiante, n’enivraient que plus son esprit embrumé.

Quand sa soif fut étanchée, il remonta vers le visage rayonnant de sa belle, la gratifiant d’un regard implorant, qui demandait à ce qu’on lui rendre la pareille.

La jeune fille comprit immédiatement l’allusion et poussa docilement son professeur sur le dos, qui s’exécuta le sourire aux lèvres.

« Voyons de quoi cette petite jeunette est capable ! Ne put-il s’empêcher de penser »

Mais lorsqu’elle passa une langue ardente du pied à la tête de sa masculinité a fleur de peau, il poussa un profond gémissement en se mordant la langue.

Elle n’était peut-être pas très vieille mais certainement plus expérimentée que certaine de ces précédentes conquêtes.

Elle s’appliquait à accorder à sa nouvelle friandise de chair quelques coups de langue avant de l’engloutir avidement au plus profond de sa gorge.

Gilderoy rejeta à son tour sa tête en arrière, essayant de garder au mieux les esprits clairs pour ne pas partir dans de mauvaises circonstances.

Par merlin, qu’elle gâterie !!!!

Il dut malheureusement la stopper en se relevant légèrement pour ne pas écourter de façon peu attrayante leurs ébats enfiévrés.

La jeune fille se releva et passa un doigt mutin sur ses lèvres comme lorsque l’on recueille les dernières gouttes d’un breuvage délicieux.

S’en était trop pour son professeur qui la saisit par la taille pour l’attirer sur lui.

Il l’empala sur sa virilité concupiscente et chacun poussa un râle de plaisir incontrôlé.

Elle s’appliqua à le chevaucher d’un rythme effréné en cambrant son dos de manière a reposer ses mains sur les genoux de l’homme.

Lui aurait aimé poser ses mains sur les deux monts qui semblaient le narguer au sommet de ce corps si parfait mais ils étaient trop loin et il ne put que pétrir les cuisses fermes de sa cavalières à la mesure de ses assauts.

Quand il sentit qu’elle se contractait de plus en plus sous le plaisir grandissant et que lui-même ne pourrait pas retenir longtemps, il se releva rapidement, d’un mouvement de rein, ce qui approfondi d’autant plus son immixtion, faisant échapper un cri à sa compagne.

Il saisit fermement ses fesses tout en suçotant avec gourmandise cette poitrine frémissante qu’il avait eu tant de mal à saisir.

Il aida sa dame en donnant lui-même de vigoureux coups de reins, la soulevant et la rabaissant à la force de ces mains.

Bientôt ses jambes refusèrent de continuer de porter ces deux corps en effervescence et sous le plaisir imminent, ils se laissèrent tomber bruyamment sur le bord du lit.

Ginny avait à présent la tête qui pendait dans le vide, elle essayait tant bien que mal de croiser le regard de son amant au dessus d’elle, mais les violents coups de bassin qu’il lui assainissait ne permettaient pas à sa nuque de supporter sa tête.

Sentant une longue décharge le parcourir, Lockhart passa ses bras robuste sous la taille de son amante et en quelques derniers coups bien cadencés il se perdit dans les méandres du plaisir.

Le cri qu’ils poussèrent à l’unisson fut le fruit de leur plaisir ainsi assouvi.

Il donna quelques derniers coups de rein, plus calmes et moins effrénés, tout en embrassant la gorge grelottante de sa belle, qui avait sombré elle aussi dans une léthargie post-câlin.

Il l’aida à se recoucher correctement sur le matelas et elle se blottit contre lui, reprenant doucement une respiration normale, tentant de calmer son organe vital qui s’était emballé quelques secondes auparavant.

Qui aurait cru que le grand Lockhart aurait pris autant de plaisir avec une simple étudiante.

Mais ce n’était pas une simple étudiante.

Du moins, elle ne l’était plus à ses yeux.

Seulement, il n’était pas convenable pour lui et pour elle d’entretenir une telle relation.

Et pourtant, en ce moment même, chérissant amoureusement ce corps si juvénile contre le sien, il sentait à nouveau son cœur battre comme lors de ses premiers émois.

Et même s’il avait encore du mal à l’intégrer dans son esprit, cette aventure serait de toutes celles précédemment écrites, la plus extraordinaire, la plus épique et la plus magique de toutes celles qu’il avait accompli.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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Mercredi 23 avril 3 23 /04 /Avr 19:24
Contribution de Lylah

Douce décadence




Encore quelques jours….

Plus que quelques jours et tout ceci prendra fin…

Depuis le début des épreuves, je sombre de plus en plus dans une semi-inconscience.

Cette pression, ce danger, ce n’est vraiment pas pour moi.

J’ai sauvé Cho au fond de ce lac et alors ?

Qu’est-ce que ça prouve ?

Que je suis imaginatif et courageux ?

Bien. Très bien.

Que cela me rends plus heureux ?

Certainement pas.

Cela fait plusieurs heures que je marche dans les couloirs sombres de Poudlard, évitant tant bien que mal l’effervescence causée par ma popularité soudaine.

Qu’est-ce qui m’a prit de mettre mon nom dans cette foutu coupe ?

Tout le monde s’est agglutiné sur moi, me poussant à le faire, flattant mon ego. Je ne pouvais pas refuser. Je ne pouvais pas les décevoir.

Et pourtant, au combien j’aimerai être dans mon lit à l’instant même plutôt que de chercher à savoir si je vais survivre à la prochaine épreuve.

Je sais bien, ce n’est pas une attitude digne d’un sorcier, mais j’en ai tellement assez de faire semblant d’être parfait.

Je sors subitement de mes pensées quand quelqu’un me bouscule.

Fleur continu son chemin sans même m’adresser la moindre excuse.

Après tout, elle ne doit pas être plus encline à la politesse que moi en ce moment. Comme je la comprends !

Mais où va-t-elle à cette heure-ci ? Et seule ?

Le château est peuplé d’impasses, elle pourrait se perdre.

Mais elle est déjà loin. Voilà qu’elle disparaît au coin d’un couloir.

De toute façon, je n’aurai certainement pas été de bonne compagnie.

 

Il fait jour ? Déjà ?

Non.

Quelqu’un m’aveugle avec une lampe de poche.

 

  • Eh Cédric, amènes toi, je voudrai te parler.

 

Il n’est pas rare que Potter vienne me voir la nuit quand toute la cohue est partie se coucher. Il est loin d’être calme dans son coin lui aussi.

Je crois que comme moi il a besoin d’être rassuré.

Il m’entraîne dans une salle de classe où nous attende Fleur et Viktor.

Je n’avais jamais remarqué comme elle avait l’air triste.

Est-ce la faible lueur des bougies qui lui donne ce teint blafard ?

Je m’assois aux côtés de Viktor, et il me tend une bouteille de Whisky pur feu déjà bien entamée.

Elle est absolument la bienvenue et je m’empresse d’en boire une grosse gorgée. Le liquide coule dans ma gorge telle des flammes de l’enfer, réchauffant mon corps refroidi trop brutalement par ce réveil violent.

Fleur me tend la main afin que je lui passe la bouteille, que je me dois de lui donner, bien que je me serai chargé de la finir seul sans aucun problème.

L’alcool est un doux allié dans les moments où l’on veut tout oublier.

Et je crois que ce soir, les 4 champions vont délaisser leurs parures de preux combattants pour celles de simples étudiants.

 

Mais pourquoi la salle tourne-t-elle si vite ?

Y’a quelque chose qui cloche décidément.

Mais je me sens pourtant si bien…

Durant une grande partie de la nuit, nous avons bu. Et quand on ne buvait pas, on pensait. Alors pour ne plus penser, on a recommencé à boire. Et maintenant, ce fichu couloir s’obstine à remuer dans tous les sens. Ce n’est pas vrai ! Je n’arriverai jamais sans encombre dans les dortoirs, par Merlin !

Tiens, voilà ce cher Peeves….ou….ces chers Peeves. Depuis quand a-t-il un frère jumeau ?

Le monde tourne et j’ai pourtant l’impression de faire du surplace. Quelle sensation étrange mais si agréable.

J’ai l’impression de flotter sur un petit nuage, wouo ! Attention la grosse dame….

J’ai finalement pu monter cette saleté d’escalier et passer le portrait sans trop de mal.

Je ne sais pas vraiment si j’ai envie de me coucher, car je sais délibérément que demain je serai dans un état pitoyable, à cent mille lieu de me souvenir exactement comme se sera déroulé ma soirée et certainement très enclin à visiter l’infirmerie. Mais ce n’est pas grave. Quand je suis saoul, je ne pleure pas. Quand je suis saoul, je ne me pose plus de question. Quand je suis saoul, je suis enfin redevenu heureux.

 

  • Mais arrêtez de parler si fort !! Murmurai-je.

 

Tous me regardent, l’air éberlué.

Je croise le regard de Potter qui comprend ma détresse. Viktor rumine dans son coin et Fleur, avachi sur sa chaise, la tête rejetée en arrière, ferme les yeux.

La tête rejetée en arrière….quelle nuque….elle a l’air d’avoir la peau si douce. Me permettrai-je de la toucher ? Juste un peu…juste une fois ?

Non ! Je ne suis plus sous l’emprise de l’alcool, mon geste serait donc délibéré et certainement très peu apprécié par la demoiselle.

C’est bien dommage…

Par Merlin ! Que tout le monde se taise ! Je sens que j’ai la tête qui va exploser.

Je pense que la journée dont je savoure les prémices, va être la plus longue de toute ma chienne de vie.

La nuit à revêtue son plus beau manteau, avec elle toutes mes idées noires et mes éternelles angoisses sont réapparues.

Je ne relèverai donc jamais plus la tête ?

Mes insomnies ont eu raison de moi, je ne suis plus qu’une marionnette aux mains du hasard.

Mes pieds me portent sur le chemin de pré-au-lard sans que je sache vraiment pourquoi.

Les rues sont vides, sales et sinistres.

Ca ne ressemble plus au pré-au-lard de mon enfance. Qu’elle est loin cette enfance insouciante où je courais chez Honeydukes le cœur plein d’espoir à l’idée de découvrir de nouvelles friandises. Quelle est loin cette enfance où j’avais encore plaisir à frissonner devant la cabane hurlante. Quelle est loin…

Mais….ou suis-je ?

Serai-je entré dans l’allée des embrumes sans y prêter garde ? Non, l’allée ne se trouve pas à Pré-au-lard.

Pourtant, cela y ressemble étrangement…

Un bar attire mon attention. Après avoir tapoté légèrement ma poche, je constate que je possède suffisamment de Galions et de mornilles pour poursuivre docilement ma descente dans les enfers.

L’atmosphère de la pièce est étouffante.

Plusieurs personnes sont avachies sur des gros fauteuils de velours pourpre crasseux. On ne remarque pas ma présence, je décide donc de m’installer en fond de salle afin de pouvoir rester le plus discret possible.

Bien que peu attrayant, le fauteuil n’en est pas moins confortable et je ne tarde pas à m’y faire une place douillette.

Je passe un bras négligemment sur le dossier et je penche la tête en arrière. Je viens de heurter quelque chose.

Je me retourne. Fleur me toise d’un regard embué, terni par la consommation excessive d’alcool, que je peux constater au nombre de verre disposés sur la table basse devant elle.

S’il y a bien une personne que je ne m’attendais pas à voir ici, c’était bien elle. Et pourtant, je suis heureux de revoir ma compagne d’infortune et même si elle n’a jamais été très loquace, sa présence suffit à m’apaiser.

Elle se lève et vient s’asseoir de mon côté du divan.

- Je suis contente que tu sois là Cédric…, marmonna-t-elle en glissant sa tête sur le velours, pour la poser délicatement sur mon épaule.

Cette simple attention de sa part suffit à me faire monter le sang aux joues. Ou est-ce le whisky pur feu que je viens d’avaler ?

J’abaisse mon bras dans un mouvement presque imperceptible, et je le pose autour de ses épaules. Elle gémit à mon contact. Je resserre donc mon étreinte pour l’attirer légèrement plus contre moi. Elle ne résiste pas. Pendant un instant, j’aimerai que le temps s’arrête. Que l’on reste dans cette position des plus confortables pour l’éternité.


 


 

 

J’avale encore une gorgée de ce délectable breuvage et je grimace quand il s’insinue dans ma gorge.

Pourquoi délectable ? Le whisky pur feu n’est pas une boisson que je me plais à déguster pourtant, seulement, depuis quelque temps, il est à mes yeux le plus doux de tous les nectars.

 

  • Je n’en peux plus de cette pression Cédric, m’avoua-t-elle en soupirant, j’ai beau essayer de ne pas y penser, j’ai peur à chaque minute qui me rapproche de cette troisième épreuve.

 

Oh ! Comme je te comprends douce vélane, jamais supplice n’aura été aussi égal.

 

  • Je ne veux plus y penser, ce soir, je veux oublier….

 

Alors que je me remets à peine du fait qu’elle m’adresse la parole aussi longtemps, la voilà qui appui sa généreuse poitrine sur mon torse et se rapproche docilement de ma bouche.

Son souffle est chaud et une douce odeur de malt caresse mes papilles olfactives. Elle ferme les yeux et son souffle est court. Je ne peux pas résister à cette tentatrice et je l’embrasse tendrement.

Elle semble apprécier le contact de mes lèvres contre les siennes et entoure de ses bras gracieux, ma nuque qui a bien du mal à tenir ma tête en équilibre.

Notre baiser se fait plus passionné et quand sa langue vint caresser la mienne, je ne pu que m’abandonner à pousser un long soupir de satisfaction en la tirant plus durement vers moi.

Afin de prolonger le baiser, elle passe une de ses jambes par-dessus les miennes, et avant même que je ne m’en rende compte, elle était à califourchon sur moi, passant une main féline dans mes cheveux.

Quelle douce agonie !

Dans un éclair de lucidité, je me rappelle que nous sommes dans un lieu public, mais me rendant compte que nous sommes le dernier des soucis des sorciers ici présent, je m’enhardi en passant mes doigts sous son pull de laine.

Elle frémit au contact de ma peau fraîche sur son dos et quitte ma bouche pour titiller du bout de sa langue, le lobe de mon oreille, me procurant une décharge électrique dans tout le corps.

Sa peau si douce me donne l’effet d’effleurer une poupée de soie. Bientôt, mes doigts atteignent l’attache de sa prison d’étoffe et avec une dextérité à toute épreuve, je parvins à libérer sa généreuse poitrine.

Quel dommage que je ne puisse m’en délecter sous une lumière plus encline à flatter ses rondeurs. Je me contentais donc de passer une main sur le devant et d’effleurer un de ses seins en prenant bien le temps de le détailler en profondeur. Faute de ne pouvoir les voir, mes doigts seront ce soir mes yeux et la vision qu’ils m’offrent est plus que satisfaisante.

Elle gémit dans le creux de mon épaule et son souffle contre mon oreille me transporte aux portes du plaisir.

Je sens qu’elle passe à son tour un bras entre elle et moi et qu’elle glisse subtilement ses doigts sous mon pull qui pour l’heure semble m’étouffer étrangement.

Elle dessine du bout de ses doigts des sigles sur mon torse imberbe tout en me gratifiant d’un nouveau baiser enfiévré.

Je dérive. Mon âme chavire dans les méandres du désir. Comment ces caresses, pourtant si simples peuvent me transporter dans de telles émotions ?

C’en est assez. Je ne pourrai pas résister plus longtemps à la tentation d’effleurer son corps si parfait de ma langue affamée, de connaître le goût si subtil de sa peau.

Pourtant, quand elle glisse une main coquine plus au sud de mon anatomie, flattant à travers le tissu, bien trop étroit à présent, de mon pantalon, ma virilité à fleur de peau, je ne suis plus en état de réfléchir.

Mes mains se font à leur tour baladeuses et j’enserre violemment ses douces petites fesses, en mimant des vas et vient. Elle gémit de plaisir, son corps tremble de désir. Elle est aussi impatiente que moi que nous nous unissions.

Elle se relève et dans la fine obscurité, je la vois passer timidement ses mains sous sa jupe pour faire descendre d’une lenteur insidieuse, sa petite culotte de coton.

Il faut que je me lève. Il faut que je me libère à mon tour sinon je…je….mais que fais-t-elle ? Je ne veux pas me rasseoir !

Oh….

Je comprends.

En jetant un bref regard derrière elle, elle s’agenouille devant moi et remonte ses mains le long de mes cuisses jusqu’à la ceinture de mon pantalon.

Toujours son regard plongé dans le mien, elle la défait dans un petit cliquetis métallique et dans les secondes qui suivent, je ne peux que pousser un long gémissement quand elle libère enfin mon appétence fierté de son étau.

J’ai peur de respirer, peur de la brusquer. Je la laisse faire.

Par merlin, que c’est bon !

Elle quitte mon regard et je bascule la tête en arrière. Quand ses lèvres m’effleurent, je défaille. Sa bouche est si chaude, si accueillante. Je me sens coupable de ne pouvoir lui rendre la pareille dans de telles circonstances. Comme j’aimerai flatter son divin fruitier aussi bien qu’elle vénère ma masculinité.

Je pose ma main sur sa tête, lui imprimant tendrement un rythme plus soutenu auquel elle se plie volontiers en gémissant de plaisir.

Ma tendre étudiante, les caresses que tu me procures sont dignes des plus viles tortures et pourtant, à l’instant même je supplie mon bourreau de continuer.

Mais hélas, au bout de quelques minutes, elle me délaisse. Je relève la tête, affichant certainement une mine déçue, car elle sourit.

Mais je ne reste pas longtemps sur ma faim, elle reprend sa place, quitter précédemment sur mes genoux, et je sais à présent que dans les quelques minutes qui vont suivre, je vais pouvoir atteindre l’objet de mes plus secrètes pensées.

Elle prend appui d’une main sur mon épaule et saisit mon membre de l’autre.

J’empoigne ses deux tendres collines et enfin, j’explore dans un mouvement du bassin, l’antre de tous les plaisirs.

Je rejette, sous l’effet du plaisir intense, la tête en arrière et elle en fait de même.

Ses gémissements ont sur moi l’effet du plus puissant des aphrodisiaques, et en maintenant toujours mes mains à leur place, j’imprime quelques solides mouvements du bassin.

Dans cette position plus que délicieuse, je n’ai que malheureusement peu de mobilité et c’est une fois de plus ma belle qui œuvre pour deux.

Mais quel travail par Merlin !

Son corps élancé monte et descend telle une jument s’élançant dans une course affolée. Mes mains se faufilent rapidement sur sa taille fine et remonte jusqu’aux deux douceurs que je peux à présents contempler après avoir remonté avidement son pull.

Qu’elle vision enchanteresse !

Je m’empresse de flatter de mes lèvres cette peau si diaphane et les deux petites protubérances m’incitent à les prendre en bouche, faisant crier de plaisir ma maîtresse sous la petite morsure que je leur inflige.

Je sens monter en moi une vague de chaleur intense et bientôt, je dois me raccrocher à sa taille pour ne pas tomber dans l’inconscience sous l’effet du plaisir trop intense.

Ressentant mon malaise, elle ralentit son rythme effréné.

Au diable, les badauds, il est grand temps de mettre la main à la pâte.

Je saisis ma blonde naïade par la taille et l’allonge sur le canapé. Elle laisse pendre ses bras en haut de sa tête et me dévisage d’un regard flamboyant.

Je pénètre promptement le jardin impatient que je quitte à l’instant et elle se cambre de bonheur.

Quelle merveilleuse vision !

Je plonge mon visage au creux de sa nuque, déposant maints baisers enflammés tout en assainissant de puissants coups de rein.

J’entoure mes bras amoureusement autour de sa taille gracile et la maintenant ardemment contre mon corps, je peux ainsi nous conduire jusqu’à l’extase.

Son corps subit mes assauts et en redemande. Sa respiration s’accélère, ses ongles lacèrent mon dos. Je dois mordre le velours pour ne pas crier de plaisir et elle, sa bouche plaquée contre mon épaule s’abstient de clamer haut et fort son plaisir.

La passion me consume, je la sens monter en moi, dangereusement, profondément et elle arrive libératrice, apportant avec elle une décharge électrique qui me parcoure le corps de la tête aux pieds. J’engouffre mon visage plus profondément dans son épaule pour étouffer ce cri bien trop révélateur pour l’endroit où nous nous trouvons.

Elle respire à présent bruyamment et son corps tremble à nouveau.

Nous n’osons pas nous séparer tant que nos forces, qui nous ont à présent si lâchement abandonnées, ne daignent nous revenir.

La fièvre du moment s’estompe petit à petit comme sous l’effet d’un puissant analgésique, et laisse place à une plénitude sans faille.

Le monde semble soudainement meilleur. Comme si quelqu’un avait allumé une lumière nouvelle.

Nous remettons nos vêtements en place. Nous jetons à la porte cafards, bourdons et autres insectes nuisibles au moral, et d’un pas léger nous regagnons la porte.

Au dehors, cette rue me semble claire tout à coup. Si bienfaisante, si apaisante. Et pourtant…

Je suis à présent près à conquérir le monde, ma belle me suit dans ce bonheur nouveau.

La troisième épreuve ne me fait plus peur. Je ne tremblerai jamais plus pour autre chose d’autre que pour mes sens en émoi face à elle. Je ne crains rien. Je vaincrai. Je vivrai. J’en suis certain.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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Lundi 24 mars 1 24 /03 /Mars 12:39

Solidarité féminine

Une aventure sexuelle de Harry Potter en seconde année


Avec : Hermione Granger, Angelina Jonhson, Alicia spinnet et Katie Bell.






Hermione marchait vite dans les couloirs du château. Elle aurait eu envie de courir mais elle ne devait pas se faire remarquer. Rogue n'était sûrement pas loin. Ce n'était que par une chance incroyable qu'elle avait pu se dérober derrière un angle de mur avant qu'il ne l'aperçoive. Hermione savait qu'elle aurait dû se débarrasser plus tôt du livre « les potions de grands pouvoirs » qu'elle avait emprunté quelques temps auparavant pour que Harry, Ron et elle se changent en Serpentard et aillent interroger Malefoy sur les attaques qui avaient lieux au château. Cela n'avait finalement rien donné, en dehors de plusieurs mésaventures. La dernière en date étant celle où elle s'était elle-même transformée à moitié en chat.

C'est ce dernier événement qui avait attiré l'attention du professeur de potion. Les autres enseignants, Dumbledore en tête, n'avaient posé aucune question. Nombre d'élèves essayaient des choses en secret et, tant que cela ne menaçait pas la sécurité de quiconque, il n'y avait pas besoin d'en faire grands cas. Mais la suspicion naturelle de Rogue envers Harry et ses amis ne s'arrêtait pas là. Il n'avait pas pu interroger Hermione à l'infirmerie, madame Pomfresh ne l'aurait pas permis, mais il semblait encore plus prompt désormais à résoudre le mystère de la demi-transformation d'Hermione. Mystère qu'il soupçonnait sûrement aller de paire avec la disparition de plusieurs de ses ingrédients personnels.

Sentant le danger se faire de plus en plus menaçant, Hermione se résolut à effacer la seule preuve qui les liait à l'évènement : le livre. Mais c'est en se rendant à la bibliothèque qu'elle aperçut Rogue attendre devant la porte de celle-ci. Il n'avait pas l'autorité suffisante pour consulter les autorisations que les autres enseignants donnaient aux élèves pour emprunter des livres de la réserve. Sans cela, il aurait vu immédiatement à qui Lockhart avait autorisé l'emprunt de « les potions de grands pouvoirs ». Sa seule chance était donc de prendre la personne en possession du livre sur le fait. Et dans le petit groupe de Potter, il savait très bien qui il devait voir à ce sujet.

Hermione remontait donc prestement vers le dortoir de Gryffondor, espérant que le maître des potions ne l'avait pas vue, son coeur battant à tout rompre. Elle n'osait imaginer ce qui lui arriverait si Rogue pouvait apporter la preuve du rapprochement entre elle, le livre et le polynectar. Sans compter ce qui arriverait à Harry et Ron, dont la liste des retenus étaient déjà bien fournie. Quelque chose disait à la jolie brune que Rogue était sur ses talons. Elle le sentait. Le peu d'avance qu'elle avait sur lui était négligeable et il pouvait la rattraper à tout moment. Elle fut donc catastrophée de voir la seule personne qui dirait sans hésiter à Rogue par où elle était partie. Rusard, en bas d'un escalier, nettoyait une tache de boue et fut surpris de l'arrivée rapide de la jeune fille. Le concierge se redressa.


« Dîtes-donc, où allez-vous si vite ? Qu'avez-vous fait comme bêtise ? Attendez ! »


Hermione fit mine de n'avoir rien entendu et tourna dans un autre couloir sur sa droite. Elle n'était plus qu'à quelques mètres de la salle commune mais si Rusard s'était lancé à sa poursuite, elle ne pourrait jamais l'atteindre. En tournant à gauche cette fois, elle risqua un coup d'oeil en arrière. Rusard était là.

Il l'appela encore mais elle n'en tint pas compte. Elle était si près du but. Les larmes lui montaient aux yeux. Elle ne voyait presque plus rien et ne put éviter la collision. Elle se retrouva au sol.


« Hé ! Fais un peu attention voyons. »


Hermione leva les yeux. Angelina, Alicia et Katie, les trois poursuiveuses de gryffondor se tenaient devant elle. Angelina, une superbe fille noire, la regardait l'air fâché mais elle se fit plus douce lorsqu'elle se pencha vers la petite brune.


« Tu pleures ? Tu t'es fait mal ? Attends... tu n'es pas l'amie de Harry ? Hermione, c'est ça ? »


Hermione eut à peine le temps d'acquiescer que les pas de Rusard s'approchèrent en raisonnant dans le couloir vide. Paniquée, elle tenta de reculer désespérément lorsqu'un voile se posa devant elle.


« Où est-elle ? Grogna la voix de Rusard.

_ Où est qui ? Demanda Angelina d'un ton innocent. »


Hermione était contre les deux magnifiques jambes d'Angelina de chaque côté d'elle. Elle s'aperçut que la belle poursuiveuse l'avait cachée sous sa robe. Prenant conscience du danger que cela représentait, elle ne fit plus le moindre mouvement.


« Où est la gamine qui filait à toute allure par ici ? Répliqua Rusard.

_ On a vu personne, répondit Alicia d'un ton poli.

_ Vous vous moquez de moi ? Elle a tourné par ici.

_ On l'aura manqué, fit Katie.

_ Quoi ? Elle courait presque.

_ Nous n'avons pas fait attention, reprit Angelina. Ce n'est pas notre rôle de surveiller les couloirs. »


Angelina bougea un peu, probablement pour croiser les bras et un peu de lumière passa dans son col, laissant le temps à Hermione d'avoir un aperçu du corps de la poursuiveuses. Même en cet instant tragique, la petite brune, qui avait toujours apprécié les charmes féminins, ne put s'empêcher de constater à quel point Angelina était magnifique. Et à quel point la peau de ses cuisses était douce contre ses joues. Elle sentit une tendre chaleur naître au creux de son ventre.

Rusard était furieux.


« Vous vous moquez de moi ! Espèces de petites... de... »


Mais toute la fureur du concierge ne pouvait prouver qu'elle lui mentait. Sa voix se décontenançait à chaque mot. Hermione espérait qu'il allait bientôt tourner les talons. Elle sentait son excitation grandir. Ce qui la perturbait le plus, c'était la délicieuse odeur qui émanait de l'intimité de la poursuiveuse. Hermione pouvait en apercevoir les contours se dessiner sur le tissu fin de la petite culotte. Oh comme elle adorerait goûter le nectar de ce fruit si appétissant et pourtant défendu.

Des pas se firent entendre. Hermione espérait que Rusard s'en allait mais celui-ci grogna de contentement cette fois.


« Ah ! Professeur Rogue ! »


Les pas s'approchèrent jusqu'à eux. La petite brune était désemparée. Si Rogue soupçonnait les trois filles de mijoter quelque chose, il ne s'en irait pas aussi facilement que Rusard. Elle se dit que, en un sens, le fait d'être ainsi tentée sans pouvoir ne serait-ce que toucher ce qu'elle désirait tant était un supplice bien plus terrible que tous ceux que Rogue aurait pu lui infliger pour avoir fait toutes les potions de tous les livres interdits.


« Qu'y a-t-il Rusard ?

_ J'ai vu une fille, l'amie de Potter, qui courait dans les couloirs et je l'ai suivi jusqu'ici. Mais ces trois-là prétendent ne pas l'avoir vu.

_ Granger ! Je me doutais bien... Où est-elle ? »


Hermione eut un petit sursaut en entendant le ton accusateur de Rogue. Mais Angelina ne frémit même pas.


« Je l'ignore professeur. Nous discutions entre nous et nous n'avons pas fait attention aux personnes qui passaient.

_ Ne me prenez pas pour un imbécile mrs Jonhson. Comment auriez-vous pu la rater ?

_ Nous sommes juste à côté de la salle commune, professeur. Il y a sans arrêt des élèves de gryffondor qui entrent et qui sortent. Certains sont pressés, d'autres non. Pour nous c'est égal. »


Le ton de la jeune fille restait très poli mais Hermione savait que Rogue ne s'en contenterai pas. Malheureusement. Elle commençait à avoir une sérieuse envie de calmer le désir qui s'était niché en elle.


« Que faisiez-vous là toutes les trois ? Reprit le maître des potions.

_ Rien. Nous discutions juste un peu. En fait on se demandait où aller faire nos devoirs. Nous hésitions entre rester dans la salle commune, c'est plus confortable mais aussi plus bruyant, ou aller à la bibliothèque. Et puis, au fil de la discussion on s'est un peu écarter de ces préoc...

_ Assez ! »


Malgré la robe, Hermione aurait très bien pu voir Rogue en colère, fixer de ses yeux noirs le visage paisible d'Angelina. La petite brune était très admirative de la retenue de la jeune fille, en plus d'être très admirative de ses charmes. Elle espérait vraiment que Rogue allait partir mais elle savait qu'il reviendrait encore à la charge. Cela ne manqua pas.


« Ouvrez votre sac mrs Jonhson !

_ Pardon ? Mais pourquoi ?

_ Juste pour voir si on ne vous aurez pas confié un certain livre.

_ Les miens sont déjà bien suffisant professeur. Pourquoi en aurai-je pris un autre ?

_ Je ne veux pas le savoir. Exécution ou j'enlève 20 points à gryffondor ! »


Angelina fit passer son sac devant elle et l'ouvrit. Mais Rogue n'en resta pas là.


« Comme vous le savez, je ne peux pas fouiller les affaires personnelles des élèves. Je vous prierai donc de sortir tous les livres, ça suffira. »


Hermione doutait que Rogue ait deviné sa présence sous les jupes de la jeune noire mais cela risquait quand même de la trahir. Pour pouvoir enlever tous ses livres, Angelina était obligée de s'agenouiller. Elle posa son sac par terre et s'abaissa lentement.


« Que vous arrive-t-il mrs Jonhson ?

_ Trois fois rien professeur. Une petite blessure en jouant au quidditch ce matin. Madame Pomfresh a dit que je ne sentirai plus rien ce soir. »


Hermione s'agrippa aux hanches de sa protectrice. Essayant vainement de faire abstraction de la douceur de la peau sous ses doigts, elle se laissa glisser sur le sol, s'allongeant en position du foetus. Angelina resta accroupie et commença à retirer ses livres. Mais la petite brune n'en menait pas large. Dans cette position, son visage était si proche de l'enivrante intimité que cela lui devenait insupportable. Son désir devint brûlant. Elle ne résista plus. Ayant à peine la conscience de ne pas faire remuer la robe, elle leva légèrement la tête et passa sa langue sur la petite culotte, le long de la merveilleuse vallée. Angelina eut un temps d'arrêt.


« Quoi encore mrs Jonhson ?

_ Juste un petit élancement, professeur. Il est déjà passé. »


La jeune fille replongea dans son sac mais la petite langue, elle, ne s'était pas arrêtée. Hermione savait qu'elle prenait un risque énorme mais elle s'en souciait beaucoup moins à présent. Elle aurait même souhaité que Rogue fasse durer ce petit jeu. Ce qui arriva. Lorsque Angelina eut finit, il demanda la même chose à Alicia et Katie. La jeune noire rangea prestement ses livres et se redressa en douceur. Hermione, toujours accrochée à ses hanches dut faire de grands efforts sur ses genoux pour rester à la hauteur qu'elle souhaitait.

Angelina était grande pour son âge et bien que Hermione n'ait que deux ans de moins qu'elle, elle pouvait tenir à genoux, les talons sous les fesses, sous la jupe de celle-ci. La robe étant ample, la petite brune put se permettre de ramener ses mains sur les cuisses de la belle et d'écarter la petite culotte pour que sa langue puisse enfin accéder à ce merveilleux temple tant désiré. La jeune fille ne faisait pas le moindre mouvement tandis que ses amis étalaient leurs livres à leur tour puis les rangeait. Rogue ne pouvait plus rien contre elles.


« Bien, je vous conseille de vite retourner à vos devoirs, fit Rogue en colère. »


Les filles ne dirent pas le moindre mot tandis que le professeur s'en allait enfin, suivit de Rusard grommelant. Angelina laissa échapper un soupir.


« Alicia ! »


La blonde acquiesça et fila discrètement le train aux deux hommes. Angelina poussa un autre gémissement.


« Qu'est-ce qu'elle te fait ? Demanda Katie malicieuse.

_ Oooh... c'est juste... sa langue... elle est douée. »


Katie s'agenouilla à son tour, scruta les alentours et releva le devant de la robe de son amie. Hermione ne s'interrompit pas pour autant.


« Comme c'est mignon, fit Katie. »


La jeune fille passa la tête sous la robe de sa camarade.


« Tu ferais bien d'aller voir à l'étage supérieur ma jolie. Ne t'inquiète pas, je vais m'occuper d'elle en attendant. »


Hermione dut faire un véritable effort pour retirer ses lèvres de la si douce et si chaleureuse intimité. Katie ne perdit pas un instant pour la remplacer. La petite brune sortit de sous la robe et se releva en baissant la tête. Angelina allait être furieuse. Mais de tendres bras l'entourèrent et l'attirèrent contre le corps divin. Une bouche s'empara de la sienne avec passion et elle répondit à ce baiser fougueux.


« Tu dois être folle, fit Angelina avec douceur lorsque leurs lèvres se séparèrent.

_ Je ne sais pas, répondit la voix de Katie sous la robe. Moi je n'aurai jamais tenu aussi longtemps.

_ Je suis désolée, balbutia Hermione.

_ Ce n'est rien. Ils ne t'ont pas découvert après tout. »


Angelina embrassa à nouveau la petite brune. Derrière elle, Alicia revenait.


« Hé ! Vous ne perdez pas de temps. Allez, relevez-vous. Ils sont partis mais plein d'autres pourraient vous voir. »


A regrets, Hermione, Angelina et Katie se séparèrent. Mais aussitôt la jeune noire attrapa la petite brune.


« Euh... dis-moi, tu n'as jamais vu le dortoir des quatrièmes années je suppose.

_ Non, mais je serai curieuse de le voir, répondit Hermione qui se doutait bien que ce dortoir ressemblait à tous les autres.

_ Je suis sûre qu'il te plaira. »


Aussitôt, les filles se dirigèrent vers l'entrée de la salle commune à grandes enjambées. Elles passèrent le portrait de la grosse dame puis montèrent rapidement les escaliers sans dire le moindre mot à ceux qu'elles croisaient. Elles s'arrêtèrent devant la porte marquée « quatrième année ».Angelina l'ouvrit et attira Hermione à l'intérieur. Alicia et Katie les suivirent vivement et refermèrent la porte.

Elle s'y était attendue mais Hermione constata néanmoins que cette chambre était plus ou moins semblable à toutes les autres. Elle identifia les lits de Angelina et Alicia grâce aux affiches de quidditch qu'elles avaient placardés tout autour. Elle se demanda vaguement à qui pouvait appartenir les deux autres lits (elle savait que Katie n'était qu'en troisième année et dormait donc ailleurs), l'une des occupantes devaient être moldue puisqu'elle avait le portrait inanimé d'un chanteur de charme. Hermione s'attarda un peu plus sur les affiches de quidditch. L'une d'elle représentait un joueur qui s'amusait à faire tourner un souaffle entre ses mains, et le fait que son tee-shirt moulait joliment ses muscles ne devait pas être étranger au choix des filles de le mettre entre leurs deux lits.


« Je voix que tu t'intéresses à notre « décoration », fit Angelina.

_ Euh... oui, très jolie.

_ Pas mal en effet, mais ce qui est mieux, c'est ce qu'elle cache. »


La jeune noire leva sa baguette et la plupart des affiches furent remplacées par des étagères encombrés d'objets divers. Hermione y vit des godes, des boules de Geisha, des huiles de massage, quelques lingeries très suggestives qui n'avaient aucune chance de faire partie de la tenue scolaire réglementaire, des simulateurs pour chaque partie sensible du corps et même des menottes. Hermione commençait à comprendre qu'être invitée dans le dortoir des quatrième année n'était finalement pas si anodin. Même les affiches des deux autres lits avaient découvert leurs secrets, prouvant que, si ça n'était pas le quidditch, les filles de la chambre avaient quand même une passion commune.

Angelina s'approcha dans le dos d'Hermione et la prit par les épaules.


« Dis-moi... Tu ne voudrais pas reprendre là où tu t'es arrêtée ?

_ J'attendais que tu me le demandes, répondit la jolie brune en souriant. »


Hermione se tourna vers la jeune noire qui en tremblait presque d'impatience. Sans dire un mot, elles s'embrassèrent passionnément. Les mains de la petite brune s'égarèrent rapidement sur les sublimes rondeurs de la croupe de sa partenaire. Angelina caressait tendrement la tignasse de la deuxième année. Puis, Hermione se retira doucement des lèvres de la jeune fille et descendit en baisers sur son cou, s'aventurant jusque dans l'échancrure de son corsage. Sa bouche se posa ensuite sur la robe de la belle, devinant sa poitrine magnifique à travers l'étoffe qui l'enserrait. Elle se laissa glisser plus bas sur le ventre puis arriva sur la partie qui cachait la merveille qu'elle désirait tant.

Hermione souleva la robe et passa à moitié en dessous, laissant le vêtement reposer sur son dos. Cette fois-ci, elle retira complètement la petite culotte et se ravit de goûter à cette délicieuse source, comme si elle n'avait plus rien bu depuis des jours. Elle entendit les pas de Alicia et Katie se rapprocher d'elles. Elle ignorait qui était qui mais l'une des filles s'arrêta derrière Angelina. Le corps de la jeune noire se trémoussant de plus belle lui fit comprendre que caresses et baisers devaient être au rendez-vous à l'étage supérieur. Hermione sentit deux douces mains parcourir ses cuisses tout en remontant sa jupe pour s'arrêter sur son petit derrière. « On » lui enleva sa petite culotte et elle leva un peu les genoux en prenant appuie au sol pour qu'on la lui retire plus facilement. Puis les mains revinrent écarter ses fesses et une langue se posa sur son bouton d'amour avant de commencer à jouer avec lui. Elle en fut aussitôt comme électrisée. Hermione avait entendue dire que Katie était particulièrement douée pour donner du plaisir à qui le voulait bien (et jusqu'à présent personne ne l'avait jamais refusé) et en conclut alors que la troisième année devait être celle qui goûtait passionnément à son bel abricot. Excitée comme jamais, Hermione fit de son mieux pour donner autant de plaisir à Angelina.

La jeune noire, déjà au bord de la jouissance, cru défaillir lorsque la petite brune se fit plus appliquée sur son antre de douceur. Alicia avait descendu la fermeture éclaire dorsale de la robe et avait passé ses bras sous le vête ment pour caresser la sublime poitrine de sa camarade qui se passait de soutien gorge. Angelina s'accrocha à la tête de son amie, occupée à poser des baisers dans son cou et laissa un cri exprimer tout son plaisir.

Pendant qu'elle reprenait son souffle, Alicia fit glisser la robe de ses épaules. L'étoffe tomba mais s'arrêta au niveau des cuisses de la jeune noire, retenue par Hermione dont la tête dépassait à présent et qui se délectait toujours autant de la douce intimité qu'on lui offrait.


« Mmmh ! C'est bon, ma mignonne. Il est temps que je te remercie à mon tour. Les filles, mettez-là à l'aise pendant que je prends un peu de matériel. »


Angelina dégagea la petite brune de sa robe et se dirigea vers l'une des armoires. Alicia et Katie relevèrent la jeune fille et elle s'aperçut à ce moment-là qu'elles étaient déjà nues, s'étant probablement déshabillées juste avant de les rejoindre. Les filles effeuillèrent Hermione avec douceur, caressant ses jeunes formes et l'embrassant à tour de rôle avec passion. Elle la dévoilèrent peu à peu, comme si elles retiraient un objet précieux et fragile de son écrin. Elles l'amenèrent ensuite vers l'un des lits. Entre-temps, Angelina avait pris soin de se munir d'un gode ceinture à double branche.

Katie s'allongea sur le lit et attira Hermione sur elle. Les deux jeunes filles s'embrassèrent tendrement et laissèrent leurs mains vagabonder sur le corps de l'autre. Alicia vint s'agenouiller au dessus de leurs têtes, son antre des plaisirs les incitant à venir le goûter avec une indécence folle. Hermione et Katie ne se firent pas prier pour passer leurs langues sous la fine toison dorée. Alicia poussa aussitôt un cri de plaisir. Le talent indiscutable de Katie dans l'art du plaisir et la gourmandise d'Hermione l'emmenèrent directement à l'extase. Elle dut s'accrocher à la tête du lit pour ne pas tomber sous les soubresauts incontrôlables de son corps enflammé. Angelina enfin, se mit à genoux derrière les filles. Elle observa les petites fesses d'Hermione qu'elle caressa avec tendresse avant de les écarter doucement d'une main. L'autre s'attarda un peu sur le bouton d'amour de la petite brune. Angelina appréciait tout le contour du petit bout de chair avec la pulpe de son doigt et s'amusait à le faire rouler.

Elle dirigea enfin les membres factices vers les deux trésors intimes qui lui semblaient impatients. S'assurant de sa position elle entra doucement dans les deux jeunes filles qui poussèrent des gémissements étouffés par leurs bouches et par l'abricot doré d'Alicia. Angelina entama des vas et viens lents, langoureux et profond. Les petits cris de plaisir assourdis, résonnaient à ses oreilles comme autant de caresses sur son corps. Elle se délectait du plaisir qu'elle donnait.

Ce fut Hermione et Katie qui décidèrent d'augmenter la cadence. Sans dire un mot, comme si une connection s'était établie entre leurs désirs, leurs coups de langues et leurs coups de reins se firent plus vifs. Katie ondulait des hanches en s'alignant sur le rythme d'Hermione pour être en parfait accord. Suivant à son tour, Angelina accéléra son mouvement, pénétrant au plus profond des corps lascifs de ses deux amies.

Sans grande surprise, c'est Alicia qui poussa le premier cri de jouissance. Vaincue par les langues habiles de Hermione et Katie, elle roula sur le côté pour reprendre son souffle. Les deux jeunes filles purent reprendre leurs embrassades passionnées. Katie repoussa légèrement Hermione pour pouvoir goûter de sa bouche aux deux jeunes collines qu'elle avait sentie contre elle durant tout ce temps. Ainsi couverte d'attention, la petite brune ne fut pas longue à sentir la jouissance arrivée. Elle ne se retira pas pour autant et partagea ses lèvres avec celles de Katie jusqu'à ce que cette dernière arrive également à l'extase.

Les filles s'allongèrent en nage, les unes contre les autres, Angelina prenant Hermione, la plus petite et la plus légère, sur elle pour que tout le monde ait de la place. Pelotonnées toutes ensemble, elles goûtaient la douceur de leurs peaux sans dire un mot. Angelina prit sa baguette et fit venir le sac d'Hermione jusqu'à elle.


« Je vais ramener le livre à ta place, dit-elle à la petite brune. Rogue et Rusard ne pourront pas se douter que nous t'avions vraiment croisé tout à l'heure. »


Elle sortit « les potions de grands pouvoirs » du sac et fronça les sourcils.


« Si tu n'étais pas l'amie de Harry, Je pourrai avoir des doutes sur ce que tu voulais vraiment faire avec ça. Encore que ce n'est pas sûr.

_ Et quoi d'autre aurait pu te donner tant confiance en moi ? Demanda Hermione. »


Pour toute réponse, Angelina posa ses lèvres sur les siennes.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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Lundi 24 mars 1 24 /03 /Mars 12:33
Contribution de Lylah :

Chapitre 3 : Cache-cache cabot


- Aie ! Mais ça va pas ? Qu’est-ce qu’il te prend ?

Hermione venait de donner un grand coup derrière la tête d’Harry et le dévisageait maintenant d’un regard féroce.

  • Ce qu’il me prend ? Harry, tu passes ton temps dehors, à sortir dans des bars miteux, à faire je ne sais quoi avec ton parrain et Ron et après tu viens me demander mes notes de cours la queue entre les jambes ! Non mais je rêve !

L’accusé baissait à présent la tête, prenant conscience qu’il avait un culot monstre de se comporter de la sorte avec sa meilleure amie. Mais depuis qu’il avait vaincu Voldemort, il fallait qu’il évacue ce trop plein de stress qu’il avait accumulé depuis des années, et Sirius et Ron avaient trouvé la meilleure des solutions.

Ils passaient leur temps libre à écumer les bars à la recherche de quelques minettes pas trop farouches qui les aideraient à passer une soirée des plus agréables. Le maître investigateur de tout ça, n’était autre que Sirius et ses idées saugrenues, malgré le fait que Ron ne soit pas le dernier en profiter.

- Tu fais ce que tu veux Harry, traîne autant que ça te chante avec cet imbécile de Ron et ton sac à puces de parrain, complètement irresponsable par ailleurs, mais viens pas pleurer sur mon épaule si tu rates tes ASPICS.


Et elle claqua la porte derrière elle.


Non mais oh ! Ils me prennent pour quoi ? Pour une annale dans laquelle ils peuvent se plonger quand ils veulent pour rattraper leur retard ? Pensa-t-elle en regagnant la chambre des préfets.


Il était plus de minuit quand elle rentra de sa ronde et Malefoy se trouvait encore sur le canapé, feuilletant négligemment la gazette des sorciers. Il leva un sourcil en la voyant rentrer et se replongea aussitôt dans sa lecture.

Quelle idée de les avoir nommés tous les deux préfets en chef. Ils ne s’adressaient jamais la parole, ou peut-être juste pour s’insulter, n’avaient aucun point commun et se détestaient depuis des années.

Ce n’était certainement pas avec lui qu’elle pourrait combler le manque d’affection significatif de l’absence de ses deux meilleurs amis.


Sirius est vraiment un incapable ! Il est censé protéger Harry, l’éduquer au mieux, mais il ne fait que le débaucher ! Il ne mérite vraiment pas le rôle qu’on lui a attribué ! Ragea-t-elle.

Sur ces sages paroles, elle s’endormit d’un sommeil agité, dans lequel elle bottait sans pitié l’arrière train d’un certain chien mal élevé.


  • Eh ! Miss-je-sais-tout ! Lèves-toi !

Pas de mouvement.


Si je fais semblant de dormir, je n’entendrai peut-être plus ces sifflements incessant, se mit-elle à penser.


  • Oh ! S’acharna Malefoy en jetant une chaussure sur le tas de couvertures, je ne suis pas ton homme à tout faire, alors lèves tes grosses fesses, y’à quelqu'un qui vient voir ton affreuse tête matinale !

Venir la voir si tôt ? Mais qui pouvait bien être aussi perturbé ?

Elle grogna et se releva difficilement sur ses avant bras, s’apprêtant à sortir du lit.

C’est alors qu’une masse noire et poilue sauta sur le lit et vint se cacher sous les couvertures. Hermione eut juste le temps de faire un bond et d’attraper sa robe de chambre pour s’en couvrir avant que le museau de l’animal ne surgisse de sous les draps.


  • Sors de là Sirius ou je te balance par la fenêtre !

La pauvre bête, appuya la tête sur ses pattes, se donnant un air de chien battu, n’adoucissant aucunement la Gryffondor, qui ne rêvait que d’une chose, joindre le geste à la parole.

Le molosse roula sur le dos en poussant un râle de satisfaction et bientôt ses pattes arquées et son pelage sombre laissèrent place à un corps finement sculpté mais entièrement nu.

Hermione se retourna rapidement, rouge comme une pivoine.


- Ne me dis pas que tu n’as jamais vu un homme nu ma p’tite Hermione, je ne te croirai pas, ricana Sirius s‘enveloppant dans le drap.

- Là n’est pas la question ! Sort de mon lit !

Sirius s’assit calmement sur le rebord et tira à lui le drap afin de se couvrir plus modestement.

  • Vous pouvez vous retourner chaste demoiselle, j’ai couvert ce corps que vous ne seriez voir ! Se moqua-t-il.

Hermione soupira d’indignation. Non seulement il vient au petit matin couvrir de puce son superbe dessus de lit mais en plus il se permettait de la faire tourner en bourrique.


  • Je pense que nous devons nous parler ma belle, la situation qui s’instaure petit à petit entre nous devient catastrophique et Harry en fait les frais.

La Gryffondor reprit soudainement son éloquence légendaire.


- Excuses moi, mais je ne pense pas que c’est en multipliant les partenaires de Harry qu’il va forcément avancer dans la vie ! C’est totalement….

- Approprié ?

-…insensé ! Corrigea-t-elle avec fureur.


Sirius fut tout de même touché dans sa fierté. Que l’on remette en cause ses agissements passait, mais pas l’éducation qu’il inculquait à son filleul. Même s’il ne se comportait pas en parrain modèle, il restait tout de même aimant, à l’écoute et présent.


  • Ecoute-moi bien jeune fille, si tu es frustrée parce qu’on ne t’emmène pas dans nos petites virées, il faut le dire, mais ne me rejette pas totalement la faute dessus. Je pense que tu devrais laisser tomber ton costume de parfaite-petite-demoiselle, et commencer à vivre.

Il se rapprochait maintenant dangereusement d’elle, passant son pouce et son index sur son menton comme à la recherche d’une quelconque mauvaise idée.

La jeune fille reculait à tâtons, de peur de se prendre les pieds dans le tapis ou la commode, mais Sirius la devança.

Il se prit les pieds dans le drap et s’étala de tout son long sur le sol, sous le rire éclatant de la rouge et or.

Elle le contourna rapidement et dans l’embrasure de la porte, lui lança :


  • Pas très leste et à l’aise sur ses pattes pour un vulgaire cabot !

Et elle referma la porte en continuant de rire ouvertement.


Durant la journée, Hermione put enfin avoir quelques moments à elle avec ses deux meilleurs amis. Elle leur narra sa mésaventure de la matinée et ne put s’empêcher d’en rire à nouveau en se la remémorant.

A plusieurs reprises, elle avait croisé la silhouette de l’animal se mouvant rapidement dans les couloirs mais jamais elle ne s’était retrouvée face à lui.


Il a bien trop honte la pauvre bête ! Pensait-t-elle en riant.


Se rappelant que ce soir, c’était au tour de Drago de faire sa ronde de Poudlard, elle pensait déjà passer une soirée tranquille, à bouquiner son recueil de contes que lui avait légué Dumbledore.


  • Hermione ! Eh Hermione !

Elle se retourna pour examiner Harry qui venait à son encontre.


  • Ca te dit d’aller faire un tour dans la forêt interdite ce soir ?

Hermione resta un instant interdite. Depuis quand avait-il une soirée à lui consacrer ?

Harry comprit immédiatement les questions qui lui torturaient l’esprit et prit donc la liberté de devancer sa question.


  • J’ai dis à Sirius que Ron et moi voulions passer un peu plus de temps avec toi. Il a très bien compris. Voilà pourquoi je viens te voir, ajouta-t-il triomphant, les mains sur les hanches.

Oh ! Puisque son cher tonton lui avait enfin donné la permission de sortir en dehors des méandres de l’alcool et du sexe…


  • Et bien mon cher Harry, j’ai mieux à faire ce soir ! Je suis navrée mais je ne suis pas à ta disposition !

Et elle quitta son ami malgré les protestations qu’il fulminait à son égard.

La situation tournait enfin en sa faveur. Pendant tout ce temps, il avait préféré ses copains de débauche, et bien maintenant il en paierait les conséquences. Bien qu’au fond d’elle, Hermione n’était pas réellement sure à présent de vouloir s’enfermer entre quatre murs alors que ses amis étaient présents, sa fierté mal placée lui fit monter tout de même les marches qui la séparaient de ses appartements.

Au détour d’un couloir, elle sentit comme un souffle chaud contre sa jambe qui disparu presque aussitôt.

Elle inspecta les lieux un instant, mais rien n’attira son attention. Mais lorsqu’elle s’approcha du grand tableau et s’apprêtant à prononcer le mot de passe, la sensation d’être observé s’empara d’elle.

Elle se retourna lentement, très lentement. Derrière elle, deux yeux luisants la fixaient dans l’obscurité. Elle plissa le regard afin d’améliorer sa vue et un grognement sourd se fit entendre.


  • Ah ! C’est toi ! T’as rien de mieux à faire que traîner dans les couloirs Sirius ?

Mais il ne répondit pas. La pénombre qui l’enveloppait ne permettait à Hermione de distinguer que sa silhouette, lui certifiant bien qu’il s’agissait d’un animal. Elle voulu s’avancer mais la bête grogna de plus belle et la faible lueur d’une bougie sur le point de s’éteindre laissa entrevoir des crocs étincelants.

S’il s’était agit de Sirius, il n’aurait pas joué la comédie aussi longtemps.

La pourtant si courageuse Gryffondor n’en menait pas large. Elle fit quelques pas en arrière, en soutenant ce regard qui continuait à la dévorer et dans un murmure, elle prononça le mot de passe et se glissa rapidement dans ses appartements.

Son cœur battait à tout rompre et le souffle court, elle partit porter sa lourde cape dans sa chambre, mais encore une fois, elle n’était pas seule. Elle sentait à nouveau cette présence. Ici même. Dans sa chambre.

Elle ne bougeait plus. Elle ralentit le rythme de sa respiration, essayant de percevoir celle de l’inconnu qui avait osé pénétrer les lieux.

L’atmosphère devint pesante. Pas un bruit ne vint rompre le silence. Il fallait qu’elle se retourne. Sa baguette ? Ou avait-elle mis sa fichue baguette ?


- C’est ça que tu cherches ? Fit une voix rauque derrière elle.

  • Sirius ! Sale cabot, rends-moi ma baguette et fiche le camp.

Mais ce n’était absolument pas ce qu’il avait en tête. Il avança d’un pas pour entrer dans la pièce et referma doucement la porte derrière lui.


  • Crois-tu toujours que je ne sois pas assez leste ? J’ai quand même pu passer avant que le tableau ne se referme.

Pourquoi est-ce qu’Hermione sentait au plus profond d’elle-même qu’elle était comme en danger ? Après tout, le flair, ce n’est pas elle qui le possédait.

Sirius enfoui la baguette dans la poche arrière de son pantalon et fit encore quelques pas en direction d’Hermione. Celle-ci, par réflexe, recula.


  • Il va falloir que tu m’expliques ma belle. Tu nous fais tout un foin parce que je te « subtilise » tes amis, et quand enfin ils viennent te voir, tu les renvois. Ca t’amuse de les tourmenter ?

Il n’avait pas totalement tort. Mais de quel droit se permettait-il de lui en faire le reproche ?

Et puis, pourquoi continuait-elle à reculer comme une pauvre petite chatte face à un gros molosse ? C’était Sirius nom d’un chien !

D’un pas déterminé, elle s’avança pour passer la porte à laquelle il tournait le dos et retourner dans la salle commune mais Sirius la saisit violemment par le bras et la plaqua contre le mur.


- Penses-tu qu’il faille que je montre les crocs ? Lui demanda-t-il d’une voix si basse qu’elle cru qu’il venait de soupirer.

  • Lâches moi Sirius, c’est pas drôle et tu me fais mal.

Mais il resserra un peu plus l’emprise qu’il avait sur elle, lui faisant pousser un petit cri et s’approcha dangereusement de son oreille, et dans un souffle, lui chuchota.


  • Non Miss Granger…. Je ne vous fais pas mal….pas encore du moins….

Et il planta ses canines tendrement dans sa jugulaire.

Il ne la mordait pas, il suçotait chaque petit morceau de sa nuque comme s’il s’agissait de petits bonbons acidulés.

Hermione avait sursauté à ce contact et tentait de se débattre mais l’homme étai soudainement prit d’une force surhumaine.

Il glissa sa langue souple le long des courbes de son visage et après l’avoir gratifié d’un regard brûlant, lui prodigua un baiser passionné. Il força un instant l’entrée de ses lèvres, qu’elle se contraint à maintenir serrées, mais quand il passa un genou entre ses jambes et qu’elle ouvrit la bouche pour protester, il en profita pour s’insinuer à l’intérieur.

Lui maintenant les poignets avec force, Hermione serrait de plus en plus les poings sentant ses ongles infiltrer sa chair.

Elle ne voulait pas, mais son corps tout entier semblait crier le contraire.

Sirius plongea un instant ses yeux dans ceux de sa belle, auxquels elle lança un regard foudroyant.

Elle n’était pas encore prête à capituler ? Soit !

Il releva ses bras au dessus de sa tête et les maintint immobile d’une main robuste.

De sa main libre, il entreprit de déboutonner les quelques boutons du fin chemisier de sa victime, tout en continuant de la soutenir d’un regard qui en disait long sur ses intentions.

Croyant sa prise moins facile, Hermione tenta une fois de plus de se dégager, mais c’était mal connaître le toutou qui tenait fermement à ce que son os reste en place afin qu’il puisse tranquillement s’en délecter.


  • Ca…ça suffit maintenant stupide clébard, relâches moi ! S’écria-t-elle quand il commença à faire courir ses doigts sur les bords de la fine dentelle de son soutien-gorge.

Il se mit en grogner tel un chien qui couve sa proie et enfoui son visage contre sa belle poitrine pour arracher d’un coup de dent la douce prison de soie.

Hermione poussa un cri de stupeur quand il mordit doucement la petite protubérance de l’un de ses mamelons.

Ses doigts s’étaient à présent glissés sous sa jupe et cherchaient avidement le dernier rempart de sa forteresse interdite. Il ne mit pas longtemps à la trouver et avec la même fureur que précédemment, il l’ôta sans ménagement.

Puis, il s’arrêta, posant une main câline sur la hanche gracile de la demoiselle.

Elle le gratifiait toujours de son perpétuel regard furibond mais ses joues s’étaient empourprées d’une jolie teinte rosée, trahissant son émoi significatif.

Il glissa ses doigts le long de ses courbes parfaites en affichant un sourire carnassier, du genre « à quel sauce vais-je bien pouvoir la manger ? »

Il reprit sa course sur l’une de ses cuisses et remonta graduellement vers la douce chaleur de son entrejambe.

Une fois de plus, il marqua un temps d’arrêt, jouant de l’extrémité de ses doigts sur les prémices de la féminité de la rouge et or.


- N’y penses même pas sac à puce ! Cracha-t-elle, abattant ainsi sa dernière carte.

  • Bien, je vois que tu t’obstines à me traiter comme un vulgaire animal, je vais donc devoir agir en conséquence, ma belle .

Et il enfonça en elle deux doigts longs et fin, l’obligeant à se cambrer sous la caresse.

Elle ne pu retenir un long gémissement, qu’elle regretta presque aussitôt remarquant la lueur lubrique qui passait à l’instant même dans le regard de Black. Elle venait de se trahir, et il saisirait cette opportunité au bond.

Tout en continuant d’incessants vas et viens avec sa main, il l’embrassa fougueusement, remarquant que la réticence de la jeune fille s’amoindrissait à vue d’œil. Elle le laissait maintenant mêler sa langue à la sienne, et semblait même vouloir prolonger le baiser.

Mais il n’oubliait pas comment elle l’avait traité, et même si la demoiselle se montrait plus docile, il lui ferait ravaler ses bien vilaines paroles.

Il détacha l’emprise qu’il avait sur ses mains pour entourer sa taille fine de son bras valide. Comme il s’en doutait, elle ne chercha plus à se débattre, elle passa même amoureusement ses bras autour de sa nuque et le serra fort contre elle.

Mais dans un geste bestial, il la fit tourner et plaqua son dos contre son torse.

Elle pouvait sentir contre le bas de ses reins, la virilité effervescente de son tortionnaire. Il enserra ses bras sous sa poitrine et la maintint solidement contre lui.

Il s’approcha alors délicatement de son oreille, et lui mordant le lobe avec délectation, lui susurra :


  • Veux-tu vraiment que je te montre comment se comporte les chiens ?

Mais il n’attendit pas sa réponse, et d’un appui forcé des genoux, il lui fit plier les siens afin qu’elle tombe sur le sol, face contre terre.

Elle pouvait facilement deviner ce qui allait à présent se passer, mais elle ne se montra pas farouche et entreprit même d’élever timidement ses jolies fesses rebondies, invitant son amant à les saisir.

Sirius émit un petit rire satisfait et délicatement, il posa ses mains de chaque coté de son bassin afin de la relever à la hauteur de son bas ventre.

Elle put entendre le cliquetis de la ceinture de Sirius et le bruissement des vêtements lui procurèrent un frisson tout le long de sa colonne vertébrale.

Il s’approcha doucement de l’intimité offerte de la jouvencelle, et plaça un bras en appui juste à côté de son visage.

Il s’avança pour pouvoir à nouveau susurrer à son oreille :


  • Je sens que tu vas adorer ça !

Et dans un mouvement leste, il s’enfonça profondément en elle.

Sous la puissance du coup, Hermione perdit l’équilibre, mais un des bras de Sirius la maintint vertement en position.

Un feu brûlant se consumait en elle. Elle sentait ses jambes flageoler à chaque coup de rein mais son extraordinaire amant était là pour la soutenir.

Jamais elle n’avait ressentit pareille sensation. C’était comme si son âme et son corps se confondaient, comme si elle perdait pied, comme si elle se laissait envahir dans un gouffre écumant. Elle ne pouvait plus retenir ses cris, ce qui rendait son bourreau plus ardent. Elle pouvait sentir la poigne solide de ses mains puissantes sur ses hanches si frêles. C’était comme si ses os allaient se briser en de fins petits morceaux, mais elle s’en fichait, son plaisir l’envahissait de toute part et la douleur de ces doigts s’enfonçant dans sa peau n’était rien.

Sirius poussait à son tour des râles puissants, incontrôlés. Il passa un bras autour de la taille de sa jeune victime pour l’inciter à se redresser et se blottir tout contre lui, tendit qu’il continuait avec des vas et viens toujours plus forts et indépendants. Il saisit un de ses seins dans une prise enfiévrée et plongea ses lèvres dans la nuque élancée de la belle pour la mordiller tendrement.

Il n’en pouvait plus. Il sentait monter en lui un plaisir qu’il n’arrivait plus à contrôler. Ils retombèrent l’un sur l’autre et prenant appui sur ses deux bras, le long du corps parcouru de frissons de sa demoiselle, il paracheva son étreinte plus sauvage et plus bestiale que jamais.

Et dans un ultime cri de délivrance, il se répandit sur le corps ruisselant de la lionne.

Il avait la bouche sèche, la respiration rapide, l’esprit complètement embrouillé comme s’il émergeait d’un long sommeil salvateur.

Sa belle fermait docilement les yeux, cherchant à retrouver l’emprise de ses sens.

Jamais aucun des deux n’aurait pensé vivre cela.

Ils se sentaient à présent ravis, mais bien vite la réalité revint frapper à toute allure, et Hermione se sentit confuse, gênée… sale, dépravée.

Que venait-elle de faire ? Et de quelle façon ?

Sirius commençait également à prendre conscience de la chose, et un fort sentiment de culpabilité commença à germer en lui.


Ils se séparèrent l’un de l’autre aussi vite que leurs muscles endoloris le leur permirent, et chacun dans un coin différent de la pièce, ils laissèrent un silence inquiétant s’installer.


Depuis ce jour, Sirius ne vint plus chercher Harry et Ron à Poudlard, pourtant, certains soirs, quand la pénombre s’installe, que le silence se fait, que seul le grondement des escaliers trahit la quiétude des couloirs, on peut encore apercevoir une petite ombre noire, patientant sagement devant un grand tableau sombre, que l’on daigne à nouveau le laisser entrer….pour lui donner sa pâtée.


Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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Mercredi 20 février 3 20 /02 /Fév 19:55
Contribution de Lylah :

Chapitre 2 : Beautée blafarde



- Ouah ! Drago…c’était si….si….je trouve pas les mots !

- Ordinaire ! Lança le blondinet en se rasseyant sur le lit pour enfiler sa chemise.

La jeune fille derrière lui poussa une plainte indignée.

- Ordinaire ? Tu te fous de moi ? Je les ai inventés peut-être tes gémissements ? Et ta misérable queue ? Elle se tenait droite comme un piquet grâce à un trépied peut-être ?

Elle lui faisait à présent face, pointant fièrement sa jeune poitrine sous son nez et attendait une réponse valable les mains sur les hanches.

Drago ne prêtait déjà plus attention à elle, il enfila sa deuxième chaussure et la contourna en faisant bien attention de ne pas la toucher et une fois dans l’embrasure de la porte, sans se retourner, lui assainit le coup fatal.

- C’est facile de bander, suffit de penser à autre chose !

Et il claqua la porte, fier de sa répartie quelque peu…comment dire ? Sa répartie Malfoyenne !

Il pouvait encore l’entendre hurler dans le couloir, mais déjà, pour lui, c’était de l’histoire ancienne.


La nuit était tombée déjà depuis plusieurs heures sur Poudlard, et il était temps qu’il entame sa perpétuelle ronde de soirée. En tant que préfet en chef, il allait falloir qu’il trouve un autre moyen de « punir » toutes ses petites étudiantes, qui avaient tendance à prendre goût aux délicieuses tortures de leur bourreau et commençaient à vouloir bien trop souvent enfreindre le règlement du couvre feu.

Ce petit jeu ne l’amusait plus. A vrai dire, plus grand-chose ne l’amusait ces derniers temps. Il perdait le goût de vivre, de s’amuser, même lancer ses éternelles insultes à Potter et sa petite bande ne lui prodiguait plus aucun plaisir.

Dans un soupir las, il entreprit une ascension vers le troisième étage.


Dans ses noires pensées, il ne fit pas attention à la forme qui se mouvait près d’une fenêtre. Ce ne fut que lorsqu’il se trouva à quelques mètres d’elle qu’il s’étonna.

- Et toi ! Je suppose que tu connais pas encore le règlement ou alors, tu cherches, comme toutes les autres à ce que je me mette en colère, soupira-t-il.

Mais derrière le rideau qui couvrait la grande fenêtre, la personne ne daigna pas répondre. Elle laissait négligemment pendre ses jambes sur le rebord, indiquant clairement qu’elle ne cherchait pas à se cacher mais seulement à trouver la tranquillité.

- Oh ! Je te parle il me semble ! S’impatienta Drago en tirant violemment le lourd tissu, ah…c’est toi…

Il resta un instant les bras ballants, fixant d’un œil interrogateur le visage qui s’était à présent tourné vers lui.

- Je ne pensais pas que tu étais de celles qui cherchaient à ce que je  « l’attrape » ! Scanda-t-il les mains sur les hanches.

Luna le dévisageait sans expression aucune sur le visage. Son éternel regard plongé dans le vide, comme si elle baignait dans un autre monde dans lequel elle ne voulait pas sortir.

- Même si tu es très beau dans la lueur de lune, je ne cherche rien avec toi Drago, répondit-elle le plus calmement possible.

Et elle se leva doucement, épousseta le derrière de sa robe et s’éloigna dans la pénombre du couloir.

Drago, d’un naturel pourtant si vif, n’avait, pour on se sait quelle raison, pu la rattraper, et lui coller quand même une retenue.

Elle n’était certainement pas son genre de nana, et qui plus est, même s’il ne s’agissait pas d’une Griffondor, elle n’était pas assez bien pour lui ! Il ne se serait pas abaissé à lui faire part de ses faveurs, si elle en avait eu toute fois envie, ce qui ne semblait pas vraiment être le cas.

Luna était de ce genre de fille que l’on évitait de fréquenter, sauf si on se prénommait Potter, Weasley et autres, de peur d’être happé dans son univers et de ne pas en ressortir indemne.

Bah ! De toute façon, qu’est-ce qu’on pouvait bien lui trouver ?

Oui….qu’est-ce qu’on pourrait bien lui trouver ?

Drago se surpris à faire l’inventaire des qualités physiques de la jeune fille pendant plusieurs minutes.

Mais qu’est-ce qu’il te prend mon pauvre Drago ? Tu es tombé si bas que tu prends les morts vivants maintenant ??

Un frisson le parcouru et il repartit vers ses appartements de préfet en chef, où il pourrait terminer tranquillement cette nuit, bien trop étrange à son goût.


Le lendemain matin, en entrant dans la grande salle, il se surprit à jeter un regard furtif à la table des serdaigle.

La jeune fille remuait, rêveuse, son bol de céréales, ne prêtant pas attention à ses amis jacassant à tue tête à ses côtés.

Le soleil qui filtrait par les grandes fenêtres auréolait sa fine chevelure blonde, d’un halo de lumière angélique.

Son teint laiteux et sans imperfection était un appel à la caresse, et Drago, dans un geste à peine contrôlé, se caressa tendrement la joue comme si c’était celle de la jeune fille qu’il effleurait.

Une fois de plus, il se gifla intérieurement pour sortir de sa torpeur.

Mais comment pouvait-il être attiré par cette nana sans saveur, sans cervelle…..et sans défaut….

NON !!!! J’ai dis, sans saveur, sans cervelle et C’EST TOUT !!!

Dans un geste emporté, il repoussa le bol qu’il avait attiré à lui précédemment et sortit de la salle avec fracas, laissant tous les petits serpents siffler derrière son dos.

Il partit se réfugier près du saule cogneur (pas trop près quand même) et se passa nerveusement les doigts dans les cheveux.

Mais qu’est-ce qu’il m’arrive ?? Je deviens fou !!!

Un craquement de feuille lui fit relever prestement la tête.

Elle était là.

Devant lui.

Son éternelle expression impassible sur le visage.

- Qu’est-ce que tu viens faire là ? Je ne pense pas avoir demandé que l’on me suive ! Cracha Drago sur la défensive.

La jeune serdaigle s’accroupit devant lui et posa une main chaste sur son genou.

Il avait suivit son geste du regard, s’arrêtant presque de respirer, comme si elle s’apprêtait à lui enfoncer un poignard dans le coeur. Et pourtant, il n’esquissa pas un mouvement. Se contentant juste de fixer ses doigts longs et fins posés sur le tissu de son pantalon.

- Même si tu as du mal en t’en convaincre Drago, nous sommes pareil tous les deux.

C’était la deuxième fois qu’elle l’appelait par son prénom. La deuxième fois qu’il la laissait le faire sans la gifler pour son impudence.

Il releva les yeux et plongea son regard acier dans les prunelles limpides de la jeune fille. Et contre toute attente, elle lui sourit tendrement.

Drago sentit son cœur battre dans sa poitrine. Il eu un léger soubresaut, comme si celui-ci n’avait plus fonctionné depuis des années. Il sentait la moiteur engourdir ses doigts et sa gorge se nouer. Mais….que se passait-il par Merlin ?

Luna se releva avec délicatesse et avant de repartir, elle murmura à nouveau.

- Pareil…tous les deux…

Elle avait à présent le regard si triste, et le jeune serpent avait presque envie de lui courir après pour la serrer ardemment dans ses bras et sentir son corps qui semblait si fragile se fondre dans le sien. Mais une fois de plus, il n’en fit rien, comme si le simple contact de la demoiselle l’avait gelé sur place.


Cette nuit là, Drago ne put fermer l’œil.

Il tournait sans arrêt dans son lit à la recherche du sommeil, mais celui-ci semblait le fuir, comme si sa journée n’était pas terminée et qu’il fallait encore qu’il accomplisse quelque chose.

Résigné, il posa les pieds au sol et soupirant d’ennui, enfila quelques rapides vêtements pour aller prendre l’air.

Le silence imperturbable du château l’apaisait. S’il avait pu choisir de vivre à un certain moment de la journée, il aurait certainement choisit la nuit. Quand personne ne chahute, quand tout n’est que murmure et ombre inquiétante, quand les imperfections de la vie ne sont que silhouettes flous et incertaines, quand la lune trône fièrement dans le ciel d’ébène faisant miroiter les cheveux de celle qui hante ses pensées.

Quoi ? Mais à quoi je pense là ??? Miroiter les cheveux de qui… ??

Mais déjà il pu l’apercevoir.

Près du lac, elle fixait l’horizon, emmitouflée dans sa lourde cape aux couleurs de sa maison.

C’était plus fort que lui. Il fallait qu’il s’approche. Comme un papillon aveuglé par la lumière, il vint se poser près d’elle.

- Je savais que tu viendrais Drago, je le savais.

A ces derniers mots, elle avait posé ses mains contre son cœur et avait fermé les yeux, prenant une profonde respiration comme lorsque l’on hume l’air vivifiant de la montagne.

Elle lui fit face en tournant délicatement sur elle-même.

La lueur blafarde de la lune offrait au teint opalin de la belle, une carnation séraphique.

Elle tendit une main tremblante vers la joue de Drago qui pencha légèrement la tête pour accéder plus rapidement à la caresse qu’elle allait lui prodiguer.

- Nous avons la même peau, si pâle….

Elle avança timidement vers lui et sur la pointe des pieds, elle déposa un baiser sur une de ses paupières.

- Les mêmes yeux….si clairs….si tristes

Drago n’arrivait pas à bouger, mais lorsqu’elle posa ses mains sur ses tempes, il ne pu s’empêcher de la saisir par la taille.

- Le même esprit….si torturé…continua-t-elle.

Il voulu ouvrir la bouche pour protester mais elle glissait ses doigts sur ses lèvres pour les poser délicatement sur sa poitrine.

- Le même corps, si….

Mais elle ne pu finir sa phrase, Drago avait saisit ses lèvres d’un baiser enfiévré en resserrant son étreinte sur sa taille, et c’est quand il reprit son souffle qu’il lui termina sa phrase.

- …si impatient !

Le regard de la jeune fille se mit à scintiller et Drago sentit monter une vague de chaleur en lui qui le poussa à renouveler son baiser, plus passionné et plus ardent.




Luna pencha délicatement la tête en arrière pour qu’il couvre sa nuque de ses délicieuses petites lapées.

Tout en plongeant son regard dans celui de la belle, Drago entreprit de faire glisser sa cape le long de ses frêles épaules, guettant une quelconque protestation, mais la demoiselle n’avait nullement l’intention de refuser ses caresses, et commença même, elle-même à se dévêtir.

Afin de rattraper son retard, Drago en fit de même, laissant délicatement tomber sur le sol sa cape et sa chemise, et avec une tendresse qui ne lui était pas propre, il allongea sa belle d’un soir sur l’herbe fraîche.

Elle se cambra un instant au contact de celle-ci, laissant doucement son corps apprécier cette vive fraîcheur.

Il entreprit par de tendres baisers, de réchauffer d’une chaleur infernale, son corps parfait.

De la base de sa nuque jusqu'à la naissance de ses seins, les baisers restèrent tendres, presque chastes. Il releva les yeux un instant et dégrafa avec aisance, le bout de dentelle bleu qui le séparait de ses deux nouvelles friandises.

Quand il saisit une des rondeurs d’une main, la jeune fille tressaillit de plaisir, ce qui eu pour effet d’enhardir notre jeune homme qui s’empressa de la couvrir de baisers, prenant soin de s’attarder sur le petit monticule de chair brune.

Tout en continuant quelques jeux malicieux avec sa langue, il glissa des doigts furtifs vers la fermeture éclair de sa jupe. Le froissement du tissu contre sa peau ne faisait qu’attiser son excitation déjà mise à rude épreuve.

Les légers mouvements du bassin qu’imprimait la jouvencelle sous ses caresses, le mettait dans un tel état que bientôt l’étoffe qui enveloppait sa fierté craquerait sous l’effet de l’excitation.

Avec une dextérité déconcertante, il se débarrassa de la jupe et de son pantalon, les envoyant rejoindre prestement les autres vêtements.

Il pouvait sentir Luna trembler sous son corps. Tremblait-elle de froid ou de plaisir ?

Dans les deux cas, il savait comment satisfaire ce corps impatient.

Il glissa sous son nombril une langue fureteuse, faisant pousser de petits gémissements aigus à la serdaigle, et lorsque qu’il ôta calmement la fine lingerie, il sentait déjà que la délectation de son antre du plaisir serait un véritable bonheur.

Aussi, il ne se fit pas attendre et enfoui sa langue dans cette intimité ainsi offerte, provoquant une décharge qui parcouru Luna dans tout le corps.

Elle serrait de ses petites mains, les touffes d’herbes près de son corps lactescent, se mordant la lèvre inférieure pour ne pas crier.

Le corps saisit de convulsions, elle haletait bruyamment, incitant son partenaire à se faire plus pressant.

Drago inséra un doigt dans l’humidité moite et chaude de son amie, tout en continuant de déguster à petites lapées, son divin nectar.

Sentant sa virilité enfler de plus en plus, il se débarrassa en un éclair de ce qui l’empêchait presque de respirer et remonta félinement vers le visage rayonnant sous la lune, de sa charmante petite proie.

Celle-ci ouvrit les yeux plein de malice et poussa son amant d’une main afin qu’il se retrouve sur le dos.

Drago comprit immédiatement la situation et se laissa aimablement faire.

Elle titilla un instant ses tétons durcis par le plaisir et descendit dangereusement le long de la ligne de duvet blond qui la conduirait jusqu’à cette friandise d’un autre genre.

Levant les yeux vers Drago pour admirer l’emprise soudaine qu’elle avait sur lui, elle prodigua un timide coup de langue de bas en haut du docile membre de chair.

Sous l’effet de la caresse, Drago ne pu s’empêcher de jurer, plaquant rapidement son poing dans sa bouche pour ne pas recommencer.

Merde….calme-toi mon vieux ! Sinon tu vas jamais tenir jusqu’au bout !

Elle avait à présent engloutit sa « sucette » dans sa bouche et imprimait de légers vas et vient, prenant bien soin d’accélérer par moment le mouvement pour rendre la caresse plus intense.

Le pauvre petit serpent ne savait pas où s’accrocher, comme si le plaisir incommensurable qu’il ressentait le propulsait au plus profond d’un abysse sans fond.

Il indiquait quelques mouvements rapides du bassin, dictant une cadence plus soutenu à sa belle, bien qu’elle n’eut pas besoin de notice au préalable pour bien savoir se servir du joujou.

Drago n’en pouvait plus. Il posa une main tremblante sur la tête de Luna, l’incitant, à son grand désespoir, de revenir vers lui.

Il la renversa doucement sur l’herbe et bascula sur elle, plongeant un regard tendre dans ses prunelles étincelantes.

Jamais, oh grand jamais, il ne s’était montré si attentionné avec une de ses conquêtes. Celle-ci était particulièrement spéciale. Il se devait pas de la satisfaire coûte que coûte. Question de fierté !

D’un mouvement lent du bassin, il s’inséra en elle, lui faisant pousser un gémissement de plaisir qu’elle étouffa de ses lèvres.

- Ne t’empêche pas de laisser parler ton plaisir ma belle….lui susurra-t-il à l’oreille tout en donnant de lents coups de rein.

La jeune fille le fixait maintenant d’un regard implorant. L’implorant d’être plus présent en elle, plus virulent, plus assidu.

Il lui sourit malicieusement, et chuchota un « à ton service » avant d’accélérer la cadence en prenant un appui plus soutenu sur ses bras.

Luna ne cachait à présent plus ce qu’elle ressentait. Elle cambrait son corps du plus qu’elle le pouvait, rejetant sa tête en arrière en poussant des râles de plaisir réguliers.

Drago ne pu s’empêcher de l’imiter tellement le plaisir le submergeait. Plus il donnait de puissants coups de rein et plus il sentait une chaleur de tous les diables l’envahir au plus profond de son être.

Il passa rapidement ses bras sous les jambes de la Serdaigle, rehaussant ainsi son bassin pour pouvoir entrer plus profondément en elle. Ses coups se firent plus rapides, sa respiration plus forte. La chaleur de son corps montait dangereusement en même temps que son plaisir et quand il entendit son amante hurler son nom dans un soubresaut, il déversa en elle son excitation arrivée à son comble.

Quelle était belle le corps ruisselant de sueur. Quelle était belle sous les rayons faibles de la lune, accentuant la blancheur de sa peau. Quelle était belle étendue telle une nymphe dans l’herbe, le corps las et satisfait.

Drago s’étendit timidement contre elle, et enfoui son visage dans sa poitrine, cherchant un confort qu’il trouva immédiatement.

Les battements du cœur de sa belle reprenaient un rythme normal en même temps que sa respiration suivait la sienne.

Il avait retrouvé la plénitude qu’il avait perdu. Cette envie de vivre, de déplacer des montagnes.

Il revivait en son sein et il lui en serait éternellement reconnaissant.

Et même si l’un et l’autre savait en se rhabillant que leur étreinte passionné ne pouvait que rester secrète, chacun possédait en son fort intérieur la certitude que maintenant, ils n’étaient plus seuls.

Ils se complétaient. Ils se compléteraient. Et même si pour ça, il fallait que ça reste secret.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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