Participation

hog.gif

Recherche

INTRODUCTION

hp367Bienvenue dans le monde secret d'Harry Potter

 

Ce blog est dédié aux histoires érotiques, ou lemons, sur le monde d'Harry Potter. Les personnages et l'univers général appartiennent à J.K. Rowling. Seules les apports des auteurs sont à apporter à leurs crédits.

 

Ce blog n'a aucune vocation pécuniaire, il s'agit de laisser libre cours à l'imagination des auteurs et au respect de toutes les formes de sexualités. Tout le monde peut participer au développement du blog en envoyant une histoire à poudlardsecret@laposte.net.

 

Les commentaires dénigrant ou insultant seront supprimer sans sommation.

 

Merci et bonne lecture.

 

banner-durex.gif

Dimanche 14 février 7 14 /02 /Fév 15:40

Une invention de rêve

 

Une aventure sexuelle de Harry Potter en sixième année.

 

Avec : Hermione Granger

 

 

 

 

La rentrée approchant, le chemin de traverse était inhabituellement fréquenté en ces périodes troubles. Cela signifie que peu de monde osait arpenter la célèbre rue magique mais que le nombre de passants était malgré tout plus important que tous les jours qui ont suivi l'annonce officielle du retour de Voldemort. Une seule boutique attirait une vraie foule, « les farces pour sorciers facétieux » de Weasley frères.

A l'intérieur, on se bousculait pour voir les nouveautés inventées par les jumeaux et cela embêtait beaucoup Hermione. Elle était venue avec Harry, Ron et Ginny pour acheter leurs fournitures scolaires et ils en avaient profiter pour faire un tour au magasin de Fred et Georges. Malencontreusement, la veille, Hermione avait sans méfiance prit un télescope dans une boîte des deux frères et celui-ci lui avait donné un coup de poing. Elle arborait malgré elle un superbe oeil au beurre noire que tous les sorts de Molly Weasley n'avaient pas réussi à enlever. Fred lui avait donné une fiole contenant une épaisse pâte jaune qu'elle devait badigeonner mais elle était constamment bousculée et craignait de se mettre un doigt dans l'oeil en essayant d'étaler la crème.

Elle se faufila alors derrière le comptoir pour rejoindre l'arrière boutique. Fred la vit de loin mais il suffit à la jeune fille de lui montrer la fiole pour qu'il comprenne qu'elle cherchait plus de tranquillité.

Enfin au calme, Hermione déboucha la fiole et se dépêcha de s'en administrer une bonne dose sur le contour de l'oeil. Puis elle fourra la crème dans sa poche, avec toutes les vieilleries des jumeaux qui trainaient au terrier, cela pourrait s'avérer utile. Son regard se posa sur l'attirail des farces et attrapes entreposées. Elle n'avait pas toujours apprécié le travail de Fred et Georges mais elle reconnaissait volontairement maintenant que la plupart de leurs inventions étaient de la magie remarquable. Elle l'avait même dit à haute voix à Harry tout à l'heure et, pour la remercier du compliment, Fred lui avait dit de prendre une boîte de « Rêve éveillé », une incantation qui devait donner à son utilisateur un rêve très réaliste pendant une demi-heure. Juste de quoi passer le temps en cours, comme l'avait fait remarquer les jumeaux. Hermione en aperçu un assortiment dans un coin sombre et prit une boîte qu'elle mit également dans sa poche. Elle n'avait pas l'intention de s'en servir en cours, elle, mais faire une petite pause rêveuse de quelques minutes était toujours bon à prendre à d'autres moments.

Elle ressortit de l'arrière boutique alors que Fred et Georges s'y dirigeaient justement en compagnie de Harry. Probablement pour le remercier de les avoir financé, pensa-t-elle. Hermione se retrouva à côté de Ginny qui observait toujours avec envie les boites de « Rêve éveillé » sur leur présentoir.

 

_ Je me demande avec quoi ils ont fait ça, fit la petite rousse. Bon, ils ont eu beaucoup de cours pour les tester, ça c'est sûr.

 

Hermione se posait aussi la question. Ne pouvant atteindre les boites sur le présentoir à cause de la foule, elle prit celle qu'elle avait en poche pour y lire les indications.

C'est alors qu'elle s'aperçut qu'elle n'avait pas prit un « rêve éveillé ». Les boîtes sur le présentoir représentaient un couple sur un navire de pirate en mer, avec une dominance de bleu clair, tandis que celle qu'elle tenait en main était d'un rose foncé, presque rouge, où se dessinait une silhouette féminine toute noire juste à côté du nom : « Eronirique ». Hermione remarqua que les boîtes de « rêve éveillé » était interdite à la vente au moins de seize ans. Celle de « Eronirique », au moins de dix huit. Elle jeta un regard anxieux autour d'elle. Il y avait trop de monde pour que quelqu'un remarque qu'elle n'avait pas un article conventionnel et Ginny lisait les détails d'une boîte de « rêve éveillé ». Hermione cacha la sienne un peu mieux et se mit à lire à son tour.

 

« Eronirique, le filtre breveté Weasley frères de leur toute nouvelle gamme « Charmes charmants » (vente réservée aux adultes, uniquement par correspondance), se base sur le principe de « rêve éveillé » (gamme « farces pour sorciers facétieux ») avec une puissance accrue de réalisme spécialement axée sur les rêves érotiques. Sensations réelles garanties. Voir notice d'utilisation et d'effets secondaires à l'intérieur avant utilisation. À n'utiliser que pendant le sommeil. »

 

Hermione observa la boîte d'un air amusé. Une gamme érotique. Ginny lui avait parlé du développement de ses frères dans les ustensiles de défense contre les forces du mal mais ils semblaient utiliser également d'autres domaines de marché. Pas étonnant que leur petite sœur ne soit pas au courant de celle-ci.

La jeune fille se demanda si elle ne ferait pas mieux d'aller remettre la boîte à sa place. Ce n'était pas très honnête vis à vis de Fred et Georges et, lorsqu'on était élève à Poudlard, on avait rarement besoin de ce genre de palliatif. D'un autre côté, elle qui avait déjà été impressionnée par les « rêves éveillés » se demandait à quel point la puissance du filtre avait été accrue. Sa curiosité l'emporta et elle fourra à nouveau la boîte dans sa poche lorsque les jumeaux sortirent avec Harry de la réserve. Fred et Georges s'approchèrent d'Hermione et Ginny pour les emmener voir leur gamme « Charmes de sorcières », constituée de petits filtres d'amour et divers autres produits ou sortilèges orienté vers la séduction. Hermione ne fut guère impressionnée en sachant qu'elle avait déjà beaucoup mieux sur elle.

Les achats terminés, ils rentrèrent tous au terrier où la soirée se passa agréablement. Au fur et à mesure que la nuit approchait, Hermione sentit grandir la nervosité. Elle se demandait vraiment ce qui allait se passer lorsqu'elle aurait avalé le filtre. Elle avait lu la notice dès qu'elle s'était retrouvée seule un moment. Il y avait beaucoup de mises en garde mais rien qui ne la concernait. Le mode d'emploi était également très détaillé. Les jumeaux recommandaient clairement et à plusieurs reprises de n'utiliser le filtre que pendant le sommeil, les réactions aux sensations provoquées seraient incontrôlables éveillé. D'ailleurs le filtre semblait aussi contenir un léger somnifère pour aider l'utilisateur à s'endormir au moment de se coucher.

L'impatience atteint son comble durant le repas. Assise, sans pouvoir bouger entre Harry et Ron, Hermione trouva le temps interminable. Enfin, Mrs Weasley les envoya se coucher et elle monta dans la chambre de Ginny en compagnie de la petite rousse. Hermione profita d'un moment d'inattention de son amie pour boire discrètement le filtre puis elle se coucha rapidement. Lorsque Ginny éteignit sa bougie, elle se sentait déjà somnoler.

Et pourtant le sommeil ne vint pas. Allongée dans le noir, elle se sentait au contraire de plus en plus réveillée. « Je dois être trop nerveuse, pensa-t-elle, essaie de te calmer ma fille ». Elle se redressa, assise dans son lit, avec l'intention de se lever et d'aller se chercher un verre d'eau. Mais soudain, elle se rendit compte qu'elle n'était plus dans son lit mais dans un fauteuil. Un petit fauteuil qui faisait parti d'une rangé d'autres fauteuils semblables. Devant elle une lueur éclairait faiblement les ténèbres. C'était un écran. Elle était dans une salle de cinéma. Elle rougit en se rendant compte qu'elle était toujours dans la nuisette qu'elle avait passée pour aller se coucher. Et elle se sentit encore plus gênée lorsqu'elle vit le film. Sur l'écran, une jeune femme entièrement nue était agenouillée, entourée de trois hommes qui arboraient fièrement leurs virilités hors de leurs pantalon et la jeune femme utilisait au mieux sa bouche et ses mains pour les satisfaire ensemble.

Hermione eut une vision fugitive d'elle-même, une jeune fille en nuisette au beau milieu de la nuit dans la salle sombre d'un cinéma porno. Si l'on cherchait la définition du mot « vulnérable » dans le dictionnaire, cette image l'aurait parfaitement illustrée. Sous le choc, elle se demanda vaguement comment elle était arrivée là mais, elle n'eut pas la possibilité d'étudier la question plus avant car une main sortit des ténèbres pour se poser sur sa cuisse nue. Un frisson lui parcouru la colonne vertébrale tandis qu'elle sentait la paume rugueuse caresser doucement sa peau de haut en bas, se rapprochant un peu plus de son intimité à chaque aller-retour. Hermione ne savait pas quoi faire. Elle ne pouvait pas bouger. Comme si elle était devenue spectatrice de ce qui arrivait, regardant un film à travers ses propres yeux. Mais un film bien plus réel que celui de l'écran. Au frisson succéda une chaleur intense dans son ventre.

Elle ne voyait pas son voisin dans la pénombre de la salle en dehors d'une silhouette noire. On aurait cru que l'écran refusait de l'éclairer. Malgré cela, elle restait immobile sous sa caresse. Son corps restait sans bouger. Elle ressentait néanmoins tout ce qui arrivait et un léger gémissement franchit ses lèvres lorsqu'il passa sous la petite culotte pour investir sèchement de deux doigts son trésor le plus précieux.

Tandis qu'il entamait un lent va et viens, Hermione vit une seconde main jaillir des ténèbres et se refermer sur son avant bras. L'homme le souleva et l'amena à lui. Elle sentit alors quelque chose de chaud glisser sur sa paume. Ses doigts se refermèrent, instinctivement ou mécaniquement, autour du membre viril. A sa propre surprise, elle se mit à le masturber au même rythme que les doigts qui exploraient son doux coquillage.

De la lave en fusion coulait probablement dans ses veines désormais. Elle n'avait pas souvenir d'avoir jamais été aussi excitée. Elle était toujours désorientée mais elle ne s'en souciait plus trop pour le moment. Elle se contentait de caresser la verge de l'inconnu, espérant qu'elle viendrait ensuite calmer sa brulante ardeur. Affairée à cette tache, Hermione ne sentit pas tout de suite qu'une autre main se poser sur la peau satinée de sa seconde cuisse. Evidemment, se dit-elle, il ne pouvait pas n'y avoir qu'un seul homme dans toute la salle de cinéma. Mais elle sentit qu'elle n'avait plus peur. Au contraire, un second partenaire ne lui semblait pas de trop pour venir à bout de l'incendie qui se répandait dans son corps. Sans qu'on la sollicite, Hermione envoya son autre main vers l'entrejambe du nouveau participant et ne fut pas surprise de trouver le sexe bien dressé hors du pantalon. Elle s'en empara vivement et le fit lentement coulisser entre ses doigts.

Les doigts dans son intimité se firent plus inquisiteurs et plus rapides. Elle même augmenta la cadence sur les deux tiges de chair tout en ondulant du bassin sous leur impulsion. Hermione ne put empêcher des gémissements de franchir ses lèvres. Bien qu'elle se sentait partir dans un vrai délire sous ses désirs brulants, elle était encore assez lucide pour se douter que ce genre de manifestations bruyante en un tel lieu allait considérablement attirer l'attention. Ainsi ne fut-elle pas surprise de voir deux bras passer au dessus de ses épaules pour venir malaxer ses petits seins à travers sa nuisette.

Que ce soit celui qui fouillait son sexe, celui qui caressait sa cuisse ou celui qui s'était emparé de sa poitrine, Hermione remarqua que les hommes agissaient avec rudesse. Mais comment pouvait-il en être autrement ? Elle se fit la réflexion d'être une gazelle perdue qui se serait approchée du territoire d'un groupe de lions. Forcément, la gazelle se faisait croquer sans que les lions ne se posent de questions.

Une ombre s'interposa entre elle et le film. Le spectateur qui se trouvait devant elle venait de se retourner à genoux sur son siège pour lui faire face. La lumière réfléchie par l'écran nimbait le personnage d'un halo blanc mais le contre jour rendait indécelable le moindre de ses traits. Toutefois, le mouvement vif de son bras ne laissait aucun doute au fait que l'inconnu se masturbait vigoureusement, préférant au film le spectacle en chair et en os. Hermione fit glisser ses pieds hors de ses pantoufles et se renfonça un peu dans son fauteuil pour faire passer ses jambes au dessus du dossier. L'homme cessa de se caresser pour laisser les orteils de la jeune fille prendre la place de sa main. Le spectateur qui caressait sa cuisse s'interrompit pendant qu'Hermione se repositionnait. Il ne manqua apparemment pas de s'apercevoir qu'ainsi, la jeune gryffondor offrait de nouvelles possibilités. Il posa sa main sur l'arrière de la cuisse et descendit doucement vers la petite fesse ronde qu'il savoura un instant. Tout en malaxant la chair ferme avec rudesse, il s'approcha du petit anneau nouvellement apparu pour y fourrer deux doigts sans plus de délicatesse.

Hermione tressaillit un peu sous l'intrusion mais elle n'eut pas le temps d'y penser plus avant car un membre viril vint se frotter contre sa joue. Le spectateur de derrière espérait apparemment faire connaissance avec les lèvres appétissantes de la jeune fille et celle-ci tourna docilement la tête pour prendre le pieu de chair en bouche. Les mains de l'homme quittèrent alors sa poitrine pour s'emparer de sa tête et l'immobiliser. Il avait l'intention d'aller et venir entre les lèvres de la jeune fille à son rythme sans que celle-ci aie son mot à dire. Elle se contenta donc de caresser de sa langue le membre mouvant dans sa bouche. Pendant ce temps, les deux hommes sur ses côtés s'étaient à leur tour emparés de la jeune poitrine de leurs mains libres. Ils abaissèrent la nuisette juste assez pour faire apparaitre les petits seins fermes et soyeux dont leurs bouches se délectèrent aussitôt.

La jeune fille n'avait plus beaucoup de marge de manoeuvre. Elle avait l'impression d'être utilisée comme une poupée. Et elle trouvait cela étrangement confortable de n'avoir rien à faire et de laisser les autres décider de tout. « Peut être ai-je des pré-dispositions pour la soumission, pensa-t-elle. De toute façon, il n'y aura jamais un meilleur moment que celui-ci pour le savoir ». Elle s'abandonna donc aux désirs des hommes, curieuse de voir ce qui arriverait.

Qu'ils aient senti les dernières résistances de la jeune fille tomber, ou bien qu'ils se soient soudainement décidés tous ensemble sans rien dire, les spectateurs s'arrêtèrent tous leurs divers mouvements à l'encontre de leur jeune partenaire et la firent se lever. Les mains la débarrassèrent vivement de sa nuisette et de sa petite culotte. Aussitôt qu'elle fut complètement nue, les hommes la mirent à genoux sur son siège.

Elle se retrouva face au membre de l'inconnu qu'elle avait caressé de ses pieds. Celui-ci s'enfourna avec rudesse dans la petite bouche docile mais il laissait la belle aller et venir sur tout le long de son manche. Les autres n'étaient pas en reste. Hermione sentit celui qu'elle avait sucé auparavant passer par dessus le dossier du siège pour caresser son joli petit cul tandis que les deux autres avaient à nouveau guidé ses mains sur leurs pieux de chair respectifs. Pendant qu'elle s'emparait à nouveau des deux mats toujours aussi durs et qu'elle reprit ses caresses, l'homme derrière elle écarta ses petites fesses rondes pour que son gland se fraie un passage jusque sur son anus. Là, il se pressa tout contre, entrant en elle avec lenteur, non qu'il n'était pas empressé, mais parce que la demoiselle n'était pas dans une position facilitant l'insertion. Pendant ce temps, les deux autres caressaient fougueusement la jeune poitrine de la belle et avait chacun inséré deux doigts dans son intimité. Enfin, l'inconnu entra pleinement dans le petit derrière et se mit à donner de vigoureux coups de boutoirs.

Hermione n'y avait pas gagné beaucoup de liberté d'action mais elle essayait de faire au mieux. Elle utilisait le peu d'élan qu'elle pouvait se permettre pour ruer aussi fort que possible sur le membre fiché dans son anneau secret. Ce même élan lui permettait d'aller et venir furieusement sur le savoureux pénis qui coulissait entre ses lèvres et cette vigueur bénéficiait également à la masturbation frénétique de ses voisins. L'adolescente poussait des râles de plaisirs étouffés tandis que les mains tentaient de lui faire encore augmenter la cadence. Hermione ne se souvenait pas d'avoir jamais senti un désir aussi brulant dans ses entrailles.

Le premier à abdiquer fut celui de derrière. Sans faire cesser les mouvements frénétiques de la jeune fille sur son membre, il se répandit dans le dos de la demoiselle. Au moment où il se retirait, ce fut au tour de l'homme qui était devant. Contrairement à son prédécesseur, il immobilisa sa partenaire et se ficha dans sa bouche jusqu'à la garde où il laissa sa semence envahit la gorge d'Hermione. Celle-ci dut presque se débattre pour qu'il la lâche enfin et puisse à nouveau respirer.

Elle n'eut le temps de prendre qu'une gorgée d'air que son voisin de droite la prit par les hanches et la souleva sans difficulté. Il la ramena à lui et l'abaissa sur son mat sans autre considération. La jeune fille poussa un hoquet de surprise lorsqu'il pénétra son abricot juteux mais elle se mit aussitôt à monter et descendre le long du membre vigoureux. Son nouvel amant s'empara de ses petits seins et les malaxa rudement. Le dernier homme s'approcha à son tour et se positionna devant la jeune adolescente. Il ramena tous les cheveux de celle-ci sur sa nuque afin de pouvoir les tenir d'une seule main et lui permettre de manipuler la tête d'Hermione comme celle d'une simple marionnette. Il la fit pencher en avant et entra entre les lèvres déjà ouvertes.

Après le traitement qu'elle avait subit, la belle ne fut plus longue à crier son plaisir. Elle sentit son corps vibrer sous la jouissance et s'arrêta pour mieux profiter de ses sens. Mais les hommes n'en avaient pas encore terminé avec elle et ils la forcèrent à reprendre aussitôt ses allées et venues.

L'inconnue qui lui faisait face quitta sa bouche pour poser sa virilité entre les deux petits seins. Avec toute la docilité attendue, Hermione les pressa l'un contre l'autre et fit coulisser le membre sur sa peau satinée. Sa poitrine contenait à peine le mat vigoureux. L'homme ne s'y était de toute façon installé que pour parachever sa jouissance et il recouvrit la gorge de la jeune fille de son nectar. Le dernier spectateur la tenait par sa taille fine et imposait ainsi à l'adolescente un rythme soutenu sur son pieu de chair. Lorsqu'il appuya sur ses hanches pour la faire stopper, fiché au plus profond d'elle, Hermione savait qu'il en avait également terminé. Elle sentit une chaude rivière se répandre dans son ventre.

Sans plus de considération que pendant l'acte, l'homme la souleva et la réinstalla sur son siège. Rassasiée, ses sens enfin apaisés, la jeune fille n'en avait que faire. Son dernier souci était de se lancer un sort de prévention et elle chercha sa nuisette à tâtons sur le sol pour récupérer sa baguette. Puis elle eut une révélation. Sa nuisette n'ayant pas de poche, elle n'avait pas pu prendre sa baguette magique. L'horreur s'insinua en elle. Hermione se rendit compte qu'elle venait d'avoir des rapports avec quatre inconnus sans avoir un quelconque moyen de contraception, et pire, aucun moyen de se prémunir contre une quelconque maladie sexuellement transmissible.

 

invention reve

 

L'adolescente commença à paniquer. Bien qu'elle savait que cela ne menait à rien, elle retourna sa nuisette dans tous les sens, se disant intérieurement qu'elle n'avait pas pu être aussi stupide. Mais il fallait se rendre à l'évidence, elle ne savait déjà pas comment elle était arrivée ici, elle n'avait donc pas choisit ce qu'elle emmènerait avec elle. Hermione sentit les larmes lui venir. Elle devait partir d'ici, vite, et retourner au terrier pour retrouver sa baguette en espérant qu'il ne serait pas trop tard pour lancer le sort. Ce qui n'aurait su être le cas. Elle chercha la sortie des yeux mais fut à nouveau horrifiée. Tout autour d'elle se tenaient des ombres. Les autres spectateurs de la salle s'étaient rassemblés et lui bloquaient tout accès. Ils n'avaient apparemment aucune envie qu'elle s'en aille.

La jeune fille tenta le tout pour le tout et fonça tête baissée, essayant d'écarter les inconnus de sa route avec toutes les forces qui lui restaient. Mais sa tentative était vouée à l'échec et de nombreuses mains s'emparèrent d'abord de ses bras et de ses jambes avant d'immobiliser tout son corps. Elle tentait encore de se débattre avec l'énergie du désespoir mais on la maintenait fermement.

 

_ Hermione !

 

Une voix retentit dans la salle. Elle semblait provenir de l'écran. L'adolescente jeta rapidement un regard dessus. Il était totalement blanc et dégagé une lumière aveuglante.

 

_ Hermione ! Réveille-toi !

_ Bon, pas la peine d'insister. Ecarte-toi !

 

Hermione entendit un vague sifflement puis la lumière envahit la pièce toute entière, chassant les ombres. Puis elle régressa et un visage plein de taches de rousseur et surmonté de cheveux roux l'observait.

 

_ Hermione, ça va ?

 

Pendant un instant, elle voulut répondre non. Puis elle reconnut Georges et lui sauta au cou.

 

_ Argh ! Doucement !

_ Ce truc n'est pas encore au point. Il faut qu'on trouve un moyen de le faire arrêter avant que ça n'aille trop loin.

 

La jeune fille releva la tête de l'épaule de Georges et vit Fred qui examinait la boite de « Eronirique » qu'elle avait pourtant cachée.

 

_ Nous aurions été heureux de t'échanger ce produit contre le « rêve éveillé » que tu devais prendre à la base, si tu nous l'avais demandé et si nous avions finit de travailler dessus. Comme tu l'as apparemment remarqué, il nous reste quelques finitions. Tu as de la chance que maman nous ait ordonné de venir récupérer nos téléscopes avant que d'autres personnes se blessent. Nous sommes les seuls à connaître la formule pour arrêter les rêves préfabriqués.

_ Désolée.

 

Hermione n'était pas très sincère en disant cela. Bien sûr, quelque part, elle ressentait un peu de culpabilité et de honte d'avoir emporté l'article sans permission, mais cela était noyé par un intense sentiment de soulagement. Elle avait eu vraiment peur. Elle en tremblait même un peu mais maintenant, elle sentait son corps se réchauffer peu à peu.

 

_ Quand on est arrivé, Ginny se demandait pourquoi tu n'étais pas encore levé, reprit Georges. Mais tout le monde voulait te laisser dormir. Sauf que nous savions que tu étais censée avoir un « rêve éveillé » et j'avoue que nous ne les avions pas testé au moment de s'endormir. On s'est donc dit que tu avais peut être fait une erreur et on a voulu vérifier en prétextant aller voir nos vieilles affaires.

_ On a écouté à la porte et on entendait des bruits bizarres. On a eu un peu peur et on est entré. Mais en fait tu... euh.. enfin tu gémissais quoi.

 

La jeune fille sentit le rouge lui monter aux joues. En même temps, la chaleur de son corps monta d'un cran. Elle se rendit compte en un instant qu'elle était à moitié nue devant deux garçons, tenant toujours fermement l'un d'eux contre elle, qui l'avaient surpris en plein rêve érotique.

Fred avait été gêné de raconter leur entrée mais il continua son histoire.

 

_ Bref, quand on a comprit que tu dormais vraiment, on a cherché la boite de « rêve éveillé » pour savoir si tu l'avais utilisé. Mais on a finit par trouver cette boite là.

 

Il tendit la boite de « Eronirique ». Hermione s'imagina un instant les deux frères faisant des fouilles dans un silence gêné à côté d'une fille en pleine extase. Dans ses bras, Georges ne faisait plus le moindre mouvement et n'avait plus prononcer le moindre mot depuis un certain temps. La chaleur qu'elle ressentait s'installa obstinément dan son ventre et, inconsciemment, elle resserra son étreinte.

 

_ C'est à ce moment-là que tu as commencé à t'agiter franchement. On a tout de suite compris que ton rêve virait au cauchemar. Tu te serais bien réveillée toute seule à un moment mais on avait peur que tu finisses par te faire mal. On a d'abord essayé de te réveiller en douceur mais rien n'y a fait. Alors j'ai lancé le sort de réveil.

 

Hermione détendit ses bras autour de Georges qui sembla respirer de nouveau.

 

_ Alors je suppose que je dois vous remercier, fit-elle.

 

L'adolescente se pencha sur Georges et l'embrassa fougueusement. Surpris, celui-ci ne répondit pas tout de suite.

 

_ Euh... Hermione..., fit timidement Fred derrière elle, il est fortement possible que ce que tu ressentes soit un contre coup de la potion et... enfin... nous ne voudrions vraiment pas profité de la situation tu sais...

_ Pour mon envie soudaine, d'accord, répondit-elle en quittant les lèvres de Georges. Mais votre produit embrouille aussi l'esprit.

_ Un peu, lança Georges d'une petite voix. Mais jusqu'à présent tout les tests montrent que, quelque soit la façon dont on est éveillé, on reprend ses esprits aussitôt.

_ Alors je suis bien consciente de ce que je fais et j'en ai envie maintenant. En plus on a vécu assez longtemps tous les trois à Poudlard pour que vous sachiez que je suis toujours franche dans ces cas-là.

 

Hermione se pencha à nouveau sur Georges qui, convaincu cette fois-ci, répondit aussitôt à son baiser. Fred vérifia que la porte était bien fermée avant d'aller s'assoir derrière la jeune fille.

Tandis que les deux frères la caressait avec douceur, ce qu'elle appréciait après la rudesse de son rêve, elle se mit à masser sans vergogne les bosses qui se formaient sous les pantalons des jumeaux. Puis, tandis qu'elle échangeait des baisers avec l'un et l'autre, elle ouvrit les braguettes et fit sortir les deux tiges bien dures qu'elle masturba lentement. Fred avait glissé l'une de ses mains dans le corsage de la belle et savourait la tendresse de sa jeune poitrine en posant de petits baisers sur sa nuque et ses épaules soyeuses. Georges avait faufilé sa main sous les couvertures pour parcourir la douceur de ses cuisses.

Il se rapprochait peu à peu de l'intimité de l'adolescente et finit par retirer la petite culotte qui le gênait dans ses ambitions. Lorsqu'il commença à agacer le bouton d'amour, la jeune fille poussa un petit cri.

 

_ Attendez !

 

Elle rejeta les couvertures et se leva brusquement, laissant les deux garçons avec un grand désarrois. Hermione s'approcha de la chaise sur laquelle elle avait posé ses affaires de la veille et tâta la poche de son jeans. Ouf ! La baguette magique était bien là. Rassurée, elle se tourna vers les jumeaux.

Elle éclata de rire en voyant leur air dépité, leurs membres à l'air. Puis elle fit doucement glisser les fines bretelles de sa nuisette sur ses épaules et celle-ci se retrouva à terre.

 

_ C'est bon, tout va bien. Amusons-nous !

 

L'adolescente retourna vers le lit et positionna son corps gracile face aux deux frères. Ceux-ci, rassurés à leur tour, s'avancèrent légèrement, juste assez pour que leurs langues viennent savourer le doux coquillage de la belle. Devant le double intérêt que l'on portait à son intimité, Hermione sentit la chaleur de son ventre la bruler jusqu'à la gorge. Elle frémissait tandis que les jumeaux, tour à tour, exploraient les profondeurs de son sexe ou malaxaient son bouton d'amour entre leurs lèvres. La jeune fille dut s'accrocher aux épaules de ses fougueux partenaires pour ne pas défaillir.

Georges laissa son frère seul face au plus précieux trésor de la douce et fit remonter sa langue le long du ventre pour aller glisser sur la délicieuse poitrine. Il s'y attarda un peu, mais se leva complètement pour aller goûter à nouveau les lèvres d'Hermione. Celle-ci l'accueillit avec passion et envoya sa langue rencontrer sa consœur qui avait parcouru un si doux chemin. Puis l'adolescente quitta les lèvres du garçon et s'agenouilla au sol, face à Fred. Elle sentit Georges passer derrière elle et s'agenouiller également tandis qu'elle s'emparait du membre de son frère pour le masturber tout en couvrant le gland des caresses de sa langue. Des mains se posèrent sur ses petites fesses et jouèrent un peu avec, appréciant l'élasticité de la peau ainsi que sa grande douceur.

Georges s'empara de ses hanches de la belle et présenta son membre devant l'intimité impatiente qu'il caressa un peu de son extrémité sensible avant d'y pénétrer enfin. Hermione poussa un gémissement de satisfaction alors que le garçon entamait ses coups de boutoirs. Avec un petit regard coquin pour Fred, elle descendit sa langue sur les bourses de ce dernier en augmentant la cadence de ses caresses sur son pieu de chair.

La jeune fille commençait à sentir son désir devenir plaisir. Elle se mit à aller au devant du membre qui allait et venait dans son ventre et elle fit bénéficier le second de ces mouvements en le prenant en bouche.

 

_ Et bien ma belle, fit Georges en grognant, C'est la grande forme dès le lever.

_ Ouais, approuva Fred entre deux gémissements de plaisirs. La formule dure un rien trop longtemps.

_ On va devoir employer notre technique spéciale.

 

Hermione n'écoutait la conversation que d'une oreille. Elle était ouverte à tout, de toute façon.

Aussi elle n'eut aucune appréhension lorsque George se ficha complètement en elle et entoura sa taille fine de ses bras. Tandis que Fred se dégageait de sa bouche savoureuse, la jeune fille se sentit soulevée et partir en arrière. Elle se retrouva assise sur Georges (le pieu de chair toujours profondément ancré dans son intimité) qui était lui-même assis sur le lit de Ginny. Georges s'allongea en travers du matelas et attira le dos de l'adolescente contre son torse. Elle comprit ce qui arrivait lorsque Fred se pencha face à elle. Les doigts des garçons jouèrent sur l'élasticité de ses lèvres intimes pour que le second membre vienne rejoindre son jumeau dans le sanctuaire des sanctuaires. Herimone enserra les hanches de Fred avec ses jambes pour offrir une meilleur position mais elle grimaça néanmoins lorsqu'il se pressa contre la place déjà occupée. Avec dextérité, et probablement une certaine expérience de la chose, les frères réussirent à se retrouver tous les deux dans le ventre de leur partenaire.

Le premier choc passé, Hermione sentit le plaisir revenir à grands pas. Tandis que Fred commençait des vas et viens en douceur, elle se mit à onduler des hanches. Georges, se contentait de caresser le corps de la jeune fille, n'ayant pratiquement aucune marge de manœuvre. Le trio s'enfiévra rapidement à nouveau. L'adolescente crut devenir folle de plaisir, partagée entre la tendresse des caresses de Georges et la fougue de Fred. Elle haletait en se retenant à grande peine de crier son extase.

Fred donna un dernier coup de rein avant de se libérer dans le ventre de leur amante. Il s'écroula ensuite sur le côté, laissant les deux autres finirent tranquillement. Hermione se redressa et se retrouva à chevaucher Georges qui admirait le parfait petit cul de la belle monter et descendre sur son pieu de chair. La jeune fille n'eut pas à se démener longtemps. Son partenaire grogna et libéra un flot chaud et épais dans son intimité. Elle sentit la jouissance s'emparer de son corps et prit sur elle pour ne pas l'exprimer bruyamment. Puis elle se laissa tomber à son tour sur le matelas.

Les garçons l'embrassèrent et la caressèrent tendrement pendant que chacun reprenait son souffle, puis Georges fit remarquer que Ginny était peut être patiente mais qu'elle finirait tôt ou tard par monter pour voir si tout allait bien. Les trois jeunes gens se levèrent donc et s'habillèrent. Hermione n'oublia pas de se jeter un sort de prévention puis ils quittèrent la chambre. Les jumeaux montèrent chercher leur matériel tandis que l'adolescente descendait à la cuisine.

 

_ Enfin te voilà, fit Ginny en la voyant arriver. Tu étais bien fatiguée apparemment.

 

La petite rousse se trouvait dans un fauteuil et lisait tranquillement. Harry et Ron étaient de corvée de vaisselle et ne lui accordèrent qu'un « bonjour » avant de se remettre à la tâche.

 

_ J'ai... euh... eu du mal à m'endormir, répondit Hermione tout en réfléchissant. Je crois que je ne me dépense pas assez ces jours-ci, je vais me coucher sans être vraiment fatiguée. Je pense aller faire une longue promenade cet après-midi.

 

Mrs Weasley lui apporta une tasse de thé d'un air bienveillant avant d'aller retourner éplucher quelques légumes. Ginny posa son livre et vint s'assoir à côté de son amie.

 

_ Où veux-tu aller ? Je connais de belles balades dans la campagne alentour, je peux te montrer. Sauf si tu préfères être seule, je comprendrai.

 

Hermione but une gorgée de thé puis s'approcha de l'oreille de la petite rousse pour lui parler à voix basse.

 

_ Est-ce qu'il y a une pharmacie au village ?

 

Ginny ne comprenait pas pourquoi son amie prenait un ton si prudent mais elle lui répondit de même.

 

_ Oui.

_ Alors j'aimerai y faire un tour.

_Tu as un problèmes ? S'enquit la jeune Weasley. Tu sais on a probablement ici une potion qui pourrait t'aider, tu n'as qu'à me dire.

 

Hermione s'assura bien que personne n'écoutait avant de répondre.

 

_ Je voudrai acheter des préservatifs.

 

Ginny fit une tête étonnée. Elle savait à peu près ce qu'était des préservatifs, et elle savait surtout que dans le monde des sorciers, ils étaient inutiles.

 

_ Mais... pourquoi ?

_ Juste au cas où. J'ai pensé récemment que l'on était jamais assez prudent.

 

Hermione finit son thé d'un trait puis se leva.

 

_ En fait, j'aimerai bien me promener maintenant, déclara-t-elle à toute la cuisine. Tu viens avec moi Ginny ?

 

La petite rousse resta perplexe un instant. Puis elle lui sourit et acquiesça avant de se lever à son tour. Les deux jeunes filles sortirent de la maison et prirent le chemin vers le village avec empressement.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
Ecrire un commentaire - Voir les 11 commentaires
Dimanche 14 février 7 14 /02 /Fév 15:17

De nouveaux amis

 

Une aventure sexuelle de Harry Potter en deuxième année

 

Avec : Hermione Granger

 

 

 

 

Avec reconnaissance, Hermione offrait son corps nu aux ardents rayons du soleil. Elle n'avait envie de rien d'autre que de rester là, toute l'après-midi, sur la terrasse près de la piscine, derrière la superbe villa que ses parents avaient loué pour leurs vacances en France. Elle se sentait totalement libre. Personne ne pouvait la voir d'ici. La villa était à flanc de montagne et l'arrière était une pente abrupte pleine de buissons, probablement épineux de surcroit, où il était impossible de marcher. La maison cachait la vue à quiconque se trouverait devant, dans la rue. Quant aux voisins sur les côtés, chaque habitation étaient séparées par plusieurs grands panneaux de bois carrées de presque trois mètres. Sur certains poussaient du lierre, pour faire plus beau.

Tout cela faisait que Hermione s'était installée sur un transat sans prendre la peine d'enfiler un maillot de bain. Ses parents n'auraient pas appréciés. Ils auraient trouvé à redire sur le fait qu'avoir un bronzage intégral ne servait à rien pour quelqu'un de si jeune. Sous entendu, pour quelqu'un qui n'était pas censé le dévoiler entièrement. Mais ses parents ignoraient tout des moeurs qui avaient lieu à Poudlard. Et Hermione se gardait bien de les en avertir.

Cet après-midi, ils étaient de sortie pour visiter un musée. En temps normal, Hermione se serait précipitée avec eux. Mais le fait est que la jeune fille s'était beaucoup dépensée durant le début de ses vacances. Avoir été pétrifiée par le basilic pendant un long moment lui avait fait réaliser à quel point elle était chanceuse de pouvoir bouger à nouveau normalement. Et elle en avait profité. Elle avait tout essayé avec enthousiasme, que ce soit en visites, en randonnées, en baignades et elle avait même pratiqué plusieurs sports, ce qui n'était pas tellement dans ses habitudes.

Seulement, à un moment, il faut aussi prendre du repos. Les vacances se finiraient bientôt et Hermione était épuisée. Elle ne voulait pas revenir à Poudlard les yeux cernés et elle avait décidé de prendre l'après-midi pour se reposer. Ses parents l'avaient vu se dépenser plus qu'à l'accoutumée et avaient acceptés de la laisser seule à la villa. Sa mère avait quand même regretté qu'elle allait rester là alors qu'elle n'avait pas essayé de se faire de nouveaux amis malgré le fait qu'elle parlait un bon français. Mine de rien, Hermione aussi le regrettait un peu. Depuis deux ans maintenant qu'elle était à Poudlard, elle commençait à se familiariser avec le concept d'amitié. Evidemment, le libertinage officieux qui avait cours à l'école de magie aidait à se rapprocher des gens. Mais ses vrais amis, Harry et Ron, commençaient à lui manquer vraiment.

La jeune fille avait, comme à son habitude, emmener un livre avec elle. Mais celui-ci était ennuyeux et elle en avait abandonner la lecture bien vite. Elle ferma les yeux, abandonnant son corps au soleil, et laissa ses pensées dériver d'elles-mêmes vers ses deux amis. Ils en avaient vécu des aventures entre la pierre philosophale et l'héritier de Serpentard, mais les souvenirs qu'elle préférait se rappeler étaient ceux qui se déroulaient dans l'intimité.

Comme la fois où elle était revenue des douches et s'était bêtement trompé d'escalier tandis qu'elle repassait dans sa tête le dernier cours, assez compliqué, du professeur McGonagalla. La tête qu'avaient fait Harry et Ron lorsqu'elle avait débarquée presque nue dans leur chambre, comme si c'était la sienne. Elle s'était sentie tellement honteuse. Heureusement que les garçons ont vite su la mettre à l'aise, même après l'avoir débarrasser de sa seule serviette. Elle revoyait les mains de ses amis parcourir lentement chaque centimètre de sa peau toute fraiche. Celles de Ron, qui lui faisait face, s'étaient arrêtées sur sa jeune poitrine. Celles de Harry, qui était dans son dos, s'étaient arrêtées sur les douces courbures de ses fesses.

Hermione poussa un petit gémissement sur son transat. Quel dommage qu'ils ne soient pas là. Comme cela aurait été merveilleux de passer ces vacances en France ensemble. En attendant, il fallait bien les remplacer. La jeune fille glissa une main jusqu'à l'un de ses seins qu'elle se mit à masser doucement, se rappelant que les caresses de Ron étaient plus naïves, un peu moins tendre, tout en restant très agréables.

Elle se souvint du moment où les mains de Harry avaient lentement contourné ses hanches et s'étaient délicatement posées sur son intimité pour agacer son bouton d'amour. La seconde main d'Hermione descendit le long de son ventre pour imiter son souvenir. Harry aussi manquait un peu de finesse dans ses caresses. Les deux garçons avaient toujours été très attentionnés envers elle mais ils manquaient encore un peu d'expérience. Sans nul doute, Poudlard remédierai à cela au fil du temps. La jeune fille poussa un gémissement d'aise sous ses caresses. Elle se sentait, en ce moment, un peu trop seule.

 

_ Hello ?

 

Hermione sursauta comme jamais auparavant et rouvrit vivement les yeux. Une jeune fille blonde en short et débardeur se tenait devant elle, un petit sourire aux lèvres et le rouge aux joues. Hermione se cacha les seins et le sexe du mieux qu'elle pouvait avec ses bras, honteuse.

 

_ Who are y... je veux dire, se reprit Hermione en se souvenant qu'elle était en France, qui es-tu ?

_ Je m'appelle Carole. Nous sommes voisines.

_ Comment as-tu fait pour entrer ?

_ En fait, deux des panneaux ne tiennent pas bien. Ils s'écartent tu vois, et on peut passer entre.

 

Hermione contourna des yeux la silhouette de Carole et vit en effet que l'un des panneaux avait été déplacé. En reportant son regard sur la fille, elle s'aperçut qu'elle n'était pas beaucoup plus âgé qu'elle. Peut être deux ou trois ans de plus.

 

_ Et qu'est-ce que tu veux ?

_ Je suis désolée de t'avoir fait peur. J'ai vu que tes parents étaient partis et j'ai pensé que tu devais être seule. Alors je me suis dit qu'on pourrait en profiter pour mieux se connaître, depuis le temps qu'on est voisin, on ne s'est même pas parlé une fois, et je voulais t'inviter à venir essayer notre piscine. Tu veux bien ?

 

Hermione fut troublée. Carole avait bien dû voir ce qu'elle faisait mais elle ne semblait pas se moquer d'elle. Son invitation avait l'air sincère. La petite brune décida d'accepter.

 

_ D'accord. Donne-moi juste cinq minutes que j'aille chercher un maillot de bain.

_ Oh, pas la peine, répondit Carole. Il n'y a personne chez moi non plus. Et j'avais aussi envie de parfaire mon bronzage.

 

Pour appuyer ses dires, la blonde enleva son débardeur et révéla deux beaux seins fermes. Hermione sourit. Si cette fille qui vivait dans le sud de la France toute l'année n'avait pas un bronzage parfait, alors personne n'en aurait jamais. Carole semblait avoir une autre idée en tête que la baignade. Et actuellement, cela ne déplaisait pas du tout à la petite brune, surtout que la voisine était particulièrement jolie.

 

_ OK, allons-y.

 

Hermione se leva et la jeune française lui prit la main d'un air ravi. Elle guida sa nouvelle amie jusqu'aux panneaux entrouverts.

La piscine de la famille de Carole était plus grande, tout comme l'était la maison. Il y avait même un petit pavillon pour la piscine dont l'un des murs extérieurs était garni d'une douche. C'est vers cet endroit que se dirigea Carole, tenant toujours Hermione par la main.

 

_ Tu as bien pris le soleil. Tu devrais te doucher avant d'aller dans l'eau pour éviter l'hydrocution. Euh... tu me le dis si je parle de manière trop compliqué.

 

Hermione lui sourit. Elle trouvait les attentions de Carole adorables.

 

_ Ne t'inquiète pas. Ma mère m'a bien appris le français, pas de problème.

 

La petite brune alla sous le pommeau de douche et fit couler l'eau. Elle frissonna en sentant le froid se répandre sur tout son corps. Dire qu'elle s'était jeté exprès un sort pour éviter les inconvénients de l'eau froide et des coups de soleil. Maintenant, elle devait faire comme une moldue normale.

Hermione jeta un oeil sur Carole qui enlevait son short et qui, comme par hasard ne cachait pas non plus le moindre sous-vêtement. La jeune française était vraiment très belle. Et il faudrait plus qu'une douche froide à la petite anglaise pour lui enlever les pensées qui naquirent à cet instant dans son esprit. Carole rejoignit Hermione sous l'eau et frissonna à son tour. La petite brune ne saurait probablement jamais si, à cet instant, la hanche de la blonde s'était collée à elle par réflexe ou par envie. Toujours est-il qu'elle ne la repoussa pas.

 

_ J'ai entendu que vous aviez fait une petite fête la semaine dernière ? Demanda Carole sur le ton de la conversation.

_ Oui, c'était mon anniversaire, je viens d'avoir treize ans, répondit Hermione. Et toi tu as quel âge ?

_ J'ai quinze ans depuis le mois dernier.

 

Jugeant qu'elles étaient assez mouillées et rafraichies pour aller se baigner, Carole arrêta la douche puis elle sauta dans la piscine et Hermione la suivit sans tarder.

 

_ Elle est bonne, fit-elle en sortant la tête de l'eau et en se mettant dos contre le bord.

_ Oui, répondit Carole devant elle, c'est agréable par cette chaleur. Alors ? Comment tu trouves la France ?

_ C'est un très beau pays. Et très intéressant surtout.

_ Tu as rencontré des beaux garçons ? Fit Carole avec un sourire malicieux.

_ J'en ai vu, répondit Hermione sans perdre son aplomb. Mais je n'ai pas eu l'occasion d'en connaître.

_ Et comment tu trouves... les françaises ?

 

La petite brune observa sa nouvelle amie un instant. Carole avait un peu bombé le torse en posant la question et ses joues avaient reprises un teint rose. Elle trouvait cette attitude irrésistible.

 

_ J'en ai vu de très belles aussi. Mais je préfère de loin celle que je suis en train de regarder.

 

La jeune française eut un sourire lumineux. Elle se rapprocha doucement d'Hermione.

 

_ Moi je n'ai encore jamais été en Angleterre. Mais je vais y réfléchir sérieusement si toutes les anglaises sont aussi jolies que toi.

 

Carole repoussa d'une main une mèche de cheveux mouillés de la joue de sa nouvelle amie. Elle en profita pour caresser la chevelure brune, pour une fois raide sous le poids de l'eau.

 

_ A qui tu pensais avant que je n'arrive ?

 

Hermione s'était attendue à ce que la française finisse par faire allusion à son jeu solitaire.

 

_ A des amis de mon école. Des amis, très proches.

 

La petite brune regardait la française droit dans ses jolis yeux bleus. Elle ne fit que sentir une main se poser sur sa hanche et caresser doucement son flanc.

 

_ Je crois que ça me plairait qu'on devienne des amis proches, reprit Carole.

_ Je suis sure que j'adorerai ça.

 

Hermione passa sa main sur la nuque de la blonde et amena les lèvres attirantes de cette dernière à se poser sur les siennes. La française répondit au baiser avec passion. Bien vite sa langue passa les frontières pulpeuses pour aller rencontrer sa consœur. Hermione eut la fugitive pensée, tout à fait incongrue sur l'instant, que lorsqu'on ne s'en sert pas pour parler, les langues peuvent finalement abattre toutes les barrières. Elle s'invectiva mentalement de penser des choses pareilles alors qu'elle avait une personne contre elle qui méritait toute son attention.

Carole, elle, ne semblait pas plus se soucier de la barrière des langues que de sa première chemise. La main avec laquelle elle avait caresser la hanche de la petite anglaise s'était d'abord déplacée dans son dos pour savourer la douceur de sa peau, puis était peu à peu descendue sur ses jeunes rondeurs arrières. Les doigts qui avaient caressé ses cheveux s'appliquaient maintenant à un tendre massage de son sein. Hermione savourait les fines caresses de la française. Elle attrapa sa nouvelle amie par la taille et remonta lentement ses mains jusqu'à la poitrine ferme de la blonde qu'elle se mit à caresser.

Leurs lèvres se séparèrent. La langue de Carole avait envie de découvrir d'autres territoires. Elle laissa son regard tomber sur les deux mignons petits seins qu'elle découvrait de ses doigts. Bien qu'elle n'ait pas de grosses mains, la française pouvait facilement les recouvrirent tout entier. La lumière ardente du soleil dansait sur l'humidité de la peau, donnant l'impression qu'elle contemplait deux savoureuses petites pommes d'or. Elle y gouta avec passion. Dans le même temps, la main qui caressait les fesses d'Hermione descendit le long de la cuisse puis remonta lentement vers le côté face pour aller agacer le bouton d'amour de son amante. La petite brune ne pouvait résister à tant de sensations agréables. Elle se cambra vers l'arrière, lâchant à regret les seins de Carole pour s'agripper au bord de la piscine et rester à bonne hauteur.

La française jugea que cette position ne devait pas être très agréable pour Hermione, en particulier pour son dos. Sans cesser de dévorer les seins de la petite brune, elle lui agrippa les cuisses et la remonta pour poser ses fesses sur le bord de la piscine. La tête de Carole était maintenant face au ventre d'Hermione et sa langue s'en alla visiter le mignon petit nombril ce qui fit pousser un gloussement à la jeune anglaise. Mais la blonde ne voulait pas s'arrêter là et descendit lentement vers un autre interstice autrement plus intéressant. Carole avait à peine recommencé à jouer avec son intimité qu'Hermione ne pouvait déjà plus empêcher de petits cris de jouissances de franchir ses lèvres. Elle se laissa aller en arrière et s'allongea sur le dos, savourant à la fois Carole et les rayons du soleil.

La petite brune ne fut pas longue à être gagnée par le plaisir et le fit savoir par un petit cri. La française se hissa alors sur le bord de la piscine et glissa sur sa partenaire pour venir l'embrasser. Puis Carole se releva et aida la belle anglaise à faire de même. Elles allèrent toutes les deux s'allonger sur un grand transat matelassé où elles s'enlacèrent tendrement en attendant de sécher. La blonde fouilla un instant dans un sac, posé juste à côté et en sortit un tube de crème solaire.

 

_ Le soleil tape fort aujourd'hui. Tu veux bien m'en mettre dans le dos ?

 

Hermione lui sourit en s'emparant du tube et se mit à genoux au dessus de la française qui, elle, s'allongea confortablement sur le ventre. La petite brune fit couler un peu de crème au creux des reins de Carole qui en frissonna. Puis les petites mains se mirent au travail pour l'étaler sur tout le dos. Hermione prenait beaucoup de plaisir à masser sa nouvelle amie, notamment lorsqu'elle passa la crème sur les flancs de la blonde et qu'elle effleurait les seins de cette dernière. Mais une fois le dos bien protégé, il fallait passer à la suite. Hermione fit couler la crème le long des jambes fuselées de Carole, lui arrachant d'autres frissons au contact du froid. La petite anglaise commença par lui masser les chevilles, remontant lentement jusqu'aux genoux et s'attarda franchement sur les délicieuses cuisses de son amante. Mais ce ne fut encore rien comparé à la minutie qu'elle mit dans le massage du petit derrière de la française. Si jamais Carole devait attraper un coup de soleil à cet endroit, ce serait par magie et pas autrement.

 

nvamis

 

Puis les doigts d'Hermione glissèrent tout naturellement entre les cuisses entrouvertes de sa compagne. Tout aussi naturellement, Carole ré-haussa légèrement le bassin lorsqu'ils s'insinuèrent lentement dans son intimité. La petite anglaise se pencha alors et laissa courir sa langue autour du petit anneau qui venait ainsi de se révéler, avant de l'investir en douceur. La jeune française gémissait sans retenue et ses mains s'accrochèrent en transat tandis que son corps ondulait au rythme des délicieuses caresses de son amante. Hermione fit appel à tout ce qu'elle avait appris en secret à Poudlard pour satisfaire Carole et la jeune blonde ne mit pas longtemps pour, à son tour, laisser échapper un râle de jouissance.

La française se retourna et attira sa douce contre elle pour lui prodiguer un long baiser passionné. Tout en savourant leurs langues, les filles laissaient leurs mains cajoleuses parcourir le corps de l'autre.

 

_ Avec tout ça, je commence à avoir soif. Je vais te faire un petit coktail de jus de fruits de mon invention. Attends-moi.

 

Carole se leva et entra dans la maison. Seule, Hermione s'allongea sur le ventre et offrit son dos au soleil. Elle ferma les yeux. Les vacances prenaient une tournure des plus agréables. Dommage qu'elles se terminaient presque. Elle regrettait de ne pas avoir fait a connaissance de Carole dès son arrivée dans la villa. Mais ce n'était certes pas ça qui l'aurait aidé à se reposer. Allongée confortablement, la fatigue la rattrapait d'ailleurs.

C'est dans un demi-sommeil qu'elle entendit les pas de Carole revenir vers elle.

 

_ Je suis en train de m'endormir, fit elle d'une petite voix sans ouvrir les yeux. Et je n'ai pas de crème pour me protéger. Je crois qu'un massage m'aiderait à me réveiller.

 

Elle sentit la jeune française monter à genoux sur le transat pour se mettre au-dessus d'elle. Un petit filet de crème froide lui descendit le long du dos et elle frissonna à son tour. Carole reposa le tube de crème et se mit à masser vigoureusement sa belle. A nouveau, ce fut le bas du dos qui eut droit au traitement le plus long, ce qui ne déplaisait pas du tout à Hermione. Sans surprise, la petite anglaise sentit des doigts énergiques investir son trésor le plus précieux. Lubrifiés par la crème, d'autres s'installèrent tout aussi vigoureusement dans son petit anneau.

La jeune anglaise sentait ses forces revenir mais elle n'avait toujours pas envie d'ouvrir les yeux, préférant se concentrer pleinement sur toutes les sensations qui envahissaient son corps sous les caresses conjuguées de Carole et de la nature. La française sembla vouloir un peu pimenter leur jeu et posa ses mains sur les hanches de sa partenaire pour qu'elle rehausse les hanches. Hermione ne se fit pas prier et fit glisser ses genoux sous son ventre puis releva son petit derrière qui devait se trouver, selon ses estimations, au niveau de la poitrine de Carole. Comme elle s'y attendait, une langue vint agacer son intimité. Contrairement à tout à l'heure, elle ne se contenta pas de jouer avec l'extérieur de son trésor intime mais alla l'explorer en profondeur.

Puis Hermione sentit que son amante se redressait et elle entendit un bruit confus comme une fermeture éclair. Aussitôt après elle sentit quelque chose se presser contre son sexe... quelque chose qui ne pouvait pas appartenir à Carole. Elle reprit enfin complètement conscience d'elle-même et ouvrit les yeux lorsque l'extrémité de la masculinité s'engouffra en elle.

 

_ Hey ! What the...

 

Hermione lança ses bras en arrière pour arrêter l'homme inconnu mais celui-ci devait s'attendre à cette réaction et saisit ses poignées avec agilité. Il commença ses vas et viens vigoureux. La petite anglaise se mit à gémir sous les assauts. Elle essaya de se dégager mais il la tenait trop fermement. Et d'un autre côté, les frémissements de son corps n'étaient pas tous dû à sa lutte. Les caresses de l'homme l'avait beaucoup excitée. Elle ne pouvait nier qu'elle en désirait plus. Son ventre était une vraie boule de feu. Hermione se rendit compte que ne pas savoir qui était en train de lui faire l'amour l'excitait encore plus. Mais sa fierté lui disait de ne pas se laisser faire pour autant. Elle essaya encore de se débattre. L'homme dû s'arrêter un instant pour rejoindre les poignées de la belle et les maintenir d'une main tandis que l'autre s'accrocha à ses hanches pour la maintenir correctement. Puis le membre viril s'enfonça à nouveau dans le ventre de la jeune fille.

Hermione savait qu'elle avait perdu, et ce, même depuis le début. Elle avait demandé à ce qu'on la masse et s'était laisser faire sous les caresses. L'homme ne pouvait probablement pas comprendre que tout cela ne lui était pas destiné. Il devait penser que c'était une sorte de jeu lorsqu'elle se refusait à lui. Allez savoir. Elle cessa de lutter et se fit plus docile. Mais un ton de reproche courait encore dans sa voix lorsqu'elle dit :

 

_ Who are y... I mean... qui êtes vous ?

 

L'homme ralentit son mouvement et se pencha vers son oreille. Son ton à lui semblait plutôt moqueur.

 

_ N'aie pas peur. Pardonne-moi mais quand je t'ai trouvé comme ça, je n'ai pas pu résister. Et j'ai cru comprendre que c'était aussi ce que tu voulais.

_ Euh... oui... mais...

 

Hermione ne pouvait le nier. Pas plus qu'elle ne pouvait nier que le pieu de chaire qui entrait et sortait en douceur de son corps lui faisait beaucoup de bien. Mais elle se sentait gênée de s'être laissé avoir si facilement. L'homme semblait deviner son trouble.

 

_ Je trouve que ma petite soeur a bon goût en ce qui concerne ses amies.

_ Ta petite soeur ? Mais alors tu es...

_ Le frère de Carole. Je m'appelle...

_ MARC !

 

Le cri de Carole était furieux. La jeune française s'avançait sur la terrasse d'un pas nerveux, deux verres à la main. Le jeune homme arrêta ses mouvements de hanches (Hermione s'en mordit les lèvres de dépit) et relâcha les poignets de la petite anglaise qui en profita pour se redresser à quatre pattes. Toutefois il ne retira pas son membre du bassin de la belle.

 

_ Depuis quand es-tu rentré ?

_ A l'instant, répondit Marc. On a fini plus tôt.

 

Hermione se sentait honteuse face à Carole. Elle ne pouvait s'empêcher de penser qu'elle était dans une position fort déplaisante pour une réunion de famille mais la main de Marc sur sa hanche, qu'il l'ait laissée intentionnellement ou non, l'empêchait de se retirer. Cela ne semblait pas troubler le jeune homme de discuter calmement avec sa soeur tandis qu'il se trouvait à l'intérieur d'une autre fille. Carole aussi semblait bien plus en colère que choquée. Hermione se demanda pourquoi c'était elle la plus gênée de cette situation.

 

_ Et forcément tu t'es cru obligé de venir embêter mon amie, continua Carole sur un ton cinglant.

_ Je n'ai fait qu'accéder à ses désirs, répondit Marc d'une voix qui laissait deviner un sourire moqueur. Tu veux une preuve ?

 

En douceur, le jeune homme s'activa à nouveau dans la petite anglaise. Hermione ne put s'empêcher de gémir à nouveau. A part profiter du plaisir que Marc lui donnait, elle ne savait pas comment réagir. Elle se disait qu'une personne raisonnable aurait dû partir mais elle n'en avait pas envie. Pas du tout. Pourtant elle se sentait incroyablement honteuse, presque humiliée de se retrouver ainsi entre deux personnes d'une même famille. Elle jeta un regard sur la jeune française. Carole avait le visage fermé et se contentait de regarder le corps d'Hermione accueillir les assauts de son frère, non sans une certaine complaisance. Voyant que la petite brune la regardait, la française alla poser les verres sur une table puis revint s'agenouiller près du transat, face au visage de son amie qui en rougit de honte, Marc ne ralentissant même pas la cadence.

 

_ Tu veux qu'il arrête ? Demanda-t-elle simplement.

_ Oh... non..., répondit Hermione entre deux gémissements.

 

Carole lui sourit puis l'embrassa tendrement. D'abord surprise, la jeune anglaise y répondit finalement, soulagée que sa nouvelle amie lui pardonne mais ne pouvant s'empêcher de trouver ce baiser étrange, savourant les lèvres de la sœur tandis que le frère la pénétrait.

La jeune blonde n'en resta pas là.

 

_ On pourrait s'amuser tous ensemble si Hermione se mettait sur le dos.

 

Marc sourit à sa petite soeur et se retira du trésor intime de la petite anglaise. Celle-ci, renonçant à s'inquiéter de la bizarrerie de la situation, et commençant à comprendre la relation qui liait la fratrie, s'allongea docilement comme on le lui demandait.

Elle put enfin contempler le jeune homme. Il était plutôt à son goût. Un peu musclé mais pas trop, un sourire malicieux et des yeux tendres sous une tignasse châtain. Marc détaillait la petite anglaise qu'il voyait enfin bien en face, tout en s'agenouillant au pied du transat. Il attira doucement la jeune adolescente vers lui pour que son bassin soit tout au bord, face à sa virilité. Carole se mit au-dessus du visage d'Hermione et descendit son intimité jusqu'à la langue de son amante qui s'en donna à cœur joie. La jeune française s'allongea sur le corps de la belle et Marc approcha son membre des lèvres appétissantes de sa petite soeur. Elle le prit en bouche et le savoura passionnément de haut en bas. Ses doigts s'aventurèrent dans le trésor le plus précieux de la petite anglaise pour la faire patienter en attendant que son frère quitte ses lèvres.

Marc avait toutefois une autre idée en tête. Il releva légèrement le bassin d'Hermione avant de quitter les lèvres de Carole pour venir poser son gland sur le petite anneau ainsi dévoilé. Intéressée par l'idée de voir sa nouvelle amie être sodomisée, la jeune française écarta elle-même les fesses de cette dernière pour faciliter l'accès à son frère. La petite anglaise continuait ses coups de langues gourmands sur l'intimité de la blonde sans broncher, donnant ainsi son accord tacite à la nouvelle idée de la fratrie. Marc entra en elle en douceur mais Hermione s'interrompit tout de même un instant dans la dégustation du délicieux abricot de la française le temps qu'il soit pleinement en elle et qu'il commence ses vas et viens. Une fois le premier choc passé, elle reprit la danse de sa langue dans le coquillage doré de Carole. Celle-ci profita que l'intimité de son amante était libre pour aller y gouter aussi. La jeune française s'interrompait parfois pour donner un petit coup de langue là où Hermione et Marc se rejoignaient.

Sous les efforts conjugués de la fratrie, la petite anglaise ne fut pas bien longue à pousser un cri de jouissance étouffé par l'intimité de Carole qui frémit de plaisir tandis que le souffle chaud se répandait dans son bas ventre. La jeune française se releva alors et embrassa son frère pour partager le goût intime de leur douce amante. Marc l'entoura de ses bras et la souleva sans difficulté. Aussitôt, Carole emprisonna la taille du jeune homme entre ses jambes et celui-ci la fit doucement descendre le long de son ventre jusqu'à ce que son membre se fiche dans le ventre de sa petite soeur. Hermione observait la jeune blonde monter et descendre avec intérêt. La sensation d'étrangeté avait disparue maintenant qu'elle avait apprécié les efforts conjugués de la fratrie. Elle ne les voyait plus comme un frère et une soeur mais comme un garçon et une fille à la recherche de plaisirs. Des plaisirs qu'elle voulait partager.

Elle se leva et s'approcha d'eux tandis que Marc se mettait à genoux avec lenteur et précaution pour que Carole n'arrête pas de s'abaisser brutalement sur son pieu. Puis il se laissa aller doucement sur le dos et sa petite soeur se retrouva à le chevaucher. Hermione en profita pour se mettre à califourchon au dessus du visage du garçon qui se délecta aussitôt de son intimité. La jeune française la prit par les épaules pour l'attirer à elle et l'embrasser passionnément. Hermione s'entremêla encore avec la langue cajoleuse de Carole tout en appréciant celle de Marc qui agaçait agréablement son bouton d'amour. La petite anglaise posa ses mains sur la petite poitrine ronde de sa douce amie. Elle la sentait vibrer sous ses doigts à chaque fois que le bassin de la jeune française s'abaissait sur le membre de son frère. Hermione quitta les lèvres de son amante et fit descendre lentement sa langue sur le menton puis la gorge de celle-ci afin d'aller s'emparer du bout d'un de ses seins si appétissants. Elle fit également glisser ses mains le long de la taille de la blonde et contourna ses hanches pour s'emparer du petit fessier bondissant.

Carole jouit alors à son tour et cria son extase sans retenue. Cela ne l'empêcha pas de continuer sa chevauchée sur le membre de son grand frère.

 

_ J'ai l'impression que ma petite soeur est insatiable aujourd'hui, fit la voix du garçon dans le dos d'Hermione. Il lui faudrait une douche froide pour s'arrêter.

 

La petite anglaise ne comprit pas ce qu'il voulait dire de prime abord. Puis elle constata que leur trio était tout au bord de la piscine et ne comprit l'intention de Marc que lorsqu'elle sentit celui-ci rouler sur lui-même. Les deux filles furent désarçonnées et tombèrent à l'eau.

Lorsque leurs têtes refirent surface, elles constatèrent que Marc s'était assis sur le bord, les jambes dans l'eau, et riait en voyant leurs visages déconfits. Hermione grelotta. L'eau était à une bonne température mais c'était vraiment peu après avoir connu la chaleur d'une telle étreinte. Carole dut ressentir également le changement car elle s'approcha vivement de la petite anglaise et l'enlaça pour la maintenir tout contre elle. Leurs langues se croisèrent à nouveau et leurs mains devinrent de plus en plus câlines lorsque la voix de Marc retentit.

 

_ Dîtes les filles, je vous rappelle que je suis le seul à ne pas avoir eu ma part dans toute cette histoire.

 

Hermione et Carole le regardèrent d'un air de défi, comme si elles avaient l'intention de le laisser se débrouiller tout seul après leur bain forcé. Mais elles eurent pitié de lui et s'avancèrent jusqu'au bord de la piscine.

Marc écarta un peu plus les jambes pour laisser suffisamment de place à sa petite soeur et à leur invitée. Les deux jeunes filles prirent appui d'un bras sur ses cuisses et se mirent à lécher le membre impatient de haut en bas. Le garçon quant à lui, caressait tendrement les deux chevelures disparates de ses jolies bienfaitrices. Hermione et Carole appréciaient beaucoup que leurs langues se rencontrent furtivement pendant leur tâche et elles se masturbaient passionnément l'une l'autre de leurs mains libres.

La petite anglaise pensa que Marc aimerait peut être de l'action plus concrète et emprisonna le gland entre ses lèvres avant de commencer un lent va et viens. Carole s'en alla alors déguster les bourses de son grand frère qui gémit de plaisir sous ces nouveaux assauts. Hermione accéléra peu à peu la cadence et très vite, le jeune homme n'y tint plus. Dans un râle, il se répandit dans la gorge de sa belle invitée. La petite anglaise savoura un peu du nectar de jouissance avant d'attirer son amie pour qu'elle s'empare à son tour du membre de son frère et en profite un peu.

Marc s'affala au sol tandis que les filles s'amusaient à nettoyer son sexe et leurs visages. Puis elles se hissèrent sur le bord et leurs corps mouillés s'allongèrent sur celui du jeune homme qui les prit dans ses bras. Hermione se sentait bien tout contre ses nouveaux amis alors que Marc lui caressait le dos avec douceur et qu'elle même savourait la tendresse de la cuisse de Carole.

Mais soudain, un bruit de voiture s'engagea dans l'allée voisine.

 

_ Mes parents rentrent, fit Hermione dépitée. Il faut vite que j'aille dans ma chambre.

_ Tu es là encore combien de temps ? Demanda Carole.

_ Plus que quelques jours.

_ On aura encore pleins d'occasions de se revoir d'ici là, fit Marc, ne t'inquiète pas. Même ce soir si tu veux, nos parents sont souvent absents tu verras. Allez, file !

 

Hermione se leva à regret et couru jusque dans sa chambre. Là, elle enfila rapidement un maillot de bain avant que sa mère n'entre.

 

_ Ah, tu es là ma chérie. Tu ne t'es pas trop ennuyée ici toute seule ?

_ Non pas du tout, répondit Hermione en essayant de récupérer son souffle le plus discrètement possible. J'ai fais la connaissance des voisins, tu sais. Ils sont très sympas. Ils m'ont même invités ce soir.

_ C'est gentil ça. Qu'est-ce que vous allez faire ?

_ Oh, je n'en sais trop rien. On avait juste pensé à regarder un film, improvisa-t-elle.

_ Je suis contente que tu te sois fait des amis ici. J'espère que vous vous amuserez bien.

_ Je pense que oui. Ce sont vraiment des gens très attachants.

 

Sa mère lui sourit avant de refermer la porte. Hermione s'écroula sur son lit. Il s'en était fallu de peu. Mais à partir de maintenant, les vacances prenaient une tournure vraiment intéressante.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Dimanche 14 février 7 14 /02 /Fév 15:13

Contribution de Lylah

 

ivresse irreversible

 

- A toi, je t’en prie.

- Je t’en prie Harry, je n’en ferai rien.

Harry prit alors la bouteille que lui tendait son ami.

Il prit le temps de l’examiner entre ses doigts et la porta rapidement à la bouche.

Un liquide brulant s’insinua dans sa gorge, et il fit une rapide grimace en l’avalant.

- Huuum ! Pas mauvais ! Il faut s’habituer au goût mais c’est plutôt pas mal.

Les jumeaux Weasley avaient mis au point une version améliorée de la bière au beurre. Elle gardait sa douceur et son gout si appréciable mais elle avait pour effet, cette fois d’être pourvu d’une bonne dose d’alcool.

- C’est absolument imperceptible au gout, lança Georges, aucun moyen de se faire pincer.

- A moins que ce cher maître des potions ne se mette à l’analyser, s’empressa de répondre Hermione.

- Et pourquoi il le ferait ? Il ne faut pas arriver en classe après en avoir bu, tout simplement ! Acheva Ron en portant la bouteille à ses lèvres.

Tout comme son ami, il fit une petite grimace et se passa une langue gourmande sur les lèvres après avoir avalé.

- Je ne vois toujours pas l’intérêt d’une telle invention, grommela Hermione en croisant les bras sur sa poitrine. Il y a assez d’alcool sur terre pour ne pas avoir à en créer de nouveaux.

Fred s’empressa de défendre son produit.

- C’est la que la bière au beurre nouvelle génération fait toute la différence ma chère Hermione ! Elle rend joyeux, désinhibe mais ne rend pas malade, contrairement au whisky pur feu.

Non. Décidément, elle n’en voyait pas l’utilité.

Aussi, elle ramassa ses affaires et quitta de ce pas la chambre des préfets.

 

Pourquoi Rogue le regardait-il comme ça ?

Harry se trémoussait sur sa chaise, visiblement très mal à l’aise que son professeur de potion le dévisage de la sorte.

Non pas qu’il n’ait pas l’habitude que ce cher professeur cherche à le mettre mal à l’aise à chaque occasion, mais d’ordinaire, il n’avait pas 3 grammes d’alcool dans le sang.

Lui et Ron s’étaient pourtant jurés de ne pas boire cette satané bière au beurre avant d’assister à un cours, mais une chose en entraînant une autre, ils s’étaient bien vite laisser emporter dans le feu de l’action et avaient rapidement vidés une bouteille à deux.

- Mr Potter, lança de sa voix sèche et froide le maître des potions, puis-je me permettre de vous demander la raison de votre regard vitreux ? J’ai la très nette impression que vous tenez à peine debout.

Afin de lui tenir tête, Harry aurait aimé répondre en précisant qu’il n’était précisément pas debout, mais assis, que sa place était fort confortable et qu’il tenait parfaitement droit.

Mais bien entendu, il se garda bien de faire une telle réflexion et se contenta de se défendre au mieux.

- Monsieur, je vous assure d’être en bonne santé, je vous remercie.

Rogue parut s’offenser de cette réponse, pourtant formulé très poliment.

- Mr Potter, je ne m’inquiète aucunement de votre santé ! Vous pourriez être à l’article de la mort que je ne m’en préoccuperais pas. Seulement, j’apprécie moyennement que l’on assiste à mes cours sous l’effet d’une quelconque drogue ou alcool.

Ron se mit à pouffer à côté de lui, et le regard noir que lui lança son professeur eu tôt fait d’éteindre son hilarité.

- Bien, puisque vous jugez cela tellement marrant, vous viendrez ce soir, tous les deux, en retenus dans les cachots. Je vais vous faire passer l’envie de vous moquer de moi.

Harry enfoui sa tête dans ses bras pour cacher un rire qu’il n’arrivait pas à contrôler et Ron en fit de même de son côté.

Rogue, qui avait déjà tourné les talons, ne remarqua pas le violent coup de classeur que leur assainit Hermione sur le haut de la tête.

Non, décidément, l’irresponsabilité dont ils faisaient preuve la dépassait complètement.

 

- La soirée va être longue….Je suis certain que la chauve souris va nous le faire payer au centuple ! Quels imbéciles ont a été franchement ! Déclara Ron en s’affalant dans le fauteuil de la salle commune.

Harry serrait Ginny dans ses bras en se calant bien confortablement sous un plaid polaire.

- En même temps, on l’a un peu cherché ! Mais je ne savais pas que les effets de cette bière étaient aussi persistants !

Georges fit alors son entrée à ce moment là, les bras chargés de bouteilles.

- Ah non ! S’écria Hermione en se relevant brutalement, je pense que ces saletés ont assez fait de dégâts comme ça ! Harry et Ron en font déjà les frais de par leur débilité !

- Hé ! S’offusqua le roux, on est là au cas où tu ne l’aurai pas remarqué.

Mais Hermione ne s’excusa aucunement, de plus, les rires de Ginny ne la confortaient que plus dans son envie de les ridiculiser encore.

Mais Georges s’affairait déjà à fournir ses précieux clients de cet excellent breuvage.

Elle avait beau faire sa petite dame, ses amis, à présent, ne s’en préoccupaient que peu.

Ils avaient trouvé un nouveau jeu, qui certes pouvait leur coûter gros, mais qui leur plaisait énormément.

- N’oubliez pas votre retenue de ce soir les garçons, si vous en buvez trop maintenant, les effets seront encore présents ce soir et là, c’est un avada kedavra qui vous pends au nez, pas une punition.

A cette phrase de Ginny tout le monde se mit à rire.

Quelqu’un à part Hermione prenait-il réellement au sérieux ce qui pourrait se passer de catastrophique si ils en abusaient ?

Bah ! Après tout, ils sont jeunes, ce qu’ils risquent de faire, c’est quelques bêtises, qu’ils ne se rappelleront pas le lendemain, rien de bien méchant, en soit.

 

La nuit était à présent tombée sur Poudlard.

Chaque étudiant avaient regagné, sous l’œil attentif des préfets, leur dortoir et s’apprêtaient à entamer une bonne nuit de sommeil.

Tous, sauf deux.

Ron et Harry déambulaient dans les couloirs en direction des cachots, la mine basse et l’esprit ailleurs.

Qu’allait encore leur réserver ce vil Serpentard comme punition qu’ils se rappelleraient toute leur vie ?

Ils n’auraient pas à attendre longtemps, voilà déjà qu’ils apercevaient la porte glaciale, dans l’embrasure de laquelle se tenait le sombre individu, les bras croisés dans le dos, les toisant d’un regard méprisant.

Il s’écarta légèrement pour les faire entrer dans la pièce et referma la porte bruyamment derrière eux.

- Je vous ferai grâce des punitions telle que les imposaient le professeur Ombrage Messieurs, lança t’il d’un ton acerbe.

Harry se frotta douloureusement la main, qui marquait encore l’horrible cicatrice de cette soirée qu’il n’était pas prêt d’oublier.

- Sachez que je me montrerai plus perfide et plus innovateur !

Le contraire aurait été étonnant.

Ron déglutit avec difficulté et se mit inconsciemment à trembler.

Harry, quant à lui, ne se démontait pas face à son professeur. Il avait toujours été habitué à ce qu’il le traite mal, une punition de plus ou de moins ne le ferait pas flancher.

Il les fit asseoir aux bureaux les plus près du sien et déposa deux chaudrons devant eux.

Curieux, Ron se pencha en avant afin d’en apercevoir le contenu.

Un liquide rougeâtre bouillait docilement, comme sous un feu qui n’existait pas.

- Vous avez des bocaux près de vous. Remplissez-en jusqu’à ce que j’en ai assez pour ma réserve.

Harry ne put s’empêcher de jeter des regards autour de lui et Rogue intercepta sa question.

- Ne cherchez pas de louche Monsieur Potter, vous utiliserez tout simplement vos mains.

- Nos mains ? S’écria Ron, mais on va en avoir pour des heures.

Harry lui jeta un regard suppliant.

- Mr Weasley, si je peux vous rassurer sur une chose, je ne vous laisserai pas pendant plusieurs heures.

Ron soupira de soulagement.

Mais Rogue continua.

- Je doute que votre résistance à la douleur vous permette de tenir jusque là.

Le voilà le piège.

De toute évidence, le liquide dans les chaudrons était bouillant. Jamais ils ne pourraient s’en saisir ?

Rogue croisa les bras et se positionna devant le bureau qu’occupait Harry.

Il ne quitterait pas sa place tant qu’il ne l’aurait pas vu souffrir en insérant ses mains dans le liquide.

Harry lui jeta un regard noir et s’avança plus en avant sur sa chaise pour jeter un regard dans le récipient.

Le liquide semblait le narguer en émettant de grosses bulles qui en éclatant, laissaient échapper une forte odeur de soufre.

D’une main tremblante, il se saisit d’un bocal et de l’autre attira le chaudron vers lui.

Il jeta un bref regard à Ron, qui suivait chacun de ses gestes en affichant un rictus de dégoût sur le visage.

Ses doigts effleurèrent le contenu, et il fut surprit de constater que le liquide était étrangement froid.

Il releva les yeux vers son professeur qui lui adressa un hochement de tête lui signifiant de continuer.

Quand il plongea la main entièrement, il ne put s’empêcher de grogner en sentant le liquide prendre vie sous ses doigts et l’engloutir complètement.

Il tira fermement son bras hors du chaudron, laissant émerger une bonne partie de son contenu.

Il s’empressa de l’insérer dans un bocal et le referma rapidement en constatant que le liquide essayait de s’en échapper.

Il soupira et tourna la tête vers Ron.

- Ca ne t’a rien fait ? Lui demanda son ami.

- Ben….non….ça essai de t’emmener avec lui dans le chaudron mais…..

Mais il ne termina pas sa phrase, saisit soudainement d’une violente douleur dans la main.

Il la sortit de sous la table pour constater avec horreur qu’elle avait prit une teinte violette et lui brûlait atrocement.

- Le liquide dont vous venez de vous saisir, ne brûle qu’une fois la main libérer de son contact. Vous ne serez apaisé qu’en insérant à nouveau votre main dans le chaudron. Cependant, je vous ai à l’œil et je compte bien avoir un stock conséquent de bocaux PLEINS, j’entends bien.

Et il partit s’asseoir à son bureau afin de pouvoir se repaître avec un air sadique sur le visage, de la douleur intense qu’il infligeait à ses deux élèves.

De grosses gouttes de sueur commençaient à perler le long de la tempe d’Harry, la douleur devenait insupportable et en poussant un râle bruyant, il enfoui sa main au fond du chaudron.

 

- Quel sale….

- Je serai toi je ne finirai pas ta phrase, le supplia Ron, il serait fichu de t’entendre et de nous donner une nouvelle retenu.

Harry se frottait la main, essuyant quelques larmes qui avaient eu l’audace de ce montrer face au maître des potions, provoquant chez lui une jouissance extrême, caractérisé par un affreux rictus, censé être un sourire.

- Je vais avoir mal pendant des semaines, je ne pourrai certainement pas être capable de jouer au Quidditch prochainement.

Ron devait tout de même admettre qu’il avait raison. Lui-même, tenant son bras en écharpe, souffrait horriblement, mais avait su, au grand étonnement d’Harry, restait serein.

Ils entrèrent dans la salle commune et se laissèrent tomber mollement sur le canapé, plongeant leurs yeux dans le feu se mourrant dans l’âtre.

Harry laissa tomber son bras valide sur le bord du canapé, sentant entre ses doigts la bouteille de bière au beurre qu’il avait laisser un peu plus tôt dans la journée.

Il la saisit et la porta rapidement à la bouche.

Ron, de son côté venait également d’en trouver une, et imitant son ami, bu une première gorgée.

- Autant qu’on en profite pour faire passer la douleur à coup de bière au beurre remasterisée ! Lança Harry en brandissant fièrement sa bouteille.

Ron acquiesça en agitant également la sienne au dessus de sa tête.

Rapidement, la première bouteille fut éliminée, puis une seconde.

La douleur se faisant à présent moins sentir, ils pouvaient commencer à ralentir un peu la cadence.

- Tu vois mon vieux, cette vieille chauve souris, et ben un jour j’lui ferais payer ! Babilla Ron en s’essuyant la bouche du revers de la main.

Harry rejeta sa tête en arrière, sentant soudainement le sol trembler sous le canapé.

- Tu as bien raison. On va le jeter au fond du lac, avec des pierres aux pieds. Même si je suis certain que les poissons ne voudront même pas toucher à cette viande avariée.

Harry se leva et jeta une bûche dans la cheminée, histoire de raviver un peu le feu. Il trébucha dans le tapis, se rattrapant de justesse au rebord, manquant de se casser les dents dessus.

- Ouoh….lança-t-il en se saisissant la tête, je trouve que la rotation de la terre se fait drôlement sentir ce soir.

- Viens t’asseoir, sinon tu vas passer par-dessus bord, lui répondit Ron, réalisant subitement que ce qu’il venait de dire était complètement stupide.

Stupide ? Pas tant que ça au vu de la réponse que lui fourni son meilleur ami.

- Tu as raison, de plus, je ne pense pas qu’il y ait suffisamment de bouée pour sauver tout le monde.

Et il s’affala sur le canapé, laissant retomber sa tête sur l’épaule de son ami.

Ils restèrent un instant silencieux, puis Harry releva brusquement sa tête et plongea son regard dans celui de Ron.

- Hey ! Où tu en es avec Herm’ ? Va p’tète falloir que tu te décides non ? Tu attends quoi ? Qu’un aut’ gars te la pique ?

D’ordinaire, Ron serait devenu pivoine et aurait certainement changé de sujet plus vite que son ombre, mais là, il croisa les bras derrière sa nuque et leva les yeux au ciel.

- Mouais…’m’agace…’comprends pas mes signaux…

Harry se mit à rire si fort qu’il dû poser une main sur sa bouche pour ne pas réveiller les autres étudiants.

- Tes signaux ? ‘s’excuses moi mais qu’est-ce tu fais comme signaux ? J’en ai capté aucun moi…

Ron marmonna dans sa barbe.

- ‘normal ! ‘T’étaient pas destinés !

Harry se releva alors et se positionna devant son ami, assis sur ses pieds.

- Montre ! Montre moi tes….euh….signaux ! Dit-il en pouffant.

Ron parut un instant déconcerté, puis, voyant que son ami était sérieux, il se releva un peu, tout en gardant sa position assise, prit une gorgée de bière au beurre et se pencha en avant.

Il plongea son regard dans le sien et lui sourit timidement.

Harry ouvrit grand les yeux et éclata de rire.

- C’est ça ton signal ?!? J’comprends qu’la p’tite ai rien compris.

Ron se renfonça dans le fauteuil en boudant.

Harry reprit sa place à côté de lui et croisa sa jambe sous son genou pour lui faire face.

Il prit à son tour une gorgée de sa bouteille et la reposa à même le sol.

-Bon, j’te mont’ comment j’fais.

Il prit délicatement la main de son ami, qui haussa les sourcils de surprise et lui lança un regard sulfureux.

Un instant, il en était certain, Ron avait rougi.

En lui reposant les mains sur les genoux, tout en continuant d’intensifier son regard, il s’expliqua :

- T’vois, l’contact y est pour beaucoup. Hésites pas à la toucher. Z’adore ça les nanas.

Ron restait malgré tout très perturbé et évita, l’espace d’un instant, le regard insistant de son ami.

- Allez vieux, rougi pas, lança Harry en caressant Ron sur la joue, avec une voix amusée.

Mais Ron lui saisit la main avant qu’elle ne quitte son visage.

Il tourna doucement la tête afin de pouvoir caresser de ses lèvres la paume de la main du brun.

Celui-ci, ne bougea pas, comme pétrifié par un quelconque sortilège et eut un léger sursaut quand il sentit les lèvres du rouquin imprimer une légère succion contre sa peau.

- Ron…Qu’est-ce que….

Mais déjà celui-ci s’affairait à glisser un des doigts de la main tremblante de son ami dans sa bouche et le titillait de la langue.

Ce fut au tour de Harry de rougir des pieds à la tête.

Etait-ce l’important degré d’alcool qu’il avait dans le sang qui lui faisait à se point tourner la tête ou était-ce la caresse plus que surprenante du Gryffondor ?

Toujours est-il que quand il se rapprocha de lui, Harry ne bougea pas.

Ron retira le doigt de sa bouche et posa la main derrière sa nuque.

Il releva les yeux pour les plonger dans le regard émeraude qui le fixait intensément.

Alors, poussé par une passion sans nom, Harry resserra ses doigts et attira avidement le visage de Ron contre le sien.

Quand leurs lèvres se rencontrèrent, il poussa un grognement de plaisir et se saisit de la chevelure rousse pour accroître son baiser.

Ron plaqua ses mains dans le dos de son compagnon, enserrant son pull fermement sous la chaleur qui l’habitait soudainement.

Mais quel feu les consumait ? Que leur arrivait-il ?

Il n’y avait plus amitié, seulement désir. Désir de posséder. Et même s’ils étaient parfaitement conscients de chacun de leurs gestes, ils n’avaient nulle envie d’y mettre un terme, bien au contraire.

La langue de Ron força la barrière de dents de son amant, qui ouvrit aimablement la bouche afin de lui permette de s’insérer à l’intérieur et de caresser tendrement sa langue.

Ils étaient à présent étroitement serrés l’un contre l’autre, dans une étreinte bestiale et virile.

Même s’ils étaient en train de se donner le plus passionné des baisers, ils n’en restaient pas moins des hommes, des vrais. Ils ne s’abaisseraient pas à minauder des mimiques efféminées mais parviendraient à leurs fins, chacun, en gardant leur fierté de Gryffondor.

Afin de reprendre son souffle, Harry abandonna un instant la bouche de son ami, qui en profita pour glisser des lèvres brûlantes le long de sa jugulaire en glissant ses mains sous le tissu épais de son pull.

Sa main tuméfiée, qui dégageait une puissante chaleur, fit sursauter Harry à son contact, mais le poussa à vouloir sentir Ron plus près.

Il passa donc ses jambes de part et autre de ses hanches et se retrouva à califourchon sur les jambes du rouquin.

Ils stoppèrent leurs caresses un instant et se fixèrent, comme attendant une réaction de la part de l’un ou de l’autre.

Ron déglutit avec difficulté et Harry souffla afin de dégager une mèche lui couvrant les yeux.

Il était assis sur son meilleur ami. Il était assis sur Ron et avait ses doigts perdus dans sa chevelure, par Merlin !

Au diable l’étique ! Il se mordit avec provocation la lèvre inférieure et fondit littéralement sur le jeune Weasley qui apprécia grandement de recevoir à nouveau ses lèvres contre les siennes.

Harry pouvait sans mal sentir son pantalon devenir de plus en plus étroit, et il avait beau gesticuler du mieux qu’il le pouvait sur les cuisses de son ami, il ne réussissait qu’à rendre celui de son compagnon que plus étréci.

Harry passa rapidement ses mains sous l’ourlet du pull de Ron et d’un geste rapide, le lui ôta, décoiffant sa chevelure rousse au passage, lui donnant dès lors un côté sauvage qui l’enhardit.

Il aurait voulu lui dire qu’il le trouvait beau, mais il n’était pas question qu’il s’abaisse à une telle chose.

Ron fit de même avec le pull du brun, qu’il envoya valdinguer à travers la pièce.

Il s’arrêta un instant pour consulter avec admiration, le corps finement sculpté du jeune attrapeur.

Il l’avait certes déjà vu torse nu, mais il ne l’avait jamais trouvé aussi désirable, aussi appétissant qu’à l’instant même, assis sur ses cuisses, quémandant caresses et baisers du regard.

Il caressa longuement les formes longilignes de son corps, s’arrêtant sur ses tétons durcis par le plaisir afin de les titiller du bout des doigts.

Harry sembla apprécier et rejeta sa tête en arrière.

Ron descendit plus insidieusement ses mains jusqu'à atteindre la fermeture éclair de l’étau qui maintenait séquestré le pauvre petit Potter junior.

Quand il caressa, à travers le tissu de son jean, la protubérance qui frémissait sous ses caresses, sans qu’il ne s’en rende compte, il passa une langue gourmande sur ses lèvres, ce que ne manqua pas de remarquer son amant, qui afin de satisfaire l’appétit de son ami, se releva pour se libérer enfin de ce vêtement, bien trop gênant à son goût.

Harry fit glisser, avec une lenteur criminelle, sa fermeture éclair et déboutonna son bouton. Puis, tout en fixant les réactions de son ami, il fit lentement glisser pantalon et caleçon le long de ses jambes pour, une fois sur le sol, les envoyer balader d’un revers du pied.

Ron respira soudainement bruyamment et lorsque Harry se pencha entre ses jambes afin de faire voir le jour à la fierté de son ami, il se laissa aimablement faire en relevant les hanches pour lui faciliter la tâche.

Voilà qu’ils étaient nus comme des vers, leurs corps d’athlètes ruisselant de sueur, tremblant de désirs l’un pour l’autre.

Leurs regards oscillant entre leurs yeux et l’objet de leur désir, l’un et autre brûlaient d’envie d’aller plus loin.

Alors pourquoi refusaient-ils de bouger ? La situation commençait à se montrer embarrassante.

Alors, Harry prouva une fois de plus le courage des Gryffondor en s’agenouillant le premier devant son ami.

Ron se mit à rougir de nouveau quand il sentit les doigts experts du jeune Potter parcourir sa virilité de haut en bas, en y imprimant de puissants va et vient.

Il lui jeta un bref regard suppliant et celui-ci, affichant un petit sourire en coin, descendit lentement sa tête, jusqu’à toucher du bout de ses lèvres, la naissance de son membre.

Il y passa une langue féline, arrachant un râle de plaisir à sa victime, glissa de haut en bas en le gratifiant de quelques baisers et enfin, l’engloutit avidement dans sa gorge chaude.

Ron, sous l’effet de l’extase, cambra son bassin, provoquant un sursaut chez le petit gourmand, qui lui plaqua les hanches rudement sur le canapé en maintenant sa sucette dans sa bouche, bien caler entre sa langue et son palais pour ne pas qu’elle lui fasse à nouveau ce genre de surprise.

Quand Ron reprit son calme, il se lova plus confortablement dans les coussins et Harry pu enfin lui prodiguer la plus merveilleuse des gâteries.

Ses prodigieuses allées et venues sur la masculinité du jeune Weasley ne faisait qu’agrémenter la soif qu’éprouvait la sienne.

Ron avait glissé ses doigts dans les cheveux hirsutes du Gryffondor afin de lui imposer un rythme plus soutenu, qu’il n’eut aucun mal à appliquer, connaissant très bien le corps masculin et la manière indéniable de le pousser dans les méandres de la jouissance.

Mais bientôt, il dut cesser ses expertes caresses buccales, sentant sa friandise se tendre de plaisir, s’il ne voulait pas que leurs galipettes se terminent de cette bien égoïste façon.

Il remonta le long de son ventre, déposant quelques baisers au passage, jouant du bout de sa langue sur son nombril, titillant les tétons du bout de ses dents et Ron lui saisit fermement le visage afin de l’attirer à lui pour lui prodiguer un baiser enfiévré.

- Harry….c’est intenable….

Celui-ci se contenta de sourire de satisfaction en rehaussant un sourcil provocateur.

Ron saisit cette provocation au bond.

- Ah ça t’amuse Potter ? A moi de te rendre la pareille à ma façon.

Il poussa Harry sur le canapé et se releva, en titubant légèrement, son sang ayant quitté provisoirement son cerveau afin d’en gratifier une partie de son anatomie plus disposée à en être pourvue pour l’heure et s’agenouilla dernière lui.

Il s’affala de tout son long sur le corps tremblant du beau brun qui, sentant des mains s’aventurer à cajoler tendrement sa virilité, enfoui son visage dans les coussins pour cacher les gémissements qui sortaient de sa gorge.

Ron déposa quelques baisers le long de sa colonne vertébrale ayant pour effet de déclencher de petites décharges électriques dans le creux des reins de son amant, et s’affaira à exécuter de longs vas et vient de sa main sur la turgescence à fleur de peau.

Harry poussait de longs gémissements étouffés au fur et à mesure que les caresses se faisaient plus rapides.

Soudainement, il sentit quelques doigts commencer à caresser de façon bien curieuse, la petite entrée de son anatomie, qu’il n’aurait jamais pensé un jour solliciter de la sorte.

Il fut tout d’abord assez effrayé, mais Ron, se montrant assez doux et plutôt expérimenté pour un novice en la matière, le rassura et bientôt, il pu le sentir se détendre sous ses doigts.

Il le sentit se relever et se positionner plus confortablement contre lui, sentant contre ses fesses rebondit, l’impatience significative de cette petite coquine, qui n’attendait qu’une chose, pouvoir entamer une quelconque aventure dans cette inexplorée contrée.

Harry saisit rapidement la bouteille de bière au beurre et bu goulûment quelques gorgées pour, d’une, abreuver sa soif et sa bouche sèche mais également embrumé au mieux son cerveau afin de subir son assaut sans trop de mal.

Ron se pencha en avant et lui susurra à l’oreille :

- Ca va aller Harry….

Facile à dire quand on se trouve en position de wagon et lui en position de locomotive.

Joignant le geste à la parole, Ron s’insinua doucement en lui. Il exécuta de petites poussées tout d’abord, afin qu’il s’habitue à sa présence.

Harry enfoui à nouveau sa tête dans les coussins, les mordant au passage pour éviter de crier sous la douleur lancinante qu’il ressentait.

Mais bientôt, les légères immixtions de son ami se firent plus douces, et la douleur s’estompa peu à peu pour se mêler à un agréable plaisir.

Jamais il n’aurait pensé ressentir une telle chose.

A chaque coup de rein que lui assainissait le rouquin, il poussait des râles de plaisir, laissant constater sans peine à son bourreau que la torture qu’il lui infligeait le ravissait au plus au point.

Bientôt, il imprima de légers mouvements de bassin, afin d’approfondir ses entrées et Ron intensifia ses coups de rein.

Leurs corps perlaient de sueurs, leurs muscles saillants sous l’effort les rendaient tellement beaux que ni l’un ni l’autre n’arrivaient à calmer cette passion qui les consumait.

Sous les demandes non formulés du brun, Ron comprit qu’il devait se montrer plus ardent et il ne se fit pas prier pour saisir fermement ses hanches afin de donner des coups plus forts et plus puissants.

Harry ne retint plus ses cris, il serrait avec force les accoudoirs du canapé, se cambrant de plus belle pour accueillir au mieux son assaillant.

La chaleur montait, leurs muscles se crispaient, leurs gorges se nouaient. Leur délivrance était proche, et dans un ultime cri de plaisir, l’un et l’autre atteignirent les contrées du nirvana.

 

L’alcool et le sexe font-ils bon ménage ?

L’alcool désinhibe les plus prudes et l’alcool est la cause de bien des ruptures.

Il rend les gens plus communicatifs, plus ouverts, plus détendus, et dans tous les sens du terme….

« Que va-t-il penser de moi ? »  « Non, je ne peux pas faire ça ! »….

Et hop ! Une petite bouteille de bière au beurre nouvelle génération, et tous ces petits principes sont ébranlés, pour laisser place à volupté, passion et sexualité.

Mais…

C’est le réveil….La conscience se réveille en même temps que nos muscles endoloris.

Harry tourne la tête pour apercevoir son meilleur ami, nu dans ses bras.

Une bouffée de chaleur l’enveloppe.

Mais plus la même…Plus âpre, plus amère.

La vérité saute aux yeux.

 

L’ivresse est cause de bien des faiblesses

L’ivresse est cause de bien des bassesses.

Et quand le réveil pointe le bout de son nez,

On peut être sur que tout cela on va regretter….

 

Morale : L'effet de l'ivresse est d'abolir les scrupules du sentiment.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Harry
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 14 février 7 14 /02 /Fév 15:08

Contribution de Lylah

 

happy hours

 

En ce samedi après-midi du mois de juin, les jeunes étudiants de Poudlard se prélassaient dans l’herbe fraîche, sous les rayons chauds du soleil.

En ces beaux jours, il n’était pas rare de les voir flemmarder au dehors plutôt que de s’affairer à étudier consciencieusement.

Une jolie rousse aux yeux émeraude, approchait à pas de loup d’un groupe de garçon, qui chahutaient sous un vieux chêne.

Elle sauta au cou d’un beau brun qui en perdit ses lunettes.

- Aïe ! fit-elle, en s’écartant précipitamment de lui.

James Potter se retourna rapidement et, les mains sur les hanches, afficha son plus beau sourire.

- Combien de fois va-t-il falloir que le sort de répulsion opère sur toi Lily pour que tu comprennes que nous n’avons pas droit au contact physique à Poudlard ?

En effet, depuis 3 ans déjà, une nouvelle loi avait été votée par le ministère, jugeant les élèves un peu trop dispersés dans de frivoles occupations, les repoussant par une décharge électrique dès qu’ils entretenaient un contact charnel entre eux.

Loi bien stupide et bien terrible pour nos jeunes étudiants aux hormones en pleine effervescence.

Malheureusement, loi bien réelle et surtout, incontournable. Les plus doués d’entre eux avaient cherché un quelconque moyen de la contourner ou du moins de la leurrer quelques heures, mais rien. Nada. Pas de bisous, pas de câlin.

- Pffff….oh ça va James. J’ai pas encore l’habitude…râla-t-elle en faisant la moue.

James se mit à rire et s’approcha d’elle, le plus près qu’il le put, en mimant un baiser qu’il lui donnerait s’il pouvait avoir le plaisir d’atteindre ses lèvres.

Elle se pencha un peu plus en avant, et répondit au geste. Dépitée, elle croisa les bras.

- Pauvre petite Evans, condamnée à rester vierge jusqu’au mariage ! Cingla la voix de Sirius derrière elle.

Elle se retourna en un éclair, lui assainissant une gifle magistrale, sous le regard de ses amis hilares.

- Bien sur, ce genre de contact restent autorisé…Marmonna-t-il entre ses dents en se frottant douloureusement la joue.

Elle se tourna boudeuse vers James, réclamant vengeance du regard, comme nous, les filles, nous savons si bien le faire.

- T’es lourd Patmol ! Je te rappelle que t’as pas pu toucher grand monde ces dernières années, s’empressa de lancer James à l’adresse de son meilleur ami.

Sirius se laissa glisser le long de l’arbre en maugréant dans sa barbe.

Depuis cette fichu loi, les élèves se montraient moins enjoués mais d’autant plus assidu dans leur travail, forcé d’occuper leur cerveau pour ne pas avoir sans arrêt de lubriques pensées en regardant leurs homologues féminins ou masculins se balader sous leurs yeux.

Les professeurs ne s’en portaient que mieux, même si certains d’entre eux trouvaient tout de même le ministère un peu dur.

Toujours est-il qu’en ce samedi après midi, ce samedi après midi du mois de juin, les astres en avaient décidé autrement.

 

Dans l’immense bibliothèque de l’école, un jeune homme au visage pâle étudiait un livre d’astronomie avec attention.

Il releva les yeux un instant, certain d’avoir entre ses mains, une révélation.

Il se replongea avidement dans le bouquin, voulant être sur de sa trouvaille avant de l’annoncer avec joie à qui veut l’entendre.

« ….cette année, le dimanche 15 juin, les planètes s’aligneront dans une droite parfaite, provoquant de grands bouleversements dans l’ordre des choses. Une éclipse totale aura lieu, plongeant une partie totale du monde dans le noir le plus complet durant 3 heures. Les marées seront perturbées, les éléments déchaînés. Mais, au-delà de tout, toutes magies prendra fin durant ses 3 heures. Aucun sortilège ne pourra être lancé, aucune formule prononcée. Et cela durant 3 heures… »

Il glissa le livre sous son pull et couru au dehors, heurtant au passage un professeur qui ne manqua pas de lui coller une retenue voyant qu’il ne s’excusait pas. Mais peu lui importait les revendications de celui-ci, il tenait à sa disposition une information des plus importantes qu’il se devait de partager au plus vite.

- Cornedrue !!! S’écria-t-il à l’adresse du jeune Potter, qui tentait de s’extraire de la prise de catch que lui infligeait Sirius.

D’un coup d’épaule, il se dégagea rapidement et s’approcha de son ami.

- Et ben Lunard, qu’est-ce qu’il t’arrive ? On dirait que tu viens de voir la pleine lune ! Lança-t-il en riant.

- Très drôle, mais je suis sur que tu me remercieras quand je t’aurai donné l’information que je détiens.

Il le tira par le bras, afin de l’entraîner à l’écart des oreilles indiscrètes.

Sirius leur jeta un rapide coup d’œil, curieux de savoir ce qu’il se tramait, mais resta bien tranquillement à sa place, convaincu qu’on le mettrait dans la confidence le moment venu.

- J’ai une nouvelle qui devrait te ravir Potter. Sais-tu quel jour on est demain ?

James leva les yeux au ciel pour réfléchir un instant.

- Ben dimanche, le 15 juin je crois.

Remus afficha un sourire satisfait.

- Alors je dois t’avouer quelque chose, mais il faut que ça reste entre les maraudeurs, si ça s’ébruite, ça risque de finir en orgie.

La curiosité de James piquée à vif, il croisa les bras sur sa poitrine, attentif.

 

Le soleil se couchait à présent, colorant d’un orange vif le ciel sans nuage.

Une douce fraîcheur s’installa, poussant les derniers élèves à se revêtir de vestes légères et de réintégrer l’établissement.

- Et bien James, tu es bien rêveur depuis que Remus est venu te voir tout à l’heure, qu’est ce qu’il t’a dit ? Demanda Lily en s’approchant du Gryffondor.

Il lui sourit en lui faisant un clin d’œil.

- Crois moi, tu le sauras bien assez tôt.

Lily resta un instant interdite, puis continua d’avancer à ses côtés.

Ils croisèrent Sirius, qui le regard pétillant, lorgnait sur un groupe de jeune Serdaigle qui passait à proximité de lui.

- Tu te fais du mal Black ! Lui lança Lily fière de sa répartie.

Il lui jeta un regard amusé et bomba le torse.

- Ne parles pas trop vite ma belle, ne parle pas trop vite !

James se retourna rapidement en faisant un geste significatif à son ami, lui indiquant clairement de ne pas continuer son petit jeu.

Celui-ci, un peu plus tard dans l’après-midi, s’était empressé d’aller quémander auprès de son ami, des informations sur ce qui le rendait subitement de si bonne humeur.

Devant l’insistance de Sirius, James lui avait expliqué en précisant bien que seuls les maraudeurs étaient pour l’instant au courant, et qu’il fallait que cela reste ainsi.

A présent, le jeune chien cherchait un os appétissant dont il pourrait se délecter avec appétit dès le lendemain.

Ce n’était pas les occasions qui manquaient, mais il ne fallait pas prendre n’importe laquelle de ces demoiselles. Il lui fallait la meilleure. La plus belle. La plus désirable. La plus inaccessible.

Laissant leur ami les dépasser, James et Lily grimpèrent jusqu’à la salle commune des Gryffondor.

Ils prirent place sur le gros fauteuil rouge et le jeune Potter passa un bras câlin sur le dossier à quelques centimètres de la nuque gracile de sa belle.

Il ne pouvait pas la toucher, mais il ne pouvait détacher ses yeux de ses belles boucles rousses retombant avec grâce sur ses fines épaules.

Il se pencha légèrement en avant, et souffla doucement sur quelques mèches afin de pouvoir découvrir un petit bout de la peau laiteuse de la belle.

Celle-ci frissonna et lui jeta un regard implorant.

- Arrêtes James….

Pour toute réponse, il lui sourit avec tendresse.

Il dessina les courbes que formaient ses épaules, descendit légèrement le long de son bras et à quelques centimètres de sa main, il s’arrêta.

Elle releva les yeux après avoir suivi son geste avec attention, et plongea son regard dans le sien.

Elle ne l’avait jamais autant désiré qu’à l’instant même et tout son corps le réclamait.

James soupira bruyamment et quand il vit les yeux de sa douce s’embuer de larmes, il stoppa immédiatement son geste.

- Pourquoi tu fais ça James….Je trouve ça…

Mais elle ne termina pas sa phrase et couru jusqu’au dortoir, laissant son petit ami seul sur le canapé.

Il passa une main nerveuse dans ses cheveux, et sourit en murmurant :

- Tu vas trouver ça extra.

 

Quand les premiers rayons de soleil traversèrent les carreaux du dortoir, Sirius bondit hors de son lit.

- Cornedrue, lèves toi ! Vite vite vite vite vite !

James s’enroula plus confortablement dans sa couette.

- Arrête Patmol, il n’est que 7h, on a encore 8h devant nous.

Visiblement, le pauvre animal avait complètement perdu la notion du temps, beaucoup trop excité en imaginant la formidable partie de jambe en l’air qu’il prévoyait avec une jolie blonde aux yeux ténébreux qu’il avait su attirer dans ses filets.

Soudain, James eu un sérieux doute et s’assit en un éclair dans le lit.

Et si ça ne marchait pas ? Si cette prédiction que l’on avait d’ailleurs trouvé que dans un seul et unique livre s’avérait inexacte ?

Après tout, personne n’en parlait. Ni la gazette, ni le ministère.

Tout de même, Poudlard durant 3 heures se trouvera sans plus aucune protection magique et personne ne s’en inquiète ?

Ou alors, peut-être font-ils exprès d’étouffer l’affaire pour ne pas créer un mouvement de panique ?

Toujours est-il, qu’aujourd’hui, à 15h, il essaierait de s’approcher de son plus tendre amour, de la prendre dans ses bras, et s’il n’était pas sur le champs parcouru d’une violente décharge électrique, alors il serait l’homme le plus heureux de la terre.

Il s’étira longuement, et après s’être préparé, descendit entamer les quelques heures, qui seraient sans aucun doute, les plus longues de toute sa vie.

 

Zut ! Lily semblait l’éviter ! Mais où pouvait-elle être ? Ce matin dans la grande salle, elle n’était pas venue prendre son petit déjeuner et maintenant, à 14h50, impossible de lui mettre la main dessus.

Un brouhaha assourdissant se fit alors entendre à l’extérieur.

James et Sirius se précipitèrent hors du bâtiment, en compagnie de la jolie blonde pendue au côté de Sirius, qu’il n’était pas question qu’il lâche jusqu’à l’heure fatidique.

Toute l’école s’était rassemblée au dehors, fixant le ciel où l’éclipse de soleil s’apprêtait à avoir lieu.

James plissa les yeux afin de se protéger des derniers rayons de l’astre et c’est là, qu’il aperçu, au fond du jardin, sur un muret à l’écart, Lily.

Sa longue chevelure rousse virevoltait au rythme des douces rafales de vent et elle fixait, elle aussi, intensément le ciel.

Après avoir jeté un rapide coup d’œil vers son meilleur ami qui lui fit un signe approbatif de la tête, il se faufila à travers les élèves jusqu’à arriver devant elle.

Elle ne lui sourit pas et se contenta de baisser timidement la tête.

Il enjamba le muret et se positionna derrière elle, se remettant à fixer le ciel en prenant garde de ne pas la toucher.

Plus que quelques secondes….

L’obscurité commençait à envelopper les lieux et bientôt, dans un « ooooooooh » admiratif, les élèves sombrèrent dans l’obscurité.

Le silence se fit, la pelouse se vidant petit à petit.

C’est alors que James avança une main timide vers l’épaule de sa belle. Il tremblait, c’était incontrôlable et quand il put enfin sentir la douceur du tissu de sa veste sur ses doigts, il poussa un soupir de soulagement.

Lily sursauta mais n’osa pas se retourner, attendant avec impatience de voir si elle n’était pas en train de rêver.

James laissa alors courir ses doigts le long de ses bras et violement, l’enserra à la taille en enfouissant sa tête dans le creux de sa nuque.

- Ja…James ? Mais comment ?

- Chuut…lui murmura-t-il en commençant quelques baisers papillons sur sa peau.

Quelle sensation extraordinaire !!

Jamais peau ne lui parut plus douce et plus parfumée.

Lily enjamba alors le muret et enserra de ses jambes graciles, la taille virile du garçon.

Ils plongèrent leurs yeux l’un d’en l’autre et les joues de la jouvencelle se mirent légèrement à rosir.

- Je t’expliquerai plus tard mon amour, nous n’avons que 3h. Je veux qu’elles ne soient qu’entièrement consacrée à la découverte de ton corps si parfait.

Il n’en fallut pas plus à la jeune fille pour fondre littéralement sur les lèvres de son ami afin de lui procurer un baiser passionné et fougueux.

Ils gémirent sous ce contact si agréable et elle passa amoureusement ses bras autour de son cou.

Il resserra ses bras à nouveau sur sa taille afin de l’attirer plus fermement à lui.

 

happyhours

 

Bientôt leur baiser ce fit plus profond, mêlant dans une ferveur endiablée, leurs langues avides de baisers.

Il fit alors doucement glisser ses mains le long des courbes des hanches de la jolie rousse et après les avoir subtilement positionnées sous ses fesses, il la souleva afin de pouvoir la reposer sur le sol.

A l’abri des regards indiscrets, derrière ce muret cachant leur intimité, ils pourraient enfin s’aimer.

Après l’avoir délicatement déposé sur l’herbe, tel une poupée de porcelaine, il se releva légèrement afin de pouvoir la contempler.

Sous ce regard emplit de convoitise qui courrait sur son corps, la belle ne savait comment réagir.

Elle sentait un feu la consumer de l’intérieur, la poussant à vouloir se saisir de ce « mâle » si tentant devant elle, mais une autre partie d’elle-même voulait qu’il se montre doux et patient tout le long de leur étreinte.

James se dégagea doucement de sa veste et déboutonna avec une lenteur criminelle, sa chemise de coton, découvrant un corps finement sculpté qui fit échapper un soupir exalté à son admiratrice.

Il se pencha vers elle afin de la gratifier d’un doux baiser, en glissant une main féline sur les premiers boutons qui emprisonnaient les deux charmantes collines de sa dulcinée.

Quand il défit le premier, il passa une de ses jambes entre celle de son amie, quand il atteint le second, il glissa la seconde, puis, avec une fougue incontrôlée, il s’empressa d’arracher les derniers sous les gémissements amusés de la rouquine.

Il se releva légèrement afin de pouvoir les admirer et se passa la langue sur les lèvres avec envie.

- Je crois que je n’ai jamais vu quelque chose qui me fasse autant envie….Murmura-t-il.

Lily se mit à rougir.

- Alors qu’est-ce que tu attends pour en profiter ? Le défia-t-elle.

Il ne se fit pas prier et se saisit d’une de ses pommes d’amour. Il en apprécia la douceur et la fermeté en fermant les yeux et l’embrassa tendrement en jouant avec la langue sur l’extrémité, provoquant une décharge électrique chez la belle, qui, celle-ci n’eut pas pour effet de les séparer, mais au contraire de les rapprocher.

Elle insinua ses doigts fins dans sa chevelure, le pressant de se montrer plus ardent, ce qu’il fit avec grand plaisir.

Sa main valide s’aventura alors plus au sud de l’anatomie de la jolie jeune fille, s’attardant un instant sur son nombril pour continuer sa route vers des contrées plus exotiques.

Quand il eut atteint la dernière paroi faisant abstraction à l’antre de tous ses plaisirs, il joua avec l’extrémité de ses doigts sur l’élastique de sa petite culotte.

Elle imprima de légers mouvements du bassin, marquant son impatience.

Cela faisait maintenant si longtemps qu’elle rêvait de ce moment qu’elle n’arrivait plus à cacher sa hâte.

James, lui, semblait plus calme, plus serein. Et pourtant, ce n’était qu’une façade. A l’intérieur, son cœur martelait sa poitrine plus vite et plus fort que jamais, sa respiration rapide trahissait son appréhension et l’étau qui emprisonnait sa virilité commençait à se faire vraiment étroit sous les mouvements de bassin de Lily.

Il respira un grand coup et entreprit de faire glisser le petit morceau de tissu, délicatement le long des hanches de sa maîtresse.

Elle l’aida en relevant légèrement son corps et quand elle en fut libérée, elle poussa un soupir de soulagement.

Voilà qu’enfin il se trouvait aux portes de sa félicité, il baissa la tête sur le ventre frémissant de la rouge et or et s’appliqua à dessiner quelques arabesques avec sa langue.

Lily arqua son corps sous la caresse électrisante, et rejeta sa tête en arrière.

Satisfait de la voir réponde de manière si significative à cette simple caresse, il entreprit d’approfondir sa douce torture.

Il descendit plus bas, en caressant de ses mains expertes chaque parcelle de sa peau et quand enfin il s’approcha de la divine contrée, il pu constater que sa belle avait alors arrêté de respirer.

Il sourit, et ne voulant pas la laisser dans cet état, s’empressa de lui prodiguer un timide coup de langue.

Elle poussa un gémissement excité, ce qui eu pour but d’enhardir notre jeune homme, qui saisit avec fougue sa taille fine pour l’attirer plus profondément contre sa bouche.

Il continua un jeu lascif avec sa langue, se contentant pour le moment, de prodiguer de petites lapées sur le seuil de cette accueillante province.

Quand il la sentit prête à sombrer dans les méandres du plaisir, il insinua une langue mutine dans l’exiguïté de la douce, se risquant même à en mordre délicatement la petite protubérance, qui ne manqua pas de faire pousser un gémissement émerveillé à la principale intéressée.

- James…on…dirait que tu as fais ça toute ta vie…Réussit-elle à dire entre deux halètements.

Il releva le nez un instant de sa délectation pour lui avouer.

- C’est que j’ai sous la main un met des plus délectables…

Et il se remit immédiatement à la besogne, estimant qu’il ne s’était pas encore entièrement repaît de ce délicieux breuvage.

Lily glissa ses doigts dans les cheveux de jais de son amant, poussant des soupirs de contentement à chaque coup de langue exercée de son bourreau.

La chaleur qui montait dans son corps devenait insoutenable. Il lui fallait sans plus attendre réclamer un moyen d’éteindre ce feu qui la consumait, d’une quelconque manière que ce soit.

Ressentant les prémices de la jouissance et ne souhaitant pas interrompre si promptement cette exquise galipette, elle saisit la tête de son ami, à contre cœur, afin de le faire remonter vers elle.

Quelques peu essoufflé par ses prouesses buccales, il lui sourit malicieusement en lui embrassant avec délice le nombril.

Elle s’assit dans l’herbe et s’approchant finement de son petit ami, elle posa câlinement ses mains sur son torse afin de le faire s’allonger pour lui prodiguer à son tour une petite gâterie.

Il fit en sorte de s’appuyer contre le muret afin de garder une position assise, et Lily prit place devant lui.

Elle l’embrassa amoureusement et glissa ses lèvres près de son oreille.

- Je t’aime James.

Celui-ci sentit son cœur battre toujours plus fort dans sa poitrine et l’embrassa passionnément avant de lui murmurer à son tour.

- Moi aussi je t’aime Lily Evans.

Satisfaite, elle se laissa descendre le long de son torse, en ne manquant pas de le caresser des mains, en lui procurant de petits baisers coquins, s’arrêtant sur ses tétons pour les mordiller un instant.

James serra immédiatement les dents sous cette sensation mêlant une douce douleur et en même temps lui provoquant une extrême excitation, qu’il se surprit à apprécier.

Elle amorça à nouveau sa descente jusqu'à l’entrejambe du garçon.

Sa fierté, pauvre petite, était toujours étroitement enfermée dans sa prison de tissu. Elle leva un regard amusé vers son amant, dans le regard duquel elle pu lire une supplication de libérer expressément celle-ci, sous peine de la voir suffoquer.

Elle fit glisser la fermeture éclair, et passant avec envie sa langue sur ses lèvres, elle libéra enfin sa friandise.

De quelques mouvements souples du poignet, elle lui permit de se détendre un peu et enfin, avec une douceur qui lui était propre, elle donna un léger coup de langue.

James poussa un râle de plaisir en s’installant plus confortable, passant ses bras en croix sur le muret et rejetant sa tête en arrière.

Elle continua quelques coups de langue de la base au sommet de sa nouvelle sucette, qu’elle s’empressa ensuite à suçoter avec sensualité sur son extrémité.

La respiration de James s’accéléra alors brutalement sous l’effet de la dextérité plus que certaine de la belle.

Mais où avait-elle apprit tout ça ?

- Ah…Lily…Tu es merveilleuse….

Sous ce compliment, elle inséra l’objet de ses désirs entre ses fines lèvres entrouvertes et s’appliqua à effectuer de lents vas et vient tout le long de la fierté du garçon.

Le souffle saccadé, le propriétaire de cette gracieuse gourmandise, ne pu s’empêcher d’appuyer une main envieuse sur la nuque de sa tentatrice afin de lui imprimer un mouvement plus rapide.

Il n’eut pas à lui expliquer plus longtemps comment le porter au seuil du paradis, la belle avait rapidement saisit le mode d’emploi.

Elle accéléra ses allées et venues par des hochements de tête réguliers, suçotant par moment et pourvoyant par d’autre de grands coups de langue sur toute la longueur.

- Lily…ah…je….

Elle releva la tête, à la fois déçue de devoir déjà s’arrêter de faire mumuse avec Potter junior mais à la fois ravie d’avoir procuré autant de plaisir à son partenaire.

Elle afficha un sourire satisfait en haussant un sourcil provocateur.

Il haussa à son tour les sourcils, étonné devant l’air de défi que lui lançait la rouge et or. Sa fierté de mâle ainsi piqué à vif, il se saisit d’elle par la taille et la fit asseoir sur ses jambes.

Elle passa ses bras autour de sa nuque pour prendre un appui et avança dangereusement son bassin de celui du jeune homme.

Elle l’embrassa avec avidité et sans plus tarder, il souleva les hanches de la jolie rouquine d’un mouvement leste pour l’empaler lentement sur son pieu de chair.

Elle relâcha ses lèvres un instant pour laisser échapper un gémissement de plaisir et lança sa tête en arrière quand il commença ses mouvements de bassin.

Elle l’aida en montant et descendant légèrement au dessus de lui, plantant ses ongles dans les épaules robustes du garçon.

Celui-ci saisissait avec force les deux rondeurs de son extraordinaire fessier et s’amusait à les pétrir au rythme des assauts de son bassin.

Lily ne retenait plus ses cris de plaisir à présent, ce qui enhardissait que plus son amant.

- James…James…encore…Ne cessait-elle de répéter entre deux soupirs.

Afin de répondre au mieux aux attentes de la lionne, qu’il sentait vouloir plus audacieuses et plus viriles, il la souleva afin de pouvoir la faire se retourner.

Elle prit immédiatement appui sur le muret, fixant face à elle, la grande bâtisse plongée dans la pénombre.

La perspective que quelqu'un puisse la voir dans cette position plus qu’inconvenante redoubla son excitation et quand James la pénétra d’un premier coup de rein violent, elle ne put s’empêcher de crier en enfonçant son visage dans le creux de son bras.

Il renouvela ses vas et vient avec douceur pour pouvoir par moment donner quelques coups plus secs et plus vifs, que semblait nettement plus apprécier sa belle.

Il posa délicatement ses paumes sur le bas des reins de Lily et effectua, dans un rythme effréné, quelques nouveaux coups de rein plus dynamiques.

- Lily….ma Lily…tu es si….marmonnait-il en haletant.

Elle effectuait divers mouvements avec son bassin, tantôt lents, tantôt rapide, en prenant soin de suivre la cadence que lui imposait le beau brun.

Bientôt, James sentit monter en lui le désir imminent de se laisser aller à sombrer dans les abysses du plaisir, il donna quelques derniers coups de reins vigoureux, faisant hoqueter de surprise la jeune fille, avant de s’épancher sur son dos ruisselant et de lui susurrer :

- Mon amour, je veux pouvoir te voir…

Elle sembla acquiescer et il se retira un instant, afin de pouvoir l’allonger à nouveau sur l’herbe et s’insinua à nouveau en elle dans un mouvement rapide, en lui prodiguant un baiser amoureux.

Elle enserra de ses jambes la taille de garçon et il put à nouveau continuer ses immixtions dans le chaleureux fruitier de son aimée.

Il pouvait sentir se resserrer ses fines parois, présageant une jouissance imminente. Retenant la sienne depuis déjà quelques temps, il soupira de contentement se sachant proche de la félicité.

Les mains caressant le visage rosie de sa belle, il imprima un dernier mouvement de bassin et ne pouvant s’empêcher de fermer les yeux en poussant un gémissement orgasmique, qu’elle accompagna immédiatement, ils atteignirent ensemble le paroxysme de leur plaisir.

 

Tentant de reprendre une respiration dont ils avaient plus ou moins perdu le contrôle, ils se lovèrent l’un contre l’autre en s’embrassant passionnément.

- James…Si c’était les dernières heures de ma vie, je ne pourrai qu’en être contenté.

Il la serra plus fort contre lui.

- Tu es décidément celle que j’ai toujours cherché ma Lily….

Il leur restait encore du temps pour s’aimer, le soleil n’était pas encore prêt à refaire son entrée.

 

Quand le soleil pointa à nouveau le bout de son nez, les élèves s’étaient à nouveau rassemblés sur l’herbe, en jetant des regards vers le ciel.

Une jeune fille blonde se faufila parmi ses amis, rajustant avec maladresse ses quelques vêtements en bataille, sous le regard amusé d’un jeune chien mal élevé.

Plus loin, sur un muret, bien cachés à l’abri des regards indiscrets, un jeune couple, assis juste à quelques centimètres l’un de l’autre, reprit la position exacte qu’ils avaient quelques heures auparavant.

Le jeune homme souffla avec tendresse sur la chevelure soyeuse de la jeune fille, laissant s’envoler une brindille d’herbe, qui, quelques centimètres plus loin, s’évanouie sur le sol.

Il croisa les bras derrière son dos, levant les yeux au ciel.

Elle croisa les bras sur ses genoux, baissant les yeux à terre.

Pendant un instant, ils avaient pu être amants.

Ce qu’ils ne savaient pas, ce que bientôt ils seraient parents….

 

Morale : La vie et l'amour sont la même chose. Quand il n'y a pas d'amour, il n'y a pas de vie.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 5 septembre 6 05 /09 /Sep 13:20
Bonjour et pardon pour le temps que j'ai mis à faire un nouvel article. Non, le blog n'est pas mort. Son auteur a juste beaucoup à faire.Rassurez-vous donc et allez lire la 26e histoire sur :

http://tnyhost.free.fr/dotclear/index.php
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione - Communauté : Non à la Pub Erog
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés