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Dimanche 27 janvier 7 27 /01 /Jan 18:14

Voici une nouvelle contribution qui nous vient de la talentueuse Lylah. Je pense que vous allez apprécier son style à la fois direct et tout en douceur.

Lylah a commencé une série d'histoires érotiques en se fixant pour but de suivre l'alaphabet pour chacune d'elles. Voici donc la lettre A, première d'entre elles et, vous aller le constater, des plus prometteuses.

Je termine en vous disant que c'est Lylah elle-même qui a créé les fanarts au début de chaque histoire. Encore une corde à son arc.


Contribution de Lylah

Chapitre 1 : A comme…amour anisé


Le soleil filtrait à travers les vitraux colorés du dortoir des filles.

Sous un monticule de couvertures, une jolie rousse daigna sortir son joli minois, grimaçant quand le premier rayon solaire vint lui caresser le visage.

En cette chaude journée d’octobre, une sortie à Pré-au-lard était prévu et il n’était pas question qu’elle soit en retard.

En autant de temps qu’il ne faut pour le dire, elle sauta du lit et commença à se préparer.


  • Debout Hermione, scanda-t-elle à l’adresse de son amie, encore une fois nous sommes les dernières à émerger.


Une nouvelle forme se mit à se mouvoir sur le lit d’à côté, poussant un grognement de désapprobation en enfouissant sa tête plus profondément sous les draps.

Mais la jolie rousse, qui avait prit l’habitude de ce coutumier manège, ne se laisserait pas avoir, pas aujourd’hui ! Ça non !


  • Wingardium Leviosa !


Et la lourde couverture se mit à virevolter au dessus du lit, découvrant une jeune fille très peu vêtue, qui, s’en rendant subitement compte, sortit immédiatement de sa léthargie pour attraper la couverture au vol et s’en couvrir prestement.


  • Tu as un malin plaisir à me torture Ginny ! C’est pas vrai !


Pour toute réponse, elle se mit à rire en enfilant ses longues chaussettes rouge et or.

Hermione dû se rendre à l’évidence, si elle ne se levait pas, Ginny la traînerait de force jusqu’à Pré-au-lard, alors autant qu’elle le fasse d’elle-même.

Quelques minutes plus tard, elles étaient prêtes à suivre le joyeux petit groupe qui se formait impatiemment devant la grande porte de l’école.

En chemin, Ginny cherchait des yeux la chevelure hirsute de celui qui faisait battre secrètement son cœur.

Secrètement ?

Non pas tant que ça finalement puisque son émoi se caractérisait facilement de par la jolie couleur pourpre qui couvrait ses joues dès qu’elle croisait son regard émeraude, expliquant clairement la nature de ses sentiments pour le Gryffondor.


- C’est moi que tu cherches Weasley ? Lança une voix glaciale derrière elle.


Pas besoin de se retourner, elle savait déjà à qui elle avait affaire. Elle reconnaîtrait cette voix de serpent persifleur entre mille. Aussi, elle décida de l’ignorer, ne prêtant pas attention aux diverses remarques qu’il formulait à son égard, malgré son mépris significatif.


- Et bien Granger, elle n’a jamais appris à répondre quand on lui parle ta copine ? Adressa-t-il alors à Hermione.

- Depuis quand est-ce que l’on t’adresse la parole Malefoy ?


Celui-ci plissa les yeux jusqu’à ce qu’ils ne ressemblent qu’à deux fentes et avant de les distancer, lui assainit un violent coup de coude.


- Crétin ! Murmura Hermione se frottant douloureusement le bras.

- On parle de Malefoy ? Fanfaronna la voix d’Harry.

- Harry ! Ron ! On vous cherche depuis que l’on a quitté Poudlard !


Ginny sentit qu’elle rougissait à vue d’œil et détourna rapidement la tête afin de cacher au mieux l’état dans lequel elle se trouvait.


- Demande à Ron ! Il lui faut toujours un temps indéfinissable pour se lever ! N’est-ce pas Ginny ?


Mon dieu ! C’est à moi qu’il parle ?? Se mit-elle à penser.


La rouquine acquiesça rapidement de la tête sans se retourner.

Malgré le manque de perspicacité qu’il faisait part à l’égard des filles, Harry avait tout de même remarqué l’effet qu’il produisait sur elle et il avait un malin plaisir à la mettre dans l’embarra afin de pouvoir voir ses tendres joues se teinter d’un joli rose qui lui donnait envie de les croquer.

Mais Ginny ne lui donna pas ce plaisir. Elle resta le dos tourné et cachait son visage entre ses mains.


Mais quelle idiote ! Reprends toi ma vieille, il t’a juste adressé quelques mots !! Pas de quoi virer au rouge ! Continua-t-elle de penser.


Harry passa ses bras autour des épaules d’Hermione et Ginny et ils continuèrent leur chemin jusqu’à Pré-au-lard.

Ginny sentit ses jambes défaillir quand il posa sa main sur une de ses épaules, la caressant négligemment, tout en racontant son début de matinée à Hermione, ne prêtant pas attention au fait que la jolie rousse était au bord de l’évanouissement.

Elle allait passer un bras autour de sa taille pour se retenir quand…


- Oh ! Chez Honeydukes il y a de nouvelles confiseries il parait ! Il faut à tout prix que l’on aille voir ça !


Ron, le ventre sur patte, courait déjà vers la boutique, entraînant Hermione par la main, rompant ainsi la chaîne qu’ils formaient avec Harry et Ginny.

Celui-ci lui fit face et un sourire aux lèvres, lui tendit la main qu’elle s’empressa de saisir.

La confiserie était déjà noire de monde, mais cela ne les empêcherait pas de s’y faufiler.

Baguettes magiques à la réglisse, ballongommes de Bullard, des bulles baveuses, des chocogrenouilles, toujours les mêmes friandises qui leur donnaient à tous l’eau à la bouche.

Harry relâcha nonchalamment la main de Ginny pour disparaître au milieu de la foule.

Celle-ci ressentit une atroce sensation de vide et déambula à travers les rayons afin de trouver une douce sucrerie qui apaiserait sa légère peine.

Son attention fut soudainement attirée par une suave odeur anisée. Elle chercha rapidement des yeux ce qui lui mettait déjà l’eau à la bouche et au bout de quelques secondes, son regard se posa sur un petit ballotin d’osier remplit d’étoiles à la jolie couleur vert amande.

Elle s’avança plus près et, vérifiant que personne ne la regardait, elle saisit une gourmandise entre ses doigts.


- Ginny ! Tu viens ! On a un stock pour tout un mois, s’époumona Hermione devant la porte de la boutique.


Déçue, la jeune fille reposa la douceur parmi ses consœurs et sortit de la boutique, chagrinée de ne pas avoir pu porter à ses lèvres ce qui promettait d’être un pur délice.

Le pas lourd, elle remontait l’allée qui la ramènerait à Poudlard, jetant quelques rapides coups d’œil à ses amis, qui, devant elle, commençait déjà à se repaître de leur butin.

Harry ne les avait pas suivis. Peut-être avait-il encore quelques courses à faire.

Mais lorsqu’elle passa devant la dernière petite ruelle perpendiculaire à la grande rue, elle sentit deux bras robustes la tirer à l’intérieur et la plaquer obligeamment contre le mur.

Elle n’eut pas le temps d’émettre une protestation, qu’une main féline vint se poser délicatement sur sa bouche.


Elle leva alors doucement les yeux et croisa le regard enivrant d’Harry. Celui-ci, retira sa main et la gratifia du plus charmeur des sourires.


- Je t’ai enfin pour moi tout seul, murmura-t-il dans un souffle.


Est-ce vraiment à moi qu’il s’adresse là ??....Bien sur sombre idiote, tu vois quelqu’un d’autre ici ? se remit-elle encore à penser.


Bien qu’il ne puisse lire dans ses pensées, Harry comprenait bien que les questions devaient fuser dans l’esprit de la jeune fille, il tenta donc une explication, en adoptant une voix des plus suaves.


- Ca fait longtemps que je me languis de te prendre dans mes bras, je n’ai jamais su qu’elle attitude adopter avec toi. Après tout, tu es la sœur de mon meilleur ami. Je te connais depuis si longtemps, mais depuis quelques temps…tu…


Il rapprochait maintenant son visage plus près du sien, et elle pouvait sentir le souffle chaud de sa respiration caresser doucement ses lèvres.

Il n’aurait suffit que d’un simple hochement de tête pour qu’elles se rejoignent.


- Tu es….si….


Mais il ne termina pas sa phrase et lui prodigua un baiser passionné et fougueux.

Ginny sentit ses jambes se dérober sous son poids quand la langue de son ami força délicatement le passage de ses lèvres pour entamer une danse endiablée avec sa semblable.

Elle glissa alors doucement ses doigts dans la sombre chevelure de son amant et répondit à son baiser avec intensité, laissant tomber les dernières barrières de pudeur qui couvaient en elle.

Harry passa ses doigts dans sa nuque et relâchant ses lèvres, au plus grand désarroi de la demoiselle, il lui glissa deux doigts à l’endroit même que venait de quitter sa bouche.

Elle parut un instant étonné et lentement, une agréable sensation sucrée lui fit prendre conscience qu’il venait de glisser à l’intérieur une friandise.


- Il m’a semblé voir que ces douceurs te faisaient envie….


Ginny sentit à nouveau que la voix d’Harry la faisait fondre au plus profond de ses entrailles, comme la douce gourmandise commençait à le faire contre son palet.

Un exquis mélange d’anis et de menthe éveillait ses papilles, lui procurant une sensation de fraîcheur intense qui lui parcouru tout le corps.


- Je peux goûter ? Lui susurra Harry en faisant glisser sa langue sur le contour de ses lèvres.


Alors, dans un élan de passion, elle engloutit littéralement sa bouche en un baiser plus profond et plus sauvage que le précédent.

La douce fraîcheur qu’elle éprouvait par le bonbon se mit à faire place petit à petit à une chaleur qu’elle sentit monter depuis le creux de ses reins.

Harry, impatient, glissa ses doigts sous le chemisier de la jolie rousse et elle hoqueta de surprise au contact de sa peau fraîche contre la sienne.

Sans relâcher l’étreinte de son baiser, il défit avec une dextérité étonnante, les quelques boutons qui le séparait encore de la peau douce et parfumée de sa tentatrice.

Celle-ci gémissait de plaisir, commençant à perdre totalement son self-control. Elle en voulait plus, elle voulait qu’il soit plus pressant, plus audacieux.

Dans un râle de plaisir, elle laissa tomber le fin tissu sur le sol et entreprit de déshabiller son doux tortionnaire.

Comprenant l’invitation, Harry s’empressa d’envoyer ses quelques vêtements rejoindre ceux de son amie.

Puis, haletant, il prit un instant pour l’admirer.

Elle était belle, désirable mais…toujours debout ! Toujours contre le mur, le regard emplit d’envie et de convoitise. Elle suçait encore agréablement la petite étoile, et Harry sentit monter en lui une envie soudaine de la posséder.

En un éclair, il entoura sa fine taille pour l’asseoir sur un tas de vieilles boîtes de bois qui se trouvait à côté. D’une main câline, il caressa ses deux magnifiques petits seins, et il ne put s’empêcher de se passer la langue sur les lèvres avec envie.

Il imprima une légère poussée afin qu’elle se couche, l’entendant gémir au contact du matériau froid sur sa frêle peau blanche, et il déposa quelques baisers enflammer sur la pointe de l’une de ses charmantes collines.

Le corps de la demoiselle était parcouru de soubresauts de plaisir, ce qui rendait Harry plus ardent, l’incitant à mordiller tendrement le petit téton qui pointait fièrement contre ses lèvres.

Il descendit plus au sud en laissant une fine lignée sur le ventre appétissant de la jolie rousse, jouant avec son nombril un instant et continuant sa descente avec une lenteur presque criminelle.

Ginny gémissait de plaisir, sentant que son corps entier réclamait Harry sur chacune des parties de son anatomie. Elle glissait de plus en plus vers le bas, comme pour chercher impatiemment le contact, mais d’une main ferme, Harry la remettait à sa place, un sourire malicieux sur les lèvres.

Quand il atteint l’objet de ses plus lubriques convoitises, il leva légèrement les yeux vers son amante, attendant quelques signes de protestation, qui bien sûr, ne vinrent pas.
Satisfait il commença un jeu lascif avec le bout de sa langue, goûtant avec délice le charmant petit fruitier.

Ginny sombrait dans une lente agonie, subissant sa torture avec ravissement. Elle tenait fermement les morceaux de bois avec ses mains, se cambrant sous une décharge électrique quand Harry effleura son petit bouton d’amour et s’insinua plus profondément en elle.

Jamais elle n’avait connu pareil plaisir. Son corps tout entier était parcouru de légères décharges, la poussant à crier le nom de son bourreau, qu’elle essayait de taire entre ses dents.

Au bord du supplice, elle passa une main dans les mèches sombres d’Harry, lui indiquant de la rejoindre avant qu’elle ne défaille complètement.

Le Griffondor se releva alors lentement et tout en se rapprochant de la petite rousse, il passa délicieusement la langue sur ses lèvres, comme après avoir bu le plus merveilleux des breuvages.

Il prit appui sur les mains pour prendre position au dessus de son visage et un sourire malicieux sur les lèvres, la tenta :


- Préfères-tu une sucrerie à l’anis ?


Mais déjà la jeune jouvencelle avait reprit ses lèvres, appréciant avec délectation la nouvelle saveur qu’elles dégageaient.

Elle enserra d’un geste rapide les hanches de Harry, qui sous l’effet de surprise en perdit presque l’équilibre.

C’est alors que, le regard l’un dans l’autre, il descendit doucement quelques doigts vers son divin puits d’amour et lorsqu’il les inséra dans un mouvement agile, elle se cambra encore plus, pouvant sentir tout contre son ventre, la virilité concupiscente qui bientôt l’emmènerai jusqu’à l’extase.

Avec un malin plaisir, Harry jouait avec ses doigts, imprimant de légers vas et vient, mais il ne souhaitait pas encore lui donner ce qu’elle voulait, il préférait la voir se languir sous ses caresses insoutenables, il voulait qu’elle ouvre la bouche pour autre chose que lui rendre ses baisers, il voulait qu’elle lui demande. Oui ! Quelle lui demande enfin….

Et enfin….


- Oh….Harry ! Je t’en prie ! Je te veux en moi !

- Ah ! J’ai bien cru que tu ne me le demanderais jamais, lança-t-il avec malice.


Et en un mouvement ardent, il pénétra le douce et chaude entrée de son aimée.

Chacun émit un gémissement de plaisir intense, dans l’impossibilité de garder plus longtemps en eux ce feu qui les consumait.

Harry donnait de puissants coups de rein, obligeant Ginny à se maintenir à lui pour ne pas glisser sur le sol. Il aimait la sentir contre lui, et elle aimait le sentir au plus profond d’elle. La tête en arrière, elle laissait son tendre amant la couvrir de baiser enflammer dans sa nuque chaude et offerte dans laquelle il pouvait sentir son cœur battre à toute allure.

Et quand, elle sentit le souffle de son bourreau s’accélérer contre sa poitrine, elle enserra d’autant plus son étreinte autour de sa taille et plaça des mains souples sur ses fesses fermes et musclées, l’incitant à accélérer le mouvement.

Celui-ci ne se fit pas prier et octroya des coups plus vigoureux et plus indomptés, arrachant des cris de plaisir à Ginny, qui sentait en elle, montait en plus du membre concupiscent d’Harry, une chaleur telle qu’elle ne pouvait plus retenir ses cris. Elle enfoui son visage dans le creux de l’épaule de son amant, tandis que celui-ci tentait de se maintenir en équilibre tout en ne ralentissant pas son rythme soutenu.

Et dans un râle de jouissance extrême, il sentit une décharge vive lui parcourir le bas des reins et il ne pu s’empêcher de se mordre le poing pour ne pas hurler quand son corps se contorsionna en plusieurs petits soubresauts.

Lentement, leur respiration se fit plus calme, plus sereine. Comme le calme qui précède la tempête un lourd silence s’installa.

Ils restèrent un instant l’un contre l’autre, ne voulant pas se relâcher, de peur de vaincre la magie du moment.

Harry s’appuya tout de même difficilement sur ses avants bras et toisa son aimée d’un regard amoureux.

Celle-ci, le visage empourpré par le désir, lui rendait son regard qui en disait long sur la reconnaissance qu’elle lui témoignait.

Sans un mot, ils se rhabillèrent et avant de quitter la ruelle, Harry saisit la main de Ginny et docilement, lui glissa une petite étoile à l’anis entre les lèvres, symbole de leur désir ardent et amour naissant.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Harry
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