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Mercredi 20 février 3 20 /02 /Fév 19:55
Contribution de Lylah :

Chapitre 2 : Beautée blafarde



- Ouah ! Drago…c’était si….si….je trouve pas les mots !

- Ordinaire ! Lança le blondinet en se rasseyant sur le lit pour enfiler sa chemise.

La jeune fille derrière lui poussa une plainte indignée.

- Ordinaire ? Tu te fous de moi ? Je les ai inventés peut-être tes gémissements ? Et ta misérable queue ? Elle se tenait droite comme un piquet grâce à un trépied peut-être ?

Elle lui faisait à présent face, pointant fièrement sa jeune poitrine sous son nez et attendait une réponse valable les mains sur les hanches.

Drago ne prêtait déjà plus attention à elle, il enfila sa deuxième chaussure et la contourna en faisant bien attention de ne pas la toucher et une fois dans l’embrasure de la porte, sans se retourner, lui assainit le coup fatal.

- C’est facile de bander, suffit de penser à autre chose !

Et il claqua la porte, fier de sa répartie quelque peu…comment dire ? Sa répartie Malfoyenne !

Il pouvait encore l’entendre hurler dans le couloir, mais déjà, pour lui, c’était de l’histoire ancienne.


La nuit était tombée déjà depuis plusieurs heures sur Poudlard, et il était temps qu’il entame sa perpétuelle ronde de soirée. En tant que préfet en chef, il allait falloir qu’il trouve un autre moyen de « punir » toutes ses petites étudiantes, qui avaient tendance à prendre goût aux délicieuses tortures de leur bourreau et commençaient à vouloir bien trop souvent enfreindre le règlement du couvre feu.

Ce petit jeu ne l’amusait plus. A vrai dire, plus grand-chose ne l’amusait ces derniers temps. Il perdait le goût de vivre, de s’amuser, même lancer ses éternelles insultes à Potter et sa petite bande ne lui prodiguait plus aucun plaisir.

Dans un soupir las, il entreprit une ascension vers le troisième étage.


Dans ses noires pensées, il ne fit pas attention à la forme qui se mouvait près d’une fenêtre. Ce ne fut que lorsqu’il se trouva à quelques mètres d’elle qu’il s’étonna.

- Et toi ! Je suppose que tu connais pas encore le règlement ou alors, tu cherches, comme toutes les autres à ce que je me mette en colère, soupira-t-il.

Mais derrière le rideau qui couvrait la grande fenêtre, la personne ne daigna pas répondre. Elle laissait négligemment pendre ses jambes sur le rebord, indiquant clairement qu’elle ne cherchait pas à se cacher mais seulement à trouver la tranquillité.

- Oh ! Je te parle il me semble ! S’impatienta Drago en tirant violemment le lourd tissu, ah…c’est toi…

Il resta un instant les bras ballants, fixant d’un œil interrogateur le visage qui s’était à présent tourné vers lui.

- Je ne pensais pas que tu étais de celles qui cherchaient à ce que je  « l’attrape » ! Scanda-t-il les mains sur les hanches.

Luna le dévisageait sans expression aucune sur le visage. Son éternel regard plongé dans le vide, comme si elle baignait dans un autre monde dans lequel elle ne voulait pas sortir.

- Même si tu es très beau dans la lueur de lune, je ne cherche rien avec toi Drago, répondit-elle le plus calmement possible.

Et elle se leva doucement, épousseta le derrière de sa robe et s’éloigna dans la pénombre du couloir.

Drago, d’un naturel pourtant si vif, n’avait, pour on se sait quelle raison, pu la rattraper, et lui coller quand même une retenue.

Elle n’était certainement pas son genre de nana, et qui plus est, même s’il ne s’agissait pas d’une Griffondor, elle n’était pas assez bien pour lui ! Il ne se serait pas abaissé à lui faire part de ses faveurs, si elle en avait eu toute fois envie, ce qui ne semblait pas vraiment être le cas.

Luna était de ce genre de fille que l’on évitait de fréquenter, sauf si on se prénommait Potter, Weasley et autres, de peur d’être happé dans son univers et de ne pas en ressortir indemne.

Bah ! De toute façon, qu’est-ce qu’on pouvait bien lui trouver ?

Oui….qu’est-ce qu’on pourrait bien lui trouver ?

Drago se surpris à faire l’inventaire des qualités physiques de la jeune fille pendant plusieurs minutes.

Mais qu’est-ce qu’il te prend mon pauvre Drago ? Tu es tombé si bas que tu prends les morts vivants maintenant ??

Un frisson le parcouru et il repartit vers ses appartements de préfet en chef, où il pourrait terminer tranquillement cette nuit, bien trop étrange à son goût.


Le lendemain matin, en entrant dans la grande salle, il se surprit à jeter un regard furtif à la table des serdaigle.

La jeune fille remuait, rêveuse, son bol de céréales, ne prêtant pas attention à ses amis jacassant à tue tête à ses côtés.

Le soleil qui filtrait par les grandes fenêtres auréolait sa fine chevelure blonde, d’un halo de lumière angélique.

Son teint laiteux et sans imperfection était un appel à la caresse, et Drago, dans un geste à peine contrôlé, se caressa tendrement la joue comme si c’était celle de la jeune fille qu’il effleurait.

Une fois de plus, il se gifla intérieurement pour sortir de sa torpeur.

Mais comment pouvait-il être attiré par cette nana sans saveur, sans cervelle…..et sans défaut….

NON !!!! J’ai dis, sans saveur, sans cervelle et C’EST TOUT !!!

Dans un geste emporté, il repoussa le bol qu’il avait attiré à lui précédemment et sortit de la salle avec fracas, laissant tous les petits serpents siffler derrière son dos.

Il partit se réfugier près du saule cogneur (pas trop près quand même) et se passa nerveusement les doigts dans les cheveux.

Mais qu’est-ce qu’il m’arrive ?? Je deviens fou !!!

Un craquement de feuille lui fit relever prestement la tête.

Elle était là.

Devant lui.

Son éternelle expression impassible sur le visage.

- Qu’est-ce que tu viens faire là ? Je ne pense pas avoir demandé que l’on me suive ! Cracha Drago sur la défensive.

La jeune serdaigle s’accroupit devant lui et posa une main chaste sur son genou.

Il avait suivit son geste du regard, s’arrêtant presque de respirer, comme si elle s’apprêtait à lui enfoncer un poignard dans le coeur. Et pourtant, il n’esquissa pas un mouvement. Se contentant juste de fixer ses doigts longs et fins posés sur le tissu de son pantalon.

- Même si tu as du mal en t’en convaincre Drago, nous sommes pareil tous les deux.

C’était la deuxième fois qu’elle l’appelait par son prénom. La deuxième fois qu’il la laissait le faire sans la gifler pour son impudence.

Il releva les yeux et plongea son regard acier dans les prunelles limpides de la jeune fille. Et contre toute attente, elle lui sourit tendrement.

Drago sentit son cœur battre dans sa poitrine. Il eu un léger soubresaut, comme si celui-ci n’avait plus fonctionné depuis des années. Il sentait la moiteur engourdir ses doigts et sa gorge se nouer. Mais….que se passait-il par Merlin ?

Luna se releva avec délicatesse et avant de repartir, elle murmura à nouveau.

- Pareil…tous les deux…

Elle avait à présent le regard si triste, et le jeune serpent avait presque envie de lui courir après pour la serrer ardemment dans ses bras et sentir son corps qui semblait si fragile se fondre dans le sien. Mais une fois de plus, il n’en fit rien, comme si le simple contact de la demoiselle l’avait gelé sur place.


Cette nuit là, Drago ne put fermer l’œil.

Il tournait sans arrêt dans son lit à la recherche du sommeil, mais celui-ci semblait le fuir, comme si sa journée n’était pas terminée et qu’il fallait encore qu’il accomplisse quelque chose.

Résigné, il posa les pieds au sol et soupirant d’ennui, enfila quelques rapides vêtements pour aller prendre l’air.

Le silence imperturbable du château l’apaisait. S’il avait pu choisir de vivre à un certain moment de la journée, il aurait certainement choisit la nuit. Quand personne ne chahute, quand tout n’est que murmure et ombre inquiétante, quand les imperfections de la vie ne sont que silhouettes flous et incertaines, quand la lune trône fièrement dans le ciel d’ébène faisant miroiter les cheveux de celle qui hante ses pensées.

Quoi ? Mais à quoi je pense là ??? Miroiter les cheveux de qui… ??

Mais déjà il pu l’apercevoir.

Près du lac, elle fixait l’horizon, emmitouflée dans sa lourde cape aux couleurs de sa maison.

C’était plus fort que lui. Il fallait qu’il s’approche. Comme un papillon aveuglé par la lumière, il vint se poser près d’elle.

- Je savais que tu viendrais Drago, je le savais.

A ces derniers mots, elle avait posé ses mains contre son cœur et avait fermé les yeux, prenant une profonde respiration comme lorsque l’on hume l’air vivifiant de la montagne.

Elle lui fit face en tournant délicatement sur elle-même.

La lueur blafarde de la lune offrait au teint opalin de la belle, une carnation séraphique.

Elle tendit une main tremblante vers la joue de Drago qui pencha légèrement la tête pour accéder plus rapidement à la caresse qu’elle allait lui prodiguer.

- Nous avons la même peau, si pâle….

Elle avança timidement vers lui et sur la pointe des pieds, elle déposa un baiser sur une de ses paupières.

- Les mêmes yeux….si clairs….si tristes

Drago n’arrivait pas à bouger, mais lorsqu’elle posa ses mains sur ses tempes, il ne pu s’empêcher de la saisir par la taille.

- Le même esprit….si torturé…continua-t-elle.

Il voulu ouvrir la bouche pour protester mais elle glissait ses doigts sur ses lèvres pour les poser délicatement sur sa poitrine.

- Le même corps, si….

Mais elle ne pu finir sa phrase, Drago avait saisit ses lèvres d’un baiser enfiévré en resserrant son étreinte sur sa taille, et c’est quand il reprit son souffle qu’il lui termina sa phrase.

- …si impatient !

Le regard de la jeune fille se mit à scintiller et Drago sentit monter une vague de chaleur en lui qui le poussa à renouveler son baiser, plus passionné et plus ardent.




Luna pencha délicatement la tête en arrière pour qu’il couvre sa nuque de ses délicieuses petites lapées.

Tout en plongeant son regard dans celui de la belle, Drago entreprit de faire glisser sa cape le long de ses frêles épaules, guettant une quelconque protestation, mais la demoiselle n’avait nullement l’intention de refuser ses caresses, et commença même, elle-même à se dévêtir.

Afin de rattraper son retard, Drago en fit de même, laissant délicatement tomber sur le sol sa cape et sa chemise, et avec une tendresse qui ne lui était pas propre, il allongea sa belle d’un soir sur l’herbe fraîche.

Elle se cambra un instant au contact de celle-ci, laissant doucement son corps apprécier cette vive fraîcheur.

Il entreprit par de tendres baisers, de réchauffer d’une chaleur infernale, son corps parfait.

De la base de sa nuque jusqu'à la naissance de ses seins, les baisers restèrent tendres, presque chastes. Il releva les yeux un instant et dégrafa avec aisance, le bout de dentelle bleu qui le séparait de ses deux nouvelles friandises.

Quand il saisit une des rondeurs d’une main, la jeune fille tressaillit de plaisir, ce qui eu pour effet d’enhardir notre jeune homme qui s’empressa de la couvrir de baisers, prenant soin de s’attarder sur le petit monticule de chair brune.

Tout en continuant quelques jeux malicieux avec sa langue, il glissa des doigts furtifs vers la fermeture éclair de sa jupe. Le froissement du tissu contre sa peau ne faisait qu’attiser son excitation déjà mise à rude épreuve.

Les légers mouvements du bassin qu’imprimait la jouvencelle sous ses caresses, le mettait dans un tel état que bientôt l’étoffe qui enveloppait sa fierté craquerait sous l’effet de l’excitation.

Avec une dextérité déconcertante, il se débarrassa de la jupe et de son pantalon, les envoyant rejoindre prestement les autres vêtements.

Il pouvait sentir Luna trembler sous son corps. Tremblait-elle de froid ou de plaisir ?

Dans les deux cas, il savait comment satisfaire ce corps impatient.

Il glissa sous son nombril une langue fureteuse, faisant pousser de petits gémissements aigus à la serdaigle, et lorsque qu’il ôta calmement la fine lingerie, il sentait déjà que la délectation de son antre du plaisir serait un véritable bonheur.

Aussi, il ne se fit pas attendre et enfoui sa langue dans cette intimité ainsi offerte, provoquant une décharge qui parcouru Luna dans tout le corps.

Elle serrait de ses petites mains, les touffes d’herbes près de son corps lactescent, se mordant la lèvre inférieure pour ne pas crier.

Le corps saisit de convulsions, elle haletait bruyamment, incitant son partenaire à se faire plus pressant.

Drago inséra un doigt dans l’humidité moite et chaude de son amie, tout en continuant de déguster à petites lapées, son divin nectar.

Sentant sa virilité enfler de plus en plus, il se débarrassa en un éclair de ce qui l’empêchait presque de respirer et remonta félinement vers le visage rayonnant sous la lune, de sa charmante petite proie.

Celle-ci ouvrit les yeux plein de malice et poussa son amant d’une main afin qu’il se retrouve sur le dos.

Drago comprit immédiatement la situation et se laissa aimablement faire.

Elle titilla un instant ses tétons durcis par le plaisir et descendit dangereusement le long de la ligne de duvet blond qui la conduirait jusqu’à cette friandise d’un autre genre.

Levant les yeux vers Drago pour admirer l’emprise soudaine qu’elle avait sur lui, elle prodigua un timide coup de langue de bas en haut du docile membre de chair.

Sous l’effet de la caresse, Drago ne pu s’empêcher de jurer, plaquant rapidement son poing dans sa bouche pour ne pas recommencer.

Merde….calme-toi mon vieux ! Sinon tu vas jamais tenir jusqu’au bout !

Elle avait à présent engloutit sa « sucette » dans sa bouche et imprimait de légers vas et vient, prenant bien soin d’accélérer par moment le mouvement pour rendre la caresse plus intense.

Le pauvre petit serpent ne savait pas où s’accrocher, comme si le plaisir incommensurable qu’il ressentait le propulsait au plus profond d’un abysse sans fond.

Il indiquait quelques mouvements rapides du bassin, dictant une cadence plus soutenu à sa belle, bien qu’elle n’eut pas besoin de notice au préalable pour bien savoir se servir du joujou.

Drago n’en pouvait plus. Il posa une main tremblante sur la tête de Luna, l’incitant, à son grand désespoir, de revenir vers lui.

Il la renversa doucement sur l’herbe et bascula sur elle, plongeant un regard tendre dans ses prunelles étincelantes.

Jamais, oh grand jamais, il ne s’était montré si attentionné avec une de ses conquêtes. Celle-ci était particulièrement spéciale. Il se devait pas de la satisfaire coûte que coûte. Question de fierté !

D’un mouvement lent du bassin, il s’inséra en elle, lui faisant pousser un gémissement de plaisir qu’elle étouffa de ses lèvres.

- Ne t’empêche pas de laisser parler ton plaisir ma belle….lui susurra-t-il à l’oreille tout en donnant de lents coups de rein.

La jeune fille le fixait maintenant d’un regard implorant. L’implorant d’être plus présent en elle, plus virulent, plus assidu.

Il lui sourit malicieusement, et chuchota un « à ton service » avant d’accélérer la cadence en prenant un appui plus soutenu sur ses bras.

Luna ne cachait à présent plus ce qu’elle ressentait. Elle cambrait son corps du plus qu’elle le pouvait, rejetant sa tête en arrière en poussant des râles de plaisir réguliers.

Drago ne pu s’empêcher de l’imiter tellement le plaisir le submergeait. Plus il donnait de puissants coups de rein et plus il sentait une chaleur de tous les diables l’envahir au plus profond de son être.

Il passa rapidement ses bras sous les jambes de la Serdaigle, rehaussant ainsi son bassin pour pouvoir entrer plus profondément en elle. Ses coups se firent plus rapides, sa respiration plus forte. La chaleur de son corps montait dangereusement en même temps que son plaisir et quand il entendit son amante hurler son nom dans un soubresaut, il déversa en elle son excitation arrivée à son comble.

Quelle était belle le corps ruisselant de sueur. Quelle était belle sous les rayons faibles de la lune, accentuant la blancheur de sa peau. Quelle était belle étendue telle une nymphe dans l’herbe, le corps las et satisfait.

Drago s’étendit timidement contre elle, et enfoui son visage dans sa poitrine, cherchant un confort qu’il trouva immédiatement.

Les battements du cœur de sa belle reprenaient un rythme normal en même temps que sa respiration suivait la sienne.

Il avait retrouvé la plénitude qu’il avait perdu. Cette envie de vivre, de déplacer des montagnes.

Il revivait en son sein et il lui en serait éternellement reconnaissant.

Et même si l’un et l’autre savait en se rhabillant que leur étreinte passionné ne pouvait que rester secrète, chacun possédait en son fort intérieur la certitude que maintenant, ils n’étaient plus seuls.

Ils se complétaient. Ils se compléteraient. Et même si pour ça, il fallait que ça reste secret.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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Lundi 23 juillet 1 23 /07 /Juil 17:59
Première rentrée à Poudlard

Une aventure sexuelle de Harry Potter en première année

Avec : Lavande Brown, Parvati Patil







    Jamais de sa vie, Lavande Brown n'avait vu un hall aussi immense que celui de Poudlard. Il était si grand qu'elle en avait le vertige en regardant le plafond. Elle était entourée d'inconnus de son âge qui, eux aussi, regardaient les alentours avec étonnement. Mais même s'ils semblaient tous ressentir la même chose, Lavande n'était pas rassurée pour autant. Elle commençait sérieusement à regretter ses amies de son ancienne école. Aujourd'hui, entourée d'une foule de gens, elle était toute seule.

    Mais elle ne savait pas encore le pire. A peine arrivée dans la grande salle qui lui faisait aussi tourner la tête, elle fut appelée pour mettre le choixpeau magique devant les regards scrutateurs des professeurs et de tous les élèves rassemblés. Elle crut voir un groupe de garçon la regarder avec une attention particulière qui la mettait mal à l'aise. Elle s'assit, posa le chapeau sur la tête et fut envoyée à Gryffondor. En redonnant le chapeau à la directrice adjointe, qui n'avait pas particulièrement une tête sympathique, elle dut reprendre ses esprits quelques secondes avant d'être sûre de s'asseoir à la bonne table d'où elle ne bougea plus.

    Elle fut vite rejointe par plusieurs élèves de son âge, ses nouveaux camarades de classe, pensa-t-elle. Le repas lui redonna un peu de coeur au ventre mais elle ne prit pas beaucoup part aux discussions, se contentant surtout d'écouter les plus anciens leur donner des conseils. Lorsqu'ils eurent terminés, ils prirent des chemins inimaginables et Lavande était sûre qu'elle n'arriverait jamais à se retrouver dans les dédales du château.

    Enfin vint l'un des moments qu'elle redoutait, se retrouver seules avec les filles qui partageraient sa chambre pendant toute l'année scolaire. Très intimidée, Lavande se contenta d'une présentation sommaire de sa personne lorsque Hermione et Parvati l'eurent également fait. Les filles discutèrent un peu et Lavande se rassura. Elles avaient l'air sympathique finalement. Mais le voyage jusqu'à Poudlard les avait épuisées et elles décidèrent de se coucher au plus vite. Lavande était assez pudique et elle ne se résolut pas facilement à se déshabiller devant les autres. Toutefois, Hermione et Parvati n'étaient pas gênées le moins du monde et agissaient avec naturel. Elle se força donc un peu pour ne pas paraître distante mais enfila rapidement son pyjama. Puis elles se souhaitèrent bonne nuit et se couchèrent.

    Lavande ne trouva pas le sommeil. Certes, les filles semblaient gentilles et l'école était belle mais elle ne parvenait pas à effacer le sentiment de solitude qui faisait comme une boule dans son ventre. Des larmes s'échappèrent de ses yeux et elle étouffa des sanglots dans son oreiller. Par besoin d'oxygène, elle en laissa échapper malgré elle un ou deux assez sonores. Elle espérait n'avoir pas dérangé Hermione ou Parvati mais dût se rendre à l'évidence que ce n'était pas le cas en entendant des pas légers s'approcher de son lit. Lavande prit une grande inspiration, essuya ses yeux du revers de sa manche et se tourna. Parvati s'assit sur le lit et demanda à voix basse :

« Tout va bien ?
_ Oui. Excuse-moi, je ne voulais pas te réveiller.
_ Je ne dormais pas encore. Dis-moi ce qui t'arrive.
_ Non ce n'est rien. Laisse ! »

Parvati avança une main et caressa la joue de Lavande sur laquelle perlait encore une larme.

« Je n'ai pas l'impression que ce n'est rien. Vas-y raconte-moi.
_ Ce n'est pas grave. Je suis idiote. C'est que... j'ai un peu peur... d'être ici.
_ Tu n'es pas idiote. Moi aussi j'ai un peu peur. Et je suis sûre que si l'on réveillait Hermione, elle nous dirait la même chose.
_ C'est vrai ?
_ Oui. Moi je croyais que je serai avec ma soeur. On est jumelle, on est toujours ensemble. Mais elle a été à Serdaigle. On a beau être dans la même école, c'est la première fois qu'on est séparée ainsi. Alors tu vois, tu n'as pas de raison d'avoir honte. Je suis sûre que pleins de premières années vont plutôt mal dormir cette nuit.
_ Merci Parvati. Je suis désolée de t'avoir dérangé. »

Parvati lui caressa les cheveux avec douceur.

« Ne t'inquiète pas. En fait ça me fait du bien de parler un peu aussi. »

La jeune fille grelotta. Le froid dans la chambre se faisait plus intense et Parvati ne portait qu'une nuisette. Lavande le remarqua et repoussa ses couvertures.

« Viens. J'aimerai bien que tu restes encore un peu... sauf si tu veux retourner dans ton lit. »

Parvati se glissa rapidement à côté de Lavande et rabattit les couvertures.

« Non, je n'ai pas encore sommeil mais il fait vraiment trop froid pour ne pas accepter ce genre d'invitation. Je suis gelée. »

Lavande constata effectivement que Parvati tremblait un peu. Elle se colla un peu contre elle et l'entoura d'un bras.

« Je vais te réchauffer un peu, ma pauvre.
_ Pour ça, je suis toujours d'accord. »

    Parvati se colla beaucoup plus contre la mignonne et posa ses lèvres sur les siennes. Lavande resta tétanisée quelques secondes. Elle comprit en un éclair qu'elle était en train de savourer la tendresse des lèvres de Parvati et recula soudain.

« Qu'est-ce que... »

Lavande s'écarta de la jeune fille avec précipitation et faillit en tomber du lit.

« Mais qu'est-ce que tu fais ?
_ Quoi ? Tu... ce n'étais pas... une invitation...
_ A rester avec moi. Pas à... à...
_ Oh, excuse-moi, fit Parvati horrifiée. Je suis trop bête. C'est une habitude... avec ma soeur...
_ Ta soeur ? S'écria Lavande.
_ Chut ! »

Dans le lit en face, Hermione remua un peu mais ne se réveilla pas. Parvati reprit doucement.

« Oui. Avec ma soeur nous partageons beaucoup de choses et nous avons découvert beaucoup de choses ensemble. Mais ce n'est pas si grave enfin.
_ Tu... tu aimes les filles ? Demanda Lavande à voix basse.
_ Oui. Mais pas seulement. J'aime aussi beaucoup les garçons. Tu sais je... »

Parvati voulut mettre sa main sur l'épaule de Lavande mais celle-ci eut un autre mouvement de recul qui manqua à nouveau de la faire tomber.

« Calme-toi, Lavande ! Je n'ai jamais forcé personne pour ça. Je ne te ferai pas de mal. Je ne te ferai rien du tout même, si tu n'as pas envie.
_ Pardon. Je ne veux pas te vexer mais je trouve ça... bizarre.
_ Bizarre ? Tu t'es déjà posés des questions sur l'amour entre filles ? »

Lavande rougit jusqu'aux oreilles.

« Euh... non... pas vraiment.
_ Tu sais ça n'a rien d'exceptionnel. Des baisers, des caresses, pas grand chose de plus. Ce n'est rien de grave.
_ Et tu... tu voulais faire ça... avec moi ? »

    Parvati regarda ce que les couvertures de la jeune fille ne cachaient pas. Sa respiration faisait lentement monter et descendre une petite poitrine naissante qui se dessinait sous le haut du pyjama. Ses lèvres, légèrement entrouvertes, semblaient deux fruits bien mûrs qui demandaient que l'on goûte leur saveur. Même dans le noir, ses yeux semblaient briller comme une constellation d'étoiles.

« Je pense que tu serais rassurée si je te disais non, reprit Parvati, mais ce serait te mentir et je veux être franche avec toi. Tu es très belle Lavande. Et j'aurai aimé te montrer ce que c'était. J'ai adoré t'embrasser.
_ En fait… moi… moi aussi ! »

Parvati parut surprise. Lavande pensait bien que cela la chamboulerait un peu. Mais elle aussi avait l’intention d’être franche. Et elle devait l’admettre. Ce baiser lui avait plu.

« Ecoute ! Reprit-elle. C’est vrai que j’ai aimé ton baiser mais je ne sais pas encore ce que ça signifie. Je ne sais pas si… ça me fait vraiment envie… ou si c’est juste la peur qui me fait faire un peu n’importe quoi.
_ Tu as peur avec moi ?
_ Non, c’est vrai. Mais je suis un peu perdu. »

Parvati laissa à nouveau une main caresser les cheveux de la mignonne qui lui faisait face. Cette fois-ci, Lavande ne recula pas.

« Ce n’est pas grave, fit Parvati. »



La jeune fille allait pour se relever et rejoindre son lit mais Lavande attrapa son bras.

« Dis… tu… tu veux bien… recommencer ? … Juste le baiser… s’il te plaît.
_ Tu joues à un jeu dangereux ma belle, fit Parvati en se retournant. »

Lavande ne dit rien et se contenta de la regarder intensément. Du reste, Parvati n’attendait aucune réponse et prit doucement les lèvres de sa jolie compagne. Lavande, cette fois-ci, répondit au baiser et apprécia pleinement l’agréable trouble de l’esprit que cela lui procurait. Elle ne pouvait nier qu’elle aimait ça, elle en était maintenant sûre. Elle sentit une main glisser lentement sur le fin tissu de son pyjama, partant de son épaule pour s’arrêter sur son petit sein. Lavande frémit mais ne la retira pas. Parvati glissa sa bouche vers l’oreille de sa gracieuse partenaire.

« Je ne te ferai jamais rien que tu ne veuilles pas faire, murmura-t-elle dans un souffle. Tu n’as qu’à me dire quand m’arrêter. A n’importe quel moment. Je n’irai pas plus loin que là où tu le souhaites. »

Lavande ne bougea pas. Elle attendit simplement que les lèvres de sa belle camarade viennent se poser à nouveau sur les siennes. Parvati passa sa main sous le petit haut du pyjama. Elle remonta doucement sur la taille fine et la peau satinée de la jeune fille jusqu’à s’emparer de la petite colline qu’elle venait à peine de quitter. Ses doigts cajoleurs caressèrent le tendre sommet érigé avec mille attentions. Avec douceur, elle glissa sa langue habile entre les lèvres de la jeune ingénue qui n’y opposa aucune résistance. Son autre main avait reprit ses caresses dans les longs accroche-cœurs de Lavande qui gisaient sur son oreiller.

    Jamais Parvati ne brusqua ses mouvements. Jamais elle ne parut pressée ou impatiente. Chacun de ses gestes était calculé, millimétré pour que Lavande en apprécie le moindre contact. Parvati enleva la barrière de vêtement qui recouvrait le torse de l’objet de ses désir. Sa bouche gourmande mais réfléchie s’empara du petit sein jusqu’ici oublié tandis que sa main massait toujours l’autre avec douceur. Mais cette dernière avait un autre but. Lentement, elle glissa sur l’arrondi à peine éclos et descendit peu à peu sur le ventre plat et tendre de Lavande qui, bien qu’encore peu connaisseuse de ce genre de choses, avait déjà deviné l’objectif final des doigts attentionnés. Ils passèrent en effet sous l’élastique du pantalon mais s’arrêtèrent aussitôt. Parvati savait que ce moment était crucial. Le moindre empressement pouvait complètement braquer la mignonne encore indécise. Du geste suivant dépendrait tout le reste de la nuit.

    Parvati libéra le petit sein et releva la tête. Elle plongea son regard dans celui mêlé de crainte et d’envie de Lavande. Elle se contenta de la regarder avec douceur. Pour toute réponse, la petite novice entoura son amante de ses bras et l’attira contre elle, impatiente de goûter sa langue à nouveau. Parvati laissa alors sa main descendre et effleurer le tendre sanctuaire de Lavande. Elle trouva le petit bouton d’amour de la belle et se mit à l’agacer par de petites cajoleries du bout des doigts. Elle sentait les dernières défenses de Lavande fondre comme neige au soleil. Parvati fut heureuse lorsque les mains de sa nouvelle compagne se posèrent sur ses cuisses, juste sous la limite de sa nuisette. Puis elles remontèrent lentement vers les petites fesses. L’exploration des douces collines de chair tendre fit frémir Lavande. Ou peut être était-ce les doigts habiles de son amante qui venaient de commencer une exploration plus profonde de son plus précieux trésor.

    Lavande laissa également ses phalanges s’aventurer dans les recoins de chair de sa nouvelle amie. Elle passa sur le bord des cuisses pour rejoindre l’entrejambe délicat de Parvati. Ses doigts s’amusèrent avec la douce élasticité des lèvres inférieures. Puis, après de lentes recherches, elle découvrit le clitoris de la belle. Parvati laissa échapper un petit gémissement de ses lèvres collées à celles de Lavande. Peut être que cette dernière n’y connaissait rien au sexe, elle était néanmoins douée.

    Parvati se laissa un peu de temps pour apprécier les savoureuses caresses de sa camarade avant de passer à la suite de son programme. Au grand dépit de Lavande, elle brisa le contact de leurs lèvres et retira sa main de sous le pantalon. Elle se redressa, à genoux sur le lit, au-dessus de son amante et retira sa nuisette.

« Tu es vraiment belle, ne put s’empêcher de dire Lavande. »

Parvati lui sourit puis recula pour se retrouver au pied du lit. Là, elle tira vivement sur le pantalon de pyjama et révéla enfin sa conquête dans toute sa splendeur. La jeune ingénue semblait gênée de se retrouver ainsi nue. Parvati savait qu’un vêtement ou un drap pouvait rassurer certaines personnes. Lavande venait à peine de prendre conscience de la situation dans laquelle elle avait été un peu traînée malgré tout. Elle semblait lutter contre une envie de rabattre son drap sur elle et de démontrer à sa camarade qu’elle n’était pas aussi timorée qu’elle avait pu le laisser croire plus tôt. Mais Parvati reprit l’initiative et la jeune novice se félicita intérieurement de n’avoir pas toucher à ce fichu drap lorsqu’elle sentit le baiser de son amante sur son bouton d’amour. Parvati releva légèrement la tête.

« Tu as un nom de fleur et tu en as l’odeur, ma mignonne. Il ne me reste plus qu’à te goûter. »

Lavande ne comprit pas tout de suite ce qu’elle voulait dire mais elle oublia complètement les mots et leur sens lorsque la langue de sa belle s’introduisit en douceur dans son joli coquillage. Elle se mordit les lèvres pour ne pas gémir sous le plaisir intense que lui procurait la gourmandise de Parvati. Elle se détendit peu à peu et ouvrit un peu plus ses cuisses pour signifier à sa charmante partenaire de ne plus hésiter en quoi que ce soit.

    Justement, Parvati avait une idée derrière la tête. Elle appréciait pleinement de donner du plaisir à Lavande, mais elle sentait bien que cela ne lui suffirait jamais.

« S’il te plaît, tu veux bien… »

Lavande comprit très bien ce que souhaitais sa camarade. Un instant de panique se lut dans ses yeux. Elle n’avait jamais fait ça auparavant. Mais elle ne voulait pas se soustraire à la demande de Parvati qui étalait déjà ses jambes vers la tête du lit. Elle avait ressenti tellement de sensations nouvelles grâce à sa douceur qu’elle voulait aussi lui donner du plaisir. Lavande écarta les cuisses de la belle et se pencha vers la tendre intimité sans plus hésiter. Elle sentait la langue de Parvati reprendre son délicieux manège et tenta de l’imiter, s’attardant précautionneusement sur les endroits où elle aimait être elle-même touchée.

    Rapidement, son amante frémit à son tour pour le plus grand contentement de Lavande qui découvrit à quel point sentir le corps de sa douce s’emplir de plaisir lui procurait également plus de jouissance. Elle se fit d’autant plus active, savourant le doux miel dont regorgeait la féminité de Parvati. Celle-ci se sentit perdre pied sous les merveilleux assauts de sa fleur si mignonne. Emportée par le plaisir, elle se rendit à peine compte que c’était maintenant Lavande qui menait le bal. Et avec quel brio. Parvati avait bien du mal à retenir ses gémissements de plaisir et elle devait enfuir sa bouche tout contre le trésor intime de sa belle pour en étouffer certains.

    Dans cet état, il ne lui fallut pas attendre bien longtemps avant que l’orgasme ne l’emporte. Lavande le ressentit dans son corps presque aussi intensément que sa partenaire, ce qui l’amena aussitôt à sa propre jouissance. Elle roula sur le côté, essoufflée. Parvati la rejoignit dans le bon sens et passa ses bras autour d’elle. Lavande ne réussit qu’à prononcer un seul mot :

« Merci !
_ De rien ma beauté. Tout le plaisir était pour moi.
_ J’en doute. »

Parvati tira les draps et couvertures sur elles. Epuisées, elle s’endormirent sans demander leur reste.

    Le lendemain matin, Parvati s’éveilla de bonne heure. Il était encore très tôt, il lui semblait que le soleil se levait à peine. Elle comprit soudain qu’elle était restée toute la nuit avec Lavande. Elle se releva pour gagner son lit avant que Hermione ne se réveille. Mais il était déjà trop tard. Elle était en pyjama debout à côté du lit et les regardait avec un sourire.

« Je vois que vous avez fait connaissance toutes les deux.
_ Euh… oui… mais…
_ Ce n’est pas ce que je crois, sans doute ? »

La conversation tira Lavande des bras de Morphée. Elle poussa un petit cri en voyant Hermione.

« Attends, c’est… c’est parce que j’étais triste hier soir. Parvati est juste venue me consoler, il ne c’est rien passé d’autre. »

Hermione regarda ostensiblement le pyjama et la nuisette en boules au pied du lit. Lavande ne savait plus où se mettre.

« Bon, calme-toi Lavande, ce n’est rien. Et puis moi aussi j’aimerai mieux vous connaître. »

Hermione enleva rapidement son pyjama, révélant son corps superbe, et s’approcha à quatre pattes de Lavande pour la réconforter d’un long baiser sur ses lèvres.
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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Samedi 21 avril 6 21 /04 /Avr 19:43
La fin de la solitude
Une aventure sexuelle de Harry Potter en sixième année

Avec : Luna Lovegood et Neville Londubat





    Neville parcourait les couloirs du château à la recherche de quelque chose à faire. Il avait fini ses devoirs la veille et avait soigné toute sa collection de plantes magiques le matin même. Comme souvent lorsqu’il se retrouvait ainsi, il pensa à l’AD. Si seulement les leçons de Harry au club de défense contre les forces du mal n’avaient pas cessé. Il regrettait amèrement de ne pas avoir à réviser un nouveau sort de combat mais, bien qu’il se soit considérablement amélioré dans cet art, il n’était pas encore suffisamment bon pour apprendre seul des formules de cette importance.
    Machinalement, ses pas le portèrent jusqu’au septième étage, dans le couloir bien connu des anciens membres de l’AD. Sans trop savoir ce qu’il comptait y faire, il passa trois fois devant le mur magique en pensant à la salle d’entraînement et une porte apparue. Il entra et se retrouva dans l’ancien QG de l’AD, pleinement éclairé, propre et rangé comme s’ils en étaient partis la veille seulement.
    Il regarda nonchalamment les livres puis les formes vagues dans l’un des miroirs à l’ennemi. Neville avait eu l’idée de se remémorer un ou deux sorts appris à l’époque mais tout seul ainsi, il n’en avait finalement plus la moindre envie.
    Il se laissa tomber sur les coussins dans un coin de la pièce et entendit un « oumph » de douleur. Surpris, Neville dégagea quelques coussins et découvrit la petite frimousse de Luna sous l’un d’eux.

« Luna ? Mais qu’est-ce que tu fais là ?
_ S’il te plaît Neville, pousse-toi, tu m’étouffes.
_ Oh pardon ! »

Il se décala et aida la jeune serdaigle à sortir de sous les coussins.

« Alors ? Tu m’expliques ? Reprit-il une fois qu’elle fut assise à côté de lui.
_ Oh ce n’est rien d’exceptionnel. Je me suis endormie dans les coussins.
_ Oui, ça je l’ai vu, mais pourquoi es-tu venue ici ?
_ Juste parce que l’AD me manquait. J’aimais bien cet endroit. Alors je suis venue le voir encore une fois. Je me suis assise et je me suis endormie. Heureusement qu’il n’y a pas de Ronfleurs à pustules dans ces coussins. »

Neville qui n’ignorait rien de l’engouement de Luna pour les créatures imaginaires farfelues s’abstint de demander ce qu’étaient des ronfleurs à pustule et enchaîna.

« Moi aussi je suis venu parce que ça me manquait.
_ C’est vrai ? S’étonna Luna en écarquillant un peu plus ses yeux rêveurs. Je croyais être la seule. J’avais l’impression que plus personne n’y pensait.
_ Oui, les autres ont un peu vite oublié que Tu-sais-qui est toujours là alors qu’il est de plus en plus actif. Maintenant que le ministère a reconnu son retour, j’aurai pensé que tout le monde supplierait Harry de reprendre l’AD. Mais bon les cours de défense contre les forces du mal doivent leur suffire. »

    Le jeune homme eut un frisson en pensant au professeur Rogue qui était chargé de ces cours cette année. Luna le remarqua et crut que Neville avait froid. Elle s’approcha pour se mettre contre lui et en profita pour poser sa tête sur son épaule. Neville n’en fut pas vraiment surpris. La jeune fille était toujours très affectueuse avec les gens qu’elle aimait bien. Mais il eut néanmoins le souffle coupé en constatant que Luna était sortie de sa sieste légèrement débraillée et que son décolleté offrait une large vue sur sa superbe poitrine. Elle passa ses bras autour de lui et il fit de même, sans pouvoir détacher ses yeux de l’échancrure de la chemise.

« Tu sais ? Je t’aime bien Neville, déclara soudain Luna. Je crois que c’est parce que tu me ressembles un peu. On a tous les deux de bons amis mais on est finalement toujours un peu seul. Je ne sais pas pourquoi. »

Le jeune homme ne répondit rien. La vue plongeante sur les seins et le souffle chaud de Luna sur son coup le tétanisait. Il se sentit grandir peu à peu, surtout lorsqu’elle déposa un baiser sur sa gorge. La jeune fille fit un petit bond pour se retrouver sur les genoux de Neville et ne put que remarquer l’effet qu’elle lui faisait. Il sembla atterré, craignant qu’elle ne le prenne mal mais Luna lui fit un petit sourire.

« Je ne sais pas si mes sentiments sont réciproques mais en tout cas c’est un bon début. »

Neville allait pour répliquer mais elle l’embrassa avec fougue et il se contenta de répondre à son baiser. Tandis que leurs langues se rencontraient, Luna agita doucement ses fesses pour caresser le membre impressionnant du jeune homme qu’elle sentit encore durcir entre les étoffes. Lorsque enfin, elle libéra ses lèvres, il était essoufflé.
    Neville voulut dire un mot mais Luna posa un doigt sur ses lèvres pour le faire taire à nouveau.

« J’aimerai te faire une surprise Neville. Ferme les yeux et ne pense plus à rien. Laisse moi m’occuper de tout. »

Quand bien même il n’en aurait pas eu la moindre envie, le souffle de la jeune fille à son oreille, l’odeur enivrante de sa peau et la caresse continuelle de son corps tout contre le sien auraient empêché le jeune homme de ne pas s’exécuter sur-le-champ. Il ferma les yeux et essaya de faire le vide dans sa tête. Mais s’il parvenait facilement à oublier la salle de l’AD et les sorts qu’il aurait voulu pratiquer, son esprit ne cessait de lui envoyer le dernier regard que Luna lui avait porté, bien moins rêveur que d’ordinaire, et remplit de désirs impatients. Il sentait la jeune fille rester contre lui et il se demanda ce qu’elle pouvait bien préparer. Il dut se concentrer pour résister à l’envie de regarder trop tôt.

« Tu peux ouvrir les yeux maintenant ! »

Neville n’eut pas besoin de se le faire répéter. Mais à peine avait-il écarté les paupières qu’il fut ébloui. Il dut attendre que sa vision s’adapte pour découvrir la surprise.
    La salle ne ressemblait plus du tout au quartier général de l’AD. Le sol était recouvert de nombreux coussins et couvertures moelleuses. Des sortes de petites vasques dégageaient des parfums légers et la lumière était tamisée. Au centre de la pièce se dressait une sorte de petite estrade recouverte d’un tapis aux couleurs pastels sur laquelle étaient dirigées quelques fortes lumières colorées venant de nul part et qui avait aveuglé le jeune homme.

« Est-ce que ça te plaît ? Demanda Luna d’un ton enjoué.
_ Euh… oui, répondit Neville qui, certes, appréciait le décor mais ne voyait pas où la jeune fille voulait en venir.
_ Oh mais attends, ce n’est que le début de ma surprise. »

Luna se leva, au grand dépit du jeune homme qui aurait préféré la garder tout contre lui, et monta sur l’estrade. Elle donna un coup de baguette magique dans l’air et une petite musique douce s’éleva d’on ne sait où.
    Eberlué, Neville ne comprit ce qu’elle avait l’intention de faire que lorsqu’elle fit sauter le premier bouton de son chemisier. Elle ne put en ouvrir que deux autres et dégager le début de sa poitrine satinée avant que le haut de sa robe de sorcière ne la gêne. Elle se mit de profil et, tout en remuant lentement au rythme de la musique, enleva les bretelles de ses épaules. Elle fit glisser la robe le long de son buste sans se presser puis le long de ses jambes nues qui s’offraient au regard d’un Neville trop émerveillé pour parler. Luna allait pour finir d’ouvrir les boutons mais elle eut soudain une autre idée. Elle se mit dos au jeune homme et releva un peu le bas de son chemisier pour qu’il ait une belle vue sur ses petites fesses magnifiques. Doucement, elle fit glisser sa petite culotte, dévoilant son cul de rêve qui, au grand malheur de Neville fut presque aussitôt recouvert par le bas du chemisier. Celui-ci ne s’arrêtait qu’à la limite des superbes cuisses de la jeune fille et lorsque dans sa danse elle levait les bras, il avait encore furtivement l’apparition des deux tendres collines et du trésor le plus précieux de Luna. Celle-ci voyait bien que sa surprise avait eu l’effet escompté sur le jeune homme et elle décida qu’il était temps de le mettre à contribution.
     Elle lui fit signe d’approcher et tendit l’un de ses pieds enveloppés dans des chaussettes bariolées qu’il devait retirer. Trop heureux de participer enfin, Neville glissa en se relevant et atterrit le nez le premier dans les coussins devant lui. Il se redressa très vite et couru presque jusqu’à l’estrade. Là, il fit lentement glisser ses mains sur le mollet de la jeune fille et couvrit de baisers chaque parcelle de peau qu’il découvrait. Une fois les deux chaussettes enlevées, il sortit sa langue pour caresser les doigts puis le dos du pied. Il remonta rapidement jusqu’à la cuisse où il savoura la douceur de la peau avant de monter encore plus haut, passant la tête sous le chemisier. Il se trouva face à face avec le joli coquillage doré qu’il ne put attendre de lécher tandis qu’il empoignait le délicieux postérieur de Luna. La jeune fille ne s’était pas attendue à une réaction aussi rapide mais fut finalement ravie de la tournure de la situation. Elle fit doucement pression sur Neville pour qu’il s’abaisse sans pour autant relâcher son attention sur son intimité ruisselante. Elle se retrouva ainsi sur le dos et put envoyer ses pieds farfouiller dans les replis du pantalon de son amant à la hauteur de la bosse que formait son membre impressionnant.
    Neville était enivré du parfum intime de sa compagne et s’abreuva bientôt de la source qui jamais ne tarît tandis qu’elle poussait un cri de jouissance. Il n’y tenait plus et retourna complètement la jeune fille qui se retrouva à quatre pattes. Le jeune homme eut la vision du magnifique petit cul à moitié couvert encore du chemisier tandis qu’il remontait sa robe et enlevait son pantalon avec une rapidité hallucinante. Ses mains contournèrent les hanches puis la taille fine de Luna avant de s’aventurer sur son ventre pour remonter jusqu’à sa somptueuse poitrine qu’il débarrassa du soutien gorge. Accroché aux merveilleux seins de son amante, Neville présenta son dard exceptionnel devant l’antre de tous les plaisirs. Sans plus attendre, il donna un puissant coup de rein et pénétra Luna jusqu’à la garde. Celle-ci laissa échapper un cri de surprise devant la taille du pieu de chair mais se mit presque aussitôt à aller au devant des pénétrations de son amant. Très vite, l’un et l’autre comprirent qu’ils perdaient tout contrôle de leur étreinte. Le désir et le plaisir avaient obscurci leur raison. Leurs corps augmentaient sans cesse la cadence jusqu’à atteindre un rythme bestial. La conscience qui leur restait était submergée par le plaisir qu’ils se procuraient.
    Luna finit par hurler son plaisir et jouir sans pour autant ralentir les va et viens de ses hanches. A ce moment précis, et sans vraiment le vouloir, Neville se retira du doux coquillage brûlant de son amante et écarta les petites fesses magnifiques pour planter son membre au plus profond du petit anneau avec rudesse. Luna cria de douleur ce qui réveilla soudain le jeune homme qui prit conscience de ce qu’il venait de faire. Mais à son grand étonnement, son amante continuait de ruer avec acharnement sur son énorme pieu de chair. Elle se mit même à accélérer encore tandis que ses cris redevenaient ceux d’un intense plaisir. Rassuré, Neville attrapa les hanches de sa sublime amante et se démena de plus belle pour la combler.
    Le résultat ne se fit pas attendre très longtemps. Luna donna un coup de rein brusque pour complètement empaler son sublime petit cul sur l’énorme verge de son amant et cria son bonheur tandis que ses tendres cuisses étaient recouvertes de son jus de plaisir. Neville qui la sentait trembler de plaisir dans ses bras arriva à son tour à la jouissance, mais Luna intervint :

« Non, attends encore un peu, s’il te plaît ! »

Sous le regard d’incompréhension du jeune homme, elle déchaussa le membre de son puits secret et se retourna vivement. Elle prit le dard au bord de l’explosion dans sa bouche, ou du moins ce qu’elle put en prendre, et jeta un regard à Neville qui l’autorisait enfin à aller au bout de son plaisir. Celui-ci ne se fit pas prier et déversa de longs jets de semence dans la gorge de son amante.
    Neville était presque à bout de force après cette rude mais délicieuse étreinte et il s’allongea sur le dos. Luna n’en avait pas terminé avec la dégustation du nectar de son amant et continuait de sucer le membre impressionnant avec délectation. La petite bouche gourmande de la jeune fille réussit même à faire jouir Neville une seconde fois pour le plus grand plaisir de celle-ci.
     Bercé par la félicité de l’instant, le jeune homme dût s’endormir car, lorsqu’il ouvrit les yeux, le petit matin arrivait lentement. Les premiers et encore faibles rayons du soleil venaient caresser le corps de rêve de Luna, paisiblement endormie et toute blottie contre lui. Il détailla ses jambes, ses fesses, son dos pour arriver à son doux visage. Pendant de longues minutes il la regarda dormir puis, poussé par une envie soudaine, il l’embrassa tendrement. Luna se réveilla et, sans se demander ce qui arrivait, elle lui rendit passionnément son baiser.

« Dis-moi Luna, c’est vrai que tu m’aimes ?
_ Oui. Depuis que l’on a commencé l’AD. Et toi ? Est-ce que tu m’aimes ?
_ Oh oui. »

Luna laissa échapper un rire puis embrassa à nouveau son amoureux.

« J’avais peur que tu me trouves trop farfelues, comme les autres, reprit-elle.
_ C’est parce qu’ils n’ont pas pris la peine de te connaître. »

Leurs baisers et leurs caresses les enveloppèrent dan une nouvelle volupté. Et comme le matin est un moment propice aux jeux de l’amour, leurs désirs s’enflammèrent à nouveau pour se terminer bien plus tard dans la journée.
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Jeudi 7 décembre 4 07 /12 /Déc 16:10
Pour une raison que j'ignore, je n'arrive pas à vous montrer la fin de l'histoire N°18. J'ai donc remis l'histoire en entier en espérant que cela marchera cette fois.


Une autre danse

Une aventure sexuelle de Harry Potter en quatrième année


Avec : Ginny Weasley, Hermione Granger, Luna Lovegood, Michael Corner, Anthony Goldstein et Terry Boot.






L’effervescence qui régnait à Poudlard en cette nuit de Noël était incomparable avec tout ce que Ginny avait jamais connu. Mais tant d’événements étaient survenus depuis le début de l’année que rien ne l’étonnait vraiment. Tout d’abord ils avaient appris que le tournoi des trois sorciers renaissait à Poudlard. Puis il y eut l’arrivée des élèves de Beauxbâtons et de Durmstrang. Harry était devenu le quatrième champion du tournoi. Ils avaient assisté à l’épreuve des dragons. Et enfin voilà qu’arrivait le bal de Noël. Des personnes plus mûres que des adolescents regroupés dans un château auraient également été surexcitées.

Mais Ginny avait eu besoin d’un peu de calme. Elle avait participé à la bataille de boule de neige avec ses frères et Harry puis elle avait suivit Hermione dans le dortoir pour l’aider à se préparer. Comme cette dernière avait prévu de passer beaucoup de temps sur sa chevelure revêche, elles étaient seules et bien tranquilles. Elles s’accordèrent quelques minutes pour souffler de toute cette agitation avant de s’attaquer à la lourde tâche de la coiffure et s’écroulèrent sur le lit d’Hermione. Ginny se serra contre sa camarade.


« Besoin de tendresse ma mignonne ? Demanda Hermione amusée.

_ Oh oui ! Avec tout ça j’ai l’impression d’être déjà totalement épuisée alors que je n’ai presque rien fait de la journée.

_ Hé ! Pas question que tu rates le bal, reprit Hermione en prenant la petite rousse dans ses bras.

_ Mais non !Encore que… avec Neville ça ne va pas être triste.

_ Il est très gentil. C’est vraiment un garçon très bien. Il manque juste un peu de confiance en lui.

_ Et d’adresse, fit Ginny sur un ton maussade. Tu l’as déjà vu danser ?

_ Euh… non, admit Hermione. Mais qu’il rate quelques sorts ne veux pas dire qu’il ne puisse pas être bon ailleurs.

_ Je l’espère.

_ Allez, il faudrait s’y mettre si on veut être prêtes à temps. »


Voyant que le visage de la petite rousse ne paraissait pas plus réjouie, Hermione posa un délicat baiser sur ses lèvres ce qui avait toujours eu pour don d’adoucir son humeur. Puis elle la libéra de ses bras.

Hermione se déshabilla et mit un vieux jean et un tee-shirt pour aller prendre une douche rapide. Pendant ce temps, Ginny sortit tout ce dont elles auraient besoin pour venir à bout des mèches en broussaille de son amie dont plusieurs flacons de potion capillaire Lissenplis. Elle sortit leurs robes et les défroissa à l’aide d’un sort. La sienne avait été achetée en solde et cela se voyait, surtout comparée à celle d’Hermione, mais elle l’aimait bien quand même car elle était d’une superbe couleur verte qui lui rappelait les yeux de Harry. Toutefois la robe d’Hermione était vraiment somptueuse. Ginny se laissa aller à imaginer le corps gracile de son ami se dessiner sous la douce étoffe d’un bleu pervenche. Elle voyait le tissu se tendre un peu, pressé par les formes encore juvéniles de son amie et imaginait la tendre chaire de ses jambes être révélées par le soulèvement des fines dentelles lorsqu’elle tournerait sur la piste de danse.

La petite rousse se surpris à s’échauffer un peu et se força à revenir sur terre. Il était encore trop tôt pour se laisser aller à ce point et la soirée risquait de ne pas manquer de piquant. Inutile de trop se brusquer. Essayant de ne plus penser à Hermione dans sa robe, Ginny commença à se coiffer. Elle trouvait le temps long. Hermione n’avait apparemment pas la même notion de rapidité qu’elle. Elle s’était coiffée et maquillée et son amie n’était toujours pas revenue. Elle voulut alors se changer. Elle se déshabilla et enfila des sous-vêtements plutôt sexy. Elle s’approcha de sa robe mais ne put s’empêcher de contempler à nouveau celle d’Hermione. Elle toucha l’étoffe si douce et son imagination reprit le dessus. Elle avait soudain l’impression de caresser un sein de la même taille que ceux de son amie.


« Ooooh, Hermione, gémit-elle.

_ Oui, quoi ? »


Ginny sursauta et se retourna. Hermione refermait la porte une serviette sur ses épaules pour empêcher l’eau prise dans sa tignasse de s’écouler sur ses vêtements, ce qui était un peu raté puisque le tee-shirt était un peu mouillé sur le côté gauche et se collait au bout du sein.


« Euh… rien, je regardais ta robe et je la trouvai magnifique. Mais… dis donc, t’en a mis du temps.

_ Ah, oui ! C’est à dire que je suis tombé sur Parvati et Lavande aux douches et qu’elles ont « insisté » pour que je leur dise avec qui j’allais au bal ce soir.

_ Insisté ? Demanda Ginny d’un air amusé qui savait bien de quelle manière les deux filles avaient pu essayer de soutirer des secrets à Hermione.

_ Oui, elles ont sorti le grand jeu. A tel point qu’elles ont fini par oublier pourquoi. Je viens tout juste de m’en aller.

_ Et où sont-elles ?

_ Toujours aux douches. Et je crois qu’elles ne sont pas prêtes d’en sortir vu leur état. Bon on commence ? »


Hermione alla s’asseoir devant le grand miroir de la chambre. Elle ôta son tee-shirt sous lequel elle ne portait rien.


« Mais qu’est-ce que tu fais ? S’exclama Ginny.

_ Ben j’enlève le tee-shirt tout de suite. Je ne vais pas le faire après, ça risquerai de me décoiffer et il faudra tout refaire.

_ Ah… euh… oui, bien sûr. »


Secrètement, la petite rousse avait espéré qu’Hermione n’avait pas trouvé son compte dans les bras de Parvati et Lavande. Mais Ginny savait bien qu’après être passé entre les mains des deux petites perverses, on était généralement au bord de l’hypoglycémie. Il était de notoriété publique parmi les filles de Gryffondor que pour garder la ligne, il suffisait de chauffer un peu les deux amies lorsqu’elles étaient ensemble et de passer ainsi quelques « séances » quotidiennes avec elles pour perdre quelques kilos superflus, ce qui nécessitait certes quelques efforts mais bien plus agréables que de soulever des poids. Il était de notoriété publique au niveau de l’école que depuis quatre ans le club de gym n’avait bizarrement aucun succès auprès des gryffondors.

Hermione semblait toutefois encore bien nerveuse. Ginny s’imaginait que passer l’une des soirées les plus officieusement chaudes jamais vécues à Poudlard avec une star internationale de Quidditch aurait même surexcité une statue du parc.


« Tiens-toi un peu tranquille ! »


Même mouillés, les cheveux d’Hermione étaient à peine aplatis. Ginny avait déjà versé la deuxième bouteille de Lissenplis.


« Tu crois que tu y arriveras ? S’enquit Hermione.

_ Disons que tu as de la chance que l’on soit dans une école de sorcellerie. A part avec de la magie je ne vois pas ce qui pourrait vaincre tes accroche-cœurs.

_ Mes accroche-cœurs ?

_ Je crois que certains poètes disent comme ça.

_ C’est mignon. »


Ce qui accrochait le cœur de Ginny à ce moment-là n’était pas la chevelure rebelle d’Hermione mais ses deux jolis monts de Venus nus qu’elle voyait par-dessus l’épaule de son amie. Mais la pauvre petite rousse devait retenir ses envies secrètes. Hermione était toujours prête pour partager de douces caresses mais le temps leur était compté. Par respect pour son amie, Ginny se retenait de plonger sur la douce poitrine qui montait et descendait lentement au rythme de ses respirations. Elle continua de passer la brosse dans les cheveux d’Hermione en jetant la troisième bouteille de Lissenplis.

Concentrée sur sa tâche, Ginny sentit ses ardeurs se calmer peu à peu. Tous les flocons de potion avaient été vaincus mais la petite rousse avait enfin réussi à rendre les cheveux raides. Elle s’attaqua maintenant à les relever et à les faire tenir ensemble pour dégager la nuque. La chevelure d’Hermione fut enfin prête.


« Alors ? Comment te trouves-tu ? Demanda Ginny, heureuse d’en avoir finie et soufflant un peu en posant les mains sur les épaules de son amie.

_ Wahou ! C’est magnifique ! Juste comme je les voulais. Tu es géniale. »


Hermione se contemplait dans le miroir, ravie, et pencha la tête pour voir sa superbe coiffure. Ginny vit la nuque de son amie s’offrir complètement à elle. D’un seul coup elle n’y tint plus et se pencha pour y poser un baiser. Comme elle s’y attendait depuis le début, Hermione ne dit rien. Ses mains allèrent même caresser tendrement l’arrière des cuisses de la petite rousse. Ginny s’empara des seins qu’elle avait tant désirés. Hermione se releva et attira sa camarade contre elle pour que leurs langues puissent se rencontrer avec passion.

Après un moment de baisers et de douces petites caresses, Hermione s’écarta un peu.


« Il faut que je finisse de me préparer. Viktor m’attend au bateau de Durmstrang. On doit faire notre entrée ensemble. »


Ginny n’avait pas très envie de s’arrêter là mais elle n’avait pas le choix. Hermione et elle allèrent prendre leurs robes et les enfilèrent. Ginny fit ses derniers préparatifs tandis qu’Hermione sortit pour rejoindre Krum. La petite rousse s’écroula sur la chaise et refit un peu sa coiffure. Elle essayait vainement d’oublier le feu qui brûlait dans son ventre. Tandis que d’une main elle passait la brosse dans ses cheveux, son autre main s’aventura lentement sous sa jupe. Ses doigts passèrent sous sa petite culotte pour aller caresser son joli petit coquillage. Elle gémit tandis que le feu de son ventre empourprait maintenant ses joues. Elle sentit que cela ne lui suffirait pas. Elle releva clairement sa jupe sur ses hanches et écarta sa petite culotte. Elle prit la brosse par l’autre côté et commença à agacer son petit bouton d’amour avec le bout du manche. Elle se sentait partir dans des rêves étranges où Hermione et Harry se succédaient pour s’occuper tendrement de son trésor le plus précieux. Ginny n’y tenait plus. Elle poussa le manche en elle et lui fit faire des vas et viens rapides. Tour à tour, Hermione, munie d’un gode, et Harry, au naturel, s’activaient en elle avec vigueur. Elle gémissait tandis que le plaisir commençait à s’emparer de son corps ardent.

La porte s’ouvrit avec fracas. Prise d’une soudaine panique, Ginny retira le manche de la brosse de son intimité et rabaissa sa robe d’un geste vif. Elle eut la présence d’esprit de faire semblant de se coiffer tandis que Parvati, les cheveux humides, apparaissait dans le miroir.


« Tiens, Ginny ! Qu’est-ce que tu fais là ? S’étonna celle-ci tandis que Lavande, enroulée dans une serviette qui ne la cachait qu’à moitié, entrait à son tour, refermait la porte et se ruait sur sa malle pour en tirer sa robe de soirée.

_ J’ai aidé Hermione à se préparer et maintenant je me recoiffais.

_ Ah bien ! »


Il devait être tard car les deux filles ne prêtèrent même pas attention aux joues écarlates de Ginny, à son souffle court et ne lui demandèrent même pas pour la énième fois avec qui Hermione devait aller au bal. Parvati retirait ses vêtements en hâte et fit sécher ses cheveux à l’aide d’un sort tandis que Lavande, complètement nue, défroissait sa robe avec sa baguette. Ginny passa encore quelques coups de brosse dans ses cheveux, essuya discrètement le manche dans un mouchoir puis sortit l’air de rien.

Dans la salle commune, les couples de la soirée se retrouvaient d’un air intimidé. Du haut de l’escalier, Ginny n’en voyait pas moins quelques mains se balader discrètement sur certaines robes de soirée. Cela ne l’arrangeait pas. Elle s’était déjà échauffée avec Hermione et son plaisir solitaire mais néanmoins intense avait été interrompu par Parvati et Lavande. Son bas ventre semblait renfermer des braises. Elle vit Neville qui l’attendait, assis dans un fauteuil près du feu. Dans son état, elle aurait été capable de lui sauter dessus tout de suite devant tout le monde. Reprenant ses esprits, Ginny prit une grande respiration et descendit les dernières marches. Neville avait l’air de ne plus être capable de respirer lorsqu’il vit approcher la petite rousse. Il ne fut pas le seul. Robe de seconde main ou pas, il était difficile de détourner le regard de la jeune fille. Elle prit la main de Neville et ils descendirent dans la grande salle.

Quelques instants, Ginny oublia presque le feu qui la consumait en observant la salle magnifique et en se régalant du festin. Toutefois, lorsque les danses commencèrent et qu’elle se retrouva contre Neville, elle ne put rien faire d’autre que d’y penser. Son partenaire était finalement loin d’être un mauvais danseur mais, perturbée comme elle l’était, elle ne parvenait pas à se concentrée. Neville qui ne comprenait pas ce qui se passait faisait de son mieux mais écrasa plus d’une fois les pieds de sa compagne qui au bout d’un moment lui proposa plutôt d’aller boire un verre. Assis l’un à côté de l’autre, ils sirotèrent une bièraubeurre en silence.


« Quelque chose ne va pas ? Demanda Neville d’un ton inquiet.

_ Hein ? Ah… euh… oui… enfin, je veux dire… non. Je pense à autre chose depuis cet après-midi. Désolée.

_ Et à quoi tu penses ? »


Elle ne sut jamais pourquoi elle avait agit ainsi, mais lorsqu’il posa cette question, elle l’embrassa fougueusement en posant la main sur la bosse qui s’était formée sous son pantalon depuis le premier slow. Neville, surpris, ne réagit même pas tandis que les doigts de la jeune fille se serraient sur son membre en faisant de petits allers et retours à travers sa robe et son pantalon. Ginny appréciait la belle taille du sexe qu’en ce moment elle désirait plus que tout. Il était connu que Neville arborait un membre que les plus pudiques jugeaient « très appréciable » et que les moins gênés disaient clairement « énorme ». Même si Ginny n’oserait jamais l’avouer à quiconque, sauf peut être à Hermione, cette caractéristique avait été décisive pour accepter d’aller au bal avec Neville. La langue du garçon finit par se joindre à la sienne et des mains se pressèrent sur ses fesses. Bien qu’ils étaient dans un coin assez sombre et discret, Ginny essaya de se tourner pour être sûre que personne ne voit ce qu’ils faisaient. Malheureusement son genou percuta la table et le reste de bièraubeurre de Neville alla se répandre sur la robe du garçon.


« Oh, non ! Quelle idiote ! Désolée Neville.

_ C’est pas grave ! Un des rares sorts que j’arrive à faire c’est de sécher les vêtements. Mais ma baguette est restée dans le dortoir.

_ Et bien allons-y, fit Ginny dans un sourire. »


Ils se levèrent pour s’esquiver rapidement de la fête mais un autre garçon les appela.


« Salut Neville ! Salut Ginny ! »


La petite rousse fut surprise que le garçon connaisse son nom car bien que son visage lui dise quelque chose elle ne lui avait jamais parlé.


« Salut Michael, fit Neville d’un air montrant qu’il aurait préféré continuer sa route.

_ Excusez-moi de vous déranger mais je cherche Ron et je n’arrive pas à le trouver dans cette foule. Je me disais que sa sœur saurait où il est. Je dois lui dire quelque chose d’assez urgent.

_ Ah ? Euh… non, désolée, je ne l’ai pas vu. »


Michael semblait vraiment embêté et jeta un regard dans la grande salle.


« Si au moins j’étais sûr qu’il n’est plus là j’irai voir si je le trouve dehors. Ginny, tu peux me dire si tu le vois. »


Ginny n’avait pas plus envie de chercher Ron maintenant que Neville de s’attarder encore dans sa robe mouillée. Mais le garçon semblait vraiment vouloir voir son frère.


« Bon écoute, fit-elle à Neville, va sécher ta robe pendant que je cherche Ron. On se retrouve devant les grandes portes dans cinq minutes. Si je ne l’ai pas trouvé d’ici là, dit-elle en se tournant vers Michael, tu n’auras qu’à attendre demain. »


Le garçon acquiesça. Neville ne semblait pas franchement ravit de la tournure de la situation mais il s’exécuta sans broncher et grimpa les escaliers. Ginny fit un tour d’horizon de la grande salle mais elle ne vit pas Ron.


« C’est difficile avec tout se monde mais je ne crois pas qu’il soit là.

_ Il a peut être était prendre l’air alors.

_ Bon, allons voir. »


Suivie de Michael, Ginny sortit dans le parc. Elle se mit à marcher en observant les alentours mais elle ne vit que quelques couples qui semblaient tous très occupés. Son entrejambe lui sembla atteindre un record de température. Elle espérait que Neville ne serait pas trop long à revenir.


« Je suis vraiment désolée mais je ne le vois nul part et je ne vais pas passer le bal de Noël à chercher mon frère. Si jamais je le croise, je lui dirai que tu le cherches. Qu’est-ce que tu as à lui dire de si important ?

_ Il faut que je lui dise à quel point j’aime sa sœur. »


Ginny fut comme paralysée. Lentement, elle se tourna vers Michael pour voir s’il plaisantait. Mais il la regardait avec sérieux. Déboussolée, Ginny ne savait plus comment réagir. Elle dit alors une phrase qui, sur le moment, lui sembla la plus ridicule et la plus inappropriée qu’elle ait jamais prononcée.


« Alors tu ferais mieux de te taire, si tu tiens encore à rester entier.

_ Tu as sans doute raison, répondit Michael. Dans ce cas, il vaut mieux que tu le gardes pour toi. »


Elle ne savait pas vraiment pourquoi mais Ginny trouvait cette déclaration vraiment craquante. Au milieu du parc enneigé et superbement décoré, seule avec un garçon plutôt mignon, il lui sembla qu’elle aurait presque pu accepter une demande en mariage s’il l’avait proposé. Michael prit sa main et y posa un baiser. Subjuguée, Ginny se sentit si attirée vers ce garçon qu’elle l’aurait embrassé même si quelqu’un d’aussi fort qu’Hagrid la tirait en arrière. Elle savoura les lèvres de Michael en enserrant sa taille. La chaleur de son ventre se fit encore plus vive que tout ce qu’elle avait connu durant la soirée, comme si une bête qui s’était tapie en elle était soudain devenue folle. Elle se colla tout contre son nouvel amoureux et descendit ses petites mains sur les fesses du garçon. Prudent, Michael avait attendu ce signal pour, à son tour, caresser les jeunes courbes de la petite rousse.

Ginny, enfiévrée par le désir relâcha un peu son étreinte et sourit au garçon. Mais elle aperçut soudain une ombre près des grandes portes du château.


« Oh non ! Neville ! »


Michael se retourna juste à temps pour voir fuir le gryffondor.


« Aïe ! J’aurais préféré éviter ça. Neville est plutôt sympa et on a pas mal de cours en commun.

_ J’irai m’excuser plus tard, fit Ginny un peu embarrassée mais dont la bête qui semblait maintenant la ronger de l’intérieur lui interdisait de s’arrêter en si bon chemin avec Michael. J’essaierai de lui expliquer. »


Un bruit se fit entendre pas très loin d’eux et il leur sembla entendre un léger miaulement.


« Rusard, fit Ginny apeurée.

_ Mieux vaut ne pas traîner par ici. »


Michael prit la main de Ginny et l’entraîna vers le château. Ils grimpèrent des escaliers et empruntèrent des passages que la petite rousse ne connaissait pas bien, mais elle se doutait de leur destination, la salle commune des serdaigles. Ils y entrèrent avec précaution, s’attendant à y trouver quelqu’un. Ce qui était bien le cas. Des yeux protubérants passèrent par-dessus le dos d’un fauteuil pour les dévisager.


« Ah ! Euh… salut Luna, fit Michael embarrassé.

_ Bonsoir Michael. Salut Ginny. Tu as changé de maison ?

_ Non, répondit la petite rousse en souriant à son amie. Je discutais juste avec Michael. Il veut me montrer un livre de maléfices rares.

_ Ah ? C’est sûrement intéressant. »


Sans plus rien dire, Luna se rassit correctement dans le fauteuil et se remit à lire l’exemplaire du chicaneur qu’elle avait quitté à leur arrivée. Ginny passa une porte avec Michael sur laquelle était écrit : Chambre des quatrièmes années. Il y avait assez peu de place. En plus des lits et des tables de chevet, il y avait également des bureaux, rappelant à la petite rousse que le travail était primordial dans cette maison. Elle s’était toujours étonnée d’ailleurs que malgré un courage indéniable, Hermione n’y avait pas été envoyée.

Michael s’assit sur la chaise d’un bureau (apparemment le sien) et souffla un peu. Ginny lui accorda un petit temps de récupération, aussi petit que la fureur de la bête en elle était grande. Puis, sans dire un mot, elle s’assit sur les genoux de Michael mit sa tête en arrière pour poser un baiser dans son cou. Le jeune garçon s’empara de ses lèvres et se mit à masser la petite poitrine de son amoureuse. La petite rousse sentit une bosse grandir sous ses fesses. Elle se surprit à penser quelle n’était pas aussi volumineuse que celle de Neville. Un peu de honte s’empara de son esprit mais elle la chassa bien vite pour revenir au présent. Elle se libéra des caresses de Michael et se mit debout face à lui. Elle passa les mains dans son dos et fit glisser la fermeture éclaire. Le garçon la regardait d’un air conquis tandis que les bretelles de la robe glissaient sur ses épaules. « Il a l’air vraiment amoureux » pensa Ginny. Elle lui sourit tandis qu’elle laissait le vêtement tomber sur le sol. Elle s’approcha en sous-vêtements et passa une jambe de chaque côté de la chaise en restant debout face au garçon. Celui-ci posa immédiatement ses lèvres sur le ventre plat de sa compagne et laissa sa langue savourer la tendresse de la peau. Ses mains allèrent caresser la petite poitrine bien ferme avant de la contourner pour dégrafer le soutien-gorge.

Débarrassé d’un premier obstacle, Michael fit légèrement pression sur les épaules de Ginny pour qu’elle se penche un peu vers lui. Ses lèvres s’emparèrent alors de l’un des jeunes seins qu’il savourait en laissant sa langue jouer avec le téton sensible. La petite rousse gémissait doucement en serrant la tête de son partenaire sur sa poitrine encore peu développée. Michael fit glisser ses mains du torse de la jeune fille aux hanches en passant par la taille fine et délicieuse. Il passa ses doigts sous le tissu délicat de la petite culotte et la fit descendre avec lenteur, appréciant le galbe des cuisses de son amoureuse. En se tortillant un peu, Ginny l’aida à l’enlever complètement. Michael s’empara des petites fesses de la jeune fille et la tira un peu plus vers lui. Il plongea alors vers la source de tous les plaisirs et s’y délecta comme s’il n’avait plus rien bu depuis des jours. Sa langue avide de désir cherchait à connaître le moindre recoin du doux coquillage. La petite rousse poussait maintenant de faibles cris de plaisir qu’elle tentait de garder à un volume sonore raisonnable.

Elle sentait déjà la jouissance arriver. Bien qu’elle ait attendu cela toute l’après-midi, Ginny s’écarta des lèvres qui se délectaient de son intimité. Elle avait envie de partager plus longtemps ce moment de volupté avec Michael. La petite rousse s’agenouilla devant lui et releva la robe de soirée du Garçon. Il s’en débarrassa avec des gestes rapides tandis que la jeune fille s’attaquait maintenant à la fermeture éclair de son pantalon. Le jeune Serdaigle avait déjà connu d’intenses plaisirs dans les bras d’autres filles mais il comprit qu’il n’avait jamais ressenti quoique ce soit de comparable aux douces lèvres qui enserrèrent son membre à cet instant. Il se mit à caresser doucement les cheveux écarlates alors que leur propriétaire montait et descendait doucement le long de son membre. Sans cesser de savourer le dard de son amoureux, Ginny passa ses mains sous le tee-shirt qu’il portait et les promena sur le torse musclé. En tant que joueur de quidditch, Michael était assez musclé sans avoir une carrure d’athlète surentraîné. Exactement ce que la petite rousse aimait. Elle fit lentement descendre sa langue le long du sexe palpitant de désir et la remonta tout aussi doucement sur le ventre puis le torse de son amoureux en lui faisant enlever le tee-shirt. Tandis que la petite bouche gourmande parcourait son corps, Michael sentit son gland successivement glisser le long de la gorge de la jeune fille, puis de sa douce poitrine et de son ventre plat pour finir contre la toison soyeuse du bas ventre. Il souleva le petit cul de Ginny tout en se délectant des douces lèvres qui embrassaient fiévreusement sa bouche et laissa la jeune fille redescendre à son gré. Impatiente, la petite rousse se laissa retomber d’un coup sur le pieu de chair. Leurs lèvres avides durent se détacher pour pousser un cri de plaisir à l’unisson.

Ginny se laissa enfin aller au désir qui la submergeait depuis si longtemps. Elle s’activait avec force sur le pieu de chair, entourant les épaules de son amant pour prendre un appuie tandis que la langue de celui-ci s’en retournait jouer avec les deux petits monts de Venus si tendres. La jeune fille sentit la jouissance envahir peu à peu son corps. Elle ruait de plus belle sur le sexe dressé, son orgasme entamant la dernière ligne droite, lorsque la porte s’ouvrit à la volée.

Anthony Goldstein et Terry Boot, d’une humeur agitée, entrèrent dans la chambre. Ils firent quelques pas sans rien remarquer, pris dans leur discussion, lorsque leurs yeux se posèrent sur le couple enlacé. Ils s’arrêtèrent au milieu de la pièce, stupéfaits, tandis que Ginny se collait au mieux contre Michael, tentant vainement de cacher sa nudité.


« Qu’est-ce que vous faîtes là ? S’étonna Michael

_ Euh… je… nous… enfin… le bal est fini… pour nous, balbutia Anthony en constatant que son ami était toujours profondément fiché dans la jeune fille.

_ Quoi ? Mais qu’est-ce qu’il s’est passé ?

_ Disons… que les étudiants français et bulgare ont beaucoup de succès, fit Terry d’une petite voix qui ne cachait pas toutefois une certaine amertume.

_ Je vois

_ Alors comme ça tu as tout dit à Ginny, fit remarquer Anthony sur un ton de conversation peu crédible. C’est bien. Depuis le temps que tu nous parle d’elle. »


Ginny leva la tête de l’épaule de Michael où elle avait trouvé refuge pour dissimuler sa honte. Mais aucune gêne ne venait plus paraître sur son doux visage.


« C’est vrai ? Tu m’aimes depuis si longtemps ?

_ Depuis un certain temps oui. J’ai été très inquiet quand on a dit que tu avais disparu dans la chambre des secrets. »


Ginny n’en revenait pas. Cela remontait à deux ans déjà. Souriante, elle embrassa langoureusement son amoureux. Le baiser dura longtemps et, sans s’en rendre compte, la petite rousse se remit à bouger lentement des hanches.

Les deux garçons étaient comme paralysés. Des bosses se formèrent sous leurs robes. Le couple s’aperçut de ce qu’il était en train de faire et s’arrêta.


« Euh… tu sais Ginny, ce sont des amis de confiance. Et… enfin j’ai pensé que… »


La jeune fille comprit où il voulait en venir. Elle fit signe aux deux observateurs de s’approcher. Les deux garçons obéirent et ôtèrent leurs robes de soirée au passage. Ginny s’empara des deux membres qu’elle masturba avec vigueur. Lorsqu’elle les sentit bien prêts, elle les prit tous les deux en bouche. Elle jeta un regard vicieux à Michael et constata que cela l’excitait au plus haut point. Elle se fit alors plus vigoureuse, tant sur le dard dans son ventre que sur ceux dans sa gorge. Mais dans l’espace très réduit entre les deux garçons qui lui faisait face, la petite rousse constata que la porte de la chambre était toujours ouverte et qu’une silhouette se dessinait à contre jour dans son encadrement. Ginny s’arrêta et tout le monde se tourna vers l’entrée.


« Que tu veuilles garder Michael pour toi seule c’est normal puisqu’il t’aime, déclara Luna en entrant dans la chambre et en fermant la porte, mais que tu sois avec trois garçons sans m’inviter alors que je suis juste à côté, ça m’étonne de toi.

_ Ce n’est pas ce que tu crois, lui répondit Ginny en se levant et en se dirigeant vers elle. Je te jure que ce n’était pas prévu.

_ Ah ? C’est vrai ? J’ai cru que tu ne m’aimais plus.

_ Comment as-tu pu croire une chose pareille, s’exclama Ginny en riant. »


La petite rousse prit tendrement son amie dans ses bras et l’embrassa tendrement.


« Allez viens ! On va leur montrer de quoi on est capable. »


Ginny et Luna s’approchèrent d’un lit sous les yeux médusés des garçons. Les deux jeunes filles s’allongèrent et s’embrassèrent. La petite rousse ouvrit le chemisier de sa compagne et abaissa sa jupe. Les serdaigles considéraient Luna de la même manière que tout le reste de l’école, c’est à dire comme une fille un peu folle mais généralement inintéressante. Ginny n’eut pas besoin de regarder les garçons pour être certaine qu’ils affichaient un air de surprise tandis qu’elle dévoilait peu à peu le corps majestueux de son amie. Michael, Anthony et Terry étaient loin de se douter que sous l’allure étrange de Luna se cachait un corps de déesse. La petite rousse s’empara de la jeune poitrine de son amie et laissa sa langue la parcourir avec douceur. Elle remonta lentement du buste sur la gorge pour atteindre les lèvres. Les filles s’embrassèrent avec fougue tandis que leurs corps se savouraient l’un l’autre. Chaque centimètres de leurs peaux se frottaient tendrement les uns aux autres et devenaient aussi sensibles que la plus intime des zones érogènes.

Luna caressait le petit cul rond de son amante et plongea ses doigts experts vers le trésor intime de celle-ci.


« Tu as l’air bien excitée, fit la jeune blonde à Ginny, gémissante sous les phalanges qui s’amusaient dans son doux coquillage. Je crois que tu as besoin d’un traitement sérieux. »


La petite serdaigle fit rouler son amie sur le dos et se retrouva sur elle. Luna contempla la petite rousse qui ne pouvait plus cacher son impatience. Elle l’embrassa alors et descendit en baiser sur ses petits seins et son ventre avant de plonger le nez dans la fine toison écarlate. La jeune blonde laissa alors sa langue s’égarer dans l’intimité enfiévrée de désir. Luna était bien trop douée pour donner du plaisir et Ginny ne put résister à un puissant orgasme qu’elle libérait enfin après si longtemps.

La petite serdaigle se redressa, un sourire sur ses lèvres.


« Tu réagis au quart de tour. Je suppose qu’il va t’en falloir plus. Allez les garçons, il est temps d’entrer en piste. »


Luna jeta un regard rêveur à ses trois camarades en s’agenouillant au pied du lit. Sans discuter, ils s’approchèrent du petit corps tout chaud et complètement offert d’une Ginny lascive. Des mains, des lèvres et des langues se posèrent sur la peau de la petite rousse qui s’abandonna totalement aux désirs des garçons. Terry s’était allongé sur le dos et la fit venir sur lui. Ginny s’empala sur le membre tendu de son premier amant. Anthony était à genoux juste en face d’elle et elle ne se fit pas prier pour le prendre entre ses lèvres gourmandes. Elle sentit son amoureux derrière elle se frayer un chemin entre ses deux jolies petites fesses et s’arrêter sur son petit anneau. Elle cambra un peu les reins et il la pénétra en douceur.

Luna s’écarta du quatuor et alla s’asseoir, nue, sur le bureau. Elle aimait voir les autres prendre du plaisir, en particulier les gens qu’elle appréciait et Ginny était sans aucun doute sa préférée. Elle ressentait toujours une grande joie lorsqu’elle voyait la petite rousse au comble de la félicité. Luna n’avait pas besoin de ses doigts, d’un amant ou d’une amante pour ressentir ce plaisir-là. Elle se contentait de dévorer des yeux sa jeune amie qui savourait la vigoureuse activité des membres en elle.

Michael, qui lui aussi avait été retenu dans son plaisir par l’irruption impromptue de ses amis, fut le premier à jouir et se répandit dans le délicieux petit cul de son amoureuse. Ginny contracta les muscles de son bassin pour le retenir en elle. Elle serra un peu plus le pieu de chair de Terry dans son ventre qui, sous la pression, éjacula à son tour. Anthony entendait les gémissements de jouissance de ses amis et se sentit venir également. Il s’enfonça profondément dans la gorge de la petite rousse et y libéra sa semence dans un soupir d’extase.

Luna se rapprocha du groupe tandis que les garçons se retiraient en douceur de Ginny. Michael attira son amoureuse vers un autre lit afin de se retrouver un peu seuls tous les deux. Il se délecta de la tendre et jeune poitrine de la petite rousse en l’allongeant lentement sur la couverture moelleuse. Il caressa l’entrée du doux coquillage de la pointe des doigts avant d’y présenter son dard revigoré. Ginny s’empara des fesses musclées de son amant et le tira vers elle pour qu’il cesse de la faire attendre. Michael donna un grand coup de rein et pénétra le trésor intime de son amoureuse jusqu’à la garde, arrachant un cri de plaisir à la jeune fille. Appuyant toujours sur les fesses de son amant, Ginny l’obligea à prendre un rythme des plus endiablé.

Anthony et Terry avaient toujours du mal à croire à l’irréelle beauté de Luna. Le fait de pouvoir caresser à loisir le corps somptueux de la jeune adolescente ne semblait pas suffire à les ramener à la réalité. Elle fut alors obligée de prendre les choses en main. Elle fit allonger Anthony sur le lit et lui tourna le dos en s’asseyant sur son sexe bien dur qui explora son trésor le plus précieux. Elle s’allongea sur le corps de son amant et fit signe à Terry de s’approcher. Subjugué, le garçon la regardait ouvrir un peu plus de ses doigts son beau coquillage doré pourtant déjà occupé. Il comprit bien vite ce qu’elle désirait et n’hésita pas une seconde à rejoindre son camarade dans le petit temple de Vénus surchauffé. Luna se mit à ruer avec vigueur sur les deux membres dans son ventre.

Michael et Ginny étaient toujours étroitement enlacés dans une étreinte bestiale. Leurs désirs, leurs plaisirs et leurs sexes étaient étroitement emmêlés. La petite rousse sentait toutefois qu’elle imposait un rythme vigoureux à son amant depuis un peu trop longtemps et qu’il finirait immanquablement par se fatiguer. D’un mouvement des hanches, elle les fit basculer tous deux sur le côté et se retrouva sur son amoureux. Elle prit alors le relais et avec une vigueur décuplée, se mit à monter et descendre le long du membre de Michael. Celui-ci s’empara des jeunes seins d’une main tandis que l’autre allait apprécier la douceur des courbes du petit cul. Ses doigts s’égarèrent du côté du puit secret de son amante et deux d’entre eux s’y introduisirent avec force. Ginny se sentit électrisée et donna encore plus de force dans ses mouvements de va et viens.

Luna poussait des cris de plaisirs tout en s’abaissant sur les deux membres qui remplissaient le moindre recoin de son intimité. Elle finit par sentir son corps se tétaniser tandis qu’un flot de liqueur de plaisir se répandait sur les bas ventres des garçons. Ceux-ci libérèrent le petit coquillage doré et reprirent l’initiative. Anthony se redressa un peu et s’assit, le dos appuyé contre le pied du lit. Il fit venir Luna sur lui, frottant son gland contre le petit anneau de cette dernière avant de la laisser s’empaler dessus d’elle même. Terry quant à lui se mit debout sur le matelas et empoigna les jeunes seins entre lesquels il posa son pieu de chair. Luna pressa alors ses deux petits monts de Vénus l'un contre l'autre pour envelopper le sexe bien dur. Elle baissa la tête et prit l'extrémité qui dépassait encore entre ses lèvres. D'un même mouvement, la jeune blonde profitait alors des deux membres savoureux.

Ginny et Michael se démenaient de plus belle. La petite rousse remontait à tel point qu'elle laissait presque le gland s'échapper de sa douce et chaude intimité avant de se rabattre d'un grand coup sur toute la longueur du sexe. Michael était au supplice, se retenant de jouir avec force. Mais la vigueur de leur étreinte lui demandait un effort surhumain. Enfin, il sentit son amoureuse se raidir et son jus de plaisir recouvrir son membre. Ginny s'écroula sur lui tandis qu'à son tour, il se répandait dans le ventre de la jeune fille. La petite rousse savourait la douce rivière chaude qui s'écoulait en elle. Elle embrassa tendrement son amoureux.

Un cri de plaisir raisonna dans la chambre tandis que Luna se laissait également aller à la jouissance. Presque aussitôt, Anthony libéra son puit secret et se répandit sur ses petites fesses rondes. Terry éjacula également, recouvrant le visage et la petite poitrine de la jeune fille de semence. Luna fit venir les deux garçons face à elle et se mit à nettoyer leurs membres. Ginny se joignit à eux et récupéra con

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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Dimanche 15 octobre 7 15 /10 /Oct 15:38

Contribution de Azrah memnock

Souvenir de jeune fille


Un beau félin tigré vient se frotter contre la porte.

Une main fragile et délicate tourne la poignée polie par tant de mains.

La pièce est baignée d'une obscurité que seuls filtrent quelques rais de lumière à travers les épais rideaux.

Lentement ses yeux clairs et émus distinguent les formes fantomatiques des draps recouvrant tous les objets de la pièce.

Une série de tableaux ainsi couverts dominent une large table dont le drap froissé commence à peine à prendre la poussière.

Une cage vêtue d'un linceul noir attireson attention et son regard se voile un instant.

 

Puis elle parcourt la pièce,courageuse et fière contre toute adversité.

D'un grand geste,telle un spectre noir,elle soulève le drap qui couvrait un bureau.

 

Celui-ci est entouré de piles de livres branlantes,empli de parchemins en vrac,de cartes magiques,crayons et autres publicités.

 

Son coeur se serre,elle s'assied.

Sa main croise une plume,qui réticente se met à léviter au dessus du parchemin vierge.

S'éclaircissant la voix,elle commence:

 

Très cher ami,je te sais bien loin mais te souviens-tu...

Te souviens-tu de ce jour de Septembre...

 

Sa voix se brisa,elle repoussa rudement la plume qui alla bouder derrière les livres.

Sa main fouilla un tiroir,elle s'arreta au doux contact d'une plume d'oie et s'appreta à la sortir lorsque sa main heurta une surface inégale et sèche.

 

Elle sortit la plume puis un petit herbier avec un chrysantème piégé dans la première page.

Tremblante,elle caressa la fleur qui soudain se ranima,jaune,éclatante sur la couverture.

Ouvrant délicatement le livre d'une écriture ronde et charnelle,elle caressa chaque page,des herbes folles piégées hors du temps aux cours de potions griffonés avec élégance entre deux chapitres.

 

Elle pencha la plume d'oie sur le parchemin,gardant un oeil sur la cahier aux souvenirs:

 

 

 

Un fog épouvantable cache l'horizon et donne à ce quai un air lugubre,

de partout les échos de jeunes gens et de leur familles résonnent dans une cohue de bagages et de cris d'animaux.

La petite fille vient de sauter dans le train avec sa valise.

Le couloir est bondé d'élèves,tous très grands,et elle à du mal à voir au delà de leurs épaules leurs tetes braillardes.

ça joue des coudes,ça parle fort.

Elle n'est pas bien grande,alors elle se terre contre la paroi du train en attendant que chacun ait trouvé sa place.

La cohue pourtant ne se dissipe pas,au contraire,bientot le couloir est envahi.

Deux jeunes élèves viennent se serrer devant elle,bagages en main,pour laisser passer trois adultes à la démarche lourde.

Haletante,elle ferme les yeux quand un cri strident vient lui vriller les oreilles.

 

-AAAAAah!

*Hurle-t-elle en bouchant ses oreilles*

Terrorisée,elle sent une cage à oiseau couverte de velours s'enfoncer contre son visage et sa poitrine.

Elle étouffe,fermant les yeux très fort elle se voit déjà piétinée quand soudain....

 

La cage se dégagea brusquement et le propriétaire,un jeune garçon maigre aux cheveux blonds hirsutes balbutia:

 

-Veu...veuillez m'excuser...

 

Il tatonna la paroi du train sans trouver d'où provenait se cri.

Alarmé,craignent le pire ile passa sa main plus bas et rencontra un tas de tissus en vrac par terre.

Quand il se baissa en encombrant l'espace,des jurons fusèrent,quelqu'un lui blança un coup de pied au fesses,et il tomba de tout son long entre les pieds des élèves.

Son familier tentait de mordre à travers la cage renversée,en proie à la terreur lui aussi.

 

Le jeune garçon était tombé sur une robe d'écolière à col claudine en velours et un chale rouge.

Il scruta alentour ne voyant que des pieds,puis ramassa les effets féminins non sans gêne.

une petite culotte rouge quitta le tas et tomba par terre.

 

Dissipatum!!!!!

 

Hurla le garçon en pointant sa baguette en l'air.

Il fut imité par d'autres sorciers et le brouillard se dissipa.

Le jeune garçon se releva,prit ses effets et alla s'asseoir au compartiment des griffondor.

Deux garçons le dévisagèrent et pouffèrent d'un gros rire en voyant ce qu'il tenait dans sa main.

Rouge jusqu'aux oreilles il lâcha les habits féminins sur un siège à coté.

Un petit chat tigré bondit sur ses genoux avant de se blottir sur les vetements.

 

Le train pouvait démarrer...

 

 

 

 

 

Le petit chat resta blotti durant tout le voyage et quand le garçon se leva pour ramasser le linge,il feula et se laissa choir lourdement sur le tissu.

C'était assez comique,les autres élèves intrigués restèrent un moment quand un Serpentard beugla dans le couloir:

 

-hé,j'ai trouvé un slip!!!!

 

Tous alors quittèrent la voiture le laissant seul avec l'animal.

 

Quand il se retourna vers le petit chat,il croisa des yeux gris clairs noyés de cheveux châtains qui descendaient sur la poitrine naissante d'une jeune fille.

Elle était nue,assise sur le lit de vetements et l'observait avec crainte

 

-Merci pour tout à l'heure...laisse moi m'habiller,s'il te plait

 

Le jeune garçon restait là,ébahi.

Elle sentit un frisson courir dans son dos et mourir sur la pointe enflée de ses mamelons.

Instinctivement,elle recula sur le siège en croisant les bras,ses petites jambes repliées cramponnées sur l'accoudoir laissèrent involontairement la petite amande de chair rose à la vue du jeune garçon pétrifié.

 

Elle poussa un cri et se débattit dans tous les sens ,donnant des coups de pied dans le siège et dans les côtes du garçon avant de tomber sur la moquette.

 

Un coup de sifflet et le train repartit en sens inverse....

 

La jeune fille glapit en roulant par terre alors que le jeune garçon se levait en murmurant:

 

-Catastrophe!

 

 

 

 

 

Lancé à une vitesse folle,le train chevauchait les montagnes en dircetion des hautes terres d'écosse où il ferait escale toute la nuit avant de prendre des élèves pour l'école de Haute Magie d'Edimbourg.

 

Voyant le garçon désappointé,la petite fille se calma et se releva avant d'aller se terrer dans un fauteuil près de la fenetre.

 

-Désolé...

 

*Murmura le garçon à peine plus âgé qu'elle *

 

Il passa ses mains dans ses cheveux blonds avant de s'approcher d'elle,comme attiré par sa tiédeur.

Elle avait si froid!

Tremblante,elle observait les montagnes défiler,l'éloignant toujours plus de Poudlard.

Déjà un crépuscule orangé,ensoleillé les accueillit: l'Ecosse

 

La lumière jouait sur le corps de la jeune fille et il la trouva belle,irrésistiblement belle.

Il se mit à genoux devant elle,et posa sa tete sur ses cuisses potelées.

les yeux tournés vers le soleil couchant.

 

A travers la vitre,c'était le reflet du garçon aux cheveux blonds et au regard limpide qu'elle observait.la chaleur revenue mêlée à celle de son sauveur l'emplit de douceur,elle soupira.

 

Ses petits doigts glissèrent entre les mèches folles du jeune sorcier qui se laissa faire,les oreilles rouges et chaudes.

La jeune fille à peine pubère observait aussi son propre reflet,son corps en train de changer,submergé d'émotions intenses et contradictoires depuis quelques temps.

 

Elle n'osait jamais en parler,prude dans l'âme,mais pourtant s'offrait parfois à la tiédeur de ses mains,toute habillée,la nuit,comme si elle était autre.

 

Frappée par son propre reflet limpide qui portait une main à son petit sein au mamelon roux-brun enflé et veiné,elle vit le garçon approcher son visage de son ventre où tombaient de douces mèches de cheveux.

Elle le vit poser sa main douce sur ce sein hier discret qu'elle ne reconnaissait plus.

Le mamelon disgrâcieux frissonna sous cette caresse.

 

Dans ce songe,tout son etre l'appelait.

Ce visage,ces mains semblaient comprendre son trouble.

Il se redressa et embrassa sa joue ronde,avant de lui voler un baiser.

 

Elle vit le reflet pale du visage blond se cacher dans son cou,puis glisser une langue rose sur la naissance de son petit torse.

 

Elle frémit,ferma les yeux et sentit une bouche chaude se refermer sur son téton douloureux et le téter doucement.

 

Celà lui faisait un bien fou,comme il aspirait ses pointes enflées,gorgées de sang.

Son amande vierge devint chaude et un plaisir poignant montait en elle au fur et à mesure qu'il tétait avidement sa petite poitrine.

 

Elle n'osait pas glisser ses doigts dans sa chair tendre devant lui,préférant l'appeler fort ,soupirer pour qu'il devine.

 

Empathique,le magicien baisa son ventre frémissant avant de venir respirer la tendre fleur qui s'offrait à lui.

Elle posa ses jambes sur les épaules du bel inconnu.

Il resta longtemps à respirer,à découvrir,à écarter les petites lèvres si fines qui renfermaient un bouton minuscule d'une rougeur extrême ainsi qu'une ouverture plus discrète encore.

Enfouie dans d'innombrables plis de chair,son intimité ressemblait à une fleur.

 

Il l'embrassa timidement,puis attiré par son parfum étrange,se mit à la lécher gouluement ,à suçer cette chair jeune et avide.

 

La petite jeune fille gémissait fort,ses petites jambes gigottaient autour du corps du jeune sorcier,elle entendit la boucle de la ceinture du sorcier se défaire et tomber.

Un étrange organe doux et satiné heurta son pied,elle l'entendit pousser un râle maladroit alors que ses orteils se refermaient sur sa découverte.

 

Joueuse,elle se mit à crisper son petit pied fin autour,à happer le gland enrobé de peau entre ses doigts de pieds.

Il semblait adorer ça,et se laissa guider sous les contractions de ses cuisses.

Soupirante,elle sentit bientot sa perle de chair jouir alors qu'un jet de lait chaud venait asperger son pied...

 

Haletant,le jeune garçon se laissa tomber sur la moquette du train,tout contre le siège d'en face.

La femme-enfant,trempée de sueur le dévisageait d'un étrange regard.

La nuit tombait au dehors.

 

Il restèrent un bon moment ainsi,à se contempler l'un l'autre.

Un coup de sifflet retentit,brisant le charme.

 

A la hate,ils réenfilèrent leurs vetements et prirent leur bagage.Le train s'arreta dans une petite gare en rase campagne,non loin d'un petit lac.

 

Le jeune garçon descendit en premier,puis il aida sa toute nouvelle amie à le suivre.Le cheminot passa rapidement devant eux sans meme les voir.

Elle s'assit sur le banc,ses jambes pliées sous son menton dévoilaient sa nudité d'adolescente.

 

Il s'assit par terre et effleura le fruit.

Elle lui adressa alors son premier sourire et s'allongea sur le banc.

En s'étirant sa main rencontra un pied de chrysanthèmes jaunes.

Elle arracha une tige avant de se redresser et d'offrir la fleur au jeune sorcier.

 

Il prit sa main et glissa le chrysanthème dans son veston.

Après quelques minutes silencieuses,il la fit transplaner avec lui,et ils atterrirent dans les couloirs humides de Poudlard...

 

Un bref instant leurs mains restèrent jointes et leurs regards envoûtés,puis des pas résonnèrent,alors les petits doigts noués se touchèrent,puis s'effleurèrent avant de n'etre plus qu'une vague sensation lointaine,un gout étrange et délicieux.

 

 

 

 

 

Posant la plume sur le bureau,elle jeta un coup d'oeil à sa voluptueuse poitrine mûre sous sa chemise de nuit.

Minerva ferma ses yeux lourds.Quand elle les rouvrit de grosses larmes roulèrent sur ses joues

 

Cher Albus,mon cher ami...

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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