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Dimanche 1 octobre 7 01 /10 /Oct 18:03

Vendeuse de choc

Une aventure sexuelle de Harry Potter en cinquième année


Avec : Fred Weasley, George Weasley et Vérity





La porte de la boutique se referma sur la jeune sorcière qui marchait à grands pas sur le chemin de traverse. Fred et George la regardèrent s’éloigner un moment avant de se tourner l’un vers l’autre.


« Qu’est-ce que tu en as pensé ?

_ Ben… elle a confondu les chaudrons farceurs avec les bains de pieds glacés et elle pensait que les tours de moldus étaient de la vraie magie. Mais avec un peu d’entraînement elle devrait s’en sortir.

_ Ouais, c’est pas encore ça mais c’est la meilleure que l’on ait vu pour l’instant. Je ne sais pas si on va trouver la vendeuse pour farces et attrapes parfaites. »


Contrairement à leur habitude, les jumeaux Weasley n’étaient pas particulièrement joyeux aujourd’hui. L’année scolaire n’était pas encore finie (et eux ne la verraient jamais à Poudlard) et ils avaient déjà beaucoup de commandes et de clients. Et cela n’est encore rien au vu des prévisions pour les vacances. Fred et Georges avaient dû fermer leur boutique toute la journée pour trouver une vendeuse qui les soulageraient un peu de leurs tâches mais malgré de nombreuses prétendantes au poste, aucune ne leur avait vraiment convenu. C’est que le commerce de farces et attrapes ne souffrait aucune approximation. Et leurs produits étant des exclusivités Weasley authentiques, rares étaient celles qui ne s’emmêlaient pas les pinceaux lors du test.


« On ne pourra pas fermer boutique comme ça tous les jours, reprit George, il faut qu’on en trouve une tout de suite qui se débrouille avec tous les articles. Avec le nombre de clients que nous allons avoir, on aura pas le temps de la former.

_ Et le temps qu’elle soit tout à fait à l’aise, combien de fautes aura-t-elle commises ? Mais je crois qu’il va falloir se résigner frangin, la perfection n’existe pas dans les farces et attrapes. »


Un tintement de clochette leur indiqua que la porte venait de s’ouvrir. Ils relevèrent la tête pour voir une jeune sorcière aux cheveux blonds coupés court entrer d’un pas léger dans la boutique. Elle leur sourit en s’avançant vers le comptoir.


« Bonjour ! Je viens pour l’annonce. »


Elle tira de son sac l’édition de la Gazette du Sorcier où apparaissait le petit encart des Farces pour Sorciers Facétieux demandant une vendeuse. Les jumeaux restèrent muets quelques secondes. L’un comme l’autre avaient remarqué que la robe de la jeune sorcière, sans être trop serrée, dessinait les courbes délicieuses de la fille. De plus elle offrait aussi un décolleté provoquant. Cette robe avait de toute évidence été faite dans un style sexy et elle était particulièrement bien utilisé sur le corps splendide de la jeune fille.


« Euh... bien... oui... d'accord, réussis à articuler George, alors... on va commencer les... tests... euh... quel est votre nom ?

_ Vérity! »


La jeune fille souriait toujours et se pencha un peu en leur serrant la main ce qui ouvrit un peu plus son décolleté, révélant qu'elle ne portait pas de soutien gorge.


Les jumeaux sentirent leurs pantalons se serrer. Heureusement, leurs nouvelles robes à l'effigie de leur boutique cachaient leur excitation. Ils s'effacèrent du chemin pour laisser passer la jeune sorcière dans l'arrière boutique où avait eu lieu tous leurs entretiens depuis le début de la journée. Ils entrèrent à leur tour tandis que Vérity observait quelques boites bleues sur une tables.


« Ce ne sont pas des farces et attrapes, non ?

_ En effet, dit Fred qui reprenait ses esprits. C'est une nouvelle gamme de produits pour la défense contre les forces du mal. C'est pour la développer que nous avons besoin de temps... et donc d'une vendeuse.

_ Bien. »


Vérity vint s'asseoir sur la chaise que lui montrait George puis tout deux s'installèrent face à elle. Dans cette position, la robe se releva pour dévoiler une partie de ses cuisses.


« Euh... bon alors... vous... vous avez une expérience en matière de farces et attrapes ?

_ Oui, j'ai travaillé un temps chez Zonko.

_ Ah, bien, mais pourquoi en être parti ?

_ Harcèlement sexuel, répondit Vérity comme s'il s'agissait d'une broutille.

_ Quoi ?... Pardon ?

_ On vous a harcelé ?

_ ah non, pardon. Vous m'avez mal comprise messieurs. J'ai été renvoyée pour harcèlement sexuel. »


Les jumeaux se regardèrent, interdits, puis posèrent de nouveaux leurs regards sur la jeune fille qui souriait toujours.


« Je... Je ne vous suis pas...

_ Oh c'est juste que je n'étais pas satisfaite des avantages en nature que proposait mon patron. Il ne tenait pas la distance quoi. Mais je pense qu'avec deux patrons ce ne sera plus un problème. »


Fred et George sentirent leurs coeurs s'arrêter alors que la jeune sorcière se levait de sa chaise et s'approchait d'eux. La robe ne retomba as sur les genoux de Vérity et le peu de lucidité dont les jumeaux pouvaient encore faire preuve leur fit comprendre qu'il s'agissait d'une robe ensorcelée. L'un comme l'autre furent convaincu de l'inutilité d'un tel enchantement lorsque la jeune fille fit doucement glisser les bretelles fine sur ses épaules.


La séance d'effeuillage fut mémorable bien qu'assez courte au vu du peu de vêtements que portait la prétendante. Elle enleva cependant sa robe avec une lenteur exaspérante qui mit les nerfs des garçons à rude épreuve. Ses seins ronds et fermes se dressaient fièrement sous les nez tachetés des jumeaux tandis qu'elle se retrouvait en petite culotte. N'attendant pas de réactions des garçons, Vérity se mit à quatre pattes et plongea sous la robe de Fred dont elle fut recouverte jusqu'au torse. Fred était comme paralysé tandis qu'il sentait son pantalon s'ouvrir et une main extirper son membre palpitant. Il poussa un gémissement alors que des lèvres se refermaient sur son gland et, n'y tenant plus, il posa les mains sur la bosse de sa robe qu'il savait être la tête de la jeune fille et appuya dessus avec un peu plus de forces qu'il ne l'aurait souhaité. Toutefois la jeune sorcière n'eut aucun mal à le prendre en bouche jusqu'à la garde.


George regardait le spectacle abasourdi. Il avait l'impression de ne plus être dans la pièce et de rêver ce que faisait Vérity à son frère. Sans s'en rendre compte, il massait son sexe à travers sa robe et son pantalon. Il regardait le petit cul encore enculotté de la jeune fille qui accompagnait doucement les gestes de sa tête. Son épieu devint si dur qu'il commença à lui faire mal d'être toujours enfermé, ce qui ramena George à l'instant présent. Sans plus réfléchir, il se glissa derrière la jolie petite croupe qu'il se mit à caresser d'une main tout en ouvrant l'étouffante prison de sa braguette de l'autre. Vérity creusa un peu plus les reins pour l'inciter à ne pas s'arrêter en si bon chemin mais ne stoppa pas pour autant sa dégustation énergique. La douceur du tissu fin sur la douceur de la peau faisait glisser les doigts de George comme sur de la glace. Sans vraiment plus les guider, il les laissa descendre sur une partie sombre qui laissait deviner l'humidité qui s'échappait du doux sillon de la jeune fille. Il caressa le trésor intime de la prétendante à travers la petite culotte laissant celle-c s'imprégner des saveurs intimes les plus enivrantes.




Puis il écarta la fine paroi de tissu pour que sa langue puisse savourer la source de tous les plaisirs. Vérity frémit à ce contact mais elle ne put s'empêcher de pousser un râle de plaisir lorsque deux phalanges la caressèrent de l'intérieur. George fit glisser le sous vêtement pour enfin révéler les charmantes fesses de la jeune fille. Il se positionna et s'accrocha à ses hanches. Son pieu de chair se frotta contre le doux coquillage doré. Mais Vérity semblait aussi impatiente que son amant. Elle donna un grand coup de rein en arrière et s'empala d'elle-même sur toute la longueur du membre dressé. George commença par de lents va et viens mais la jeune sorcière continuait de ruer de plus belle sur les deux sexes fichés dans son ventre et dans sa gorge. Très vite, l'étreinte du trio devint donc fougueuse. Menés par la jeune fille, les garçons ne furent pas long à comprendre qu'elle ne s'embarrassait pas de détails tendres en matière de sexe. Ils étaient donc décidés à la satisfaire en ce sens.


Fred, qui avait savouré les assauts de plus en plus énergique de Vérity, finit par sentir tout son corps se raidir et il se répandit dans la gorge de la jeune fille. Il appuya sur la tête de cette dernière pour l'obliger à bien rester en place mais, malgré ses sens noyés dans la volupté de la jouissance, il eut la très nette impression qu'elle n'avait jamais eu l'intention de se retirer sans avoir avalé jusqu'à la dernière goutte de son nectar intime. George ne put se retenir à son tour et la pénétra au mieux pour laisser s'écouler sa semence intime. Vérity ne bougeait plus et sentait deux rivières chaudes s'écouler en elle.


Après avoir bien savouré la jouissance de ses deux partenaires, la jeune fille se releva, faisant glisser la robe de Fred sur ses cheveux courts. Mais les jumeaux avaient désormais bien cernés la demoiselle et s'attaquèrent immédiatement à la suite du programme. Fred vint s'allonger sur le sol et fit mettre Vérity à genoux au dessus de son membre encore tendu, lui tournant le dos. George vint se placer debout devant la jeune fille et empoigna sa belle poitrine. La prétendante se laissait totalement faire et n'eut aucune réaction de surprise quand le gland de Fred rencontra son petit puit secret. Tout comme elle l'avait fait auparavant, elle donna un coup de rein puissant pour faire entrer le membre dans son petit cul, faisant pousser un gémissement de bonheur au garçon.


George positionna son pieu de chair entre les deux seins fermes qu'il pressa ensuite l'un contre l'autre. Il coulissait avec aisance sur la douce poitrine de la jeune fille. Celle-ci montait et descendait le long du membre de Fred qui lui, semblait perdu dans un autre monde. Elle se colla contre le bas ventre de George et sortit sa langue pour aller caresser le gland qui apparaissait entre ses deux monts de Venus. Entre sa bouche et ses fesses, les jumeaux se démenaient énergiquement sur le joli corps qui leur était offert. Mais ce fut encore Vérity qui imposa bientôt un rythme démentiel, comme si elle participait à une course.


Les garçons ne pensaient pas tenir longtemps. George la fit stopper net et eut un certain plaisir à voir un air de dépit sur son joli visage. Il fit coucher la jeune fille face à Fred qui ne perdit pas plus de temps et investit son petit coquillage doré. George s'agenouilla derrière elle et malaxa lentement le petit cul rond. Puis il suivit le même chemin que son frère auparavant et pris soin d'y entrer avec force. Vérity poussa un cri de plaisir et s'avança au devant des coups de boutoir vigoureux des jumeaux. Ils comprirent bien vite que la jeune sorcière était vraiment déchaînée et qu'ils avaient encore largement sous estimé son appétit. Pourtant la jeune fille stoppa soudain ses mouvements énergiques et poussa un long cri de plaisir tandis que sa liqueur d'amour s'écoulait le long du membre de Fred. George, au bord de la jouissance, en profita pour donner un dernier coup de rein vigoureux et éjacula dans le dos de la jeune fille. Encouragé par les deux râles de plaisir successifs, Fred finit également par être vaincu et se déversa dans le ventre de Vérity tout en s'agrippant à ses seins.


Le trio resta quelques temps avachi sur le sol. La jeune fille se dégagea ensuite et lança sur son ventre un sort de prévention. Puis elle demanda poliment si elle pouvait aller faire un brin de toilette. Pendant qu'elle se trouvait dans la salle de bain, Fred et George en profitèrent pour se rhabiller correctement et repassèrent dans la boutique derrière le comptoir. Ils ne se regardèrent pas pendant un bon moment puis vint la question qu'ils se posaient tout deux.


« Alors ?... Comment tu la trouve ?

_ Bien... euh... bien. Mais ce qui m'ennuie c'est qu'on ne sait pas ce qu'elle vaut en temps que vendeuse.

_ Oui je sais. Mais je ne me sens pas trop prêt maintenant pour lui faire passer le test.

_ Moi non plus. Mais on ne peut quand même pas la laisser repartir comme ça.

_ Surtout qu'après ce qu'il c'est passé, elle pourrait aller porter plainte sans problème.

_ Tu crois qu'elle nous a piégé ?

_ Je préférerai pas mais ça m'en a tout l'air.

_ Mais je n'ai jamais piégé personne moi. »


Les jumeaux sursautèrent. Vérity se tenait derrière eux dans sa petite robe enchantée. Elle leur souriait.


« Autant mettre les choses au point tout de suite messieurs. Je ne me suis jamais servie du sexe pour obtenir quoi que ce soit. Je fais simplement ce dont j'ai envie quand j'en ai envie. Mais vous ne devez pas vous méprendre sur moi. Je ne veux pas être engagée pour autre chose que mes compétences de vendeuse. D'ailleurs je vous signale que votre stock de chapeaux d'invisibilité dans l'arrière boutique est assez bas et que le rayon de crème canari aurait besoin d'être réapprovisionné.

_ Mais... vous connaissez tous nos produits ?

_ Oh oui ! Je me suis informé depuis un petit bout de temps sur votre boutique. Maintenant excusez-moi mais mon copain m'attend au chaudron baveur. Il va être content. Ce genre d'exercice me met en appétit pour la soirée. »


Toujours souriante, Vérity leur fit un petit signe de la main et se dirigea vers la sortie. Fred et George se regardèrent et en un éclair, sans se parler, ils tombèrent d'accord.


« Euh... vous êtes libre demain ? Demanda George alors que Vérity allait franchir le seuil de la porte.

_ Oui ! Fit-elle en se retournant.

_ Très bien ! Vous commence demain. L'ouverture est à neuf heures, vous devrez être là pour huit heure.

_ Sans problèmes messieurs. »


Vérity referma la porte qui fit tinter la sonnette. Fred et George la regardèrent s'éloigner d'un regard rêveur.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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Samedi 11 mars 6 11 /03 /Mars 19:33
Apprivoisement

Une aventure sexuelle de Harry Potter en sixième année.

Avec : Ginny Weasley, Fleur Delacour et Bill Weasley.





    Les vacances d’été touchaient à leur fin. Un vent chaud soufflait à travers la campagne environnante et venait caresser le visage de Ginny qui marchait lentement. Elle observait les arbres aux feuilles frémissantes et les fleurs qui se courbaient. Le vent se promenait en vagues sur l’herbe d’un vert rayonnant avant de venir s’engouffrer dans le chemisier de la jeune fille et le faire gonfler. Ginny ferma les yeux pour savourer la douceur de l’air sur sa peau. Elle continuait de marcher à pas lent sans regarder le chemin. Elle le connaissait par cœur de toute façon. Elle se sentait enfin calme et détendue ce qui lui était impossible à la maison.

    A croire que tout le monde devenait nerveux à l’approche de la rentrée. Il était vrai que jamais les risques n’avaient été aussi importants depuis que Voldemort s’était révélé au grand jour. La situation était tendue à travers tout le pays, même chez les moldus. Et Poudlard était devenu le centre d’attention de tout le monde magique puisqu’il regroupait les deux plus grands adversaires du mage noir : Harry Potter et Albus Dumbledore. Ginny ne savait pas vraiment quoi penser de tout ça. Bien sûr, sa confiance à Harry et au directeur était absolue. Mais elle se demandait, comme tout le monde, si l’école était vraiment sans risque.

    Sa mère avait beaucoup d’appréhensions à ce sujet. Mais comme elle était membre de l’ordre du phœnix, elle n’en laissait rien paraître avec les autres sorciers. Lorsqu’elle était au terrier, en revanche, elle se laissait aller à faire plus de remontrances et était bien plus nerveuse qu’à l’ordinaire. Alors que septembre arrivait, l’ambiance dans la maison des Weasley était parfois électrique. Et Fleur n’arrangeait rien. En dehors des humeurs de sa mère, la jeune française était l’une des raisons principales de la promenade solitaire de Ginny. Elle avait vraiment beaucoup de mal à supporter la fiancée de son frère qui ne cessait de faire des remarques sur tout et n’importe quoi. Sortir de la maison était alors le seul moyen de retrouver un peu de tranquillité d’esprit. Harry, Ron et Hermione étaient occupés à discuter de choses et d’autres dont ils préféraient que Ginny les ignore et la jeune fille se retrouvait souvent seule ces derniers temps.

    Elle ne s’en plaignait pas toutefois car avec tout ce monde à la maison, il faisait bon être un peu tranquille. Ginny prit un petit chemin de terre envahit par les mauvaises herbes qui traversait un bosquet d’arbres pour déboucher sur un petit étang. Elle s’assit au bord de l’eau et s’allongea dans l’herbe fraîche. Elle ferma les yeux et essaya de ne plus penser aux tristes événements qui se succédaient ces derniers temps. Elle ne sut pas trop combien de temps elle était restée là sans bouger lorsqu’elle entendit des voix approcher. Elle se redressa et scruta les alentours. En plus des voix, des bruits de pas venaient du bosquet. Elle n’avait pas tellement envie de croiser des gens pour l’instant et se précipita derrière un buisson, espérant que les promeneurs importuns ne s’arrêteraient pas.

    Elle entendit un rire cristallin et envoûtant passer entre les arbres. Un rire qu’elle connaissait bien et qui ne l’arrangeait pas du tout en ce moment. Elle écarta doucement quelques branches du buisson et vit sans surprise Fleur et Bill, main dans la main, s’arrêter devant l’étang.

« Oh ! C’est vraiment très beau ici. S’exclama Fleur.
_ Oui ! J’ai découvert cet étang quand j’étais enfant. C’est un endroit connu de moi seul. »

Ginny ne put s’empêcher de sourire devant la naïveté de son grand frère. Elle espérait toutefois qu’il irait vite lui montrer d’autres endroits qu’il était soit disant seul à connaître afin qu’elle puisse bouger d’ici. Il lui était impossible autrement de s’éloigner sans attirer leur attention. Mais à son grand dam, le couple s’assit sur l’herbe et s’embrassa passionnément.

« C’est si calme. Pas comme chez toi.
_ Il y a beaucoup de monde en ce moment. Répliqua Bill. On a presque plus un moment à nous.
_ Alors profitons-en ! »

    Fleur posa à nouveau ses lèvres sur celle de son fiancé mais elle en profita pour faire pression sur ses épaules et le faire s’allonger sur le dos. Elle passa une jambe de l’autre côté de Bill et se retrouva sur lui. Ginny se sentait incroyablement gênée. Non pas par les jeux de l’amour qu’elle connaissait fort bien mais par le fait qu’elle n’avait pas du tout envie de voir l’un de ses frères en pleine action. Elle espérait qu’après quelques caresses et baisers, ils iraient poursuivre dans un endroit plus tranquille. Ginny se mordit la lèvre. Elle devait bien admettre qu’elle ne connaissait pas de lieu plus calme et discret que les abords de cet étang. Elle essaya de se concentrer sur des souris qui passaient dans l’herbe non loin d’elle et se boucha les oreilles. Pendant quelques secondes elle ne pensa plus au couple enlacé tout près d’elle mais elle dût se rendre à l’évidence, elle n’arriverait jamais à faire comme si de rien n’était. Elle était toujours gênée vis à vis de son frère mais elle avait très envie de regarder Fleur. Ginny était loin d’être rebutée par les autres filles et elle devait admettre que malgré son antipathie pour la jeune française, elle était la plus belle qu’elle n’ait jamais vue.

    Elle écarta à nouveau les branches avec discrétion et fut déjà soulagée de voir que Bill avait encore ses vêtements pour le moment. Fleur s’était redressée et se retrouvait assise sur le bassin de son fiancé. Elle se mit à onduler des hanches comme si elle exécutait une danse lascive et, bien que les pans de sa robe le cache, Ginny devinait qu’une bosse devait naître sous les petites fesses de la jeune femme. Bill posa les mains sur les genoux de Fleur et les fit remonter lentement sur ses cuisses mais elle écarta ses bras et dit en le regardant d’un air coquin :

« On se calme ! Où est donc passé ton flegme britannique mon amour ? »

« Le faire languir tout en le chauffant, pensa Ginny, classique mais toujours efficace »

La jeune fille était admirative devant l’incontestable savoir-faire de Fleur puis elle se rappela soudain que c’était son frère qui recevait toutes ces caresses et elle faillit trébucher sous la stupeur. Elle reprit contenance assez vite et, après avoir pris une profonde inspiration, jeta un nouveau coup d’œil sur le couple.

    Fleur ne cessait de remuer lascivement son petit cul sur le membre de son fiancé dont le visage trahissait l’insoutenable attente. La jeune femme déboutonna lentement sa robe qui s’ouvrait par-devant. Presque malgré elle, Ginny se sentit de plus en plus intéressée par le spectacle dévoilant la peau claire et apparemment douce de sa future belle-sœur. Elle constata que la jeune française ne portait pas de soutien-gorge, ce qui était on ne peut plus normal au vu de la chaleur et qui de toute façon ne devait pas lui servir pour soutenir sa belle poitrine bien ferme. L’ouverture de la robe ne dévoilait qu’un sillon de sa peau satinée allant de son cou délicat jusqu’à sa petite culotte de dentelles fines. Elle se laissa aller doucement en arrière et prit appuie sur les jambes de son fiancé pour que l’étoffe qui la recouvrait glisse lentement de son corps jusqu’au sol. Ginny, qui voyait pour la première fois les formes parfaites de Fleur au grand jour en eut le souffle coupé. Elle constata rapidement que, malgré l’habitude qu’il devait en avoir, Bill semblait lui aussi totalement subjugué par la beauté qui se tenait sur sa verge. Il avança les mains vers les deux parfaits globes de chair mais à nouveau sa compagne le repoussa.

« Décidément tu perds tes moyens mon petit Bill, s’exclama-t-elle avec un sourire moqueur. Mais je vais te soulager un peu avant de passer aux choses sérieuses. »

    Fleur se poussa vers l’arrière pour s’asseoir sur les cuisses de son fiancé, libérant ainsi son bassin. Elle déboutonna vivement son pantalon et tira sur la fermeture éclaire. Elle dégagea lentement le sexe gonflé de désir qui se dressa aussi droit qu’un i et plus dur que du métal. Ginny se sentit mal à l’aise en voyant la virilité de son frère mais elle ne détourna pas les yeux pour autant, fascinée par le regard pervers mais posé de Fleur. Quand elle était plus petite, il n’était pas rare qu’elle voie l’un de ses frères nu mais jamais en érection. Il lui semblait que le pieu de chair de Bill allait exploser lorsque la jeune femme le prit en main. Elle le masturba avec tendresse avec son sourire le plus coquin sans quitter le visage de son amant des yeux. Elle prenait beaucoup de plaisir à voir Bill froncer les sourcils ou gémir à chaque mouvement de son poignet. Elle s’avança légèrement et amena le gland surchauffé en contact avec sa petite culotte. Par de petits mouvements, elle faisait deviner à l’extrémité sensible la forme de son intimité protéger par le fin tissu.

« C’est ça que tu veux n’est-ce pas ? Tu aimerais que j’écarte ma culotte pour te laisser passer ? »

Tandis que son frère émettait un grognement de supplication, Ginny commençait à ne plus tenir. Elle aurait beaucoup aimé pouvoir toucher de ses doigts le bel abricot de la jeune française à travers le tissu et le masser avec passion. Elle retroussa sa petite jupe et caressa son trésor intime à travers sa petite culotte, appréciant le frottement du tissu sur toute la surface de son sexe et de son petit bouton d’amour en particulier.

Tout en essayant de calmer les ardeurs de son bas ventre, Ginny regardait le couple continuer ses ébats. Fleur s’était allongée sur Bill qui n’avait apparemment toujours pas le droit de la toucher. La jeune femme ouvrait sa chemise, bouton par bouton, prenant tout son temps pour lécher le torse de son amant. Elle descendait peu à peu, au rythme de son effeuillage, prenant bien soin que son fiancé ressente le frottement de son ventre plat sur son membre impatient. Bill serrait les poings sous la délicieuse torture presque autant que Ginny serrant sa petite culotte qu’elle enleva d’un coup sec. La jeune fille eut bien besoin d’introduire trois doigts dans son beau coquillage vermeil pour se calmer lorsqu’elle vit les superbes seins de Fleur s’arrêter de part et d’autre de la queue frémissante.

« Mon pauvre chéri, fit la jeune française, tu es vraiment endurant. J’en connais peu qui eut tenu aussi longtemps. Tu es un vrai champion mon amour. Tu mérites une belle récompense. »

Fleur pressa ses seins autour du membre palpitant de désir et le fit aller et venir sur sa tendre peau. Ses lèvres se refermèrent sur le gland qu’elle savoura avec passion.

    Ginny était surexcitée et se masturbait de plus en plus vigoureusement en regardant la bouche de la jeune française se distendre pour accueillir la verge gonflée à l’extrême. Elle voyait tout le corps de Bill se tendre sous le plaisir qu’il ne voulait pas encore libérer. Fleur le regardait d’un air amusé et se fit plus violente sur le pieu de chair. Bill poussa presque aussitôt un râle de plaisir et la jeune femme s’arrêta pour se délecter du nectar de jouissance de son amant. Lorsqu’elle fut totalement rassasiée, elle s’allongea doucement sur le corps enfin calmé de Bill et l’embrassa avec tendresse. Il put enfin caresser à loisir les merveilleuses courbes de sa fiancée. Ginny baissa les yeux. Elle n’avait pas encore prit tout son plaisir mais elle ne voulait pas les regarder dans un moment pareil, ce qui lui semblait pourtant bizarre puisqu’elle venait d’assister à une étreinte des plus excitantes sans plus sentir la moindre gêne. Mais si elle ne les voyait pas, elle les entendait toujours.

« Ce que j’aime te mettre au supplice mon amour.
_ Je n’aimerai jamais que quelqu’un d’autre ne le fasse. Mais attend, tu ne vas pas être déçue à ton tour.
_ Tu penses faire mieux ? Dit-elle avec un sourire malicieux.
_ Je ne perds rien à essayer. Et toi non plus. »

    Ginny les regardait à nouveau, reprenant de plus belle le mouvement de ses doigts alors qu’ils n’avaient pas encore bougé. Bill se glissa sur le côté faisant rouler le corps chaud de son amante dans l’herbe fraîche tandis qu’elle riait. Il la fit mettre à quatre pattes et s’agenouilla derrière elle. Il massait les petites fesses rebondies et se mit à passer tendrement sa langue de l’une à l’autre. Ginny voyait bien que Fleur frissonnait sous les caresses de son amant et elle comprit que la jeune française savait déjà à quoi s’attendre. Bill ne fut pas long à plonger son visage entre les douces collines et à s’amuser avec le petit puits secret dont il testa la profondeur de sa langue. La jeune femme gémissait déjà alors qu’il laissait une main contourner sa hanche pour s’arrêter sur son trésor intime. Ses doigts s’immiscèrent dans le temple de Venus brûlant de désir et l’explorèrent de fond en comble. Fleur poussait de petits cris de jouissance en se cambrant au mieux. Sans faire attention, elle souleva ses pieds qui rencontrèrent le ventre de son fiancé. Avec un petit sourire de satisfaction que seule Ginny put voir, elle les abaissa pour caresser la verge vaincue. Les délicieuses caresses de Bill l’empêchaient d’être pleinement concentrée sur ses gestes et elle tripotait maladroitement le membre qu’elle sentit néanmoins grandir sous la plante de ses pieds.

    Bill se releva l’air ravi.

« Tu as l’air impatiente mon cœur.
_ Oh, je t’en prie ! Viens en moi ! Maintenant ! »

Il prit sa verge dans la main et caressa les abords de l’intimité trempée de sa fiancée. Elle poussa des gémissements de supplication en offrant encore un peu plus sa croupe. Bill s’empara de ses hanches et la pénétra sans plus d’attente. Fleur haletait sous les vigoureux coups de reins de son fiancé. Elle se mit à ruer au devant des coups de boutoirs et ses gémissements se transformèrent en cris de jouissance. Ginny devenait folle en s’imaginant coller son antre secrète sur la bouche délicieusement pulpeuse de la jeune française. Bien qu’elle n’ait toujours que ses doigts à agiter frénétiquement, il lui semblait sentir la langue vicieuse de la jeune femme s’introduire entre ses lèvres intimes et son souffle chaud et haletant faire frémir sa douce toison écarlate. Ginny n’y tenait plus et laissa la jouissance l’envahir totalement. Elle ne put retenir un petit gémissement sonore et plaqua immédiatement les mains sur la bouche. Mais le couple était loin d’être silencieux et ils ne l’avaient pas entendue. La jeune fille s’assit dans l’herbe fraîche et reprenait son souffle tandis que des râles rauques lui indiquèrent que les deux amants étaient venus à bout de leur plaisir.

    Ils étaient étroitement enlacés, encore l’un dans l’autre, se prodiguant de nombreuses caresses et baisers. Ginny détourna à nouveau les yeux. Elle remit sa petite culotte et s’allongea dans l’herbe. Elle attendait patiemment qu’ils se rhabillent et s’en aillent tout en regardant la frondaison des arbres se balancer lentement à la grâce du vent. Elle réfléchissait à toute cette aventure. Fleur était le genre de fille qui l’exaspérait au plus haut point mais elle ne pouvait nier que c’était elle qu’elle avait désiré pendant qu’elle les regardait. Même la gêne d’espionner son frère s’était estompée sous son admiration pour Fleur. Elle songea un instant que sa future belle sœur avait usé de son pouvoir de demi-vélane mais il lui apparut bientôt évident que ce serait absurde. Pas lorsqu’elle était avec Bill. Elle resta longtemps à penser tandis que la soirée avançait peu à peu. Lorsqu’elle se décida à se lever enfin, Bill et Fleur étaient déjà partis sans qu’elle ait su dire depuis quand. Le soleil déclinait rapidement et Ginny pressa le pas en direction du terrier. Il ne faisait pas bon rester dehors le soir ces temps-ci et elle aurait probablement droit à quelques cris de la part de sa mère. C’est donc sans surprise qu’elle reçut les remontrances de Mrs Weasley dès qu’elle eut passé le seuil de la porte. Les remarques à peine voilées de Fleur sur son manque de maturité refroidirent grandement son ardeur envers elle.

    Les jours passèrent finalement jusqu’au retour à Poudlard, et c’est avec l’image du corps enfiévré de la jeune française que Ginny fit sa rentrée. Elle fit bénéficier Dean Thomas, son petit ami, de ses fiévreuses attentions pendant tout le premier trimestre. Mais le jeune garçon, heureux comme jamais, ne pouvait éteindre en elle son véritable désir. Même Luna, si belle et si attentionnée avec Ginny, ne put lui enlever Fleur de la tête. Au fil des jours, elle se jetait avec toujours plus de passion dans les bras de Dean, qui était tout de même intrigué sans être assez bête pour poser la moindre question. Tout le plaisir qu’il lui donnait la comblait sur l’instant mais elle revenait toujours à la charge avec des désirs plus ardents. Lorsqu’arrivèrent les vacances de Noël, il était grandement partagé entre la peine que lui procurait sa séparation avec la douce Ginny qui l’embrassait tendrement quand il la tenait dans ses bras et dont il ne se lassait jamais de caresser ses jolies courbes, et le soulagement du repos qu’il allait prendre sans la tigresse qui, au détour d’un couloir, pouvait l’entraîner dans les toilettes ou dans une salle vide pour assouvir toutes ses envies.

    Le terrier était presque enterré sous la neige et il était d’autant plus difficile de le voir que les temps obscurs empêchaient les sorciers de décorer leurs maisons comme pour les camoufler au mieux. Il y avait beaucoup de monde pour la veille de Noël et Ginny fut catastrophée d’apprendre qu’elle allait devoir partager sa chambre avec Fleur et non pas avec Hermione. Bien qu’elle ait beaucoup fantasmé sur sa future belle sœur au long de ses derniers mois, elle doutait que la condescendance de la jeune femme ne s’atténue au point de lui faire partager son lit. Elle enviait fortement Bill de ne pas avoir seulement le mauvais côté de sa fiancée. Elle réussit tout de même à passer une bonne soirée, oubliant la mauvaise nouvelle sous les effets de la fête. Elle ne s’en souvint que tard dans la nuit, lorsque Mrs Weasley pria tout le monde d’aller au lit. Elle monta les marches d’un air lugubre, dit bonne nuit à Hermione, Harry et Ron d’une voix éteinte, et entra dans sa chambre. Elle se déshabilla et enfila un long tee-shirt avant de s’allonger sur le matelas par terre, son lit étant réservé pour sa compagne de chambre qui le trouverait sûrement beaucoup trop dur pour son dos délicat.



    Elle était allongée depuis quelques bonnes minutes, essayant de ne pas songer au merveilleux corps qui serait bientôt allongé près d’elle, lorsqu’elle entendit des bruits dans l’escalier.

« Tout de même c’est insensé, fit la voix de Fleur, chez nous personne ne nous dit quand on doit aller se coucher un soir de fête !
_ Ma mère aimerait voir des gens se lever avant que le soleil, lui, ne se recouche. Lui répondit la voix de Bill amusé.
_ Et pourquoi nous faire faire chambre à part ? Nous sommes adultes quand même.
_ Il n’y aurait pas assez de chambres ce soir si nous en prenions une pour nous seuls. Et puis tu as de la chance, Ginny a le sommeil dur.
_ Ta sœur est très gentille et je l’aime bien. Mais moi je n’aimerai pas qu’on s’impose comme ça dans ma chambre.
_ Oui, mais crois-moi, dormir avec Fred et George c’est tout autre chose. On fait l’échange quand tu veux… (Bill se tut quelques secondes) euh… non ! Finalement je préfère pas. »

Ils poussèrent de petits rires étouffés puis Ginny entendit distinctement le froissement d’un tissu. Elle se leva, se dirigea vers la porte aussi silencieusement qu’un chat et jeta un œil par la serrure. Fleur et Bill étaient dans les bras l’un de l’autre et s’embrassaient tendrement. Ginny regardait les mains de son frère glisser sur la robe fendue de sa fiancée. Sa mère avait faillit exploser quand elle la vit arriver à table. Même Hermione avait parfois eu du mal à ne pas la regarder trop longtemps et elle n’avait même pas broncher lorsque Ron avait fait tomber sa fourchette pour la sixième fois.

« J’aimerai tellement rester avec toi, fit-elle, c’est injuste.
_ Oui, mais on a pas le choix. Demain on fera une petite balade dans la neige. Je vais te donner un avant goût. »

    Bill embrassa à nouveau la jeune française en faisant remonter sa main le long de la cuisse dénudée et la fit passer sous la robe.

« Tiens ? Pas de sous-vêtement ? Fit-il en lui souriant. C’est donc vraiment fête ce soir ?
_ C’était au cas où, répondit-elle avec un regard coquin. Si jamais on avait trouvé un moyen de s’éclipser un peu. »

Bill caressa l’intimité de sa fiancée et lui posait de petits baisers dans le cou.

« Oh ! Bill ! Mais… qu’est-ce que tu fais ?
_ Je te laisse un petit souvenir de moi pour cette nuit.
_ Ah ! Vilain garçon, souffla-t-elle à son oreille, ooooh… je ne vais jamais réussir à dormir dans cet état… oui… plus profond…
_ Aïe ! Je crois que mes parents vont monter. Eh bien ce sera tout pour ce soir mon cœur. A demain. »

Bill posa un baiser sur les lèvres de son aimée et courut jusqu’à la chambre des jumeaux. Ginny se projeta sur le matelas et se recouvrit des couvertures au moment où la porte s’ouvrit. Fleur entra et referma vivement la porte. Elle attendit que les pas de Mr et Mrs Weasley se soient éloignés avant de tourner la tête vers Ginny qui faisait semblant de dormir.

Fleur pris sa baguette magique et alluma une bougie pour fouiller dans ses affaires. Ginny la surveillait, les yeux entrouverts, tandis que la jeune française tirait une petite nuisette de soie de son sac. Elle se déshabilla. La lueur de la flamme dansait sur son corps blanc. Ginny sentit la chaleur envahir son bas ventre. Elle serra les lèvres. Pas maintenant. Mais Fleur ne l’aidait pas à se calmer. La jeune femme passa une main sur ses petites fesses parfaites pour atteindre son intimité encore ruisselante Où elle laissa un doigt s’égarer.

« Ooooh ! Bill, lâcha-t-elle dans un soupir. »

Elle tourna subitement la tête vers Ginny qui eut tout juste le temps de fermer les yeux. Elle les rouvrit avec précaution pour voir Fleur passer sa nuisette en levant les bras ce qui gonflait sa magnifique poitrine. Le vêtement se posa sur son corps aussi léger qu’une feuille. La jeune femme pris le bougeoir et gagna son lit. Ginny se sentit frissonner lorsque les jambes passèrent devant son visage.

    La jeune française posa la bougie sur la table de chevet et s’allongea. Mais elle ne tira pas les couvertures sur elle. Elle écarta les cuisses et ses doigts retrouvèrent le chemin de son entrejambe doré. Elle poussait de faibles gémissements qu’elle s’efforçait de contrôler. Ginny en devinait plus qu’elle n’en voyait du sol. Mais cela lui suffit amplement pour sentir son intimité devenir brûlante. Rester calme à côté de fleur endormie était une chose, mais à côté de Fleur chaude et gémissante était insoutenable. Sans vraiment penser à ce qu’elle faisait, la petite rousse se laissa tomber de son matelas avec bruit. Elle sentit Fleur faire un sursaut sur le lit et devina qu’elle devait se rajuster rapidement. Elle vit apparaître la tête de la jeune française paniquée au-dessus d’elle.

« Ginny ? Mais qu’est-ce que tu fabriques ? »

Habituellement pâles, ses joues étaient rouges et ses yeux brillaient encore de son plaisir interrompu. Ginny la trouva encore plus belle sans savoir si c’était vraiment possible.

« Euh… je… je crois que j’ai fait un mauvais rêve.
_ Quoi ? A ton âge ?
_ Oh ! C’était… horrible, hoqueta-t-elle comme si elle pleurait, il y avait Tu-sais-qui et… et il tuait Harry.
_ Allons ! Arry ne se laisserait pas faire voyons. Recouche-toi et oublie ça.
_ Oh ! Fleur ! S’il te plaît ! Je peux venir avec toi ? Juste quelques minutes.
_ Mais enfin Ginny… ce n’est… ce ne serait pas…
_ S’il te plaît ! »

    Ginny jouait si bien la comédie que Fleur ne put faire autrement que de la laisser se coucher, non sans un regard désappointé. La jeune rousse savait bien tout ce qui lui en coûtait de l’acceptait dans son lit et jura de le lui rendre au centuple.

« Bon ! Tu vas mieux maintenant ?
_ Encore un peu s’il te plaît.
_ C’est insensé ! »

Ginny posa la tête sur l’épaule de Fleur. D’abord surprise, la jeune française finit par se radoucir et caressa les cheveux flamboyant de l’adolescente. Ginny pensa qu’elle avait déjà dû consoler sa petite sœur Gabrielle au milieu de la nuit bien des fois auparavant. Elle s’y prenait avec beaucoup de tact. Mais Ginny en voulait plus.

    Elle se colla un peu plus contre Fleur et fit glisser sa cuisse nue sur les jambes de la jeune française jusqu’à rencontrer le trésor intime encore humide. Fleur sembla comme électrocuté mais elle ne put reculer que son torse.

« Ginny !
_ Oh ! J’ai l’impression que toi tu faisais de beaux rêves, fit la petite rousse d’un air innocent.
_ Je… tu…
_ Calme-toi ! Ce n’est pas si grave. Et puis ça me donne une occasion de m’excuser de t’avoir réveillé. »

Ginny frotta sa cuisse sur le petit abricot doré avec douceur. La jeune femme poussa des gémissements. Son visage se détendit un peu mais elle semblait toujours partagée entre le fait de coucher avec sa future belle sœur et le plaisir qu’elle n’avait toujours pas réussit à prendre cette nuit.

« Non ! Arrête… faut pas… ! »

Mais l’adolescente n’écoutait pas les supplications de Fleur qui venait d’ouvrir un peu plus ses cuisses soyeuses. Sans hésiter, Ginny plongea vers le bas ventre mais elle passa la tête entre les jambes de la jeune française et écarta ses petites fesses rondes bien décidée à suivre la leçon que son frère lui avait donnée inconsciemment quelques mois plus tôt.

    Elle posa sa langue agile sur le petit anneau et sentit sa partenaire frémir. Elle s’enfonça d’un seul coup aussi loin qu’elle le put. Elle fit la meilleure feuille-de-rose qu’elle n’avait jamais pratiqué de sa vie. Lorsqu’elle pénétra quelques doigts dans la douce intimité de Fleur, elle se rendit compte qu’elle avait déjà jouit sous le seul effet de sa langue. La petite rousse redoubla d’effort tout en masturbant vigoureusement le petit abricot désormais bien juteux. La jeune française ne fut pas longue à venir une deuxième fois sous le délicieux et énergique traitement de Ginny. L’adolescente se releva, déjà essoufflée, mais ravie que Fleur ait abandonné toute idée de la jeter hors de son lit. Elle retira son tee-shirt et se retrouva nue. La jeune femme la regarda quelques secondes et dit d’une voix douce.

« Tu sais que tu es vraiment très mignonne. »

Un tel compliment venant de Fleur, c’était comme si la lune s’était mise à chanter. Ginny lui sourit, rayonnante. La jeune française se redressa et prit les deux jolis seins de la petite rousse avec tendresse.

« Ces beaux fruits là sont très appétissants ! »

Tout en les massants avec douceur, Fleur prit l’un des petits tétons dressés entre ses lèvres et le fit jouer de sa langue, au plus grand plaisir de l’adolescente. Ginny caressait la longue chevelure blonde qui lui chatouillait le ventre.

Fleur voulut se débarrasser de sa nuisette mais la jeune fille l’en empêcha.

« Oh non ! S’il te plaît ! Laisse-moi faire ! »

Ginny releva doucement le bord du vêtement fin pour révéler le ventre plat. Elle laissa sa langue savourer la chaude et tendre peau, titillant le nombril qui fit lâcher un petit rire à la jeune femme. Puis elle dégagea les seins superbes et prit tout son temps pour les savourer. Elle retira enfin complètement la nuisette qu’elle envoya rejoindre en boule son tee-shirt au pied du lit puis elle prit passionnément les lèvres de Fleur. Elles s’embrassèrent longuement. Ginny crut bien qu’elle n’arriverait jamais à se défaire de la saveur de la bouche de la jeune femme. Fleur caressait tout le corps de la tendre adolescente et arrêta l’un de ses doigts sur le petit anus. Aussitôt, la petite rousse releva un peu les fesses et la jeune française y pénétra profondément. Ginny vint au-devant de ses va et viens avec force.

« Apparemment toi aussi tu es très sensible par-là. Mais le spectacle ne fait que commencer ma belle. »

    Fleur posa doucement l’adolescente sur le côté et alla prendre sa baguette magique. Elle le transforma en gode ceinture qu’elle enfila rapidement.

« Un petit tour apprit à l’internat de Beauxbâtons. D’après ce que j’ai vu, c’est pareil à Poudlard. »

Ginny acquiesça en souriant et se mit à quatre pattes. Fleur vint derrière elle, s’accrocha à ses hanches et posa l’extrémité du membre factice sur le puits secret. La petite rousse pinça les lèvres lorsqu’elle sentit le gode pénétrer lentement en elle. La jeune française accélérait peu à peu le rythme. Ginny pressa un oreiller contre sa bouche pour étouffer ses cris mêlaient de douleur et de jouissance.

« Dire que Bill voulait que je passe une nuit tranquille. Qu’est-ce qu’il dirait maintenant s’il savait que je sodomise sa petite sœur ? »

L’adolescente laissa un rie sonore lui échapper mais les vigoureux coups de reins de Fleur lui remirent vite les idées en place. Une vague de plaisir envahit son ventre et se déversa sur les cuisses de la jeune française. La jeune femme se retira en douceur et s’abaissa pour boire à la plus belle des sources.

    La petite rousse était totalement épuisée. Elle avait rarement jouit avec une telle force. Fleur prononça une formule et le gode se retrouva avec deux extrémités en forme de gland. La jeune femme le tordit en U et introduisit une extrémité dans son beau coquillage. Elle s’allongea et prit Ginny sur elle.

« Je vois que tu fatigues ma jolie, mais on va finir en beauté. Ne t’inquiète pas, tu n’auras rien à faire, « il » s’en charge. »

En effet, alors que l’adolescente sentait indiscutablement les mains de la jeune française caresser tendrement son dos, l’extrémité du gode vint de lui-même caresser ses lèvres intimes avant de la pénétrer. Les filles eurent tout loisir de s’embrasser et de se caresser tandis que le membre factice ondulait dans leurs ventres. Fleur poussa un gémissement alors que la tendre adolescente avait repris l’un de ses seins en bouche. En sentant la liqueur de jouissance de sa partenaire se répandre sur leur cuisse, Ginny fut également prise par l’orgasme et s’écroula sur la douce poitrine de la jeune femme.

    Fleur prononça une autre formule et le gode se retira en douceur. Il reprit la forme de la baguette magique et se posa sagement sur la table de chevet. La jeune française tira la couverture sur leurs deux corps enlacés en faisant de son mieux pour ne pas faire bouger Ginny. Elle claqua des doigts et la bougie s’éteignit en un souffle. Tendrement blottie contre le corps doux et chaud de Fleur, l’adolescente tomba presque aussitôt d’un sommeil lourd. Elle ne fut réveillée que lorsque le soleil été déjà très haut. La porte s’ouvrit brusquement laissant apparaître Bill.

« Alors les filles ? Qu’est-ce que vous… ? »

Il s’arrêta net, regardant fixement Ginny. Cette dernière plongea presque entièrement sous les draps, laissant seulement sortir sa tête, pour couvrir sa nudité. Mais elle sentit le tee-shirt sur elle.

« Ginny ! Qu’est-ce que tu fais dans le lit ? On était d’accord pour que tu le laisse à Fleur juste cette nuit.
_ Calme-toi Bill, fit la voix de fleur, c’est moi qui lui aie dit de venir. On a eu une nuit difficile. »

L’adolescente se tourna vers Fleur, à nouveau vêtue de sa nuisette. Apparemment la jeune française avait eu la présence d’esprit de leur remettre leurs vêtements de nuit avant que le jour ne se lève.

    Rassurée, Ginny ressortit un peu de sous les draps, prenant néanmoins l’air affligé de quelqu’un qui a désobéi et qui s’est fait prendre. Fleur se leva en posant un baiser sur le front de l’adolescente.

« La pauvre a fait un cauchemar cette nuit. Tu sais ça arrive parfois quand on a trop mangé. Alors forcément un soir de fête, ça n’est pas étonnant. Gabrielle fait parfois des cauchemars. Je vais toujours la consoler ou alors elle dort avec moi. Elle est rassurée de sentir une présence, mon petit ange. Alors quand j’ai vu Ginny si effrayée cette nuit je lui aie dis de venir avec moi. Et elle s’est presque endormie tout de suite. Après tout elle sera bientôt comme ma sœur et je dois prendre soin d’elle. »

Tout en parlant, Fleur s’habillait et se coiffait. Lorsqu’elle eut terminé, Bill s’excusa auprès de Ginny et le couple descendit prendre le petit déjeuner. La petite rousse s’habilla également et descendit. Elle ne fut pas surprise de voir sa mère se jeter sur elle.

« Oh, tu as fait un cauchemar ma pauvre chérie. Viens ! Un bon thé va te remettre d’aplomb. En tout cas c’est très gentille à vous Fleur de l’avoir consolée. »

Elle fit un sourire à la jeune française, ce qui était aussi rare que cette dernière complimentant quelqu’un sur sa beauté.

« Décidément, il n’y a qu’à Noël qu’on voit des miracles chuchota doucement George à l’oreille de Ron.
_ Arrête de marmonner toi. Ah vous n’avez pas entendu ce qu’ils ont fait cette nuit ces deux-là. Ils ont tiré un feu d’artifices dans la chambre. Résultat, un lit en miette. Tout ce que vous avez gagné c’est de repartir pour votre boutique au plus vite. »

Les jumeaux marmonnèrent en regardant leur thé mais Fleur intervint.

« Vous savez, Mrs Weasley, si vous voulez, je peux rester encore une nuit avec Ginny. Bill peut prendre le lit de Lupin puisqu’il est reparti. C’est dommage de ne pas avoir ses enfants pour Noël quand c’est possible. Enfin si Ginny veut bien. »

Ginny acquiesça et lança un regard à Hermione, Harry et Ron qui voulait leur signifier qu’elle y était bien forcée. Pendant que Mrs Weasley remerciait Fleur non sans se demander pourquoi elle était soudain si serviable, Ginny se pencha sur sa tasse de thé en souriant.

« Allez, Bill ! Tu m’as promis une ballade aujourd’hui, Lança Fleur en se levant.
_ Ah oui ! Allons-y, le coin est magnifique avec toute cette neige. »

Ils prirent de gros manteaux et s’apprêtèrent à sortir lorsque Ginny s’exclama :

« Oh Bill ! Il y a un très joli étang pas loin. Si tu connais, tu devrais l’emmener, ça doit être très beau en ce moment. »

Bill la regarda, médusé, tandis que Fleur le poussait dehors en essayant à grandes peines de ne pas éclater de rire.
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00
La fin des BUSE

Une aventure sexuelle de Harry Potter en 5e année

Avec : Harold Dingle, Katie Bell, Angelina Johnson, Alicia Spinnet et Dennis Crivey.





« Quoi ? 2 gallions et 6 mornilles la bouteille ? Tu te moques de nous Harold ? »

Dean Thomas regardait Harold Dingle comme s’il venait de lui pousser des verrues sur le visage. Mais Harold lui souriait toujours d’un air goguenard.

« Si tu crois que c’est facile de se procurer du Whisky Pur Feu au marché noir, tu peux toujours te débrouiller tout seul, Thomas. Mais moi j’en ai déjà deux caisses pleines qui attendent de participer à votre petite fête. Mais peut être vous contenterez-vous d’en rester à la bièraubeurre ?
_ Mais on aura plus rien pour acheter autre chose ! Intervint Seamus Finnigan.
_ Allons, allons, les gars ! Je ne suis pas sans cœur vous savez. Je peux vous faire crédit. Je suis encore là pour l’année prochaine. Vous aurez tout le temps de me payer.
_ Tu es malade ! Reprit Dean l’air toujours écœuré.
_ Dans ce cas allez dire à tous ceux à qui vous avez promis une fête pour la fin des BUSE qu’ils n’ont plus qu’à se contenter de jus de citrouille. Il ne faut pas essayer de jouer aux héros quand on en a pas les moyens. »

Dean et Seamus se regardèrent inquiets puis Dean dit d’une voix sombre.

« D’accord Harold. On s’arrangera pour te payer la suite après les vacances. Mais j’espère pour toi que ce n’est pas du jus de troll.
_ T’inquiète pas, répondit Harold en agitant sa baguette et en faisant apparaître deux petites caisses tintants dans un bruit de verre, si je vous vendais un mauvais produit je n’aurais pas accepté de rester à votre fête.
_ Mais jamais on ne t’a pas demandé de… , commença Seamus
_ Bon ! Coupa Harold. Amenez ces caisses à vos camarades. Ils doivent être impatients. »

Harold passa entre les deux gryffondors ahuris et alla rejoindre les autres membres de la maison qui criaient et chantaient joyeusement pour célébrer la fin des examens. Des feuxfous fuseboum, commandés par hibou express auprès des jumeaux Weasley, rebondissaient sur les murs et frôlaient les visages des élèves. Plusieurs cadavres de bièraubeurre traînaient déjà sur les tables et les caisses de Whisky Pur Feu furent ouvertes par Seamus et Dean sous les acclamations de tous les autres.

    La soirée avançait et de nombreux visages étaient rouges sous les effets de l’alcool qui coulait encore à flot. Parvati et Lavande riaient aux éclats en regardant Lee Jordan faire une imitation impressionnante de Dolores Ombrage fulminante après la nomination de Firenze le centaure au poste de professeur de divination. Colin Crivey était allongé en travers d’un fauteuil et gloussait tout seul, une bouteille de bièreaubeurre à la main. Dean et Seamus avaient défié un garçon de sixième année à qui boirait le plus et avalaient les verres les uns après les autres sous les regards admiratifs de quelques filles de deuxième année qui étaient sagement restées au jus de citrouille. Harold s’était rapproché de Katie Bell qui s’avançait d’un pas peu sûr vers une chaise. Ils se connaissaient car ils étaient tous deux en sixième année et avaient de nombreux cours en commun. Harold attrapa le bras de Katie et l’amena jusqu’à la chaise.

« Merci… Harold ! Hoqueta-t-elle.
_ Je t’en prie, fit-il en attrapant un verre et une bouteille. Tiens ! Prend un peu de Whisky, ça va te requinquer.
_ Non… je préfère pas. J’ai déjà trop… trop bu. Je… je vais aller me coucher.
_ Allez ! Tu sais que c’est moi qui aie réussi à en ramener. Tu me ferais plaisir.
_ Bon, d’accord. Mais juste… un petit. »

Harold lui donna le verre et attendit qu’elle l’ait bu entièrement. Puis elle voulut se relever pour rejoindre son dortoir mais retomba lourdement sur la chaise.

« Je crois que je ferai mieux de t’aider. Tu nous feras une mauvaise chute dans les escaliers sinon. »

Il aida Katie à se lever puis la soutint d’un bras autour de la taille et passa l’un des bras de la jeune fille autour de ses épaules. Ils traversèrent la salle d’un pas chancelant tandis que tous les autres continuaient de faire bruyamment la fête.

    Ils se retrouvèrent dans la pénombre de l’escalier et commencèrent à monter lentement. Katie avait du mal à garder ses yeux ouverts et elle ne remarqua même pas que le toboggan qui devait repousser les garçons ne s’étaient pas déclenché, signifiant qu’ils n’allaient pas vers les dortoirs des filles. Elle ne remarqua pas non plus la main qui avait glissé de sa taille jusqu’à son sein et qui le palpait avec avidité. Ils entrèrent dans un dortoir et Harold déposa la jeune fille sur un lit. Puis il referma la porte et pointa sa baguette magique sur celle-ci en prononçant :

« Collaporta »

Un bruit de succion lui indiqua que la porte était désormais scellée. Il se retourna, rangea sa baguette et s’assit sur le lit. Il empoigna les seins de la jeune gryffondor avec vigueur et les massa à travers la robe. Katie sembla vouloir ouvrir les yeux mais, comme si ses paupières étaient de plombs, elle n’y parvint pas.

« Je crois que tu as trop bu ma belle. Depuis le temps que j’attendais une occasion comme celle-là. Dommage que tu ne sentes rien. Mais je m’en contenterai. »

Il pinça fortement l’un des seins entre ses doigts. Katie remua un peu sous la douleur mais ne se réveilla pas.

    Harold se leva et commença à déshabiller la jeune fille inerte. Il la secouait sans ménagement pour faciliter sa tâche, savourant l’absence totale de réaction. Il la contempla un instant alors qu’il ne lui restait plus que ses sous-vêtements et commença à caresser l’entrejambe à travers la petite culotte qui s’humidifia rapidement. Katie poussa un petit gémissement mais ne bougeait toujours pas. De son autre main, Harold arracha violemment le soutien gorge. Il se pencha sur la poitrine nue et se mit à la lécher avec empressement. Il mordillait les petits tétons dressés en guettant les réactions de sa partenaire involontaire. Mais elle ne faisait pas le moindre mouvement. Il se releva soudainement et prit le soutien gorge par le milieu. Il le leva et l’abaissa brutalement sur la poitrine de la jeune fille. Les élastiques aux bouts de plastique cinglèrent la peau en deux traînées rouges. Il frappa plusieurs fois les seins et enfonçait trois doigts avec frénésie dans le trésor intime de la jeune gryffondor. Elle avait le visage crispé mais les effets de l’alcool la tenaient toujours endormie.
    
    Harold jeta le soutien gorge et retira la petite culotte. Il caressa les cuisses très douces puis les écarta en sentant une légère résistance de la jeune fille. Il s’allongea sur elle et souleva sa robe de sorcier jusqu’à la taille. Il dégagea son sexe gonflé et le guida à l’entrée du coquillage de la belle endormie. Il pénétra le sexe sans ménagement et Katie poussa un nouveau soupir de dépit. Harold s’accrocha durement à ses seins et se mit à s’activer dans son ventre avec force. Il ne prêta pas attention aux faibles gémissements de protestation de la jeune gryffondor et s’approcha de son oreille.

« Ah ! Katie ! C’est trop bon. Je suis sûr que tu aimes ça aussi. Mmmmh ! Oui ! Tu n’attendais que ça, c’est certain. Tu es une petite vicieuse. Et même une belle salope. Je m’en doutais dès que je t’ai vu la première fois. Quel gâchis d’avoir attendu tout ce temps. Mais je… ooooh… je… je viens déjà. Allez ! Prends tout salope ! »

Il s’activa plus rapidement pendant quelques secondes puis donna un dernier coup de rein brutal et se répandit dans le ventre de la jeune fille.

Il se mit à lécher le visage fin de la belle endormie. Harold voulut l’embrasser mais les lèvres de Katie étaient closes. Il fit une pression avec deux doigts de chaque côté de la bouche pour l’entrouvrir et y enfouir sa langue qui ne rencontra aucune sorte de réaction. Il eut alors une idée et se redressa un peu pour dégager son membre viril du ventre de Katie. Il se mit à genoux au-dessus d’elle et s’assit sur sa poitrine, ressentant un certain plaisir en écrasant les seins fermes sous ses fesses. Il posa une main derrière la tête de la jeune fille et la releva tandis qu’il saisissait son dard de son autre main. Il caressa le visage avec le bout de son gland encore poisseux puis il s’arrêta devant les lèvre entrouvertes. Il appuya sur les joues pour les écarter encore plus et introduisit son sexe dans la bouche involontairement offerte. Il maintenait la tête en donnant de petits coups de reins, sentant avec extase les seins rouler sous les frottements de ses fesses. Katie remuait légèrement. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait mais l’alcool l’empêchait de réagir. Harold reposa la tête sur l’oreiller, la renversant un peu vers l’arrière, et se positionna plus haut vers la tête de lit, son bassin juste au-dessus du visage de la jeune fille. Il put ainsi donner de plus grand coup de reins et s’enfoncer plus profondément dans la petite bouche. Son corps se raidit soudain et il se déversa dans la gorge de la jeune gryffondor. Il pinça le nez de Katie, l’obligeant à avaler sa semence pour pouvoir respirer.

Elle hoqueta et ouvrit un peu plus les yeux. Harold se retira et attrapa sa baguette magique.

« Désolé ma belle. Mais je n’en ai pas encore finit avec toi. »

Il fit apparaître une bouteille de whisky dont il restait un fond et força la jeune fille à l’avaler en comprimant à nouveau son nez. En quelques minutes, Katie retomba dans sa léthargie. Harold se leva et retourna le corps endormit sans ménagement. Il introduisit alors trois doigts dans le sexe de la jeune gryffondor et son pouce dans le petit anus. Il massa quelques instants les deux orifices, pinçant la fine paroi qui les séparaient, puis attrapa deux coussins. Il souleva le bassin de Katie avec les doigts enfouis en elle et positionna les coussins sous son ventre de son autre main. Le petit cul de la jeune fille était ainsi totalement offert. Harold saisit la bouteille vide et fourra le goulot dans le trésor intime de la dormeuse. Katie fut parcourue d’un frisson au contact du verre froid dans son intimité, faisant quelques mouvements de va et viens sous les commentaires narquois du garçon.

« Alors ? Tu aimes ça ? Tu voudrais sûrement que j’aille plus loin. Mais on verra ça après. Pour l’instant j’ai l’impression que ton petit cul a besoin d’une vraie queue. Tu vas voir, c’est plus intéressant sans lubrifiant. »

Il lâcha la bouteille mais écarta des deux mains les jolies fesses de la jeune gryffondor, libérant une voie royale jusqu’au petit anneau. Il posa son gland contre celui-ci et força lentement l'entrée étroite. Mais il dû donner de nombreux coups de reins pour s’enfoncer peu à peu dans le petit cul.

« Ah ! Katie ! Ils ne doivent pas être nombreux à être passé par-là. Je suis peut être même le premier. C’est un honneur, je t’assure. »

Il se planta enfin entièrement entre les fesses de la jeune fille et savoura sa victoire quelques secondes avant de commencer de grands mouvements, sortant presque jusqu’au gland avant de retomber durement jusqu’à la garde. Le corps de Katie était parcouru de frissons à chaque violent coup de boutoir. Ses mains crispées s’accrochaient machinalement aux draps. Harold s’allongea sur la jeune fille et passa ses bras sous elle pour prendre ses seins. Il les pressait brutalement à chaque coup de rein, griffant la peau délicate. Il se figea soudain, poussant un cri tandis qu’il envoyait de longs jets de sperme dans le petit cul de la jeune gryffondor.

    Il cria si fort qu’il n’entendit même pas la porte du dortoir s’ouvrir soudainement, laissant apparaître le petit Dennis Crivey, Alicia Spinnet et Angelina Johnson, le regard flamboyant et sa baguette levée. Elle pénétra dans le dortoir à grands pas tandis que Harold se retournait et les aperçut. Il dû se retirer de Katie avant d’essayer de bondir sur sa baguette magique mais Angelina l’avait déjà récupérée en lançant un sortilège d’attraction. Elle le pointa et prononça d’une voix forte

« Impedimenta ! »

Harold fut projeté au sol où il ne pouvait plus faire le moindre mouvement, le membre toujours dressé. Angelina se retourna vers le lit, faisant voler ses petites tresses africaines dans son dos. Alicia avait passer un bras autour des épaules de Katie et la redressa légèrement. Elle inspectait la poitrine malmenée de ses doigts sous les yeux écarquillés de Dennis Crivey.

« Qu’est-ce qu’il lui a fait ? Murmura Alicia
Je ne sais pas, répondit Angelina entre ses dents mais ça va se payer. »

La jeune noire retira la bouteille de Whisky du sexe de son amie d’un air dégoutté puis la brandit en direction de Harold.

« Toi tu ne paie rien pour attendre. On va d’abord s’occuper d’elle et ensuite on te fera passer l’envie de t’amuser sans le consentement des autres. »

Elle agita sa baguette et libéra le garçon du sortilège d’entrave mais des cordes s’enroulèrent aussitôt autour de lui et un bâillon lui enserra la bouche

    Alicia caressait toujours les blessures sur les seins de son amie et une bosse s’était formée sous la robe de Dennis qui ne s’en était même pas rendu compte, fasciné par le corps nu devant lui et des doigts qui le caressaient. Angelina pointa sa baguette sur Katie et marmonna une formule. Aussitôt cette dernière se réveilla en sursaut, les yeux grands ouverts. Elle avait un visage apeuré et jetait des regards frénétiques autour d’elle.

« Que… que s’est-il passé ? J’ai l’impression… j’ai senti que… »

Angelina lui expliqua tout alors que Alicia serrait son amie contre elle pour la rassurer.

« Dennis vous a vu par la serrure, expliquait la jeune fille noire d’une voix calme, et il est venu nous prévenir immédiatement. Et maintenant ne bouge pas. Je vais te soigner un peu mais tout ne redeviendra normal qu’au bout de quelques jours. »

Elle pointa à nouveau sa baguette magique sur Katie tandis qu’Alicia massait un sein avec un peu trop d’insistance pour simplement se rendre compte de ses blessures. Elle lança d’abord un sort de prévention pour empêcher son amie de tomber enceinte. Puis elle lança un sort de soin. Les marques sur la poitrine délicate s’effacèrent un peu. Katie parut contente mais Alicia était si heureuse qu’elle embrassa son amie à pleine bouche. Angelina caressa un sein en pinçant doucement un téton lorsqu’une étoffe tomba sur sa main. Dennis était aller chercher sa cape pour recouvrir Katie, alors que son visage complètement rouge montrait bien qu’il aurait préféré continuer de contempler le corps de la jeune fille. Angelina lui sourit d’un air bienveillant, reconnaissante de cette attention pour son amie. Puis elle se tourna vers Harold.

    Celui-ci la regardait d’un air apeuré et les yeux de la jeune noire, remplit d’une colère froide, lui donnait amplement raison. Elle se positionna devant lui, juste à ses pieds.

« Alors comme ça tu te permet de violer ma copine ? Sous prétexte qu’elles ont bu un verre tu crois que toutes les filles sont pour toi ? Mais des tonneaux entiers de liqueur de pissenlits rouges n’y suffiraient pas. Je plains les pauvres imbéciles qui ne peuvent coucher avec quelqu’un qu’en les faisant boire. J’espère que tu la trouvais jolie au moins. Et moi ? Comment tu me trouves ? »

Harold fut tellement surpris par la question qu’il crut avoir mal entendu. Mais Angelina avait abandonné son air colérique pour une figure de petite fille angélique et cambrait les reins en croisant ses mains derrière la tête, faisant ressortir sa belle poitrine.

« Oh ! Tu ne verras rien avec tout ça. »

La jeune noire enleva alors sa robe de sorcier, dévoilant des vêtements très sexy, moulant parfaitement son corps de rêve. Harold n’en croyait pas ses yeux et il sentit son sexe se remettre à durcir. Et soudain il comprit le piège que lui tendait la divine jeune fille. Les cordages étaient si serrés qu’il n’y avait même plus de place pour son érection. Il sentait même les cordes l’enserrer un peu plus tandis que son membre gonflait. Son sexe était pris dans un véritable étau et il commençait à avoir mal.
    
    Angelina continuait son strip-tease de plus en plus langoureux et le garçon avait du mal à ne pas la regarder. Alicia, un sourire aux lèvres, alla rejoindre son amie pour lui retirer lentement ses sous-vêtements et en profiter pour caresser sa peau. Katie tourna la tête vers Dennis Crivey, subjugué par le corps de déesse de la jeune noire qui se dévoilait peu à peu.

« Alors c’est grâce à toi que j’ai été sauvée ? Viens près de moi ! J’ai besoin d’un peu de tendresse après tout ça. »

Le garçonnet détacha péniblement son regard d’Angelina et s’approcha du lit.

« Oh la la ! On dirait que ma copine te fait de l’effet. Mais toi tu n’es pas attaché, tu ferais bien de le laisser respirer. »

Sans laisser Dennis comprendre ce qu’elle venait de dire, Katie glissa une main sous la robe de sorcier et ouvrit le pantalon du petit garçon avec dextérité. Elle attrapa le jeune sexe tendu et le caressa avec douceur. Elle lui fit enlever complètement sa robe de sorcier et tous les vêtements qu’il portait en dessous. Elle embrassa tendrement le ventre du garçonnet qui frémit lorsqu’il sentit les lèvres de la jeune fille descendre peu à peu sur son bas ventre.




    Dennis pensa avoir sûrement atteint le paradis, ou en tout cas ce qui s’en rapprochait le plus, en contemplant Angelina et Alicia se caresser langoureusement avec de petits gémissements de plaisir tandis que Katie refermait ses douces lèvres sur son gland surchauffé. Sans vraiment savoir ce qu’il faisait, il posa fébrilement les mains sur la tête de la jeune fille et caressa timidement ses cheveux. Il ne parvenait pas à croire que trois des plus belles filles parmi toutes celles de Poudlard étaient devant lui, dont l’une le suçait et les deux autres se caressaient. Au sol, Harold gémissait également mais de dépit. Dans sa position il ne parvenait pas à tourner la tête pour échapper au spectacles des deux graciles gryffondor étroitement enlacées. Il essayait de garder les yeux fermés mais les soupirs et les petits cris des filles annihilaient toute sa volonté et il les rouvrait invariablement à chaque essai.

Dennis sentit un petit courant d’air froid sur son sexe et remarqua soudainement, comme sortant d’un rêve, que Katie avait relâché son membre. Elle se tenait sur le côté et souleva la cape pour laisser apparaître son corps magnifique en murmurant :

« Viens ! »

Le petit gryffondor ne se le fit pas répéter. Il s’allongea tout contre la jeune fille tandis qu’elle l’enveloppait également dans l’étoffe noire dont seules les têtes, et dans le cas de Katie, les pieds, dépassaient. Elle l’embrassa alors avec tendresse et caressa le petit corps qu’elle sentait tremblant. Bien qu’il y eut suffisamment de place sous la cape, Dennis sentit son sexe se durcir tellement qu’il eut l’impression d’être lui aussi entouré de cordes. Son membre était tout contre le ventre doux et chaud de Katie qui passait désormais sa langue sur son cou et ses mains sur son dos et ses petites fesses. Les seins de la jeune fille s’écrasaient sur son torse et il avança une main pour les caresser. Sa partenaire s’écarta un peu en souriant pour l’encourager. Elle en profita pour glisser sur ses hanches du bout des doigts et attraper le pieu de chair fièrement dressé. Elle massa le membre viril avec tendresse tandis que le petit garçon approchait avec lenteur sa bouche des tétons érigés. Il lécha la belle poitrine de la jeune fille à petits coups de langue timide et Katie gémissait en lui demandant de continuer. Dennis pris alors le bout d’un sein dans la bouche et se mit à téter avec plus de vigueur tandis qu’il descendait sa main vers le bel abricot de son amante. Il passa ses doigts sur le petit clitoris, sentant la jeune fille frémir, puis fit entrer son majeur entre les douces lèvres intimes mais n’osant pas aller trop loin. Katie savoura pendant quelques minutes les efforts du garçonnet pour la satisfaire sans cesser de le caresser. Puis elle l’obligea avec douceur à s’allonger sur le dos tandis qu’elle se positionnait sur lui. Elle se redressa pour se trouver à genoux au-dessus de lui, le dos voûté maintenant la cape autour d’eux comme une petite tente. Elle lui sourit tandis qu’il reprenait les caresses sur ses seins et qu’elle prenait son membre pour le diriger lentement vers son trésor intime. Ils poussèrent un gémissement mutuel lorsque leurs sexes ne firent plus qu’un. Katie se soulevait et s’abaissait lentement pour que son jeune amant savoure pleinement cet instant. Les doigts de Dennis s’étaient crispés sur sa poitrine tant il éprouvait de plaisir. Il reprit un peu ses esprits et la caressa à nouveau avec des gestes plus sûrs et plus langoureux.

    Pendant ce temps, Alicia s’était adossée contre le mur et Angelina, agenouillée devant elle, léchait consciencieusement son petit coquillage. Harold avait une vue imprenable sur le petit cul de rêve de la jeune noire qui se trémoussait langoureusement en accompagnant les coups de langues et les caresses. Il sentait presque les cordes lui rentrer dans la peau tant son sexe était dur. Il n’aurait même pas pensé être capable d’une telle érection. Mais actuellement, il ne s’en réjouissait pas. Les filles s’approchèrent de lui et il essaya encore fébrilement de fermer les yeux. Il entendait les gémissements encore plus forts et plus excitants. Angelina prit une petite voix fluette et vicieuse.

« Alors ? Tu n’as pas envie de voir ma copine et moi en train de se doigter ? Ne me dis pas que ça ne te plaît pas ? »

Harold aurait été bien incapable de dire quoi que ce soit lorsqu’il rouvrit les yeux, même s’il n’avait pas eu de bâillon. Les deux filles étaient collées l’une à l’autre, s’embrassant à pleines bouches, leurs seins s’écrasant mutuellement. Elles avaient légèrement écarté leurs bassins en cambrant les reins pour laisser leurs mains aller librement sur le sexe de l’autre. Elles les caressaient avidement et les pénétraient langoureusement avec deux ou trois doigts. Leurs mains libres se promenaient sur leurs fesses et titillaient leurs petit anus avant d’y plonger chacune un doigt. Les deux filles poussaient de petits cri aigus mais ils furent couverts par le hurlement étouffé de Harold qui n’y tenait plus.

    Angelina libéra la bouche d’Alicia et s’exclama d’un air triste qui aurait eu l’air très convaincant si un petit sourire n’était pas apparu sur ses lèvre :

« Oh mon pauvre !  Tu dois avoir bien mal là-dedans. Mais je ne sais pas si je dois déjà te libérer.
_ Peut être que nous pourrions quand même le soulager un peu, fit Alicia d’un air accablé tout aussi faux que celui de son amie.
_ Oui. Après tout nous ne sommes pas des monstres. »

Les deux filles s’agenouillèrent de chaque côté de Harold et se penchèrent vers son bassin et la grosse bosse qui soulevait péniblement le cordage. Elles passèrent toutes deux leurs langues le long du membre gonflé mais les cordes étaient trop épaisses pour que le garçon sente quoi que ce soit. Par contre, en les regardant faire, il sentit son membre se gonfler encore un peu plus et cria de plus belles alors que les filles s’embrassaient tendrement au-dessus de son ventre.

« Je crois que ce n’est pas la bonne solution, Alicia. Il faudrait essayer autre chose.
_ Peut être que si on lui montrait ce qu’il a envie de faire, ça le calmerai.
_ On peut toujours essayer. Mets-toi en place. »

Alicia s’assit juste en dessous de l’érection d’Harold et s’allongea sur le dos, sa tête arrivant juste sous le menton du garçon. Elle prit un air faussement inquiet.

« Ça va ? Je ne suis pas trop lourde ?
_ Tu es parfaite comme ça. N’est-ce as Harold ? »

Angelina s’assit sur les tibias du garçon et se pencha en avant. Elle posa tendrement sa bouche sur le trésor intime de sa camarade et sortit sa langue pour l’enfoncer du plus profondément qu’elle pu. Alicia gémissait de plaisir en plaquant une main sur la tête de son amie. Elle se tortillait avec frénésie sous les caresses expertes de la jeune noire et ses reins se frottaient contre la bosse sous les cordes en un rythme démentiel. Harold ne pouvait croire que son érection et sa douleur puissent encore croître. Alicia se caressait les seins de sa main libre et posait sa tête contre son épaule pour que le garçon ne manque rien du spectacle.

    Dennis et Katie avait retiré la cape qui leur tenait maintenant trop chaud. La jeune fille ruait plus rapidement, étonnée que son jeune amant soit déjà si endurant. Elle le sentait toutefois proche de la jouissance et elle accéléra encore le rythme pour l’envoyer au septième ciel. Dennis se crispa et s’accrocha durement aux seins de son amante lorsqu’il lâcha enfin de longs jets de semence en elle. Katie s’arrêta et savoura la liqueur de jouissance qui se répandait dans son ventre. Au contact du liquide doux et chaud, elle sentit le plaisir l’envahir également et poussa un cri reconnaissant en s’écroulant sur le petit garçon. Celui-ci chercha ses lèvres avec sa bouche et l’embrassa doucement. Mais la jeune fille ne comptait pas en finir si vite. Elle glissa lentement vers le petit dard encore tendu et l’enfouit dans la bouche pour le nettoyer consciencieusement. Dennis dû se retenir de ne pas jouir une nouvelle fois si vite lorsque Katie libéra son membre pour goûter aux deux petites bourses avec ses lèvres et sa langue. Le petit gryffondor se contractait pour retenir le plaisir le plus longtemps possible. Il plia les jambes ce qui releva involontairement son bassin et la bouche de la jeune fille rencontra le puit secret. Elle n'hésita pas un instant et explora en profondeur le petit anus de sa langue agile. Mais s’en était trop pour Dennis qui poussa un cri en se répandant sur les cheveux de sa compagne. Il voulut s’excuser mais celle-ci continua son affaire sans faire attention et en caressant de ses mains le ventre et la peau douce du garçonnet. Puis elle se glissa vers sa tête, prenant bien soin que tout son corps caresse celui du petit garçon , et lui dit à l’oreille :

« Moi aussi j’aime bien cet endroit. Si tu veux essayer. »

Avec un petit sourire elle se mit à quatre pattes au pied du lit et présenta sa magnifique croupe au petit gryffondor. Celui-ci se releva prestement et, voulant rendre la politesse à son amante, écarta les superbes fesses pour poser sa langue sur le puit secret. Il était moins doué que Katie dans cet art délicat et il compléta ses caresses en introduisant trois doigts dans le trésor intime de la jeune fille qui haletait de plaisir. Dennis se redressa mais il était si petit qu’il était presque debout pour mettre son sexe à la hauteur de l’anus de sa partenaire. Il posa son gland contre le petit anneau mais eu peur de pénétrer la jeune fille trop violemment. Katie sentait qu’il voulait entrer en elle avec douceur mais le puit secret, trop étroit, refusait de le laisser entrer. Elle posa son torse sur le matelas et lança ses bras en arrière pour attraper les hanches de Dennis. Elle le tira alors à elle d’un coup et il s’introduisit dans le joli petit cul jusqu’à la garde. Katie se redressa et s’accrocha à la barre en bois du baldaquin tandis que le petit garçon donnait de vigoureux coups de reins.

    Angelina avait fait jouir plusieurs fois Alicia qui se trémoussais à chaque fois avec force sur Harold lorsqu’elle envoyait une quantité de jus de plaisir dans la bouche de son amante. Angelina se décida toutefois à arrêter et partit chercher sa baguette magique ainsi que celle d’Alicia. Elle pointa la sienne sur celle de son amie qui s’illumina et s’allongea soudain en forme de phallus. Des lanières de cuir firent leur apparition à l’arrière et la jeune noire se retrouva bientôt avec un gode ceinture à la main. Elle l’enfila rapidement sous le regard d’envie d’Alicia qui se caressait en l’attendant. Angelina s’agenouilla à hauteur des cuisses de Harold et s’allongea sur son amie.

Les deux filles s’embrassèrent langoureusement tandis que la jeune noire positionnait correctement le membre de bois qui se frotta contre celui de chair emprisonné. Puis Alicia poussa un cri aigu, juste à côté de l’oreille de Harold, lorsque le gode entra en elle. Angelina ne ménageait pas ses efforts car elle savait que son amie aimait la sexualité plutôt « énergique » et elle donnait de grands coups de reins dans le sexe déjà ruisselant de quantité de liqueur intime. Alicia se cambrait avec force comme si son corps ne pouvait plus contenir autant de plaisir puis elle s’affaissa soudain en hurlant de bonheur et attirant son amante à elle. Elle l’embrassa fougueusement pour la remercier et lui murmura à l’oreille :

« Tu réussis toujours à me faire jouir de plus en plus fort après tant de temps passer ensemble. Je t’en prie, mon ange, continue. Encore. »

Angelina lui sourit et recommença alors ses va et viens en allant d’abord très lentement puis de plus en plus vite. Elle caressa les magnifiques seins de son amie et laissa sa langue s’y promener, appréciant les gémissements de plaisir que cela procurait à sa compagne. Alicia l’entoura tendrement de ses bras. Elle posa une main sur les longues et fines tresses africaines qui lui chatouillaient agréablement la poitrine et le ventre tandis que son autre main caressait toutes les parties qu’elle pouvait atteindre du corps somptueux qui lui donnait tant de plaisir.

Alicia avait jouit plusieurs fois avec force lorsqu’un grand tremblement envoya les filles au sol. Elles avaient complètement oublié Harold qui ne pouvait plus se tenir tant son membre le faisait souffrir. Angelina attrapa sa baguette magique et l’agita en direction des cordes qui se détendirent un peu et calmèrent la douleur du garçon.

« Je pense que tu as compris la leçon, Dingle. Mais j’aimerai mieux en être sûre. »

Elle agita à nouveau sa baguette et Harold se retrouva à genoux, le torse contre le sol, les fesses levées. Les cordes s’écartèrent pour laisser apparaître son cul. Avec un petit sourire, la jeune noire ramassa alors la bouteille de Whisky vide et déclara d’un ton ferme :

« Je crois que c’est ce que tu voulais faire à ma copine. Voyons un peu si tu aimes ça toi aussi. »

Restant sourde aux supplications étouffées du garçon, Angelina s’approcha de lui et posa le goulot entre ses fesses. Elle appuya alors avec force sur la bouteille qui pénétra profondément dans l’anus, arrachant un cri de douleur à Harold qui s’écroula sur le sol de côté.

« Bien ! Je te laisse le temps de réfléchir à ce que tu as fait pendant que mes copines et moi on s’amuse. Ensuite j’aurai peut être la bonté de te libérer. »

    Angelina laissa le garçon sur le sol et se tourna vers le lit. Dennis était allongé de tout son long sur le lit et tenait les haches de Katie qui était assise sur lui de dos. Alicia s’était mise en face de son amie, entre les jambes du petit garçon, et savourait le coquillage libre et trempé. La jeune noire s’avança vers eux et contempla le petit cul de Alicia qui se trémoussait de plaisir. Angelina caressa les jolies fesses offertes puis elle attrapa les hanches fines et positionna le gode contre le petit anneau. Alicia n’attendit pas et s’empala elle-même d’un grand coup de rein sur le membre de bois en poussant un râle de plaisir. Katie se pencha vers Angelina et caressa sa poitrine si incroyablement belle et douce. La jeune noire avança la tête et embrassa fougueusement son amie.

« J’espère que tu feras plus attention la prochaine fois, lui dit-elle. Nous ne serons peut être pas toujours là pour t’aider.
_ J’espère qu’Alicia et toi serait toujours près de moi. Mais c’est promis, je ferais attention. »

Katie embrassa à nouveau son amie et posa sa main sur le gode pour ajouter deux doigts dans le petit cul de Alicia. Celle-ci répondit positivement en ruant de plus belle. Mais elle avait également eu une idée et enfonça son majeur dans le puit secret de Dennis. Ce dernier fut surpris par la soudaineté du geste mais apprécia la douce masturbation de son petit anneau. De son autre main, Alicia pénétra tendrement le sexe de Katie et posa sa langue sur les bourses du petit garçon. Ce dernier ne put se retenir cette fois-ci et se répandit dans le petit cul de Katie. Celle-ci, en sentant son dos inondé d’une douce chaleur, jouit également avec force et plaqua le visage de Alicia sur son sexe qui déversait de grande quantité de jus de plaisir. Alicia ne perdit pas une gorgée de la liqueur intime de son amie et se sentit venir également tandis que le membre de bois se figeait entre ses petites fesses.

    Angelina prononça rapidement une formule qui fit disparaître les lanières de cuir autour de ses hanches. Le gode resta toutefois, profondément enfoncé dans le cul d’Alicia qui s’allongea face sur le lit en ronronnant de plaisir. Katie se coucha sur son amie et lui lécha ses jolies fesses en titillant le membre de bois. La jeune noire se leva en contemplant ses camarades d’un air attendrit. Puis elle prit Dennis par la main et l’emmena sur le lit d’à côté.

« Avec tout ça, fit la jeune noire, je n’ai pas pu jouir moi. Qu’en dis-tu Dennis ? Tu te sens encore capable de t’occuper de moi ? »

Même si Poudlard était en train de s’effondrer, rien n’aurait pu empêcher Dennis Crivey de se sentir aussi heureux en ce moment-là. Angelina était si belle qu’il n’aurait jamais imaginé faire l’amour avec quelqu’un qui lui serait à peine arrivé à la cheville. La jeune noire au corps de déesse que tous les garçons regardaient avec envie et désespoir se tenait devant lui, prête à l’accueillir. Il s’avança vers elle et, bien que la vue de son corps irréel lui ait suffit pour avoir une nouvelle érection, elle l’allongea doucement sur le lit et prit son membre dans sa bouche. C’était, de loin, la meilleur sensation qu’il eut connut ce soir là. Il tourna la tête vers Alicia et Katie. Les deux filles avait transformé le membre de bois en double gode et l’avait fait pénétrer dans leurs petits coquillages inondés de plaisirs. L’une sur l’autre, elle se trémoussaient en frottant leurs belles poitrines avec attention.

    Dennis sentit les lèvres d’Angelina quitter son sexe qui fut aussitôt entouré de quelque chose de doux et chaud. La jeune noire avait enfermé le membre viril entre ses seins divins et elle les faisait monter et descendre sur tout le long du pieu de chair. A la vision de son sexe entouré de la sublime poitrine d’Angelina, Dennis éjacula sans même sentir le coup venir. La si belle peau noire de la jeune fille fut striée de marques blanches jusqu’à la gorge.

« Je… Je suis… désolé, hoqueta Dennis d’un air terrorisé.
_ Ce n’est rien, Dennis, répondit Angelina en souriant, je t’assure. »

Pour joindre la parole et le geste, la jeune noire caressa le membre encore tendu et répandit ses derniers jets sur sa poitrine. Mais Dennis ne pouvait supporter d’avoir souillé si maladroitement tant de beauté. Il se jeta vers elle et avant qu’Angelina n’ait pu l’en empêcher, il se mit à lécher jusqu’à la moindre trace de sa semence. Il caressait et nettoyait les superbes seins avec beaucoup d’attention et la jeune noire poussait des gémissements de plaisir. Tout en laissant ses mains sur les deux globes de chair si doux, il remonta sa langue sur le cou puis sur le menton. Angelina baissa la tête et l’embrassa tendrement pour le remercier.

    Elle s’allongea sur le lit et lui lança un regard coquin. Dennis se coucha sur elle. Sa tête arrivait au niveau de la poitrine et il se remit à la lécher langoureusement tandis qu’Angelina amenait doucement son membre vers son trésor intime. Elle posa les mains sur ses petites fesses et tira un grand coup pour qu’il la pénètre entièrement. Le petit garçon était en extase. Il faisait des mouvements rapides tout en s’accrochant et en savourant les seins magnifiques de la jeune noire. L’une de ses douces mains parcourait tendrement son dos tandis que l’autre était toujours posée sur son cul et qu’un doigt indiscret caressait la raie. Il sentit bientôt deux grands doigts forcer son passage étroit et s’engouffrer plus profondément que ne l’avait fait Katie ou Alicia. Il s’activa plus rapidement encore, encouragé par les soupirs de plaisir d’Angelina. Soudain, la jeune noire cessa de remuer ses doigts dans le petit anus et se figea complètement. Elle poussa un grand cri et s’affala sur le matelas. Elle avait libéré le petit anneau mais continuait d’imposer un rythme à Dennis pour qu’il jouisse à son tour. Ce dernier se figea également quelques minutes plus tard et se répandit dans le ventre de la jeune fille, s’écroulant sur elle à bout de force.

    Le petit garçon, épuisé, se remit toutefois à jouer de sa langue sur les seins merveilleux tandis que la chambre raisonnait encore des cris de plaisir de Katie et Alicia qui semblait ne jamais pouvoir s’arrêter. Sans s’en apercevoir, Dennis s’endormit, confortablement installé entre les cuisses d’Angelina avec sa poitrine en guise d’oreiller. La jeune noire le serra tendrement dans ses bras, posa un baiser sur son front, et le garda ainsi, fiché en elle, contre la chaleur de son corps. Elle commençait également à somnoler lorsque la porte du dortoir s’ouvrit avec fracas et que l’on entendit de grands cris.

« Dennis ! Dennis ! Où es-tu ? La nuit ne fait que commencer et … »

Les cris se turent subitement. Le groupe de garçon de deuxième année qui venait d’entrer regardait successivement avec stupéfaction les deux filles avec leur gode double, Angelina qui tenait étroitement enlacé Dennis réveillé en sursaut et Harold, ligoté avec une bouteille de Whisky vide dans un endroit inapproprié. Angelina leur sourit tandis qu’Alicia s’était levée pour refermer la porte.

« Eh bien je crois en effet que la nuit ne fait que commencer les garçons. Votre silence va être dur à acheter. Mais je pense que nous avons de quoi vous convaincre. »
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00
Loup solitaire

Une aventure sexuelle de Harry Potter en cinquième année.



Avec : Nymphadora Tonks et Remus Lupin.






Le couloir était sombre et mal éclairé. Tonks frissonna. Elle n’aimait pas la maison. Elle n’était au quartier général de l’ordre du phœnix que par obligation. Et ce n’était vraiment pas drôle, surtout depuis la rentrée scolaire et le départ de Hermione et Ginny. En dehors des réunions, l’endroit était d’un calme mortuaire. Un tombeau immense. Elle plaignait sincèrement le pauvre Sirius qui devait rester ici tout le temps, affrontant sans cesse les spectres du passé que lui rappelait cette maison. Tonks, bien que de la même famille que les Blacks, n’était jamais venue ici avant la refondation de l’ordre. Sa mère n’étant plus désirée aux réunions de famille depuis qu’elle s’était mariée à un sorcier d’origine moldue.

Elle avança d’un pas, le parquet craquant sous son poids pourtant léger. Elle avait presque l’impression que le sol geignait. Elle sentit un courant d’air froid sur ses jambes. Prête à aller se coucher, elle déambulait dans la maison dans un grand et unique tee-shirt à l’effigie des Bizarr’s Sisters. Elle avança doucement pour faire le moins de bruits possible, cherchant à regagner sa chambre. Elle avait décidé de passer la nuit au 12 square Grimmaurd car la dernière réunion s’était finie tardivement et qu’elle devait finir un rapport important pour Dumbledore le plus tôt possible demain matin. Or il lui était plus simple de l’envoyer depuis le quartier général.

Tonks était gelée. Elle ne voulait pas aller plus vite pour ne réveiller personne mais elle ne pensait plus qu’à aller se mettre au chaud sous les couvertures dans l’une des chambres nettoyées par Molly et les filles pour accueillir les membres de l’ordre. Elle avait d’ailleurs pris la chambre qu’Hermione et Ginny avaient quitté en début septembre. Un peu de leurs parfums avait imprégné les murs durant leur passage et Tonks se sentait mieux dans cette chambre que partout ailleurs dans la maison. En l’honneur de Ginny, elle s’était même essayée ce soir aux cheveux roux, flamboyants, mais qu’elle préférait quand même garder mi-longs, tombants sur ses épaules. Elle était impatiente de voir ce que cela donnerait demain à la lumière du jour.

Tonks arriva enfin devant la porte de sa chambre. Elle posa la main sur la poignée lorsqu’elle entendit une sorte de sanglot étouffé, provenant de la chambre face à la sienne. Un faible son de lamentations s’entendait toujours. Elle s’approcha et constata que la porte était entrouverte. Elle regarda avec discrétion, ayant soudain l’impression de repasser ses examens d’Auror. A l’intérieur de la chambre se trouvait Remus Lupin. Il était revenu d’une mission depuis plusieurs jours mais avait à nouveau disparu lors de la pleine lune. Comme tous les membres de l’ordre, Tonks savait que Lupin était un loup garou. Le professeur Rogue lui préparait toujours la potion Tue-loup, mais il ne pouvait rester au quartier général durant ses transformations. Il y avait trop de passage.. Il n’était revenu qu’hier, avec un teint maladif et un pâle sourire.

Tonks sentit un vague à l’âme l’envahir en contemplant la tristesse de son ami. Elle l’avait toujours beaucoup apprécié, surtout lorsqu’il lui avait donné de nombreux conseils lors de ses examens d’Auror. En plus elle lui trouvait beaucoup de charme malgré son air fatigué. Elle décida qu’elle ne pouvait le laisser ainsi. Elle poussa la porte en cognant légèrement dessus. Lupin sursauta.

« Tonks ? Qu’est-ce que tu fais ici ?
_ Je suis désolée, Remus, répondit Tonks toujours sur le palier. Je revenais de la salle de bain et je t’ai entendu. Je ne voulais pas t’espionner. Je voulais juste voir si tu allais bien.
_ Je sais. Ne t’inquiète pas pour moi. C’est juste… que par moment c’est difficile. »

Tonks entra dans la chambre et referma la porte pour que personne n’entendent leur conversation.

« C’est dur pour tout le monde en ce moment. Je sais que tu en endure plus que d’autres. Mais tu n’es pas le seul. Pense à Sirius, par exemple. Pour lui c’est une torture de tous les jours d’être ici. Et même Harry. Pleins d’élèves le croient fou. Et il paraît que cet Ombrage ne le lâche pas d’une semelle. »

Le visage de Tonks, plutôt pâle à l’accoutumée, devint légèrement rose tandis qu’elle prononçait la dernière phrase avec un soupçon d’aigreur. Malgré le peu de lumière dans la pièce, Lupin la trouva jolie en colère et il eut un petit rire.

« Tu as raison, je le sais bien. Mais je pourrai les aider plus facilement si je ne devais pas m’absenter chaque mois.
_ Tu en fais déjà assez. Ils peuvent aussi se débrouiller sans toi, s’ils savent que tu es tout de même près d’eux. »

La jeune femme alla s’asseoir sur le lit à coté de son ami. Elle lui trouvait un air touchant, son regard perdu, ses cheveux prématurément grisonnants et sa peau marquée par les épreuves. Elle lui prit la main. Elle était chaude et douce. Il se tourna vers elle, un peu surpris que Tonks lui parle et agisse ainsi alors qu’il l’avait toujours considéré comme ayant encore un esprit d’enfant. Mais il ne considérait pas cela comme un problème. Bien au contraire, cela faisait tout le charme de la jeune femme.

    Toutefois à ce moment-là, c’était une adulte qu’il contemplait. Encore jeune certes. Un écart de presque une génération. Mais une adulte. Elle avait un air sérieux mais doux avec ses yeux sombres et sincères et un sourire très léger. La pâleur de son visage en cœur semblait luire faiblement dans l’obscurité de la chambre. Avant même qu’il ne comprenne pourquoi, il approcha sa tête de celle de Tonks et prit ses lèvres avec tendresse. La jeune femme eut un petit soubresaut de surprise mais ne bougea pas. Lupin savoura la douceur de ses lèvres alors qu’inconsciemment il serrait la main de Tonks.

    Il écarquilla les yeux soudainement et se retira vivement, l’air apeuré.

« Tonks ! Je ne… je voulais… je ne sais pas… »

La jeune Auror le regardait avec surprise, sa main toujours dans celle de Lupin.

« Je suis désolé ! Je ne voulais… j’étais tellement seul ces derniers jours. Je ne… »

La jeune femme entrouvrit légèrement les lèvres et ne dit qu’un seul mot à voix basse, presque un murmure.

« Pourquoi… ?
_ Je ne sais pas, répondit vivement Lupin. Je suis…
_ Non, l’interrompit Tonks, les yeux pétillants. Pourquoi tu t’es arrêté ? »

Lupin resta sans voix devant la question de la jeune Auror. Elle souriait légèrement, les joues roses en évitant de regarder son ami.

« Tu… tu embrasses bien, fit-elle devenant maintenant complètement rouge. C’était… bien. »

Avant qu’il n’ait eu même le temps de penser à ce qu’il pourrait lui dire, Tonks posa les mains sur ses épaules et l’embrassa à son tour avec plus de fougue. Lupin, surpris, avança ses bras pour la repousser, mais, à son grand étonnement, il finit par les poser délicatement autour de la taille de la jeune femme et la serra contre lui.

    Tonks rompit doucement le contact de leurs lèvres et posa sa tête sur l’épaule de son ami.

« Je crois que tu m’as toujours fait un certain effet, fit-elle d’une voix un peu tremblante. J’ai toujours aimé que tu sois près de moi. Sans vraiment savoir ce que ça signifiait vraiment. »

Lupin ne voyait pas le visage enfouit au creux de son cou mais il le devinait virant au rouge pivoine en sentant la douce chaleur qui s’en dégageait. Il pencha la tête et posa un baiser dans le cou de la jeune Auror qu’il sentit frémir. Ses mains caressèrent le dos légèrement courbé de Tonks à travers le tee-shirt léger. Il sentait tout le corps de la jeune femme devenir plus chaud, comme un rayon de soleil matinal, tandis qu’elle se collait encore un peu plus à lui. Il sentit la belle poitrine de Tonks se presser contre son torse tandis que la cuisse nue de la jeune femme était posée en travers de ses jambes et remontait lentement.

    Elle se souleva un peu et fit pression sur Lupin pour qu’il s’allonge sur le matelas. Elle se coucha alors sur lui, continuant de l’embrasser et se mit à tirer sur la robe de sorcier pour la faire remonter. Lorsqu’elle eut dégagé le ventre, Lupin se sentit soudainement apeuré. Il était seul. Cela le taraudait tellement qu’il laissait faire Tonks sans rien dire. Depuis qu’il l’avait connu, il avait toujours apprécié la jeune femme. Il la trouvait mignonne, intelligente et drôle. Mais il se disait qu’il n’était pas amoureux. Or Tonks éprouvait des sentiments pour lui. Il fut soudain dégoûté de son attitude. Il attrapa la jeune Auror par les épaules et la souleva un peu.

« Non, fit-il avec douceur. Je ne peux pas te laisser continuer. Je t’aime beaucoup, Tonks, mais je ne sais pas si c’est à ce point. »

La jeune femme avait un visage grave, inhabituel. Elle sembla réfléchir quelques secondes puis elle murmura en souriant.

« Peu m’importe ! Ecoute, accorde-moi juste cette nuit. Juste celle-là. Je ne suis plus une enfant. Je suis consciente de ce que je fais, que ça ne mènera peut être à rien. Mais laisse-moi prendre ce risque. Moi aussi parfois je me sens seule. »

Ce fut cette dernière phrase, plus que toutes les autres, qui eut raison de la peur de Lupin. Il laissa de nouveau le corps de la jeune Auror s’allonger sur le sien. Elle reprit ses baisers langoureux tandis qu’elle finissait d’enlever la robe de sorcier. Il sentit son sexe se dresser peu à peu sous les caresses sensuelles des doigts et des lèvres.



    Lupin laissa alors ses mains glisser sur tout le corps de la jeune femme. L’une d’elle caressait toujours le dos tandis que l’autre descendait avec lenteur sur les fesses rondes puis sur la cuisse nue de Tonks. Il savoura la douceur de la peau tandis que la jeune femme posait ses lèvres sur son torse et laissa sa langue s’y promener. Il remonta sa main vers le petit cul tendre, passant sous le tee-shirt qu’il fit ensuite remonter en tirant avec sa deuxième main. Tonks frémit en sentant son ventre nu en contact avec le membre dur de Lupin. Tout en continuant à lécher le torse et le cou de son ami, elle descendit une petite main vers le pieu de chair et se mit à le caresser avec douceur. Lupin finit d’enlever le tee-shirt en révélant les seins fermes aux tétons érigés qu’il savoura contre son ventre. Sa verge grandit encore un peu sous les tendres mouvements de Tonks. Il descendit entre les cuisses de la jeune Auror et posa ses doigts sur le petit sexe trempé qu’il se mit à masser langoureusement. Elle se mit à gémir faiblement en se tournant un peu sur le côté pour faciliter l’accès à son trésor intime, regardant son ami avec des yeux quémandeurs, presque plaintifs.

    Lupin engouffra un doigt entre les lèvres inférieures. Il s’enfonçait avec lenteur, apparemment au grand plaisir de la jeune femme dont le visage se crispa un peu. Elle resserra ses doigts autour du chibre qu’elle caressait toujours. Lupin entra en elle jusqu’à ce qu’il sentit une paroi l’empêcher de continuer. Tonks était encore vierge. Il s’arrêta net. Non, il ne pouvait pas lui faire ça, pas maintenant. La jeune femme sembla deviner son trouble. Avec rapidité, elle se retrouva à genoux au dessus de lui et se positionna pour avoir le sexe dressé, qu’elle tenait toujours, entre les cuisses. Elle se pencha légèrement en avant, posa sa main libre sur le torse de son ami et abaissa ses fesses en guidant le chibre vers l’entrée des plaisirs. Elle s’empala d’elle-même sur le membre sans aller au bout. Lupin sentit son gland se presser contre l’hymen de la jeune Auror. Elle le regarda avec des yeux ardents de désir et murmura faiblement :

« S’il te plaît ! »

Il sut qu’il ne pourrait pas résister. Il posa ses mains sur la fine taille de Tonks et donna un petit coup de rein qui transperça la faible paroi. La jeune Auror poussa un petit cri puis se remit à descendre le long du sexe jusqu’à se retrouver assise sur les cuisses de son amant.

    Elle sentait son homme douter encore. Elle lui prit alors les mains et les posa sur ses beaux seins en entamant un voluptueux mouvement de hanches qui donnait l’impression que ses jolies fesses glissaient sur le membre durcit. Lupin gémissait sous ses assauts en caressant tendrement la poitrine de la jeune femme. Il trouva pourtant qu’elle se débrouillait très bien pour une fille qui venait juste de perdre sa virginité. Mais il savait que Tonks était pleine de surprises. Elle s’allongea entièrement sur lui et l’embrassa vigoureusement. Tout son corps se frottait à celui de son amant tandis qu’elle s’abattait avec de plus en plus de force sur le sexe viril. Lupin caressait son dos nu, aussi doux et lisse que le satin et il descendit vers les deux fesses rondes qu’il enferma au creux de ses paumes.

    Tonks se démenait avec plaisir sur le chibre de son amant en embrassant chaque parcelle de son visage, comme si elle voulait lui dévorer la tête. Elle se cabra soudain, poussa un cri et retomba sur le corps de Lupin tandis que leurs entrecuisses se trouvèrent inondés. Il entoura la jeune femme de ses bras et la serra un peu pour graver en lui la douce chaleur qu’elle émanait. Tonks se redressa un peu, en souriant. Elle relâcha le membre de son amant qui n’avait pas encore jouit et se mit à glisser vers ses jambes. Elle arrêta sa poitrine à la hauteur du sexe viril. Elle jeta un regard malicieux à Lupin puis elle plissa les yeux comme si elle se concentrait. Aussitôt, ses seins se mirent à grossir pour atteindre la taille de ballon de foot qui restaient toutefois bien fermes. Pendant les quelques instants de bonheur qu’il venait de connaître, Lupin avait oublié que Tonks était une métamorphomage. Il se rendit compte que rien d’autre ne comptait pour lui que la jeune femme qui le caressait si tendrement et l’amour qu’il lui portait. Pendant ce temps, elle s’était abaissée vers le chibre et le léchait avec lenteur bien qu’il n’eut pas besoin de plus d’excitation encore. Tonks mit alors le membre dur entre ses seins qu’elle pressa avant de commencer à monter et descendre le long de la tige tendue, regardant Lupin gémir de plaisir. Malgré la volupté des caresses de la jeune Auror et ses sentiments pour elle, il ne put s’empêcher de penser qu’elle semblait presque experte avec les sexes masculins et se demanda d’où pouvait bien lui provenir tant d’expérience en ce domaine puisqu’il avait pris sa virginité.

    Maintenant, Tonks s’était mise à le sucer avec délectation tout en lui caressant les cuisses et le ventre. Lupin appréciait la langue experte qui allait de son gland à la garde et les lèvres douces qui l’entouraient. Il se redressa, prenant appuie sur l’un de ses coudes, et caressa tendrement les cheveux de sa douce. Il sentait le plaisir arriver. Tonks sembla le comprendre également car elle laissa ses lèvres autour du gland tandis qu’elle masturbait le membre d’une main fougueuse. Lupin crut qu’un torrent déchaîné parcourait son sexe et se répandait sur la langue de la jeune femme qui se régalait du nectar de plaisir de son homme. Elle avala chaque jet de sperme avec un sourire et lécha les derniers restes sur le dard encore frémissant, le nettoyant avec application. Lupin l’attira à lui et embrassa ses lèvres salées en caressant son corps et notamment la voluptueuse poitrine.

« Tu aimes ? Lui demanda-t-elle d’un air malicieux.
_ Oui. Mais je te préfère quand même au naturel. Tu es bien plus mignonne en restant simple. »

Tonks le remercia d’un autre baiser puis plissa à nouveau les yeux. Ses seins retrouvèrent leur taille originelle qui suffisait amplement aux mains qui voulaient les découvrir. Lupin commença à les caresser et à les lécher tout en faisant doucement tomber son amante sur le lit. Il massait lentement les deux monts de vénus sous les gémissements ravis de sa compagne. Sa langue entourait successivement les deux pointes de chair érigées. Puis il descendit sa tête sur le ventre plat, s’arrêtant un peu à hauteur du nombril pour le lécher tendrement et reprenant son délicieux chemin vers la source de tous les plaisirs.

    Lupin voulait plus que tout donner du plaisir à Tonks. S’il n’était pas sûr de ses sentiments envers elle, alors la seule chose qu’il pouvait lui apporter c’était la jouissance. Il posa sa langue sur l’intimité humide de la jeune femme et se mit à la lécher dans de longs mouvements. Il prit son bouton d’amour entre deux doigts et se mit à le masturber comme un petit sexe. Tonks gémissait en cambrant les reins. Un flot de sa liqueur d’amour vint se perdre dans la bouche de Lupin. Il remonta ses lèvres pour entourer le doux clitoris tandis qu’il faisait pénétrer deux doigts dans le trésor intime de son amante. Il s’arrêta alors étonné. Comme la première fois qu’il l’avait pénétré de ses doigts, il venait d’être arrêté par une mince paroi. Il lança un regard perdu à Tonks qui souriait d’un air un peu moqueur.

« Je suis une métamorphomage, dit-elle avec malice. Je peux changer ce que bon me semble dans mon corps. Et je peux offrir plusieurs fois ma virginité. J’ai connu pas mal de garçons dans ma vie. Ils ont tous cru être les premiers. Quelque part ils étaient un peu plus fidèles grâce à ça. Ils pensaient tous avoir eu un grand honneur… ou m’avoir fait un grand honneur pour les plus vantards. Mais tu es le premier à qui je révèle mon secret.
_ Tu faisais donc semblant la première fois ?
_ Oh non, rassure-toi. J’ai toujours sentit quelque chose dans ces moments-là. Ce n’est plus aussi fort que la toute première fois, c’est vrai, mais ça me fait toujours beaucoup d’effets. »

Elle lui sourit encore et tendit une main pour caresser les cheveux grisonnants de son homme avec tendresse. Lupin se traita d’idiot. Il aurait dû y penser bien avant. Mais encore une fois il ne voyait plus en Tonks une métamorphomage. Juste une jeune femme à qui il voulait donner du plaisir.

Souriant à son tour il repris ses caresses, faisant bien attention de préserver la faible paroi pour plus tard. Il but encore de longues gorgées de jus de jouissance sous les petits cris de sa douce puis il remonta vers son tendre visage. Il l’embrassa avec fougue tandis que son membre approchait de l’intimité ruisselante. Il la pénétra avec lenteur jusqu’à ce qu’il soit tout contre le voile intime puis, d’un coup de reins, l’hymen fut à nouveau vaincu alors que Tonks poussa un petit cri. Lupin était encore pris dans un sexe étroit de vierge. Il en ressentait un incroyable plaisir en allant et venant dans le trésor intime de sa douce qui gémissait de plaisir sous chaque coup de boutoir. Il embrassait ses lèvres, laissant les langues se caresser mutuellement, et massaient avec volupté la belle poitrine de Tonks. Il était au bord de la jouissance mais il ne voulait pas venir trop vite. La jeune Auror semblait en pleine extase et il refusait de s’arrêter tant qu’elle n’aurait pas goûter pleinement au plaisir. Il la sentit bientôt se tendre et elle lança sa tête en arrière lâchant un cri aigu tandis qu’elle jouit en inondant le sexe de son amant. Il s’avoua enfin vaincu et s’apprêta à se retirer de sa douce pour éjaculer. Mais Tonks sentit qu’il se dégageait et elle referma les jambes sur son bassin, le maintenant du plus fermement qu’elle put tout contre elle. Lupin n’eut pas le choix et ne lutta pas. Il se figea du plus profond qu’il lui était possible dans le ventre de sa douce et laissa couler son nectar de jouissance. Il s’écroula sur le doux corps de Tonks et la prit dans ses bras en la berçant tendrement. Un courant d’air léger les frôla et ils se réfugièrent bien vite sous les couvertures, l’un contre l’autre. Le sommeil les prit par surprise.

Au petit matin, Lupin fut le premier à se réveiller. Tonks dormait encore contre lui, la tête posée sur son torse et un bras entourant sa taille. Elle avait un petit sourire aux lèvres et sa respiration faible mais chaude caressait la poitrine de son amant. Lupin se sentait bien. Mieux qu’il ne s’était sentit depuis bien longtemps. Il regardait le visage en cœur de Tonks aux joues encore un peu rose et se demanda s’il aurait un jour l’envie de détourner les yeux. La nuit lui avait porté conseil. Il avait toujours eu beaucoup de tendresse pour la jeune Auror mais il s’était rendu à l’évidence que cela cachait bien d’autre chose. Il ne pensa même pas à la prochaine pleine lune, ni à toutes celles qui suivraient. Il ne pensait qu’à elle, couchée contre son flanc, dans un air si paisible. Il ne voulait pas la réveiller. La cruelle réalité et leurs obligations pour l'ordre pouvait attendre encore un peu. Il posa un baiser délicat sur son front et murmura un « je t’aime » à la jeune endormie. Un instant il crut que le sourire de Tonks s’était un peu élargit. Puis il posa sa tête sur l’oreiller en resserrant un peu et avec précaution son étreinte sur sa douce. Il savoura la douceur de sa peau sur la sienne. Et il ne bougea plus.
 
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00
Relations internationales

Une aventure sexuelle de Harry Potter en 4e année.


Avec Parvati Patil, Padma Patil, Lavande Brown, Seamus Finnigan, Neville Londubat et les garçons de Beauxbâtons.




    Le bal de Noël battait son plein. La plupart des élèves de Poudlard s’amusaient beaucoup sur les sons déchaînés des Bizarr’s Sisters. Mais certains étaient maussades. Notamment Harry et Ron qui, bien qu’ayant trouvé des cavalières in extremis, avaient délaissé ces dernières. Parvati et Padma Patil avaient tout d’abord été ravies d’être invitées par l’un des champions de l’école du tournoi des trois sorciers et par l’un de ses proches amis. Mais les pauvres avaient vite déchanté. Heureusement, des garçons de Beauxbatons les avaient invité à danser.

    Les deux français parlaient avec raffinement et galanterie mais leurs manières étaient un peu plus entreprenantes. Le cavalier de Parvati lui avait furtivement caressé une fesse en laissant glisser son bras de la taille de la jeune fille après un slow tandis que le cavalier de Padma lui avait légèrement palpé un sein en la faisant tourner sur un rock. Les deux sœurs appréciaient les approches des garçons. Elles savaient toutefois que le bal ne durerait pas éternellement et qu’il leur faudrait précipiter les choses pour finir la soirée en beauté. Elles se mirent rapidement d’accord en allant chercher des bièraubeurres. Elles entraînèrent leurs cavaliers sur la piste pendant un slow. Les deux jeunes filles se pressèrent contre les corps des garçons, faisant tout leur possible pour que pas un espace ne subsiste entre eux. Les deux français furent troublés par l’attitude sans équivoque des jeunes filles, mais pas autant que lorsque les mains des deux sœurs descendirent sur leurs fesses. Aussitôt, elles sentirent une bosse grandir contre leurs pubis.

    Avec un sourire malicieux, les deux jeunes filles entraînèrent alors leurs cavaliers dans le parc. La faible lumière de l’extérieur était parfois suffisante pour apercevoir quelques couples plus ou moins bien cachés derrière des buissons ou des arbres. En se faufilant discrètement vers l’arrière du château, les quatre jeunes gens eurent le temps d’apercevoir quelques personnes qui s’embrassaient chastement mais également d’autres bien moins prude. Ils virent Fleur Delacour prodiguer une fellation acharnée à un Roger Davies si hébété qu’il devait sûrement se croire dans un autre monde. Ils virent également Stebbins, un garçon de Serdaigle, sodomiser brutalement Faucett, une fille de Poufsouffle, qui se mordait les doigts pour ne pas gémir trop fort.

    Ils finirent par trouver un endroit à l’écart de tous les autres, uniquement éclairé par la lune. Les garçons embrassaient les filles et laissaient désormais leurs mains se promener librement sur les seins et les fesses de leurs partenaires. Mais les deux sœurs s’écartèrent de leurs cavaliers, leur faisant comprendre d’un signe qu’ils devaient patienter. Elles s’avancèrent un peu, leurs pas crissant dans la neige fraîche, et se positionnèrent de sorte que les garçons puissent bien les voir toutes les deux. Elles s’enlacèrent alors et s’embrassèrent, caressant chacune le corps de l’autre. Les français restèrent interdits devant le spectacle. Maintenant, les filles se massaient allègrement le sexe, entrecoupant leurs baisers de petits gémissements.

    Parvati passa derrière sa jumelle et entreprit de lui enlever sa robe. Elle embrassait et léchait chaque parcelle de peau qu’elle libérait de l’étoffe. Puis ce fut au tour de Padma de dévêtir langoureusement sa sœur. Aucune robe de sorcier n’aurait pu être assez ample pour cacher les érections des deux garçons qui avaient encore du mal à croire en leur chance. Les deux jeunes sorcières se tenaient étroitement enlacées, s’embrassant et se caressant de plus belle sous les rares flocons de neige qui tombait avec lenteur, donnant au tableau une impression de ralenti. Maintenant qu’elles étaient nues, il était très difficile de reconnaître les jumelles. Seules leurs coiffures permettaient encore de les distinguer. Elles bougeaient leurs deux corps graciles avec douceur, frottant leurs poitrines menues et fermes l’une contre l’autre et faisant glisser leurs sexes sur leurs cuisses.

    Padma descendit une main sur les fesses de sa sœur et introduisit deux doigts dans le petit anneau de Parvati qui en gémit de plaisir avant de lui rendre la pareille. Puis elle tourna la tête vers les garçons, encore ébahis.

« Je trouve qu’il fait froid. Je suis gelée, et ma sœur aussi ! Venez nous réchauffer ! »

Les deux français ne se firent pas prier et s’approchèrent des jeunes sorcières. Les deux sœurs se séparèrent et soulevèrent les robes des garçons, libérant leurs sexes gonflés. Parvati prit le chibre de son partenaire dans la main et le caressa langoureusement tandis qu’il lui suçait ses deux jolis seins en pomme comme s’il venait de trouver la plus délicieuse des nourritures après plusieurs jours de jeun. Padma s’était agenouillée devant son cavalier et pressait ses seins sur le membre viril, attrapant le gland qui dépassait avec sa bouche. Le garçon posa les mains sur la tête de la jeune serdaigle et commença à aller et venir sur sa poitrine, savourant la langue agile de la jeune fille.

    Le cavalier de Parvati descendit une main sur le petit cul de sa partenaire. Ses doigts fouillèrent entre les jambes de la jeune sorcière. Il avança deux doigts dans le coquillage glabre de Parvati tandis que son pouce s’enfonçait avec facilité dans le petit anus. La jeune gryffondor gémit en même temps que le cavalier de sa sœur qui appuya sur la tête de sa partenaire tandis qu’il inondait sa bouche. Padma avalait de longues gorgées de semences lorsqu’un cri de douleur retentit dans le parc.

    Tous tournèrent la tête vers la provenance du hurlement, la jeune serdaigle relâchant le sexe de son partenaire dont le dernier jet de sperme alla s’étaler sur les seins de la jeune fille. Un peu plus loin, Rusard, armé d’une cravache, frappait allègrement Stebbins et Faucett qui n’arrivaient pas à se relever. Le concierge profitait apparemment aussi du relâchement de l’attention des professeur pour se laisser aller à punir les élèves plus durement que Dumbeldore ne l’aurait permis. Il avait immobilisé le garçon avec son pied et s’acharnait désormais sur la jeune fille qui poussait des lamentations de douleurs, essayant de protéger les parties de son corps les plus sensibles avec les mains. Mais c’était vain car Rusard faisait preuve d’une indéniable habilité lorsqu’il s’agissait de punir les élèves et il atteignait toujours la cible qu’il avait choisis. A bout de force, Faucett s’écroula finalement sur le sol, sanglotante, les bras en croix. Miss Teigne s’approcha du sexe humide de la jeune poufsouffle et se mit à lécher la liqueur d’amour sous les gémissements indignés de la fille. Elle essaya de se relever pour repousser l’animal mais un coup de cravache la renvoya au sol. Rusard ricanait, plus heureux qu’il ne l’avait jamais paru.

« Allez, bois ma belle. Une humiliation comme ça, c’est encore trop doux pour ces vermines ! Mais ça devrait les retenir d’aller voir le directeur ! »

Tandis que Miss Teigne se régalait de l’entrejambe de Faucett, Rusard attrapa son balai et se mit à donner de violents coups de manche à Stebbins, qui regardait sa robe de sorcier, hors de portée, en pensant que sa baguette s’y trouvait. Il essayait également de se protéger mais, tout comme pour sa partenaire, cela ne lui servit à rien.

    Pendant ce temps, Parvati et Padma s’étaient rapidement habillées puis elles quittèrent discrètement leur cachette avec les garçons de Beauxbâtons. Rusard était trop occupé et ne les vit pas partir. Devant les portes du château, elles embrassèrent leurs cavaliers avec regrets.

« Pour ce soir c’est trop dangereux, murmura Parvati, mais ce n’est que partie remise. »

Elle fit un clin d’œil malicieux aux garçons dépités, puis elle rentra au château avec sa sœur. Cette dernière n’était pas très heureuse.

« D’abord cet idiot de Weasley qui ne pense qu’à son Hermione et maintenant Rusard qui nous coupe au moment le plus intéressant. Quelle soirée pourrie ! »

Parvarti pris sa jumelle dans ses bras pour la consoler et l’embrassa, savourant le goût salé de ses lèvres.

« Ne t’en fais pas ! Nous n’en sommes qu’à la moitié de l’année. On aura encore plein d’occasions de les revoir. »

Padma sourit. Les deux sœurs passèrent les portes du château et se séparèrent pour rejoindre leurs dortoirs respectifs.

    Parvati monta jusqu’à l’étage des Gryffondor mais avant de passer le portrait de la grosse dame elle s’arrêta aux toilettes des filles. Elle n’avait fait que quelques pas lorsqu’elle entendit un son étouffé en provenance d’une cabine. Elle s’approcha doucement et regarda par la serrure (qui ne servait à rien puisque les portes se verrouillaient par magie). A l’intérieur de la cabine elle vit Seamus Finnigan, assit sur le trône, tandis que sa cavalière de la soirée, Lavande Brown, agenouillée devant lui, le suçait frénétiquement. La jeune fille avait fait tomber le haut de sa robe sur ses hanches, libérant sa magnifique poitrine. Elle agitait une main sous sa robe et Parvati n’eut même pas besoin de deviner ce qu’elle faisait. Seamus s’était légèrement penché en avant pour caresser les seins de sa partenaire d’une main tandis qu’il appuyait sur la tête de la jeune fille de l’autre. Parvati aurait été tenté de les rejoindre, elle savait que Lavande n’y verrait aucun inconvénient et il était peu probable que Seamus s’y oppose, mais son envie pressante ne l’avait pas quitté. Elle décida d’aller dans les toilettes des garçons pour ne pas déranger le couple.

    Elle fit timidement quelques pas dans la salle puis, constatant que personne ne s’y trouvait, elle entra dans une cabine et put enfin se soulager. Tandis qu’elle s’essuyait, elle entendit la porte des toilettes s’ouvrir brutalement puis ce fut au tour d’une porte de cabine de s’ouvrir avec fracas. Parvati sortit en silence de sa cabine et essaya de se faufiler vers la sortie. La porte de la cabine occupée n’était même pas complètement fermée et elle vit Neville Londubat de dos, se croyant apparemment seul, occupé à se masturber furieusement en grommelant entre ses dents.

« Imbécile de Michael Corner ! Non mais quel crétin… »

Parvati ne put s’empêcher de le regarder. Neville n’avait certes pas inventé la poudre mais la nature l’avait doté d’un membre assez exceptionnel pour son âge. La jeune fille se sentit frémir. Voir cet énorme sexe s’agiter devant elle juste après avoir assisté à une fellation de sa meilleure amie et alors qu’elle était toujours frustrée de sa séparation brutale avec les français lui semblait une vraie torture. Son sexe était brûlant et sa liqueur intime glissait lentement sur ses cuisses.

    N’y tenant plus Parvati ouvrit la porte de la cabine en grand, faisant sursauter Neville qui se retourna, les mains sur son membre qu’il ne parvenait même pas à cacher en entier.

« P… P… Parvati ? Que… Qu’est-ce que… tu fais… là ?
_ Oh, les toilettes des filles étaient… impraticables. Mais toi qu’est-ce que tu fais tout seul ?
_ Euh… Ginny est… enfin… elle m’a lâché quoi. Répondit Neville en se tordant pour essayer de mieux cacher son sexe.
_ Oui, mon cavalier aussi est parti plus tôt que prévu. Il devait ignorer que les cavaliers restent en général ensemble après le bal.
_ Euh… oui… effectivement. »

Neville ne semblait plus savoir où se mettre. Parvati lui sourit tendrement pour le mettre en confiance. Elle se rapprocha ;

« Enfin, au moins toi tu sembles mieux disposé. »

Elle entoura Neville de ses bras fins et l’embrassa. Le garçon frissona. Il avait un visage surpris lorsque Parvati s’écarta de lui, ses mains mollement posées sur son membre.

« J’en ai trop envie ! Laisse-toi aller, Neville ! »

Elle fit pression sur les épaules du jeune gryffondor pour qu’il s’asseye sur le trône. Elle s’écarta encore un peu, s’adossant à la porte qu’elle avait refermée au préalable.

    Parvati fit glisser les bretelles de sa robe de ses épaules à ses bras. Elle retirait son vêtement avec lenteur, effectuant une danse aussi sensuelle que le lui permettait l’étroitesse des lieux. Neville se masturbait de plus belle en regardant le strip-tease langoureux de sa camarade. Lorsqu’elle fut enfin nue, elle s’agenouilla sur le sol et approcha sa tête du ventre du jeune garçon. A l’instar de Lavande, elle prit le magnifique chibre entre ses lèvres. Bien qu’elle y mit du cœur, elle ne parvint pas à faire descendre sa petite bouche beaucoup plus loin que l’énorme gland. Pour compenser ses va et vient très court, elle s’efforçait d’utiliser au mieux sa langue agile. Elle caressait les bourses de Neville et imitait à nouveau sa meilleure amie en se masturbant de l’autre main. Le jeune garçon massait doucement la nuque de sa partenaire, accompagnant les mouvements de sa tête.

    Parvati releva soudain la tête et attrapa les épaules de Neville. Elle se hissa, jambes écartées, sur ses genoux et l’embrassa fougueusement. Le jeune garçon caressa ses seins, descendit sur son ventre plat et sa taille fine. Il la prit par les hanches, la souleva légèrement et la laissa s’empaler seule sur son membre extrêmement gonflé. Parvati s’abattit d’un seul coup sur le sexe et crut bien être transpercée de part en part. Rapidement remise du premier choc, elle se mit à monter et descendre le long du chibre qui lui écartelait le nid d’amour, accrochée au cou de son camarade. Elle ne put retenir ses gémissements qui se transformèrent rapidement en cris de jouissances. Neville lui caressait les seins des deux mains et laissait sa langue parcourir les deux monts de Venus. Il descendit ses mains sur le petit cul de Parvati. Il massait les deux globes de chair bien ferme en introduisant un doigt dans le puit d’amour de la jeune fille. Parvati lança alors un cri perçant en s’abattant d’un grand coup sur le membre de Neville. Sa liqueur d’amour se répandit sur les cuisses du jeune garçon. Elle était essoufflée et sa tête reposait sur l’épaule de son partenaire.

    Neville lui caressait toujours les fesses. Un doigt encore figé dans son anus, il souleva la jeune fille et dégagea son sexe encore très dur du bel abricot de son amie. Il lui laissa quelques minutes de répit en continuant de tordre son doigt dans le petit trou pour lui faire comprendre que la partie n’était pas encore finie. Ils finirent par se relever. Parvati se pencha vers la porte, plaçant son si beau cul le plus haut qu’elle put. Neville caressa le sexe humide de sa partenaire et plaça son gland sur le puit d’amour. Rares étaient les filles qui lui permettaient d’emprunter cette voie. Elles avaient trop peur de la taille peu ordinaire du membre du jeune garçon. Parvati ferma les yeux alors que Neville écartait ses fesses. Il entra en elle d’un seul coup brutal qui lui fit pousser un long hurlement de douleur. Le jeune garçon s’accrocha aux seins de sa camarade et commença de longs mouvements de va et vient. Le visage crispé par la douleur, Parvati criait sans se soucier d’être entendue. Son sexe ruisselait de plaisir. Neville augmentait encore la cadence. Puis il se figea du plus profond qu’il put entre les fesses de Parvati qui sentit la semence chaude de Neville se répandre dans le bas de son dos ce qui la fit jouir à nouveau.

    Les deux amants se rhabillèrent rapidement, se complimentant l’un l’autre puis rejoignirent leurs dortoirs. Parvati marchait sur la pointe des pieds pour ne pas réveiller Hermione et Lavande. Mais si un souffle lent lui indiquait que Hermione dormait vraiment, elle fut étonnée de voir Lavande dans un grand tee-shirt qui lui descendait jusqu’à mi-cuisse, debout devant son lit. Elle lui souriait. Parvati se déshabilla et enfila une nuisette légère. Elle s’allongea sous les draps frais et fut rejointe par son amie. Elles avaient l’habitude de dormir ensemble, parfois même avec Hermione mais cette dernière semblait vraiment trop épuisée. Elles s’enlacèrent tendrement.

« Alors ? Ta soirée ? Demanda Parvati.
_ Pas mal. Seamus était très gentil. On s’est bien amusé.
_ J’ai remarqué ! »

Elle lui raconta qu’elle les avait surpris dans les toilettes. Lavande n’en fut pas choquée, elle le lui aurait dit de toute façon.

« C’est aussi un bon danseur. Fit-elle en souriant. Et toi ? comment ça s’est passé ? »

Parvati lui raconta toute sa soirée en détail. Les garçons de Beauxbâtons, Rusard et sa cravache, et Neville.

« Les français attendent que nous les retrouvions un de ces jours, ça te tenterait aussi ?
_ Oui, ils avaient l’air très sympathiques. »

Parvati embrassa son amie. Elles entrelacèrent leurs jambes nues, savourant la douceur de leurs peaux. Lavande caressait tendrement les seins de sa camarade à travers l’étoffe légère. Cette dernière avait passé les mains sous le tee-shirt et s’attardait sur le ventre et les fesses de sa compagne. Mais elles étaient toutes deux trop fatiguées pour faire l’amour et décidèrent sagement de dormir.



    Elles rencontrèrent les garçons de Beauxbâtons le lendemain au détour d’un couloir. Mais ils leur était très difficile de parler au milieu de tout le monde. Seule Padma réussit à fixer un nouveau rendez-vous alors que les garçons mangeaient dans la grande salle à la table des serdaigles. Il fut convenu que les filles les retrouveraient devant le carrosse de Beauxbâtons lors de la prochaine sortie à Pré-au-lard.

    Le jour dit, les filles s’attardèrent dans la salle commune de gryffondor, où les avait rejoint Padma, laissant les autres partir devant. Elles se préparèrent avec soin, mettant des dessous particulièrement sexy mais se vêtant ensuite de robes plus austères pour ne pas éveiller les soupçons des professeurs et des autres élèves. Elles sortirent toutes trois, traversant des couloirs presque déserts. En se retrouvant dans le parc, elles attachèrent des ceintures à leurs tailles fines, les serrant un peu pour que l’étoffe colle au mieux à leurs formes adolescentes. Elles se présentèrent devant le carrosse et frappèrent à la porte. Le cavalier de Padma vint leur ouvrir et s’effaça pour les laisser entrer. Les filles furent frappées de stupeur. L’intérieur du carrosse était bien plus grand qu’il ne le paraissait à l’extérieur. Il faisait dans les quatre étage de haut, avec des escaliers en marbre. Au milieu du rez-de-chaussée se trouvait une fontaine projetant un liquide vert étincelant jusqu’au deuxième étage. Des tableaux et des miroirs ornaient les murs. Un lustre de cristal était accroché au plafond et dispensait une lumière feutrée.

« En bas nous avons la bibliothèque, les salles de travail, les laboratoires de potions et les appartements de Madame Maxime. Expliqua le français. Au premier se trouve les chambres des filles, le deuxième et le troisième contiennent des salles de repos, de jeux, les toilettes et les salles de bains et au quatrième ce sont les chambres des garçons. Nous vous ferons visiter si ça vous intéresse… un peu plus tard… pour l’instant suivez-moi. Nous serons tranquilles, les autres sont tous partis au village.»

Le garçon emprunta un escalier en enserrant la taille de Padma qui marchait à ses côtés. Il lui caressait les fesses et lui posait des baisers dans le cou. En passant par le premier étage, les filles remarquèrent que sur chaque porte était accroché un écriteau avec un nom. Apparemment, les élèves de Beauxbâtons avaient droit à des chambres personnelles. Ils s’arrêtèrent au deuxième étage devant une porte où était écrit « piscine ».Galamment, le garçon tint la porte ouverte tandis que les filles entraient. La piscine était grande et ronde. Des plantes vertes et des bancs de marbres étaient disposés un peu partout et une grande baie vitrée permettait de voir à l’extérieur sans que l’inverse soit possible si les filles en jugeait par le fait que de l’extérieur aucune vitre n’était visible sur le carrosse.

    Mais plus intéressant encore pour elles, allongés sur le sol, assis sur les bancs ou nageants dans la piscine, cinq garçons entièrement nus les regardaient, souriants.

« Et moi qui n’ait pas pensé à prendre un maillot de bain. Ironisa Parvati
_ Je crois que ça n’a pas grande importance, ma jolie. » Fit le cavalier de Padma qui se déshabillait.

Les filles enlevèrent leurs chaussures et s’approchèrent de la piscine en même temps que leur guide. Ce dernier leva soudain sa baguette magique dans leur dos et prononça :

« Ploufalo »

Les trois filles se sentirent soulevé du sol et firent un vol plané jusqu’au milieu de la piscine. Des garçons se portèrent aussitôt à leur secours et les aidèrent à remonter en riant. Les robes des filles flottaient au niveau de leurs torses, révélant leurs jambes, leurs petites culottes sexy et leurs tailles de guêpes.

« Tout va bien ? Demanda celui qui tenait étroitement Lavande par la taille. Ou vous faut-il une petite séance de bouche à bouche pour vous remettre ?
_ Je n’ai nul besoin d’eau pour ce genre de séance. » Répondit Lavande qui embrassa fougueusement son sauveur d’opérette.

Parvati et Padma l’imitèrent tandis que le reste des garçons sautaient également à l’eau. Les filles sentirent une multitude de mains se promener sur tout leur corps, notamment sur les parties déjà découvertes. Le cavalier de Parvati s’écarta un peu du groupe.

« On a beaucoup apprécié votre petit spectacle la dernière fois. Serait-il possible de voir le second acte pour que nos amis puissent juger de vos grandes capacités ? »

Les filles acquiescèrent et aussitôt les élèves de Beauxbâtons les lâchèrent et se positionnèrent au bord de la piscine, les yeux avides.

    Parvati prit Lavande par la taille et l’embrassa langoureusement, décollant légèrement ses lèvres pour que les garçons puissent voir le ballet de leurs langues. Padma passa les mains sous les petites culottes des filles et caressa les petits culs rebondit en embrassant sa sœur puis Lavande à tour de rôle. Parvati entreprit d’enlever la robe de son amie tandis que sa jumelle se positionnait derrière cette dernière, ses deux mains dans la petite culotte, caressant simultanément les fesses et le petit abricot. Lavande gémissait déjà lorsque sa camarade de gryffondor dégrafa son soutient gorge et se mit à lui sucer les seins tandis que sa sœur faisait glisser la petite culotte le long de ses jambes et l’en débarrassait. Les garçons de Beauxbâtons grandissaient à vue d’œil. Certains se masturbaient déjà, ne tenant plus alors que les jumelles, debouts, installaient leur amie en position allongée à la surface de l’eau. Parvati embrassait Lavande en lui caressant les seins tandis que Padma s’occupait de l’entrejambe avec sa langue et ses doigts.

    Jugeant que leur amie était fin prête, les deux sœurs la poussèrent avec douceur en direction des garçons. Deux d’entre eux l’attrapèrent et l’emmenèrent vers le bord tandis que les quatre autres s’avançaient vers les jumelles qui se débarrassaient rapidement de leurs vêtements. Un garçon s’assit sur le bord de la piscine et attira Lavande à lui. La jeune fille s’accrocha à ses jambes, le membre viril juste devant son visage, tandis qu’un autre français l’attrapa par les cuisses et la souleva pour positionner son beau coquillage à hauteur de son chibre. Lavande lécha les bourses du premier garçon puis son gland tandis que le second caressait fougueusement son intimité avec sa queue et que son pouce avait déjà pénétré son petit anneau. Le garçon sur le bord était trop échauffé. Il pris son membre et le fourra avec rudesse dans la petite bouche de Lavande puis appuya avec force sur la tête de celle-ci pour aller jusqu’au fond de l’étroite gorge. Le second pénétra alors sans ménagement entre les lèvres intimes et força le passage de l’anus avec son deuxième pouce. Rudoyée, Lavande en prit son parti et se mit à sucer et à trémousser ses jolies fesses avec fougue, envoyant les deux garçons aux anges.

    Le premier garçon qui s’était approché de Padma s’était positionné face à elle, l’avait soulevé par les fesses pour rabattre ensuite son petit sexe sur son membre viril et la pénétrer jusqu’à la garde du premier coup. La jeune serdaigle poussa un long gémissement de plaisir et voulu commencer son va et vient. Le français la prit par la taille, la souleva légèrement et la tint ainsi quelques secondes. Padma sentit des mains s’emparer de ses seins et un second chibre se presser contre son anus. D’un coup de rein, elle alla au devant du membre viril et se retrouva empaler par ses deux orifices intimes. Les garçons la laissèrent aller à son gré sur leurs sexes. Le premier continuait de caresser le délicieux cul de la jeune fille d’une main tandis qu’il lui fourrait deux de ses autres doigts dans la bouche qu’elle suça avec avidité. Le second lui léchait la peau du dos avec douceur.
    Parvati pensa qu’elle allait se retrouver dans la même position que sa sœur et accueillie les deux garçons en souriant et en les regardant d’un air coquin. L’un d’eux se plaça effectivement derrière elle et commença à lui caressait les seins et son ventre plat avant de descendre vers son trésor intime. Le second pointa sur elle une baguette magique et lui lança un sortilège de Têtenbulle. La jeune gryffondor eut l’impression de se retrouver dans un bocal. Le garçon à la baguette posa une main sur sa nuque et appuya pour que la jeune fille se penche directement vers son sexe dressé qui franchit comme un rien la bulle et s’enfonça entre les lèvres de Parvati. Le garçon immobilisa la tête de la jeune fille et fit de long mouvement de va et vient sur la langue de la jeune sorcière sortant son chibre jusqu’au gland avant de l’enfoncer jusqu’à la garde d’un grand coup. Le second attrapa les hanches de Parvati en faisant glisser ses jambes et elle se retrouva allongée sous l’eau. Elle s’accrocha aux fesses du garçon devant elle et entoura le second de ses jambes. Le membre de ce dernier se fraya un chemin entre les fesses, très serrées dans cette position, de la jeune gryffondor. Il s’arrêta lorsqu’il trouva l’anus et força le passage d’un coup brutal, arrachant à Parvati un cri de douleur qui se perdit dans l’eau.

    Les deux garçons qui avaient entreprit Lavande continuer d’agir assez brutalement mais ils notèrent que la jeune fille semblait apprécier. Soudainement, le garçon sur le bord repoussa la tête de la jeune gryffondor et se recula pour s’allonger complètement sur le sol. Le second se déchaussa alors de son sexe et de son cul. Il l’aida à sortir de l’eau et à monter sur le bord en la soulevant, les doigts profondément enfoncés dans son abricot et son anus. Le premier l’attira alors à lui, le dos contre son torse. Lavande eut alors la possibilité de voir ses amies dans la piscine avant que le deuxième garçon ne monte à son tour et lui cache la vue. Le garçon allongé souleva le petit cul de la gryffondor et l’empala sans ménagement par son puit secret. Elle cria de surprise et s’écroula, le dos sur le torse du français. Elle vit le second se plaçait entre ses jambes et écarta tout naturellement les cuisses pour lui faciliter le passage vers son beau coquillage. Mais il écarta les fesses de la jeune fille en les soulevant légèrement et pressa son gland sur l’anus déjà occupé. Lavande se mordit les lèvres lorsque le deuxième chibre la pénétra mais finalement elle ne put retenir un cri. Les garçons ne bougeaient pas et elle comprit que ce serait à elle de s’empaler sur les deux queues en même temps. Elle ondula des hanches en glissant la main vers son sexe inoccupé.

    Padma s’activait avec acharnement sur les deux membres des français. Mais le garçon derrière elle se retira soudain et s’approcha de son ami.

« Dis, tu veux bien me la laisser un peu tout seul, s’il te plaît ! »

Le second français parut surpris puis il acquiesça en souriant. Il embrassa Padma en lui caressant les seins avant de se retirer d’elle et de partir en direction du groupe de Parvati. Le garçon restant entraîna la jeune serdaigle vers le bord. C’était son cavalier du bal de Noël et Padma supposa qu’il devait être un peu tombé amoureux d’elle. Elle lui sourit tendrement et l’embrassa. Elle s’accrocha ensuite au bord de la piscine et, faisant face à son amant, elle l’attira avec ses jambes qu’elle enroula ensuite autour de sa taille. Le français ne se fit pas attendre et, tout en l’embrassant tendrement, il la pénétra. Il lui lécha les seins, mordillant ses petits tétons érigés. Il s’accrochait des deux mains à son magnifique petit cul et en profita pour laisser deux doigts se promener à l’intérieur du puit secret.

    Parvati appréciait les assauts de ses amants. Elle ne voyait rien de ce qui se passait à la surface et fut surprise de sentir deux mains supplémentaire lui pétrir les seins. Puis un deuxième sexe passa à travers la bulle et s’arrêta devant ses lèvres. Sans chercher à comprendre, Parvati ouvrit la bouche le plus grand qu’il lui fut possible pour accueillir deux queues en même temps. Elle sentit sa mâchoire se distendre, lui faisant même mal. Mais deux nouvelles mains s’étaient posées sur sa tête et l’obligeaient à subir les assauts des deux membres. Au bout d’un certain temps, les trois garçons se retirèrent en même temps. Parvati se releva en toussant. Les français annulèrent le sortilège et l’emmenèrent vers le bord. Là, l’un des garçons s’assit sur le sol de marbre, un autre se mit dos au mur, légèrement décalé par rapport au premier. Le troisième guida Parvarti. La jeune fille s’empala sur le chibre du français contre le mur tandis que son guide s’installait dans son petit anneau. Le dernier, assis, attira la tête de la gryffondor par dessus l’épaule de son ami et enfourna son sexe entre les lèvres accueillantes.

    Lavande se démenait de plus belle sur les deux sexes qui écartelaient son anus, tandis qu’elle sentait son sexe s’enflammer sous ses doigts. Le français qui lui faisait face sortit soudainement son membre de son petit cul douloureux, se leva rapidement, attrapa sans ménagement la tête de la jeune fille et enfonça son chibre d’un coup jusqu’à la garde. Il se répandit alors dans l’étroite gorge de Lavande qui eut du mal à tout avaler. Elle sentit alors le second lâcher sa semence dans son dos. Au contact des deux jets de sperme chaud, La jeune fille se contracta et jouit en criant et en libérant un flot de liqueur intime. Elle s’écroula sur le garçon dans son dos qui l’entoura de ses bras avec douceur.

    Padma ruait avec force sur les coups de boutoir de son amant. Il était proche de la jouissance tout comme elle. Au moment où elle entendit les cris de Lavande, elle sentit tout son corps parcouru d’un frisson électrique. Elle se redressa à la force du bassin et s’agrippa à la tête du français qui lui léchait toujours les seins avec délectation. Elle s’abattit une dernière fois sur le membre tendu et jouit en criant également. Elle s’affaissa sur le corps de son amant mais celui-ci ne lui laissa pas de temps de repos. Il la souleva par les fesses et appuya sur ses épaules et sa tête pour la faire pénétrer sous l’eau sans sortilège de têtenbulle. Padma se retrouva face à face avec le sexe qu’elle prit immédiatement dans la bouche. Elle n’eut pas à le sucer longtemps avant que le français n’éjacule et elle bu goulûment le doux nectar. Puis elle sortit la tête de l’eau, souriante, et embrassa son amant en continuant de caresser son sexe d’une main.

    Sous les différents assauts des garçons, Parvati ne pouvait plus faire le moindre mouvement. Elle sentait des mains la caresser sur tout le corps. Des langues parcouraient son dos et sa poitrine. Elle se sentait doucement venir lorsque le garçon derrière elle se figea dans son petit cul. Presque aussitôt, celui qui lui faisait face stoppa également, profondément enfoncé dans son sexe. Tout de suite après, celui qui était assis fit pression sur sa nuque pour qu’elle cesse de bouger la tête. Comme s’ils avaient été synchronisés, les trois français éjaculèrent en même temps, inondant le ventre, le dos et la gorge de Parvati. En sentant les trois rivières de sperme qui s’écoulaient en elle, la jeune fille jouit avec force sans pour autant lâcher le chibre entre ses lèvres. Les trois garçons se retirèrent et aidèrent une Parvati sans force à se hisser sur le bord de la piscine.

    Les filles firent sécher leurs vêtements par magie. L’un des français pointa une baguette magique sur la piscine et prononça :

« Aqua Recuro »

L’eau, souillée par les nombreuses liqueurs intimes redevint claire. Les filles embrassèrent les garçons un par un puis se décidèrent à repartir au château. Fourbues, elles mangèrent à peine au dîner mais sourirent discrètement aux garçons de Beauxbâtons à la table des serdaigles. Padma était assise à côté de son cavalier et tous deux parlaient à voix basse en se souriant discrètement.
Parvati et Lavande remontèrent ensuite dans leur dortoir où Hermione lisait un livre. Cette dernière s’inquiétant de l’étrange démarche de Lavande. En mettant leurs tenues de nuit, elles lui expliquèrent alors ce qui s’était passé avec les français et surtout la douloureuse double pénétration.

« Pauvre Lavande ! »

Hermione avait rejoins les filles sur le lit de Parvati. Elle caressa la cuisse de Lavande et remonta son tee-shirt jusqu’à la taille. Elle s’agenouilla.

« Je vais te soigner un peu. Tu verras, ça ira mieux après. »

Hermione écarta les deux jolies fesses de Lavande et promena sa langue sur le petit puit endolori tandis que Parvati enlevait sa nuisette et se pencha entre les cuisses de sa meilleure amie. Les filles se firent jouir les unes après les autres et s’enlacèrent tendrement, entièrement nues. Lavande, exténuée, fut la première à s’endormir, sous les douces caresses de ses amies. Hermione et Parvati, leurs mains parcourant toujours leurs corps ainsi que celui de leur amie plongée dans le sommeil, parlaient à voix feutrées.

« Mais alors, fit soudainement Hermione avec un sourire malicieux, vous risquez d’être bientôt invitée à passer les vacances en France ? Chez… euh… comment s’appellent vos amis au fait ?
_ Aucune idée ! Répondit Parvati. J’ai totalement oublié de leur demander. »

Riants doucement, les filles décidèrent qu’il était bien assez tard, posèrent leurs têtes sur les oreillers et s’endormirent.
 
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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