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Histoires avec Hermione

Lundi 24 mars 1 24 /03 /Mars 12:39

Solidarité féminine

Une aventure sexuelle de Harry Potter en seconde année


Avec : Hermione Granger, Angelina Jonhson, Alicia spinnet et Katie Bell.






Hermione marchait vite dans les couloirs du château. Elle aurait eu envie de courir mais elle ne devait pas se faire remarquer. Rogue n'était sûrement pas loin. Ce n'était que par une chance incroyable qu'elle avait pu se dérober derrière un angle de mur avant qu'il ne l'aperçoive. Hermione savait qu'elle aurait dû se débarrasser plus tôt du livre « les potions de grands pouvoirs » qu'elle avait emprunté quelques temps auparavant pour que Harry, Ron et elle se changent en Serpentard et aillent interroger Malefoy sur les attaques qui avaient lieux au château. Cela n'avait finalement rien donné, en dehors de plusieurs mésaventures. La dernière en date étant celle où elle s'était elle-même transformée à moitié en chat.

C'est ce dernier événement qui avait attiré l'attention du professeur de potion. Les autres enseignants, Dumbledore en tête, n'avaient posé aucune question. Nombre d'élèves essayaient des choses en secret et, tant que cela ne menaçait pas la sécurité de quiconque, il n'y avait pas besoin d'en faire grands cas. Mais la suspicion naturelle de Rogue envers Harry et ses amis ne s'arrêtait pas là. Il n'avait pas pu interroger Hermione à l'infirmerie, madame Pomfresh ne l'aurait pas permis, mais il semblait encore plus prompt désormais à résoudre le mystère de la demi-transformation d'Hermione. Mystère qu'il soupçonnait sûrement aller de paire avec la disparition de plusieurs de ses ingrédients personnels.

Sentant le danger se faire de plus en plus menaçant, Hermione se résolut à effacer la seule preuve qui les liait à l'évènement : le livre. Mais c'est en se rendant à la bibliothèque qu'elle aperçut Rogue attendre devant la porte de celle-ci. Il n'avait pas l'autorité suffisante pour consulter les autorisations que les autres enseignants donnaient aux élèves pour emprunter des livres de la réserve. Sans cela, il aurait vu immédiatement à qui Lockhart avait autorisé l'emprunt de « les potions de grands pouvoirs ». Sa seule chance était donc de prendre la personne en possession du livre sur le fait. Et dans le petit groupe de Potter, il savait très bien qui il devait voir à ce sujet.

Hermione remontait donc prestement vers le dortoir de Gryffondor, espérant que le maître des potions ne l'avait pas vue, son coeur battant à tout rompre. Elle n'osait imaginer ce qui lui arriverait si Rogue pouvait apporter la preuve du rapprochement entre elle, le livre et le polynectar. Sans compter ce qui arriverait à Harry et Ron, dont la liste des retenus étaient déjà bien fournie. Quelque chose disait à la jolie brune que Rogue était sur ses talons. Elle le sentait. Le peu d'avance qu'elle avait sur lui était négligeable et il pouvait la rattraper à tout moment. Elle fut donc catastrophée de voir la seule personne qui dirait sans hésiter à Rogue par où elle était partie. Rusard, en bas d'un escalier, nettoyait une tache de boue et fut surpris de l'arrivée rapide de la jeune fille. Le concierge se redressa.


« Dîtes-donc, où allez-vous si vite ? Qu'avez-vous fait comme bêtise ? Attendez ! »


Hermione fit mine de n'avoir rien entendu et tourna dans un autre couloir sur sa droite. Elle n'était plus qu'à quelques mètres de la salle commune mais si Rusard s'était lancé à sa poursuite, elle ne pourrait jamais l'atteindre. En tournant à gauche cette fois, elle risqua un coup d'oeil en arrière. Rusard était là.

Il l'appela encore mais elle n'en tint pas compte. Elle était si près du but. Les larmes lui montaient aux yeux. Elle ne voyait presque plus rien et ne put éviter la collision. Elle se retrouva au sol.


« Hé ! Fais un peu attention voyons. »


Hermione leva les yeux. Angelina, Alicia et Katie, les trois poursuiveuses de gryffondor se tenaient devant elle. Angelina, une superbe fille noire, la regardait l'air fâché mais elle se fit plus douce lorsqu'elle se pencha vers la petite brune.


« Tu pleures ? Tu t'es fait mal ? Attends... tu n'es pas l'amie de Harry ? Hermione, c'est ça ? »


Hermione eut à peine le temps d'acquiescer que les pas de Rusard s'approchèrent en raisonnant dans le couloir vide. Paniquée, elle tenta de reculer désespérément lorsqu'un voile se posa devant elle.


« Où est-elle ? Grogna la voix de Rusard.

_ Où est qui ? Demanda Angelina d'un ton innocent. »


Hermione était contre les deux magnifiques jambes d'Angelina de chaque côté d'elle. Elle s'aperçut que la belle poursuiveuse l'avait cachée sous sa robe. Prenant conscience du danger que cela représentait, elle ne fit plus le moindre mouvement.


« Où est la gamine qui filait à toute allure par ici ? Répliqua Rusard.

_ On a vu personne, répondit Alicia d'un ton poli.

_ Vous vous moquez de moi ? Elle a tourné par ici.

_ On l'aura manqué, fit Katie.

_ Quoi ? Elle courait presque.

_ Nous n'avons pas fait attention, reprit Angelina. Ce n'est pas notre rôle de surveiller les couloirs. »


Angelina bougea un peu, probablement pour croiser les bras et un peu de lumière passa dans son col, laissant le temps à Hermione d'avoir un aperçu du corps de la poursuiveuses. Même en cet instant tragique, la petite brune, qui avait toujours apprécié les charmes féminins, ne put s'empêcher de constater à quel point Angelina était magnifique. Et à quel point la peau de ses cuisses était douce contre ses joues. Elle sentit une tendre chaleur naître au creux de son ventre.

Rusard était furieux.


« Vous vous moquez de moi ! Espèces de petites... de... »


Mais toute la fureur du concierge ne pouvait prouver qu'elle lui mentait. Sa voix se décontenançait à chaque mot. Hermione espérait qu'il allait bientôt tourner les talons. Elle sentait son excitation grandir. Ce qui la perturbait le plus, c'était la délicieuse odeur qui émanait de l'intimité de la poursuiveuse. Hermione pouvait en apercevoir les contours se dessiner sur le tissu fin de la petite culotte. Oh comme elle adorerait goûter le nectar de ce fruit si appétissant et pourtant défendu.

Des pas se firent entendre. Hermione espérait que Rusard s'en allait mais celui-ci grogna de contentement cette fois.


« Ah ! Professeur Rogue ! »


Les pas s'approchèrent jusqu'à eux. La petite brune était désemparée. Si Rogue soupçonnait les trois filles de mijoter quelque chose, il ne s'en irait pas aussi facilement que Rusard. Elle se dit que, en un sens, le fait d'être ainsi tentée sans pouvoir ne serait-ce que toucher ce qu'elle désirait tant était un supplice bien plus terrible que tous ceux que Rogue aurait pu lui infliger pour avoir fait toutes les potions de tous les livres interdits.


« Qu'y a-t-il Rusard ?

_ J'ai vu une fille, l'amie de Potter, qui courait dans les couloirs et je l'ai suivi jusqu'ici. Mais ces trois-là prétendent ne pas l'avoir vu.

_ Granger ! Je me doutais bien... Où est-elle ? »


Hermione eut un petit sursaut en entendant le ton accusateur de Rogue. Mais Angelina ne frémit même pas.


« Je l'ignore professeur. Nous discutions entre nous et nous n'avons pas fait attention aux personnes qui passaient.

_ Ne me prenez pas pour un imbécile mrs Jonhson. Comment auriez-vous pu la rater ?

_ Nous sommes juste à côté de la salle commune, professeur. Il y a sans arrêt des élèves de gryffondor qui entrent et qui sortent. Certains sont pressés, d'autres non. Pour nous c'est égal. »


Le ton de la jeune fille restait très poli mais Hermione savait que Rogue ne s'en contenterai pas. Malheureusement. Elle commençait à avoir une sérieuse envie de calmer le désir qui s'était niché en elle.


« Que faisiez-vous là toutes les trois ? Reprit le maître des potions.

_ Rien. Nous discutions juste un peu. En fait on se demandait où aller faire nos devoirs. Nous hésitions entre rester dans la salle commune, c'est plus confortable mais aussi plus bruyant, ou aller à la bibliothèque. Et puis, au fil de la discussion on s'est un peu écarter de ces préoc...

_ Assez ! »


Malgré la robe, Hermione aurait très bien pu voir Rogue en colère, fixer de ses yeux noirs le visage paisible d'Angelina. La petite brune était très admirative de la retenue de la jeune fille, en plus d'être très admirative de ses charmes. Elle espérait vraiment que Rogue allait partir mais elle savait qu'il reviendrait encore à la charge. Cela ne manqua pas.


« Ouvrez votre sac mrs Jonhson !

_ Pardon ? Mais pourquoi ?

_ Juste pour voir si on ne vous aurez pas confié un certain livre.

_ Les miens sont déjà bien suffisant professeur. Pourquoi en aurai-je pris un autre ?

_ Je ne veux pas le savoir. Exécution ou j'enlève 20 points à gryffondor ! »


Angelina fit passer son sac devant elle et l'ouvrit. Mais Rogue n'en resta pas là.


« Comme vous le savez, je ne peux pas fouiller les affaires personnelles des élèves. Je vous prierai donc de sortir tous les livres, ça suffira. »


Hermione doutait que Rogue ait deviné sa présence sous les jupes de la jeune noire mais cela risquait quand même de la trahir. Pour pouvoir enlever tous ses livres, Angelina était obligée de s'agenouiller. Elle posa son sac par terre et s'abaissa lentement.


« Que vous arrive-t-il mrs Jonhson ?

_ Trois fois rien professeur. Une petite blessure en jouant au quidditch ce matin. Madame Pomfresh a dit que je ne sentirai plus rien ce soir. »


Hermione s'agrippa aux hanches de sa protectrice. Essayant vainement de faire abstraction de la douceur de la peau sous ses doigts, elle se laissa glisser sur le sol, s'allongeant en position du foetus. Angelina resta accroupie et commença à retirer ses livres. Mais la petite brune n'en menait pas large. Dans cette position, son visage était si proche de l'enivrante intimité que cela lui devenait insupportable. Son désir devint brûlant. Elle ne résista plus. Ayant à peine la conscience de ne pas faire remuer la robe, elle leva légèrement la tête et passa sa langue sur la petite culotte, le long de la merveilleuse vallée. Angelina eut un temps d'arrêt.


« Quoi encore mrs Jonhson ?

_ Juste un petit élancement, professeur. Il est déjà passé. »


La jeune fille replongea dans son sac mais la petite langue, elle, ne s'était pas arrêtée. Hermione savait qu'elle prenait un risque énorme mais elle s'en souciait beaucoup moins à présent. Elle aurait même souhaité que Rogue fasse durer ce petit jeu. Ce qui arriva. Lorsque Angelina eut finit, il demanda la même chose à Alicia et Katie. La jeune noire rangea prestement ses livres et se redressa en douceur. Hermione, toujours accrochée à ses hanches dut faire de grands efforts sur ses genoux pour rester à la hauteur qu'elle souhaitait.

Angelina était grande pour son âge et bien que Hermione n'ait que deux ans de moins qu'elle, elle pouvait tenir à genoux, les talons sous les fesses, sous la jupe de celle-ci. La robe étant ample, la petite brune put se permettre de ramener ses mains sur les cuisses de la belle et d'écarter la petite culotte pour que sa langue puisse enfin accéder à ce merveilleux temple tant désiré. La jeune fille ne faisait pas le moindre mouvement tandis que ses amis étalaient leurs livres à leur tour puis les rangeait. Rogue ne pouvait plus rien contre elles.


« Bien, je vous conseille de vite retourner à vos devoirs, fit Rogue en colère. »


Les filles ne dirent pas le moindre mot tandis que le professeur s'en allait enfin, suivit de Rusard grommelant. Angelina laissa échapper un soupir.


« Alicia ! »


La blonde acquiesça et fila discrètement le train aux deux hommes. Angelina poussa un autre gémissement.


« Qu'est-ce qu'elle te fait ? Demanda Katie malicieuse.

_ Oooh... c'est juste... sa langue... elle est douée. »


Katie s'agenouilla à son tour, scruta les alentours et releva le devant de la robe de son amie. Hermione ne s'interrompit pas pour autant.


« Comme c'est mignon, fit Katie. »


La jeune fille passa la tête sous la robe de sa camarade.


« Tu ferais bien d'aller voir à l'étage supérieur ma jolie. Ne t'inquiète pas, je vais m'occuper d'elle en attendant. »


Hermione dut faire un véritable effort pour retirer ses lèvres de la si douce et si chaleureuse intimité. Katie ne perdit pas un instant pour la remplacer. La petite brune sortit de sous la robe et se releva en baissant la tête. Angelina allait être furieuse. Mais de tendres bras l'entourèrent et l'attirèrent contre le corps divin. Une bouche s'empara de la sienne avec passion et elle répondit à ce baiser fougueux.


« Tu dois être folle, fit Angelina avec douceur lorsque leurs lèvres se séparèrent.

_ Je ne sais pas, répondit la voix de Katie sous la robe. Moi je n'aurai jamais tenu aussi longtemps.

_ Je suis désolée, balbutia Hermione.

_ Ce n'est rien. Ils ne t'ont pas découvert après tout. »


Angelina embrassa à nouveau la petite brune. Derrière elle, Alicia revenait.


« Hé ! Vous ne perdez pas de temps. Allez, relevez-vous. Ils sont partis mais plein d'autres pourraient vous voir. »


A regrets, Hermione, Angelina et Katie se séparèrent. Mais aussitôt la jeune noire attrapa la petite brune.


« Euh... dis-moi, tu n'as jamais vu le dortoir des quatrièmes années je suppose.

_ Non, mais je serai curieuse de le voir, répondit Hermione qui se doutait bien que ce dortoir ressemblait à tous les autres.

_ Je suis sûre qu'il te plaira. »


Aussitôt, les filles se dirigèrent vers l'entrée de la salle commune à grandes enjambées. Elles passèrent le portrait de la grosse dame puis montèrent rapidement les escaliers sans dire le moindre mot à ceux qu'elles croisaient. Elles s'arrêtèrent devant la porte marquée « quatrième année ».Angelina l'ouvrit et attira Hermione à l'intérieur. Alicia et Katie les suivirent vivement et refermèrent la porte.

Elle s'y était attendue mais Hermione constata néanmoins que cette chambre était plus ou moins semblable à toutes les autres. Elle identifia les lits de Angelina et Alicia grâce aux affiches de quidditch qu'elles avaient placardés tout autour. Elle se demanda vaguement à qui pouvait appartenir les deux autres lits (elle savait que Katie n'était qu'en troisième année et dormait donc ailleurs), l'une des occupantes devaient être moldue puisqu'elle avait le portrait inanimé d'un chanteur de charme. Hermione s'attarda un peu plus sur les affiches de quidditch. L'une d'elle représentait un joueur qui s'amusait à faire tourner un souaffle entre ses mains, et le fait que son tee-shirt moulait joliment ses muscles ne devait pas être étranger au choix des filles de le mettre entre leurs deux lits.


« Je voix que tu t'intéresses à notre « décoration », fit Angelina.

_ Euh... oui, très jolie.

_ Pas mal en effet, mais ce qui est mieux, c'est ce qu'elle cache. »


La jeune noire leva sa baguette et la plupart des affiches furent remplacées par des étagères encombrés d'objets divers. Hermione y vit des godes, des boules de Geisha, des huiles de massage, quelques lingeries très suggestives qui n'avaient aucune chance de faire partie de la tenue scolaire réglementaire, des simulateurs pour chaque partie sensible du corps et même des menottes. Hermione commençait à comprendre qu'être invitée dans le dortoir des quatrième année n'était finalement pas si anodin. Même les affiches des deux autres lits avaient découvert leurs secrets, prouvant que, si ça n'était pas le quidditch, les filles de la chambre avaient quand même une passion commune.

Angelina s'approcha dans le dos d'Hermione et la prit par les épaules.


« Dis-moi... Tu ne voudrais pas reprendre là où tu t'es arrêtée ?

_ J'attendais que tu me le demandes, répondit la jolie brune en souriant. »


Hermione se tourna vers la jeune noire qui en tremblait presque d'impatience. Sans dire un mot, elles s'embrassèrent passionnément. Les mains de la petite brune s'égarèrent rapidement sur les sublimes rondeurs de la croupe de sa partenaire. Angelina caressait tendrement la tignasse de la deuxième année. Puis, Hermione se retira doucement des lèvres de la jeune fille et descendit en baisers sur son cou, s'aventurant jusque dans l'échancrure de son corsage. Sa bouche se posa ensuite sur la robe de la belle, devinant sa poitrine magnifique à travers l'étoffe qui l'enserrait. Elle se laissa glisser plus bas sur le ventre puis arriva sur la partie qui cachait la merveille qu'elle désirait tant.

Hermione souleva la robe et passa à moitié en dessous, laissant le vêtement reposer sur son dos. Cette fois-ci, elle retira complètement la petite culotte et se ravit de goûter à cette délicieuse source, comme si elle n'avait plus rien bu depuis des jours. Elle entendit les pas de Alicia et Katie se rapprocher d'elles. Elle ignorait qui était qui mais l'une des filles s'arrêta derrière Angelina. Le corps de la jeune noire se trémoussant de plus belle lui fit comprendre que caresses et baisers devaient être au rendez-vous à l'étage supérieur. Hermione sentit deux douces mains parcourir ses cuisses tout en remontant sa jupe pour s'arrêter sur son petit derrière. « On » lui enleva sa petite culotte et elle leva un peu les genoux en prenant appuie au sol pour qu'on la lui retire plus facilement. Puis les mains revinrent écarter ses fesses et une langue se posa sur son bouton d'amour avant de commencer à jouer avec lui. Elle en fut aussitôt comme électrisée. Hermione avait entendue dire que Katie était particulièrement douée pour donner du plaisir à qui le voulait bien (et jusqu'à présent personne ne l'avait jamais refusé) et en conclut alors que la troisième année devait être celle qui goûtait passionnément à son bel abricot. Excitée comme jamais, Hermione fit de son mieux pour donner autant de plaisir à Angelina.

La jeune noire, déjà au bord de la jouissance, cru défaillir lorsque la petite brune se fit plus appliquée sur son antre de douceur. Alicia avait descendu la fermeture éclaire dorsale de la robe et avait passé ses bras sous le vête ment pour caresser la sublime poitrine de sa camarade qui se passait de soutien gorge. Angelina s'accrocha à la tête de son amie, occupée à poser des baisers dans son cou et laissa un cri exprimer tout son plaisir.

Pendant qu'elle reprenait son souffle, Alicia fit glisser la robe de ses épaules. L'étoffe tomba mais s'arrêta au niveau des cuisses de la jeune noire, retenue par Hermione dont la tête dépassait à présent et qui se délectait toujours autant de la douce intimité qu'on lui offrait.


« Mmmh ! C'est bon, ma mignonne. Il est temps que je te remercie à mon tour. Les filles, mettez-là à l'aise pendant que je prends un peu de matériel. »


Angelina dégagea la petite brune de sa robe et se dirigea vers l'une des armoires. Alicia et Katie relevèrent la jeune fille et elle s'aperçut à ce moment-là qu'elles étaient déjà nues, s'étant probablement déshabillées juste avant de les rejoindre. Les filles effeuillèrent Hermione avec douceur, caressant ses jeunes formes et l'embrassant à tour de rôle avec passion. Elle la dévoilèrent peu à peu, comme si elles retiraient un objet précieux et fragile de son écrin. Elles l'amenèrent ensuite vers l'un des lits. Entre-temps, Angelina avait pris soin de se munir d'un gode ceinture à double branche.

Katie s'allongea sur le lit et attira Hermione sur elle. Les deux jeunes filles s'embrassèrent tendrement et laissèrent leurs mains vagabonder sur le corps de l'autre. Alicia vint s'agenouiller au dessus de leurs têtes, son antre des plaisirs les incitant à venir le goûter avec une indécence folle. Hermione et Katie ne se firent pas prier pour passer leurs langues sous la fine toison dorée. Alicia poussa aussitôt un cri de plaisir. Le talent indiscutable de Katie dans l'art du plaisir et la gourmandise d'Hermione l'emmenèrent directement à l'extase. Elle dut s'accrocher à la tête du lit pour ne pas tomber sous les soubresauts incontrôlables de son corps enflammé. Angelina enfin, se mit à genoux derrière les filles. Elle observa les petites fesses d'Hermione qu'elle caressa avec tendresse avant de les écarter doucement d'une main. L'autre s'attarda un peu sur le bouton d'amour de la petite brune. Angelina appréciait tout le contour du petit bout de chair avec la pulpe de son doigt et s'amusait à le faire rouler.

Elle dirigea enfin les membres factices vers les deux trésors intimes qui lui semblaient impatients. S'assurant de sa position elle entra doucement dans les deux jeunes filles qui poussèrent des gémissements étouffés par leurs bouches et par l'abricot doré d'Alicia. Angelina entama des vas et viens lents, langoureux et profond. Les petits cris de plaisir assourdis, résonnaient à ses oreilles comme autant de caresses sur son corps. Elle se délectait du plaisir qu'elle donnait.

Ce fut Hermione et Katie qui décidèrent d'augmenter la cadence. Sans dire un mot, comme si une connection s'était établie entre leurs désirs, leurs coups de langues et leurs coups de reins se firent plus vifs. Katie ondulait des hanches en s'alignant sur le rythme d'Hermione pour être en parfait accord. Suivant à son tour, Angelina accéléra son mouvement, pénétrant au plus profond des corps lascifs de ses deux amies.

Sans grande surprise, c'est Alicia qui poussa le premier cri de jouissance. Vaincue par les langues habiles de Hermione et Katie, elle roula sur le côté pour reprendre son souffle. Les deux jeunes filles purent reprendre leurs embrassades passionnées. Katie repoussa légèrement Hermione pour pouvoir goûter de sa bouche aux deux jeunes collines qu'elle avait sentie contre elle durant tout ce temps. Ainsi couverte d'attention, la petite brune ne fut pas longue à sentir la jouissance arrivée. Elle ne se retira pas pour autant et partagea ses lèvres avec celles de Katie jusqu'à ce que cette dernière arrive également à l'extase.

Les filles s'allongèrent en nage, les unes contre les autres, Angelina prenant Hermione, la plus petite et la plus légère, sur elle pour que tout le monde ait de la place. Pelotonnées toutes ensemble, elles goûtaient la douceur de leurs peaux sans dire un mot. Angelina prit sa baguette et fit venir le sac d'Hermione jusqu'à elle.


« Je vais ramener le livre à ta place, dit-elle à la petite brune. Rogue et Rusard ne pourront pas se douter que nous t'avions vraiment croisé tout à l'heure. »


Elle sortit « les potions de grands pouvoirs » du sac et fronça les sourcils.


« Si tu n'étais pas l'amie de Harry, Je pourrai avoir des doutes sur ce que tu voulais vraiment faire avec ça. Encore que ce n'est pas sûr.

_ Et quoi d'autre aurait pu te donner tant confiance en moi ? Demanda Hermione. »


Pour toute réponse, Angelina posa ses lèvres sur les siennes.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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Lundi 24 mars 1 24 /03 /Mars 12:33
Contribution de Lylah :

Chapitre 3 : Cache-cache cabot


- Aie ! Mais ça va pas ? Qu’est-ce qu’il te prend ?

Hermione venait de donner un grand coup derrière la tête d’Harry et le dévisageait maintenant d’un regard féroce.

  • Ce qu’il me prend ? Harry, tu passes ton temps dehors, à sortir dans des bars miteux, à faire je ne sais quoi avec ton parrain et Ron et après tu viens me demander mes notes de cours la queue entre les jambes ! Non mais je rêve !

L’accusé baissait à présent la tête, prenant conscience qu’il avait un culot monstre de se comporter de la sorte avec sa meilleure amie. Mais depuis qu’il avait vaincu Voldemort, il fallait qu’il évacue ce trop plein de stress qu’il avait accumulé depuis des années, et Sirius et Ron avaient trouvé la meilleure des solutions.

Ils passaient leur temps libre à écumer les bars à la recherche de quelques minettes pas trop farouches qui les aideraient à passer une soirée des plus agréables. Le maître investigateur de tout ça, n’était autre que Sirius et ses idées saugrenues, malgré le fait que Ron ne soit pas le dernier en profiter.

- Tu fais ce que tu veux Harry, traîne autant que ça te chante avec cet imbécile de Ron et ton sac à puces de parrain, complètement irresponsable par ailleurs, mais viens pas pleurer sur mon épaule si tu rates tes ASPICS.


Et elle claqua la porte derrière elle.


Non mais oh ! Ils me prennent pour quoi ? Pour une annale dans laquelle ils peuvent se plonger quand ils veulent pour rattraper leur retard ? Pensa-t-elle en regagnant la chambre des préfets.


Il était plus de minuit quand elle rentra de sa ronde et Malefoy se trouvait encore sur le canapé, feuilletant négligemment la gazette des sorciers. Il leva un sourcil en la voyant rentrer et se replongea aussitôt dans sa lecture.

Quelle idée de les avoir nommés tous les deux préfets en chef. Ils ne s’adressaient jamais la parole, ou peut-être juste pour s’insulter, n’avaient aucun point commun et se détestaient depuis des années.

Ce n’était certainement pas avec lui qu’elle pourrait combler le manque d’affection significatif de l’absence de ses deux meilleurs amis.


Sirius est vraiment un incapable ! Il est censé protéger Harry, l’éduquer au mieux, mais il ne fait que le débaucher ! Il ne mérite vraiment pas le rôle qu’on lui a attribué ! Ragea-t-elle.

Sur ces sages paroles, elle s’endormit d’un sommeil agité, dans lequel elle bottait sans pitié l’arrière train d’un certain chien mal élevé.


  • Eh ! Miss-je-sais-tout ! Lèves-toi !

Pas de mouvement.


Si je fais semblant de dormir, je n’entendrai peut-être plus ces sifflements incessant, se mit-elle à penser.


  • Oh ! S’acharna Malefoy en jetant une chaussure sur le tas de couvertures, je ne suis pas ton homme à tout faire, alors lèves tes grosses fesses, y’à quelqu'un qui vient voir ton affreuse tête matinale !

Venir la voir si tôt ? Mais qui pouvait bien être aussi perturbé ?

Elle grogna et se releva difficilement sur ses avant bras, s’apprêtant à sortir du lit.

C’est alors qu’une masse noire et poilue sauta sur le lit et vint se cacher sous les couvertures. Hermione eut juste le temps de faire un bond et d’attraper sa robe de chambre pour s’en couvrir avant que le museau de l’animal ne surgisse de sous les draps.


  • Sors de là Sirius ou je te balance par la fenêtre !

La pauvre bête, appuya la tête sur ses pattes, se donnant un air de chien battu, n’adoucissant aucunement la Gryffondor, qui ne rêvait que d’une chose, joindre le geste à la parole.

Le molosse roula sur le dos en poussant un râle de satisfaction et bientôt ses pattes arquées et son pelage sombre laissèrent place à un corps finement sculpté mais entièrement nu.

Hermione se retourna rapidement, rouge comme une pivoine.


- Ne me dis pas que tu n’as jamais vu un homme nu ma p’tite Hermione, je ne te croirai pas, ricana Sirius s‘enveloppant dans le drap.

- Là n’est pas la question ! Sort de mon lit !

Sirius s’assit calmement sur le rebord et tira à lui le drap afin de se couvrir plus modestement.

  • Vous pouvez vous retourner chaste demoiselle, j’ai couvert ce corps que vous ne seriez voir ! Se moqua-t-il.

Hermione soupira d’indignation. Non seulement il vient au petit matin couvrir de puce son superbe dessus de lit mais en plus il se permettait de la faire tourner en bourrique.


  • Je pense que nous devons nous parler ma belle, la situation qui s’instaure petit à petit entre nous devient catastrophique et Harry en fait les frais.

La Gryffondor reprit soudainement son éloquence légendaire.


- Excuses moi, mais je ne pense pas que c’est en multipliant les partenaires de Harry qu’il va forcément avancer dans la vie ! C’est totalement….

- Approprié ?

-…insensé ! Corrigea-t-elle avec fureur.


Sirius fut tout de même touché dans sa fierté. Que l’on remette en cause ses agissements passait, mais pas l’éducation qu’il inculquait à son filleul. Même s’il ne se comportait pas en parrain modèle, il restait tout de même aimant, à l’écoute et présent.


  • Ecoute-moi bien jeune fille, si tu es frustrée parce qu’on ne t’emmène pas dans nos petites virées, il faut le dire, mais ne me rejette pas totalement la faute dessus. Je pense que tu devrais laisser tomber ton costume de parfaite-petite-demoiselle, et commencer à vivre.

Il se rapprochait maintenant dangereusement d’elle, passant son pouce et son index sur son menton comme à la recherche d’une quelconque mauvaise idée.

La jeune fille reculait à tâtons, de peur de se prendre les pieds dans le tapis ou la commode, mais Sirius la devança.

Il se prit les pieds dans le drap et s’étala de tout son long sur le sol, sous le rire éclatant de la rouge et or.

Elle le contourna rapidement et dans l’embrasure de la porte, lui lança :


  • Pas très leste et à l’aise sur ses pattes pour un vulgaire cabot !

Et elle referma la porte en continuant de rire ouvertement.


Durant la journée, Hermione put enfin avoir quelques moments à elle avec ses deux meilleurs amis. Elle leur narra sa mésaventure de la matinée et ne put s’empêcher d’en rire à nouveau en se la remémorant.

A plusieurs reprises, elle avait croisé la silhouette de l’animal se mouvant rapidement dans les couloirs mais jamais elle ne s’était retrouvée face à lui.


Il a bien trop honte la pauvre bête ! Pensait-t-elle en riant.


Se rappelant que ce soir, c’était au tour de Drago de faire sa ronde de Poudlard, elle pensait déjà passer une soirée tranquille, à bouquiner son recueil de contes que lui avait légué Dumbledore.


  • Hermione ! Eh Hermione !

Elle se retourna pour examiner Harry qui venait à son encontre.


  • Ca te dit d’aller faire un tour dans la forêt interdite ce soir ?

Hermione resta un instant interdite. Depuis quand avait-il une soirée à lui consacrer ?

Harry comprit immédiatement les questions qui lui torturaient l’esprit et prit donc la liberté de devancer sa question.


  • J’ai dis à Sirius que Ron et moi voulions passer un peu plus de temps avec toi. Il a très bien compris. Voilà pourquoi je viens te voir, ajouta-t-il triomphant, les mains sur les hanches.

Oh ! Puisque son cher tonton lui avait enfin donné la permission de sortir en dehors des méandres de l’alcool et du sexe…


  • Et bien mon cher Harry, j’ai mieux à faire ce soir ! Je suis navrée mais je ne suis pas à ta disposition !

Et elle quitta son ami malgré les protestations qu’il fulminait à son égard.

La situation tournait enfin en sa faveur. Pendant tout ce temps, il avait préféré ses copains de débauche, et bien maintenant il en paierait les conséquences. Bien qu’au fond d’elle, Hermione n’était pas réellement sure à présent de vouloir s’enfermer entre quatre murs alors que ses amis étaient présents, sa fierté mal placée lui fit monter tout de même les marches qui la séparaient de ses appartements.

Au détour d’un couloir, elle sentit comme un souffle chaud contre sa jambe qui disparu presque aussitôt.

Elle inspecta les lieux un instant, mais rien n’attira son attention. Mais lorsqu’elle s’approcha du grand tableau et s’apprêtant à prononcer le mot de passe, la sensation d’être observé s’empara d’elle.

Elle se retourna lentement, très lentement. Derrière elle, deux yeux luisants la fixaient dans l’obscurité. Elle plissa le regard afin d’améliorer sa vue et un grognement sourd se fit entendre.


  • Ah ! C’est toi ! T’as rien de mieux à faire que traîner dans les couloirs Sirius ?

Mais il ne répondit pas. La pénombre qui l’enveloppait ne permettait à Hermione de distinguer que sa silhouette, lui certifiant bien qu’il s’agissait d’un animal. Elle voulu s’avancer mais la bête grogna de plus belle et la faible lueur d’une bougie sur le point de s’éteindre laissa entrevoir des crocs étincelants.

S’il s’était agit de Sirius, il n’aurait pas joué la comédie aussi longtemps.

La pourtant si courageuse Gryffondor n’en menait pas large. Elle fit quelques pas en arrière, en soutenant ce regard qui continuait à la dévorer et dans un murmure, elle prononça le mot de passe et se glissa rapidement dans ses appartements.

Son cœur battait à tout rompre et le souffle court, elle partit porter sa lourde cape dans sa chambre, mais encore une fois, elle n’était pas seule. Elle sentait à nouveau cette présence. Ici même. Dans sa chambre.

Elle ne bougeait plus. Elle ralentit le rythme de sa respiration, essayant de percevoir celle de l’inconnu qui avait osé pénétrer les lieux.

L’atmosphère devint pesante. Pas un bruit ne vint rompre le silence. Il fallait qu’elle se retourne. Sa baguette ? Ou avait-elle mis sa fichue baguette ?


- C’est ça que tu cherches ? Fit une voix rauque derrière elle.

  • Sirius ! Sale cabot, rends-moi ma baguette et fiche le camp.

Mais ce n’était absolument pas ce qu’il avait en tête. Il avança d’un pas pour entrer dans la pièce et referma doucement la porte derrière lui.


  • Crois-tu toujours que je ne sois pas assez leste ? J’ai quand même pu passer avant que le tableau ne se referme.

Pourquoi est-ce qu’Hermione sentait au plus profond d’elle-même qu’elle était comme en danger ? Après tout, le flair, ce n’est pas elle qui le possédait.

Sirius enfoui la baguette dans la poche arrière de son pantalon et fit encore quelques pas en direction d’Hermione. Celle-ci, par réflexe, recula.


  • Il va falloir que tu m’expliques ma belle. Tu nous fais tout un foin parce que je te « subtilise » tes amis, et quand enfin ils viennent te voir, tu les renvois. Ca t’amuse de les tourmenter ?

Il n’avait pas totalement tort. Mais de quel droit se permettait-il de lui en faire le reproche ?

Et puis, pourquoi continuait-elle à reculer comme une pauvre petite chatte face à un gros molosse ? C’était Sirius nom d’un chien !

D’un pas déterminé, elle s’avança pour passer la porte à laquelle il tournait le dos et retourner dans la salle commune mais Sirius la saisit violemment par le bras et la plaqua contre le mur.


- Penses-tu qu’il faille que je montre les crocs ? Lui demanda-t-il d’une voix si basse qu’elle cru qu’il venait de soupirer.

  • Lâches moi Sirius, c’est pas drôle et tu me fais mal.

Mais il resserra un peu plus l’emprise qu’il avait sur elle, lui faisant pousser un petit cri et s’approcha dangereusement de son oreille, et dans un souffle, lui chuchota.


  • Non Miss Granger…. Je ne vous fais pas mal….pas encore du moins….

Et il planta ses canines tendrement dans sa jugulaire.

Il ne la mordait pas, il suçotait chaque petit morceau de sa nuque comme s’il s’agissait de petits bonbons acidulés.

Hermione avait sursauté à ce contact et tentait de se débattre mais l’homme étai soudainement prit d’une force surhumaine.

Il glissa sa langue souple le long des courbes de son visage et après l’avoir gratifié d’un regard brûlant, lui prodigua un baiser passionné. Il força un instant l’entrée de ses lèvres, qu’elle se contraint à maintenir serrées, mais quand il passa un genou entre ses jambes et qu’elle ouvrit la bouche pour protester, il en profita pour s’insinuer à l’intérieur.

Lui maintenant les poignets avec force, Hermione serrait de plus en plus les poings sentant ses ongles infiltrer sa chair.

Elle ne voulait pas, mais son corps tout entier semblait crier le contraire.

Sirius plongea un instant ses yeux dans ceux de sa belle, auxquels elle lança un regard foudroyant.

Elle n’était pas encore prête à capituler ? Soit !

Il releva ses bras au dessus de sa tête et les maintint immobile d’une main robuste.

De sa main libre, il entreprit de déboutonner les quelques boutons du fin chemisier de sa victime, tout en continuant de la soutenir d’un regard qui en disait long sur ses intentions.

Croyant sa prise moins facile, Hermione tenta une fois de plus de se dégager, mais c’était mal connaître le toutou qui tenait fermement à ce que son os reste en place afin qu’il puisse tranquillement s’en délecter.


  • Ca…ça suffit maintenant stupide clébard, relâches moi ! S’écria-t-elle quand il commença à faire courir ses doigts sur les bords de la fine dentelle de son soutien-gorge.

Il se mit en grogner tel un chien qui couve sa proie et enfoui son visage contre sa belle poitrine pour arracher d’un coup de dent la douce prison de soie.

Hermione poussa un cri de stupeur quand il mordit doucement la petite protubérance de l’un de ses mamelons.

Ses doigts s’étaient à présent glissés sous sa jupe et cherchaient avidement le dernier rempart de sa forteresse interdite. Il ne mit pas longtemps à la trouver et avec la même fureur que précédemment, il l’ôta sans ménagement.

Puis, il s’arrêta, posant une main câline sur la hanche gracile de la demoiselle.

Elle le gratifiait toujours de son perpétuel regard furibond mais ses joues s’étaient empourprées d’une jolie teinte rosée, trahissant son émoi significatif.

Il glissa ses doigts le long de ses courbes parfaites en affichant un sourire carnassier, du genre « à quel sauce vais-je bien pouvoir la manger ? »

Il reprit sa course sur l’une de ses cuisses et remonta graduellement vers la douce chaleur de son entrejambe.

Une fois de plus, il marqua un temps d’arrêt, jouant de l’extrémité de ses doigts sur les prémices de la féminité de la rouge et or.


- N’y penses même pas sac à puce ! Cracha-t-elle, abattant ainsi sa dernière carte.

  • Bien, je vois que tu t’obstines à me traiter comme un vulgaire animal, je vais donc devoir agir en conséquence, ma belle .

Et il enfonça en elle deux doigts longs et fin, l’obligeant à se cambrer sous la caresse.

Elle ne pu retenir un long gémissement, qu’elle regretta presque aussitôt remarquant la lueur lubrique qui passait à l’instant même dans le regard de Black. Elle venait de se trahir, et il saisirait cette opportunité au bond.

Tout en continuant d’incessants vas et viens avec sa main, il l’embrassa fougueusement, remarquant que la réticence de la jeune fille s’amoindrissait à vue d’œil. Elle le laissait maintenant mêler sa langue à la sienne, et semblait même vouloir prolonger le baiser.

Mais il n’oubliait pas comment elle l’avait traité, et même si la demoiselle se montrait plus docile, il lui ferait ravaler ses bien vilaines paroles.

Il détacha l’emprise qu’il avait sur ses mains pour entourer sa taille fine de son bras valide. Comme il s’en doutait, elle ne chercha plus à se débattre, elle passa même amoureusement ses bras autour de sa nuque et le serra fort contre elle.

Mais dans un geste bestial, il la fit tourner et plaqua son dos contre son torse.

Elle pouvait sentir contre le bas de ses reins, la virilité effervescente de son tortionnaire. Il enserra ses bras sous sa poitrine et la maintint solidement contre lui.

Il s’approcha alors délicatement de son oreille, et lui mordant le lobe avec délectation, lui susurra :


  • Veux-tu vraiment que je te montre comment se comporte les chiens ?

Mais il n’attendit pas sa réponse, et d’un appui forcé des genoux, il lui fit plier les siens afin qu’elle tombe sur le sol, face contre terre.

Elle pouvait facilement deviner ce qui allait à présent se passer, mais elle ne se montra pas farouche et entreprit même d’élever timidement ses jolies fesses rebondies, invitant son amant à les saisir.

Sirius émit un petit rire satisfait et délicatement, il posa ses mains de chaque coté de son bassin afin de la relever à la hauteur de son bas ventre.

Elle put entendre le cliquetis de la ceinture de Sirius et le bruissement des vêtements lui procurèrent un frisson tout le long de sa colonne vertébrale.

Il s’approcha doucement de l’intimité offerte de la jouvencelle, et plaça un bras en appui juste à côté de son visage.

Il s’avança pour pouvoir à nouveau susurrer à son oreille :


  • Je sens que tu vas adorer ça !

Et dans un mouvement leste, il s’enfonça profondément en elle.

Sous la puissance du coup, Hermione perdit l’équilibre, mais un des bras de Sirius la maintint vertement en position.

Un feu brûlant se consumait en elle. Elle sentait ses jambes flageoler à chaque coup de rein mais son extraordinaire amant était là pour la soutenir.

Jamais elle n’avait ressentit pareille sensation. C’était comme si son âme et son corps se confondaient, comme si elle perdait pied, comme si elle se laissait envahir dans un gouffre écumant. Elle ne pouvait plus retenir ses cris, ce qui rendait son bourreau plus ardent. Elle pouvait sentir la poigne solide de ses mains puissantes sur ses hanches si frêles. C’était comme si ses os allaient se briser en de fins petits morceaux, mais elle s’en fichait, son plaisir l’envahissait de toute part et la douleur de ces doigts s’enfonçant dans sa peau n’était rien.

Sirius poussait à son tour des râles puissants, incontrôlés. Il passa un bras autour de la taille de sa jeune victime pour l’inciter à se redresser et se blottir tout contre lui, tendit qu’il continuait avec des vas et viens toujours plus forts et indépendants. Il saisit un de ses seins dans une prise enfiévrée et plongea ses lèvres dans la nuque élancée de la belle pour la mordiller tendrement.

Il n’en pouvait plus. Il sentait monter en lui un plaisir qu’il n’arrivait plus à contrôler. Ils retombèrent l’un sur l’autre et prenant appui sur ses deux bras, le long du corps parcouru de frissons de sa demoiselle, il paracheva son étreinte plus sauvage et plus bestiale que jamais.

Et dans un ultime cri de délivrance, il se répandit sur le corps ruisselant de la lionne.

Il avait la bouche sèche, la respiration rapide, l’esprit complètement embrouillé comme s’il émergeait d’un long sommeil salvateur.

Sa belle fermait docilement les yeux, cherchant à retrouver l’emprise de ses sens.

Jamais aucun des deux n’aurait pensé vivre cela.

Ils se sentaient à présent ravis, mais bien vite la réalité revint frapper à toute allure, et Hermione se sentit confuse, gênée… sale, dépravée.

Que venait-elle de faire ? Et de quelle façon ?

Sirius commençait également à prendre conscience de la chose, et un fort sentiment de culpabilité commença à germer en lui.


Ils se séparèrent l’un de l’autre aussi vite que leurs muscles endoloris le leur permirent, et chacun dans un coin différent de la pièce, ils laissèrent un silence inquiétant s’installer.


Depuis ce jour, Sirius ne vint plus chercher Harry et Ron à Poudlard, pourtant, certains soirs, quand la pénombre s’installe, que le silence se fait, que seul le grondement des escaliers trahit la quiétude des couloirs, on peut encore apercevoir une petite ombre noire, patientant sagement devant un grand tableau sombre, que l’on daigne à nouveau le laisser entrer….pour lui donner sa pâtée.


Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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Lundi 10 septembre 1 10 /09 /Sep 18:40

Le champion

Une aventure sexuelle de Harry Potter en quatrième année

D'après une idée originale de Ryuuku


Avec : Hermione Granger, Ginny Weasley et Viktor Krum






Ginny n'avait pas très envie de travailler ces temps-ci. Il faut dire qu'après la première épreuve du tournoi des trois sorciers, l'arrivée prochaine des vacances et la perspective du bal de Noël, l'ambiance à Poudlard avait rarement été aussi peu studieuse. La petite rousse avait bien envie d'aller voir Harry pour lui demander de venir avec elle au bal, mais elle n'osait presque plus s'approcher de lui ces temps-ci. La première épreuve l'avait rendu tellement célèbre qu'il était impossible pour une fille de s'approcher de lui sans s'attirer les regards foudroyants de jalousie de la gente féminine présente dans les couloirs. Harry ne se rendait compte de rien et seule Hermione, qui se moquait royalement de ce que les autres pensaient, pouvait rester avec lui à moins d'un mètre.

Ginny mourrait d'envie d'inviter Harry au bal. Elle espérait que les vacances lui donnerait une occasion de le faire. Pour l'instant, elle avait la vague idée d'aller à la bibliothèque prendre un peu d'avance sur ses devoirs, notamment celui de potion où elle devait décrire les particularités de la carbonite filandreuse.

Elle était à peine arrivée dans le couloir que six filles sortaient de la bibliothèque dans le plus grand désordre, suivie d'une madame Pince au bord de l'explosion de nerfs.


« Sortez d'ici ! Vous vous croyez dans un poulailler ma parole.

_ Madame s'il vous plaît... commença l'une d'elles.

_ Rien du tout ! Je ne veux plus vous voir ici !

_ Mais c'est Viktor Krum...

_ Merlin serait ici en personne que je ne tolérerai pas autant de bruit dans ma bibliothèque de la part de petites dindes. »


Madame Pince tourna les talons sous les regards indignés des admiratrices de Krum qui se plantèrent dans le couloir en attendant que la cible de toutes leurs attentions sortent à son tour.

Hermione lui avait parlé de ces greluches qui suivaient l'attrapeur bulgare dans le moindre de ses déplacements. Ginny baissa la tête pour ne pas éclater de rire en passant devant les filles. Cela lui parut immédiatement plus facile en voyant le visage de la bibliothécaire sur lequel on lisait une véritable fureur prête à éclater à la moindre occasion. La petite rousse se jura bien de ne pas être celle qui lui donnerait l'opportunité de tout lâcher car cela risquait d'être effroyable. Elle se dirigea, le dos bien droit et d'un pas sec de fille sérieuse, vers les rayons des livres de potions en passant devant l'entrée de la réserve. Si la bibliothèque n'était pas l'endroit le plus sollicité de l'école, et encore moins ces derniers temps, la section « potion » était de loin celle avec laquelle les élèves préféraient mettre le plus de distance possible. Dans cette période de relâche généralisée, l'on y croisait guère plus qu'une seule personne : Hermione Granger. Ginny la trouva assise sur un tabouret en train d'essayer de déchiffrer un vieux grimoire poussiéreux.


« Salut Hermione

_ 'jour !

_ Tu n'as pas l'air d'être en forme.

_ C'est cet imbécile de Krum qui est encore là avec son fan club. Je suis obligée de venir ici pour lire tranquillement mon livre d'enchantement.

_ Ce n'est plus un problème. Je les ai vu se faire jeter en arrivant.

_ Même Krum ?

_ Non, juste les filles. Pourquoi ?

_ Euh... non pour rien. Tu cherches quoi ?

_ Un bouquin qui expliquerait les fonctions de la carbonite filandreuse. Tu en connais un bon ?

_ Oh oui ! Il y a un livre qui regroupe des informations sur toutes les plantes qui sont étudiées en troisième année. Attends. »


Toujours ravie d'aider ceux qui cherchent un livre, en particulier Ginny, Hermione se leva et se plaqua contre les rayons sur la pointe des pieds.


« Voyons... Où est-il ? Marmonna Hermione tout en passant ses doigts sur les reliures des livres. Pas étonnant que personne ne le trouve là haut.

_ Hm hm ! »


La petite rousse acquiesça sans vraiment écouter ce que disait Hermione. En se levant, son amie n'avait pas remarqué qu'un bout de sa jupe s'était coincée dans l'élastique de sa petite culotte, dévoilant presque complètement l'une de ses jambes. Ginny, qui avait toujours apprécié les jolies formes de la brune, trouva que la voir s'étirer ainsi pour attraper le livre lui donnait une pose des plus innocemment indécentes. Elle n'y résista pas et passa une main sous le tissu pour caresser la douce et chaleureuse rondeur du petit fessier de la belle. Hermione eut un sursaut de surprise mais n'osa pas bouger.


« Ginny ! Murmura-t-elle. Qu'est-ce que tu fais ?

_ Pardon, c'était trop tentant. Et tu sais que je ne te résiste pas. »


La petite rousse était très excitée de faire glisser le fin tissu de la petite culotte sur la peau satinée du délicieux postérieur. Hermione émit un petit soupir.


« Allez, arrête. Si jamais quelqu'un vient...

_ Hermione ! Tu sais que je t'adore alors ne va pas le prendre mal, mais les autres prennent des bouquins plus simples. Tu es la seule à traîner devant ces vieux livres.

_ Heu... parrrdon ! »


Surprises, presque choquées, les deux filles se figèrent. Elles tournèrent la tête dans la direction d'où venait la voix grave. Viktor Krum les observait, rouge jusqu'aux oreilles et son pantalon étrangement déformé à l'entrejambe. Comme soudainement électrisée, Ginny retira sa main de sous la jupe d'Hermione et remit le vêtement correctement tandis que la brune reposait les talons au sol en serrant le livre qu'elle avait finalement attrapé contre sa poitrine. Aucune des deux n'osaient regarder le bulgare en face.


« Parrrdon... je tombé mal... euh... je voulais... parrrler à Ermio...

_ Hermione ! Corrigea celle-ci en rougissant à son tour. Euh... pourquoi ?

_ Voulais savoirrr si... si toi voulais venirrr au bal avec moi !

_ Qui ? Quoi ? Moi ?

_ Euh... oui !

_ C'est que... Je...

_ Ben accepte Hermione, lui souffla Ginny qui commençait à trouver la situation amusante.

_ Je... Mais enfin... Non ! »


Sans rien dire de plus, Hermione partit en courant et disparue derrière l'angle d'une armoire.


« Errrmion ! »


Krum voulut s'élancer à sa poursuite mais percuta brutalement Ginny qui n'eut pas le temps de l'esquiver. La petite rousse tomba à la renverse.


« Parrrdon, fit-il en revenant vers elle ! Toi as mal ?

_ Non ce n'est rien. »


Le bulgare lui tendit une main et la releva sans difficulté. Avec sa carrure athlétique, Krum ne mesura pas sa force pour soulever un poids plume comme Ginny et elle se retrouva plaquée contre son torse puissant. S'il y avait bien une chose que la petite rousse appréciait autant que de caresser Hermione, c'était de sentir le corps d'un beau garçon contre elle. Sans compter que le bassin de l'attrapeur, qu'elle sentait contre son ventre, n'avait pas faiblit. Elle était comblée. Et le serait encore plus en trouvant le moyen de le garder avec lui.

Au diable la carbonite filandreuse. Il faut parfois savoir saisir sa chance. Ginny entoura la taille de Krum de ses bras.


« Finalement, moi ça me va comme ça.

_ Quoi ? Non... moi je veux Errrmion pourrr le bal.

_ Et qu'est-ce qui t'en empêche ? Hermione et moi on partage beaucoup de choses comme tu as dû le remarquer.

_ Non ! Je veux juste Errrmion !

_ Pourquoi ? Je ne te plaît pas moi ? »


Ginny s'écarta un peu en faisant une petite moue boudeuse savamment calculée. Krum fut déstabilisé comme il convenait.


« Euh... si ! Toi es trrrès mignon !

_ Mi-gno-nneuh ! En ce qui me concerne, je préfère. Alors où est le problème ?

_ C'est Ermion-euh que je aime !

_ Moi aussi ! Si tu la connaissais, je suis sûr que tu ferais moins de difficultés. Crois-moi, elle ne t'en voudra pas de passer un moment avec moi. Elle apprécierait même plutôt.

_ Je ne sais pas...

_ Moi je sais, ne t'en fais pas. Et puis si tu la veux vraiment comme cavalière au bal, je pourrai lui en glisser un mot. Elle écoute souvent mes conseils.

_ C'est vrai ?

_ Oui. Mais elle aime les garçons gentils. Alors il va falloir me prouver que tu es très gentil. »


La petite rousse se resserra contre le bulgare. Malgré ses protestations, sentir le corps de la jeune fille contre le sien le conservait au garde à vous. Krum dut admettre que lui faire plaisir serait loin d'être une contrainte pour parvenir à Hermione. Il scella son accord en l'entourant de ses bras et en s'emparant de ses lèvres. « Enfin » pensa Ginny qui commençait à sentir que s'il s'entêtait dans son refus, elle allait se jeter sur lui et arracher ses vêtements. Mais il semblait dans de bien meilleurs dispositions maintenant qu'une de ses mains se posa sur le bas de ses reins et que l'autre allait doucement à la rencontre du côté face. « Il la veut vraiment son Hermione » se dit la jeune fille devant tant d'empressement. La petite rousse se sentit un peu coupable d'agir de la sorte. Mais après tout elle ne lui avait pas menti. Elle parlerait pour lui à Hermione et celle-ci ne verrait aucun inconvénient à ce qu'ils s'apprêtaient à faire. Elles avaient déjà partagés le lit d'un même garçon ou d'une même fille.

Ginny dut rompre le contact avec le bel attrapeur.


« Viens, dit-elle ! Il y a un endroit encore plus sûr qu'ici, c'est dans la réserve. »


Après s'être assurés que personne ne regardait dans leur direction, ils franchirent le cordon de l'entrée de la réserve et s'enfoncèrent entre les étagères pleines de vieux livres à l'apparence inquiétante. Ce n'était pas vraiment un endroit très romantique mais cela conviendrait. La petite rousse voulait reprendre au moment précis où ils s'étaient arrêtés mais Krum l'avaient déjà enlacé par derrière et posait de petits baisers dans son cou. L'une des mains du bulgare reprit le massage de sa féminité à travers la jupe tandis que l'autre s'emparait des petites rondeurs de sa poitrine. Ginny trouva que l'attrapeur ne semblait pas agir contre son gré, ou alors c'est qu'il était aussi très bon acteur. Mais elle doutait qu'il puisse réunir tant de qualités car elle supposait qu'il allait aussi être un très bon amant.

Krum retroussa sa jupe avec une avidité qu'il ne pouvait cacher. Ginny se pencha et prit appui sur le rebord de la fenêtre qui leur faisait face. Il enleva la petite culotte d'un coup, l'arrachant presque, et s'agenouilla. Sa langue s'en alla goûter avec passion au trésor le plus précieux de la petite rousse qui fut plus que ravie de l'excitation de son amant. Krum semblait ne pas vouloir perdre la saveur du moindre millimètre de la douceur intime de sa partenaire. Ginny devait convenir qu'il faisait là un meilleur usage de sa langue que lorsqu'il s'essayait à parler. Oui, bien meilleur.

Rapidement la petite rousse laissa la jouissance l'envahir. Le bulgare était indéniablement doué. Il se releva et s'empara des hanches de la jeune fille, prêt à passer à la suite. Mais Ginny se retourna et tempéra un peu ses ardeurs. Elle voulait prouver qu'elle n'avait pas l'intention d'abuser des rêves de l'attrapeur concernant la belle Hermione. Elle ne voulait pas qu'il lui donne simplement du plaisir, mais qu'ils le partagent. La petite rousse s'agenouilla à son tour et déboutonna le pantalon de Krum qui n'en attendait visiblement pas tant de sa part. Depuis tout le temps qu'elle l'avait senti contre elle, Ginny n'avait eu qu'une idée : Libérer le bel organe de l'athlète et se laisser aller à la gourmandise. Et elle ne fut pas déçue.


« Et bien... euh... woaw !

_ Quoi ? Fit Krum inquiet. Quoi ne va pas ?

_ Non, rien, répondit-elle précipitamment. Rien du tout. Tout va très bien. »


Elle s'empressa d'enfermer la superbe virilité entre ses lèvres. Malgré tout ses efforts, elle ne put descendre plus loin que la moitié du pieu de chair. Cela ne l'empêcha pas de le trouver délicieux et Krum de pousser des gémissements montrant sans ambiguïté son contentement. Ginny déployait tout son savoir faire pour convaincre le bulgare qu'elle n'était ni une égoïste, ni une profiteuse. Avec tant de bonne volonté, le jeune homme comprit parfaitement le message. La jolie rousse allait et venait avec ardeur, faisant voler ses cheveux écarlates autour de son visage d'ange. Krum se crut en plein rêve alors que son plaisir commençait à bouillonner dans ses entrailles. Il se raidit. La jeune fille reconnue les signes précurseurs de la jouissance masculine et s'arrêta soudain.

L'attrapeur en poussa un gémissement de dépit tandis qu'elle se relevait. Mais il fut ravi de la voir ensuite ouvrir son chemisier. Il saisit sa taille fine et la pressa contre lui pour l'embrasser. Ses mains s'affairèrent à finir de la déshabiller tout en la caressant à chaque endroit qu'il dénudait. Ginny n'était pas en reste et le débarrassait du reste de son uniforme. A peine l'eut-elle délivrer de son dernier vêtement (dont elle ignorait même ce qu'il pouvait être tant son esprit pensait à la suite du programme) que Krum la souleva en l'attrapant sous les cuisses. La petite rousse sentit la masculinité glisser contre son ventre puis près de son antre de douceur. L'athlète la maintenait ainsi sans difficulté, à quelques dixièmes de millimètres seulement du plaisir tant désiré. Ginny n'en pouvait plus. Elle lui lança un regard de suppliciée implorant la pitié. Le jeune homme eut un petit sourire et la laissa s'abattre sur son instrument de jouissance. La jolie rousse ne put retenir un cri qu'elle tenta d'étouffer contre l'épaule de son amant en sentant le membre majestueux se frayer difficilement un chemin dans son ventre. Elle s'accrocha au cou de Krum tandis que celui-ci donnait de petits coup de reins tout en la faisant doucement aller et venir à sa rencontre à la seule force de ses bras.

Au bout d'un court instant, Ginny sentit les choses devenir plus faciles, plus agréables et elle se mit à accompagner les mouvements de l'attrapeur. Mais elle ignorait que Krum attendait qu'elle se détende pour en arriver aux choses vraiment sérieuse. Petit à petit, il fit augmenter la cadence. Il opéra d'une manière si graduelle que la petite rousse ne s'en aperçut que lorsque la chevauchée épique était incontestable. Elle mit également tout ses efforts dans leur étreinte désormais vraiment bestiale. Ginny sentait une chaleur intense embraser toute sa peau. De petites gouttes de sueur perlaient et s'écoulaient le long de ses côtes. Elle s'empara de la tête de Krum et se mit à ruer de plus belle sur le mat si vigoureux, allant du gland à la garde avec un acharnement proche de la frénésie. Elle sentait l'orgasme proche. Il arrivait comme un cheval au galop dont les sabots frapperaient le sol au rythme de la rencontre de leurs sexes. Lorsqu'il franchit la ligne d'arrivée, Ginny le va la tête en laissant échapper un cri. C'est à ce moment-là qu'elle aperçut Hermione.



La jolie brune, les joues empourprées, regardait fixement sa meilleure amie jouir de plus belle dans les bras de celui qui lui avait demandé d'être sa cavalière. Krum sentit que quelque chose n'allait pas et se retourna. Son visage devint livide. Il était là, devant la belle Hermione, son membre enfouit dans le creux le plus secret d'une autre fille. Ginny avait perdu le contrôle d'elle-même. Elle était en train d'avoir un orgasme multiple alors qu'ils ne bougeaient plus et que Hermione la regardait toujours, constatant ce qu'elle devait bien appeler une trahison. La petite rousse s'était peut être un peu laissée emporter par ses sens aux abois lorsqu'elle avait dit que son amie et elle partageaient beaucoup de choses. Après tout, c'était plutôt rare qu'une célébrité internationale croise leur route. Et à peine la jolie brune avait-elle tourné les talons qu'elle s'était jetée sur le joueur de quidditch. Le plaisir qu'elle avait tant espéré n'en finissait plus à présent et elle se sentait tellement honteuse sous le regard d'Hermione que les larmes lui vinrent aux yeux.

La brune s'approcha d'eux. D'un mouvement maladroit, Krum déposa Ginny au sol qui n'osa pas regarder son amie.


« Je... j'étais venu te rendre... ça, fit Hermione en tendant le livre de potion qu'elle avait trouvé lors de l'arrivée du bulgare.

_ Je... oui... merci... »


Ginny savait qu'Hermione mentait. Elle cherchait Krum. Elle s'était ressaisie et avait finalement accepté d'être sa cavalière.


« Errrmion..., murmura l'attrapeur

_ Hermione ! Tu veux toujours de moi pour le bal ?

_ Ou... oui... bien sûrrr !

_ Alors c'est d'accord !

_ Ah ? Euh... bien... d'accorrrd Ermion !

_ Hermione ! »


La petite rousse sentit qu'elle était de trop. D'ailleurs elle l'avait été depuis le début finalement. Elle attrapa rapidement ses affaires et voulut partir avant que ses larmes ne coulent vraiment mais Hermione lui attrapa le bras.


« Où tu vas Ginny ?

_ Oh... Hermione... je suis désolée... je... je voudrais m'enterrer dans un trou. Je sais que tu ne pourras pas me pardonner... c'est normal...

_ De quoi tu parles ?

_ Mais... je t'ai trahi ! C'est toi qu'il voulait ! Et moi j'en ai profité ! Si tu savais comme j'ai honte !

_ Je ne vois pas pourquoi. »


D'un mouvement sec, Hermione attira Ginny contre elle et l'embrassa passionnément. La petite rousse ne comprit pas ce qui lui arrivait et ne bougea pas jusqu'à ce que la jolie brune libère ses lèvres.


« Tout ça me prouve juste que c'est un garçon qui a beaucoup de goût pour les filles ! »


Ginny sentit son coeur faire un bond de joie. Elle lâcha ses vêtements et embrassa Hermione à son tour.

Krum s'avança alors pour participer à l'heureuse résolution de l'évènement mais la brune avait une petite idée derrière la tête. Elle demanda au bulgare d'aller s'asseoir sur une table juste à côté.


« Pour l'instant, regarde seulement. Je pense que tu ne le regretteras pas. »


Totalement sous le charme de la jeune fille, l'attrapeur lui obéit sans rien dire et sans même comprendre pourquoi elle lui faisait une telle demande. Ginny, elle, l'avait bien compris et s'en trouvait très excitée. Un frisson parcourut sa colonne vertébrale lorsque Hermione posa les mains sur ses hanches. Sans dire un mot, la petite rousse se mit à déboutonner le chemisier de son amie, sous le regard impatient, et prévisible, du garçon. La jolie brune s'adossa aux rayonnages de livres tandis que Ginny l'effeuillait doucement, embrassant la si douce peau de la belle et en prenant grand soin que Krum n'en manque pas la moindre miette.

La petite rousse libéra d'abord la jeune et tendre poitrine d'Hermione et la savoura allègrement en jetant de petits regards coquins en direction du bulgare. Ginny ignorait comment il pouvait encore se retenir de se jeter sur elles. Il avait la respiration haletante mais restait héroïquement assis. La jeune Weasley passa donc naturellement à l'étape suivante. Elle glissa ses mains dans l'élastique de la jupe et dans celui de la petite culottes. Puis elle descendit lentement, faisant glisser les vêtements le long des jambes tout en laissant sa langue passer entre les deux beaux seins, parcourir le ventre plat et ferme avant de continuer son voyage vers la douce vallée un peu plus bas. Lorsque les lèvres de Ginny se mirent à jouer avec son petit bouton d'amour, Hermione laissa échapper un long gémissement de plaisir et posa un regard sulfureux sur Krum. L'attrapeur se leva d'un bond, il n'attendait que ça. Il enlaça la jolie brune et s'empara de ses lèvres avec fièvre. Hermione, quant à elle, ne résista pas à l'envie qu'elle avait de prendre le membre en main et se mit à le frictionner doucement. Le bulgare quitta alors sa bouche pour aller goûter les jolis fruits défendus que Ginny avait croqué avant lui.

La petite rousse commençait d'ailleurs à trouver désobligeante l'inattention qu'on lui portait. Accroupie entre le couple, elle devait se tordre le cou pour continuer sa dégustation de la savoureuse féminité d'Hermione. Elle se mit à caresser les testicules de Krum pour rappeler sa présence mais celui-ci était si obnubilé par les seins de la jolie brune qu'il ne pouvait pas compter les mains qui s'occupaient de ses parties intimes. Ginny décida d'y aller un peu plus fort. Sans pour autant relâcher les bourses de l'attrapeur, elle envoya ses doigts à la recherche du puit secret d'Hermione que deux d'entre eux investirent sans tarder.


« Ooooh... Ginny... petite vicieuse..., murmura-t-elle

_ Pfarrrdonf ? Fit Krum qui ne pouvait pas lâcher la superbe poitrine de la jeune fille.

_ Euh... Allons sur la table, s'il te plaît ! »


Ils s'écartèrent un peu et la jeune Weasley put se relever en se massant la nuque. Posant les mains sur leurs petits derrières attrayants, Krum accompagna les filles jusqu'à la table.

Hermione avait les idées très claires sur la suite des évènements et dirigea son monde avec rapidité, pressée par le feu qui lui brûlait les entrailles. Elle fit installer Ginny à quatre pattes sur la table et s'allongea sous elle, la tête à la hauteur du joli petit coquillage écarlate. Sans plus attendre, elle laissa sa langue assouvir sa soif à la source qui jamais ne tarit tout en écartant les cuisses pour indiquer la suite du programme au garçon qui l'avait deviné bien avant. La petite rousse sentie les lèvres de son amie se pincer sur son bouton d'amour lorsque le bulgare entra en elle. En sentant les mains d'Hermione trembler sur ses petites fesses et le souffle de la jolie brune se perdre dans son intérieur intime, Ginny comprit que Krum n'avait rien perdu de sa vigueur. Et il le lui prouva lorsque sa langue rejoignit celle de sa camarade sur sa féminité pour l'explorer en profondeur. Les sens des futurs cavaliers commençaient à prendre le dessus sur leur raison et leur étreinte devenait peu à peu aussi enragée que celle qu'avaient connu l'attrapeur et la petite rousse lorsqu'ils étaient seuls. Sauf que leurs bouches trouvaient un parfait exutoire à leur passion dévorante sous la forme de la douce intimité de Ginny. La jeune Weasley sentait tout son corps frémir sans pouvoir l'en empêcher tandis que les deux gourmands semblaient la dévorer.

Elle ne sut pas comment mais, lorsque Hermione écarta ses fesses, elle fit comprendre à Krum ce qu'elle souhaitait sans relâcher la délicieuse petite vallée. Le bulgare, lui, la quitta et remonta entre les deux collines de chair tendre pour aller goûter à la surprise qu'elles cachaient. Ginny laissa le garçon s'amuser quelques minutes ainsi puis se mit à tortiller son joli petit derrière pour signifier qu'elle en attendait plus. Le couple dû se concerter du regard car Hermione glissa alors pour que sa tête arrive à la hauteur de celle de la petite rousse et attira le torse de celle-ci contre le sien, tandis que Krum montait à genoux sur la table et s'emparait des hanches de la jeune Weasley. La jolie brune s'approcha de l'oreille de son amie.


« Creuse bien les reins ma mignonne ! »


Puis elle baîllonna Ginny de ses lèvres tandis que le gland de l'attrapeur pressait déjà son petit anneau. La petite rousse était assez étroite et le bulgare dut entrer en elle avec douceur, donnant des à coups, allant un peu plus loin à chaque fois. Ginny, haletante, se sépara des lèvres d'Hermione lorsque enfin le garçon fut pleinement en elle. La jolie brune la laissa respirer le temps des premières allées et venues de Krum dans son dos. Puis elle reprit ses baisers en envoyant une main vers l'antre secrète de son amie pour l'explorer de ses doigts habiles.

Ginny se sentait doucement défaillir. La douleur qu'elle avait d'abord ressentie dans ses reins était devenue un violent plaisir. Sa poitrine se frottant en cadence contre celle d'Hermione l'excitait presque autant que les doigts de cette dernière dans son intimité. Elle sentit la jouissance arriver et se mit à aller au devant des coups de boutoir avec acharnement. Très vite, elle poussa un cri rauque et s'effondra sur Hermione, épuisée. Cette dernière retira ses doigts et goûta le délicieux miel que la jeune Weasley y avait laissé. Krum se retira également et Ginny lui jeta un regard coquin.


« Apporte-moi nos baguettes, s'il te plaît. »


Le bulgare s'éxécuta tandis que la petite rousse se tournait souriante vers son amie.


« A ton tour maintenant ! »


Ginny s'assit au bord de la table et prit les baguettes transformant la sienne en gode à double extrémité. Elle en fit pénétrer une dans son intimité et invita Hermione du regard. Celle-ci ne se fit pas prier. La petite rousse la prit par les hanches et la positionna dos à elle, insinuant l'extrémité libre du gode entre les deux monts des merveilles. Lorsqu'elle le sentit près de son puit secret, Hermione s'assit brusquement et s'empala d'un seul coup sur le membre factice. Puis elle se mit à remuer de haut en bas, Ginny étant encore trop fatiguée pour agir.


« Bien, fit la petite rousse en prenant la baguette d'Hermione. Mais ce n'est pas tout à fait le même calibre que ton cavalier. Amplificatum ! »


Le gode gonfla d'un coup et la jolie brune laissa échapper un cri de surprise. Mais la jeune Weasley passait déjà à la suite en écartant les cuisses de sa camarade.


« A toi mon grand ! »


Krum prit un peu de temps pour regarder toute la beauté d'Hermione en pleine extase, puis il s'approcha du couple et enlaça sa cavalière. Son membre vint se frotter au plus précieux trésor de la jolie brune et il entra en elle pour leur plus grand plaisir.

Soutenue par le puissant bulgare, Hermione accéléra la cadence avec vigueur. Ginny s'accrocha à ses superbes seins pour tenir le rythme tandis que Krum n'était même pas essoufflé. La jolie brune ne contrôlait plus son corps. Il lui aurait été impossible de s'arrêter même si elle l'avait voulue. Mais de toute façon, elle ne souhaitait ça pour rien au monde. Elle embrassa son amant, jouissant autant de partager l'union de leurs langues que de celle de leurs sexes. Elle sentait le souffle chaud et rapide de Ginny sur sa nuque. La petite rousse était à nouveau aux portes de l'orgasme mais Hermione ne voulait plus la laisser aller toute seule. Elle serra ses cuisses autour de la taille de son cavalier et contracta tous les muscles de son bassin. Krum se sentit soudain prit dans le plus délicieux des étaux. Il ne ralentit pas ses coups de reins pour autant. La jolie brune continuait d'onduler ses hanches avec vigueur. Ginny lâcha finalement prise et s'affala sur la table, laissant son amie agiter seule le gode en elles.

Hermione n'en pouvait plus. La jouissance lui taraudait le bas ventre. Elle sentait La petite rousse également proche de l'extase. Krum lui semblait toujours tenir bon mais sa respiration s'accélérait de plus en plus et son étreinte se resserrait encore sur sa cavalière. Hermione s'agrippa à sa tête, n'ayant pas trop à le forcer pour qu'elle descende contre sa jeune poitrine. La bouche de l'attrapeur attrapa la pointe de l'un des seins et s'en délecta. La jolie brune le sentit enfin se raidir de tout son corps. Elle même n'en pouvait plus et relâcha enfin toute la tension qu'elle avait accumulé en attendant l'instant de partager sa jouissance avec son amant. Krum poussa un long râle de plaisir en se libérant dans le petit ventre d'Hermione qui elle-même se mordit les lèvres au même instant pour ne pas être entendu. Derrière elle, Ginny poussa un couinement de souris tout en se laissant également gagner par une vague de volupté.

Le trio resta allongé quelques minutes sur la table, se cajolant les uns les autres par des baisers et de tendres caresses. Puis ils se décidèrent à se rhabiller. Ginny fut la première à être prête, les deux autres ayant bien du mal à se lâcher suffisamment longtemps pour enfiler plus d'un vêtement à la minute. Elle décida de partir sans les attendre.


« J'espèrrrre qu'on se reverrra avant le bal ? Fit Krum.

_ Evidemment ! Mais pourquoi parler de se revoir alors que l'on ne s'est pas encore quitté ?

_ Eh bien il nous faut rrentrrrer. Toi à grrryffondorrr, moi au bateau.

_ Rien ne presse. Après tout, je t'ai testé comme cavalier mais pas encore comme monture.

_ Quoi ?

_ Allonge-toi ! »


Le bulgare n'en croyait pas ses oreilles. Il se demanda s'il n'était pas en train de rêver. Et comprit que ça n'avait pas la moindre importance lorsque Hermione mit à nouveau la jeune beauté de son corps à nue.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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Mardi 15 mai 2 15 /05 /Mai 16:53
Encore un petit mot, vraiment rapide cette fois, étant donné qu'il n'est plus besoin de présenter Bibi-chan et sa merveilleuse fiction. Juste une précision donc, elle a elle-même fournit les illustrations pour son histoire. Merci encore à elle et bonne lecture.

Contribution de Bibi-chan
Nymphésis : sex toy part 2

 

WARNING!!



Je vous rappelle que tous rapports anaux (merci de penser à utiliser la VASELINE et de ne pas faire comme les PORNOS), buccaux (pour le cunnilingus, il existe la digue dentaire, qui est un bout de latex prévu en conséquence, sinon, employez un bout de préservatif en l'étirant), ou vaginaux sans protection sont des rapports à RISQUE! N'imitez donc pas les protagonistes de cette histoire qui ont un comportement des plus dangereux.

Mais heureusement pour nous, ceci est une fiction.

A part ça, enjoy et n'oubliez pas: La capote est votre meilleure copine ! ^-^

 

 

Hermione revenait de la salle de bain après avoir tenté de calmer l’appétence de ses sens avec une douche bien froide. Avant de se glisser dans la chaleur de ses draps, elle avait revêtu son éternel pyjama en coton blanc, version jeune femme célibataire depuis trop longtemps, sur lequel étaient imprimés de fiers petits lapins roses gambadant parmi les fleurs. Comme tous les samedis soir, elle allait bien entendu s’adonner à sa très attendue caresse hebdomadaire en solitaire, mais elle décida de parachever la masturbation de son esprit – déjà fortement stimulé par les visions qu’elle avait eues – en continuant la lecture d’un livre récemment acquis, intitulé “Nymphésis, Sex Toy”. L’action de ce dernier se déroulait au cœur d’un monde gouverné par les femmes, où les hommes étaient réduits à l’état de simples reproducteurs et jouets sexuels pour ces dames. Notre jolie Gryffondor s’identifiait d’ailleurs totalement à l’héroïne de ce roman : Nymphe, jeune Impératrice de dix-sept ans. Nymphésis était le nom attribué au favori de celle-ci – place très convoitée par les mâles puisque ce statut privilégié leur permettait de bénéficier de nombreux avantages. Son dernier préféré s’étant fait trop paresseux à son goût, Nymphe avait décidé d’en changer et était allée à Jouetclub’s Marché afin de s’en procurer un tout neuf. Hésitante entre deux jouvenceaux d’une époustouflante beauté, respectivement prénommés Dan et Tom, elle avait fini par tous deux les acheter et s’était empressée de retourner au palais en vue de les tester un par un. Car nul ne pouvait prétendre au titre de favori avant d’avoir fait ses preuves auprès de la souveraine.

 

   Cette œuvre, très inspirée, avait été écrite par une certaine Bibi Tchane – encore un nom à coucher dans la cabane hurlante me direz-vous –, piètre auteur plus connue pour ses scènes cochonceteuses que pour ses intrigues débordantes d’originalité. Mais cela importait peu à notre mignonne Rouge et Or, qui adorait littéralement ses écrits pour tous les détails fournis quant aux ébats charnels entre les divers protagonistes. Elle était d’ailleurs rendue à un passage des plus émoustillants, qui décrivait ledit Tom en train de faire passionnément et sauvagement l’amour à sa belle dans toutes les positions inimaginables, démontrant ainsi ses excellentes qualités d’amant. Qui plus est, ce dernier ayant étrangement les caractéristiques physiques d’un certain Malefoy, elle commençait sérieusement à se représenter l’action en imaginant ce cher Serpentard la posséder de la même façon que le jeune premier du livre précité.

 

Malefoy…Sex Toy…, songea-t-elle.

 

Tiens, ça rime !

 

   Elle quitta des yeux un instant sa bible sexuelle pour se remémorer la torride scène qu’elle avait pu voir un peu plus tôt. Bon sang, d’après les gémissements de la Poufsouffle, se faire monter par le Vert et Argent devait être une sacrée partie de plaisir ! D’autant qu’elle n’avait jamais testé une autre position que celle du matelas-vivant, plus communément appelée “missionnaire”, tandis que celle à quatre pattes lui semblait beaucoup plus intéressante ! Elle repensa alors à son amie Ginny qui, tout comme elle, avait paru des plus frustrées ces derniers temps pour soudainement afficher en début de semaine une mine rêveuse et satisfaite. A ce changement, elle avait prétexté avoir simplement passé une excellente soirée à jouer aux Dominos en toute innocence avec Harry et Drago, qui-passait-par-là-comme-par-hasard-et-aurait-eu-une-subite-fascination-pour-ce-jeu-Moldus, selon elle.

 

Ouais, c’est ça…Je suis sûre que tu as dû sacrément t’amuser à les enchaîner les Dominos ! se dit-elle, légèrement vexée.

 

   A quoi servait une amie si elle n’était pas fichue de vous indiquer les bons plans ?! Elle aurait pu au moins lui avouer que leur ami commun savait se rendre profondément utile auprès de la gent féminine aux vues de ses naturelles dispositions ! Et surtout : que l’autre serpent à sonnettes savait apparemment très bien manier son corps de reptile – de la tête à la queue – pour se mouvoir avec autant d’aisance et faire ainsi prendre son pied à une petite chanceuse, comme elle-même n’avait jamais encore joui ! Certes, elle n’avait cessé de clamer à ses amis qu’elle le détestait afin de les rejoindre dans leurs opinions de parfaits Gryffondors, mais c’était pour mieux dissimuler ce qui la rongeait en réalité intérieurement. Car la demoiselle était contaminée par une étrange maladie qui se révélait extrêmement contagieuse dès l’âge de la puberté atteint : l’irrésistible inclination pour les sexy mauvais garçons ; Malefoy étant l’incarnation même de cet archétype, d’après elle. Il était évidemment hors de question de révéler ce penchant à ses acolytes, qui y auraient vu là folie pure et traîtrise hormonale. Cependant, la récente découverte de la complicité sexuelle qu’entretenait Harry avec son ennemi, conjuguée à sa certitude que Ginny s’était envoyé dernièrement le beau Serpy, lui faisait à présent songer à réviser sérieusement sa position. Pourquoi resterait-elle dans l’ignorance du plaisir, quand ledit Bad Boy semblait tout à fait prêt à lui donner ce qu’elle souhaitait ?

 

Quelle conne ! J’aurais dû essayer de me le faire bien avant !

 

   Un bruit mat vint tout à coup la sortir de ses libidineuses pensées. Elle tourna donc la tête vers la provenance de ce son et son cœur bondit dans sa poitrine en découvrant l’objet de ses refoulées envies à sa fenêtre, chevauchant crânement son balai dans les airs et arborant un sourire malicieux.

 

« Malefoy ? » murmura-t-elle, les yeux écarquillés de surprise, en reposant son livre sur le lit.

 

   Curieuse de connaître la raison de sa venue, Hermione ne se fit pas prier pour aller ouvrir la fenêtre et vit le Serpentard s’engouffrer immédiatement dans la pièce sans même attendre d’y être invité.

 

« Fais comme chez toi ! lança-t-elle sarcastiquement, pour marquer son impolitesse, en notant la douce fragrance qu’il avait laissée en passant devant elle.

 

— Merci, c’est bien ce que je compte faire ! répondit-il sur un ton identique, en posant son balai sur le bureau.

 

— Pardon ?! »

 

   Elle n’eut pas le temps d’ajouter quoi que ce soit qu’il avait déjà sorti sa baguette de la poche arrière de son pantalon noir et jeté un sort d’insonorisation, pour ensuite sceller porte et fenêtre d’une autre formule magique. Puis il plongea ses iris pétillants de concupiscence dans ceux étonnés de la jeune fille et dit avec facétie :

 

« Potter m’a confié que tes camarades de chambre n’étaient jamais là le samedi soir… Alors j’ai pensé que tu avais peut-être besoin de compagnie ? »

 

   Déconcertée, elle hésita quelques secondes avant de répliquer :

 

« Ta Poufsouffle t’a laissé en plan pour que tu viennes me voir, ou quoi ? Tu es encore en manque ?!

 

— Elle est toujours là-bas si tu veux tout savoir, rétorqua-t-il avec espièglerie en s’avançant vers elle. D’ailleurs, je devrais être en train d’attaquer le second round, mais… »

 

   Arrivé à seulement un mètre de l’adolescente, il ferma soudainement les paupières et se mit à renifler, comme s’il humait avec délice une senteur qui semblait enchanter ses papilles olfactives.

 

« Cette odeur…, reprit-il avant de la fixer de nouveau avec intensité, en souriant de plus bel. Dis-moi Granger, qu’est-ce qui t’a mis dans un tel état d’excitation pour que je puisse sentir ta cyprine d’ici ?

 

— Quoi ?! s’exclama-t-elle, les joues rougissantes.

 

— Elle est légèrement masquée par le parfum du savon que tu as utilisé pour te laver, mais s’il y a une chose que je sais pertinemment reconnaître chez une femme, c’est bien cette odeur qui trahit l’effervescence de son corps. »

 

   Drago continua de s’approcher de la demoiselle et s’arrêta à quelques centimètres de son visage, appréciant la confusion qui s’était nichée au sein de ses prunelles. Puis il lui caressa doucement la joue du revers de la main et lui chuchota suavement à l’oreille :

 

« Les notes fruitées de ton essence sexuelle me rappelle cet aphrodisiaque qu’est la vanille, ce qui la rend particulièrement stimulante… J’ai sincèrement hâte de la goûter. »

 

   Il n’en fallut pas davantage à la jouvencelle pour éprouver instantanément une fugace sensation de chaleur dans le bas-ventre, aussi extatique que l’était le fait de s’imaginer la langue du jeune homme effleurer avec langueur les nymphes de son intimité. Aucun de ses abrutis d’anciens petits amis n’avait daigné la gratifier de cette douceur qui semblait pourtant être une des meilleures ! Pourquoi irait-elle donc se faire violence en refusant une telle proposition de sa part ?!

 

« Heureusement que je n’ai pas encore perdu l’usage et l’adresse de ma langue comme tu sembles avoir perdu la tienne en ce moment, Granger. »

 

   La seconde suivante, la concernée hoqueta brusquement de surprise en sentant le Serpentard empoigner fermement ses fesses pour la soulever et l’inciter à entourer sa taille masculine de ses fines jambes. Instinctivement, elle passa ses bras autour de son cou et se laissa porter ainsi jusqu’au mur, sans mot dire.

 

« De quelle manière veux-tu que je te fasse l’amour, ma belle ? demanda-t-il d’un ton diablement sensuel. As-tu envie que je te prenne de la sorte, plaquée contre ce mur ? Souhaites-tu expérimenter toutes les positions que tes Trolls d’ex-amants ne t’ont jamais fait découvrir ? »

 

   A ces mots, une deuxième vague exaltée réchauffa sur-le-champ le creux de ses reins, achevant de semer le trouble et l’avide besoin de rapports charnels au plus profond de son être. Elle réussit néanmoins à articuler :

 

« Comment…

 

— Certaines filles m’ont fait quelques confidences sur l’oreiller, après avoir partagé la couche des idiots avec lesquels tu as toi-même couché, la coupa-t-il en la regardant d’un air mutin. Fais-moi plaisir et rends-toi service la prochaine fois que tes hormones te travailleront : viens me voir au lieu de t’envoyer des dégénérés congénitaux ! Tu ne peux pas savoir à quel point je serai enchanté de te combler ! »

 

   Pour ajuster le geste à la parole, le blondinet commença à l’embrasser lascivement dans le cou, avant de débuter quelques légers coups de reins pour simuler l’acte sexuel tout en la maintenant habilement pressée contre lui. La réaction de l’adolescente ne se fit pas attendre, puisqu’elle enfonça ses doigts dans le pull bleu du garçon et enserra un peu plus ses cuisses autour de son corps, pour laisser ensuite un soupir de béatitude s’échapper de ses lèvres rebondies.

 

« Alors dis-moi…, lui susurra-t-il. Qu’est-ce qui a pu susciter ton humidité avant que je ne n’arrive ? As-tu repensé à ce que tu avais vu ce soir ? T’es-tu imaginée à la place de cette fille ? demanda-t-il d’une voix empreinte de désir, en lui suçant le lobe de l’oreille. As-tu fantasmé sur l’idée de te faire caresser par Potter et moi, en même temps ? Aimerais-tu que nous te fassions l’amour l’un après l’autre ? »

 

   La jeune fille restait muette à l’énoncé de ces paroles érotiques, mais son souffle se fit plus saccadé et ses joues s’enflammèrent littéralement. Voyant cela, Drago décida d’intensifier son exaltation manifeste en déposant quelques doux baisers sur son visage, tout en poursuivant malicieusement :

 

« T’es-tu représenté nos corps perlant de la sueur du plaisir blottis contre le tien dans une étreinte enfiévrée ? Souhaites-tu sentir nos sexes s’enfoncer au plus profond de ton ventre avec passion pour te mener à l’orgasme ? »

 

   Puis il marqua une courte pause avant de plonger ses yeux dans les siens et conclure dans un murmure sexuellement envoûtant :

 

« As-tu maintenant envie que je te fasse jouir en te faisant l’amour ? »

 

   Pour seule réponse, elle acquiesça de la tête entre deux halètements discrets et apprécia le délice de percevoir enfin sa langue masculine se glisser entre ses lèvres, pour s’entremêler à la sienne.

 

   Merlin que le changement de programme pour la soirée semblait réellement bien s’annoncer !

 

   Impatient de passer à l'action, le Serpentard se dirigea vers le lit sans quitter la bouche de sa conquête et l'y déposa délicatement. Puis il remit sa baguette dans sa poche et s'allongea pleinement sur elle tout en approfondissant le baiser, alors qu'elle glissait ses paumes sous son pull afin de toucher sa peau nue. Au bout d'une minute, il se redressa sur ses avant-bras et lui lança un regard brûlant de convoitise, avant d'ôter brusquement et sans préavis son bas de pyjama de même que sa petite lingerie. Surprise et un peu gênée, la Gryffondor replia les jambes sur sa féminité ainsi dévoilée, tandis que le garçon esquissait un sourire de satisfaction et se délectait de la vue d'ensemble en se tenant debout devant elle. Ne voulant pas perdre de temps, il jeta les vêtements à terre et se débarrassa de son propre haut pour l'envoyer les rejoindre, permettant à la demoiselle de priser à loisir son torse presque imberbe et finement athlétique. Arborant un air coquin et prédateur, il s'agenouilla ensuite sur la couche aux pieds de sa mignonne et faufila une main entre ses cuisses pour effleurer le coeur de cet Eden voluptueux qui le conduirait bientôt à la jouissance. Doucement, il insinua un doigt dans les profondeurs de cette érotique contrée et déposa une tendre caresse sur son mollet afin de la détendre, lorsqu'il la perçut se contracter de l'intérieur. Chose réussie, il entreprit quelques va-et-vient au sein de son humide exiguïté et la vit fermer les paupières de plaisir quand il immisça un deuxième doigt en elle, tout en conservant un mouvement oscillatoire.

 

Merlin ! Elle dégage une de ces chaleurs ! pensa-t-il, se languissant d’avance de mettre une toute autre partie de son anatomie à cet endroit.

 


   Plus il prolongeait ce début de préliminaires, plus le nectaire de cette belle plante sécrétait ce liquide bien particulier qui avait le don de l’exciter démesurément lors de ses autres rapports sexuels. Il adorait toucher, humer, déguster la cyprine de toutes ses amantes qui se révélait être si différente et propre à chacune. Qui plus est, l’exquise odeur de celle de son actuelle partenaire était à elle seule la promesse d’un délicieux cunnilingus. Il retira son affectueuse main de l’accueillante intimité et fixa avec espièglerie la demoiselle qui avait rouvert les yeux. Il contempla ensuite avec envie la substance féminine répandue sur ses doigts, avant de les mettre dans sa bouche et de les faire lentement glisser entre ses lèvres masculines.

 

« Je savais que tu avais bon goût. » ronronna-t-il en souriant.

 

   Franchement, que voudriez-vous répondre à cela ?

 

   Les joues empourprées d’un léger embarras, Hermione ne sut que dire après le geste terriblement sensuel du garçon et ne se contenta que de le regarder avec fascination. N’étant absolument pas habituée à ce genre de choses, elle devait bien reconnaître que l’audace et l’érotisme aguicheur dont il faisait preuve la décontenançait un peu. Néanmoins, cela avait l’avantage d’accroître sa concupiscence et d’exacerber cet étrange besoin de se faire remplir, de combler cette soudaine sensation de vide apparue en son intérieur. Elle le vit ensuite placer son visage à l’entrée de son corps et sentit sa langue effleurer précautionneusement les portes de son privé fruitier, avant d’en franchir le seuil pour en apprécier les premières allées. Nul doute que le jeune homme devait être un jardinier hors pair étant donné sa dextérité à cultiver le plaisir au sein de son petit rosier.

 

   Après avoir langoureusement effleuré son petit point d’amour, Drago entreprit de s’insinuer le plus loin possible dans cette fleur en se régalant de son miel abondant, donnant véritablement l’impression à l’enchantée que ce dernier devait être des plus succulents. De manière instinctive, elle souleva donc son bassin et le colla contre la bouche de son amant, afin que sa langue bienfaitrice puisse visiter les plus reculées parois de son étroitesse. Et lorsqu’elle perçut ses lèvres emprisonner les nymphes de sa féminité, en effectuant silencieusement une délicate succion pour récupérer un peu plus de son nectar, elle sursauta faiblement de surprise mêlée au délice que lui procura cette nouvelle sensation. C’était à la fois plaisant et diablement enivrant que d’avoir le sentiment d’être à ce point savoureuse.

 

   Une fois rassasié du mets de la jeune fille – le meilleur qu’il n’ait jamais eu à estimer jusqu’à maintenant, il remonta à sa hauteur et se blottit doucement contre elle. Puis il prit appui sur son avant-bras et plongea ses envieuses prunelles dans celles troublées de la jouvencelle, avant de redessiner les contours de ses fines lèvres d’une main empreinte de légèreté. Sans détourner ses yeux des siens, il laissa deux doigts malicieux pénétrer sa petite bouche et débuta un voluptueux va-et-vient, en affichant un sourire coquin quand il la vit se plier à son jeu et sucer ces deux corps étrangers d’une si prometteuse habileté. Il ne lui restait plus qu’à espérer qu’elle accepterait d’en faire de même avec sa virilité parfaitement éveillée, qui manifestait d’ailleurs durement sa curiosité de rencontrer ces deux chaleurs humides que ses doigts avaient déjà eu la chance de visiter. L’instant suivant, il retira ces derniers pour les glisser sous le haut de pyjama – peu affriolant – de sa jolie conquête et engloba d’une paume gourmande un de ses seins. Rond et ferme, il s’engoua immédiatement de cet appétissant trésor, merveilleux symbole de l’érotisme féminin, qui contrastait assez drôlement avec les petits lapins enfantins imprimés sur la tenue qu’elle portait nuitamment. Il commença alors à flatter sans retenue cette courbe, qu’il comptait bien suçoter jusqu’à l’ivresse ultérieurement, et se pencha pour embrasser avec passion la Gryffondor. Il lui faisait déjà l’amour à travers ce long baiser, cherchant continuellement à s’immiscer au plus profond d’elle-même, leur langue se câlinant généreusement l’une et l’autre tandis que leurs soupirs d’aise se rendaient un écho mutuel.

 

« Tu as le goût de ma cyprine… » murmura-t-elle d’une voix émue par l’excitation.

 

   Le Serpentard répondit à sa constatation par un franc sourire, rehaussé d’un regard empreint d’un étincelant et amoureux désir. Puis, sans mot dire, il alla assouvir l’appétence grandissante de ses iris en admirant premièrement la poitrine de la séduisante, pour combler deuxièmement sa bouche masculine en tétant avec finesse, et chacune à leur tour, les minces extrémités de ces deux pommes d’amour. Il se félicita ensuite de la réussite de ces attouchements, puisque la ravissante brune témoigna de son contentement en passant une main caressante sur son dos mis à nu et dans sa blonde chevelure. Enfin, il lui fit comprendre d’un regard animé par l’avidité qu’il souhaitait lui aussi bénéficier de ses lascives faveurs.    

 

   Hermione saisit parfaitement le sous-entendu de son œillade et l’incita à se coucher sur le lit afin de s’occuper de lui. Lentement, elle défit son pantalon pour l’abaisser avec son caleçon et observa quelques secondes la turgescence de ce qui devait être, sans l’ombre d’un soupçon, la fierté personnelle du garçon. D’ordinaire et même si elle se plaisait pourtant à la satisfaire, la Rouge et Or ne trouvait pas que la virilité d’un homme puisse posséder les attributs de la beauté, mais forcée d’admettre que celle-ci était on ne peut plus charmante. D’une taille respectable aux lignes délectables, elle avait en plus l’avantage de ne pas être affublée d’une épineuse et affreuse broussaille à la base, dont la senteur était parfois des moins appréciables. Ainsi, cette discrète pilosité d’un blond impérial ne gâchait pas le paysage et l’observation des moins sages que la jeune fille enhardie était en train d’oser. Elle était presque en admiration devant les deux petites rondeurs bien enveloppées par une peau à la visible fermeté, qui ornaient merveilleusement la queue du serpent, quand d’autres les avaient déjà aussi pendantes que les boucles d’oreilles de sa grand-mère. Certains les avaient d’ailleurs si relâchées au même âge, qu’ils auraient pu rivaliser avec les emballages privés, flasques et détendus, des papys aussi vieux que Dumby.

 

   Enthousiasmée par la grâce de l’assemblage, elle s’empara du membre majestueux et s’humecta les lèvres avant de les poser sur l’arrondi de ce dernier. Doucement, elle insinua l’objet de sa convoitise dans le creux chaleureux de sa bouche et se plut à le lécher comme la meilleure des gourmandises. Pendant plusieurs minutes, elle s’appliqua à faire de soignées allées et venues sur l’organe tendu, en accordant harmonieusement les oscillations de sa tête et de sa main, sans omettre de gratifier les deux petits et ronds joyaux de quelques caresses. Puis, encouragée par le souffle plus saccadé de son partenaire, conjugué à la tendre manière dont il lui effleura la nuque, elle alterna ses mouvements en suçotant doucement la pointe de sa masculinité, pour ensuite passer une langue audacieuse et humide sur toute sa longueur. Mais alors qu’elle le percevait se durcir davantage, Drago lui fit soudainement signe de stopper ses élans. Surprise, elle se redressa et l’interrogea du regard.

 

« Je vais…éjaculer… » dit-il avec peine, la voix enrouée par le plaisir et les joues finement rosies.

 

   Il la vit à cet instant esquisser un timide sourire de satisfaction, heureuse que ses petites attentions buccales lui aient fait à ce point de l’effet. La réaction de la Gryffondor, ainsi que la sienne, le motivèrent plus encore à passer à l’acte. Ses reins étaient en feu et il se savait incapable de lutter contre le besoin immodéré de la posséder sur-le-champ. Avec adresse et célérité, le blondinet enleva donc les dernières barrières vestimentaires qui faisaient obstacle à leur complète nudité et se pressa allègrement contre le corps chaud de sa compagne. Il lui écarta les cuisses avec sensibilité pour s’y engager et partagea avec elle un baiser enfiévré tandis que, d’une main, il guidait sa virilité jusqu’à la voluptueuse lisière de son exiguïté. Se sachant bien placé, il se disposa ensuite un peu mieux en prenant appui sur ses bras et plongea ses prunelles enflammées dans celles de la demoiselle avant de s’immiscer enfin dans la chaleur de son intimité.

 

   Malefoy entreprit de la pénétrer d’un premier coup de reins délicat et ne put réprimer un soupir de bien-être, lorsqu’il perçut les parois de sa petitesse féminine s’éclorent à son passage et sa tiède cyprine l’entourer. Quand d’un second mouvement de hanches il s’enfonça entièrement dans ce paradis charnel, il ferma les yeux et lâcha un bref gémissement sous l’extase de cette union. Il se blottit alors dans les bras de la jeune fille, appréciant le velouté de sa poitrine sur la peau de son torse, et réfugia son visage dans le creux de son cou. Puis il renouvela ses va-et-vient d’une infinie douceur et de façon régulière, tout en prenant soin de s’insinuer en profondeur. Dès lors, il la sentit mettre ses paumes sur son fessier pour intensifier son action et ce fut avec plaisir qu’il exauça sa requête silencieuse, excité comme jamais par la respiration de son amante qui se faisait plus prononcée à chacune de ses immixtions.   

 

   Cependant, il réalisa que la Rouge et Or en souhaitait davantage, quand elle entoura sa taille de ses jambes et releva tant qu’elle le put son propre bassin afin de parfaire leur fusion. Elle le voulait plus présent, désirait que sa masculinité vienne rencontrer les régions les plus éloignées de son intérieur et que ses poussées se fassent plus vigoureuses, encore et encore. La discontinuité de son souffle et les intimes resserrements qu’elle effectuait presque inconsciemment autour de l’organe du garçon, témoignaient amplement et à eux seuls de son actuel ressenti. Mais la moiteur de leur corps, la chaleur du sanctuaire de l’adolescente dont les cloisons ne cessaient de se rétrécir, ajoutés au bruit érotique émis par les fougueuses oscillations qu’il accomplissait en se mêlant sans se lasser à son humidité, menaçaient réellement de le faire venir en peu de temps. Et s’il y avait une chose à laquelle il aspirait plus que tout, c’était bien de la combler dans tous les sens du terme avant d’atteindre lui-même l’orgasme.

 

   Question de fierté malefoynienne.

 

   Eprouvant la jouissance imminente, Drago s’arrêta à regret, quelque peu essoufflé, et caressa amoureusement les joues roses de sa conquête avant de l’embrasser passionnément. Là, il se rappela que lorsqu’elle l’avait surpris un peu plus tôt dans ses appartements en coquine compagnie, ses iris avaient trahi un grand intérêt pour la position dite de “La Levrette”, qu’il s’était plu à exécuter avec la petite Poufsouffle. Il adorait également cette posture pour la vue plongeante et non négligeable qu’elle offrait, de même que la possibilité de s’introduire au sein d’une jeune femme dans l’intégralité la plus délicieuse. Convaincu par cette idée, il l’amena à se retourner sur le ventre et s’agenouilla entre ses cuisses, pour ensuite saisir avec précaution son joli bassin et le remonter à hauteur du sien. De par cet accord muet qu’elle exprimait en se laissant ainsi faire entre ses mains, il se réjouit un peu plus d’avoir su discerner ses envies et décida de la contenter avec toute son ardeur.

 

   Empoignant tout d’abord avec fermeté les hanches de la Gryffondor, le Vert et Argent se glissa d’un vif coup de reins au plus profond de son temple luxurieux, arrachant de ce fait à sa belle un extatique gémissement. Il perçut juste après son Eden orgastique s’étrécir immédiatement, tel un tacite compliment en réponse à son initiative et une décelable invitation à poursuivre son exquise lancée. Loin de se faire languir, il entama ses mouvements lascifs avec dynamisme, les yeux rivés sur l’essence de leur symbiose sexuelle tandis que leur peau claquait l’une contre l’autre dans un son des plus sensuels. Sentant soudainement la félicité se diffuser en partance de son bas-ventre pour l’envahir pleinement, le jeune homme accentua plus encore la cadence et effleura avec une grande délicatesse la petite perle des plaisirs de la charmante brune, déjà constellée par l’abondance de son fluide corporel féminin.

 

   De son côté, Hermione enfouit la tête dans le creux de ses bras, alors qu’il continuait ce rythme de plus en plus effréné au fur et à mesure qu’il la devinait aux portes de l’Extase. Elle n’était jamais arrivée aussi proche du Royaume Voluptueux lors de ses précédents ébats et se délectait de ses merveilleuses impulsions qu’il orchestrait en elle avec virtuosité, pendant que leurs soupirs de délice s’accordaient mutuellement dans une enivrante mélodie. Il poussait, entrait, sortait, revenait en elle à chaque fois de plus en plus fort, de plus en plus vite, sachant toutefois doser dans l’excellence ses assauts afin de ne pas être trop irrespectueux ou véhément. Et après quelques minutes de cette danse érotique, elle perçut une brusque chaleur émerger de ses reins pour irradier l’ensemble de son être, la faisant brutalement gémir malgré elle et serrer dans ses petits poings le drap sur lequel elle reposait.

 

   Quand il distingua les premiers signes du ravissement de la Rouge et Or, qu’ils soient auditifs ou sensitifs – étant donné sa flagrante et subite contraction interne –, Malefoy amplifia instinctivement ses pénétrations et dut solidement se concentrer pour ne pas céder à l’irrésistible tentation de la rejoindre séance tenante. Etrangement avec celle-ci, il n’avait pas envie d’en finir dans cette position animale, mais agréablement niché contre sa poitrine, dans la ferveur et l’humanité d’une étreinte. L’écouter jouir porta à son paroxysme l’effervescence qui régnait en maîtresse incontestée dans son ventre et ce fut avec beaucoup de difficulté qu’il réussit à se contrôler, jusqu’à décélérer ses oscillations pour l’escorter charnellement dans sa lente descente orgasmique.

 

   Une fois la nébuleuse émotionnelle dissipée en elle, il embrassa ses épaules dénudées et l’incita doucement à se recoucher sur le dos. Il savait par expérience que certaines femmes après l’extase ressentaient encore du plaisir, si le partenaire réalisait avec dextérité quelques derniers vigoureux coups de reins, comme pour atteindre les plus impénétrables contrées de leur exiguïté et stimuler au passage un hypothétique “point G”.

 

   Point sur lequel Drago aurait vivement aimé s’entretenir avec son trouveur – ou inventeur –, un certain Moldu nommé Ernest Von Gräfenberg – rien que ça –, dont il aurait apprécié recevoir quelques éclaircissements et, peut-être même, remettre en cause sa théorie – ou création. Car finalement, et pour se citer lui-même : « Le clito reste une valeur sûre face à ce truc qui au toucher ressemble à un petit haricot… pas forcément magique à tous les coups ! ». Mais il ne fallait pas douter des dires d’un tel génie Moldu, qui devait sans conteste être doté d’un sublime doigté et aurait dû manifestement donner un bon million de cours particuliers, afin de léguer ses précieuses connaissances et agir ainsi pour le bien de l’humanité !

 

   En attendant, notre Serpentard se débrouillait avec les moyens du bord et ce fut tremblant d’une impatiente excitation, qu’il étreignit tendrement sa mignonne et se glissa de nouveau en elle. Avec énergie, il entama quelques puissants mouvements au sein de son humidité et fut aux anges d’entendre son amante pousser quelques succincts gémissements, à chaque fois que son bassin s’unissait totalement au sien. Elle faisait bien partie de ces dames qui éprouvaient une exquise sensation après la félicité déjà obtenue, quand on venait caresser avec ardeur leur étroitesse en profondeur. Il prolongea donc plus avant ses immixtions en haletant presque avec allégresse, le regard gourmand et fixé sur le visage radieux de sa déesse. Puis il perçut cette particulière pression au bas-ventre et sentit la jouissance monter en lui violemment, ne pouvant s’empêcher en cet instant de fermer les yeux et de gémir de façon retentissante, tandis qu’il délivrait en elle le fruit de son exceptionnel orgasme.

 

   Eperdu et pantelant par cette expérience sexuelle, il revint enfin à la réalité et déposa sur ses lèvres quelques baisers passionnés, pour ensuite s’allonger auprès de cette nymphe en l’enlaçant amoureusement et sombrer avec elle dans les bras de Morphée.     

 

 

 

 

A suivre…



Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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Jeudi 3 mai 4 03 /05 /Mai 19:34
Bonjours chères lectrices et chers lecteurs,

Il est rare que je laisse un mot avant une histoire, je préfère vous laisser entrer dans le vif du sujet avant de discuter. Mais là, je ne peut pas m’empêcher de faire une petite introduction. Rien de bien long, simplement pour vous prévenir que l’histoire que vous allez lire compte parmi les meilleures que j’ai jamais eu sous les yeux. Et très franchement, je n’exagère pas. Les quelques publications que j’ai pu lire n’atteignent pas ce niveau d’écriture, ou disons rarement. L’histoire de Bibi-chan me fait penser à celles écrites par des auteurs classiques qui ont soudain eu envie d’aller explorer le côté frivole que leur notoriété ne leur permet pas d’exprimer. J’ai un ouvrage collectif en particulier que j’aimerai vous citer mais que je ne parviens pas à retrouver. Ce sera pour la prochaine fois car en plus d’être talentueuse, Bibi-chan est généreuse puisqu’elle va nous régaler d’une histoire en trois partie. Mais je parle et je sens bien que je vais trop loin avec mon admiration pour cette œuvre et je vous laisse constater plutôt.

Poudlard Secret


Contribution de Bibi-chan

Nymphésis, Sex Toy


 

 

« On inverse ? » demanda Drago à Harry, d’une voix teintée de plaisir, exacerbée par les caresses buccales que leur charmante partenaire, une Poufsouffle de sixième année, effectuait avec dextérité sur la virilité du Serpentard.

 

   Le Gryffondor acquiesça d’un bref hochement de tête, entre deux halètements, et donna quelques derniers coups de reins des plus énergiques pour s’insérer profondément dans le délicieux sanctuaire de la jeune fille, avant de céder la place encore chaude à son complice. 

 

   Cela faisait maintenant trois mois que les deux garçons logeaient ensemble dans un appartement des plus spacieux, ayant respectivement été nommés Préfet en chef en début d’année scolaire. Malgré une cohabitation des plus difficiles dans les premiers temps, ils avaient fini par trouver un terrain d’entente sur lequel ils se rejoignaient parfaitement, de par leur manière de le pratiquer : le sexe. Tout avait commencé le jour où Malefoy avait surpris son homologue en train de “partager” une jolie demoiselle avec Weasley sur le canapé de leur Salle Commune, allant même jusqu’à proposer au blondinet de participer. D’abord sidéré de découvrir la face cachée du modèle de sainteté de l’école, le Vert et Argent avait fini par accepter la généreuse offre de son colocataire, après consentement de l’adolescente, bien entendu.

 

   Telle était la vraie personnalité du grand Harry Potter : l’apparence d’un élève des plus chastes et réservés la journée, pour ensuite ôter la nuit l’angélique masque qu’il se plaisait à porter, afin de tromper son entourage sur la réalité de sa conduite des plus débauchées. Son meilleur ami était d’ailleurs le seul au courant de son inclination prononcée pour la luxure puisque c’était ensemble, et dès l’âge de quatorze ans, qu’ils avaient débuté leurs premières folies nocturnes en se laissant initier par plusieurs expertes de trois ans leurs aînées. Etant une figure publique et adulée, il ne lui était pas permis de révéler au monde sorcier les jeux pervers qu’il avait usage de faire dans quelques lieux privés, sous peine d’en perdre définitivement sa crédibilité. Hermione, elle-même, ignorait tout de ses penchants salaces, pour être encore persuadée de la virginité de notre jeune premier.

 

   Aimant goûter avec excès aux plaisirs de la chair, les ennemis de toujours avaient trouvé là l’excellent moyen d’enterrer pour l’année la baguette de guerre, en se faisant profiter mutuellement des jolies coquines qu’ils ramenaient pour leurs soirées libertines. Le marché était fort simple : chaque semaine, et à tour de rôle, ils devaient dénicher une ravissante dévergondée qui accepterait le week-end de se laisser posséder en même temps par les deux jeunes gens. Et quel ne fut pas leur étonnement de constater le peu de difficultés rencontrées pour y arriver. En effet, bon nombre d’étudiantes fantasmaient secrètement sur les rivaux les plus séduisants de l’école et aimaient à s’imaginer dénudées entre les deux garçons, l’ange et le démon, lorsqu‘elles se livraient à une certaine caresse en solitaire afin de combler leur petite frustration.  

 

   Cependant, il y en avait une avec laquelle notre vicieux petit Serpentard aurait adoré pouvoir fricoter, étant donné le côté inaccessible et l’air de “Je-ne-touche-pas-à-ça-moi” qu’elle se donnait : la très intelligente Hermione Granger. Elle pouvait s’enorgueillir d’avoir de jolies rondeurs, malheureusement presque entièrement dissimulées sous son uniforme, et Drago ne pouvait s’empêcher d’être émoustillé en la voyant rouler des hanches dans les couloirs de Poudlard. Il se plaisait à penser que sa prétendue vertu voilait en réalité une profonde lascivité et sa conviction s’était renforcée lorsqu’un jour il l’avait croisée dans le parc, studieusement plongée dans un livre au titre des plus évocateurs : “Mémoires érotiques et impudiques” de la très célèbre auteur Wendy Perversekisassume. Immédiatement, notre vil ami s’en était allé quérir Harry pour le supplier de l’amener à une de leurs lubriques soirées, mais ce dernier avait répondu qu’elle refuserait certainement – et à son grand désespoir également – sur-le-champ. Elle n’était pas de celles qui s’abandonnaient volontiers dans les bras de plusieurs partenaires et préférait de loin les jeux dans le noir faits à deux, voire carrément en solitaire si nul mâle digne de ce nom n’était là pour combler ses désirs luxurieux. Qui plus est, elle entretenait une sincère inimitié envers notre blondinet et n’accepterait, de ce fait, sûrement pas de partager avec lui une quelconque intimité. Dépité, le concerné avait alors compris qu’il devait renoncer à cette idée et refouler l’envie qu’il avait de faire joujou avec elle.

 

   Mais revenons à nos moutons et à l’intéressante scène qui se déroulait devant la cheminée, à même le tapis de la Salle Commune de nos très honorables Préfets en chef. Potter avait donc changé de place avec son associé de dépravation et c’était avec joie que ce dernier s’était agenouillé derrière le splendide fessier de la petite demoiselle, à quatre pattes, pour enfin passer à l’action. Il commença par insinuer deux doigts dans l’exiguïté de celle-ci afin d’en apprécier l’humidité, pour ensuite saisir son impatiente virilité d’une main et se mêler à ce territoire qui lui apporterait bientôt félicité. Après avoir soupiré de contentement, il se pencha au-dessus d’elle en vue de se rapprocher de son corps et prit appui sur ses bras placés de chaque côté de la belle, avant de débuter quelques agréables coups de reins.  

 

Merlin ! Cette position est définitivement ma préférée ! estima-t-il, tandis que son compère était déjà à genoux devant le visage de la jeune fille, glissant entre ses fines lèvres l’intense turgescence de sa masculinité.   

 

   L’héroïne de cette pièce réservée à un public averti, entreprit de suçoter avec sensualité la friandise d’un nouveau genre qui frétillait de bonheur au contact de sa langue exercée, améliorant sa caresse d’un régulier va-et-vient réalisé d’une main experte sur cette virilité offerte. Elle sentit également le souffle chaud du Serpentard devenir plus saccadé sur sa nuque, alors qu’il se mouvait en elle avec talent, approfondissant chacune de ses immixtions sans pour autant se révéler brutal. Une minute plus tard, le Gryffondor maintint la tête de l’adolescente bien droite afin d’effectuer à son tour, et avec plus de facilité, quelques légers mouvements du bassin contre la bouche de son amante temporaire. Il ne lui en fallut pas davantage pour atteindre l’orgasme et manifester son plaisir en gémissant doucement, appréciant la délicate attention dont elle faisait preuve en avalant avec circonspection le fruit de sa libération. Puis, une fois son intimité consciencieusement nettoyée par les habiles coups de langue de sa jolie partenaire, Harry se releva pour s’en aller s’asseoir sur le canapé et admirer la fin de ce spectacle des plus délectables.     

 

   Pendant que la demoiselle réfugiait son visage dans le creux d’un de ses bras, tout en glissant une main jusqu’à sa petite perle des plaisirs pour l’effleurer en douceur, Malefoy se redressa et s’empara tendrement du gracieux bassin féminin. Mais alors qu’il s’apprêtait à continuer ses voluptueuses allées et venues, son regard enflammé par la jouissance imminente se posa par inadvertance sur le corridor en face de lui qui menait à l’entrée, pour instantanément se figer lorsqu’il croisa deux iris couleur caramel, qu’il reconnut sans hésitation.

 

   Depuis combien de temps Hermione Granger était là à les observer et, surtout, comment avait-elle bien pu entrer ?

 

   Il se rappela aussitôt que son colocataire lui avait un jour confié le mot de passe, et à en juger par les rougeurs visibles sur ses petites joues de même que l’étincelle exaltée qui animait actuellement ses prunelles, elle devait déjà les espionner depuis un certain temps. Loin de se décontenancer pour si peu, notre blondinet saisit l’opportunité pour tester la jeune femme et connaître ainsi ses limites de voyeurisme. Il esquissa donc un sourire malicieux et laissa son regard couler de l’insoupçonnée curieuse jusqu’au dos de la Poufsouffle, pour ensuite replonger ses yeux emplis de convoitise dans les siens tout en se passant une langue désireuse sur les lèvres, afin de lui signifier clairement son envie de la prendre elle – ce que la concernée comprit incontestablement. Puis il empoigna fermement les hanches de sa partenaire et débuta quelques vigoureux coups de reins, s’immisçant fortement et au plus profond de cette accueillante contrée érotique, sans cesser de fixer discrètement la Rouge et Or ne serait-ce qu’une seconde.

 

   Hoquetant premièrement de surprise sous le rythme diablement plus prononcé du jeune homme, la jouvencelle à terre s’habitua rapidement à cette nouvelle cadence qui eut, par ailleurs, le don de la faire gémir succinctement à chaque fougueuse et merveilleuse pénétration. De son côté, Drago alterna ses va-et-vient en les accélérant parfois puissamment ou bien en les ralentissant pour les intensifier violemment, de manière à s’enfoncer en elle le plus loin possible et faire ainsi claquer sensuellement la peau de son bas-ventre contre les fesses charnues de sa belle d’une nuit. Il percevait d’ailleurs que cette dernière était proche de l’extase, étant donné les répétées contractions de son intérieur, et décida de terminer en beauté.

 

   Il amplifia donc encore la mesure sous les prunelles médusées de la Gryffondor, bouche bée, qui se sentait étrangement fiévreuse à la vue du Serpentard complètement nu dans cette position, les yeux rivés sur elle et brûlants de désir, haletant presque avec frénésie et le visage légèrement rougi par l’effort. Néanmoins, Hermione n’arriva pas à détourner les iris quand la demoiselle exprima son ravissement en ondulant brusquement du bassin, manquant de faire lâcher prise à Malefoy qui dut reporter son attention sur elle et l’agripper vivement. Lorsqu’elle le vit ensuite fermer les paupières et l’entendit pousser un excitant gémissement orgastique, elle ressentit séance tenante une exquise montée de chaleur dans le creux de ses reins et ne put s’empêcher d’imaginer être à la place de la Poufsouffle.

 

   Par Merlin, ce qu’il pouvait être beau et sexuellement irrésistible en train de jouir !

 

   Une fois la violente vague du plaisir passée, le garçon s’allongea délicatement sur le dos de sa partenaire couchée sur le ventre, en l’enlaçant, et déposa quelques affectueux baisers sur ses fines épaules dénudées afin de la remercier de l’exquise félicité prodiguée. Il se redressa ensuite légèrement en s’appuyant sur son avant-bras et, après avoir lancé un regard furtif devant lui, il fut ravi de constater que la jolie brune n’avait toujours pas déserté les lieux et se tenait encore discrètement dans l’entrée. Il se résolut donc à continuer de la provoquer et afficha un sourire triomphant en introduisant deux doigts dans le savoureux petit temple de sa compagne, en vue de les enduire de cyprine mélangée à sa semence. Puis il les glissa avec sensibilité dans la bouche de cette dernière, avant d’entamer un langoureux mouvement d’aller et retour entre ses lèvres. Par ce geste des plus lascifs et suggestifs, il lui fit goûter le délice fusionnel de leur liquide corporel et ne se gêna aucunement pour jeter au passage quelques œillades d’une avidité mutine en direction de la Rouge et Or.

 

   Le message qu’il avait souhaité lui faire passer tout du long était on ne peut plus pénétrant :   “J’ai envie de te sauter et voilà comment… ”

 

   Depuis le début, la jeune fille avait assisté à la scène en éprouvant un certain sentiment de culpabilité et de honte, mais son esprit n’avait cependant pas réussi – ni eu le temps – de convaincre ses jambes de rebrousser chemin, trop occupé à se régaler de l’alléchant spectacle offert gratuitement par son bel ennemi et cent fois plus stimulant que le meilleur des aphrodisiaques ! L’abondante humidité dont elle pouvait d’ailleurs aisément percevoir la présence au seuil de son intimité témoignait nettement du plaisir dissolu qu’elle avait ressenti en les épiant ainsi. Mais la représentation était encore loin d’être finie, puisqu’elle vit Harry apparaitre dans son champ de vision et demander à son collègue d’avoir l’amabilité de s’écarter. La performance de son ami l’avait furieusement remis en appétit et ce fut d’un geste empreint d’une grande douceur qu’il retourna la petite demoiselle sur le dos, pour ensuite embrasser tendrement son cou et se faufiler avec impatience entre ses cuisses. N’étant nullement rebuté par le fait de se mélanger à la semence déjà déposée par son prédécesseur, il prit appui sur ses bras tendus de chaque côté de la mignonne et s’engagea en elle sans plus attendre. Il exécuta enfin ses coups de reins d’une manière enthousiaste et dynamique, qui se répercutèrent dans le corps de son amante avec ferveur et lui arrachèrent quelques mélodieux murmures, bien vite étouffés par les lèvres de ses compagnons.  

 

   Et dire qu’elle pensait que Harry était gay, ne l’ayant jamais vu sortir avec une fille ! Forcée d’admettre qu’elle s’était bien trompée… Et heureusement dans un sens, car cela aurait été une dure perte pour la gent féminine étant donné sa manifeste… qualité ! Elle avait d’ailleurs une vue plongeante sur sa masculinité qui s’attachait à faire de gracieuses allées et venues dans le sanctuaire de l’adolescente, en émettant un son spécifique et des plus érotiques dû aux oscillations effectuées au sein des fluides organiques dont elle luisait désormais. Mais lorsqu’elle vit la main de Malefoy se diriger vers le pétale de la rose des charmes de la jeune fille pour le caresser, ce fut la goutte de concupiscence qui faillit faire déborder sa petite culotte en coton et l’incita à décamper au plus vite, si elle ne voulait pas voir ses dernières résistances s’effriter pour les rejoindre tous trois dans l’instant. Les rares aventures qu’elle avait eues ces derniers mois s’étaient toutes soldées par un échec, puisque les mâles qui avaient partagé sa couche ne faisaient que bêtement gesticuler au-dessus d’elle, sans être capable de prolonger l’acte plus de deux minutes, ni même de le recommencer. Ce fut donc véritablement frustrée par une trop longue abstinence orgasmique, et par la vue de ces ébats des plus extatiques, qu’elle sortit précipitamment pour s’en aller aussitôt prendre une douche bien glacée.    

 

 

 

A suivre…

 

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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