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Histoires avec Hermione

Samedi 28 octobre 6 28 /10 /Oct 11:53

Contribution de Azrah Memnock


Surprise Bulgare


 


 


Part 1


Le bal de fin d'année était dans toutes les discussions, pour la première fois les élèves Bulgares et Français allaient se mêler à ceux de Poudlard et déjà toutes les filles jasaient entre elles et faisaient leurs billets doux dans l'espoir d'avoir un cavalier étranger.

Viktor Krum était resté dans son lit ce matin là, tous ses camarades avaient reçu des invitations bien plus tôt, petites missives qui se glissaient sous les portes et explosaient en un bouquet de fleurs étrangement capiteux sous votre nez quand vous vous y attendiez le moins !

Il était le meilleur, adulé, jalousé des autres membres de l'équipe de Quidditch, bon dans toutes les matières, et les filles lui faisaient les yeux doux, lui tournaient autour comme des louves mais il était laid...

Trop grand, trop fort avec le regard sombre et le nez aquilin et les traits durs du grand Grigori Novy, Célèbre sorcier que les moldus ont appelé Raspoutine.
Il pensait à Hermione, sa petite taille, ses cheveux négligés...
Son charme l'avait frappé dès le premier jour.

Soudain quelque chose, une espèce de boulette explosa à sa figure !
Jaune de pollen, Viktor Krum se redressa sur son lit et contempla le bouquet tout en miettes autour de son oreiller:
Un message déchiqueté gisait sur son caleçon...quelques lettres...et le sang de Viktor ne fit qu'un tour.

Hermione venait de le choisir !
Et si c'était une mauvaise blague ?

Si elle était comme toutes les autres, intéressée par le prestige de s'afficher avec le célèbre Viktor Krum?

Peu importait ! Son coeur battait malgré lui, il voyait déjà sa taille fine se presser contre ses hanches, et déjà une douloureuse bosse tendait son caleçon.
Il la saisit avec force, sortant l'énorme gland à l'étroit et se caressa fiévreusement en pensant à son petit corps mince collé au sien.
Viktor ne tarda pas à jouir de toute sa crème et resta haletant sur son lit au milieu des fleurs capiteuses envoyées pas Hermione.

_ Par les larmes de Vijdaag !
si ça commençait comme ça,qu'allait il se passer ce soir !

Il n'osait même pas penser à la réaction de la pauvre Hermione si pure et innocente...



A suivre...


Part 2


Le temps passe à une vitesse folle, et ce même pour pour nos amis enchanteurs.
La journée vide de cours, les professeurs, les élèves et autres Elfes de maison occupés à préparer le festin et la salle du bal...
Il flottait un parfum de vacances dans l'air du soir.
DU SOIR !

Hermione sursauta de son énorme livre "de l'histoire du Vaudou et du Chamanisme des Sorciers Primitifs et le l' impact sur la Sorcellerie Moderne" quand son regard venait de croiser le couchant derrière la vitre.

_ Nom d'un Scroutt ! Déjà ? !

La bibliothèque s'était vidée depuis longtemps et Hermione remonta à la salle des Gryffondor en courant.

Son cavalier et ses amis devaient déjà tous être prêts!

Ginny et Parvati étaient encore en train de s'habiller quand Hermione, essoufflée, entra dans le dortoir.
Il flottait une odeur musquée enivrante dans la pièce et Ginny était toute décoiffée.
Parvati était pieds nus, avec pour seul vêtement la jupe de son sari rouge et or.
Hermione sentit le rouge lui monter aux joues... jamais elle n'avait vu son amie ainsi et elle avait une peau ambrée à la lumière des chandelles, elle coiffait ses longs cheveux qui tombaient en cascade sur ses seins gonflés.
Comme ils étaient gros ! Comme deux beaux fruits lourds sur son grand corps voluptueux.
Parvati sourit devant Hermione médusée et enfila vite un grand soutien gorge en dentelle,ajustant ses seins bruns à l'intérieur.
Ginny éclata de rire

_ T'as vu un fantôme!

Elle portait une jupe blanche bouffante sur ses bas noirs et ses chaussures de tous les jours. Parvati passa dans son dos nouer un corset beige sur sa peau laiteuse et la para d'un collier Indien.

_ Sympa mes fripes, hein ? J'ai eu ce corset au Secours Magique la semaine dernière, idéal avec ce rideau!

Dit elle en secouant sa jupe sur ses jambes fines. Le corset lui allait à ravir, et avec ce collier, tous les profs mordus de New Age allaient la fondre d'éloges !

_ Merci Parvati ! Ben alors tu dis rien?

_ Euh...si si c'est très joli... je vais chercher ma robe!

Hermione alla fouiller dans sa malle, nerveuse tant par le corps de Parvati que par l'approche du bal... Sensible à fleur de peau.
Elle sortit un drap de soie de la malle, et sous le regard ébahi de ses deux copines, lança "Serpillus Magnificat!"
Le drap se changea alors en une robe magnifique.

_ Waaah! Crièrent-elles à l'unisson !

-Laisse-moi t'habiller!
-Non!moi!

Et elles se jetèrent toutes deux sur Hermione, leurs mains arrachèrent sa robe de sorcier, Ginny tira sa jupe alors que Parvati défaisait son chemisier.
Hermione se plia en deux;

_ Arrêtez!

Elle se sentait toute drôle, son coeur battait vite. Ginny avait touché sa fesse en ôtant la jupe, et effleuré le bel abricot.
Parvati avait les mains chaudes, elle s'était déjà attardée sur sa poitrine menue qui ne portait pas de soutien-gorge...

Ce ne pouvait pas être vrai!

Pourtant derrière elle, la main de Ginny remonta entre ses cuisses et vint de nouveau caresser son mont-de Vénus et Parvati, devant elle, commençait à lui embrasser le cou tout en malaxant ses petits seins à peine formés.
Hermione, choquée sentit un liquide brûlant se répandre dans sa culotte alors que Ginny commençait à la lécher par dessus le tissus.

_ Aaahh...

_ Tes phéromones... Souffla Pavati au creux de son oreille qu'elle lécha avec délice.


Ginny poussa alors Hermione sur le lit, la face contre l'oreiller et Parvati se mit à rire.

_ Arrêtez !... non ! OOOoh...

Hermione gémissait,ses petites fesses relevées sous les caresses de Ginny qui écarta sa culotte Parvati vint la rejoindre et l'embrassa avec délice sous le regard incrédule d'Hermione.

_ Tu en meurs d'envie...tout ton corps respire le désir... Murmura Parvati en remontant la jupe blanche de Ginny, glissant ses doigts entre sa toison rousse.


Ginny ferma les yeux et se laissa aller, relevant la jupe de Parvati.
Hermione toujours contre l'oreiller se mit à caresser son abricot rebondi.
Elle n'en pouvait plus quel était ce désir si soudain qui la prenait!

Parvati et Ginny avaient roulé sur le lit le visage entre les cuisses l'une de l'autre. Hermione poussait de petits cris étouffés en pressant son clitoris entre ses lèvres de plus en plus vite.
Sa dernière vision avant de jouir fut celle de ses deux camarades, le visage trempé retomber entre les draps.

Haletantes, elles allèrent se recoiffer. Ginny aida Hermione à s'asseoir sur le lit et lui passa une culotte de satin bleu, faisant un clin d'oeil à Parvati qui tenait une fiole dans sa main.
L'indienne en versa quelque gouttes dans ses mains et toucha sa bouche pulpeuse, puis son entrecuisse avant d'ajuster son sari impeccable.

Hermione ne savait plus du tout où elle en était,encore toute tremblante de cette émotion pendant qu'on l'aidait à enfiler sa robe et à se maquiller.
Elles l'amenèrent devant le miroir lui déposant chacune un baiser sur la joue.

Le bal allait commencer.


à suivre...


Part 3


Hermione passa devant la grosse Dame qui avait mis ses plus beaux atours pour l'occasion.
_ Amuse-toi bien,ma petite!

Hermione lui fit sa révérence et descendit l'escalier.
Son coeur battait fort.
Elle pensait à Viktor et à ses deux amies.
C'était une sensation tellement nouvelle !

Krum l'aperçut en haut des marches, irréelle dans sa robe bleue. Il lui adressa un large sourire, rouge comme une tomate. Son sang bouillait à l'intérieur de lui.

_ Herrrmion?

La jeune fille se sentit chavirer lorsqu'il lui prit la main, une vive chaleur commençait à irradier son entre-cuisses.
Viktor eut l'air intrigué en portant sa main à ses lèvres...
Il respira longuement son gant puis son bras, ses yeux éclairés d'une lueur étrange.

_ Hé !... euh.... qu'est-ce que tu fais? Dit elle un peu gênée...


Peut être était-ce une coutume en Bulgarie d'agir comme ça après tout...

_ Mais Rrrien du tout...

_ Hum...Si...si nous y allions?

_ Avec plaisirrr! Dit il en l'entraînant vers la salle de bal.


De la lumière fusait de mille chandeliers en lévitation au dessus d'eux.
Harry et Ron la regardèrent entrer au bras de Krum médusés.
Une admiration mêlée de mépris se lisait sur les visages des Serpentards et Hermione en reprit un peu ses esprits.


Que lui arrivait-il?

La chaleur de son bas-ventre s'intensifiait au fur et à mesure qu'elle marchait, Krum l'entraîna soudain sur la piste et une centaine d'instruments menés par des mains invisibles commencèrent à jouer.
Le bal commença.

Viktor pressa Hermione contre lui, comme dans son rêve.
Il ferma les yeux de bonheur.
La jeune fille sentit soudain une bosse brûlante contre son estomac.
Elle ne savait quoi dire tant les choses prenaient une allure incroyable.
La chaleur montait entre ses lèvres douces à chaque pas de danse, ses petits seins frôlaient le ventre de Viktor qui la pressait allègrement contre son membre impérieux.

Elle poussa un long gémissement, couvert par la musique et les bavardages.
Tout le monde avait les yeux sur elle !

C'est alors qu'elle se souvint : Le parfum musqué dans la chambre... son sous-vêtement... la fiole de Parvati !
Tout était clair désormais !
Elle l'avait lu quelques heures plus tôt dans"l'histoire du Vaudou et du Chamanisme des Sorciers Primitifs et le l' impact sur la Sorcellerie moderne"
Chapitre IX : Kama kala "les rituels de l'amour"
Philtres,encens...

Hermione pesta en sentant sa liqueur inonder ses cuisses.
Autour d'eux les autres élèves semblaient s'être rapprochés
Et pas une trace ni de Parvati, ni de Ginny

_ Ça ! elles vont me le payer !

Viktor prenait un malin plaisir à se frotter contre sa taille fine.
Il était brûlant, frénétique

_ Tu ssens bon, Herrmion !

_ Non !

Hermione se détacha vivement de lui sous les yeux de ses camarades qui ne semblaient rien n'y comprendre et s'enfuit.
Elle courut comme une folle dans les couloirs sombres, poursuivie par la voix de Krum de plus en plus lointaine...

_ Herrrrmion?!
_ Rrrevieens!

Krum s'élança à sa poursuite mais fut bientôt arrêté par Malfoy qui s'était dressé sur son chemin :

_ Un grand sorcier comme toi ne devrait pas traîner avec une Sang-de-Bourbe!

Victor Krum lança un regard noir à Malfoy avant de le jeter littéralement hors de son chemin.
il y eut quelques cris quand Malfoy s'écroula sur un groupe de jeunes filles de Poufsouffle.
Une coupe pleine de champagne se brisa sur sa tête et il sentit qu'on le poussait du pied. Il pesta.

Le géant n'avait que faire de Drago.
Il appela Hermione, plusieurs fois, peut être était il allé trop vite...
Mais l'encens qui l'imprégnait ! Il ne l'avait pas rêvé tout de même !
Oh ! Il était allé trop vite et maintenant il s'en voulait...
Sans doute était-ce la première fois pour elle et l'encens lui donnait il une assurance !

Il eut alors l'idée de monter prestement à la salle des Gryffondor et il arriva devant un grand tableau.

Une femme mure et dodue lui sourit:

_ Le mot de passe,jeune homme!

_ Madam... je dois voirr Herrmion.. ss'il vous plaît !

_ Le mot de passe d'abord, crois tu que je reste là pour le plaisir !
Même les fantômes sont partis faire la fête! Dit elle en arrangeant ses cheveux d'un air maussade.

_ Madam...

_ Non ! Hors de question !

La grosse Dame détourna son regard quand elle sentit une main se poser sur sa poitrine moelleuse.
Viktor avait remonté ses doigts sur sa gorge palpitante et son regard intense la fit défaillir.
Il l'embrassa violemment tout en caressant sa poitrine satinée.
La grosse dame gémit de plaisir lorsqu'il les sortit se son corsage et commença à les lécher,en s'attardant sur les auréoles roses et distendues qui se mirent à se rétrécir.

_ Ss'il vous plaît laissez moi passez

_ Ooooh...continuez....encore!

Viktor continua de pétrir l'énorme poitrine à la peau si douce, la faisant haleter entre deux baisers.
La dame gourmande souleva sa jupe et murmura dans un souffle:

_ Prends moi !

Le jeune homme regarda derrière lui, mais la fête battait son plein et il n'y avait personne dans les couloirs.
N'arrêtant pas de caresser sa poitrine, il déposa son énorme gland à l'entrée du corps moelleux de la Dame qui se mit à s'agiter sur lui, gémissante.
Elle l'inonda bientôt et Viktor pénétra la grosse Dame comme dans du beurre. Il empoigna ses larges hanches et la prit très fort.
Elle se mit à crier de plus belle sous ses assauts, Viktor mit une main ferme sur sa bouche et continua de plus en plus vite jusqu'à la sentir se contracter autour de lui, plusieurs longues fois en fermant les yeux.
Soupirante, il lui donna un dernier coup de reins et sa semence explosa en elle.
Il l'embrassa doucement avant de chuchoter à son oreille:

_ Puis-je entrer ?

Et la porte des Gryffondor s'ouvrit sur un parfum d'encens...


A suivre


Surprise bulgare!


Part 4

Les bruits de la fête répandait encore un vague écho...
Bourdonnant dans sa tête, lointains et proches à la fois. Hermione ne savait plus où elle en était tant son corps était brûlant.
Sa course s'acheva dans un couloir, les cuisses inondées elle s'agenouilla sur le sol.
Sa liqueur chaude vint goutter sur le sol froid... elle glissa sa main sous sa belle robe de soie bleue et ne mit pas longtemps à trouver le fruit gonflé et douloureux.
Ses doigts attrapèrent ses petites lèvres d'où jaillit un flot brûlant.
Hermione commença à caresser sa perle, submergée à chaque fois d'un flot de désir féroce, jouant de ses lèvres autour du bouton de chair impérieux.
Son corps ensorcelé ne tarda pas à être parcouru de violents spasmes, laissant la pauvre Hermione ruisselante, dans le flou.
Seul l'écho rendit à ses longs gémissements un timbre étrange et poétique, mêlé aux festivités lointaines...

Épuisé, la chemise ouverte et le pantalon dépenaillé par la gourmandise de la gardienne, Viktor se laissa tomber sur l'un des lits du dortoir,musqué et enivrant à souhait.
Une écharpe de soie traînait sur l'oreiller. Il la porta à son nez et se laissa imprégner du parfum incroyablement suave...
Aussitôt, le sang du sorcier ne fit qu'un tour il sentit le creux de son aine palpiter,la chaleur lui monter aux joues.
L'onde brûlante vint frapper son bas ventre de plein fouet.
Il plissa les yeux,se pinça les lèvres...
Devant lui se dressait le membre comme ranimé d'une vigueur nouvelle...une musique lancinante s'éleva au plus profond de son esprit...la fête...les fifres,les tambours...tout se mélangeait dans sa tête.
Viktor arracha le peu de vêtements qui lui restait et donna libre cours à la force qui menait ses sens...

La fête alors envoyait des échos de musique tendre.
Minuit venait de sonner à l'horloge, Hermione, épuisée, remonta les marches qui menaient au dortoir des Gryffondor.
Elle croisa la grosse Dame, souriante en train de se coiffer devant un petit miroir ouvragé.
Hermione se retourna un instant vers les échos langoureux.
Qu'était-il advenu de Viktor pendant tout ce temps?
Avait-il trouvé une autre cavalière parmi toutes les prétendantes?
Les larmes lui montèrent aux yeux lorsqu'elle murmura le mot de passe, Hermione s'engouffra dans son dortoir.

Le parfum du charme lui serra le coeur,elle jeta un coup d'oeil sur le lit de Parvati, plongé dans la pénombre.
Une forme apparaissait,roulée en boule sous la couette.
Ah la perverse!
Elle allait voir!
Furieuse, Hermione tira la couette avec violence et...
Découvrit le corps nu et assoupi de Viktor,lové en boule.
La longue écharpe rouge serrée autour de sa cuisse à la manière d'un ruban.
Et ce parfum entêtant qui semblait napper son corps,à la fois rond et musclé.
Ses épaules larges,sa cuisses ferme et charnue enrubannée,son corps offert comme un cadeau.
Hermione passa sa main sur sont corps endormi,à la peau si douce.
Viktor gémit faiblement sous ses caresses et se déplia,offrant à Hermione un spectacle étonnant:
Un énorme sexe dressé aux bourses fleuries et gorgées de semence.`
Hermione s'approcha, palpitante.
A mi-chemin entre son désir et la crainte de la voir se réveiller.
Elle monta sur le lit et souleva sa robe,haletante.
Sa chair gonflée recommençait à lui faire mal.
Hermione vint s'asseoir sur la cuisse musclée de Viktor, juste au dessus de son ruban et ferma les yeux.
La jeune sorcière se mit à chevaucher l'attrapeur avec force soupirs, agrippant le membre dressé à pleines mains.
Sa perle vint inonder la ruban rouge.

-Oohhh ! oui....encore!

Le pauvre Viktor se mit à gémir et à bouger à son rythme, comme ensorcelé par ses caresses, le bout de son gland devint humide, ce qui accentua le désir d'Hermione qui ne tarda pas à jouir contre sa cuisse.
Elle se jeta alors sur le gland avec appétit, l'enfournant dans sa petite bouche, sa main occupée à masser ses bourses,l'autre à défaire le ruban.
Viktor se sentait comme dans un rêve, il ouvrit ses yeux sur une Hermione déchaînée qui le pompait de toutes ses forces.

-Herr...mionn?

Elle s'arrêta net devant ses yeux bleus écarquillés, son petit nez caché dans sa toison.
Hermione remonta rapidement puis...comme prise par un obscur désir, l'enfourna de nouveau dans sa bouche.
Il était si gros, si juteux à chaque suçon, Hermione se délectait de sa mine ébahie à chaque profonde bouchée.
Espiègle, elle glissa ses doigts ruisselants de salive entre ses fesses, son majeur tout contre l'orifice soyeux.

Viktor, au lieu de paraître surpris,soupira d'aise et murmura:

-Cadeau pour Herrmion...

Émue, Hermione le pénétra doucement, le sentant se contracter autour de son doigt, puis, à chaque succion de son énorme membre, s'ouvrir pour laisser entrer son doigt en entier.
Elle se mit à l'aspirer de plus en plus fort, son doigt agile entre ses fesses, elle voulait tant son lait, la voir jaillir dans sa bouche!

-aaaah!

Viktor s'agrippait aux draps dans un effort surhumain pour ne pas jouir si vite.

-Viens surrr moi,vite! vieeens!

Un peu déçue, Hermione glissa un deuxième doigt en lui et se releva, les cheveux tout décoiffés, sa robe tombant de ses épaules.
Elle bascula en arrière et vint poser son abricot frémissant sur le gland de Viktor.
Elle se souvint des délicieuses métamorphoses jetées sur sa baguette au détour d'une bibliothèque...
Jamais encore un vrai membre ne l'avait pénétrée.
Ses doigts se crispèrent à l'intérieur de Viktor, elle ferma les yeux tandis que son hymen si souple et détendu laissa glisser le membre dans toute sa longueur.
Il poussèrent un cri en même temps.
Viktor venait de toucher le fond du petit corps d'Hermione, toute ouverte à présent.
La sorcière gémit de plaisir, le contact de sa chair était si chaud!
Hermione se mit à le doigter de plus en plus fort, tout en s'empalant sur lui avec une grande vigueur.

_Aaaah!

Viktor ne savait plus où il en était.

-Je....je vais Jouirrr...

-NON!

Hermione se saisit de sa baguette et lança une métamorphose.
La baguette se transforma alors en un beau membre de satyre torsadé.
Elle se retira bien vite et l'enfourna dans son intimité encore toute palpitante.
A quatre pattes devant lui, le membre magique la besognant avec vigueur, Hermione se mit à pousser de petits cris.
Viktor voulut se saisir de sa croupe, mais se ravisa, préférant la regarder se faire prendre par l'instrument magique...
Il voulait se faire désirer un peu.
Il défit sa robe entièrement, dévoilant son corps nu et offert.
Ses grandes mains se saisirent des ses hanches et il vient poser son gland contre l'entre fesse d'Hermione qu'il sentit vibrer sous les assauts de l'instrument magique.

-Mmmmh....prends moi...maintenant!

Son gland descendit un peu, contourna l'objet magique et vint s'humidifier contre son bouton de chair.

-Ooooooh!

Hermione plissa les yeux alors qu'il remontait entre ses fesses et...
Il se glissa dans ses fesses brûlantes dans un gémissement de plaisir, sentant toutes les vibrations de sa baguette dans cet orifice si étroit.
Comme sa croupe était petite!
Brûlant d'excitation,il se mit à la prendre violemment, ne se contrôlant plus;
La pauvre Hermione se mit à crier de plus belle alors qu'il l'enfournait de plus en plus fort.

-Aaaah!

Le membre magique,attiré par les cris,se fit plus impérieux encore, allant, venant si vite et si profondément qu'Hermione se sentit soudain chavirer.
Elle jouit très fort alors que la semence giclait dans ses fesses...

Ils retombèrent tous deux sur le lit,les yeux clos et le coeur battant à rompre.
La baguette glissa innocemment entre les draps

Des escaliers montait déjà la clameur d'élèves en fête...


Fin

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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Jeudi 10 août 4 10 /08 /Août 15:36

Les anges de la nuit

Une aventure sexuelle de Harry Potter en cinquième année.

 

Avec : Hermione Granger, Nymphadora Tonks et Ginny Weasley.

 

 

 

 

 

            L’hiver se faisait de plus en plus rude. Le vent chargé de neige se jetait à pleine force sur les fenêtres du 12 square Grimmaurd comme s’il avait l’intention de les défoncer. Toutes les cheminées de la vieille bâtisse avaient été allumées mais la cuisine restait le seul endroit où l’on ne frissonnait pas. Une réunion venait d’avoir lieu suite à l’attaque d’Arthur Weasley alors qu’il était de surveillance au ministère mais, en dehors de la capacité de Harry à percevoir les émotions de Voldemort, il n’y avait rien de vraiment nouveau à apprendre.

 

            Tonks s’ennuyait fermement alors que les derniers membres de l’ordre du phœnix s’attardaient autour d’un verre d’hydromel en rediscutant sans cesse des mêmes suppositions et possibilités qui ne les menaient pour l’instant à rien. La jeune auror avait été ravie d’apprendre que Harry allait bien et que Arthur se remettrait de ses blessures mais elle en avait assez des discussions qui ne menaient à rien. La journée n’avait pas été de tout repos et elle se sentait vraiment lasse.

 

            La jeune femme se leva en faisant mine de s’intéresser à l’une des conversations. Elle se rapprocha doucement de l’escalier qui menait au hall d’entrée et s’y faufila rapidement. Ne se connaissant que trop bien, Tonks prit bien garde de ne rien renverser pour atteindre le premier étage. Elle longea le couloir soulagée d’avoir pu s’échapper sans paraître malpolie. Elle remarqua alors de la lumière sous une porte qu’elle reconnut comme étant celle de la chambre de Ginny. Tonks savait que Hermione était arrivée peu de temps auparavant mais elle n’avait pas encore pu la saluer. La jeune auror s’était tout de suite très bien entendue avec les deux adolescentes lors de leur séjour en été. Elle aurait aimé aller les voir mais elle craignait de les réveiller si les filles s’étaient endormies en laissant une bougie allumée.

 

            Tonks colla son oreille contre la porte. Elle crut entendre quelque chose mais rien qui ne lui indiquait que les filles étaient toujours éveillées. Tonks regarda autour d’elle pour être bien sûr que personne n’arrivait par ici et ne la surprenne dans une situation embarrassante puis elle s’agenouilla et jeta un œil par le trou de la serrure. La lumière était faible et la jeune auror eut besoin de quelques secondes pour repérer et identifier l’un des pieds de lit. Elle se tourna légèrement, collant sa joue contre le panneau de bois pour voir l’autre côté de la pièce, et s’arrêta stupéfaite.

 

            A travers ce que la serrure lui permit de voir, elle reconnut les douces courbes d’un petit fessier que caressait une langue dépassant de longs cheveux bruns en bataille. La petite pointe rose s’enfonça entre les deux tendres globes de chair qui furent recouverts par les crins emmêlés. Tonks se redressa, incrédule. Elle chancela un peu et se rattrapa au mur. Elle ne s’attendait pas à cette découverte. La jeune femme reprenait ses esprits en mettant son léger étourdissement sur le compte de la stupéfaction. Mais elle savait bien que la boule de chaleur qui s’était installée dans son bas ventre était loin d’y être étrangère. Savoir ce que faisaient les deux adolescentes juste derrière le mur l’excitait au plus au point. Le peu qu’elle en ait vu lui suffisait amplement à imaginer tout le reste. Ginny à genoux, le torse contre le matelas, ronronnante de plaisir sous les caresses gourmandes et délicates d’une Hermione passionnée. Tonks sentit un filet de liquide chaud couler le long de sa cuisse. Elle ne put s’empêcher de porter une main sur son entrejambe et de le masser vigoureusement à travers son jean. Mais elle sentait bien que ce serait insuffisant. Elle ne cessait de voir et revoir dans sa tête les deux jeunes filles se caresser de manière de plus en plus vigoureuse.

 

            Tonks prit alors sa décision. En essayant de reprendre un air calme et souriant, elle se mit face à la porte et, sentant les battements de son cœur s’accélérer, elle l’ouvrit. Elle entra dans la chambre comme si elle ne venait que pour dire bonsoir et resta immobile en espérant que son air stupéfait était convaincant. Si Ginny tourna la tête avec une réelle surprise, Hermione, concentrée sur l’exploration du petit anneau de sa camarade, ne se rendit compte de rien et continuait son œuvre délicieuse. Elle essaya même de retenir la petite rousse lorsque celle-ci remua pour se dégager de son étreinte. Hermione leva finalement la tête et aperçut la jeune auror qui avait vivement refermé la porte. Tonks s’aperçut que la jeune brune était assise sur un gode ceinture profondément enfoncé dans son intimité. Les deux adolescentes essayèrent de se couvrir le corps de leurs bras, l’air visiblement gênées.

 

« Excuse-nous Tonks, bredouilla Hermione, nous… euh… nous ne t’avons pas entendu arriver.

_ Non, c’est à moi de m’excuser les filles, je n’aurai pas dû entrer comme ça sans prévenir. »

 

La jeune femme s’aperçut que Ginny, encore tremblante de désir, ne cessait de fixer sa poitrine pourtant peu visible dans l’ampleur de son tee-shirt. Hermione s’en rendit également compte et eut un sourire.

 

« Ginny a l’air de te trouver à son goût Tonks, fit-elle. »

 

La petite rousse rougit jusqu’aux oreilles et baissa les yeux. Tonks s’approcha d’elle et s’assit sur le lit tandis qu’Hermione, d’un air plus assuré, avait retiré ses mains de sa jeune poitrine.

 

« Ce n’est pas grave Ginny, répondit tendrement Tonks, moi aussi je te trouve très mignonne. »

 

            Elle lui fit relever la tête et sans plus attendre, joignit ses lèvres aux siennes avec douceur. D’abord surprise, la petite rousse retrouva rapidement ses esprits et rendit son baiser à la jeune femme en l’entourant de ses bras. Ginny s’allongea lentement sur le dos, entraînant sa compagne avec elle, sans que leurs langues ne se délient. La jeune adolescente passa une jambe à la forme déjà bien féminine autour de la fine taille de Tonks pour serrer un peu plus son bassin contre le sien. Elle passa sous l’ample tee-shirt pour caresser la douceur du dos de son amante. La jeune Auror savait bien ce qu’elle attendait. Avec douceur, elle fit de lents et courts mouvements de ses hanches, amenant le tissu râpeux du jean à se frotter contre l’intimité délicate de la jeune adolescente qui poussait de légers gémissements lorsqu’elle ne savourait pas les lèvres de la jeune femme. Tonks posa une main sur les cheveux écarlates qu’elle caressa avec une grande tendresse et amena l’autre sur la jambe qui l’étrennait. Elle la fit lentement remonter le long de la cuisse, savourant la peau jeune et délicate. Elle contourna sans empressement la petite courbure des hanches et s’attarda encore plus sur le ventre plat à la douceur satinée, enfiévré de désir. Elle termina son voluptueux parcours sur la petite poitrine et sentit nettement Ginny frémir de plaisir.

 

            La jeune auror sentit deux autres mains déboutonner son jean et tirer la fermeture éclaire. Des doigts longs et fins passèrent sous le tissu rêche du pantalon puis sous celui bien plus doux de la petite culotte pour s’arrêter sur son trésor intime. Hermione caressa d’une main les abords du doux cocon intime tandis qu’elle agaçait le petit bouton d’amour érigé de l’autre. Tonks dû interrompre ses baisers pour pousser un long soupir de plaisir. Ginny en profita pour lui enlever son tee-shirt et mettre sa belle poitrine à nue. La jeune auror n’avait pas de très gros seins mais c’était bien assez pour satisfaire les mains et la bouche d’un homme… et d’une jeune fille. La petite rousse se glissa quelques centimètres plus bas et s’empara des deux monts de vénus. Elle jeta un regard coquin à Tonks et emprisonna de ses lèvres avides l’un des tétons qu’elle téta goulûment. La jeune femme poussa un petit cri de plaisir et sentit sa liqueur intime s’écouler sur les doigts délicats d’Hermione. La petite brune en profita pour aller explorer le doux coquillage plus en profondeur et s’abaissa pour caresser de sa langue le bel arrondit de la chute des reins.

 


            Hermione contourna les hanches de Tonks abaissa le pantalon et la petite culotte en caressant ses cuisses. Elle fit rouler la jeune femme, et Ginny qu’elle tenait étroitement enlacée, sur le côté pour pouvoir retirer complètement le jean et le sous-vêtement. Le plus naturellement du monde, Tonks finit sa roulade sur le dos, amenant la petite rousse sur elle qui n’en finissait pas de faire jouer sa langue habile sur ses seins sensibles. Hermione s’était relevée pour attacher le gode et revint s’agenouiller sur le lit pour le positionner face à l’intimité de la jeune femme. Elle joua avec l’extrémité de plastique sur le trésor le plus précieux de la jeune auror avant de lentement entrer en elle. Tonks dû tourner la tête et enfouir le visage dans un coussin pour que son cri de plaisir reste discret. Les filles l’envoyaient régulièrement au septième ciel et la jeune femme due prendre quelques minutes pour se remettre. Elle fit glisser ses mains le long du dos de Ginny et s’arrêta sur son petit derrière bien rond qu’elle se mit à masser avec avidité. La petite rousse accentua également les mouvements de sa langue sur les seins de la jeune auror. En voyant Tonks malaxer le petit cul de sa camarade, Hermione fut si excitée qu’elle accéléra ses coups de boutoir. Hypnotisée par les doigts qui caressaient la chair tendre, elle entendit à peine le cri étouffé de la jeune femme et sentit confusément ses cuisses être couverte de jus de plaisir.

 

            Elle s’arrêta, essoufflée, et retira le gode du doux coquillage de Tonks. Ginny fit glisser tout son corps contre celui de la jeune auror pour retrouver ses lèvres. Hermione s’agenouilla à côté du couple et se pencha pour profiter également de la douceur de la langue de Tonks. La jeune femme répondit passionnément à son baiser et s’empara de sa jeune poitrine. La douceur des seins et des lèvres de la jeune fille faillit la faire jouir à nouveau. Hermione tremblait également de désir mais elle ne voulait pas encore rompre le voluptueux lien qui les unissait. Tonks sentit Ginny qui se tournait lentement, prenant bien soin que la jeune auror savoure le contact de leurs peaux. La petite rousse se retrouva en travers du  lit et se mit à nettoyer consciencieusement le gode de sa langue, goûtant avec plaisir au reste de liqueur intime qui le recouvrait. Elle dut en apprécier la saveur car, lorsqu’elle eut finit, elle se retourna complètement, se mettant un peu plus sur le côté pour ne pas écraser Tonks, et fit jouer le bouton d’amour de la jeune femme entre ses lèvres. Comme si elle avait attendu ce signal, Hermione se retourna également et caressa le doux cocon de sa langue.

 

            Les filles envoyèrent rapidement la jeune auror au septième ciel mais elles n’arrêtèrent pas leur festin pour autant. Tonks haletait de plaisir sous les caresses vicieuses des deux petites langues. Elle se pinçait les lèvres pour ne pas être trop bruyante. Ses mains s’attardaient sur les jeunes croupes joliment rebondies, les effleurant à peine, comme si les adolescentes pouvaient se briser sous ses caresses. Tonks finit par trouver les orifices intimes de ses délicieuses amantes et ses doigts s’y faufilèrent rapidement. Hermione et Ginny poussèrent un long gémissement de concert mais ne tardèrent pas à retrouver l’intimité de la jeune femme. Tonks accentua ses va et viens à chaque coup de langue sur son beau coquillage. Les adolescentes avaient tout fait pour lui donner du plaisir et elle était déterminée à les faire profiter de son expérience pour leur rendre la pareille.

 

            La jeune auror se décida à prendre les choses en mains lorsque les bouches des petites gourmandes l’amenèrent à nouveau à l’orgasme. Elle fit glisser Hermione sur Ginny qui se retrouvèrent l’une face à l’autre et en profitèrent pour s’embrasser tendrement en frottant l’une contre l’autre leurs douces poitrines. Tonks s’empara du gode ceinture qu’elle transforma en double. Elle l’enfila autour de la taille et approcha les deux membres factices des trésors intimes des jeunes filles. Prenant appui sur le joli petit cul d’Hermione, elle pénétra les deux adolescentes d’un grand coup. Les filles ne purent s’empêcher de pousser un petit cri de plaisir. Elles retrouvèrent le chemin de leurs lèvres mais furent obligées de s’interrompre, haletantes, tandis que Tonks s’activait vivement en elles. La jeune femme appréciait la douceur des petites fesses d’Hermione. Elle laissa un pouce s’égarer vers le puit secret de cette dernière qui en frémit de plaisir. Sans plus hésiter, Tonks fit lentement avancer son doigt dans le petit anneau.

 

            Ginny fit relever Hermione pour qu’elle se retrouve à quatre patte puis se retourna, toujours sur le dos, pour se retrouver face à l’intimité ruisselante de son amie. Tonks comprit où elle voulait en venir et dégagea le gode du beau coquillage de la jeune brune pour en poser l’extrémité sur le petit anus tandis que l’autre membre factice se retrouvait contre les lèvres inférieures. La jeune auror pénétra à nouveau l’adolescente, se fichant à la fois dans son ventre et son dos. Ginny en profita pour savourer le bel abricot juteux de Tonks tandis que Hermione se penchait sur le temple de Venus écarlate de la petite rousse. Le trio devenait de plus en plus enfiévré. Chacune des trois amantes appréciaient autant de donner un maximum de plaisir aux autres que d’en recevoir. Enivrée par les parfums secrets de Ginny et déchaînée par les vigoureux coups de reins de Tonks, Hermione fut la première à pousser un long gémissement de plaisir tandis que sa liqueur d’amour s’écoulait lentement sur la gorge de la petite rousse et descendait en petits ruisseaux sur sa jeune poitrine. Sentant le fluide intime la recouvrir, Ginny poussa également un cri de plaisir qu’elle étouffa contre le doux cocon de la jeune auror. Tonks se mordit la lèvre pour ne pas trop se laisser aller tandis que le souffle chaud de l’adolescente dans son ventre l’emportait également vers la jouissance.

 

            Hermione retira les membres factices de ses orifices et roula sur le côté pour libérer Ginny de son poids. Tonks en profita pour aller nettoyer la poitrine de la petite rousse avec sa langue tandis que la jeune brune se mit à lécher consciencieusement la gorge également souillée. Pendant quelques minutes elles reprirent leurs souffles en se caressant et en s’embrassant. Mais le brasier qui avait envahit leurs corps n’était pas encore éteint et elles se décidèrent à reprendre leur jeu favori. Tonks voulait cette fois-ci s’occuper de Ginny. Elle garda la petite rousse sur le dos et souleva son bassin à hauteur des godes qu’elle enfonça lentement en savourant le visage extasié de sa compagne. Hermione présenta alors son beau coquillage à la bouche gourmande de Ginny, qui ne se priva pas pour le dévorer immédiatement, et se pencha sur la jeune auror pour goûter à sa poitrine. Elle passa ses mains sous la jeune femme pour agacer son bouton d’amour au rythme de ses va et viens puissants. Au bout de quelques minutes à peine, la petite rousse fut déjà sur le point de jouir mais elle se retenait en accentuant les mouvements de sa langue sur le sexe d’Hermione. Celle-ci se fit également plus pressante auprès de Tonks. Les trois amantes sentirent leurs orgasmes venir comme s’ils ne faisaient qu’un. Se retenant à grande peine de hurler leur plaisir, elles se cramponnèrent les unes aux autres tout en se libérant de leurs fougueux désirs.

 

            Epuisées mais au combien heureuses, elles s’écroulèrent sur le lit. Tonks fut contente de voir les visages exténués mais ravis des jeunes filles. Hermione et Ginny dormaient pratiquement déjà. La jeune auror les installa avec douceur sur le matelas et s’allongea entre elles avant de rabattre drap et couvertures. Confortablement installées dans le lit, les deux adolescentes se pelotonnèrent contre Tonks et s’endormirent rapidement. La jeune auror sentit également le sommeil la gagner et s’endormit en souriant tout en caressant la douceur de ses deux anges tout contre elle.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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Dimanche 23 avril 7 23 /04 /Avr 21:31
Consolation

Une aventure sexuelle de Harry Potter en quatrième année.

Avec : Hermione Granger et Ginny Weasley






    Elle commençait à se dire qu’il était temps de rentrer. Même si en été le fond de l’air n’était jamais vraiment plus frais, elle sentait bien que les rayons du soleil caressaient de moins en moins sa peau. Elle referma son livre et ferma les yeux, prenants encore quelques minutes pour sentir la douceur de l’air du soir. Elle était si tranquille dans cette petite clairière. Ginny la lui avait indiqué dès son arrivée. D’après la petite rousse, c’était le seul endroit où l’on ne risquait pas de  voir Ron, Fred ou George arriver pour se rincer l’œil. Et de fait, malgré ses fréquentes séances de bronzage, Hermione n’entendait que le chant des oiseaux et celui des feuilles entraînées par le vent. En de fréquentes occasions, Ginny se joignait à elle. Mais elles étaient obligées de parler à voix basses pour ne pas trahir leur endroit secret et empêcher que les garçons n’aient envie de voir de plus près leur invitée lascivement allongée en bikini.

    Elle finit par se lever, un peu à contre cœur, et s’étira de tout son long. Elle remit sa chemise et sa jupe, replia sa serviette et ramassa son livre avant d’emprunter le petit sentier qui serpentait dans le bois. Avec de grandes précautions, elle finit par déboucher sur un chemin qui passait juste derrière le jardin des Weasley. Elle passa le portail, évita quelques gnomes qui se faufilait entre ses pieds et entra dans la cuisine. Les odeurs d’aromates et de légumes frais l’envahirent. Mrs Weasley était déjà aux fourneaux tandis que Ron, assit à table, lisait un magazine de balais.

« Eh bien où étais-tu ? Fit celui-ci.
_ Oh ! Pas loin !
_ Mais qu’est-ce que tu faisais ? Insista Ron.
_ Rien. Un peu de bronzette et de lecture.
_ Mais jusqu’où as-tu été ?
_ Mmmmh, ça a l’air drôlement bon Mrs Weasley, fit Hermione en espérant être convaincante dans son changement de discussion.
_ Oh tu es gentille Hermione, mais je ne fais que commencer. Tu m’as l’air d’avoir beaucoup pris le soleil. Tu ferais mieux d’aller prendre une douche.
_ Oui vous avez raison, répondit Hermione en se tournant vers les escaliers. J’y vais tout de suite.
_ Au fait, reprit Ron tandis qu’elle gravissait les premières marches, on a reçu la réponse de Harry. On ira le chercher bientôt. J’espère que tu seras plus présente quand il sera là. »

    Hermione ne répondit pas et se hâta vers le premier étage. Elle était contente de savoir que Harry allait bientôt être délivré de son oncle et sa tante et qu’il les rejoindrai pour aller voir la coupe du monde. Elle entra dans la chambre de Ginny où elle dormait également et avait toutes ses affaires. La petite rousse lisait tranquillement sur son lit vêtue seulement d’un petit débardeur et d’une petite culotte.

« Qu’est-ce que tu fais comme ça ? Demanda Hermione.
_ Rien, j’avais juste trop chaud. Et comme je n’avais pas envie de cuire au soleil je suis restée ici.
_ Ah bon ! Moi par contre je suis presque grillée. Je vais aller prendre une douche. Et tu sais ? Harry va bientôt venir, tu pourrais peut être enfin déclarer ta flamme.
_ Euh oui… enfin non… c’est à dire… peut être. »

Ginny avait soudain l’air extrêmement gênée et rajusta son oreiller. Hermione eut le temps de voir une sorte de bout de papier en dessous. Elle s’approcha du lit et s’assit.

« Qu’est-ce qui ne va pas ?
_ Rien… rien, tout va bien. »

Nonchalamment, Hermione avait passé une main sous l’oreiller et en retira vivement ce qui était caché. C’était une coupure de la « gazette du sorcier » qui datait de deux ans sur laquelle figurait une photo. Hermione la connaissait bien. C’était celle prise à Fleury et Bott où le futur professeur Lockhart avait insisté pour que Harry figure sur le cliché. D’habitude, le double de Harry cherchait vaille que vaille à fuir le cadre de la photo, mais là il était tranquille et souriant tandis que Lockhart semblait avoir peur de se montrer. Ginny lui avait sûrement lancé un sort d’acné virulente qui avait passablement gâché son beau visage.

« Que c’est mignon, fit Hermione tout sourire, dormir avec la photo d’Harry sous ton oreiller. C’est si romantique.
_ Rends-la moi ! S’écria Ginny en lui arrachant le papier des mains. »

La petite rousse ne semblait pas en colère mais ses joues avaient la couleur de tomates bien mures et elle n’osait plus regarder Hermione dans les yeux. Cette dernière lui prit la main et posa un baiser sur sa joue.

« Excuse-moi ! je n’avais pas l’intention de me moquer de toi. J’étais sincère, je trouve ça très beau. Et je sais bien que tu aimes Harry, tu me l’a dit bien souvent.
_ Ce n’est pas ça ! Lui il ne m’aime pas. Il passe tout son temps avec Ron et toi. C’est comme si je n’existais pas pour lui. Cette photo c’est tout ce que j’ai de lui et qui n’est qu’à moi.
_ Ron et moi nous sommes ses amis. Nous n’allons pas le laisser de côté jusqu’à ce qu’il se rende compte que tu es mignonne. Tu ferais bien de l’oublier un peu et de penser un peu plus à toi. Il finira par se réveiller tout seul. En tout cas si tu l’accueillais dans cette tenue, il te tomberai dans les bras aussitôt. »

    Ginny eut un petit rire. Elle décida à se lever et bouscula ses draps sans le vouloir. Un long objet de plastique tomba sur le sol. Hermione reconnut un gode et le ramassa. Ginny riait d’un air faussement coupable.

« Petite coquine. Cette photo ne sert pas à se rappeler uniquement de son bon souvenir. Je comprends mieux pourquoi tu ne m’as pas accompagné cet après-midi.
_ Tu ne vas pas me faire la leçon, répondit Ginny d’un air malicieux, comme si toi tu t’en privais.
_ Oui mais moi je ne reste pas dans mon coin, j’en fais profiter les copines. »

Hermione attrapa Ginny par la taille et l’attira contre elle. Leurs lèvres et leurs langues se rencontrèrent tout naturellement tandis qu’elles sentaient leurs jeunes poitrines s’écraser l’une contre l’autre. La petite rousse descendit ses mains et passa en dessous de la jupe pour caresser avec tendresse le petit postérieur de son amie. Hermione préféra agacer le bouton d’amour et le beau coquillage par dessus la petite culotte tandis que son autre main s’aventurait sous le petit débardeur pour caresser la chair tendre des deux petits monts de Venus.

Ginny commençait à gémir faiblement et son amante en profita pour contourner la barrière de tissu et introduire deux de ses doigts dans le trésor intime frémissant. La petite rousse jeta la tête en arrière en tentant de ne pas faire trop de bruit sous les délicieuses caresses. Hermione en profita pour remonter vivement le petit débardeur et laisser sa langue goûter avec délectation à la petite poitrine. Elle pesa doucement sur Ginny pour la faire asseoir sur le lit puis l’allonger sans jamais quitter un instant ses charmes. La petite rousse ne semblait plus maîtresse d’elle-même. Ses mains se promenaient sur le corps d’Hermione, sans but précis. Elle avait les yeux fermées, toute concentrée sur les caresses de son amante. Hermione se releva alors et contemplait la jeune fille en proie au désir.

« Qu’est-ce que tu fais ? S’écria Ginny dépitée.
_ Je te l’ait dit, je dois aller prendre ma douche. Je crois que tu es assez excitée pour la première partie.
_ Tu… tu ne vas pas me laisser comme ça quand même ?
_ Oh si, et j’emporte également ça, dit Hermione en s’emparant du gode, je te veux toute aussi disposée à mon retour. Et là je te garantie des sensations fortes. »

La petite rousse la supplia encore mais Hermione tourna les talons en souriant d’un air malicieux, cacha le gode sous ses vêtements et sortit de la chambre.



    Bien qu’elle aurait aimé continuer de caresser son amie, Hermione prenait un certain plaisir à la faire languir dans l’état d’excitation où elle se trouvait. Elle se promit bien de faire tout ce qu’elle pouvait ensuite pour se faire pardonner. Elle atteignit la salle de bain et prononça le mot de passe. Seule Ginny en avait un différent des autres et elle l’avait révélé à Hermione pour qu’aucun de ses frères n’entrent par « inadvertance ». Elle se déshabilla en pensant au petit effet que produirait un strip-tease face à Ginny brûlante de désir. Hermione entra sous la douche et régla la température de l’eau assez fraîche. Elle aussi avait du mal à attendre tout le temps de la douche. Elle sentait l’eau ruisseler sur tout son corps. Mais si son corps était rafraîchit, elle ne pouvait en dire autant de ses désirs qui la chauffaient de plus en plus. Sans s’en rendre bien compte, ses mains remontèrent le long de son ventre pour atteindre ses seins qu’elle se mit à masser avec lenteur, imaginant que Ginny les savouraient tendrement. Bien vite, ses doigts descendirent vers son intimité en pensant que la petite rousse serait ravie de pouvoir explorer en profondeur le beau coquillage. Mais elle se rendit compte à quel point l’envie qu’elle avait de Ginny ne pourrait se calmer uniquement grâce à ses doigts. Elle s’empara alors du gode dans ses vêtements et s’agenouilla sous la douche. Le membre factice ne tarda guère à se retrouver profondément fiché dans son intimité et elle le fit aller et venir avec force. Elle essayait de retenir ses gémissements. Elle voyait sans cesse la petite rousse, tantôt la masturber avec entrain, tantôt laisser ses mains ruisseler sur son corps comme l’eau battante de la douche.

    La porte s’ouvrit à la volée et Ginny entra. Elle découvrit Hermione à quatre pattes, manipulant vigoureusement le gode qui s’arrêta soudain, tétanisé par l’entrée impromptue. Dans un éclair de lucidité, la petite rousse referma la porte puis se retourna vers son amie qui s’était redressée.

« Alors comme ça tu me fais attendre au bord de l’évanouissement pendant que tu t’amuses toute seule ? Il est joli ton partage avec les copines.
_ Mais qu’est-ce que tu fais là ?
_ Je n’en pouvais plus d’attendre. D’ailleurs dans ces conditions là, j’aurai pu attendre longtemps.
_ Désolée, c’était plus fort que moi.
_ Eh bien maintenant j’espère que tu sais a quel point j’en ai envie aussi. »

Ginny s’approcha vivement de la douche et pris le gode des mains d’Hermione. Sans se soucier de ses vêtements, elle entra sous la douche en faisant faire un demi tour à son amie. L’extrémité de plastique fouilla entre les deux petits globes de chairs et Hermione savait que la petite rousse allait se venger. En effet, le gode s’arrêta sur son puît secret et Ginny l’introduisit sans ménagement.

    Hermione savait que la petite rousse était un peu frustrée, et elle ne pouvait lui en vouloir, mais elle n’était pas vraiment en colère. Après les deux ou trois premiers coups un peu rudes, Ginny se fit plus douce. Hermione sentit la petite langue de son amie lécher doucement la peau de son dos tandis qu’une main l’avait contournée pour se poser sur sa poitrine. Elle s’abaissa un peu plus pour faciliter les caresses de la petite rousse. Ginny s’agenouilla sans cesser de manipuler le gode. Elle fit courir sa langue le long de la cuisse de son amante, remontant jusqu’à son trésor intime qu’elle envahit avidement. Hermione poussait des gémissements de plaisir tandis qu’elle se plaquait conte le mur. Sa poitrine juvénile se pressait contre le carrelage ruisselant tandis que ses mains écartaient ses petites fesses rondes pour faciliter la pénétration du membre de plastique. La main vacante de la petite rousse caressait tendrement son ventre plat à la douceur satinée. Hermione ne put tenir plus longtemps. Elle lança son bassin en arrière et plaqua son joli coquillage sur la bouche gourmande de Ginny qui reçut de grands flots de son jus de plaisir qui se mêlèrent à l’eau descendant en cascade de sa superbe croupe.

    Ginny cessa de mouvoir le gode dans le petit anneau d’Hermione tandis qu’elle buvait à la source intarissable. Elle le retira après avoir été pleinement rassasiée. Hermione se retourna et contempla la petite rousse. Ses vêtements étaient si trempés qu’ils ne cachaient plus rien de son corps encore jeune. Ses formes peu développées semblaient distendre le tissu jusqu’à ses dernières limites. Ses yeux pétillants de désir semblaient supplier Hermione de mettre enfin un terme à ses chaudes attentes. Celle-ci la pris par les épaules et la releva tendrement. Elles s’embrassèrent avec passion tandis qu’Hermione faisait glisser les deux fines bretelles du débardeur le long des bras de sa partenaire et le laissa tomber à ses pieds. Elle écarta légèrement Ginny et s’empara de sa jeune poitrine avec ses lèvres. Elle savoura les deux petits seins tendus, presque aussi rafraîchissants que l’eau qui les submergeait. Hermione fit lentement descendre ses mains sur les hanches de la petite rousse et retira la petite culotte avec précaution, comme si elle ouvrait l’écrin d’une pierre aussi précieuse que fragile.

    Le corps de Ginny semblait fondre à la moindre caresse, au moindre toucher. Hermione fut soudain aussi impatiente de la satisfaire qu’elle d’être satisfaite. Ses doigts se promenèrent quelque peu sur son entrejambe glabre et doux puis allèrent visiter l’antre du plaisir. La petite rousse se crispa quelques secondes sous la jouissance qui venait enfin. Elle se détendit et caressa tendrement les cheveux d’Hermione dont les lèvres étaient toujours occupée par sa poitrine de jeune adolescente. Ginny sentait le plaisir se faire plus fort et elle dût se mordre les lèvres pour ne pas crier. Sans cesser de savourer la petite poitrine, Hermione s’empara du gode et en posa la pointe sur le ventre de la petite rousse. Elle le fit descendre très lentement vers sa destination prévisible arrachant des frissonnements d’impatience à Ginny haletante. Le membre de plastique se positionna contre les lèvres intimes et les pénétrèrent d’un grand coup. Cette fois, la petite rousse ne put retenir un cri qu’elle essaya malgré tout de contrôler. Hermione maniait le gode avec vigueur, savourant la douce chaleur du corps de son amie tout contre elle. Ginny ne se plaignait aucunement du rythme imposé par sa partenaire. Elle avait attendu si longtemps qu’elle se sentit aller au devant du membre factice tandis qu’Hermione glissait une main pour caresser son petit cul bien tendre. Deux doigts s’immiscèrent dans le petit anneau de la jeune rousse qui se tendit alors sous le choc d’une vague brûlante de plaisir. Sa liqueur d’amour se répandit sur le gode et la main d’Hermione qui s’agenouilla aussitôt pour la recueillir dans sa bouche.

    Les deux jeunes filles restèrent assises, tendrement pelotonnées l’une contre l’autre, attendant de reprendre leur souffle avec pour seule occupation de petits baisers et de légères caresses. Elles finirent par se relever. Elles se lavèrent l’une l’autre, usant de savon et de shampooing avec des airs coquins. Hermione se rhabilla et Ginny s’entoura d’une grande serviette. Elle ramassa ses vêtements trempés et toutes deux filèrent à pas de loup jusqu’à la chambre. La petite rousse put s’habiller convenablement tandis qu’Hermone faisait sécher ses cheveux grâce à sa baguette magique. Elle remarqua la photo de Harry dépassant de l’oreiller.

« Tu sais Ginny, je crois sérieusement que tu devrais fréquenter d’autres garçons.
_ Quoi ? s’étonna la petite rousse.
_ Oui ! Tu es peut être trop amoureuse de Harry. La dernière fois, quand on était tous aux chaudron baveur, tu ne lui a presque pas dit une phrase entière.
_ Je ne vois pas le rapport, répondit Ginny dont les joues redevenaient écarlates.
_ Tu devrais sortir avec un autre garçon qui te plaît, voir comment ça se passe. Tu n’es pas obligée de finir ta vie avec le premier que tu rencontres. Donne toi du temps, fais tes propres expériences. Je suis sûre qu’au final tu sauras comment attirer Harry.
_ Je ne sais pas si je pourrais voir un autre garçon. Je penserai tout le temps à lui. Et puis je t’aime bien aussi. On aura plus le temps de se voir.
_ On trouve toujours le temps pour ça, fit Hermione avec un petit sourire. Ecoute, tu n’as qu’à essayer, tu n’as rien à perdre finalement.
_ Oui peut être. On verra à la rentrée. »

Elles entendirent Mrs Weasley les appeler pour le repas. Elles s’embrassèrent tendrement et descendirent en vitesse.
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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Dimanche 12 février 7 12 /02 /Fév 19:14
Une surprise dans les ténèbres

Une aventure sexuelle de Harry Potter en sixième année.

Avec : Hermione Granger, Ron Weasley, Lavande Brown et Parvati Patil.



   

    Hermione claqua furieusement la porte derrière elle. Elle s’avança d’un pas rageur dans la pièce, une salle de cours désaffectée pleine de poussière. Elle prit l’une des chaises entreposées contre le mur et s’assit, la tête dans les mains. Elle aurait voulu retenir les larmes de fureur et de dépit qui coulaient entre ses paumes. Mais elle en avait assez, plus qu’assez de Ron. Désormais il ne lui suffisait plus d’embrasser et de peloter Lavande en sa présence mais il se moquait ouvertement d’elle devant sa petite copine et Parvati.

    Elle se sentait si seule. Elle voyait bien que Harry faisait des efforts pour l’aider mais il n’avait jamais été très doué dans ce genre d’exercice et, bien qu’elle appréciait l’intention, cela lui était tout à fait inutile. Ginny quant à elle, bien plus douée pour affubler Ron des pires horreurs qui soit, traversait une mauvaise passe avec Dean et n’était pas souvent présente lorsque Hermione avait besoin d’elle.

    Elle se recroquevilla sur sa chaise, entourant ses genoux de ses bras, et laissa ses sanglots aller de plus belle, n’ayant plus la force de les retenir. Elle était bête. Si seulement elle avait eu le courage de déclarer ses sentiments à Ron avant que Lavande ne se jette sur lui. Après tout ce n’était qu’un garçon comme les autres. Il n’a pas perdu de temps à se demander pourquoi une fille aussi jolie voulait sortir avec lui et il a profité de l’occasion. Elle l’avait bien vu ce matin entre deux piliers en train de lui caresser les seins sous sa chemise. Mais s’il avait su qu’elle l’aimait ? L’aurait-il choisis ? Aurait-il risqué de briser leur amitié en sortant avec elle ? Ou aurait-il choisis de ne rien brusquer ?

    Hermione se secoua la tête. Quand elle était dans cet état, elle se laissait aller à penser à beaucoup de choses dont elle savait pertinemment qu’elle n’obtiendrait aucune réponse. Et puis à quoi cela lui servirait de savoir ce qu’aurait fait Ron s’il avait su qu’elle l’aimait puisqu’il était déjà avec Lavande et qu’ils s’entendaient si bien. Hermione décida de se ressaisir et sécha ses larmes avec un pan de sa robe. Elle remit la chaise en place et se dirigea vers la sortie, voulant retourner dans son dortoir pour ne pas croiser à nouveau Ron et Lavande et leurs mains baladeuses.

    Mais elle avait à peine avancé la main pour saisir la poignée de la porte qu’elle entendit des rires dans le couloir. Des rires qu’elle connaissait bien. C’était eux. Et ils s’approchaient. Hermione regarda frénétiquement autour d’elle et vit une armoire délabrée mais dont la porte tenait toujours. Elle se précipita vers elle et entra à l’intérieur. Elle referma la porte, laissant juste un interstice pour voir ce qui se passait, et pria pour que le couple n’entre pas. La classe désaffectée se trouvait sur le chemin de la salle commune des gryffondors et il n’était pas rare de croiser des élèves de cette maison dans le couloir. Mais, par une impression bizarre, Hermione savait qu’ils allaient entrer. Et s’ils le faisaient, elle savait également pour quelle raison.

    Elle entendit le grincement de la porte et deux rires étouffés se faufilèrent dans la salle. Elle entendit la voix de Ron prononcer doucement « Collaporta » ainsi que le bruit de succion annonçant que la porte était scellée. Elle entendit le son de leurs baisers s’approcher et leurs pas titubants d’être trop étroitement enlacés.

« Allons par-là ! »

Hermione vit la main de Lavande désigner le vieux bureau au bout de la salle ce qui la remplit de dépit. S’ils faisaient ça sur le bureau elle ne pourrait rien en manquer tant l’armoire était étroite. Et il était déjà suffisamment pénible de n’avoir qu’à les entendre. Mais, main dans la main, Ron et lavande entrèrent dans son champ de vision en gloussant.

« Ah oui ! S’exclama Ron. J’aimerai bien être prof parfois. Je pense que ça doit être sympa d’avoir toute une classe sous ses ordres.
_ Et bien pourquoi pas ? Fit Lavande, les yeux pétillants. Vous ne voudriez pas me donner une leçon particulière monsieur le professeur ? »

    Hermione se crut en plein cauchemar tandis que Ron acquiesçait avec un grand sourire. Il contourna le bureau et se laissa tomber dans le vieux fauteuil qui grinça sous son poids. Hermione ferma les yeux mais elle ne put s’empêcher de les rouvrir immédiatement lorsque Ron parla.

« Alors miss Brown ! On m’a raconté que vous aviez encore fait des bêtises. »

Il avait pris un air sérieux, la tête reposant sur ses mains, et détaillant Lavande devant lui avec insistance. La jeune fille avait pris un air de petite fille prise en faute, tournant la pointe de son pied d’un air naïf, les mains dans le dos, faisant ressortir sa poitrine, et la tête baissée, les yeux fixés sur la surface plane et poussiéreuse du bureau.

« Je ne sais pas de quoi vous parlez ! Répondit Lavande d’une petite voix.
_Allons, ne faites pas l’innocente. On vous a vu dans les toilettes.
_ Je… ne …
_ Qu’y faisiez-vous ? Dites-le !
_ Je… mais… rien voyons.
_ Ah oui ? Hé bien nous allons voir ça. Relevez votre robe miss Brown. »

Hermione, sous le choc, ne pouvait détacher ses yeux des jambes de Lavande qui se révélaient peu à peu jusqu’à son ventre.

« Enlevez également cette petite culotte miss Brown. »

Lavande retira son sous-vêtement sans dire un mot tandis que Ron prenait sa baguette magique. Il la mit entre les cuisses de la jeune fille, s’insérant entre les lèvres intimes et se mit à faire des va et viens énergiques. La tige de bois frottait le petit bouton d’amour et tout le seuil de son petit coquillage, la faisant gémir tandis que ses mains se crispaient sur sa robe relevée. Hermione ne voyait que la pointe de la baguette qui ressortait sous les fesses de la jeune fille mais elle sentit presque aussitôt une boule de chaleur intense dans son bas ventre.

« Alors miss Brown ? N’est-ce pas là ce que vous faisiez dans les toilettes ?
_ Si… si… oh oui… je l’avoue. Mais c’est si bon. »

Ron arrêta ses mouvements et retira sa baguette, faisant pousser un gémissement de dépit à Lavande.

« C’est une faute très grave miss Brown. Une faute qu’un professeur ne peut laisser passer. De plus, vous m’avez menti. Il va falloir que je vous donne une punition.
_ Oui monsieur. Répondit Lavande sans relâcher sa robe. Je n’ai pas été sage.
_ Commencez par retirer vos vêtements. Mais n’allez pas trop vite. Nous avons tout notre temps. »

Lavande commença à se déshabiller langoureusement. Ron la regardait tout en relevant sa propre robe. Le bureau empêchait Hermione voir ce qu’il faisait de sa main mais elle le savait déjà. Elle-même n’avait pu résister à passer ses doigts sur sa petite culotte et à caresser son intimité à travers l’étoffe tout en contemplant le corps de Lavande qui s’offrait peu à peu.

    Lorsqu’elle fut entièrement nue, Ron se leva, sa virilité fièrement dressée. Lavande avait un air gêné et cachait ses seins d’un bras et son sexe de l’autre.

« Ne faites pas votre ingénue, miss Brown. »

Ron écarta les bras de la jeune fille et caressa sa poitrine d’une main tandis que l’autre massait son bel abricot.

« Vous avez été une vilaine fille miss Brown. Mais maintenant il va falloir être gentille et obéissante.
_ Oui… monsieur…, haleta Lavande.
_ C’est pour votre bien miss Brown.
_ Oui… professeur… je sens… que c’est bien !
_ Penchez-vous sur le bureau que je vous enseigne mieux. »

Lavande posa son torse sur le bureau, écrasant sa belle poitrine. Sa tête arriva à hauteur du membre de Ron. Elle le prit en bouche d’un air timide et fit de petits va et viens, n’allant guère plus loin que le gland. Ron appuya alors fortement sur la tête de la jeune fille et lui imposa un rythme plus brutal, allant du gland à la garde.

« Comme ceci miss Brown. C’est comme ceci que vous retiendrez la leçon. »

    Hermione savait que Lavande aimait être quelque peu malmenée en matière de sexe. Elle ne se soucia donc pas de la réaction de Ron et prit un certain plaisir à voir la verge gonflée prendre la petite bouche sans ménagement. Elle introduisit même deux doigts dans son trésor intime en regardant le petit cul de la jeune fille, bien relevé dans cette position, frémir à chaque assaut. Hermione devait faire un véritable effort pour ne pas gémir du plaisir que lui procurait ses doigts. Elle vit Ron saisir à nouveau sa baguette. Il prononça une formule et elle s’allongea d’un bon mètre. Ron se servit de son nouvel instrument pour frapper les petites fesses rondes de Lavande qui en gémit de douleur. C’était la première fois qu’Hermione la voyait ainsi mais la jeune fille semblait apprécier d’être traitée de la sorte et un long filet de jus de plaisir coulait sur ses jambes tandis qu’elle frémissait sous chaque coup de baguette. En reprenant ses caresses de plus belle, Hermione pensa à quel point elle aurait aimé aller lécher le petit cul endolori.

    Ron relâcha son étreinte sur la tête de Lavande et se retira de sa bouche. Il rendit sa forme initiale à sa baguette et contourna le bureau pour se positionner derrière Lavande.

« Bien miss Brown. J’espère que vous êtes encore en forme, la punition ne fait que commencer. »

Lavande émit un petit couinement qui se voulait contraint mais qui ne parvenait pas à cacher son désir. Ron s’empara des petites fesses rougies par la baguette et les massa en laissant échapper un grognement de satisfaction. Puis il les écarta brusquement pour découvrir le petit anneau. Il posa son membre dur tout contre le puits secret et commença à entrer avec lenteur. Bonne comédienne, Lavande ne fut pas en reste et se tortilla sur le bureau en parlant d’une voix faussement contrariée.

« Non monsieur ! Pas par là ! C’est trop étroit, ça va me faire mal.
_ Miss Brown ! Laissez-moi vous éduquer comme il se doit et cessez de gigoter. »

Ron plaqua le corps de la jeune fille sur le bureau et pénétra le petit cul d’un grand coup, arrachant un cri de douleur véritable à sa partenaire. Il se mit à faire de vigoureux va et viens dans le petit anus tandis que Lavande haletait de plus belle.

    Dans son armoire, Hermione se mordait la lèvre pour ne pas se faire entendre. Voir Lavande dans cet état là l’avait toujours beaucoup excitée. Sans en être totalement consciente, sa main libre plongea dans sa poche pour en ressortir avec sa baguette magique. Elle souleva l’arrière de sa robe, non sans difficulté dans un lieu si étroit, et baissa sa petite culotte. Elle présenta immédiatement le manche de sa  baguette devant ses fesses et l’enfonça rudement dans son petit anneau. Sa respiration se fit encore lus forte tandis que sa baguette et ses doigts la soumettaient au doux supplice du plaisir.

    Ron avait ajouté ses deux pouces à son membre et prenait un malin plaisir à malmener la merveilleuse élasticité du petit orifice. Lavande poussait de petits cris de jouissance en essayant de prendre une voix suppliante de moins en moins convaincante au fil de leur étreinte bestiale.

« Non ! Monsieur… aaah… arrêtez… ooooh… ça… ça fait mal. »

A la surprise d’Hermione, Ron stoppa aussitôt et se retira vivement. En voyant le visage dépité de Lavande, Hermione comprit qu’elle avait peur que son partenaire l’ait prise trop au sérieux. Mais Ron s’assit sur le bureau et dit de sa voix toujours sérieuse :

« En effet miss Brown, la punition ne me semble pas assez explicite. Je fais tout le travail comme si c’était moi qui était en faute. A vous de devenir active. »

Les yeux de Lavande pétillèrent de joie quelques instants puis elle reprit son air contrit en se relevant et en posant ses lèvres sur le torse du jeune garçon. Elle descendit peu à peu la tête, guidé par l’une des mains de Ron dans ses cheveux tandis que l’autre lui flattait les fesses et faisait connaissance avec son doux coquillage. Elle entoura de ses lèvres le gland fébrile de désir tandis que des doigts s’insinuaient dans ses orifices intimes. Elle ferma les yeux et fit glisser le pieu de chair au fond de sa gorge. Elle sentit Ron s’allonger sur le bureau et ses mains relâcher leur pression. Elle se releva alors et passa ses jambes de part et d’autre du corps du jeune garçon. L’extrémité de la virilité se pressait contre son trésor intime et elle s’assit d’un seul coup sur les hanches de son amant. Ron s’empara de sa poitrine et les pinça légèrement, lui faisant comprendre ce qui l’attendait si elle n’était pas à la hauteur.

    Lavande se mit immédiatement à ruer de plus belle sur le sexe qu’elle sentait entrer et sortir de son ventre. Hermione commençait à avoir les larmes aux yeux de retenir son plaisir. Ses doigts s’agitaient dans son intimité brûlante sans pouvoir la satisfaire. Elle enviait plus que jamais Lavande qu’elle voyait en pleine extase à chaque fois qu’elle s’abaissait brutalement sur le membre dressé. Mais soudain Ron l’interrompit et poussa un grand cri en se déversant dans le ventre de la jeune fille. Lorsqu’elle sentit la douce chaleur du plaisir se répandre en elle, Lavande cria à son tour et s’effondra sur son amant.

    Ils restèrent là, liés l’un à l’autre, se dorlotant pendant qu’ils reprenaient leur souffle. Lavande lança enfin un sort de prévention sur son ventre, puis ils se rhabillèrent sans cesser de se peloter.

« Calme-toi petite gourmande ! Tu auras droit à une autre leçon ce soir. »

Ils sortirent de la salle en gloussant. Dès que le claquement de la porte eut retenti dans la classe, Hermione poussa la porte de l’armoire et s’affala sur le sol. Elle ne retint qu’à moitié le cri qu’elle poussa alors, tandis que sa main était inondée de son jus de plaisir. Elle resta là, contre la pierre froide, haletante. Mais elle sentait toujours la brûlure de son sexe. Ses doigts n’y suffiraient pas. Il lui semblait que sa poitrine allait exploser et ses jambes étaient ankylosées d’être restées si longtemps immobiles dans une position si inconfortable. Elle se rajusta rapidement et se dirigea d’un pas chancelant vers la salle commune de gryffondor avec la vague idée de rejoindre son dortoir où elle aurait tout le loisir de se calmer. Elle franchit le trou derrière le portrait de la grosse dame et monta péniblement les escaliers vers les chambres des filles. Elle entra dans son dortoir, sur le point de s’écrouler.

    Parvati était là, lisant sagement un livre sur son lit. Elle tourna la tête à l’arrivée de sa camarade.

« Ah ! Hermione ! Je t’attendais. »

Elle se leva et contourna un baldaquin pour s’approcher de son amie.

« Je voulais m’excuser pour tout à l’heure. Je… mais ? Qu’est-ce qui t’arrive ? »

Hermione fit un pas à l’intérieur de la chambre et trébucha. Parvati se précipita et la rattrapa. Elle l’emmena jusqu’à son lit et la fit s’allonger. Elle s’assit à côté d’elle.

« Alors ? Que s’est-il passé ? »

Hermione ne pouvait plus attendre. Elle attira Parvati à elle et l’embrassa avec passion. La jeune fille fut prise au dépourvu mais elle se ressaisit très vite et lui rendit son baiser. Elle sentait le corps de sa camarade frémir et n’eut pas besoin de plus d’explications.

« Je ne sais pas ce qui t’a mis dans un tel état ma jolie mais on va y remédier tout de suite. »

En l’embrassant à nouveau, Parvati retroussa la robe d’Hermione sur son ventre et abaissa la petite culotte. Elle entrouvrit les douces cuisses de sa camarade et se pencha sur son bas ventre. Sa langue explora l’entrée du trésor secret d’Hermione qui ne put s’empêcher de jouir immédiatement. Parvati but de longues gorgées de son jus de plaisir et continua son exploration plus en profondeur. Elle étirait les grandes lèvres de ses doigts, non sans s’attarder régulièrement sur le petit bouton d’amour.

    Hermione gémissait sous chaque caresse experte de son amie et sentit tout son corps s’emplir de félicité. Elle passa une main sous la robe de Parvati et rencontra son trésor intime qu’elle se mit à masser avec tendresse. Les deux jeunes filles gémissaient de concert sous l’impulsion de leurs doigts profondément ancrés dans l’une et l’autre. Parvati retira ses vêtements et déshabilla langoureusement Hermione, caressant et embrassant sa poitrine et son ventre dès qu’elle les eut mis à nu. Puis elle présenta son intimité ruisselante à la bouche d’Hermione qui s’en empara avec avidité tandis qu’elle se penchait également sur le doux coquillage de sa partenaire. Hermione écarta les petites fesses rondes de son amie et introduisit sa langue dans le petit puits secret découvert. Parvati préféra savourer le bel abricot juteux qui s’ouvrait pour elle mais elle glissa néanmoins un doigt dans le petit anneau de son amie. Hermione ne fut pas longue à jouir dès lors. Elle sentit son plaisir s’échapper en ruisseau d’entre ses cuisses et des lèvres se refermer sur son intimité pour n’en laisser échapper aucune goutte. Parvati se laissa alors submerger par la jouissance et Hermione se désaltéra à la plus belle des sources.



    Parvati se retourna et se glissa le long du corps de sa camarade. Elle prit Hermione, calmée, dans ses bras et lui caressa tendrement les cheveux.

« Alors ? Tu vas mieux maintenant ma belle ?
_ Oui ! Merci Parvati !
_ Qu’est-ce qui a bien pu t’arriver pour te mettre dans un état pareil ? »

Hermione lui raconta ce qui était arrivé dans la classe désaffectée. Elle s’échauffait tellement au cours de son récit que Parvati dû à nouveau faire appel à ses doigts agiles pour libérer son plaisir.

« Je vois, reprit Parvati, j’étais sûre que tu aimais Ron depuis longtemps.
_ Je ne sais plus quoi faire ! Ils ont l’air de si bien s’entendre. Et même si j’avais le courage de parler à Ron, je ne voudrais pas blesser Lavande. Même s’ils m’exaspèrent souvent en ce moment elle est toujours mon amie.
_ Il y a peut être un moyen que tu le vois seul à seul. Si tu prenais la place de Lavande ce soir ?
_ Je ne crois pas. Même si Ron n’était pas le dernier à sauter sur tout ce qui bouge auparavant, il ne trahira pas Lavande.
_ Oui, mais on peut s’arranger pour qu’il croit être avec elle. J’ai appris un sort qui permet de rendre une pièce très sombre qu’aucune lumière ne peut éclairer. On y voit à peine. On ne peut pas reconnaître les traits des gens. Si tu te coiffes correctement et que tu utilises le parfum de Lavande, je suis sûre qu’il ne fera pas la différence. »

Les yeux d’Hermione pétillèrent d’excitation dans la perspective de passer la soirée avec Ron.

« Mais comment faire pour que Lavande ne débarque pas tout à coup ?
_ J’en fais mon affaire ! Fit Parvati avec un regard coquin. Tu n’as aucun souci à te faire pour ça. Je te garantis qu’elle oubliera son rendez-vous. »

    Ses jambes redevenues légères, Hermione alla prendre une douche et passa les quelques heures qui restaient avant le rendez-vous à coiffer convenablement ses cheveux en pagaille pour qu’ils ressemblent à la coiffure de Lavande. Puis elle rejoignit Parvati qui avait trouvé le parfum de leur camarade. Elle eut à peine le temps d’en mettre un peu que Lavande entra dans le dortoir. Hermione se pencha sur sa valise pour qu’elle ne remarque pas sa coiffure inhabituelle. Lavande ouvrit son armoire et fouilla à l’intérieur à la recherche d’un bandeau tandis que Hermione se faufilait vers la porte et que Parvati s’approchait d’elle. Hermione avait franchi le seuil du dortoir mais ne put s’empêcher de regarder ce qu’allaient faire ses camarades avant de partir. Parvenue derrière sa proie, Parvati enserra la taille de Lavande et posa un baiser dans son cou. Celle-ci tourna la tête en lui souriant.

« Tu te sens d’humeur joyeuse ce soir Parvati ?
_ Oh oui ! Depuis combien de temps on est pas resté un peu seules toutes les deux ?
_ C’est vrai que ça fait longtemps. Mais ce soir je ne peux pas ma jolie. Mon petit Ron va m’attendre. »

Parvati la lâcha et lui tourna le dos d’un air boudeur.

« Tu n’as plus jamais de temps, sauf pour lui. Je sais que tu es amoureuse mais c’est comme si je n’existais plus. On s’entendait si bien avant. »

La jeune fille commença à pleurer. Lavande semblait gênée et incapable d’agir. Elle avança prudemment vers son amie et la prit dans les bras. Hermione vit Parvati lui sourire et lui faire un clin d’œil.

« Calme-toi ! Je suis désolée. Je te promets qu’on passera un peu de temps ensemble très bientôt. Même demain. Mais ce soir je dois partir. »

Sans dire un mot, Parvati enleva sa tête de l’épaule de Lavande et posa ses lèvres sur les siennes. Lavande le lui rendit avec joie, pensant qu’elle pourrait s’en aller juste après. Mais sans desserrer son étreinte ni séparer leurs lèvres, Parvati poussa sa camarade, dos contre la porte de l‘armoire. Dans le même temps, elle avait soulevé la robe de la jeune fille si habilement que lavande ne s’en aperçut que lorsqu’elle sentit des doigts caresser langoureusement son intimité à travers sa petite culotte.

« OoooH ! Non ! Pas maintenant Parvati. S’il te plaît. »

Mais Hermione voyait bien que Lavande ne faisait presque rien pour se défendre tandis que des mains agiles lui retirait le sous-vêtement et elle savait que Parvati avait déjà gagné la partie. Cette dernière s’agenouilla rapidement et passa sa langue sur la douce fente qui s’humidifiait. Lavande avait posé ses mains sur la tête de sa camarade mais ne savait apparemment plus si elle devait la repousser ou l‘encourager.

« Oh, mon ange, c’est si bon ! Mais arrête, je t’en prie. Je dois vraiment y aller. Je te jure qu’on se verra demain.
_ Mais moi j’ai envie maintenant. Et puis rien ne dit que tu ne pourras pas aller voir Ron après. S’il t’aime vraiment, ce ne sont pas quelques minutes de retard qui le décourageront. »

Vaincue par les paroles et la langue agile de Parvati, Lavande s’agenouilla à son tour et embrassa son amie passionnément.

    Hermione referma la porte en silence et s’en fut vers la classe désaffectée, un sourire aux lèvres. Elle fit bien attention que Ron ne se trouvait pas dans la salle avant d’entrer puis elle jeta le sort que Parvati lui avait appris. La pièce s’assombrit aussitôt. Elle ne voyait plus que les quelques tables et chaises qui se trouvaient à proximité. Ils lui semblaient comme à peine esquissés au crayon et leurs contours finissaient par se perdre dans les ombres. Elle entendit alors la porte s’ouvrir et un rectangle de lumière apparut sur le mur. Une grande silhouette se dessina et entra doucement.

« Lavande ? Fit la voix de Ron.
_ Je suis là ! Répondit Hermione en espérant que son imitation ferait illusion. »

Ron fit quelques pas et prononça une formule.

« Lumos »

Un point de lumière apparut mais rien de ce qui l’entourait n’était éclairé.

« C’est bizarre. Fit Ron.
_ C’était comme ça quand je suis arrivé. Répondit Hermione tout en s’avançant vers lui. Mais ce n’est pas grave. »

Elle arriva à sa hauteur et l’embrassa aussitôt afin qu’il ne se pose pas top de question.

Son stratagème fonctionna au-delà de ses espérances. Elle avait à peine posé les lèvres sur les siennes qu’il l’enlaça et la serra tout contre lui. Hermione sentit l’excitation de Ron devenir de plus en plus dur contre son ventre. Ses grandes mains la caressaient déjà aux endroits les plus sensibles. Elle se rendit compte qu’elle commençait à gémir alors que Ron avait quitté ses lèvres pour embrasser son cou. Leurs mains retirèrent leurs robes en prenant bien soin de glisser sur leurs peaux découvertes. Hermione prit le pieu de chair fermement dressé et le masturba avec vigueur. Ron s’empara de ses petites fesses et laissa un doigt s’aventurer dans le puits secret. Puis il la souleva ainsi et la fit redescendre subitement sur son membre viril. Hermione poussa un petit cri en se sentant pénétrée si subitement. Soutenue par les mains de Ron sous ses fesses, elle se mit à ruer sur le sexe dur.

Hermione aimait un peu plus de douceur dans ses étreintes. Mais elle s’était attendue à ce que Ron soit rude avec elle. Après tout il voulait faire plaisir à celle qu’il croyait être Lavande qui, elle, raffolait de sexualité plus sauvage. Hermione en prit son parti et s’abattit encore plus brutalement sur la verge gonflée.

« Ooooh, gémit Ron, tu m’as l’air en forme ce soir ma puce. »

Elle sentit deux doigts supplémentaires se joindre à celui qui occupait son petit anus tandis que des dents mordillaient ses tétons. Elle pinça les lèvres, essayant de retenir son plaisir encore un peu, mais elle éprouvait tant de sensations nouvelles à être ainsi malmenée qu’elle poussa un râle de jouissance en libérant une rivière de jus de plaisir.

    Ron la maintint dans ses bras pendant quelques minutes, toujours profondément fiché en elle.

« Eh bien, mon amour, tu démarres au quart de tour ce soir. Mais tu es une vilaine fille d’avoir jouit sans moi. Il va falloir que je rattrape mon retard. »

Ron la déposa sur le bureau qu’il avait auparavant partagé avec Lavande. Il alla prendre sa baguette magique et prononça une formule. Des cordes jaillirent alors et s’enroulèrent autour des poignées et des chevilles d’Hermione.

« C’est une petite variante du sort d’emprisonnement. Il est bien plus intéressant comme ça. Je crois que même Harry ne connaît pas encore ce coup là. »

Ron posa sa baguette et parcourut le corps de celle qu’il croyait être sa petite amie. Hermione frissonna de satisfaction. Elle se sentait étrangement calme. Elle était totalement à la merci de Ron mais, par la même occasion, elle n’avait plus à se soucier de la suite des événements. Il n‘avait plus qu’à réaliser tout ce qu’il voulait lui faire. Il présenta son membre fébrile de désir devant la petite bouche d’Hermione qui ouvrit docilement les lèvres. Elle le laissa aller et venir à son rythme tandis que ses mains s’attardaient sur sa poitrine.

« Tiens ? J’aurai juré que tes seins étaient un peu plus gros. Ou c’est parce que j’ai du mal à les voir peut être ? »

Hermione s’empressa de jouer plus habilement de sa langue et d’augmenter au mieux sa succion sur la verge. Ron poussa des gémissements, indiquant qu’il avait oublié toute idée de mesurer la poitrine sur laquelle se crispaient ses mains. Il ne fut pas long à éjaculer dans la petite gorge de son amante qui n’en perdit rien.

    Ron se retira des lèvres accueillantes. Hermione sentit un morceau de tissu se plaquer sur sa bouche tandis que Ron le nouait derrière sa tête.

« Je n’ai pas encore découvert le moyen de faire apparaître ce truc en même temps que les cordes. Mais je finirai par trouver. »

Hermione ne put que pousser des gémissements étouffés par le bâillon tandis que la langue de Ron descendait de sa nuque sur son dos et elle ne fut pas surprise de la sentir s’arrêter sur son puits secret et se mettre à l’explorer en profondeur. Ron prit tout son temps pour savourer le petit anneau avant de positionner sa partenaire à genoux sur le bureau, son torse s’écrasant contre la surface poussiéreuse, bougeant chaque membre comme il l’aurait fait d’une poupée articulée. Il s’agenouilla derrière elle et écarta les petites fesses. Son membre se colla contre le petit anus dont il força le passage d’un coup brusque. Hermione poussa un cri de douleur étouffé, songeant à quel point Lavande aurait adoré cela. Ron ne se fit pas plus tendre lorsqu’il s’activa de plus en plus rapidement. Elle sentait le bas de son dos s’embraser sans toutefois que cela ne lui devienne insupportable.

    La chaleur brûlante s’empara bientôt de son intimité et son plaisir arriva aussi violemment que l’un des coups de boutoir de son amant. Ron sentit le corps de sa partenaire frémir sous la jouissance mais ne s’arrêta pas pour autant.

« Décidément, tu es à fleur de peau ce soir mon cœur. Tu m’as encore devancé. Mais je sens que j’arrive aussi. Et après je t’ai réservé une petite surprise pour finir en beauté. »

Ron grogna bientôt tandis qu’il se répandait dans le petit cul qu’il croyait être celui de son amoureuse. Il se dégagea aussitôt pour s’allonger sur le dos. Il prit Hermione sur lui et son membre s’engouffra immédiatement dans le petit ventre encore tout chaud. Il introduisit sans attendre deux doigts dans le petit anus. Mais tout en remuant ses hanches sur la verge gonflée, Hermione sentit un troisième doigt les rejoindre, puis un quatrième. Comprenant alors où il voulait en venir et comprenant également que Lavande ne s’y serait soustrait pour rien au monde, Elle creusa les reins du mieux qu’elle le pouvait pour faciliter l’accès à son puits secret. Ron finit alors de faire pénétrer toute sa main d’un seul coup, arrachant un cri de douleur à Hermione que le bâillon ne put contenir. Elle sentit une cascade de sa liqueur d’amour s’écouler de son intimité. La douleur et la jouissance se mêlaient à chaque fois qu’elle donnait un coup de rein. Il lui aurait été impossible de compter ses orgasmes qui arrivaient les uns derrière les autres.

    Elle était en nage, haletante et quasiment à bout de force lorsque Ron éjacula enfin dans son ventre. Il retira sa main du passage étroit en souriant. Hermione s’effondra sur lui, comme si l’on venait de retirer un crochet auquel elle était suspendue. Ron leva l’enchantement et retira le bâillon. Il la prit dans ses bras et la couvrit de baisers tandis qu’elle reprenait son souffle. Ils restèrent longtemps enlacés sur le bureau. Hermine ne se releva que lorsque Ron se fut endormi. Elle prit sa baguette et se lança un sort de prévention. Elle voulut retourner se pelotonner contre Ron mais elle entendit des pas raisonner dans le couloir. Il était très tard et l’on pouvait entendre le moindre promeneur nocturne de loin. Hermione savait qui approchait. Elle s’empara rapidement de ses vêtements et alla se mettre dans un coin particulièrement sombre. Elle vit la porte s’ouvrir et Lavande apparaître dans le couloir faiblement éclairé. Elle s’avança à tâtons.

« Ron ? Tu es là ? »

Lavande avança jusqu’au bureau où elle vit une silhouette allongée. Elle la toucha timidement et reconnut son petit ami.

« Ron, je suis désolée. Je ne sais pas comment j’ai pu oublier l’heure de notre rendez-vous. »

Hermione sourit, sachant parfaitement ce qu’il en était. Lavande se pencha un peu plus sur le bureau et comprit que son amant était endormit. Elle se déshabilla alors et s’allongea tout contre lui. Hermione quant à elle se rhabilla en silence et se dirigea vers la porte. Mais elle ne put la franchir que lorsqu’un faible souffle lui indiqua que Lavande avait également succombée au sommeil.

    Elle rentra au dortoir d’un pas traînant, totalement vidée par l’expérience qu’elle avait vécue. Elle monta difficilement l’escalier et poussa la porte de la chambre dans un soupir de soulagement. Elle vit Parvati, à moitié endormie relever la tête alors qu’elle se rapprochait. Elle était nue dans son lit, et se redressa, faisant tomber la couverture qui recouvrait sa poitrine exquise. Hermione s’assit à côté d’elle.

« Te voilà enfin ! Je t’ai attendue ! Alors ? Comment ça s’est passé ? »

Hermione lui raconta toute sa soirée tandis qu’elle se préparait à aller se coucher. Parvati lui fit également les confidences de ses aventures avec Lavande. Hermione la rejoint dans son lit.

« Encore merci Parvati. Sans toi ça n’aurait pas été possible.
_ A ton service ma jolie. »

Les deux jeunes filles s’enlacèrent tendrement et s’endormirent paisiblement épuisées mais heureuses de leur soirée.
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00
Convocation mystérieuse

Une aventure sexuelle de Harry Potter en 2e année

Avec Hermione Granger, Susan Bones et Gilderoy Lockhart




« Miss Granger, pourrais-je vous parler en privé après le déjeuner ? »

Hermione sursauta lorsqu’elle entendit le professeur s’adresser à elle. Gilderoy Lockhart la regardait avec son habituel sourire idiot, révélant ses dents étincelantes. Elle en conclut déjà qu’elle n’avait commise aucune faute. Mais alors pourquoi un enseignant voudrait lui parler en privé ? Et surtout… lui. Ron se posait les mêmes questions lorsqu’ils descendirent dans la grande salle après le cours.

« Qu’est-ce qu’il te veut Lockhart ? Tu lui as envoyé une lettre d’amour ou quoi ?
_ RON ! Arrête de dire n’importe quoi. Je ne sais pas ce qu’il me veut. Je n’ai rien fait de particulier… je crois.
_ Peut être qu’il espère que tu pourras lui apprendre un ou deux sortilèges, intervint Harry à côté d’eux. Son cours était tout à fait nul… une fois de plus.
_ Ou peut être qu’il a simplement remarqué les petits cœurs dont tu as entouré ses cours sur ton emploi du temps ? »

Hermione rougit jusqu’aux oreilles mais ne répondit plus un mot. Elle mangea rapidement, essayant, avec difficulté, d’ignorer les ricanements narquois de Ron et de ne pas lui envoyer son jus de citrouille à la figure. Lorsqu’elle eut terminée, elle se leva et partit à grandes enjambées sans un regard en arrière.

Sa colère se dissipa tandis qu’elle gravissait les marches menant à l’étage de la salle de défense contre les forces du mal et elle se mit à réfléchir plus sérieusement. Il était vrai qu’elle n’était pas indifférente à Lockhart, même si elle aurait préféré se faire arracher la tête par un troll plutôt que de l’avouer, mais elle n’était pas la seule. Elle en avait parlé avec Hannah Abbot la veille encore. Elle lui avait énumérée le nombre de filles de Poufsouffle amoureuses du professeur. Si jamais Lockhart l’avait découverte, il n’avait pas pu passer à côté de toutes les autres. Mais si ce n’était pas ça… tout de même pas comme l’avait suggéré Harry afin qu’elle lui apprenne un sort. Même si elle reconnaissait un peu que leur professeur de défense contre les forces du mal n’était pas un excellent pédagogue, il n’accepterait jamais de s’abaisser à ce niveau. Sans en avoir compris d’avantage, Hermione était arrivée devant la porte du bureau.

Elle frappa et entra. Lockhart était assis derrière son bureau et paru surpris de son arrivée. Il avait rapidement mis sa main sur ses genoux, ou du moins c’est ce qu’il semblait à Hermione qui ne voyait que son torse.

« Miss Granger ! Je… vous… vous êtes rapide. Je ne… ne vous attendez pas si tôt. Je croyez avoir fermé la porte à clef.
_ Excusez-moi ! Bredouilla Hermione en rougissant à nouveau. Je reviendrai plus tard. »

Elle allait pour ressortir mais le professeur la rappela en reposant la main sur le bureau.

« Non, restez Miss Granger. J’ai été surpris c’est tout. Asseyez-vous, je vous prie. Mais fermez la porte avant… à clef cette fois-ci. Il ne faudrait pas que quelqu’un nous dérange encore. »

La jeune fille, confuse, referma la porte et la verrouilla. Bien qu’elle trouvait cela bizarre, elle ne voulait pas contester un ordre d’un professeur. Elle alla s’asseoir et donna la clef à Lockhart. Celui-ci se tenait presque allongé contre le dossier de son fauteuil et regardait la jeune Gryffondor avec un sourire charmeur.

« Si je ne me trompe pas Miss Granger, vous n’avez pas de cours après le déjeuner, n’est-ce pas ? (Hermione acquiesça) Bien, nous avons donc suffisamment de temps devant nous. J’ai remarqué que nombres d’élèves ne parviennent pas à lancer les sorts, pourtant simples, que je tente de leur enseigner. Bien sûr si je leur faisais une démonstration de mes talents ils seraient certes impressionnés mais ils ne comprendraient pas le fonctionnement réel d’un sort. »

Il eut un petit rire satisfait en se tortillant légèrement sur son fauteuil et poursuivi.

« Mais je ne pense pas que tous les élèves soient idiots. J’ai donc pensé que certains pouvaient avoir des problèmes avec leurs baguettes. Une sorte de défaut de fabrication en série vous voyez ? A partir de maintenant, je vais examiner toutes les baguettes des élèves pour être sûr. Pouvez-vous me donner votre baguette Miss Granger ? »

Malgré les sentiments qu’elle ressentait pour son professeur, Hermione fut agacée par sa demande. Elle était l’une des seules à avoir réussis les sortilèges de Lockhart alors que lui-même n’en avais jamais lancé un seul en classe. De plus sa baguette magique venait, tout comme celle de Harry, de chez Ollivander, et elle serait incroyablement surprise qu’elle ait le moindre défaut de fabrication. Elle lui tendit sa baguette en ne laissant rien paraître mais en pensant que c’était plutôt l’enseignant qui avait un problème de conception.

    Lockhart prit la baguette et la regarda précautionneusement en la faisant rouler entre ses doigts. Il poussa un faible mais curieux soupir puis regarda la jeune fille.

« Tant que vous êtes là miss Granger, vous avez laissé traîner votre emploi du temps lors du dernier cours. »

Hermione devint à nouveau écarlate et baissa les yeux.

« Dois-je comprendre par les petits cœurs que je ne vous suis pas indifférent ? »

La jeune gryffondor, gênée, gardait les yeux baissés. Elle fut traversée par une pensée aussi fulgurante que stupide et inutile en cet instant : Ron avait raison. Puis elle chassa cela de sa tête et essaya de se concentrer sur ce que disais le professeur.

« Je suis flatté miss Granger, très flatté, mais une question me vient à l’esprit. Jusqu’où iriez-vous pour cet amour ? »

Hermione leva la tête, sans comprendre ce que voulait dire Lockhart. L’enseignant avait un sourire plus énigmatique qu’auparavant.

« Venez de ce côté-ci du bureau, je vous prie. Vous comprendrez mieux, jeune fille. »

Avec une certaine appréhension, elle se leva et fit le tour du bureau. Ce qu’elle vit lui retourna le cœur. Lockhart avait relevé sa robe sur la taille et sous le bureau se trouvait une jeune fille totalement nue qu’elle reconnut comme étant Susan Bones, une élève de deuxième année de Poufsouffle. Elle suçait le membre du professeur avec vigueur.

    Hermione en resta pétrifiée. Elle était terrifiée mais, en même temps, elle sentit une boule de chaleur dans son bas ventre, comme si son intimité venait de prendre feu. Elle n’arrivait pas à détacher ses yeux de la bouche de sa camarade qui montait et descendait le long du sexe dressé. Lockhart poussa des deux mains sur la tête de la fille et enfonça son chibre aussi profond qu’il le put. Susan poussait des gémissements de lamentations étouffés et gigotait pour échapper à l’emprise de l’homme. Mais celui-ci la maintenait fermement et laissa exploser sa jouissance dans la gorge de la petite poufsouffle.

« Vous voyez miss Granger, s’exclama Lockhart en tirant sur les cheveux de Susan pour qu’elle relève enfin la tête, un harem de jeunes filles n’était pas dans la description du poste mais je me suis arrangé comme j’ai pu. »

Susan, en pleurs, recrachait la semence qu’elle n’avait pas réussis à ingurgiter. Elle était très mince et sa poitrine commençait à peine à se former. Ses jambes étaient maigrelettes et ses fesses un peu plates.

    Le professeur la prit sous les aisselles et la posa sur le bureau. Il la poussa sans ménagement et elle se retrouva brutalement allongée. Lockhart ouvrit ses cuisses et s’avança vers son entrejambe. Susan cria.

« Non… professeur… vous aviez dit… qu’avec la bouche ça suffirait. »

Elle essaya de se redresser, ses yeux révulsés d’horreur, mais il la repoussa sur la surface de bois lisse et plaqua une main sur sa pauvre poitrine pour la maintenir.

    Hermione se jeta alors dans le dos du professeur. Elle chercha à s’agripper à son cou pour le forcer à reculer mais il la fit tomber d’un violent coup de coude. Il lui attrapa les cheveux et l’envoya brutalement à terre.

« Je vous conseille de bien regarder miss Granger, votre tour viendra. »

Hermione ne pouvait plus rien faire. Des larmes coulèrent sur ses joues lorsque Susan hurla de douleur sous le violent coup de rein de l’homme qui pénétra dans son intimité. La jeune gryffondor ne pouvait pas s’empêcher de regarder le membre entrer et sortir brutalement du petit coquillage d’où s’écoulait un mince filet de sang.

« Encore vierge miss Bones ? Vous vous êtes réservée pour moi ? Je n’en demandais pas tant ! »

Hermione regarda le visage crispée de Susan. Elle criait alors que de grosses larmes tombaient de ses joues sur le bureau. La petite gryffondor aurait tant voulu avoir un quelconque moyen de lui porter secours. Mais sans sa baguette, elle ne pouvait lutter contre Lockhart. Elle sentit son intimité brûlante commencer à devenir humide, honteuse de se sentir excitée dans un moment si tragique.

« Miss Granger ! Déshabillez-vous ! »

Le professeur ne l’avait même pas regardée, trop occupé à infliger le plus de douleur possible à la jeune poufsouffle. Hermione se raidit. Elle ne comptait pas le laisser jouer avec elle si facilement. Lockhart lui jeta un regard.

« Obéissez-moi rapidement, ma petite. Ou vous le regretterez. »

La jeune gryffondor ne bougea pas, observant le professeur avec un regard de défi. L’homme haussa alors les épaules et leva une main. Il frappa violemment Susan au visage qui poussa ensuite un cri aigu lorsqu’il tirailla l’un de ses petits tétons.

Hermione se leva d’un trait, horrifiée, et retira immédiatement sa robe. Lockhart eut un sourire narquois en voyant la jeune fille retirer son petit soutien gorge. Il souleva les fesses de la jeune poufsouffle dont le nez saignait, et introduisit un doigt dans son puit secret. Il se figea profondément dans le ventre de Susan et éjacula longuement.

« Venez ici miss Granger ! » Lança Lockhart en se retirant de l’intimité de sa première victime.

Hermione s’approcha tremblante.

« Agenouillez-vous et nettoyez moi ça ! Je n’ai pas besoin de préciser ce qui pourrait arriver à votre camarade si vous ne vous exécutez pas. »

Résignée, la jeune gryffondor se mit a genoux. Elle entrouvrit ses petites lèvres et happa le gland du professeur, se sentant proche de la nausée. Lockhart lui posa une main sur la tête pour qu’elle garde une cadence raisonnable. De l’autre, il masturbait toujours le petit anneau de Susan qui sanglotait, incapable de faire le moindre mouvement.

    Lorsque l’homme eut repris toute sa vigueur, il sortit de la bouche d’Hermione en lui ordonnant de ne pas bouger. Il retourna la petite poufsouffle sur le bureau et la tira un peu en arrière. Il donna une forte claque sur les maigres fesses et lui aboya de tenir ses jambes droites. Susan utilisa probablement ses dernières forces pour raidir ses jambes et soulever son petit cul. Lockhart se tourna vers Hermione.

« Si vous tenez à ce que votre amie ait moins mal je vous suggère de la préparer correctement. Dit-il en lui montrant le petit anus. Mais je vous avouerai que moi je me contenterai de ce passage même sec. »

A nouveau, la jeune gryffondor n’eut pas le choix. Elle s’avança vers le bureau et positionna sa tête à hauteur des fesses de Susan. Elle sortit sa langue et lécha consciencieusement les abords du puit secret. La jeune poufsouffle semblait ne plus avoir de réaction. Hermione, quant à elle, frissonna lorsqu’elle sentit deux grandes mains attraper ses seins qu’elle avait un peu plus développés que ceux de sa camarade. Elle introduisit sa langue dans l’anus étroit tandis que les doigts de l’homme derrière elle descendirent sur ses fesses rondes et sur son trésor intime qui ruisselait maintenant.

    Lockhart caressa le sexe de la petite gryffondor pendant quelques minutes puis il se redressa soudainement et donna ses doigts trempés à la bouche d’Hermione pour qu’elle les nettoie.

« Bien miss Granger. Je vous autorise à vous occuper du sexe de miss Bones pendant que je l’enculerai. Vous serez la seule à pouvoir lui rendre ce moment un peu plus doux. Vous feriez bien de vous appliquer. »

Il plaqua la tête d’Hermione contre l’intimité de sa camarade. Elle se mit à lécher les lèvres et le bouton d’amour, espérant avec la plus grande des sincérités que cela l’aiderait à supporter les sévices du professeur. Elle avala quelques gouttes de sperme de Lockhart et un peu de sang de la petite poufsouffle mais très vite elle but aussi un peu de la liqueur de plaisir de Susan qui se remit à couler comme une source presque tarie.

    Les yeux levés, Hermione vit s’approcher le membre de l’homme qui se positionna tout contre le petit anneau. Lockhart s’accrocha durement aux hanches de Susan et la pénétra violemment, arrachant un hurlement de douleur à la jeune fille. Aussitôt, la petite gryffondor reçue une longue giclée de fluide intime qu’elle avala avec plaisir. Le professeur donnait de vigoureux coups de reins, cherchant de toute évidence à faire crier sa victime encore plus fort. Hermione s’activait de son mieux, allant de long en large sur le petit coquillage de Susan tout en caressant ses petits seins. Elle pinça légèrement le bouton d’amour et reçue de nouveau une grande quantité de liqueur de jouissance. La petite gryffondor n’y tenait plus. Elle descendit une main sur son propre sexe et se caressa avec vigueur. Elle envoya sa langue se promener sur le petit clitoris tandis qu’elle introduisait deux doigts dans le sexe de sa camarade. Susan hurla et libéra plus de son jus intime qu’elle ne l’avait déjà fait. Elle s’écroula sur le bureau, inconsciente. Cela ne gênait pas Lockhart qui continuait ses va et viens brutaux dans le cul de la petite poufsouffle qu’il devait maintenant soutenir. Il se raidit soudain et se répandit dans le dos de la jeune fille. Mais il se retira rapidement et déversa ses derniers jets sur les cheveux d’Hermione.

    Le professeur remarqua alors que la petite gryffondor se masturbait. Il la tira par les cheveux et l’obligea à nettoyer son sexe. Il retourna à nouveau Susan, attrapa Hermione par l’épaule et la jeta sur sa camarade évanouie. Elle faisait face à la petite poufsouffle au visage grave et sentit des mains lui écarter ses deux jolies petites fesses.

« Vous avez apparemment apprécié la sodomie de miss Bones, voyons ce que vous en pensez pour vous ! Fit-il en posant son gland sur le puit secret. Hélas votre amie n’est pas en état de vous préparer comme vous l’avez fait. Il faudra vous en contenter. »

Hermione fut pris de panique et essaya de se relever mais le professeur entra en elle violemment. Elle poussa un gémissement de douleur mais réussit à se retenir de crier. Toutefois, l’homme n’avait réussis à faire entrer que son gland dans l’étroit passage. S’appuyant sur les reins de la jeune gryffondor, il poussa sur ses jambes pour faire entrer le membre en entier. Hermione pleurait en se mordant les lèvres. Son petit cul était en feu et la brûlure augmentait à chaque centimètre que Lockhart parvenait à introduire en elle. Il choisit de la pénétrer par saccades, donnant de grands coup de boutoir à intervalle régulier, gagnant à peine plus de terrain mais augmentant la douleur de la petite gryffondor. La tête de la jeune fille s’écroula sur l’épaule de sa camarade inconsciente alors que le professeur était enfin fiché en elle de toute sa longueur et que la brûlure atteignait ses reins et son ventre. Rapidement, Lockhart se retira presque entièrement puis s’enfonça à nouveau en elle d’un seul coup. Cette fois-ci, elle ne put retenir un long hurlement entrecoupé de sanglots. Tandis que l’homme entamait de violents mouvements entre ses fesses, faisant trembler le bureau, Hermione entoura Susan de ses bras et la serra contre elle, cherchant désespérément un tant soit peu de douceur au contact de la peau de sa camarade.

    Alors que la douleur avait atteint son paroxysme lors des premiers va et viens du professeur, la petite gryffondor constata qu’elle semblait s’atténuer peu à peu, bien qu’encore trop présente à son goût. Toutefois son intimité se remit à ruisseler de plus belle de sa liqueur de plaisir, s’écoulant sur le petit coquillage de Susan. Elle ne pouvait croire qu’elle était sur le point de jouir alors que tout son bas ventre semblait remplit de charbons ardents. Mais elle ne put retenir la vague de plaisir qui parcourut tout son corps et elle plaqua sa bouche contre le cou de Susan pour étouffer un cri de jouissance alors qu’elle déversait une grande quantité de liqueur de plaisir. Lockhart fini par se figer en elle et se répandit dans son petit cul douloureux.

    Sans plus de précautions, il tira Hermione par les cheveux, la forçant à se plier en deux sur le corps frêle de la petite poufsouffle, amenant sa tête à la hauteur du sexe de cette dernière, et la força à prendre le membre gluant dans sa bouche. Tandis qu’elle suçait avec dégoût le chibre du professeur, elle sentit une main se promener sur ses jambes, ses fesses puis sur son intimité. Lockhart introduisit trois doigts dans son petit coquillage et commença à la masturber sans aucune douceur. Elle remarqua qu’il faisait de même avec le trésor intime de Susan qui ne s’était toujours pas réveillée. Malgré la répulsion que lui inspirait le professeur, elle sentit son excitation revenir. Son petit sexe recommença à s’humidifier et elle en fut encore plus honteuse que tout à l’heure car, cette fois-ci, Lockhart ne pouvait ignorer son état.

Mais l’homme regarda une horloge et arrêta le mouvement de ses doigts.

« Par Merlin, je vais être en retard à mon prochain cours. Je comptais justement parler avec miss Edgecombe. Il va nous falloir abréger notre entrevue mesdemoiselles. Dommage, il me restait encore des endroits à explorer. »

En disant cela, il avait pincer fortement les lèvres intimes d’Hermione entre ses doigts. Il se déchaussa des sexes des jeunes filles et posa ses mains de part et d’autre de la tête de la petite gryffondor. Il fit pression sur les oreilles tout en donnant un coup de rein pour pénétrer au plus profond de la petite bouche, puis il fit de grands mouvements de va et viens, du gland jusqu’à la garde, ignorant les gémissements plaintifs d’Hermione qui ne parvenait plus à respirer. Lockhart commençait à se répandre sur sa langue lorsqu’elle réussit enfin à repousser sa tête, prenant une grande respiration tandis que le professeur se déversait sur ses cheveux et son visage, ainsi que sur le pubis et le sexe de Susan.

    Le professeur obligea la petite gryffondor à nettoyer le bas ventre de sa camarade tandis qu’il se rhabillait.

« Je vous laisse raccompagner miss Bones à son dortoir. Je crains que vous n’ayez déjà manqué votre prochain cours. J’enverrai un mot d’excuse à vos professeurs. »

Il traversa le bureau et s’apprêta à sortir.

« Vos baguettes sont dans le premier tiroir de gauche. Je vous conseille de tenir vos langues, sans cela je serai obligé de vous jeter un sort d’amnésie… et il se pourrait que j’ai la main trop lourde, pour cause d’énervement, vous voyez. »



Lockhart sortit en chantonnant. Hermione essaya de réveiller Susan qui ouvrit les yeux mais semblait avoir du mal à savoir où elle était. La petite gryffondor sauta à bas du bureau et récupéra leurs baguettes magiques et pointa la sienne sur sa camarade en prononçant :

« Forcis Regeneratum. »

Susan ouvrit les yeux complètement et s’assit sur le bord du bureau, incrédule. Elle regarda Hermione et fondit soudainement en larmes. La jeune gryffondor la prit dans ses bras et la serra avec douceur. Susan balbutiait entre deux sanglots.

« Je n’aurai jamais imaginé… comment a-t-il pu ? Je croyais… il m’avait dit…
_ Calme toi ! Répliqua Hermione elle même en pleurs. C’est terminé. Il faut que nous partions au plus vite d’ici, d’accord ? »

La petite poufsouffle acquiesça. Toutes deux se rhabillèrent en silence et sortirent du bureau.

    Malgré le sortilège de régénération, Susan avait du mal à tenir sur ses jambes. Hermione la soutenait et suivit ses indications pour l’emmener jusqu’à la pièce commune des poufsouffles. La jeune gryffondor avait encore très mal et elle pensa que leur démarche devait être pour le moins ridicule et même inquiétante. Heureusement les cours avaient repris et les couloirs étaient déserts. Elles ne virent même pas le moindre fantôme. Après une marche qui leur sembla interminable, elles arrivèrent enfin dans le dortoir des filles de deuxième année de poufsouffle et s’écroulèrent épuisées sur le lit de Susan. Hermione était hors d’haleine et tout le bas de son corps la tiraillait horriblement. Sa camarade pleurait, le visage enfouit dans les coussins. L’entourant à nouveau de ses bras, la petite gryffondor lui caressa les cheveux avec douceur. Susan la regarda avec une expression de terreur.

« Il… il a jouit… dans mon ventre ! Qu’est-ce que… je vais faire si je… tombe enceinte ? »

Hermione s’écarta un peu d’elle et se redressa. Avec précaution et douceur, elle releva la robe de son amie sur sa poitrine et pointa sa baguette sur le ventre nu. Elle effectua un petit mouvement de poignée assez compliqué et lança :

« Protectem Infantis. »

Susan ressentit une vague de fraîcheur tourner dans son ventre qui s’estompa rapidement. Hermione s’allongea à nouveau près de sa camarade, la reprit dans ses bras et lui parla avec douceur.

« Avec le sortilège de prévention tu ne risques plus rien. Je croyais que toutes les filles de Poudlard le connaissaient dès leur première année. C’est de notoriété publique. Tu n’en as jamais entendu parlé ?
_ C’est que… je n’en avais jamais eu besoin jusqu’à… aujourd’hui.
_ Excuse-moi ! Répondit précipitamment Hermione qui eut peur de voir sa camarade se désespérer à nouveau. Ne pensons plus à ça.
_ Ne t’inquiète pas. Je te remercie pour ce que tu as fait là-bas. Sans toi je crois que j’aurais été capable de me jeter de la volière. »

La jeune gryffondor parut effarée mais Susan lui sourit tendrement pour la rassurer.
    Elles restèrent longtemps l’une contre l’autre sans bouger. Un autre cours avait déjà dû commencer, mais elles ne voulaient pas sortir du dortoir. Hermione gigota en poussant un gémissement.

« Qu’y a-t-il ? Demanda Susan inquiète.
_ Ce n’est rien. C’est juste que j’ai encore mal. Je ne parviens pas à trouver une position qui me soulage.
_ Oui, c’est pareil pour moi. »

La petite poufsouffle dévisageait gravement son amie, semblant perplexe. Elle se redressa alors.

« Je connais peut être un moyen d’atténuer la douleur. Je ne sais pas si ce sera efficace mais on ne perd rien à essayer. Laisse-toi faire. »

Susan fit allonger Hermione sur le ventre. Cette dernière se demandait ce que sa camarade connaissait pour soulager les élancements cuisants de son bassin et de ses jambes. Peut être avait elle appris un sortilège d’anti-douleur. La petite poufsouffle releva la robe d’Hermione jusqu’à la taille, puis elle fit descendre la petite culotte sur les cuisses avec douceur. La jeune gryffondor fut troublée de se dévoiler ainsi à nouveau mais il s’agissait probablement d’un sort qui ne fonctionnait que sur la peau nue, à l’instar du sortilège de prévention.

    Elle sentit soudain deux petites mains se poser sur ses fesses et les écarter tendrement alors qu’une langue s’appuyait sur son puit secret endolori. Un éclair parcourut sa colonne vertébrale et son petit coquillage devint instantanément humide.

« Susan ? Qu’est-ce que… ?
_ Ne t’en fais pas ! Répondit rapidement la petite poufsouffle. Je te suis reconnaissante de ce que tu as fait pour moi là-haut. Je suis désolée de ne pas avoir pu t’aider à mon tour. Je t’en prie, laisse-moi prendre soin de toi maintenant. »

Hermione aurait voulu répondre qu’elle n’avait pas à faire cela, mais Susan avait immédiatement recommencer à caresser le petit anneau de sa langue agile et la jeune gryffondor ne put que pousser un petit gémissement. Elle sentit une chaleur se répandre dans tout son corps. Mais c’était une douce chaleur, qui l’enveloppait comme un drap, et qui lui donnait d’agréables sensations, bien loin des brûlures intenses infligées par Lockhart. Hermione ne pouvait plus supporter ses vêtements et se débarrassa, en se tortillant, de sa robe et de son minuscule soutien-gorge.

    Susan retira complètement la culotte puis se redressa et se dévêtit également, tandis que la petite gryffondor se tourna sur le dos pour contempler son amie. Une fois nue, la jeune poufsouffle se pencha à nouveau sur sa camarade et embrassa langoureusement son nombril. Elle fit ensuite courir sa langue sur le ventre plat, descendant en douceur vers le trésor intime en écartant lentement les cuisses d’Hermione. Elle se délecta de longues gorgées de jus de plaisir avant d’enserrer le bouton d’amour entre ses lèvres. D’une main elle caressait la cuisse de son amie tandis que l’autre s’était avancée pour masser avec tendresse les deux monts de vénus naissants. La petite gryffondor gémissait sous les délicieux coups de langue de son amante. Elle posa une main sur les doigts qui caressaient sa poitrine et accompagnait leurs mouvements sensuels. Son autre main caressait avec douceur les longs cheveux soyeux de Susan, sans jamais guider les mouvements de sa tête contrairement à la brutalité du professeur.

    Hermione, emportée par la volupté, ne fut pas longue à sentir une vague de plaisir la submerger et inonder son sexe. Sa partenaire se régala de la grande quantité de liqueur de jouissance qu’elle libéra. La petite gryffondor tira avec douceur sur la nuque de Susan pour l’attirer à elle. Les deux jeunes filles s’enlacèrent et s’embrassèrent avec tendresse, savourant la douceur de leur peau l’une contre l’autre. Hermione descendit ses lèvres et sa langue sur la poitrine minuscule de son amante et posa une main sur l’entrecuisse de celle-ci qu’elle caressa avec lenteur. Susan gémit de plaisir avant d’embrasser et de lécher le cou de sa partenaire. Elle descendit également une main sur le sexe de la petite gryffondor tandis que l’autre parcourait lentement les jolies fesses rondes.

Les filles se masturbaientt l’une l’autre, se tortillant et gémissant de plus belles, lorsque Hermione s’allongea sur le dos avec un sourire coquin. Susan comprit ce qu’elle désirait. Elle se mit au dessus de son amante et l’embrassa avant de se tourner et d’offrir son trésor intime à la bouche de son amie tandis qu’elle-même avait une vue plongeante sur le beau coquillage trempé. Elles explorèrent leurs sexes au plus profond que le leur permettaient leurs langues et leurs doigts, alors que la petite poufsouffle sentait avec délectation son ventre se frotter à la poitrine si menue de son amie. Hermione releva les jambes, offrant son puit secret au grand jour. Susan y promena un peu sa langue avant d’y introduire deux doigts avec douceur et qu’elle enfourna trois autres doigts dans le sexe dégoulinant. La petite gryffondor laissa échapper un petit cri puis, encouragée par la réaction de son amante, elle fit de même avec les orifices qui lui étaient offert. Il ne fallut pas longtemps avant que les filles se mettent à crier de concert, libérant chacune de grandes quantité de liqueur de jouissance dans la bouche de leur partenaire. Elles s’allongèrent l’une à côté de l’autre et s’enlacèrent en posant de nombreux baisers sur tout leurs corps.

Vaincue par la fatigue, Susan s’endormit rapidement. Hermione la recouvrit des draps et se rhabilla. Elle sortit du dortoir non sans avoir déposé un tendre baiser sur les lèvres de son amante. Marchant dans les couloirs encore silencieux du château, la jeune gryffondor constata que la douleur de son bassin et de son ventre s’était estompée et que celle de ses jambes avait complètement disparue. Elle regagna son dortoir pour faire croire qu’elle s’était endormie, pensant même qu’elle devrait faire semblant d’être paniquée pour être plus crédible.

Durant le repas ce soir là, Harry et Ron la questionnèrent, surpris de ne pas l’avoir vu de l’après-midi.

« Mais où étais-tu passée ? La convocation de Lockhart s’est transformée en rendez-vous galant ? »

Hermione sentit son cœur se soulever à cette pensée. Elle fit tout pour ne rien laissé paraître et pris un air coléreux, ce qui lui fut en fait très facile.

« Tais-toi Ron ! Il m’a simplement félicité d’avoir réussit les derniers sortilèges et il voulait me lire un passage de son nouveau livre en pensant que ça me passionnerait. »

Elle avait répété son mensonge toute la fin d’après-midi, pensant que Lockhart était suffisamment imbus de sa personne pour que l’on croit qu’il donnait des lectures privés à ses meilleurs élèves. Ron voulut répondre avec un sourire narquois mais Harry lui posa la main sur le bras avec un regard « c’est bon maintenant » et Ron haussa les épaules en s’occupant de son assiette. Hermione sourit à Harry, reconnaissante. Elle jeta un coup d’œil à la table des poufsouffle où elle aperçut Susan qui riait avec Hannah Abbot. A la table des serdaigles par contre, elle reconnut Marietta Edgecombe, la mine sombre, les yeux fixés sur son assiette, alors qu’une de ses amies, une fille magnifique, lui parlait avec entrain. Elle tourna les yeux vers la table des professeur où Lockhart parlait joyeusement avec le professeur Flitwick qui semblait singulièrement agacé. Hermione savait qu’on ne la croirait pas si elle s’attaquait à quelqu’un d’aussi célèbre que Gilderoy Lockhart. Tout le monde penserait qu’elle cherchait à entacher sa réputation pour se faire connaîte. Elle espérait donc que quelqu’un finirait par lui jouer un très sale tour avant la fin de l’année. Â ses côtés, Ron se plaignait encore à Harry des dégâts qu’avait provoqué sa baguette brisée lors des cours de l’après-midi.
 
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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