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Histoires avec Harry

Mardi 15 novembre 2 15 /11 /Nov 19:26
Baignade particulière dans le lac

Une aventure sexuelle de Harry Potter en Sixième année



Avec : Harry Potter, Ginny Weasley et Luna Lovegood.




    Le temps était magnifique alors que juin devenait très proche. Nombre d’élèves se seraient volontiers allongés dans les pelouses bien vertes du parc de Poudlard pour réviser les examens qui arrivaient à grands pas. Mais aujourd’hui avait lieu le dernier match de Quidditch de la saison, Gryffondor contre Serdaigle.

    Harry ne partageait pas l’allégresse générale de ses camarades pour la finale étant donné qu’une retenue avec Rogue l’empêchait d’y participer. Ginny Weasley, son amour secret, l’avait remplacé au poste d’attrapeur. Il lui semblait plus cruel encore de ne pas pouvoir discuter avec elle dans les vestiaires ou simplement de la regarder sans rien dire.

    La retenue s’était achevée et Harry eut une belle surprise en revenant dans la salle commune de Gryffondor. L’équipe avait remporté le match et avait gagné la coupe de Quidditch in extremis. Ginny lui avait sauté au cou et Harry, dans le bonheur de l’instant, l’embrassa avec passion. Revenu du choc, les deux tourtereaux s’étaient décidés à se balader autour du lac pour éviter les regards interloqués de leurs camarades.

    Ils sortirent dans le parc alors que tous les autres étaient dans la grande salle pour le déjeuner. Ils avançaient doucement, se tenant tous deux par la taille tandis que Ginny posait de petits baisers dans le cou de Harry. Le lac était grand et il leur faudrait sûrement tout le début d’après-midi pour en faire le tour.

    Ils arrivèrent dans une petite crique bordée d’arbres qui la cachait à la vue de quiconque se trouvait au château et ses environs. Ginny se positionna vivement devant Harry et l’embrassa avec fougue.

« Depuis le temps que j’attendais ça, dit-il lorsqu’elle desserra son étreinte, tu ne peux pas imaginer.
_ Je crois que je peux mieux l’imaginer que toi. Je te rappelle que je t’aime depuis ma première année ici. Et qu’il t’en a fallut cinq pour t’en rendre compte.
_ Oui, je sais. Je ne comprends pas comment j’ai pu laisser passer tant de temps sans m’en apercevoir.
_ On a beaucoup de temps à rattraper. Alors maintenant tais-toi. »

Ginny posa à nouveau ses lèvres sur celles de Harry et se serra encore plus contre lui. Il descendit une main sur les longs cheveux d’un roux flamboyant qui s’arrêtaient aux hanches de la jeune fille mais continua son chemin jusqu’au petit cul rebondi. Il la sentit frémir et la regarda droit dans les yeux.

« Tu sais, si tu ne veux pas…
_ Tu plaisantes ? Répondit Ginny. Depuis le temps que j’ai envie de toi. »

Sans dire un mot de plus, elle lui prit la main et l’entraîna au pied d’un grand arbre aux racines noueuses. Elle fit allonger Harry et se coucha sur lui pour l’embrasser. Elle descendit une main sur la bosse qui déformait sa robe de sorcier et se mit à la frictionner. Harry n’était pas en reste et caressait avec avidité les fesses et les seins de sa compagne.

    Ginny se redressa, s’asseyant confortablement sur la bosse et se mit à déboutonner sa robe dont le haut tomba sur ses hanches fines. Elle enleva rapidement son soutien gorge et offrit sa magnifique poitrine aux yeux de son amant.

« Oh, Harry ! S’il te plaît ! Suce-moi les seins. »

Harry ne se fit pas prier et pris les deux monts de vénus à pleine main avant d’y laisser courir sa langue. Ginny s’empara des cheveux en broussaille de son amant pour plaquer la bouche sur sa poitrine. Elle remuait langoureusement des hanches sur le sexe viril qu’elle sentait grandir encore à chaque mouvement contre son pubis enflammé.

Elle interrompit Harry dans sa délectation et se leva. Elle effectua une légère danse au-dessus de lui, ondulant les hanches avec lenteur tout en retirant sa robe et tout ce qu’elle portait. Harry avança ses mains le long des jambes fines. Il s’attarda sur la douceur des cuisses avant de faire pénétrer ses doigts sous la petite culotte, l’écartant un peu pour libérer l’intimité de Ginny. Elle remuait toujours son petit abricot si appétissant sous son nez. N’y tenant plus, il s’agrippa aux petites fesses rondes et la tira à lui pour plaquer sa bouche sur le sexe trempé. La jeune fille continuait sa danse tandis que la langue de Harry l’explorait en profondeur et qu’un de ses doigts s’attardait sur son puits secret. Il pénétra en elle et constata qu’elle était particulièrement serrée de ce côté-ci. Ginny semblait toutefois l’encourager à continuer dans cette voie et accentua ses mouvements de hanches.

Une pierre roula sur le chemin et les deux amoureux s’arrêtèrent net, tendant l’oreille. Des bruits de pas approchaient lentement. Ginny se leva en hâte et cacha ses seins de ses bras en jetant un regard autour d’elle à la recherche d’une quelconque cachette. Mais elle n’eut pas le temps de faire le moindre pas vers un bosquet ou un tronc qu’une jeune fille apparut et stoppa. Harry reconnut Luna Lovegood dont le regard rêveur les détailla lentement, lui allongé de tout son long et Ginny debout, quasiment nue. Elle ne semblait ni surprise, ni gênée de les trouver ainsi et leur adressa un sourire.

« Bonjour ! Belle journée non ? Tu allais te baigner Ginny ?
_ Oui je pense que l’eau doit être excellente, répondit Ginny avec conviction tout en retirant les bras de sa poitrine pour paraître plus naturelle et que Harry essayait de cacher nonchalamment la bosse sous sa robe.
_ Je peux venir avec toi ?
_ Evidemment. »

Ginny retira sa petite culotte révélant une toison rousse tandis que Luna enlevait sa robe. Harry avait toujours pensé que Luna était jolie mais qu’elle ne savait pas se mettre en valeur, ou plutôt qu’elle s’en fichait éperdument. Mais tandis qu’il la voyait se dévêtir, il constata qu’elle était d’une beauté époustouflante. Même Cho Chang et Angelina Jonhson, les deux plus belles filles qu’il ait jamais connu à Poudlard, ne lui avait fait autant d’effet. Seule Fleur Delacour aurait pu tenir la comparaison. Luna continuait de discuter calmement tout en retirant ses sous-vêtements et chassant ses cheveux blonds de son visage.

« C’était un très beau match ce matin Ginny. Je suis déçue que Serdaigle ait perdu bien sûr, mais tu as été exceptionnelle.
_ Merci. C’est dommage que tu ne l’aie pas commenté cette fois. Ton remplaçant ne t’arrive pas à la cheville.
_ C’est gentil de dire ça. Mais de toute façon je n’aurai pas eu envie de le faire puisque Harry ne jouait pas. C’était moins drôle. »

Harry, perdu dans la contemplation des deux superbes corps qui s’offraient à ses yeux, fut soudain ramené à la réalité par la franchise aussi incisive que gênante de Luna. Comme si elle n’avait rien dit de vraiment important, Luna, complètement nue s’approcha du bord du lac puis se tourna vers eux.

« C’est vrai que vous sortez ensemble vous deux ? »

Harry et Ginny furent totalement pris au dépourvu. Ginny se ressaisit très vite.

« Oui c’est vrai. Mais qui t’a dit ça ?
_ J’ai croisé des filles de Gryffondor en descendant. Elles avaient l’air furieuses. Elles disaient qu’elles ne savaient pas ce que Harry te trouvait et qu’elles allaient te lancer un sort de laideur pour qu’il s’en rende compte. Alors je les toutes stupéfixées et cachées dans un passage secret. Je les libérerai après ma promenade. »

Ginny éclata de rire et posa un baiser sur la joue de Luna. Puis elle se jeta dans les eaux du lac en poussant un cri de joie. Luna la rejoignit en entrant avec lenteur. Harry se leva et resta debout sur la berge en regardant avec ravissement les filles nager. Il avait du mal à garder les yeux sur l’une ou sur l’autre. Elles firent une pause à un endroit où l’eau leur arrivait aux hanches, laissant apparaître les naissances de leurs fesses et de leurs pubis.

« Elle est encore un peu fraîche, fit Ginny frissonnante.
_ Attends, répondit Luna, viens par-là. »

Luna attira Ginny à elle et l’entoura de ses bras pour la réchauffer. Harry crut entendre un léger craquement de son pantalon tandis qu’il regardait, ébahi, les poitrines des jeunes filles se presser l’une contre l’autre et leurs ventres se coller. Mais ce fut comme s’il venait d’être frapper par la foudre lorsque leurs lèvres se rencontrèrent et que leurs langues se mirent à danser avec douceur. Harry sentit son sexe lui faire mal tandis que Ginny posait la tête sur l’épaule de Luna en le regardant d’un air malicieux.

« Luna et moi sommes de très grandes amies Harry. On partage beaucoup de choses ensemble. »

Harry n’eut pas besoin de se faire répéter l’allusion deux fois. Il retira fébrilement sa robe et ses vêtements. Il entra dans l’eau fraîche qui ne calma pas ses ardeurs pour autant et s’avança vers le couple enlacé sans se soucier de son membre trépidant. Luna le regardait arriver de ses habituels yeux rêveurs avec un petit sourire. Lorsqu’il fut arrivé à leur hauteur, le sexe fièrement dressé juste au-dessus de la surface de l’eau, Harry constata que Luna avait déjà une main entre les cuisses de sa compagne et que ses doigts allaient et venaient dans le petit abricot roux. Ginny rosissait sous le plaisir mais elle s’écarta néanmoins de Luna pour aller coller son corps humide contre celui de Harry et l’embrasser avec passion en écrasant le pieu de chair contre son ventre. Harry fit doucement glisser son membre contre la peau tendre et fraîche de la jeune fille. Il sentit Luna se serrer dans le dos de Ginny tandis que quatre mains se baladaient sur ses fesses. Harry ne fut pas en reste et caressait le parfait petit cul de Luna d’une main. Avec l’autre, il s’était difficilement frayé un passage entre les deux filles pour que son doigt pénètre à nouveau l’anus très serré de Ginny. Au passage, le dos de sa main frottait contre le petit bouton d’amour de Luna.

Harry sentit venir le plaisir. Il tira sur les fesses de Luna pour que Ginny se plaque un peu plus contre lui et son dard coulissant entre leurs corps. Ils étaient si serrés que Harry ne vit pas sa semence jaillir et se répandre sur leur ventre. La petite rousse s’écarta en souriant et pris le membre gluant dans sa main. Elle masturba tendrement Harry tandis que Luna se penchait sur elle et massait sa poitrine en nettoyant les traces de sperme autour du nombril avec sa langue. La jeune Serdaigle semblait apprécier le nectar de jouissance et elle nettoya le ventre de Harry avec le même plaisir. Ginny masturbait toujours son petit ami. Elle posa une main sur la tête de Luna et la fit descendre jusqu’à ce que les lèvres de la jeune blonde se posent sur le gland luisant. Luna le prit immédiatement en bouche et se mit à sucer Harry au rythme que lui suggérait Ginny.

Le jeune garçon, quant à lui, avait positionné sa deuxième main sur le petit coquillage roux et masturbait son amoureuse par ses deux orifices intimes tandis que sa langue parcourait sa magnifique poitrine. Il sentit alors les doigts de Luna s’emparer de ses fesses et s’immiscer jusqu’à son puits secret. La jeune blonde y plongea deux doigts qu’elle remua avec lenteur, au même rythme que ses lèvres sur la queue tendue. Ginny retira les doigts de son amant de ses orifices et alla s‘accroupir derrière lui. Harry sentit la langue de la petite rousse passer lentement d’une fesse à l’autre puis se joindre avec passion aux doigts de Luna. Cette dernière sentit que le jeune garçon était au bord de la jouissance et elle stoppa soudain ses mouvements de va et viens. Elle prit les mains de Harry et les posa sur ses cheveux pour lui faire comprendre qu’il devait décider de son propre rythme. Il ne se fit pas prier et fit aller la tête docile avec lenteur comme si la jeune fille ne la contrôlait plus du tout. Il aperçut les mains de Ginny caresser la magnifique poitrine de la jeune blonde et l’une d’elle s’éleva soudain pour attraper les joues. La petite rousse activa le mouvement de la tête de Luna sur la verge frémissante tandis que sa langue s’amusait avec plus de vigueur dans l’anus. Harry ne put tenir la cadence et se ficha d’un coup jusqu’à la garde dans la bouche de la jeune blonde où il éjacula longuement. Apparemment rompue à ce genre de chose, Luna ne fit pas le moindre mouvement de protestation et avala la délicieuse liqueur avec ravissement.



Ginny attira sa camarade entre les jambes de Harry et, tout en continuant de lui caresser la poitrine, elle l’embrassa fougueusement. Comme si elles s’étaient entendues d’avances, les jeunes filles enlacées poussèrent sur le fond et flottèrent doucement ensemble jusqu’à ce que les épaules de Luna touchent le bord. Ses seins mouillés jaillissaient de la surface comme deux douces collines après la pluie et l’eau entourait peu à peu son ventre pour ne plus laisser apparaître que sa délicieuse petite toison dorée. Ginny s’était agenouillée au-dessus de sa tête et offrait son bel abricot flamboyant à la jeune Serdaigle qui le savoura sans hésiter. Harry s’approcha d’elle alors que la petite rousse frémissait sous les assauts experts et gourmands de sa camarade. Il s’agenouilla à la hauteur du ventre de Luna et lui caressa les seins tendrement. Mais malgré l’intense beauté de la jeune blonde, Harry ne parvenait pas à détacher ses yeux du petit cul qui se trémoussait de plaisir devant lui. Le petit anneau si serré qui semblait danser était l’invitation la plus scandaleuse et la plus excitante qu’il ait jamais vu.

Harry se rapprocha et prit Ginny par les hanches. Il passa son gland entre les fesses de son amoureuse qui se pencha en avant, posant ses mains au sol, pour l’inviter à continuer. Rassuré par la réaction de la jeune fille, Harry posa l’extrémité de son sexe sur le puits secret et appuya avec force pour le faire entrer. Ginny poussa un cri aigu puis creusa les reins pour lui faciliter la tâche mais il ne parvenait à la pénétrer que très lentement. Après quelques efforts, il parvint à se ficher entièrement en elle et se mit à coulisser avec ardeur. Il eut peur de lui faire mal mais la jeune rousse ne cessait de l’encourager à aller encore plus fort entre deux gémissements de plaisir. Luna se prêta également au jeu en faisant pression sur ses fesses. Harry sentait son sexe si serré qu’il craignait de voir Ginny se briser. En ce moment elle lui semblait si fragile alors qu’il tenait sa taille si fine entre ses mains. Bien qu’il allait toujours en elle avec la vigueur qu’elle lui avait demandé, il fit lentement glisser ses mains le long de son ventre pour aller caresser avec tendresse sa jolie poitrine. La jeune rousse attrapa les mains de son amant pour les garder fermement contre ses seins et se mit à ruer sur le membre viril avec encore plus de force. Luna dut s’accrocher aux cuisses de Ginny pour garder le rythme avec sa langue. Harry sentit tout son bas ventre devenir ardent tandis que son amoureuse hurlait son plaisir sans se soucier que quelqu’un puisse les entendre. Puis elle s’affaissa une dernière fois sur tout le long de la verge et poussa un cri aigu tandis qu’elle emplissait la bouche de Luna de sa liqueur de jouissance. Harry constata qu’elle appréciait autant le plaisir des filles que celui des garçons et alors qu’il avait commencer à se répandre dans le petit cul de Ginny, il se retira vivement et donna ses derniers jets à Luna pour qu’elle goûte un fameux mélange.

La jeune rousse semblait épuisée mais ravie. Elle se retourna pour embrasser fougueusement Harry avec un sourire puis elle s’allongea sur le dos à côté de Luna qui se mit immédiatement sur elle pour lui faire partager le goût de leurs deux semences emmêlées. Harry n’eut pas besoin d’autre stimulation que de voir à nouveau les deux jeunes filles enlacées se caresser et s’embrasser. Il s’empara du joli petit cul de Luna et pressa son pieu contre son bel abricot doré. Sans autre préambule, la jeune fille donna un grand coup de rein et s’empala entièrement sur le membre viril. Harry n’hésita pas à donner de vigoureux coup de rein tout en faisant aller et venir son pouce dans le petit anus qui lui faisait face. Luna pousser des gémissements de plaisirs étouffés par la poitrine de Ginny qu’elle léchait, embrassait, massait et suçait avec entrain. La jeune rousse avait une vue parfaite de son petit ami pénétrant les orifices de sa magnifique camarade dont elle caressait le dos et les longs cheveux blonds. Luna descendit une main et introduisit plusieurs doigts dans l’intimité de Ginny qu’elle remua au même rythme que le sexe de Harry dans son propre ventre. Ce dernier fit doucement entrer son deuxième pouce dans le puits secret de la jeune serdaigle. Luna se cabra alors en poussant un cri aigu et Harry sentit son sexe être inondé de liqueur de plaisir. Ginny suivit presque immédiatement son amie et jouit avec force sur les doigts de la jeune blonde qui s’écroula sur elle. Luna attrapa le sexe de Harry et l’invita à se rapprocher. Il se positionna alors devant les visages des filles dont les langues se délectèrent du membre tendu. Elles s’appliquèrent à ne laisser aucun morceau de chair trop longtemps délaissé. Lorsqu’il se sentit à l’extrême bord du plaisir, Harry retira sa queue des bouches gourmandes et éjacula sur la poitrine de Ginny. La jeune rousse resserra vivement ses seins qui gardèrent la précieuse semence comme un écrin. Luna, aux anges, se mit à boire le nectar qu’elle savoura tout autant que les deux globes de chair qui le contenait et sur lesquels elle laissa courir sa langue et ses lèvres bien après que toute trace de sperme ait disparu.

Elle se leva ensuite en laissant Ginny allongée et offerte. Harry prit immédiatement sa place et embrassa tendrement son amoureuse tandis que sa verge s’écrasait contre le pubis de la jeune fille. Elle entoura son amant de ses jambes et de ses bras et l’encouragea à la pénétrer dans un murmure sensuel. Harry lui obéit aussitôt et entra en elle d’un vigoureux coup de rein, la faisant gémir de plaisir. A peine avait-il fait quelques mouvements de va et viens qu’il sentit une langue se posait sur les deux sexes joint. Luna se régalait de leurs intimités mais elle préféra laisser les amoureux seuls et Harry sentit ses mains glisser le long de ses jambes tandis qu’elle allait vers plus de profondeur. Ginny, les yeux fermés, savourait les doux assauts de son amant. Elle resserra son étreinte autour du corps du jeune garçon et l’embrassait à l’aveuglette dans le cou. Avec agilité, Harry s’agenouilla, releva le corps de Ginny vers lui et se leva en la tenant enlacée dans ses bras. La jeune rousse montait et descendait par la force de ses bras autour du cou de son amant et par celle de ses jambes autour de sa taille. Harry debout, la soutenait par les fesses et donnait quelques légers coups de rein. Soudain, elle s’abattit durement sur le membre viril et poussa un long cri de jouissance en serrant encore plus les paupières. Harry se répandit alors dans son ventre et chancela sur ses jambes.

Il tomba à la renverse, entraînant Ginny et s’attendit à être amorti par l’eau. Mais son dos rencontra quelque chose de solide et froid et il poussa un cri de douleur. Il se retourna et vit juste en face de lui un être de l’eau qui le regardait de ses yeux globuleux. Il se recula, surpris, et eut alors un vrai choc en apercevant Luna au prise avec deux autres créatures grisâtres qui l’avaient prise en sandwich et l’empêcher de crier avec leurs mains palmées. Il entendit un cri derrière lui et fit volte face pour voir trois sirènes qui s’étaient aventurées dans des eaux moins profondes pour attraper Ginny. Il ne put même pas amorcé le moindre mouvement pour lui porter secours quand d’autres mains d’un gris bleuté le saisir à son tour et le tirèrent en arrière.

Harry faisait face à une sirène femelle tandis qu’un autre le tenait par derrière et était sans aucun doute un mâle s’il en jugeait par la chose longue et dure mais terriblement froide qu’il sentait dans son dos. La femelle avait une peau un peu plus bleue que celle qu’il avait déjà vue auparavant et il en conclut qu’elle devait être encore jeune. Un regard général lui montra que tous leurs assaillants n’étaient pas très âgés. Il sentit alors la poitrine de la sirène s’écraser contre son ventre. Elle lui sembla fraîche, à peine plus chaude que les écailles de sa queue contre ses jambes. La langue qu’elle passa sur sa poitrine était par contre, d’un froid glacial et il en trembla des pieds à la tête en la sentant se déplacer lentement vers le bas de son corps. Il essaya de se débattre, non pas que l’expérience ne l’ait pas tenté dans d’autres mesures, mais surtout parce qu’il devait aller libérer les filles dont le silence ne lui disait rien qui vaille. Ce fut peine perdue car les sirènes étaient bien plus fortes que les humains de par leur vie sous l’eau et il s’avoua vaincu en sentant les lèvres froides mais douces se refermer sur son membre.

Luna n’avait plus pied et était totalement à la merci de ses partenaires. Deux sirènes mâles l’avaient entreprise, l’un dans son puits secret et l’autre dan son abricot doré, et une femelle goûtait avec ravissement à sa poitrine. Luna s’était d’abord sentit inquiète d’avoir été tirée en arrière par des mains gelées, dont l’une sur sa bouche pour l’empêcher de crier, alors qu’elle dégustait les sexes joints de Harry et Ginny, mais finalement elle ne trouvait pas sa situation désagréable et avait même commencé à masser les seins de la jeune femelle qu’elle avait encore petits. Les mâles s’arrêtèrent au dépit de la jeune fille et celui qui lui faisait face s’allongea se déchaussa de son ventre et s’allongea sous l’eau, son membre gris dépassant de la surface. Tandis que l’autre reprenait son va et viens dans son petit cul, Luna se pencha vers le sexe dur et froid et le suça avec attention. Elle sentit la jeune femelle passer sous l’eau et plaquer ses lèvres contre le petit abricot délaissé. Sa langue, plus longue que celle des humains, la pénétra avec passion et Luna crut qu’un petit serpent de glace s’agitait dans son ventre.

Ginny se débattait comme une diablesse en essayant de se dégager. Mais elle comprit très vite qu’elle ne pouvait lutter contre la force des sirènes et bien qu’elle continuait son vain combat, elle s’attendait au pire. Deux sirènes mâles la retenaient et un troisième se trouvait devant elle. Ce dernier approcha la main et se mit à caresser la douce poitrine de la jeune fille. Ginny vit qu’au niveau de sa taille, deux écailles plus grosses que les autres s’écartaient sous la pression du membre viril qui grandissait en dessous. Une fois le sexe totalement sortit, La jeune rousse constata qu’il était bien plus gros que celui d’un humain. En pensant que finalement son sort ne serait pas si terrible, elle s’avança un peu et pris la verge grise dans sa bouche. Elle était froide et salée mais ce n’était finalement pas désagréable. Sentant qu’elle devenait plus douce, l’un des autres ondins glissa avec dextérité sous elle et parvint à pénétrer son intimité. Ginny en frissonna mais elle se sentit réellement inquiète lorsqu’un gland énorme se posa sur son petit anus. Elle pensait qu’elle ne pourrai pas prendre la troisième sirène par-là et essaya de le lui faire comprendre par des gestes frénétiques mais la créature ne comprit pas et s’enfonça dans l’étroit passage sans faire plus attention. La jeune fille poussa un cri de douleur qui alerta le mâle qui venait de la pénétrer et il prit ensuite plus de précaution en lui caressant doucement le dos. Ginny ressentit une brûlure insoutenable pendant quelques minutes mais la douleur laissa peu à peu place au plaisir et elle se remit à la fellation qu’elle avait commencée.

Harry n’aurait pas pensé que les êtres de l’eau seraient aussi doués pour donner du plaisir aux humains mais finalement leur sexualité n’était pas si différente. Il donnait à présent de petit coup de rein pour accompagner la bouche de la jeune femelle qui le suçait et finit par éjaculer dans sa gorge ce qui semblait la ravir. Elle avala la moindre goutte de semence du jeune homme puis elle donna un coup de sa puissante queue pour se retourner et lui tourner le dos. A hauteur de son bassin se trouvaient deux orifices ressemblant à ceux des humaines. Harry comprit ses intentions et l’attrapa par la taille en posant son gland contre ce qui devait être son intimité. Il la pénétra lentement mais se rendit vite compte que les sirènes avait la possibilité de prendre de plus gros organe et il se mit à bouger avec ardeur. Une autre sirène, un peu plus jeune, se tenait plus loin d’eux pour les regarder et elle s’approcha discrètement, ayant apparemment un peu peur des humains. Elle se mit devant la première femelle qui sortit sa longue langue pour la lécher. Harry contemplait le spectacle en redoublant d’efforts. Derrière lui le mâle avait relâché son étreinte mais Harry le sentit approcher et le membre qu’il avait déjà sentit plus tôt dans son dos s’engouffra cette fois entre ses fesses à la recherche de son petit anneau. Il n’avait jamais été pénétré par un sexe aussi gros mais il se relâcha au maximum tandis que le mâle le pénétrait en douceur. Harry ruait de plus belle entre ses deux partenaires lorsque la femelle se dégagea. Elle prit son amie à la peau un peu plus bleue et la positionna dos au jeune garçon. Elle prit le membre viril de Harry en main et l’approcha de l’anus de sa camarade. La deuxième femelle ne semblait pas ravie de la tournure de la situation mais se plia aux volontés de son amie et s’empala d’elle-même sur la queue du garçon. Harry l’attrapa par les seins tandis que sa première partenaire enlaçait sa camarade pour l’embrasser. Harry sentit soudain quelque chose d’incroyablement froid lui parcourir les entrailles et il se rendit compte que le mâle avait jouit en lui. Surexcité par cette sensation, il ne put se retenir et éjacula dans le petit cul de la femelle qui fut probablement surprise par la chaleur de la semence qu’il déversa en elle.

Luna avait déjà jouit plusieurs fois sous les assauts des êtres de l’eau qui échangèrent soudain des cris aigus. Le mâle qu’elle suçait remplaça son homologue derrière elle mais il préféra la pénétrer à nouveau dans son petit abricot. La femelle se mit devant la jeune fille et lui caressa le ventre et les seins pendant que le deuxième mâle arrivait derrière elle et la prenait sans ménagement. Luna et la femelle se tenaient enlacées tandis qu’elles savouraient les assauts des mâles. La jeune blonde se mit à sucer la poitrine douce et fraîche de sa partenaire qui lui caressait les fesses. Les mâles ne tinrent plus très longtemps et ils répandirent leur semence froide dans les ventres de leurs partenaires qui poussèrent aussitôt des cris de jouissance.

Ginny se régalait des sexes en elle et, bien qu’il lui fut presque impossible de bouger, elle ruait avec force sur les membres froids. Elle sentit le plaisir arriver peu à peu pour finalement la submerger totalement. Elle poussa un long cri de jouissance comme un feulement de bête enragée et ne fut plus capable de bouger. Les sirènes continuaient de s’activer en elle et elle les laissa profiter de son corps sans rien dire. En peu de temps, elle les sentit se tétaniser puis son dos, son ventre et sa gorge furent inondés de semence glaciale. Elle sentit des mains lui caresser doucement tout le corps en signe de remerciements.

Soudain d’autres cris aigus se firent entendre plus loin derrière des rangées de roseaux. Les sirènes plongèrent alors sous la surface en direction de ses bruits. Luna, Ginny et Harry s’approchèrent et écartèrent les roseaux pour voir ce qui se passait. Des dizaines d’autres êtres de l’eau, tous avec des reflets bleus sur leur peau grisâtre, étaient rassemblaient et semblaient en plein ébats sexuels.

« C’est leur période d’apprentissage, fit Luna d’un air docte comme le faisait souvent Hermione. Ils sont jeunes et vont apprendre ensemble la sexualité avant de se choisir un partenaire.
_ Ce n’était donc pas la bonne période pour se baigner, remarqua Ginny d’une petite voix.
_ Non, il vaut mieux attendre l’été, reprit Luna. Mais je crois qu’on leur a appris des choses. C’est déjà bien. »

Les trois jeunes gens s’attardèrent un peu dans le lac pour se nettoyer puis Luna et Ginny se lancèrent chacune le sort de prévention. Le soir tombait peu à peu. La jeune Serdaigle les quitta avec un sourire rêveur pour continuer sa balade avant que la nuit n’arrive.

« Pour une première fois, ce n’était pas très intime comme sortie, fit Harry d’un air amusé.
_ Oui, répondit Ginny. Mais je crois qu’en tant que capitaine de l’équipe de Quidditch tu as droit d’aller dans la salle de bains des préfets non ? A cette heure-ci il n’y a encore personne et de l’eau bien chaude et parfumée ça devrait nous changer un peu. »

Harry lui sourit puis ils s’en retournèrent tous deux, tendrement enlacés vers le château.
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Harry
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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00
Erreur de potion

Une aventure sexuelle de Harry Potter en 2e année


Avec : Harry Potter, Hermione Granger et Ron Weasley





    La terreur commençait à s’emparer du château de Poudlard. Maintenant qu’il était connu que l’héritier de Serpentard arpentait les couloirs avec son monstre mythique et avait paralysé plusieurs victimes. Nombre de suspects étaient envisagés mais le nom qui revenait le plus souvent était celui de Harry Potter. Harry supportait mal ce qu’on disait de lui dans son dos et il avait décidé de mener sa propre enquête en commençant par interroger Malefoy, son ennemi juré, qui était en parfaite position pour agir.

    Hermione avait trouvé la recette du polynectar dans un livre, une potion permettant de prendre l’apparence de n’importe qui d’autre. Après l’agression de Justin Finch Fletchey, Harry l’avait pressée de finir la potion et Hermione avait rajouté quelques ingrédients qui, selon elle, devait accélérer la finition de la potion. Tous trois se trouvaient dans les toilettes hors services des filles au deuxième étage.

« Tu es sûre de ce que tu fais ? Lui demanda Ron, sceptique.
_ Oui, répondit-elle de mauvaise humeur. La potion est déjà assez dure à préparer comme ça alors laisse-moi en paix. »

Ron se préparait à répliquer mais Harry lui donna un coup de coude. La potion était bientôt terminée, Hermione était sur les nerfs et il ne tenait pas à boire du polynectar mal préparé. Il redoutait déjà suffisamment d’en boire s’il était bien fait.

Ron ne dit plus rien et regarda la potion d’un air peu rassuré en serrant dans sa poche la fiole qui contenait un cheveux de Crabbe. Harry et lui s’était introduit plus tôt dans la laverie pendant qu’Hermione rajoutait les ingrédients nécessaires. Il avait retrouvé les robes de Crabbe, Goyle et Milicent Bullstrode auprès desquelles restaient accrochés quelques cheveux. Ron s’était déjà énervé après que Hermione se fut soudain rappelée qu’elle avait déjà un cheveux de Milicent, attrapé lors du club de duel. Ron avait répliqué de manière plutôt malpolie que la prochaine fois c’est elle qui irait fouiller dans les affaires sales des Serpentards.

« C’est prêt ! » Lança Hermione d’une voix qui trahissait son appréhension.

Ron déglutit avec difficulté avant de sortir son cheveux en même temps que Harry. Hermione sortit également une fiole.

« Ah non ! S’exclama Ron. On a été te chercher un cheveux alors tu vas le prendre. »

Hermione le regarda de ses yeux apeurés dans lesquels on pouvait discerner un fond de colère. Mais elle se résigna à ne pas répliquer sur le moment et rangea sa fiole avant de prendre celle que lui tendait Harry.

    Elle prit trois gobelet qu’elle remplit de la potion visqueuse et en tendit deux à Harry et Ron. En espérant que quelque chose les arrête avant qu’ils n’aient le temps de boire l’espèce de boue infecte qui continuait de remuer lentement dans leurs verres, Harry y déposa son cheveux. Mais ils avaient même réussit à se débarrasser de Mimi Geignarde, le fantôme des toilettes des filles, après que Ron lui ait rappelé pour une énième fois qu’elle était morte. Elle avait plongé dans une cuvette et devait probablement sangloter dans le lac ce qui lui prendrait des heures. Les potions dans les gobelets prirent des couleurs différentes qui ne les rendirent pas plus appétissantes.

    Prit d’une soudaine envie d’en finir, Ron but de longues gorgées de son verre. Harry et Hermione l’imitèrent juste avant qu’il ne se mette a main devant la bouche pour éviter de tout recracher. Harry sentit aussitôt ses jambes flageoler et son cœur battre plus rapidement. Son ventre semblait être en feu et il ne savait pas combien de bestioles inconnues gigotaient à l’intérieur. Sa vision devint floue mais il aperçut Hermione qui tenta de se raccrocher à un lavabo. Elle le manqua et tomba comme un arbre abattu. Dans un éclair de lucidité, Harry eut le réflexe de se jeter en avant pour la recueillir dans ses bras. Mais ses forces l’abandonnèrent et il s’affala durement sur le sol de pierre. Hermione lui tomba dessus. Il sentit Ron s’effondrer à son tour derrière lui. La douleur descendit peu à peu de son ventre vers son entrejambe ce qui ne lui laisser présager rien de bon.

    Puis la douleur disparut soudainement. La potion avait fait effet. Il se redressa, groggy, et prit Hermione par les épaules. Elle n’avait pas changé d’un sourcil mais semblait au bord de l’évanouissement.

« Tu vas bien ? Lui demanda-t-il mal assuré
_ Voui, répondit-elle d’une voix pâteuse. Kessépassé ?
_ Sais pas. Ron ? Ron ! tu vas bien ?
_ Je crois. » répondit Ron entre deux envie de vomir.

Lui non plus ne semblait pas affecté par la potion. Il marchait à quatre pattes vers l’une des cabines. Harry se releva en aidant Hermione puis il se regarda dans la glace. Il avait toujours ses cheveux noirs en bataille, sa cicatrice sur le front et ses yeux vert feuille.

« Qu’est-il arrivé ? Pourquoi on ne s’est pas transformé ?
_ Je ne sais pas Harry, répondit Hermione qui reprenait ses esprits peu à peu, mais peut être que l’accélération de la potion était trop compliquée. J’ai dû faire une erreur. »

Ses yeux s’humidifièrent et elle partit dans une crise de sanglots. Harry fut surpris puis il la prit dans ses bras avec douceur.

« Allons, calme-toi Hermione. Ce n’est pas si grave, une erreur, ça arrive à tout le monde.
_ Mais la potion aurait pu devenir un poison. J’aurais pu nous tuer tous les trois.
_ Oui mais ce n’est pas arrivé. Nous n’avons même pas été changé.
_ Euh… pas… pas sûr ! Fit la voix légèrement affolée de Ron dans la cabine.
_ Quoi ? »

    Harry et Hermione se précipitèrent vers la cabine. Ron était assit sur la cuvette et se tenait le bas ventre en respirant fortement. Il jeta un regard de dépit à ses amis.

« Je… je crois qu’on en est pas sorti indemne.
_ De quoi tu parles ? Fit Hermione d’une voix tendue. Qu’est-ce qui t’arrive ? »

Ron respira encore plus fortement. Il semblait chercher des mots assez forts pour dire ce qu’il avait vu. Mais il n’y arriva pas et se résolut à leur montrer. Il souleva sa robe de sorcier jusqu’au ventre de ses mains fébriles. Son pantalon et son slip était baissé sur ses cuisses mais ni Harry ni Hermione ne songèrent à détourner les yeux. Au contraire ils fixaient l’entrejambe de Ron avec horreur. Un léger duvet roux ornait deux grandes lèvres lisses surmontées d’un petit clitoris pâle. Nulle trace de pénis. Revenant de leur stupeur, Harry et Hermione plaquèrent immédiatement une main sur leurs sexes. Harry émit un gémissement en constatant qu’il manquait de toute évidence quelque chose. Hermione, elle, poussa un cri strident en sentant une bosse entre ses cuisses. Elle entra vivement dans une cabine pour vérifier de visu. Harry lui dû se retenir à une paroi pour ne pas tomber à nouveau, la respiration haletante.

    Ron regardait son entrejambe sans y croire. Il écarta les grandes lèvres comme pour s’assurer que son membre ne se cachait pas à l’intérieur. Sans se rendre compte de ce qu’il faisait, il introduisit un doigt dans la fente. Il en ressentit un léger frisson. Sa main frotta le clitoris et un deuxième frisson le parcouru. Curieux, il prit le petit bouton entre ses doigts libres tandis que l’autre faisait négligemment un petit mouvement de va et viens. Il sentit une vague de volupté s’emparer de son corps et il s’activa plus rapidement sur sa nouvelle intimité. Il perdit notion de ce qui l‘entourait. Il s’entendit pousser un gémissement puis une autre voix lui parvint aux oreilles.

« Ron ? »

Il ouvrit les yeux et son esprit devint clair comme si on l’avait tiré  brusquement du sommeil. Harry se tenait dans l’encadrement de la porte et le regardait avec des yeux ronds. Ron se rendit compte qu’il se masturbait devant lui et cessa immédiatement.

« Ex… Excuse moi Harry ! C’est que… c’est… »

Il remarqua alors que Harry avait toujours la main plaquée sur son entrejambe et semblait le masser à travers sa robe de sorcier.

« C’est… c’est pas mal… hein ? Fit-il avant d’avoir pu s’en empêcher.
_ Euh… ouais, répondit maladroitement Harry tandis que ses joues rosissaient, c’est… c’est nouveau. »

    Ron, le visage rouge, reprit sa masturbation tandis que Harry passait également sa main sous sa robe. Ils explorèrent leurs nouveaux sexes en faisant attention de ne pas paraître trop intéressés par l‘entrejambe de l’autre. Harry sentit un liquide s’écouler faiblement sur ses doigts lorsqu’un cri retentit dans tout les toilettes.

« Harry ? Ron ? Mais… mais qu’est-ce que vous faîtes ? »

Hermione se tenait derrière eux, l’air interdit. En se retournant, Harry ne put s’empêcher de constater que la bosse entre ses jambes avait grossie.

« Vous ne croyez pas qu’on devrait plutôt essayer de résoudre notre problème ? Vous êtes incroyables ! »

Harry voulut bafouiller des excuses mais Ron parla avant lui d’une voix chevrotante.

« Her… Hermione ! Tu ne… crois pas que… enfin… qu’on a qu’à attendre ?
_ Quoi ?
_ Oui, fit Harry. Tu as dit que la potion ne ferait effet que pendant une heure. Peut être que tout redeviendra normal tout seul.
_ Mais… ? Et si ce n’est pas le cas ? Gronda-t-elle.
_ Alors il sera toujours temps de chercher une solution à ce moment-là. Reprit Ron un peu plus assuré. Si jamais ça finissait tout seul, ce serait bête de ne pas en profiter.
_ En profiter ?
_ C’est sûr que ça n’arrive pas tous les jours ce genre de chose, dit Harry. Il n’y aura sûrement plus d’autres occasion de connaître aussi bien l’autre sexe. Tu ne veux pas savoir ? »

En parlant de connaissances et de savoir, Harry savait qu’il avait touché un point sensible. Hermione réfléchissait à présent en regardant Ron se remettre à faire quelques va et viens avec son doigt.

    Harry s’approcha d’elle et lui parla d’une voix douce.

« Ecoute ! J’ai envie de savoir ce que ça fait. Alors je te masturberai comme un garçon et toi tu me masturberas comme une fille, d’accord ? »

Hermione le regarda avec des yeux brillants puis elle acquiesça avec un petit sourire gêné. Harry la prit tendrement contre lui pour la rassurer et tira sur la robe dans son dos. Il découvrit les petites fesses rondes et glissa une main pour les caresser en douceur. De toute évidence, c’était bien un derrière de fille et il constata, tandis qu’Hermione passait ses mains sur ses cuisses, que c’était toujours bien ses jambes à lui. En dehors de leurs organes génitaux, tout le reste était à sa place.

    Il aida Hermione à se débarrasser de sa robe et la contempla. Elle était belle dans ses petits sous-vêtements. Ses petits seins tendaient à peine le soutien-gorge blanc et sa petite culotte était devenue très étroite entre le sexe bandé et les mains de Harry. Il en profita pour la retirer et fit apparaître le membre dressé tandis que Hermione lui enlevait également sa robe. Il prit la verge et se mit à la caresser lentement de haut en bas. Hermione se cambra et fut incapable de faire le moindre geste pendant quelques minutes. Elle gémissait et s’accrocha au cou de Harry. Reprenant ses esprits, elle descendit sa main sur le petit abricot de Harry et se mit à le masser vigoureusement. Dans le même temps, elle descendit ses lèvres sur la poitrine du jeune garçon et enserra l’un de ses tétons dans sa bouche. Elle pressa le bouton d’amour avec son pouce et introduisit deux doigts dans le petit sexe trempé. Harry se figea à son tour. Il comprit, bien que ce fut la première fois pour lui, que Hermione savait parfaitement comment caresser une autre fille. Harry recommença à la masturber en caressant également ses petites bourse, prêt à montrer que lui savait comment faire jouir d’autres garçons.



    Prit d’une soudaine envie, il se mit à genoux et fourra le membre d’Hermione dans sa bouche qu’il se mit à sucer avec précision. La jeune fille, surprise, faillit jouir sur le coup. Elle agrippa la tête de Harry, ses doigts parcourant les cheveux en bataille. Puis, ne pouvant plus se retenir, elle appuya fortement sur la tête du jeune garçon, donna un coup de rein pour s’introduire au plus profond de sa bouche et elle éjacula dans sa gorge. Harry manifesta son expérience des garçons en restant parfaitement insensibles au fait qu’il ne pouvait pas respirer et il avala rapidement les longues gorgées de nectar que lui envoyait son amie. Hermione appuya un peu plus sur la tête de Harry et lui parla d’une voix rude qui lui était inhabituelle.

« Allez, avale tout espèce de salope. T’aime ça hein ? »

Etonné, Harry se dégagea et regarda Hermione qui lui souriait d’un air entendu.

« Mais qu’est-ce qu’il te prend ? Tu es folle ?
_ Quoi ? Répliqua Hermione dépitée. Ce n’est pas comme ça que vous parlez aux filles, vous, les mecs ?
_ Moi sûrement pas, repris Harry, à moins qu’elles montrent qu’elles aiment ça. Mais comme ça, d’un coup, jamais.
_ Excuse-moi ! J’imaginais…
_ Laisse tomber, fit Harry en lui souriant, on est là pour apprendre après tout. »

    Harry reprit le sexe d’Hermione dans sa bouche pour lui montrer qu’il ne lui en voulait pas et également pour qu’elle retrouve une érection convenable. Hermione se mit à gémir et se contenta cette fois de lui caresser doucement les cheveux. Ron sortit de sa cabine après avoir passer tout ce temps à mater ces amis en inspectant les moindres recoins de son nouveau sexe avec ses doigts. Il se posa dos contre un mur.

« Hé, « salope » ! Viens donc me montrer ce que tu vaut comme lesbienne. »

Ils échangèrent tous les trois un sourire et Harry vint se positionner à genoux devant Ron. Il l’attrapa par les fesses et se mit à lécher langoureusement le petit coquillage ruisselant. Ron haletait tout en remuant ses hanches au rythme de la langue de Harry.

« Ah ! C’est mieux que tout ce que je pouvais imaginer.
_ Et encore il ne s’y prend pas si bien, remarqua Hermione dans le dos de Harry. Mais on verra plus tard si j’ai le temps de vous apprendre. »

Elle embrassa langoureusement Ron puis se mit à genoux et caressa le sexe de Harry tout en se masturbant. Elle posa ensuite son gland contre le trésor intime de son ami et attrapa ses hanches. Harry pensa soudain qu’il allait perdre sa virginité en tant que fille et il en fut bizarrement troublé. Des sensations curieuses qu’il avait du mal à comprendre s’emparait de lui mais il reconnut une part de plaisir et de bonheur et creusa ses reins tandis qu’Hermione enfonçait lentement sa queue en lui.

Elle buta contre la fine paroi et, avec un petit sourire, elle donna un coup de rein qui la transperça. Harry poussa un gémissement tandis que la jeune fille se logeait complètement dans son ventre. Il accentua les mouvements de sa langue sur le sexe de Ron tandis qu’Hermione faisait de vigoureux va et viens, découvrant le plaisir de la pénétration de ce côté et l’appréciant apparemment beaucoup. Harry avait du mal à démêler toutes les sensations qu’il éprouvait à être pénétré ainsi. Seul le plaisir dominait et il se rendit soudain compte qu’il s’avançait au devant des coups de boutoir d’Hermione. Tout en mordillant le bouton d’amour devant lui, Harry se mit à ruer sur le membre viril de la jeune fille. Il sentait la chaleur de son ventre grandir peu à peu. Mais Ron fut le premier à pousser un cri et à lâcher une grande quantité de jus de jouissance dans la bouche de Harry qui en bu de longues gorgées avec satisfaction. Alors qu’il léchait la dernière goutte qui s’échappait d’entre les lèvres intimes de Ron, Hermione se figea soudain en lui et jouit, profondément enfoncée dans le petit coquillage de Harry. Lorsqu’il sentit le liquide chaud se répandre dans son ventre déjà brûlant, il ne put se retenir et cria également sa jouissance.

Hermione et lui s’écroulèrent sur le sol. Sans retirer le membre dressé de son sexe, Harry parvint à se retourner pour se trouver face à la jeune fille. Il l’embrassa tendrement en caressant sa petite poitrine et resserra les muscles de son bassin autour du pieu de chair pour le garder en lui. Ron se pencha sur les deux amants. De sa langue il se mit à nettoyer les restes de sécrétions sur les parties accessibles des sexes toujours joints puis il descendit poser ses lèvres sur les bourses d’Hermione en caressant les fesses de Harry. Celui-ci prenait les seins entier de la jeune fille à pleine bouche avant de laisser sa langue les explorer dans leurs moindres recoins. Il se redressa et libéra la queue dressées d’Hermione pour que Ron puisse la prendre entre ses lèvres avides. Il plaça son abricot juste au dessus de la bouche de la jeune fille qui plaqua immédiatement son visage contre le bas ventre offert et enfouit sa langue aussi profond qu’elle put. Harry laissa alors ses muscles se décontracter et relâcha un peu de sperme qu’Hermione but avec grand plaisir. Il lui sembla bizarre d’absorber sa propre semence mais elle lui trouva un goût plus agréable, se demandant si c’était vraiment le cas ou si ça se passait dans sa tête. Elle accentua ses caresses sur l’intimité d’Harry pour ne pas en perdre une goutte. Ce dernier, sous les délicates caresses de son amie, dû reconnaître que quoi qu’il ait fait à Ron, ce ne pouvait être aussi bon que ce qu’il ressentait en ce moment. Il se libéra d’une grande quantité de liqueur d’amour pour la plus grade joie d’Hermione.

Après que son amie se fut largement abreuvée, Il se retourna pour faire face à Ron qui libérait le chibre qu’il avait fait jouir plusieurs fois si l’on s’en tenait aux traces de semences sur son visage et sur le ventre d’Hermione. Cette dernière se remit à lécher Harry et égara plusieurs de ses doigts dans les orifices à sa portée tandis que Ron se plaçait au-dessus du membre viril. Il le masturba un peu puis le tint bien droit pendant qu’il abaissait son petit coquillage. Il se glissa lentement sur le pieu de chair, essayant de ne pas s’arrêter tandis que sa virginité particulièrement éphémère disparaissait, mais ne put empêcher son visage de se crisper à ce moment. Harry le trouva touchant et se pencha vers lui pour l’embrasser tendrement. Ron s’accrocha à ses épaules pour faciliter ses va et viens tandis que son ami embrassait et léchait son torse tout en descendant ses mains vers son cul. Harry écarta les fesses de son camarade et introduisit trois doigts dans le puit secret découvert, lui faisant découvrir les joies de la double pénétration. Ron en semblait ravi et il embrassa fougueusement Harry pour le remercier tout en caressant la petite poitrine d’Hermione d’une main car elle essayait de donner quelques coups de reins pour augmenter le plaisir du jeune garçon.

Sous les attentions combinées de ses amis, Ron ne fut pas long à jouir à nouveau mais il continua à monter et descendre le long du sexe tendu, bien décidé à ce qu’Hermione éjacule dans son ventre. Ceci arriva au moment précis où Harry se laissa emporter par le plaisir et que la jeune fille dégustait de longue gorgée du précieux nectar. Tous trois s’écroulèrent sur le sol et prirent un temps de repos. Ils se caressèrent et s’embrassèrent mutuellement pendant quelques courtes minutes. Mais le temps dont ils disposaient filait à grande allure et Hermione exprima l’envie de savoir ce que ressent un garçon pendant une sodomie. Harry et Ron furent enthousiastes à cette idée et ils décidèrent de faire bénéficier la jeune fille d’une double fellation avant de commencer. Ron lui lécha ses petits seins avant de descendre le long du ventre tandis que Harry remontait sur sa cuisse. Hermione fut parcourue d’agréables frissons en sentant les deux langues parcourir son corps vers son membre viril. Harry s’empara du gland entre ses lèvres tandis que Ron léchait consciencieusement la garde en massant les testicules. Hermione frémissait sous caque coup de langue tandis que les doigts des garçons caressaient sa poitrine ou s’introduisaient dans sa bouche et son anus. Elle plaqua ses mains sur les cheveux noirs et roux qui s’activaient autour de son sexe. A présent, Harry et Ron s’embrassaient goulûment, effectuant un véritable ballet à leurs langues, tandis que le gland d’Hermione était coincé entre leurs bouches. En pleine extase, la jeune fille éjacula en lâchant un cri aigu. Les lèvres se resserrèrent autour de son membre pour ne pas perdre une seule goutte de la douce semence.

Les garçons s’activèrent encore un peu sur la verge d’Hermione pour qu’elle conserve sa vigueur. Puis il s’installèrent tous deux en position tête bêche. Ron insista pour que Harry soit au-dessus de lui et qu’il bénéficie en premier de l’introduction d’Hermione. Ils commencèrent à se caresser mutuellement tandis que la jeune fille s’agenouillait derrière Harry. Elle caressa le petit cul du jeune garçon tandis que Ron la suçait encore un peu par pure gourmandise. Puis ce fut lui qui écarta les fesses de son ami en retournant à la dégustation du petit abricot. Hermione s’allongea sur le dos de son ami, posa son gland sur le petit anneau et s’enfonça d’un coup jusqu’à la garde. Harry, sentant les petits seins de la jeune fille s’écraser contre ses omoplates, son sexe profondément fiché en lui, ne put se retenir de jouir immédiatement et abreuva grandement Ron de son jus de plaisir. Hermione donnait de grand coup de rein tout en léchant le cou de Harry tandis que Ron s’était accroché aux fesses de la jeune fille et introduisait deux doigts dans son petit cul au même rythme. Hermione ne tint pas longtemps et se répandit dans le dos du jeune garçon.

Lorsqu’elle se retira, les deux garçons roulèrent l’un sur l’autre pour que Ron se retrouve au dessus cette fois-ci. Hermione les contourna pour se mettre face au visage de Harry. Elle lui donna son membre à nettoyer et masturba le puit secret de Ron en attendant. Harry savourait la verge dans sa bouche et appréciait les coups de langues sur son petit coquillage. Toutefois il commençait à ressentir une sensation de froid dans son ventre comme si un glaçon s’y était introduit. Il n’en fit rien dans un premier temps, pensant que Hermione serait heureuse de déverser en lui une nouvelle quantité de sa semence bien chaude pour y remédier. Mais la sensation ne le quittait pas, il lui sembla même qu’elle empirait. Lorsqu’il sentit le glaçon se déplacer vers son bas ventre, il comprit soudain ce que ça signifiait. Déjà une heure. Ron et Hermione s’était également arrêtés et, de toute évidence, le même phénomène se produisait chez eux. Harry resserra ses lèvres autour du membre de la jeune fille comme pour le retenir mais il le sentit nettement en train de rapetisser. Un autre, celui de Ron enflait contre sa gorge tandis que le sien grandissait directement dans la bouche de son ami. Harry se sentit soulagé que les effets de la potion ne soit pas permanent mais une grande amertume s’empara de lui. Il aurait aimé en profiter encore un peu.

Pendant un temps, aucun d’eux ne sut quoi faire. Puis, avec lenteur et sans dire un mot, Ron fit monter et descendre ses lèvres le long du sexe de Harry qu’il ‘avait même pas lâché. Retrouvant ses esprits, Harry prit la queue de Ron dans sa bouche et la suça avec délice tandis qu’il étendait ses bras pour flatter le petit cul d’Hermione et introduire quelques doigts dans la fente qui avait retrouvé sa place. La jeune fille se pencha sur la croupe de Ron et lécha tendrement les bourses en enfonçant trois doigt dans le petit anus qu’elle n’avait pas eu le temps d’explorer avec son membre éphémère. Harry n’eut pas longtemps à attendre avant que le sperme de Ron n’emplisse sa gorge à te point qu’il ne put tout avaler. Heureusement la langue d’Hermione nettoya précautionneusement son visage et ses lèvres. Tandis qu’il embrassait langoureusement son amie tout en lui caressant tendrement sa petite poitrine, Harry sentit un éclair lui traverser le dos et son sperme de gicler dans la bouche de Ron qui n’en perdit pas la moindre goutte.

Hermione s’allongea à côté de Harry et fit comprendre à Ron de changer de partenaire. Il ne se fit pas prier pour installer confortablement son membre dans la bouche de la petite gourmande et se mettre à dévorer l‘entrejambe ruisselant. Hermione écarta alors les fesses de Ron à pleines mains et regarda Harry d’un air coquin. Elle voulait apparemment donner à Ron la sodomie à laquelle il n’avait pas eu droit de sa part. Harry s’agenouilla de bonne grâce derrière son ami et prit ses hanches. Il sentit Ron frémir tandis que sa verge se frayait un chemin sur sa raie. Hermione parcourait les fesses et les cuisses de Harry de ses mais qui l’accompagnèrent lorsqu’il pénétra Ron avec force. Celui-ci se mit à ruer sur le sexe de son amie en faisant des va et viens du sien entre les lèvres d’Hermione et en dévorant le petit abricot de cette dernière de plus belle. Harry fut le premier à jouir cette fois-ci et il se répandit avec bonheur dans le cul de Ron. Hermione poussa également un gémissement de plaisir étouffé par le membre qui emplissait sa bouche et déversa beaucoup de son jus de jouissance. Ron enfin se répandit dans la gorge de la jeune fille en poussant un feulement de lion.

Hermione semblait fatiguée mais ce fut avec plaisir qu’elle n’opposa pas la moindre résistance lorsque Harry l’attira à lui. Allongée face à lui, elle l’embrassa tendrement tandis qu’elle avançait son trésor intime vers sa verge. Elle avait tout juste été pénétrée par le pieu de chair lorsqu’elle sentit de grandes mains écarter ses petites fesses. Le membre de Ron se plaça à l’entrée du puit secret et attendit qu’Hermione continue son chemin. Sans plus attendre elle donna un grand coup de rein et fit pénétrer les deux sexes dans ses orifices jusqu’aux gardes. Elle embrassa longuement Harry en remuant langoureusement son bassin sur les deux queues qui la pourfendait et accélérait peu à peu le rythme. Lorsqu’elle relâcha les lèvres du jeune garçon, ses mouvements était presque frénétique. Harry voyait Ron, le visage crispé, essayant de retenir le plaisir que lui donnait le petit cul étroit avec cette fougue. Mais ce fut Hermione qui, après un violent coup de rein, stoppa net dans son élan et cria sa jouissance en inondant le ventre de Harry de sa liqueur d’amour. Ce fut comme un signal pour les deux garçons qui se figèrent à l’intérieur de la jeune fille et se répandirent dans son petit cul et dans son ventre.

Elle semblait épuisée à présent mais elle insista pour que es garçons s’allongent côte à côte. Elle prit alors leurs deux sexes dans la bouche, l’ouvrant très grande pour qu’ils puissent entrer. Harry voyait là un remerciement à la double fellation que Ron et lui avaient pratiqué un peu plus tôt à la jeune fille quand elle était encore pourvue d’un pénis. Il jugeait le geste inutile puisqu’ils l’avaient gratifié de cette petite gourmandise sans rien en attendre en retour que son plaisir mais il semblait que ce soit le même sentiment désintéressé qui animait Hermione et il se contenta de se laisser aller à la volupté en embrassant Ron. Harry éjacula en sentant la petite main d’Hermione lui caresser les bourses. En sentant le sperme de son ami dans la petite bouche qui continuait de le sucer, Ron ne put se retenir et jouit également entre les lèvres gourmandes. Hermione avala la semence de garçons à grandes gorgées avant de nettoyer consciencieusement les deux verges de sa langue.

Elle s’allongea entre eux et pendant encore un long moment ils échangèrent des caresses coquines et tendres. Mais le soir tombait peu à peu et l‘heure du repas arrivait. Hermione jeta un sort de prévention sur son ventre et Ils se rhabillèrent. La jeune fille pointa sa baguette sur le chaudron et prononça une formule qui la débarrassa des derniers ingrédients qu’elle avait ajouté, lui rendant son aspect d’origine.

« On aurait pu s’en resservir ! Marmonna Ron avec dépit.
_ Je ne crois pas, répondit Hermione tristement, une potion n’a pas forcément les mêmes effets si on la prend plusieurs fois ou trop souvent. Si c’est en plus une potion mal préparée ça peut être très dangereux.
_ Il serait possible d’en refaire ? Demanda Harry avec une pointe d’espoir
_ Je ne crois pas. Il faudrait retrouver à quel moment j’ai commis l’erreur et ça n’est pas possible. Et si je me trompais à nouveau on ne sait pas ce qui pourrait se passer. Ce pourrait être mortel cette fois. Nous avons pu profiter de notre état mais il faut nous résigner à ce que cela ne se reproduise jamais. »

Tous trois regardèrent avec regret le chaudron dans lequel bouillonnait paisiblement l’épaisse potion. Puis ils descendirent prendre leur repas constatant avec un sourire qu’ils n’avaient pas beaucoup avancé dans la recherche du coupable des agressions ce qui, pour une fois, leur sembla bien peu intéressant.
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Harry
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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00
La loi des sangs purs

Une aventure sexuelle de Harry Potter en Troisième année


Avec : Harry Potter, Drago Malefoy, Vincent Crabbe, Grégory Goyle et deux filles de serpentard de première année.





    L’hiver était rude. Il neigeait et ventait fortement et les élèves de Poudlard qui étaient à Pré-au-lard ce week-end marchaient à pas vifs, le col de leur robe relevé. Ils se réfugiaient avec bonheur dans la salle accueillante des trois balais. Et c’est justement parce que tout le monde s’y trouvaient que Harry ne pouvait y entrer. Caché sous sa cape d’invisibilité, il n’avait aucune chance de se déplacer à l’intérieur sans se cogner contre quelqu’un. Ron devait l’attendre quelque part au milieu de la foule mais il ne pouvait même pas aller le prévenir. Harry aurait bien aimé pouvoir se débarrasser de la cape et entrer dans le pub comme n’importe quel autre élève. Mais l’absence d’autorisation de son oncle, la menace de Black sur sa tête et la surveillance dont il faisait preuve depuis l’en empêchait, à son plus grand regret.

Le vent sembla se calmer un peu et Harry décida de se promener un peu en attendant que Ron comprenne qu’il ne viendrait pas. Comme ils n’avaient pas fixé d’heure de rendez-vous précise, cela pourrait durer longtemps. Harry longea la rue principale. Il regardait avec envie les boutiques, décorées à l’occasion de Noël, et affichant chacune un parchemin pour la capture de Sirius Black. Sans Ron pour payer à sa place, il ne lui servait à rien d’entrer où que ce soit. Afin de ne pas gâcher totalement sa sortie, Harry se dirigea vers la cabane hurlante. Il n’avait pas eu le temps de bien la voir la première fois qu’il y était allé.

    Il arpentait un chemin totalement désert qui coupait dans un bois. Personne d’autre que lui n’avait marché dans la neige et il apprécia le calme de l’endroit uniquement dérangé par ses pas crissants dans la neige. C’est alors qu’il entendit un cri aigu venant de sa droite. Harry s’arrêta et tendit l’oreille. D’autres bruits indéterminés lui parvenaient dans la même direction. Intrigué, Harry s’enfonça dans le bois. En s’approchant, il constata qu’il s’agissait de bruits de voix. Il avançait avec une grande prudence, faisant attention de ne pas marcher sur des branches mortes ou tout autre chose qui l’aurait fait repérer. Avec lenteur, il déboucha sur une petite clairière dans laquelle s’élevait la voix traînante de Drago Malefoy, ce qui agaça grandement les oreilles de Harry. Il était bien sûr accompagné de ses deux acolytes Crabbe et Goyle. Tous trois ricanaient devant deux fillettes portant des uniformes de serpentard. L’une avait de longs cheveux blonds et l’autre des cheveux bruns assez courts. Harry ne les avait encore jamais vues, du moins à sa connaissance et, d’après leur jeune âge, il en conclut qu’il s’agissait de premières années. Les fillettes tremblaient comme des feuilles bien qu’elles soient correctement emmitouflées dans leurs capes et que des grands châles vert et argent leur mangeaient le bas de la tête. Elles fixaient de grands yeux effrayés sur les trois garçons qui leur faisaient face.

« Alors, petites garces, fit Drago Malefoy, un sourire mauvais aux lèvres, vous pensiez que nous vous avions oubliées ? Nous avons déjà rencontré la plupart de vos amies de première année. Nous avons forcé l’une d’elle à nous révéler que vous alliez à la cabane hurlante alors que nous vous avions dit de vous rendre dans le cachot de rangement des chaudrons. Mais vous n’êtes pas venues. Or nous n’aimons pas vraiment attendre, surtout pour rien. Votre attitude n’est pas celle de bonnes sangs pures. Nous allons devoir vous punir. »

La jeune serpentard aux cheveux blonds se recroquevilla sur elle même. Des larmes se mirent à couler sur ses joues et tombèrent en creusant de petits trous dans la neige étincelante.

« Je ne veux pas ! »

Elle avait parlé d’une si petite voix que Harry crut un instant qu’il s’agissait du sifflement du vent. Crabbe s’avança vers elle sur un signe de Malefoy et la gifla violemment au visage. Harry avait crispé ses doigts sur sa baguette tandis que la gamine se retrouvait étalée de tout son long dans la neige et que sa compagne tenait toujours debout avec dignité bien qu’elle fut trahie par ses tremblements de plus en plus agités.

« Tu n’as pas le choix, reprit Malefoy d’une voix dure tandis que Goyle s’avançait vers la seconde gamine pour l’empêcher de s’échapper. Tous les sangs purs de serpentard à Poudlard respectent la tradition depuis des siècles. Nous ne te laisserons pas la briser. »

Il fit un nouveau signe à Crabbe et Goyle qui attrapèrent les fillettes et tirèrent sur leurs vêtements, retirant d’un coup les châles et les capes et s’empêtrant ensuite dans les plis des robes pendant qu’elles se débattaient vainement. Harry n’arrivait pas à croire ce qu’il voyait. Il en était comme paralysé, son cerveau fonctionnant au ralenti tandis qu’il cherchait à comprendre ce qui se tramait sous ses yeux.

« Tous les premières et deuxièmes années doivent se soumettre aux désirs des élèves en années supérieures, reprit Malefoy, et ce une fois que les troisièmes années se sont occupés de leurs dépucelages. Tous les garçons sont passés entre les mains des filles de troisième année, mais nous nous avons pris du retard par votre faute. Il faudra en payer le prix. »

La petite brune jetait un regard implorant à Malefoy tandis que son acolyte remontait la robe sur son cou, révélant ses petits seins en coupole. A ses côtés, Crabbe retirait la petite culotte de la blonde en reniflant bruyamment, révélant une très légère toison aux reflets dorés.

    Lorsqu’elles furent toutes les deux entièrement nues, tremblants de tous leurs membres de peur et désormais de froid, Crabbe et Goyle les jetèrent brutalement face contre terre et posèrent un pied sur leurs reins pour les maintenir contre le sol gelé. Les gamines criaient en essayant sans succès de se relever. Harry avait du mal à se retenir d’intervenir. Mais s’il se faisait repérer trop tôt, il savait qu’il ne ferait pas le poids face aux trois serpentards. Et s’il était neutralisé, il ne pourrait plus rien faire pour les filles. Malefoy leva sa baguette et, d’un mouvement, réduit en lambeaux les vêtements sur le sol. Ils ne restaient que les deux baguettes des filles qui roulèrent sur la neige et s’arrêtèrent à quelques mètres de Harry.

« Voilà qui vous forcera à faire le voyage de retour au château de manière plus intéressante. Mais d’ici là, nous avons des affaires à régler. »

Il fit un signe à Crabbe et Goyle qui retirèrent leurs pieds des dos des fillettes. Celles-ci se redressèrent immédiatement, tout le devant du corps rougit par la morsure du froid, et se serrèrent instinctivement l’une contre l’autre à la recherche de chaleur. Mais, sur un autre signe de Malefoy, Crabbe et Goyle les séparèrent. Le premier emmena la petite blonde vers un rocher bombé à la lisière de la clairière tandis que l’autre amena la brune à Drago avant de rejoindre son acolyte. Malefoy attrapa la gamine par le bras et la força à regarder ce qui arrivait à son amie.

Les deux grands serpentards plaquèrent sans ménagement la fillette face contre le rocher dont le contact devait être particulièrement douloureux. La petite blonde se raidit et grimaça mais se retint courageusement de crier. Crabbe se positionna devant la tête de la jeune serpentard tandis que Goyle se plaça derrière elle. Tous deux remontèrent leurs robes sur leur ventre et dégagèrent leurs sexes. La fillette semblait terrifiée, son visage totalement crispé et sa bouche grande ouverte comme si elle poussait un hurlement rendu silencieux par la peur. Crabbe en profita pour fourrer son membre entre les lèvres maigres que le froid avait teinté de bleu. Mais il ne parvenait pas à entrer entièrement. Il donna des coups de reins en appuyant avec force sur la chevelure blonde pour forcer la gorge trop étroite, ne prêtant aucune attention aux protestations étouffées de douleur et aux petits poings qui martelaient inutilement ses hanches. Pendant ce temps, Goyle massait les petites fesses rebondies de la gamine en écartant les cuisses maigrelettes. Il frotta sa queue contre la fente également bleutée par le froid mais remonta jusqu’au petit anneau qu’il pénétra avec lenteur. La petite blonde était si préoccupée par le sexe qui forçait sa bouche qu’elle ne sentit Goyle qu’une fois son gland fiché en elle. Il donna un violent coup de reins et fit pénétrer son dard jusqu’à la garde, arrachant un cri de douleur étouffé à la gamine.

Pendant ce temps, Harry s’était rapproché doucement des baguettes abandonnées sur le sol. Les serpentards avaient tellement tassé la neige au centre de la clairière qu’il parvenait à se déplacer sans trahir sa présence par des empreintes de pas. Il ramassa les baguettes qu’il mit dans sa poche à côté de la sienne, se forçant à ne pas se laisser distraire par les gémissements de la blonde rudoyée et par les pleurs de la petite brune qui, elle-même, essayait de ne pas faire attention à la main qui caressait avidement ses fesses en passant par moment un doigt sur son trésor intime. Harry sentit toutefois son membre se gonfler peu à peu, se demandant comment il pouvait être excité par une situation aussi odieuse. Après avoir contemplé quelques va et viens de ses amis dans le cul et la bouche de la petite blonde, Malefoy attrapa la gamine à ses côtés par ses cheveux courts et tira violemment dessus en l’obligeant à s’agenouiller devant lui dans la neige tandis qu’elle serrait les dents pour ne pas crier. Il releva sa robe et sortit son sexe. Harry constata que malgré le spectacle qu’offrait ses amis, Malefoy ne semblait pas excité. Il pointa sa baguette sur la petite brune qui n’eut pas d’autre choix que d’engloutir le sexe mou dans sa bouche. Ses larmes coulaient le long de ses joues et tombaient sur sa petite poitrine et son ventre plat. La main qui tiraillait ses cheveux l’obligeait à aller d’avant en arrière. Elle fit de son mieux pour suivre le mouvement et éviter la douleur. Mais Harry, qui ressentait encore plus de honte d’avoir une érection à ce moment-là, voyait bien que Malefoy, qui donnait à présent des coups de reins rageur, ne bandait toujours pas.

Enervé, il se retira de la petite bouche de la brune et la gifla violemment comme si elle était responsable de son manque d’excitation. Puis il la traîna vers le rocher, où ses acolytes s’activaient toujours avec vigueur, en la tirant par les cheveux ce qui obligeait la gamine à marcher courbée, glissant et trébuchant sur la neige. Harry se rapprocha également avec prudence. Malefoy laissa la petite brune en arrière, non sans l’avoir projetée sur la neige dure. Il s’approcha du trio sur le rocher au moment où Crabbe et Goyle se figeaient et se répandaient dans la gorge et le cul de la petite blonde. Crabbe obligea la fillette à tout avaler et même à lécher ce qui lui avait échappé et qui s’était étalé sur le rocher. Goyle, lui, attrapa la petite brune par les cheveux (« c’est une manie » pensa Harry) et fourra son sexe encore gonflé dans la petite bouche. La gamine qui n’avait eu qu’un sexe au repos, fut surprise par la taille du nouveau membre et manqua de s’étouffer. Goyle ne fut pas long à jouir une deuxième fois. Il abandonna la petite brune au visage souillé et se tourna vers le rocher où Malefoy écartait brutalement les fesses de la blonde, sa baguette magique à la main.

Drago prononça une formule et le bout de sa baguette se mit à luire d’une lumière rouge qui devint d’un blanc intense. Harry remarqua que la neige prêt de la baguette commençait à fondre. Crabbe tenait les deux petites fesses écartées tandis que Malefoy enfourna sa baguette brûlante dans le petit anus. La fillette hurlait de douleur tandis que le morceau de bois allait et venait dans son petit cul. Malefoy avait un sourire mauvais et augmentait la vitesse de sa baguette faisant crier la petite blonde encore plus fort tandis que Harry remarquait une bosse se former sous la robe du serpentard. Apparemment il n’était excité que par les cris de douleur. Le jeune gryffondor frissonna en pensant à toutes les autres premières années de serpentard.

Il se ressaisit très vite car le moment qu’il attendait tant était enfin venu. Les trois serpentards avaient tous les yeux braqués sur la petite blonde. La brune était en retrait, les bras serrés pour essayer de se réchauffer et pleurant en regardant son amie se faire torturer, songeant qu’elle aurait sûrement droit au même traitement juste après. Harry s’approcha d’elle dans son dos avec lenteur et sans faire de bruit. Alors qu’il était presque contre elle, il ouvrit rapidement sa cape d’invisibilité et enveloppa la fillette qui disparut aux yeux de toute autre personne. Le jeune gryffodor posa vivement une main sur la bouche de la petite serpentard et entoura son torse d’un bras pour la maintenir le plus immobile possible. Surprise, celle-ci se débattit en poussant un gémissement qui fut couvert par les cris de sa camarade. Harry approcha sa tête de celle de la gamine et lui dit doucement à l’oreille.

« Calme-toi ! Je ne te veux pas de mal. Crois-moi ! Je vais essayer de te sortir d’ici. »

La petite brune cessa de bouger et tourna la tête. Elle ouvrit des yeux étonnés et prononça des mots étouffés par la main de Harry. Il relâcha son étreinte et enleva sa main pour qu’elle puisse répéter.

« Tu… tu es Harry Potter ? Reprit-elle d’une voix basse mais tremblotante.
_ Oui ! Mais reste silencieuse. Il faut que nous récupérions ton amie.
_ Co… comment on… va faire ?
_ Je pense savoir. S’ils sont aussi bêtes que je le pense ça ne devrait pas être trop dur. Mais j’espère qu’ils vont faire vite. »

    Harry n’en pouvait plus d’entendre crier la petite blonde. Il se retenait à grande peine de saisir sa baguette et d’attaquer les serpentards. Mais il était si près de les sauver toutes les deux. Il ne pouvait pas risquer de se faire attraper maintenant. Il sentit le petit corps de la brune se coller contre lui. Même à travers sa robe de sorcier il sentait qu’elle était gelée. Son sexe se tendit encore un peu, à sa grande honte, mais il ne parvenait pas à se contrôler. Dans cette position, tout ce qu’il pu faire était de retirer son châle rouge et or pour le passer autour des épaules de la fillette avant de l’envelopper dans sa cape d’hiver. Puis il la serra contre lui en frottant son dos nu, ce qui n’arrangea pas son érection.

    Enfin, Goyle tourna la tête vers eux et se leva d’un bond.

« Drago ! L’autre n’est plus là ! »

Malefoy retira vivement sa baguette ce qui stoppa les hurlements de la petite blonde au grand soulagement de Harry et de la brune. C’était maintenant que tout allait se jouer. Parier sur la stupidité de Crabbe et Goyle c’était comme se demander si le jour succédait à la nuit. Ils s’éloignèrent du rocher en s’approchant de la lisière de la forêt en cherchant où leur victime avait pu se réfugier. La petite blonde était prostrée sur le rocher et semblait à bout de force. Seul Malefoy restait assis sur la pierre scrutant le décor devant lui sans voir Harry et la jeune serpentard juste devant lui. Ses deux acolytes s’étaient maintenant enfoncés dans le bois. L’occasion était trop belle. Harry pris sa baguette et la pointa sur Malefoy qui ne se doutait de rien.

« Pétrificus Totalus ! »

Malefoy devint raide comme une planche et s’écroula le nez le premier dans la neige. Rapidement, Harry s’approcha du rocher, attrapa la fillette et l’amena sous la cape. Il voulut poser la main sur sa bouche mais la petite brune le devança. Elle sourit à son amie lui assurant à voix basse que tout allait bien. Sans dire un mot, la petite blonde se serra contre Harry et son amie à la recherche de chaleur. Le jeune gryffondor sentit le ventre de la gamine se plaquer contre son sexe érigé. Il rougit violemment mais il n’avait pas le temps de se soucier de la bienséance pour l’instant. Il fallait partir avant le retour de Crabbe et Goyle.

    Harry entraîna les filles vers la forêt. Il était difficile de marcher sur le sol inégal avec les deux serpentards collées à lui de chaque côté. Mais elles étaient si glacées que Harry ne pouvait se résoudre à leur demander de s’écarter un peu. Il les avaient toutes les deux entourées de sa cape d’hiver et leur frottait le dos avec vigueur maintenant que le danger s’écartait de plus en plus. Mais cela les obligeait à marcher plus lentement encore pour ne pas perdre la cape d’invisibilité qui, elle, ne protégeait pas du froid. Harry sentit son membre lui faire mal dans son pantalon lorsqu’il se surprit à penser que bien qu’elles soient très froides, leurs peaux étaient également très douces. Ils traversèrent le village de Pré-au-Lard à pas feutrés. Harry aperçut Ron qui était sortit des Trois Balais et scrutait la rue espérant apercevoir son camarade malgré la cape d’invisibilité. Harry ne pouvait toujours pas le prévenir et il se dit qu’il s’excuserai ce soir tandis qu’il franchissait la porte de chez Honeydukes qu’un autre élève de Poudlard avait ouvert en grand pour entrer. Ils eurent du mal à passer car la boutique était pleine à craquer. Harry fut soulagé de se retrouver derrière le comptoir bien qu’il lui semblait avoir percuté légèrement une élève de cinquième année. Mais il y avait tellement de monde que cela fut sans conséquence.

Ils purent souffler une fois qu’ils se retrouvèrent sur les marches dans le souterrains. Mais ils devaient faire vite. Le passage secret était parcouru d’un courant d’air froid et malgré la chaleur du corps de Harry et les frictions qu’il prodiguait aux fillettes, celles-ci tremblaient toujours. Leurs dos redevenaient vite glacés s’il arrêtait de les frotter. Il ignorait combien de temps elles auraient pu tenir le coup si Malefoy avait continué de les traiter comme il l’avait fait. Heureusement ils purent marcher beaucoup plus vite maintenant qu’ils n’avaient plus à s’occuper de la cape d’invisibilité. Ils ne durent la remettre correctement qu’avant de sortir. Harry vérifia sur la carte du maraudeur que personne n’approchait de leur cachette et ils s’élancèrent dans le couloir. Le jeune gryffondor les amena aux douches de sa maison. Il n’avait pas accès à celle des filles et les emmena chez les garçons. A cette heure-ci, elles était encore désertes. Harry se débarrassa de la cape d’invisibilité avec rapidité et détacha sa cape d’hiver dont il enveloppa les deux gamines qui semblaient épuisées. Il ferma la porte des douches à clefs, entra dans la cabine la plus proche et fit couler de l’eau qu’il régla pour qu’elle soit bien chaude sans ébouillanter. Il alla chercher les jeunes serpentards. La brune se redressa avec difficultés mais la blonde ne pouvait plus bouger. Elle semblait avoir donné ses dernières forces pour arriver jusqu’au château. Harry la prit dans ses bras et la porta jusqu’à la cabine tandis que son amie s’était assise contre le mur en savourant l’eau qui coulait sur son corps. Il posa la petite blonde à côté de sa camarade qui la prit dans ses bras.



Harry sentit son pantalon devenir encore plus étroit alors qu’il contemplait les deux fillettes nues, tendrement enlacées. Il allait pour sortir, pensant qu’il pouvait aller se soulager dans une cabine à côté lorsqu’il fut rappelé par une petite voix.

« Harry ! »

Il revint en arrière. Les deux gamines le regardaient d’un air sérieux, la blonde avait posé sa tête sur l’épaule de son amie semblant incapable du moindre mouvement. La brune fit un léger sourire.

« Merci ! Fit-elle d’une voix feutrée.
_ Ce n’était rien. J’ai fait ce que j’avais à faire.
_ Harry ? Tu pourrais nous rendre encore un service ?
_ Bien sûr ! Quoi donc ?
_ Tu pourrais nous faire l’amour ? »

Harry qui s’était attendu à ce qu’elles lui demandent d’aller chercher des vêtements ou autre chose dans ce genre là fut frappé de stupeur. Il resta paralysé devant les deux gamines qui gardaient toujours un air sérieux.

« Tu comprends, reprit la brune devant son air hagard, Malefoy finira par nous mettre la main dessus. Il ne laissera jamais tomber cette sale tradition. Surtout que maintenant c’est lui qui en profite.
_ Alors si tu ne le fais pas, continua la blonde dans une voix où l’on sentait très nettement son épuisement, c’est lui qui finira par nous prendre notre virginité. Et ça nous ne le voulons pas. Surtout pas lui.
_ Je t’en prie Harry ! Nous voulons que tu le fasses. Nous ne serons plus vierges quoi qu’il arrive. Et nous préférons que ce soit par toi. S’il te plaît ! Lui ne nous laissera pas le choix. »

Harry se doutait bien que Malefoy n’en resterai pas là, qu’il prendrait sa revanche sur les fillettes et qu’il ne pourrait pas les protéger tout le temps. Les jeunes serpentards lui jetaient des regards implorants et il s’étonnait que la fermeture éclaire de son pantalon tienne encore. Oui. Il ne pouvait qu’accepter. Mais il ne parvenait pas à prononcer un mot. La petite blonde prit alors la parole.

« Tu sais Harry, nous aimons toutes les deux beaucoup les garçons. Mais en fait nous préférons les filles. »

Elle leva la tête et embrassa sa camarade avec passion. Elle posa une main sur la poitrine de la brune mais deux doigts lui suffirent à masser l’un des petits seins. Harry reçut un nouveau choc en regardant les deux fillettes s’embrasser tendrement. Elles décollèrent leurs lèvres.

« Les relations homosexuelles sont interdites chez les sangs purs de serpentards, reprit la blonde tout en continuant à caresser la poitrine de son amie. Les sangs purs doivent reproduire leur lignée. Souvent, les filles ne sont considérées que comme des poules pondeuses. C’est pour ça que nous avons refusé de nous soumettre à la tradition. Mais nous ne pourrons pas leur tenir tête encore très longtemps. »

La petite blonde descendit la main sur le ventre de son amie puis sur les cuisses qu’elle écarta doucement. Elle se laissa glisser, le seul mouvement qu’elle pouvait apparemment encore se permettre, pour s’allonger sur le sol et positionner sa bouche au niveau du trésor intime de sa camarade. Elle sortit sa langue pour parcourir la fente de haut en bas et s’introduire légèrement entre les lèvres intimes. La petite brune rejeta la tête en arrière en gémissant et ferma les yeux en caressant doucement les cheveux de son amante.

    Harry n’y tenait plus. Il se déshabilla rapidement et entra sous la douche. Il passa une jambe par dessus la blonde et présenta son sexe à la brune qui lui souriait d’un air malicieux. Elle prit le sexe dans la bouche et se mit à faire des mouvements frénétiques. Harry fut surpris mais se douta très vite que la fillette devait essayer de lui faire plaisir en imitant les mouvements violents que lui avaient imposé Malefoy plus tôt, pensant sûrement que c’était ce qu’aimait les garçons. Il attrapa la tête durant l’un de ses passages rapides, comme un gros vif d’or, et l’arrêta. La gamine leva des yeux interrogateurs. Harry la guida dans des mouvements plus lents et plus langoureux. Il apprécia la douceur des lèvres et de la langue sur son membre raide qui devint enfin moins douloureux. Il regardait la petite tête aux cheveux courts aller et venir sur son sexe. L’eau ruisselait sur son bas ventre et sur le doux visage de la fillette avant de s’écouler sur sa poitrine menue, de glisser sur son ventre plat et de finir en chute sur son intimité et la bouche de la petite blonde qui s’en régalait. Harry sentit un éclair le traverser et il éjacula dans la petite bouche qui s’arrêta pour recueillir tout le nectar.

    Il s’accroupit à côté de la blonde et embrassa tendrement la brune qui l’entoura de ses bras. Il massait les petits seins d’une main et y descendit ensuite sa tête pour les lécher. Il prit un téton entre ses lèvres et tira légèrement dessus. La fillette gémit en posant une main sur les cheveux d’Harry. Elle courba la tête et promena sa langue sur la nuque du garçon. Il caressa les longs cheveux de la petite blonde puis il glissa sur son dos avec lenteur. Il lui flatta les fesses et la sentit frémir. Sans cesser de dévorer l’entrejambe de son amie, elle empoigna le membre de Harry et se mit à le masturber en douceur. Il redevint très vite dur tandis que la petite brune poussa un cri de jouissance et que son amante bu de longue gorgée de son jus de plaisir. Elle se redressa ensuite avec difficulté et Harry la soutint de son bras libre. Elle prit le sexe dressé entre ses lèvres en se tournant sur le côté. Harry contourna ses hanches et posa ses doigts sur l’intimité de la petite blonde. Il massa le petit abricot doré puis l’explora un peu plus en profondeur. Il atteint l’hymen et le caressa du bout des doigts. La petite brune s’était assise face à eux, adossée au mur et se masturbait en regardant son amie s’occuper de Harry.

    Elle prit soudain son amie par les épaules et la tira vers elle. La blonde lâcha le membre avec dépit et s’allongea sur le dos entre les jambes de sa camarade, posant la tête sur le pubis de cette dernière. Elle entrouvrit légèrement les jambes. Harry contempla le petit corps qui lui était offert. Il s’avança à genoux en faisant glisser ses mains le longs des jambes fines. La petite blonde frémit en le regardant avec une certaine appréhension tandis qu’il s’asseyait sur ses talons et qu’il soulevait son bassin pour le mettre à la hauteur du sien. Les fillettes avaient une vue claire des deux sexes qui se frottaient l’un contre l’autre. La petite brune regardait le spectacle avec envie et elle gémit même à la place de sa camarade lorsque Harry pressa son gland contre les lèvres intimes et commença à s’enfoncer dans l’intimité avec douceur. La petite blonde ferma les yeux, pinça les lèvres et serra ses mains sur les cuisses de son amie qui regardait avidement le pieu descendre avec lenteur dans le ventre de son amante en lui caressant tendrement les cheveux. Harry buta contre la paroi intime. Il donna un coup de rein et la gamine poussa un cri. La petite brune gémit également en sentant la nuque de sa camarade donner une secousse sur son intimité. Elle regardait un filet de sang s’écouler lentement du coquillage de son amie tandis que Harry allait et venait en douceur dans le fourreau étroit. La petite blonde gémissait sous les coups de reins de Harry et sous les caresses de son amie qui laissait ses doigts aller sur sa poitrine encore plate mais aux tétons fièrement érigés. La petit brune faisait de légers mouvements des hanches pour frotter son petit abricot contre les cheveux de son amante, les recouvrants de jus de plaisir.

    La petite blonde lança un grand cri tout en déversant une grande quantité de sa liqueur d’amour. Harry sentit aussitôt un nouvel éclair lui vriller la colonne vertébrale et il se retira vivement. De longs jets de sperme se répandirent de la tête de la brune à celle de la blonde. Cette dernière, encore haletante, s’efforça de se mettre sur le ventre puis se mit à nettoyer consciencieusement le corps de son amante avec sa petite langue avant que l’eau de la douche n’efface les traces du délicieux nectar. Harry s’assit, dos contre la porte de la cabine, et souffla un peu en regardant les fillettes se laver mutuellement le visage. Elles s’avancèrent ensuite vers lui, la brune aidant sa camarade. La petite blonde s’allongea à plat ventre entre les jambes du jeune gryffondor et laissa sa langue courir le long du sexe encore vaillant qui venait de la faire femme. Sa camarade se plaça debout face à Harry en lui offrant toute son intimité. Il avança la tête et se mit à lécher tendrement le joli coquillage et le pubis encore glabre. Il saisit les petites fesses rondes et se mit à les masser avec lenteur, au rythme de sa langue sur le bouton d’amour gonflé. La fillette avait plaqué son torse contre le mur et gémissait en ondulant des hanches tandis que la petite blonde goûtait à présent les bourses de leur amant en masturbant le membre viril. De son autre main elle introduisait deux doigts dans son intimité ouverte, savourant la profondeur qu’elle atteignait désormais.

    La petite brune s’écarta du mur et se mit à glisser lentement vers le bas, frottant son sexe sur la poitrine et le ventre de Harry. Ce dernier sentit la blonde s’écarter de leur couple, laissant sa camarade tout à son plaisir. La petite brune s’était agenouillée face au jeune gryffondor et le regardait avec un petit sourire qui ne parvenait pas à cacher son trouble et son appréhension. Elle enserra Harry de ses bras et posa sa tête sur son épaule, joue contre joue. Il sentait les muscles de son visage se crisper tandis qu’elle descendait ses petites fesses et que son beau coquillage se posait sur le gland. Elle voulait apparemment décider d’elle-même quand elle s’empalerait sur le membre viril. Harry respectait son choix et il lui caressa tendrement le dos pour la rassurer. Il sentait le regard attentif de la petite blonde sur eux. Le souffle de la fillette devint plus saccadé et plus fort tandis que le dard écartait les abords de ses lèvres intimes. Puis elle donna subitement un grand coup de rein et s’abattit complètement sur le sexe dressé. Elle poussa un grand hurlement de douleur tandis que Harry se retenait de jouir immédiatement, surpris par la rapidité de l’assaut. La gamine resta prostrée contre le corps du garçon, ses larmes s’ajoutant aux zébrures de l’eau sur son torse. Harry lui releva la tête avec douceur et l’embrassa tendrement. Il descendit une main sous son petit cul et la fit se soulever un peu. Il la guida, comme lors de sa première fellation, et lui fit faire des mouvements beaucoup plus doux. La fillette poussa de petits gémissements de douleurs. Cependant, peu à peu, elle montait et descendait d’elle-même et finit par se passer de la main de Harry sur son petit cul qui se contenta alors de le caresser en accompagnant le va et vient de la petite brune. Le jeune gryffondor embrassait les petits seins de sa partenaire dès qu’ils étaient à hauteur de sa bouche. Il lui semblait que le sexe de la brune était encore plus étroit que celui de sa camarade et il sentit le plaisir monter en lui. Il voulut se retirer mais la fillette se laissa tomber complètement sur les cuisses de son amant et se serra contre lui. Harry se doutait qu’elle avait déjà appris le sortilège de prévention et celui d’avortement et ne s’inquiéta plus. La gamine avait fiché le membre viril le plus profondément possible dans son petit ventre et le garçon s’y répandit avec plaisir en embrassant les lèvres exquises de la brune. Sous les caresses de la langue de son amant, et sentant le nectar chaud s’écouler en elle, la petite serpentard n’y tint plus et jouit en lâchant un flot de jus de plaisir.

Les deux amants restèrent serrés l’un contre l’autre, ne faisant toujours qu’un, en s’embrassant de reconnaissance mutuelle. Ils sentirent soudain une petite langue se promener sur leurs sexes joints, recueillant leurs semences emmêlées. La petite brune retira son étroit fourreau du membre viril et laissa sa camarade le prendre à pleine bouche. La gamine se leva et attrapa un savon avant de s’agenouiller à côté du couple. Harry ne tarda pas à jouir à nouveau dans la petite bouche gourmande, s’étonnant de pouvoir encore déverser autant de sperme. La petite brune prit la tête de sa camarade à pleine main, la retira doucement du membre viril qui faiblissait et l’embrassa avidement. Les deux fillettes se partagèrent le nectar de leur amant tout en emmêlant leurs langues. Harry caressait les deux petits corps avec douceur. Il fut content de constater qu’ils rayonnaient de chaleur. La petite brune se redressa un peu et prit le savon. Elle commença à frictionner le sexe de leur amant. La blonde se mit également à frotter le membre au repos, tirant la peau pour ne pas oublier de laver le gland. Harry se laissa aller contre le mur et savoura les mains coquines qui le nettoyaient. Il laissait ses doigts aller sur la peau douce du petit cul de la brune et parcourait les longs cheveux de la blonde. Cette dernière massait maintenant les testicules en les faisant mousser tandis que son amie masturbait le membre en caressant le bout du gland avec la face lisse du savon. Harry se sentit grandir à nouveau tandis qu’il introduisait deux doigts dans le petit abricot de la brune qui gémit en resserrant ses doigts sur le dard glissant. Elle tortilla ses hanches, ravie, en embrassant langoureusement son amie.
Elle jeta ensuite un regard étrange à Harry. Elle retira les doigts du garçon de son intimité et les lécha avec délice. Elle fit ensuite allonger la petite blonde sur le dos puis elle se positionna à genoux au dessus d’elle. Elle posa sa petite poitrine sur celle de son amante mais maintenait son joli petit cul en hauteur. Elle regarda le jeune gryffondor.

« Harry ! Il reste un endroit où je suis encore vierge. Ils n’hésiteront pas à passer par là aussi. »

Harry avait secrètement espéré qu’elle lui ferait cette demande, bien qu’il considérait qu’avoir prit les deux virginités des gamines lui étaient déjà largement suffisant. Il ne se fit cependant pas prier et alla se placer derrière la fillette. Celle-ci embrassait langoureusement sa compagne comme si de rien n’était mais Harry la sentit frémir lorsqu’il posa ses mains sur ses hanches. De toute évidence, elle n’avait pas très envie qu’un garçon ou quoi que ce soit d’autre passe par son puit secret. Seule la répugnance que lui inspirait Malefoy, Crabbe et Goyle la décidait à offrir ses petites fesses à Harry. Celui-ci eut un peu de remords en s’agenouillant devant le petit anus. Mais il savait que les serpentards eux, n’auraient aucun scrupules à forcer ce passage là.

    Il caressa tendrement les deux globes de chair pour rassurer la gamine qui tentait, sans vraiment de conviction, de ne pas s’en préoccuper. La petite blonde, malgré son état d’épuisement avancé, leva un bras et se mit à caresser le petit abricot de son amante en lui souriant. Harry écartait maintenant les petites fesses rondes et posa son gland sur l’anneau serré. Il pensait même ne pas pouvoir entrer tant l’anus lui semblait petit mais il donna un petit coup de rein qui le fit pénétrer jusqu’à la garde qui arracha un hurlement aigu de douleur à la petite brune. Harry se rappela que son sexe était enduit de savon et qu’il glissait comme un rien. Horrifié d’avoir si violemment pénétré la fillette, il lui murmura quelques mots d’excuse. Puis il se mit à faire de doux mouvements de va et viens, bien décidé à rattraper son erreur en donnant du plaisir à la petite serpentard. La blonde s’activa également plus vite dans le joli coquillage de son amie et lécha les larmes qui coulaient sur ses joues si douces. La petite brune poussait des gémissements de douleurs mais sous les caresses de son amie et grâce à l’application dont faisait preuve Harry, elle commença à lâcher de petits cris de jouissances. Elle embrassa son amante avec passion et descendit une main sur son petit sexe pour lui rendre ses tendres caresses. Elles se masturbèrent l’une l’autre en s’embrassant de plus belle tandis que la petite brune ruait maintenant sur le membre du jeune gryffondor. Harry lâcha les hanches de la fillette et introduisit deux doigts dans son intimité, rejoignant ceux de la petite blonde. Il descendit son autre main et se joignit cette fois-ci à la brune pour pénétrer le coquillage doré. Il savoura les mouvements de ses doigts et de ceux des gamines dans les deux abricots qu’il avait lui-même ouverts. Les deux petites serpentards crièrent leur plaisir en même temps. Leurs doigts quittèrent leurs sexes tandis qu’un flot de jus de plaisir inondait ceux de Harry. La petite brune sembla s’affaisser sur sa camarade mais elle se redressa courageusement et demanda au jeune gryffondor de continuer. Il s’activa de plus belle entre les petites fesses de la brune qui continuait de pousser des gémissements de plaisir. Puis il se figea et se déversa dans le dos de la gamine qui s’allongea ensuite sur le corps de sa camarade.

    Elles étaient toutes deux à bout de forces, particulièrement la blonde qui s’endormit soudainement, tendrement enlacée contre son amante. Harry ramassa le savon et se mit à laver les corps des deux fillettes, s’attardant plus que de raison sur les petits sexes, au grand plaisir de la brune et dessinant un sourire sur le visage paisible de la blonde. Il se lava ensuite lui-même puis coupa l’eau de la douche. Il alla prendre des serviettes et essuya en douceur les petites serpentards. Puis ils durent réveiller la dormeuse pour qu’elle s’habille. Avant de revêtir leurs robes, la petite blonde lança un sort de prévention sur le ventre de sa camarade. Ils remirent ensuite la cape d’invisibilité et ouvrirent la porte. Ils l’avaient à peine franchit qu’un garçon de quatrième année arriva au bout du couloir en peignoir de bain. Bien qu’elles furent totalement réchauffées, les deux fillettes restaient collées à Harry, chacune d’un côté. Ils sentaient les petites mains se poser sur ses fesses et sur son membre qui avait à nouveau du mal à rester tranquille. Le jeune gryffondor lui-même avait relevé l’arrière de la robe de la petite blonde pour caresser la douceur de son petit cul et avait passer un bras autour des épaules de la petite brune, plongeant ensuite dans le col baillant de sa robe et massait tendrement les petits seins. Il les ramena jusqu’à leur dortoir. Elles embrassèrent chacune langoureusement Harry puis elles s’allongèrent sur leurs lits respectifs et s’endormirent.

    Le soir, Harry s’excusa devant Ron en prétendant que Rogue et Rusard ne cessaient de patrouiller dans le couloir de la sorcière borgne et qu’il n’avait aucune chance de passer devant eux sans se faire repérer. Il observa la table des serpentards et remarqua que Malefoy, Crabbe et Goyle parlaient à voix basse en jetant des coups d’œils bizarres aux deux fillettes qui lui sourirent discrètement. Puis elles tirèrent la langue à Malefoy qui se tourna, faisant comme s’il n’avait rien remarqué. Plus tard, en les croisant dans un couloir vide, Harry demanda aux filles si tout allait bien.

« Oh oui ! Répondit la petite brune avec un grand sourire. Tu ne vas pas le croire mais Malefoy pense que c’est nous qui l’avons neutralisé dans la clairière.
_ Tu imagines, reprit la blonde, si les autres apprenaient qu’il a été battu par des premières années ? Des filles en plus.
_ Du coup il ne nous a pas touché à condition que l’on ne parle pas.
_ Mais alors, s’exclama Harry d’un air dépité, vous n’aviez pas besoin de perdre votre virginité. Cela aurait causé plus de tort à Malefoy si les autres avaient compris qu’il ne vous avez pas touché.
_ Non, fit la blonde, ils se seraient tous ligués contre nous. Et Malefoy aurait eu alors tout le loisir de se venger. Tandis que maintenant, il est coincé. Bien sûr les autres nous forcent à coucher avec eux avec cette fichue tradition. Mais tant que Malefoy et les deux idiots qui le suivent en sont privés, c’en est presque drôle. »

Harry semblait toujours dépité.

« Je crois que je n’aurai pas dû faire ça avec vous. Ça n’a servit à rien.
_ Tu crois ? » Répondit la petite brune avec un sourire malicieux

Elle se leva sur la pointe des pieds et l’embrassa tendrement. La petite blonde fit de même puis elles s’en allèrent vers leur prochain cours. En les voyant partir avec entrain, Harry se sentit immédiatement mieux. Puis il se souvint qu’il avait également un cours et se hâta vers la salle de classe.
 
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Harry
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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 00:00
La salle des plaisirs

Une aventure sexuelle de Harry Potter en 5e année.


Avec Harry Potter et Cho Chang




    Les temps étaient difficiles à Poudlard. Dolores Ombrage cherchait par tous les moyens à renvoyer les professeurs fidèles à Dumbledore et ne cessait de harceler Harry et ses camarades, présageant qu’ils complotaient dans son dos.
    En effet, Harry, Hermione et Ron avaient fondé l’armée de Dumbledore et se réunissaient régulièrement dans la salle sur demande avec leurs camarades pour apprendre divers sortilèges de défense contre les forces du mal qu’Ombrage voulait à tout prix leur interdire.
    Les réunions de l’AD dans la salle sur demande aidaient beaucoup Harry à supporter la grande inquisitrice de Poudlard, mais ce qui lui remontait encore plus le moral, c’était les rendez-vous avec Cho Chang. Il l’avait déjà embrassé après une soirée de réunion, quand tous les autres étaient partis. Une soirée merveilleuse qui se transforma en cauchemar la nuit même lorsque Harry rêva de l’attaque de Mr Weasley par un serpent.

    Les vacances de Noël étaient alors passées et Harry était revenu à Poudlard enfin convaincu qu’il n’était pas responsable de cette attaque mais obligé de prendre des cours d’occlumancie avec Rogue. Les réunions de l’AD avaient également repris.

    Lors de la première séance après les vacances, Harry, comme la dernière fois, fit mine de remettre de l’ordre dans la salle attendant que les autres sortent et espérant que Cho comprendrait qu’il souhaitait qu’elle reste.

    Lorsque Hermione referma la porte de la salle sur demande emportant un gros livre remplit de sorts atrocement compliqués et souriant à Cho et Harry, ce dernier se retourna. Il fut content de voir que Cho ne pleurait pas comme la dernière fois et qu’elle lui souriait. Elle s’approcha et lui prit tendrement la main.


« Tu m’as manqué durant ces vacances ! Dit-elle.

_ Tu m’as manqué aussi, Cho. »

Elle approcha ses lèvres de celles de Harry et l’embrassa. Le jeune sorcier se sentait en pleine félicité. Il passa un bras autour de la taille de la jeune fille et la serra tendrement pour prolonger le baiser. Il l’avait tellement attendu. Il la sentit frissonner.

    Cho posa la tête sur l’épaule de Harry qui sentait son souffle lent et chaud sur son cou. Elle murmura :


« Pourquoi es-tu parti aussi vite ? J’aurais tellement aimé te voir avant de rentrer. Je t’ai cherché partout tu sais ? Puis j’ai vu Ombrage en colère. Et le professeur Dumbledore qui lui expliquait quelque chose à ton sujet. Il semblait moins amusé que lorsqu’Ombrage s’énerve d’habitude. Que s’est-il passé ? »

Harry pensa à l’état de Mr Weasley après l’attaque du serpent et comprenait parfaitement que Dumbledore fut peu enclin à rire de la frustration d’Ombrage.

« Ma famille a eu… euh… besoin de moi. Répondit Harry en espérant que personne n’ait parlé à Cho de la haine réciproque entre les Dursley et lui. Dumbledore m’a fait partir avant l’heure. C’est tout. »

L’excuse de Harry n’était pas très habile et cela devait se sentir dans sa voix. Cho ne dit rien de plus, comprenant sûrement qu’il ne désirait pas en parler d’avantage. Elle passa ses bras autour de la taille de Harry et se serra encore un peu plus contre lui. Apparemment elle avait fini de se torturer l’esprit avec les souvenirs de Cédric. Ou plutôt elle n’y pensait pas sur l’instant.

    Harry sentit les seins de la jeune fille se presser contre sa poitrine et son ventre se coller au sien. Le souffle de Cho semblait envelopper son cou et il se sentit rougir, de plus en plus troublé. Il se sentit grandir peu à peu et en fut gêné car Cho, tout contre lui, devait également le sentir. Il ne savait pas quoi faire. Il était paralysé par la peur d’effaroucher la jeune fille en restant contre elle mais répugnait à briser leur étreinte.

    Cho ne bougea pas pendant quelques secondes puis, sans dire un mot, elle commença à frotter son bassin contre celui d’Harry avec lenteur. Abasourdi, ce dernier essaya de regarder Cho dans les yeux mais son visage était tout contre son cou. Harry sentit son sexe se gonfler un peu plus sous les douces caresses du corps de Cho. Pas encore tout à fait sûr des intentions de la jeune fille, il se contenta de promener ses mains sur son dos et posa un baiser dans son cou.

    Cho releva la tête et embrassa Harry avec fougue. L’une de ses mains descendit sur les fesses du jeune sorcier tandis que l’autre se mit à masser le sexe dressé et dur à travers l’étoffe. Harry n’y tenait plus. Il ne parvenait pas à détacher ses lèvres de celles de Cho et laissa glisser ses mains sur les fesses menues, rondes et fermes de la jeune fille.

    Soudainement, Cho s’écarta d’Harry, souriant de voir un instant son visage s’effondrer de dépit. Mais elle prit l’extrémité de sa robe à deux mains et la fit passer par dessus la tête en un éclair. Elle ne portait rien en dessous alors que le château était encore parcouru des courants d’air glacés de l’hiver. Harry resta en arrêt devant les formes parfaites de Cho ayant beaucoup de mal à croire que tant de beauté lui était offert si soudainement. Il comprit pourquoi elle avait frissonné plus tôt. Reprenant un peu ses esprits et sans quitter le corps de Cho des yeux, Harry retira sa robe de sorcier sous laquelle il portait encore un jean et un tee-shirt. Cho passa ses mains sous le tee-shirt et, tout en caressant la peau d’Harry, le fit glisser avec lenteur jusqu’à ce que le jeune garçon en fut débarrassé.

    Ils s’embrassèrent à nouveau, collés l’un à l’autre, les seins en pommes de Cho s’écrasant sur la poitrine nue de Harry. Celui-ci sentit son sexe trépigner d’impatience au point qu’il crut que son pantalon allait craquer. Cho semblait aimer le faire attendre et elle descendit très lentement sa langue sur le torse du jeune garçon puis sur son ventre. Harry fut parcouru d’un frisson qui n’avait rien à voir avec le froid lorsque Cho embrassa son membre à travers le jean avant de commencer à le lui retirer. Elle fit également descendre le caleçon et contempla le sexe dressé à quelques centimètres de son visage.

    Elle l’embrassa maintenant qu’il était libre puis commença à le lécher lentement de haut en bas. Il semblait à Harry que tout son corps baignait dans une incroyable volupté. Cho semblait posséder une certaine expérience de ce genre de pratique et Harry se demanda combien d’autres veinards avaient bien pu profiter de ses faveurs. Puis il décida qu’il s’en fichait éperdument lorsque la jeune fille prit son gland entre ses lèvres. Elle avança une main et se mit à caresser les bourses de Harry tandis que sa tête allait et venait sur toute la longueur de son membre. Le jeune sorcier se sentit soudain comme traversé d’éclairs qui descendaient tous vers son bas ventre pour se répandre sur la langue de Cho. La jeune fille avala les longs jets de sperme de son amant sans en laisser échapper une goutte.

    Harry baissa les yeux sur sa compagne et remarqua que sa deuxième main était occupée à caresser son joli abricot. Harry se débarrassa de son jean et de son caleçon d’un coup de pied et  se mit à genoux, bien décidé à rendre la pareille à la jeune sorcière. Il la prit dans ses bras et l’embrassa. Ses lèvres avaient désormais un goût salées. Cho l’entoura également de ses bras et fit pression sur son torse pour que Harry s’allonge, dos sur le sol. Le jeune sorcier s’exécuta et tout deux se retrouvèrent allongés. Cho, couchée sur le corps d’Harry, se redressa légèrement en lui souriant puis se retourna pour présenter son sexe à la bouche du jeune garçon tandis qu’elle même s’occupait à redonner de la vigueur au pénis.

    Harry allongé sur le sol froid sentit les seins de la jeune fille se presser contre son ventre et pensa qu’il ne lui faudrait pas longtemps pour recouvrer une érection. Mais il voulait donner du plaisir à Cho avant cela. Il caressa ses fesses magnifiques, les écarta légèrement puis plongea son visage vers la source des plaisirs les plus intenses. Il fit courir sa langue sur les lèvres inférieures, buvant la liqueur intarissable de Cho, plus enivrante que tous les alcools. Il sentait le doux corps de la jeune fille frémir sous ses assauts et accentua ses efforts sur le bouton d’amour gonflé. Cho gémissait et elle ne put continuer à laisser sa langue se délecter du membre du jeune sorcier. Harry continuait de caresser les fesses parfaites de la jeune sorcière. Le bout de ses doigts effleurèrent le puit secret. Curieux de savoir ce qu’elle ressentirait, le jeune garçon laissa un doigt s’attarder avant de le faire pénétrer avec lenteur. Cho poussa un petit cri de plaisir tandis que le doigt se redressait puis s’abaissait à nouveau et que la langue explorait plus en profondeur son joli coquillage. Harry sentait le plaisir de la jeune fille qui sembla soudain se transmettre à son propre corps. Son sexe se redressa. Cho le caressa d’une main puis le reprit dans la bouche, effectuant quelques va et vient. Le corps de la jeune fille trembla alors et Harry bu de longues gorgées de son jus de plaisir.

    Cho se redressa, posant son sexe trempé sur le torse de Harry, tenant toujours son pénis dressé dans la main. Elle le caressa encore un peu avant de se retourner et de s’allonger à nouveau sur son amant, mettant son abricot juteux à la hauteur du membre de Harry. Elle l’embrassa langoureusement puis roula sur le côté pour se retrouver sur le sol. Elle regarda tendrement Harry qui n’eut besoin d’aucune explication. Il se tourna et vint s’allonger sur elle. Ils se regardèrent mutuellement dans les yeux puis Cho avança la main pour guider le sexe de Harry jusqu’à l’entrée de son plus précieux trésor. Harry, tout en embrassant Cho, entra en elle avec douceur. Il lui caressait les seins tout en laissant sa langue parcourir son cou et revenant régulièrement entre ses lèvres. Cho gémissait en caressant le dos et les fesses d’Harry. Elle trouva également son anus et entra en lui en souriant d’un air coquin. Harry, électrisé, fouilla les fesses de la jeune sorcière et lui rendit la pareille. Il commença à aller et venir de plus en plus vite. Cho fermait les yeux pour savourer les assauts de son amant. Harry s’étais mis à genoux, assis sur ses talons. Il attira Cho à lui. Elle se dressa, lui faisant face, et commença à monter et descendre le long du membre et du doigt de Harry. Elle s’accrocha à ses épaules et augmenta la cadence en gémissant de plus en plus fort. Harry tenait Cho par sa taille très fine et sentait la jeune fille au bord de la jouissance. Lui-même se retenait pour ne pas jouir trop tôt. Cho s’abaissa une dernière fois sur le membre de Harry en poussant un cri. Le jeune garçon sentit ses jambes être inondées tandis qu’elle s’affaissait sur son torse. Harry ne pouvait plus se retenir et se répandit dans le ventre de la jeune fille.



    Il aperçut les coussins entassés juste à côté d’eux et il se laissa tomber dessus entraînant Cho avec lui. La jeune fille resserra son étreinte sur son amant pour le garder encore un peu en elle. Tout en embrassant et en caressant le corps de Cho, Harry se demandait depuis combien de temps ils étaient là. Il espérait que personne n’avait remarqué leur absence. Il pensa que Ron et Hermione devaient être inquiet à son sujet. Tout en parcourant la courbe de l’un des seins de Cho, Harry voulut lui proposer de s’en aller et de se retrouver dès le lendemain soir, même s’il doutait qu’il puisse attendre jusque là. Mais il ne parvint pas à dire le moindre mot lorsqu’il regarda le visage paisible de Cho, souriante, les yeux clos, reposant sur son torse. Elle avait un bras autour des épaules de Harry tandis qu’elle lui caressait lentement le ventre du bout des doigts. Le jeune garçon sentait les doux seins de sa compagne contre ses côtes et son intimité encore humide contre sa cuisse. Ses longues et fines jambes s’emmêlaient à celles plus noueuses de Harry.

    En y repensant, le jeune garçon se disait qu’il était si bien ici, allongé dans les coussins, qu’il n’avait vraiment aucune envie de rejoindre le dortoir. Mais soudain, Cho se leva, laissant Harry seul avec une mine dépitée. Elle traversa la salle entièrement nue pour aller prendre une sorte de boîte sur une étagère. Harry qui en connaissait un rayon sur les différents ustensiles contre le mal ne savait pourtant pas de quoi il s’agissait et il pensa que la jeune sorcière devait avoir « demandé » à la salle de lui amener le coffret. Cho revint près de son amant qui ne pouvait s’empêcher de la regarder comme si rien de plus beau ne serait jamais plus offert à ses yeux. La jeune sorcière ramassa également les baguettes magiques qu’elle posa, avec la boîte, juste à côté des coussins.

    Cho se mit à quatre pattes au dessus de Harry laissant ses longs cheveux noirs tombants effleurer le visage de son partenaire. Elle s’étira un peu laissant son sexe se poser doucement sur celui de Harry et caressant légèrement son torse de ses seins. Elle l’embrassa avec douceur puis, souriant de plus belle, elle laissa son corps reposer entièrement sur celui de Harry, descendant une main vers son membre qu’elle se mit à masser lentement. Le jeune sorcier, pourtant fatigué, se sentit remplit d’une nouvelle vigueur. Il se mit à durcir à nouveau lorsque la jeune fille se laissa glisser et que son membre se frotta à son pubis, son ventre, sa poitrine et sa gorge pour arriver devant ses lèvres qui s’ouvrirent. Cho engloutit le chibre dressé et se mit à lever puis à abaisser sa tête en lançant un regard malicieux à Harry qui gémissait.

    Sous les voluptueuses caresses de la langue et des lèvres de la jeune sorcière, Le membre viril grandit et durcit encore. Cho s’arrêta alors et se mit à nouveau à quatre pattes, présentant à Harry ses fesses sublimes qu’elle écarta des deux mains, découvrant son petit anus.


« Harry ! Je t’en prie ! Viens, par là ! »

Le jeune sorcier n’eut pas besoin de se le faire répéter et se positionna derrière elle. Il prit son sexe dans la main et le guida tout contre le puit secret de Cho qui poussa un petit gémissement qui devint un râle lorsque Harry s’enfonça en elle d’un seul coup de rein. Elle en fut presque désarçonnée et se rattrapa de ses mains sur le sol de pierre. Harry, tout en caressant les petites fesses de Cho, bougeait en elle avec douceur. La jeune fille gémissait.

« Oh Harry ! C’est bon ! Vas-y ! Plus fort ! Fais-moi mal ! Plus fort ! »

Sous les encouragements de sa partenaire, le jeune sorcier s’activa plus rapidement en s’accrochant aux hanches de la jeune fille. Cho laissait échapper de petits cris en creusant son dos pour que Harry puisse aller encore plus loin. Le jeune garçon aperçut le visage de sa compagne se mordant la lèvre sous la douleur de la pénétration mais elle ne cessait de s’avancer sur les coups de boutoir de Harry de plus en plus brutalement. Elle s’arrêta soudain pour attraper sa baguette magique et la boîte qu’elle ouvrit. Harry stoppa également, fiché dans le cul de Cho jusqu’à la garde, et regarda. La jeune sorcière venait de sortir deux longs godes de bois qu’elle posa à terre. Elle les pointa de sa baguette et prononça :

« Mouvamento ! »

Les deux godes frémirent puis redevinrent immobiles.

« Tu dois le faire aussi Harry ! »

Harry attrapa sa baguette et prononça la formule. Ils se soulevèrent alors du sol. L’un vint se positionner devant l’abricot de Cho tandis que le deuxième s’avança devant sa bouche.

« Montre leur ce qu’il faut faire ! »

Harry recommença alors son va et vient de plus en plus rapide. Tandis que Cho se remettait à gémir de plus belle, le premier gode s’engouffra dans son intimité. Harry eu alors la sensation que c’était lui qui venait de la pénétrer une seconde fois. Mais il était toujours profondément enfoncé entre les si délicieuses fesses de Cho et alors même qu’il s’était arrêté, surpris, il sentait dans son propre membre le va et vient du gode. Alors qu’il ne s’était pas encore remis de cette sensation, le deuxième membre de bois alla se ficher dans la bouche de Cho et il sentit le contact des lèvres et de la langue de la jeune fille. Il se remit alors à bouger de plus belle dans le cul de sa douce et ressentit l’incroyable plaisir de trois pénétrations à la fois. Harry se crut dans un autre monde tant le plaisir qu’il éprouvait était intense. Cho émettait des sons étouffés qui traduisait son plaisir. Elle venait de jouir mais cela ne calma pas son ardeur.

    Harry eut soudainement une idée. Il s’enfonça du plus profond qu’il le pouvait en Cho, l’entoura de ses bras et la tira en arrière. Ils s’écroulèrent tous deux dans les coussins. Harry était allongé et laissé la jeune sorcière, les bras en arrière de part et d’autre de son amant, s’empaler seule sur son vit. Il se redressa un peu et prit sa baguette qu’il pointa sur le gode entre les lèvres inférieur de la jeune fille en prononçant :


« Amplificatum ! »

Tout en continuant de besogner le doux coquillage, le membre de bois se mit alors à grossir pour atteindre plus de deux fois sa taille. Cho criait maintenant son plaisir, toujours de manière étouffé, jouissant presque à répétition. Elle montait et descendait encore plus vigoureusement sur la queue de Harry. Ce dernier, pus excité que jamais, se redressa un peu et fit basculer les cheveux de son amante entre ses seins. Il empoigna la poitrine ferme, malaxant les deux globes de chair tendre, et surtout les deux petits tétons fièrement érigés, avec ardeur. Harry était enivré de l’odeur de Cho.  Il laissa courir sa langue sur la peau si douce de son dos et de son cou. La jeune fille se démenait en pleine extase et Harry ressentait tellement de sensation qu’il fut  sur le point de jouir. Mais il se retint encore un peu et s’approcha de l’oreille de sa partenaire.

« Dis Cho, s’il te plaît, laisse moi encore jouir dans ta bouche. »

Cho attrapa le gode entre ses lèvres et le retira. Elle tourna la tête vers Harry du mieux qu’elle le put.

« Tu me demandes ça comme si c’était pénible. »

Elle souriait et tendit le gode à Harry. Il le prit et souleva les fesses de Cho. Il se retira du petit trou et y plaça le gode qui s’activa immédiatement. La jeune fille le regarda d’un air coquin et il sut ce qu’elle voulait. Il pointa à nouveau sa baguette et lança la formule.

« Amplificatum ! »

Le gode s’activait dans le puit secret tout en grossissant pour atteindre la même taille que le premier. Cho ne retenait plus ses cris frénétiques. Il lui fallut se ressaisir un peu pour s’apercevoir que Harry s’était levé et se tenait devant elle. Il se retenait difficilement de jouir, ressentant toujours les sensations, également amplifiées par leur taille, des deux godes. Cho attrapa les fesses de Harry et l’attira à elle en commençant à sucer le dard prêt à éclater. Le jeune garçon réussit à se retenir encore un peu, savourant les va et viens vigoureux de la tête de son amante. Il sentit tout à coup les muscles de tout son corps se crisper. Il plaqua ses mains sur les cheveux de Cho pour l’immobiliser puis se répandit à nouveau dans sa gorge.

    La jeune sorcière avalait avec rapidité la semence de Harry puis le lâcha pour s’écrouler dans les coussins et se laisser complètement aller à l’ultime jouissance qui s’emparait d’elle. Au bout de quelques minutes, elle prit sa baguette, la pointa sur les deux godes qui continuaient leur besogne et murmura épuisée :


« Finite incantatem ! »

Les deux objets de bois s’arrêtèrent net et reprirent leur taille initiale. Cho les dégagea des ses orifices et les posa à terre.

Elle s’allongea dans les coussins, essoufflée. Harry se coucha près d’elle et la prit dans ses bras. D’une main il caressait ses longs cheveux si doux et de l’autre il allait et venait sur sa peau si tendre. Leurs lèvres se promenaient sur le torse, le cou ou le visage et se rencontraient fréquemment. Il sembla à Harry que la peau de Cho scintillait d’or. Il s’aperçut qu’en fait un rayon de soleil passait par la fenêtre et illuminé le corps de sa douce. C’était le petit matin.

Avec lenteur, comme s’ils répugnaient de quitter une couche où ils se sentaient si bien, les deux amants se levèrent et s’habillèrent non sans se couvrir de baisers à tout instant. Puis ils durent se résoudre à se quitter non sans avoir convenu d’un autre rendez-vous, bien avant la prochaine réunion de l’AD. Ils savaient qu’ils ne pourraient attendre jusque là.

 
Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Harry
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